LES FONDEMENTS THEORIQUES DE L’HOMEOPATHIE
Définitions de l’homéopathie
Etymologiquement, le mot HOMEOPATHIE vient des mots grecs :HOMOIOS qui signifie semblable etPATHOS qui signifie souffrance.Cependant, nous allons énumérer plusieurs définitions selon les différents auteurs parmi lesquels nous allons citer :
Léon VANNIER : « L’homéopathie est la thérapeutique qui consiste à donner au malade de petites doses de substances qui, expérimentées sur l’homme sain, reproduit à fortes doses les mêmessymptômes observés chez le malade. » (23)
Selon Jacques JOUANNY : (11) «L’homéopathie est une méthode thérapeutique qui met en applicationcliniquela loi de similitude et qui utiliseles substances médicamenteuses à doses faibles ou infinitésimales. »
Cette seconde définition fait appel aux trois (3) piliers de l’homéopathie :
– la loi de similitude ;
– la loi des doses infinitésimales ;
– la conception clinique des maladies (notion de terrain).
Nous développerons succinctement chacun de ces piliers de l’homéopathie en yajoutant le principe d’inversion d’action des doses, puisnous ferons un survol del’homéopathie en tant que doctrine médicale.
Les piliers de l’homéopathie
La loi de similitude
La loi de similitude ou d’analogie est la formulation d’un état de fait physiologique déjà constaté par HIPPOCRATE et son école, cinq (5) siècles avant notre ère (9). En effet, on avait remarqué dès cette époque qu’il existait souvent un parallélisme d’action entre le pouvoir toxicologique d’une substance et son action thérapeutique :
– l’Hellébore blanc, quitoxicologiquement provoque des diarrhées cholériformes, était employé avec succès dans le traitement du choléra ;
– l’Arsenic, qui déclenche au niveau de la peau des lésions hyperkératosiques, peut devenir en toutes petites quantités un médicament de l’eczéma secondaire.
Il découle de ce principe qu’un médicament a d’autant plus de chances d’agir qu’il y a coïncidence entre les symptômesréactionnels du sujet à lamaladie et les symptômes provoqués par la substance à dose pondérale.
Si HAHNEMANN n’a pas inventé la loi de similitude, son mérite est de l’avoir élevée au rang d’une méthode expérimentale systématisée.En effet, d’expérience en expérience, il s’aperçoit que l‘hypothèse formulée initialement par HIPPOCRATE se vérifie régulièrement ; ce n’est donc plus une hypothèsemais une loi de la nature, une loi de biologiegénérale, la loi de similitude qui fait intervenir la notion de « Similimum » c’est-à-dire le plus semblable (àlasouffrance).
Cependant, il n’est pas nécessaire que la maladie ait un lien direct avec la substance. Prenons un exemple :(24)le venin d’abeille provoque chez un individu sain des œdèmes roses d’apparition subite qui piquent, brûlent et s’améliorent par des applications d’eau froide. Lemême venin à dose homéopathiquesoigneral‘œdème causé par une piqured’abeille, mais aussi les autres éruptions roses, piquantes et améliorées par des applications d’eau froide, comme l‘urticaire ou les coups de soleil.Cela explique qu’un même médicament intervienne dans le traitement de maux très différents.
C’est ce tableau symptomatique réactionnel que retient le médecin homéopathe pour choisir le médicament le mieux approprié, suivant le principe de similitude. On considère alors que le remède agit dans le même sens que lemode réactionnel du malade et stimule ainsi ses moyens de défense naturels.
Laloi de l‘infinitésimalité
Elle est la conséquence inévitable du principe de similitude. Puisqu’on utilise des substances souvent toxiques, il faut en administrer une dose capable de stimulerles réactions de défense du patient, sans aggraver ses symptômes.
C’est après des années d’expérimentation qu’HAHNEMANN est arrivé à la conclusion selon laquelle :(9) « Pour avoir une amélioration prompte, douce et durable », il fallait le plus souvent des doses infinitésimales, dont il codifia la préparation. Cetteinfinitésimalité rend le médicament homéopathique systématiquement atoxique, mais pose le problème de son mode d’action. Il n’a pas par lui-même d’action chimique. Il n’agit que par un état physique particulier (dont nous reparlerons au chapitre de la démarche thérapeutique)susceptible de faire réagir l‘organismemalade et lui seul.
La lutte pour la guérison n’oppose pas le médicament aux symptômes, mais oppose l‘organisme aux symptômes. C’est en somme une stimulation de l‘auto-défense. C’est pourquoi la disparition de l‘ensemble des symptômes morbides peut être obtenue par la prescription à dose faible ou infinitésimale de la substance dont les symptômes expérimentaux chez le sujet sain sont semblables à ceux du malade.
Les diathèses homéopathiques
Définition
La diathèse vient du grec diathesisqui signifie disposition, ou action de poser, et peut êtredéfinie comme étant : « la disposition générale en vertu de laquelle un individu est atteint par plusieurs affections locales supposées de même nature et dues à l’action sur une ou plusieurs générations d’un facteurtoxinique ou microbien.
Description des diathèses
HAHNEMANN, en s’interrogeant sur les signes cliniques qu’il retrouvait toujours dans certaines familles et qui déterminaient toujours les mêmes maladies, fut amené àdéfinir empiriquement trois (3)diathèses comme : la Psore, la Sycose et le Luetisme, auxquelles Léon VANNIER et NEBELajoutèrent le tuberculinisme et le cancerinisme. A ces diathèses ainsi définies, leshoméopathesrattachèrent des remèdes appropriés.
La psore
Pour HAHNEMANN, la psore est causée par un miasme ou virus dont le vecteur est le sarcopte de la gale : elle est périodique.
L’organisme réagit en provoquant des troubles oùprédominent les affections cutanées ; eczémas, gale psoriasis et ses alternances morbides ; les affections respiratoires et digestives.
Aussi, note-t-on chez le psorique une tendance aux parasitoses intestinales et cutanées, aux manifestations allergiques et aux troubles de thermorégulation.
Les remèdes du psorique sont :SULFURE- CALCAREA CARBONICA- NUX VOMICA-…
La sycose
C’est l’atteinte du tissuréticulo-endothélial. La physiopathologie se résume dans la perturbation du métabolisme de l’eau.
Les antécédents sont surtout les effets néfastes des infections, surtout génitales et rhinopharyngées.
Son remède de fond est : Thuya avec Natrum sulfuricum, Silicea,…
Le luetisme
C’est une maladie infectieuse autonome dont nous connaissons aujourd’hui l’agent causal, et dont la notion diathésique est abandonnée actuellement par les homéopathes.
Le tuberculinisme
Il présente une forme clinique du mode psorique, c’est pourquoi la psore et le tuberculinisme sont souvent confondus chez les enfants.
Ce n’est pas la tuberculose, mais le tuberculinisme est caractéristique des sujets à haute fragilité pulmonaire, des troubles de la nutrition, d’une grande susceptibilité au froid avec fréquence des affections rhinopharyngées et respiratoires, de la tendance aux inflammations muqueuses, des troubles de la circulation veineuse.
Aujourd’hui, on ne parle que de deux (2) diathèses : la sycose et la psore.
Les constitutions
La constitution d’un sujet est déterminée par l’observation du squelette, par l’étude de sa forme et par l’examen des rapports qui unissent les différentes parties.
La constitution correspond donc à la constante du sujet ; c’est unetypologie qui distingue trois (3) types de constitution : carbonique, phosphorique et fluorique. A ces trois (3) constitutions, on a ajouté la constitution sulfurique.
La constitution fluorique
Morphologie :le fluorique se caractérise essentiellement par son instabilité etpar un déséquilibre constitutionnel : squelette disharmonieux, avant-bras et bras font un angle obtus ouvert en avant, dents irrégulières, démarche saccadée, sautillante, hésitante, successivement rapide et lente. Flexibilité naturelle, d’où ses qualités d’acrobate.
Plan psychique :c’est un instable, il est indécis dans ses actes. Il a une grande mémoire et assimile vite. Il est très intuitif.
Prédispositions morbides :tendance au relâchement des fibres élastiques, tendance aux perversions sexuelles et mentales.
La constitution sulfurique
Morphologie :taille moyenne normo ligne, aspect harmonieux avec équilibre entre les diverses parties du corps, mains équilibrées, dents carrées, solides, bien blanches.
Psychologiquement :le sulfurique se contrôle bien, a confiance en lui-même.
Prédispositions morbides : Tendance aux manifestations congestives, spasmodiques, suppuratives. Eczémas, manifestations allergiques. Furoncles,acnés pustuleuses, poussées hémorroïdaires. Hypertension artériellespasmodique.
Les Tempéraments
Le tempérament est représenté par l’ensemble des possibilités physiques, psychologiques, biologiques et dynamiques d’un sujet.
Le tempérament hydrogénoïde
Il est caractérisé par un excès d’hydrogène, par conséquent par un trouble du métabolisme de l’eau. L’hydrogénoïde a une tendance aux œdèmes, à l’hyperhydratation, hypersensibilité à l’humidité sous toutes ses formes.
Le tempérament oxygénoïde
Il est caractérisé non pas par une augmentation de l’oxygène, mais par un excès de son influence dans l’organisme. Ceci entraîne une suractivité des échanges qui se traduit par l’ensemble des symptômes qui caractérisent l’augmentation du métabolisme basal : amaigrissement, déminéralisation, hyperthermie, agitation, inquiétude, anxiété.
Le tempérament carbonitrogénoïde
Il se caractérise par un excès de carbone et d’azote. L’individu se présente comme un auto-intoxique accusant les désordres fonctionnels les plus divers : hépatiques, digestifs, rénaux, cutanés, nerveux.
Mentalement, c’est un instable chez qui les périodes d’asthénies alternent avec celles d’hyper excitabilités.
LES FONDEMENTS PRATIQUES DE L’HOMEOPATHIE
L’expérimentation pathogénésique
Définition
« C’est l’ensemble ou la totalité de lasymptomatologieprovoquée par l’administration d’une substance donnée à dose non toxique, à un individu normo physiologique et sensible, qui constitue ce qu’on appelle en homéopathie une « pathogénésie ».
Modalités de l’expérimentation pathogénésique
Comment étudier les effets d’une substance sur un corps si l’on en ignore les effets sur un corps sain ?Cette question amène HAHNEMANN à essayer sur lui-même et sur son entourage une foule de substances médicamenteuses de son époque.
D’après l’énoncé même de la loi de similitude, la connaissance exacte et complète des effets d’un médicament sur un organisme constitue l’une des conditions majeures de l’exercice de l’homéopathie.
HAHNEMANNaécrit :« Pour approfondir les effets des médicaments, pour les adapter aux maux, on devrait s’en rapporter le moins possible au hasard, mais au contraire procéder toujours rationnellement… ». « Il ne nous reste donc plus qu’à expérimenter sur l’organisme humain les médicamentsdont on veut connaître la puissance médicinale. »
La méthode thérapeutique homéopathique fut la première ébauche logique d’une pharmacologie et d’une thérapeutique raisonnée.
Les données des pathogénésies sont fournies par trois (3) sources d’information.
la toxicologie
Qu’elle soit aiguë ou chronique, volontaire, accidentelle ou professionnelle. Elle provoque principalement des lésions organiques.
L’expérimentation pathogénésique proprement dite
Elle est faite avec des doses diverses mais non toxiques sur des sujets d’âge et de sexe différents,d’inégale réceptivité. Elle provoque surtout des signes fonctionnels ou généraux, c’est-à-dire « des changements dans la manière de sentir ou d’agir ».
L’expérimentation clinique
Elle fait inclure, dans les pathogénésies,les symptômes régulièrement guéris par la substance prescrite.
Méthodologie de l’expérimentation sur l’homme sain et sensible
Cette expérimentation pathogénésique peut se faire en simple, double aveugle ou par randomisation.
Cependant, nous allons citerla méthode par double aveugle proposée par O. A. JULIAN : (12) une drogue X diluée et dynamisée (c’est-à-dire qui a subi un certain nombre de succussions) est répartie en trois (3)flacons dont l’un contient une dilution de cette drogue en 30 CH, le deuxième en 7 CH, le troisième en 3 CH et un quatrième flacon qui est le placebo.
Leur ordre d’utilisation reste inconnu pour l’expérimentateur. Pour cela, les flacons portent une simple étiquette (A, B,C, D) et sont remis à l’expérimentateur qui prend chaque flacon pendant une semaine à raison de 15 gouttes 3 fois par jour.
L’expérimentateur doit être dans de bonnes conditions d’hygiène et de repos.
LA SEMIOLOGIE HOMEOPATHIQUE
Définition et généralités
La sémiologie homéopathique s’appuie sur la sémiologie classique qui est à la recherche des symptômes pathognomoniques d’une maladie, mais elle la dépasse par une étude sémiologique qui lui est propre car à la recherche des symptômes caractéristiques de la réaction personnelle de chaque malade.
La sémiologie homéopathique doit informer sur les signes de la maladie et son remède le plus idéal possible afin de réaliser un diagnostic thérapeutique individuel.
En homéopathie,l’attention apportée à l’ensemble des symptômes présentés par le malade est la première démarche vers le diagnosticthérapeutique.
L’observation clinique homéopathique
Elle consiste, pour le médecin homéopathe, à rester à l’écoute attentivedu malade afin d’établir le tableau clinique de la maladie telle qu’elle est ressentie et vécue par le malade : c’est pourquoi une méthodologie clinique particulière s’impose et va porter sur deux (2) éléments : l’interrogatoire et l’examen physique.
L’interrogatoire
Il comprend :les symptômes du début de la maladie en recherchant les circonstances dans lesquelles ils sont apparus ; l’évolution de la maladie ; les symptômes actuels repris en détail avec leur modalité d’aggravation ou d’amélioration ; les antécédents personnels et héréditaires ; les symptômes concomitants au niveau des autres appareils ; le comportement général du malade en situation familiale et socioprofessionnelle et l’étude du terrain.
N.B :L’interrogatoire est fait de sorte que les questions ne suggèrent pas les réponses.
L’examen physique
Il se fait de la même manière qu’en allopathie avec, en plus, la recherche de certains signes objectifs et de la typologie du malade.
Il peut comporter :
un examen général complet
x en fonction des règles de la sémiologie classique (observation,palpitation, auscultation, …)
x en fonction des règles de la sémiologiehoméopathique (étude du comportement général, de la morphologie et de la caractérologie).
Des examens complémentaires
x en fonction des résultats de la symptomatologie, on peut faire l’étude radiologique, biologique, ECG, …
N.B :Un questionnaire repertorial est disponible pour les médecins homéopathes et permet un interrogatoire très poussé du malade afin de trouver le similimum (remède ayant une pathogénésie identique aux troublesprésentés par le malade).
Etude descriptive des médicaments homéopathiques
Les matièrespremières utilisées ou souches homéopathiques
Toutes les substances employées en homéopathie sont celles tirées de la nature. Pour procéder aux dilutions selon la méthode Hahnemannienne, on part des teintures mères,biothérapiques, et des produits chimiques d’origine minérale ou organique.
Les teintures-mères T.M
Elles sont obtenues par macération dans un solvant « alcool » de plantes ou parties de plantes, fraîches et plus rarement desséchées. La macération a lieu dans des récipients en verre ou en acier inoxydable pendant trois (3) semaines au minimum. Apres macération, les teintures-mères sont décantées,filtrées et contrôlées de façon rigoureuse.
A partir de la teinture-mère, le laboratoire fabrique des dilutions homéopathiques.On utilise la dynamisation : il faut agiter énergiquement le flacon selon une certaine méthode entre chaque dilution. Cette dynamisation revêt une grande importance puisque l’agitation des molécules donnera « l’énergie » du produit dilué. Il en est de même pour l’opération de dilution qui doit s’entourer du maximum de garantie. Cette méthode s’effectue selon l’échelle centésimale ou décimale ; les dilutions sont titrées en CH et DH.
Les biothérapiques et Isothérapiques
Autrefois appelés « Nosodes », les biothérapiques sont des médicaments obtenus à partir de produits non chimiquement définis, c’est-à-dire des sécrétions, des excrétions pathologiques ou non, certains produits d’origine microbienne.Leur définition est donnée par la pharmacopée française dans sa dixième (10 ème ) édition de 1983.
Les isothérapiques sont des souches biothérapiques préparées extemporanément à partir de souches fournies par le malade lui-même et dont la première dilution doit être stérilisée.On distingue deux catégories d’isothérapiques :
les auto-isothérapiques obtenus à partir d’un prélèvement biologique fourni par le malade lui-même (urine, sang, pus) ;
les hétéro-isothérapiques obtenus à partir d’allergènes : pollen, poils, …
Les produits chimiques d’origine minérale ou organique
Les substances utilisées sont soit des corps simples comme IODUM ou composés comme NATRUM PHOSPHORICUM, soit des complexes chimiques d’origine naturelle.
Les procédés de préparation
Ils font l’objet de soins rigoureux et ils varient selon la nature de la souche utilisée. Les dilutions et les triturations sont obtenues par des opérations successives de division de la substance de base au 10 ème ou bien au 100 ème. Le nombre d’opérations effectuées définit la hauteur de la dilution oude la trituration.
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Table des matières
INTRODUCTION
PREMIERE PARTIE : GENERALITES SUR L’HOMEOPATHIE
CHAPITRE I : Naissance de l’homéopathie (d’Hippocrate à Hahnemann
CHAPITRE II : Les fondements théoriques de l’homéopathie
II-1- Définitions de l’homéopathie
II-2- Les piliers de l’homéopathie
II-2-1- La loi de similitude
II-2-2- La loi de l’infinité simalité
II-2-3- La loi d’inversion d’action
II-2-4- La notion du terrain
II-2-4-1- Les diathèses homéopathiques
a- Définition
b- Description des diathèses
II-2-4-2- Les constitutions
a- La constitution carbonique
b- La constitution phosphorique
c- La constitution fluorique
d- La constitution sulfurique
II-2-4-3- Les tempéraments
a- Le tempérament hydrogénoïde
b- Le tempérament oxygénoïde
c- Le tempérament carbonitrogénoide
CHAPITRE III : Les fondements pratiques de l’homéopathie
III-1- L’expérimentation pathogénésique
III-1-1- Définition
III-1-2- Modalités de l’expérimentation pathogénésique
III-1-3- Méthodologie de l’expérimentation sur l’homme sain et sensible
DEUXIEME PARTIE : METHODOLOGIE DU TRAITEMENT HOMEOPATHIQUE
CHAPITRE I : La sémiologie homéopathique
I-1- Définition et généralités
I-2- L’observation clinique homéopathique
I-2-1- L’interrogatoire
I-2-2- L’examen physique
I-2-3- Méthodologie du diagnostic
I-2-3-1- Les modalités
I-2-3-2- Symptômes psychiques
I-2-3-3- Symptômes généraux
I-2-3-4- Symptômes locaux
CHAPITRE II : Démarche thérapeutique
II-1- Généralités sur les biothérapies
II-2- Le médicament homéopathique
II-2-1- Etude descriptive des médicaments homéopathiques
II-2-1-1- Les souches homéopathiques
II-2-1-2-Les procédés de préparation
II-2-1-3- Les formes de présentation pharmaceutique
II-2-2- Mécanisme d’action du médicament homéopathique
II-3- Les indications de l’homéopathie
II-3-1- Action sur les affections aigues
II-3-2- Action sur les maladies chroniques
II-3-3- Ce que l’homéopathie peut soigner
II-3-4- Ce que l’homéopathie ne soigne pas encore
II-3-5- L’action préventive de l’homéopathie
II-3-6- L’homéopathie en pédiatrie
II-3-7- L’homéopathie vétérinaire
II-4- L’ordonnance homéopathique
II-4-1- Règles de prescription
II-4-2- Les différentes écoles
II-5- Schémas thérapeutiques de quelques urgences quotidiennes en homéopathie
CHAPITRE III : Démarche officinale
III-1- Réglementation sur les médicaments homéopathiques
III-1-1- Les spécialités à nom commun
III-1-2- Les préparations magistrales
III-1-3- Les spécialités à nom de fantaisie
III-1-4- Etiquetage des médicaments homéopathiques
III-2-Le contrôle en homéopathie
III-3- Approvisionnement des officines et rayons homéopathiques
III-3-1- Approvisionnement des officines
III-3-2- Techniques de stockage
III-3-3- Le rangement de la « bibliothèque
III-4- Conseils homéopathiques à l’officine
III-4-1- Conseil sur ordonnance
III-4-2- Conseil sur automédication
DISCUSSION
CONCLUSION
REFERENCES BIBLIOGRAPHIQUES
ANNEXES