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Environnement du projet
Dans cette section, nous présenterons l’environnement de la région et l’environnement du projet.
Environnement socio-économique de la région
Nous montrerons successivement l’historique, l’environnement social et l’environnement économique de la région Boeny.
La Région Boeny constitue une des régions de la circonscription de Mahajanga .Elle s’étend sur une superficie de 32386 Km2 et se situe à l’ouest de Madagascar .La Région est délimitée au Nord par laRégion de Sofia, à l’est par la Région de Betsiboka, au Sud la région du Melaky.
Administrativement, elle comprend six districts :
Le District d’Ambato-Boeny ;
Le District de Mahajanga I ; Le District Mahajanga II ;
Le District de Marovoay ; Le District de Mitsinjo, et
Le District de Soalala
Milieu naturel
Climatologie
La Région Boeny est soumise à un climat de type tropical .Elle est caractérisée par une alternance d’une saison sèche de mois d’avril à octobre et d’une saison pluvieuse d’octobre à mars .La température moyenne est relativement moyenne toute l’année et varie entre 21°C et 33°C. Les mois les plus arrosés s’étendent de décembre à février, les mois les plussecs est de juin à octobre .En saison des pluies, la majorité des vents ne dépasse pas 30 Km/h, sauf pendant les cyclones. Par ailleurs, la Région est régulièrementvisitée par des cyclones.
Hydrographie
La Région Boeny est largement drainée par un réseau hydrographique particulièrement dense qui met à sa disposition une capitale d’eau estimable, susceptible de dynamiser les activités liées au transport fluvial et maritime, l’alimentation en eau et à l’énergie hydroélectrique.
La Région est traversée par des fleuves qui sont pour la plupart torrentiels et qui sont en crue pendant les périodes des pluies coupant plusieurs villages de tout contact avec l’extérieur Les principaux fleuves sont : la Mahajamba, Betsiboka et la Mahavavy du sud .Ce réseau est compété par la présence des grands lacs intarissables et au transport fluvial, dont le lac Kinkony, le deuxième lac de l’île en superficie après celui de l’Alaotra.
Voici une présentation restreinte des grands fleuves dans la Région Boeny :
Le fleuve de Mahajamba irrigue la partie Nord de la région et passe à côté de la commune de Manerinerina, de la commune de Mahajamba usine avant de se jeter dans le canal Mozambique ;
Le fleuve Betsiboka arrose toute la partie centrale de la Région et se jette dans le canal de Mozambique tout en passant dans les districts de Marovoay, Ambato-Boeni et navigable en embarcation jusqu’à Maevatanana Région Betsiboka ;
La Région Boeny est enfin arrosée par le fleuve Mahavavy du sud dans sa partie sud.
Relief et sol
La région possède des zones sablo gréseuses c’est-à-dire la transition entre plateau et baiboho .Sur la région littorale, des vastes plaines fertiles longeant les grands fleuves et la côte maritime (plaines d’Ambato- Boeny, d’Anjijia, plaines de Madirovalo, plaine rizicole de Marovoay,et la plaine Mitsinjo).
Du coté pédologie, les sols de la région sont composés de trois grands types de sols d’origines ferrugineuses tropicales :
Les sols hydromorhes des bas-fonds ou des plaines occupent en général les parties en amont ou commencent les mangroves, c’est dire quelques kilomètres des embouchures des grands fleuves (Betsiboka, Mahavavy, et Mahajamba).
Les petites parties des zones littorales sont constituées par des dunes de sables peu fertiles et des marécages d’eau douce, qui après quelques travaux sommaires faits par les paysans, représentent l’essentiel des rizières rencontrées dans la région.
Les sols des tanety latéritiques rouge sont dominants en partie sur Ambato-Boeni, Marovoay, Mitsinjo, Soalala, et Mahajanga II ;
Environnement social de la Région
L’environnement social concerne l’être humain et so n environnement. Il s’agit de la caractéristique démographique, des infrastructures sociales de base, de l’éducation et de la santé.
Parcours historique du peuple
Comme tous les estuaires, la situation du Région Boeny sur la côte Nord-Ouest de Madagascar offre d’importants attraits aux marins et aux pêcheurs .Les comoriens, issus de métissage entre Noirs et Sunnites ont de bonne heure, débarqué à Madagascar. Ils se sont fixés principalement à l’embouchure de la Betsiboka et dans la baie de Baly.
A la suite des luttes religieuses au Moyen Age des CHIRAZIENS, CHIITES et SUNNITES, ces derniers immigraient à la côte Nord- Ouest de Madagascar, plus exactement à Mahajanga actuellement.
Cette immigration a donné naissance à la population Antalaotra qui signifie les gens de la mer.
Le chef lieu de la Région Boeny est Mahajanga I, la ville de Mahajanga a été donc fondée par les Antalaotra (mélange de pré Sakalava, d’arabes et d’Africains) vers le XVIIe Siècle après Jésus Christ.
En effet le nom français Majunga est la traduction littérale du mot Arabe « mji angaia » ou du mot Sakalava « maha janga » :
« mji angaia » qui signifie ville des fleurs, de l ’Arabe Swahili parlé par les marchands Antalaotra d’origine Arabe comorienne, métissés à des Africains et qui s’implantèrent sur la côte ;
« maha janga » qui signifie guérir, la jonction de s deux mots Sakalava « maha » veut dire entraîner et « janga » signifie guéri.
Etymologiquement Mahajanga veut dire donc qui guérit ou ville des fleurs et c’est cette dernière signification qui est la plus retenue.
Mahajanga appartient au royaume Sakalave du Boeny, conquis par Tsimanato, rebaptisé Andriamandisoarivo, fils du Roi Menabe.
Plus tard, les Sakalava achetaient des captifs africains pour cultiver la terre, les descendants de ceux-ci sont connus aujourd’hui sous le nom de Makoa ou Masombiky, déformation du « Mozambique » indiquant clairement leur origine. Il convient de mentionner encore :
les Indiens, originaires pour la plupart de la région de Gujerat, près de Bombay ; ils se sont installés à Mahajanga vers la fin du XIX e siècle et ont essaimé dans les localités secondaires ; le commerce est leur activité exclusive ;
les marins portugais, hollandais, français et anglais, suivis de traitants de ces différentes nations ont débarqué plus ou moins volontairement dans l’île.
L’arrivée des Merina fut située en 1824 avec Radama I. Au XIXe siècle l’expansion Merina s’est dirigée vers la basse Betsiboka et la région de Mandritsara. De nombreux immigrants s’y sont installés, rejoints plus tard par les Betsileo. Les uns et les autres cultivaient le riz. D’où Mahajanga es t une ville de migration.
Les anglais arrivèrent en 1824 tandis que les français en1895 avec les Généraux Duchesne, Metzinger et Vairon.
Les peuples Sakalava et Tsimihety sont les peuples autochtones de Mahajanga mais il convient de préciser qu’ils sont eux-mêmes les résultats de nombreux métissages difficiles à déterminer de manière exacte.
Au XXe siècle, la nécessité de la colonisation a conduit à recruter des travailleurs dans le Sud-est de l’île ; c’est ainsique les Antaisaka, les antaimoro, les Antandroy sont venus dans le Nord-Ouest supplés à l’insuffisance de la main d’œuvre locale sur les grandes concessions.
La démographie
La connaissance de la démographie de la Région Boeny s’avère très utile pour l’étude du choix d’implantation du projet en particulier le district de Mahajanga I (ville de Majunga).
Dans le district de Mahajanga I, prédominent les ethnies Sakalava et Merina. . Les originaires sont les Sakalava. Ces derniers n’ont pas de technique pour l’exploitation du secteur tertiaire. Ils pratiquent la culture du riz et de manioc. La présence de Tsimihety est aussi significative dans le District de Mahajanga II.
L’infrastructure sociale de base
Dans la ville de Majunga, les infrastructures sociales de base sont encore suffisantes pour le besoin de la population. Dans presque toutes les arrondissements, il y a un centre de santé de base niveau II, des écoles primaires, un commissariat de police, une compagnie de gendarmerie, un terrain de football, plusieurs médecins libres, des hôtels, des restaurants, et même des grandes salles de loisir.
L’éducation publique
Dans la ville de Majunga, il existe beaucoup de lycées publics, des écoles publiques secondaires.
En 2004, les non scolaires représentent 25 % de la population totale dans le district de Majunga. Parmi les 75 % du taux de scolarisation, 55 % sont dans les niveaux primaires, 40 % dans les niveaux secondaires et 05 % fréquentent l’enseignement supérieur dans la région Boeny tout entière. Actuellement, plus de 2.000 étudiants suivent l’enseignement universitaire. Pour l’année scolaire 2004-2005, dans la région Boeny, les taux de réussite étaient respectivement de 65,70 % pour le CEPE, de 46,15 % pour le BEPC. Ces taux s’améliorent par rapport à l’année scolaire 2003-2004. Cette année là 2007-2008, le taux de réussite du CEPE était de 65,02 % et celui du BEPC était de 35,04 %.
Environnement économique
La région Boeny est parmi les régions productives du riz et de manioc, notamment dans le District de Marovoay. Dans le district de Mahajanga II, les cambriolages ne permettent pas à la population de vivre en paix.
L’élevage et la pêche
L’élevage intéresse également les habitants de la égionr Boeny. Les activités portent sur le bovin tandis que le porcin et les volailles (poule pondeuse) à un nombre insuffisant. Le secteur pêche est très développé et se pratique dans le fleuve, la mer ou bien dans les vallées. L’élevage de poule pondeuse n’est pas fait par la majorité de la population de la région. Et ’élevage porcin est rare car quelques personnes pratiquent cette activité, à raison de 6 têtes en moyenne par foyer. Nous avons constaté aussi que la plupart de la population sont des musulman. Par conséquent, le porcin est peu développé car elle n’intéresse pas les paysans, mais seulement les hommes qui n’ont pas d’activité principale.
Pour la pêche, les hommes pratiquent cette activité en vue de manger les poissons sauf si les produits dépassent le 4 kg. La période de pêche est pendant toute l’année. C’est l’un des facteurs qui entraîne l’insuffisance de poissons dans la région.
En somme, le porcin ne constitue pas un système d’épargne pour les gens. Donc, les activités économiques pour les habitants, en plus de l’Agriculture, de l’élevage et de la pêche sont également constituées par le commerce (la plupart, c’est en épicerie), et la collecte des produits locaux.
L’agriculture constitue l’activité principale exercée par la majorité des habitants dans la région Boeny notamment dans la campagne. Elle porte sur les cultures vivrières telles que le manioc, la patate et la grande partie est réservée à la culture du riz
Identification du projet
En tant que Bureau d’étude, le projet a comme principe l’étude sur la réalisation des activités. Dans ce cas, tout en prenant une marge de sécurité, une bonne étude devrait refléter la représentation exacte de l’exécution lors de la réalisation des travaux. L’écart entre « conception – estimation – réalisation » doit être le minimal possible si non nul. Le projet a un e exécution spécifique sur la prestation d’étude : sur terrain, comme le contrôleet la surveillance de chantier ; et au bureau comme l’établissement d’étude, de devis et de plan des clients qui sont des entrepreneurs privés ou d’Etat.
Sur terrain
L’obligation du bureau d’étude est de constater esl dégradations, de chercher les origines qui provoquent ces dégradations, d’essayer autant que possible, de supprimer les origines de ces dégradations en proposant un aménagement techniquement et économiquement réalisable, pour réparer les dégradations dans un chantier.
Au bureau
Le responsable établit un tableau d’itinéraire et d’aménagement récapitulant tout ce qu’on vient de noter lors de la reconnaissance sur terrain, des calculs justificatifs des solutions prises, un rapport d’études synthétisant toutes les études faites, y compris le devis et les plans, le tout illustré par des photos prises sur terrain.
Principales activités du projet
Dans notre section, trois activités seront appliquées au bureau d’étude, à savoir :
Etablir l’étude technique ;
Etablir l’assistance à la passation de marché ; Contrôler et surveiller le chantier des clients.
Etablissement de l’étude technique
Dans cette étude technique, nous expliquerons la définition des besoins du client, le dossier avant-projet sommaire et aussi un avant- projet détaillé. Voici le cycle du projet :
Pré évaluation ;
Evaluation (Etudes) ;
Dossier d’appel d’offre ;
Lancement d’appel d’offre ; Dépouillement des offres ;
Attribution du marché (Adjudication) ;
Exécution des travaux ;
Réception ;
Post-évaluation ;
Main levée des garanties ;
Maintenance par le maître d’ouvrage.
Définition des besoins du client
Le client donne les termes de la référence au bureau d’étude pour faciliter le projet de construction et pour donner les informations sur l’endroit, le financement, le total des dépenses et les renseignements sur le projet. Alors le bureau d’étude fait l’étude préliminaire au bureau avec le spécialisteen matière .Apres l’étude avec les termes de référence au bureau, nous expliquerons l’étude sur terrain. Le bureau a le devoir de régler le papier de construction comme le permis de construire pour la bonne marche du travail. Il étudie également la surface, l’état du terrain, la portance, l’accessibilité, l’exploitation future, la possibilité de faire la construction, climat, l’eau et l’électricité.
Le dossier avant- projet sommaire (APS)
Nous montrerons la proposition de l’avant- projet sommaire en trois variations au moins contenant chacune les cartes, les plans types quantitatifs et estimatifs sommaires, les devis de construction pour faciliter le choix du client, la description du projet, l’étude technique globale du terrain sur la topographie et hydrographie de la zone, et l’étude sur les composantes l’environnement physique, biologique et humain.
Le dossier avant projet détaillé (APD)
Apres l’approbation de l’APS, le bureau d’étude procédera aux relevés détaillés de la variante retenue.
Nous montrerons le plan détaillé avec le devis descriptif (matériaux, provenance, qualité), le devis quantitatif, la remarque de note de calcul plus détaillé, le planning de prévision d’exécution du projet, la description des matériels personnels prévisionnels, l’impact environnemental du projet, et l’impact économique, social public ou privé.
Le dossier d’APD sera présenté en langue francaise et sera fourni en trois exemplaires en version provisoire, et pour la version définitive en cinq exemplaires.
Le titulaire fournira également sur CD-ROM, un fichier électronique des pièces écrites et des dessins sous Auto- CAD.
L’assistance à la passation de marché
Dans notre cas, nous montrerons l’élaboration du dossier d’appel d’offre, l’évaluation des offres et la proposition au client.
L’élaboration du dossier d’appel d’offre (DAO)
Le client donne le choix au bureau d’étude pour faire l’appel d’offre : appel d’offre ouvert, appel d’offre restreint, et le marché de gré à gré.
L’appel d’offre ouvert : comporte un appel public à la concurrence. Cet appel d’offre est valable dès lors dire qu’une soumission recevable a été présentée. La publication a large diffusion 1 mois et va paraître dans le journal officiel ;
L’appel d’offre restreint ne s’adresse qu’à la personne morale ou physique que l’administration décide de consulter. Cet appel d’offre n’est valable que si l’administration a consulté au moins 3 fournisseurs ou entrepreneurs compétents et au moins 2 soumissions recevables ont été présentées .Il existe des appels d’offre de type international, national ou local. L’administration peut passer d’un avis d’appel d’offre ouvert dit « présélection » ou à un appel d’offre restreint d it « sort liste » sélectionné ;
Le marché de gré à gré : l’administration engage el personnel responsable selon la procédure qui lui paraît expédiente et attribue librement le marché à l’entrepreneur ou fournisseur qu’elle a retenu. Dans ce cas, l’administration peut mettre en compétition la prestation avant de fixer le contrat, comparaison ou vérification des offres, en particulier des prix.
Les dossiers d’appel d’offre comporte en général l’avis d’appel d’offre (l’objet du marché, estimation des travaux, lieu de consultation du cahier de charges, possibilité de proposition de variante), le cahier de charges et ses annexes, les plans (date de dépouillement, condition de présélection), le terme de référence pour les travaux, le modèle de marché de travaux et le modèle de devis quantitatif et estimatif des travaux.
Pour le model, le dossier DAO sera aussi présenté en langue française et sera fourni en trois exemplaires en version provisoire.
Evaluation des offres
Apres l’élaboration du dossier d’appel d’offre, nous passerons à l’évaluation du dossier de candidature pour faire le titulaire de marché. En même et nous faisons la comparaison de prix, le délai d’exécution des travaux et l’analyse de la fiche technique de l’entreprise. En phase d’évaluation, el bureau fait l’analyse du dossier de l’entreprise pour proposer au client.
Proposition au client
Le bureau d’étude donne la proposition au client d’après l’évaluation d’offre et discute avec le client pour le convaincre. Et même il explique aussi le dossier de l’entreprise qui le mieux pour bien traiter, bien finir le projet de construction. Alors le client vérifie le dossier en même temps pour avance r les travaux. Apres la proposition d’offre, le client fait le choix au entreprise ou entrepreneur pour faire le titulaire de marché .Enfin le client et le titulaire font le contrat de marché pour réaliser le projet.
Contrôle et surveillance de travaux
Nous montrons le contrôle et la surveillance des travaux de l’entreprise : le respect de la norme et de la durée.
Respect de la norme et de la durée
Le bureau d’étude fait la partie de travaux pour la réalisation des travaux après l’étude technique pour bien contrôler les travaux d’exécution.
Chaque jour, le bureau d’étude fait le contrôle en assistant aux travaux et en vérifiant la qualité, la quantité, la norme et la durée des travaux. Il fait également le suivi au chantier de construction et en même temps il pratique la règle de contrôle et suivi des travaux.
Un bureau d’étude est considéré comme une personne morale tendant à exprimer sa personnalité et son identité. Cette personne se manifeste à partir des organes sensoriels : les yeux, les oreilles et la bouche. Ces trois organes jouent un rôle très important dans la majorité des tâches de contrôle et de surveillance en permanence pendant les phases suivantes :
démarrage des travaux ;
avant l’exécution ; pendant l’exécution ; après l’exécution.
Chaque phase sera marquée par des faits ou événements où les organes sus-mentionnés doivent agir et l’agent membre de cette personne morale doit contribuer à la faire vivre et tout ce qu’il fait doit être re tenu et écrit. Le tableau ci-après synthétise le déroulement de contrôle et de surveillance.
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Table des matières
INTRODUCTION
PREMIERE PARTIE : IDENTIFICATION DU PROJET
CHAPITRE I : PRESENTATION DU PROJET
Section I : Caractéristiques du projet
1.1-Nature et but du projet
1.2 -L’ objectif du projet
1.3- Intérêt du projet
1.4- Fiche signalétique
Section II : Environnement du projet
2.1-Environnement socio-économique de la région
2-1-1- Milieu naturel
2.1.2-Environnement social de la Région
2.1.3- Environnement économique
2.2 – Identification du projet
Section III : Principales activités du projet
3.1-Etablissement de l’étude technique
3.1.1- Définition des besoins du client
3.1.2- Le dossier avant- projet sommaire (APS)
3.1.3- Le dossier avant projet détaillé (APD)
3.2- L’assistance à la passation de marché
3.2.1- L’élaboration du dossier d’appel d’offre (DAO)
3.2.2- Evaluation des offres
3.2.3- Proposition au client
3.3-Contrôle et surveillance de travaux
CHAPITRE II : ETUDE DU MARCHE ET STRATEGIE MARKETING
Section I : Description du marché cible.
1.1-Définition du marché
1.2.-Domaine d’implantation du projet
1.3-Clientèle cible et part du marché visé
1.4-Dossier de manifestation d’intérêt
1.5-Pertinence du projet
Section II : Etude de marché dans la région d’exploitation
2.1- Analyse de la demande
2.2- Analyse de l’offre
2.3- Analyse de la concurrence
Section III : Stratégie et politique marketing envisagé
3.1- Stratégies marketing à adopter
3.1.1- Stratégies « push » et « pull
3.1.2- Stratégie marketing mix
3.2-Stratégie adoptée par le projet
3.2.1-Stratégie pull
3.2.2-Stratégie marketing mix
CHAPITRE III : ETUDE ORGANISATIONNELLE
Section I : Organigramme envisagée
1.1-Organigramme choisi
1.2-Description des tâches principales de chaque responsable
1.2.1-Service de direction
1.2.2-Service d’étude, de contrôle et de surveillance
1.2.3 -Service administratif et financier
Section II : Gestion du personnel
2.1-La rémunération
2.1.1 -Salaires prévisionnels du personnel pour l’année 1
2.1.2-Salaires prévisionnels du personnel sur cinq ans
2.1.3-Autres charges prévisionnelles pour l’année1.
2.1.4-Autres charges prévisionnelles sur cinq ans
2.2-Formation
Section III : Chronogramme d’activité
3.1-Mise en place du projet
3.2-Réalisation
DEUXIEME PARTIE : ETUDE DE FAISABILITE TECHNIQUE, FINANCIERE ET EVALIATION DU PROJET
CHAPITRE I : TECHNIQUE ET CAPACITE DE REALISATION ENVISAGEE
Section I : Technique de réalisation
1-1-Ressources nécessaires à mettre en place
1.1.1-Ressources financières
1.1.2-Ressources humaines
1.1.3- Ressources matérielles
1.2 : Caractéristique d’approvisionnement
1.2.1- Méthode approvisionnement de matières premières
1.2.2- Processus de réalisation
1.2.3-Critère d’évaluation de stock à choisir
Section II : Capacité de réalisation envisagée
2.1-Dépenses sur chaque unité de réalisation
2.2-Prévision d’achat de matières premières
2.2.1- Achat prévisionnel pour la première année
2.2.2- Achat prévisionnel sur cinq ans
Section III : Prévision de service
3.1-Capacité de service prévisionnel
3.1.1-Prestation de service prévisionnel pour l’année
3.1.2- Prestation de service prévisionnel sur cinq ans
3.2-Chiffre d’affaires prévisionnelles
3.2.1-Chiffre d’affaires prévisionnelles pour l’année1
3.2.2-Chiffre d’affaires prévisionnelles sur 5 ans
CHAPITRE II : ETUDE FINANCIERE
Section I : Coût des investissements et amortissement
1.1-Coût d’investissements sur les immobilisations
Section 2 : Tableau d’amortissement
Section Section II : Besoin en fonds de roulement initial et recherche de financement
2-1 Besoin en fonds de roulement
2.1.1-Budget de trésorerie pour l’année 1
2.1.2-Fonds de roulement initial
2.2-Tableau de remboursement des dettes
Section III : Etat financiers prévisionnels
3.1-Compte de résultat prévisionnel par nature
3.2- Variation de trésorerie
3.3.-Bilan prévisionnel d’ouverture et de clôture
3.4-Marge brute d’autofinancement
CHAPITRE III : EVALUATION DU PROJET
Section I : Evaluation financière suivant les outils et critères d’évaluation
1.1 Evaluation financière suivant les outils d’évaluation
1.1.1-Evaluation de la valeur actualisée nette (VAN)
1.1.2-Calcul du taux de rentabilité interne (TRI)
1.1.3-Estimation de l’indice de profitabilité (IP)
1.1.4-Recherche du délai de récupération des capitaux investis (DRCI)
1.1.5- Application pour le projet
1. 2 : Evaluation financière suivant les critères d’évaluation
1.2.1-Efficacité du projet
1.2.2-Efficience du projet
1.2.3-Durée de vie du projet
1.2.4-Impact du projet
Section II : Evaluation économique et sociale
2.1-Evaluation économique
2.2-Evaluation sociale
Section III : Cadre logique du projet
3.1- Définition du cadre logique du projet
CONCLUSION
BIBLIOGRAPHIE
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