ETUDE DES STATUTS ECOLOGIQUES SELON LES CRITERES DE L’UICN (2001)

Télécharger le fichier pdf d’un mémoire de fin d’études

Relief et hydrographie

L’alternance de vallées et de montagnes à altitude comprise entre 400 à 1008 m constitue la quasi-totalité du paysage d’Ambalabe. Plusieurs petits ruisseaux dont Sahalampona, Mofia et Talaviana prennent source en bas des montagnes. Les rivières les plus importantes sont Talaviana et Iaroka qui sont navigables malgré la présence derochers. (RAKOTOARIVONY, F. & RASOAVIETY, L., 2007).

Géologie

La région repose sur des roches magmatiques à amphibole et grenat. Des roches de nature différente ont été observées dans les sites d’études à Ambalabe comme migmatite et graphite (BESAIRIE, H., 1972.).

MILIEU BIOTIQUE

Flore

La forêt de Vohibe appartient à la Région orientale, au Domaine de l’Est et au secteur Nord-Est (HUMBERT & COURS DARNE, 1965). Appartenant au type bioclimatique perhumide chaud. La végétation climacique de cette région estune forêt dense humide sempervirente. Cette zone fait la transition entre la forêt dense humidede basse altitude de la série à Anthostema et MYRISTICACEAE et la forêt dense humide de moyenne ltitudea appartenant à la série de Tambourissa et Weinmannia (FARAMALALA & RAJERIARISON, 1999).
Milieu d’étude
La forêt de Vohibe renferme 68 familles regroupéesen 155 genres et 300 espèces. Ces collections
contiennent 4 espèces jugées nouvelles: Chapelieria spp (RUBIACEAE), Cryptocarya spp (LAURACEAE), Grewia spp (MALVACEAE) et Elephantopus spp (ASTERACEAE) (RAKOTOARIVONY, F. & RASOAVIETY, L., 2007).
Ainsi, on a pu observer des grands arbres atteignant 25 m de hauteur dans la forêt de Vohibe. Parmi ces grands arbres, on peut citer Canarium spp (BURSERACEAE), Calophyllum inophyllum, Symphonia spp (CLUSIACEAE), Mimusops spp (SAPOTACEAE) et enfin Dalbergia spp (FABACEAE) ou Palissandre.

Végétation

La forêt s’étend sur une surface de 3117 hectaresDeux. types de formations végétales ont été identifiés :
– Les formations primaires constituées par des forêts denses humides sempervirentes. En fonction de l’altitude:
· forêt dense humide sempervirente de basse altitudeentre 400 à 800 mètres avec une superficie de 1996 ha présentant une voûte forestière élevée de 20 à 30 mètres de hauteur
· forêt dense humide de moyenne altitude entre 800 et1008 mètres, de 972 ha de surface avec une canopée se situant à 17 mètres dehauteur.
– Les forêts dégradées et les savoka résultats dea défrichel sur brûlis ou «tavy ».de la couverture forestière.

Faune

Les animaux jouent un rôle prépondérant dans l’équilibre de l’écosystème forestier. La forêt de VOHIBE est une des zones protégées hébergeantnugrand nombre d’espèces animales.
· Oiseaux
Le site est très riche en espèces d’oiseaux. L’étude ornithologique était faite par l’équipede Madagascar Fauna Group (M.F.G.) Ivoloina – Toamasin a en 2006. Au total, 34 familles d’oiseaux reparties en 80 espèces ont été inventoriées (RAKOTOARIVONY, F. & RASOAVIETY, L., 2007).
· Reptiles et Amphibiens
L’inventaire rapide des reptiles dans la forêt de Vohibe a permis de recenser 6 familles, composées de 3 genres avec 23 espèces. Pour les amphibiens, 3 familles reparties en 11 genres et 47 espèces ont été recensées (RAKOTOARIVONY, F. &ASOAVIETY,R L., 2007).
· Primates
Ils sont représentés par 4 familles de Lémuriens:les INDRIDAE, les LEMURIDAE, les CHEIROGALEIDAE et les DAUBENTONIIDAE reparties en 10 espèces (RAKOTOARIVONY, F. & RASOAVIETY, L., 2007).

MILIEU SOCIO-ECONOMIQUE

Historique et organisation sociale

Le nom Ambalabe tire son origine de l’existence, autrefois, d’un grand Parc à Zébus appelé Vala à la place actuelle du centre de village (vala=parc à zébus, Be = grand). La première population est venue de Vatomandry vers 1917. La quasi-totalité de la population de la Commune Rurale d’Ambalabe est constituée par les Betsimisaraka qui sont venus à la recherche de nouvelles terres à cultiver. D’autres groupes sont ensuite ve nus par les biais de mariage ou de migration. Actuellement, on peut y rencontrer d’autres groupes ethniques comme les Merina et les Sihanaka. Dans cette société où la communauté est fortementpatriarcale, toutes les décisions sur la vie familiale se font par consensus entre les représentants ethniques et les hommes membres de la famille.
Le système de base de cette communauté villageoisefonctionne sur le FIRAZANANA fondé sur le lien du sang.
La société Betsimisaraka est caractérisée, d’une rt,pa par des grandes familles ayant leur chef respectif, d’autre part, par l’existence de Ta ngalamena considéré comme Chef spirituel, proche des ancêtres.

Situation sociale
– Santé de la population et infrastructures sanitaires
Les habitants utilisent les lacs et les rivières pour leurs besoins en eau, aussi bien pour le ménage que pour les travaux des champs. Le manque d’eau potable entraîne la précarité de l’hygiène. L’insuffisance des médicaments dans le Centre de Santé de Base et l’éloignement des hameaux du CSBII constituent les problèmes sanitaires.
La Commune possède un Centre de Santé de Base niveau II (CSB II) qui se trouve dans le chef lieu de la commune. Ce centre ne peut pas satisfaire la demande en soins médicaux de la population de tous les villages. La population opte assez souvent pour l’automédication, en achetant des médicaments auprès des « marchands ambulants ». Par ailleurs, les villages se repartissent en plusieurs hameaux éloignés et les abitantsh ont du mal à joindre les CSB II. Par conséquent, seuls les gens atteints de graves maladies viennent consulter le médecin ; c’est la raison pour laquelle les paysans ont recours à la p harmacopée traditionnelle au lieu de faire recours à la médecine moderne. Les tradipraticiens jouent encore des rôles importants car, très souvent, ils ont démontré l’efficacité de certaines plantes dansle traitement de nombreuses maladies. (ANDRIAMAHOLY, V. L., 1994). L’accouchement s’effec tue sans assistance médicale dans les villages mais avec l’aide et la présence des matrones ou tradipraticiens. On rencontre souvent le refus des patients d’une évacuation sanitaire vers l’hôpital à cause du coût des soins et des médicaments. Le nombre de consultations est de 100à 200 par mois en fonction de la saison. En 2006, d’après les informations obtenues auprès du CSB : 60 % des patients sont consultés pour le paludisme, 30% pour la diarrhée te 10% pour les autres maladies. La diarrhée s’observe souvent pendant la saison chaude et pluvieuse, et les autres maladies presque toute l’année. Le tableau III donne quelques informations sur le complexe sanitaire de la commune d’Ambalabe.
– Education
La plupart de la population locale est analphabète à cause de l’enclavement de cette commune et de l’insuffisance d’équipement et du personnel enseignant. De ce fait, les compétences et les capacités intellectuelles de lapopulation locale sont relativement basses. Les enfants qui ne vont pas à l’école ou qui la quittent assez tôt, sont issus, en grande partie, des couches les plus pauvres. En effet, le taux de population ayant atteint le niveau secondaire est très faible. Les coûts de la scolarisation et l’éloignement des établissements secondaires démotivent les parents. Les infrastructures comme les salles de classe et les logements administratifs sont insuffisantes ou inexistantes. Les enseignants et les matériels didactiques sont aussi insuffisants. Tout ceci constitue des handicaps pour le développement de l’éducation dans cette commune. Le tableau IV montre les effectifs d’élèves et d’enseignants dans la commune d’Ambalabe.
METHODOLOGIE
L’objectif de cette étude est d’évaluer les statutsécologiques des espèces médicinales les plus utilisées afin de proposer des mesures de conservation. Plusieurs méthodes ont été adoptées pour identifier les espèces médicinales utilisées arp les hommes dans la commune d’Ambalabe et afin d’obtenir des informations sur leurs description, distribution, densité, abondance, régénération ainsi que sur les caractéristiques de leurs habitats.
ETUDES PRELIMINAIRES
Etude cartographique
La descente sur le terrain a été précédée d’une deétucartographique. Cette étude consiste à consulter les différentes cartes qui permettent d’avoir un aperçu du site d’intervention : cartes de la végétation, de la topographie et de l’hydrologieafin de déceler à priori les sites d’études et d’avoir un aperçu global des formations végétales et des paysages.
Recherches bibliographiques et webographiques
Il s’agit de consulter les documents relatifs à la forêt de VOHIBE, d’une part, et au sujet, d’autre part. Des ouvrages publiés sur les zones d’étude et les mémoires ont offert une aide précieuse afin d’obtenir un maximum d’informations dans la réalisation des travaux de terrain et dans la rédaction du présent manuscrit. On peut citer des exemples : les travaux effectués par les équipes de MISSOURI BOTANICAL GARDEN, 2007. Plan d’Aménagement et de Gestion d’Ambalabe ; ANDRIAMAHOLY, V. L., 1994. Etude de la flore médicinale de la forêt relicte d’Antananarivokely. Etude écologique, Répartition,Description des Espèces et Utilisations en Pharmacopée traditionnelle.
Des recherches sur Internet ont été aussi effectuées afin de télécharger les données nécessaires.
Descente sur terrain
La première descente qui s’est tenue de Novembre à Décembre 2008, a été consacrée aux prises de contact avec les personnalités du village(Chefs coutumiers, Responsables administratifs de la commune et Instituteurs), et à la familiarisa tion avec les habitants afin de faciliter la collecte des données nécessaires pour la présente étude. Lenquêtes ont été commencées sur l’utilisation des espèces médicinales par la population locale.
ENQUETES ETHNOBOTANIQUES
L’ethnobotanique est l’étude des relations entre les plantes et les peuples, ou l’utilisation des plantes par l’homme (HARGSBERGER, 1895).
C’est une discipline de l’ethnologie qui permet de comprendre les interactions des communautés locales avec leur milieu physique.
L’étude ethnobotanique a été effectuée en deux phases. La phase préliminaire consiste à obtenir une image nette de la connaissance des plantes médicinales par les hommes et l’utilisation des produits de la forêt dans la vie de la population locale. En général, pendant la phase I de l’étude ethnobotanique, les informations concernant les rôl es et le statut des espèces médicinales ont été collectées. La deuxième phase porte sur les informations relatives à l’utilisation de ces plantes (les espèces utilisées, les parties utilisées, les modesde collecte des spécimens représentatifs, les lieux de récolte et les maladies traitées).
Deux modes d’enquête ont été appliqués :
-une enquête collective qui s’est déroulée avecesl hommes (dans le Lapa, dans les écoles ou en plein air).
-une enquête individuelle auprès des hommes disponibles et susceptibles de donner des informations.
La deuxième descente sur le terrain d’une durée de25 jours en Janvier – Février 2009, a été consacrée aux enquêtes proprement dites afin deréunir les données sur l’automédication, les besoins en plantes médicinales de la population locale, les maladies traitées, les parties prélevées et les lieux de récolte. Les données ont été ensuittraitées sous forme de tableau pour faciliter leur exploitation. Ces informations ont été, par la suite, analysées pour faire ressortir les espèces à étudier. Le modèle de fiche d’enquête est représenten annexe II.
Choix des sites d’enquêtes
Avant de choisir les localités à enquêter, le personnel du projet de la conservation de la forêt de Vohibe a été consulté. Il a fourni des ormationsinf sur les villages, sur l’accessibilité des villages et sur le mode d’approche des enquêtes. Ila aussi proposé des guides.
Dix huit villages dans cinq fokontany qui composent la Commune Rurale d’Ambalabe ont été choisis pour les enquêtes (tableau V). Les critèresuivants sont retenus pour choisir les villages :
– la proximité par rapport à la forêt
– la présence d’un sentier qui conduit directement à la forêt
– la connaissance et l’influence de la population sur les ressources de la forêt.
Choix des personnes à enquêter
D’après le thème de l’étude, les enquêtes se sontfaites auprès des tradipraticiens et des hommes concernés ainsi qu’auprès du personnel du CSB II.
L’aide des guides a facilité l’identification des personnes ressources comme les tradipraticiens et les personnes susceptibles d’avoir les informations. De ce fait, les enquêtes ne sont pas systématiques mais orientées par les guides locaux.
Réalisation de l’enquête
Les enquêtes se sont déroulées sous forme d’entrietns semi-directs avec des questions semi-ouvertes, ouvertes ou parfois fermées (MARTIN,1995). Cette approche permettait de garder une certaine flexibilité dans la conversation et d’ouvrir les échanges avec l’informateur.
Ces entretiens sont réalisés suivant deux approches:
– soit par le biais de la maladie : description des symptômes puis désignation des plantes utilisées.
– soit par le biais de la plante : l’informateur désigne la plante et son indication thérapeutique.
Pour l’identification des espèces sur terrain, deux méthodes ont été adoptées :
– récolte des échantillons avec les guides et les faire déterminer localement par les habitants
– visite des lieux avec les personnes de la localité et les guides ; l’identification des plantes par leurs noms vernaculaires est faite sur le terrain.
La collecte des plantes mentionnées pendant l’enquête a été faite dans différents endroits de la zone d’étude. Sur terrain, si la plante n’est pas déterminée, elle est enregistrée sous son nom vernaculaire. Puis, l’identification se déroule au Missouri Botanical Garden (M.B.G.), aux herbaria du P.B.Z.T (Tsimbazaza) et de DRFP (Ambatobe).
Choix et caractérisation des espèces cibles
Comme le cadre global de cette étude est de contribuer à la recherche des espèces médicinales utilisées par les hommes, la sélectiondes espèces étudiées a été faite à partir des liste des espèces obtenues lors des enquêtes ethnobotaniques. La liste globale des espèces obtenues est donnée dans l’annexe III.
Les critères suivants ont été retenus pour le choixdes espèces cibles :
Endémicité: les espèces endémiques de Madagascar ont été sélectionnées car leur présence montre à la fois la fragilité de la flore originelle et une mise en valeur du pays au niveau international (C.I., 1997) ;
Espèces forestières: les espèces sélectionnées doivent être forestièrcar ce qui intéresse dans cette étude est d’élaborer une stratégie de conservation de ces espèces dans la forêt de Vohibe ;
Fréquence de l’utilisation thérapeutique: Plus une espèce est utilisée par la population ocale, plus le niveau de menace risque d’être élevé ;
Existence des menaces sur l’espèce : les pressions et les menaces exercées sur les espèces sont principalement anthropiques ; les cataclysmes naturels tels que le cyclone sont aussi importants ; Indice d’utilisation élevé
Afin d’évaluer les espèces les plus utilisées et les mieux appréciées par la population, l’indice d’utilisation de chaque espèce a été calculé selon la formule de LANCE etal (1994) : I (%) = n/N x 100
Avec I (%) : indice d’utilisation en pourcentage
n : nombre de personnes citant l’espèce
N : nombre total de personnes enquêtées
Si la valeur de I est comprise entre 60 et 100%, l’espèce est très connue et très utilisée ;
Si I est entre 30 et 60%, l’espèce est moyennement connue et moyennement utilisée ;
Si I est inférieure à 30%, l’espèce est peu connue et peu utilisée.
Après l’identification des espèces cibles, l’étude des habitats de ces espèces a été programmée. Les sites de relevé écologique ont étéchoisis après une prospection de terrain en tenant compte de la présence des espèces cibles, del’homogénéité physionomique et floristique de la végétation. Neuf sites ont été sélectionnés.
RELEVES ECOLOGIQUES
La troisième descente (Février – Mars) est focalisée sur l’étude écologique des espèces cibles afin de décrire leurs habitats et leur statu écologique.
Un relevé est un ensemble d’observations faites sur une unité de surface (GODRON ,1983).
L’étude écologique à partir d’un relevé a pour objectif de connaître les caractères écologiques et floristiques de l’habitat naturel des espèces cibles afin d’évaluer leurs statuts écologiques.
Par définition, l’habitat est défini comme étant unterritoire de superficie quelconque dans lequel s’intègre un organisme ou un groupe d’organismes et qui est décrit par ses caractères physiques, chimiques, géographiques et biotiques (BROWER et al, 1990).
Méthode d’étude de la flore : Placeaude BRAUN BLANQUET
Cette méthode permet de faire une étude quantitative et détaillée d’une végétation floristiquement homogène. Une surface de végétationhomogène est définie comme étant une surface où il n’y a pas d’écart de composition floristique appréciable entre ses différentes parties (GOUNOT, 1969). La méthode consiste à installer un plot de 20 x 50 m qui est ensuite subdivisé en placettes de 10 m x 10 m (figure n°1) où ont été effectués les relevés floristiques. La placette est l’unité élémentaire de relevé.
Cette méthode a pour finalité de faire ressortir :
– la composition floristique ou la liste des espèces recensées dans la formation étudiée
– la richesse floristique ou le nombre total des espèces présentes dans la formation végétale
– le spectre biologique qui est une représentation graphique de la répartition des espèces recensées suivant leur type biologique.

Le rapport de stage ou le pfe est un document d’analyse, de synthèse et d’évaluation de votre apprentissage, c’est pour cela chatpfe.com propose le téléchargement des modèles complet de projet de fin d’étude, rapport de stage, mémoire, pfe, thèse, pour connaître la méthodologie à avoir et savoir comment construire les parties d’un projet de fin d’étude.

Table des matières

INTRODUCTION
Partie I : MILIEU D’ETUDE
I-1-SITUATION GEOGRAPHIQUE
I-2-MILIEU ABIOTIQUE
I-2-1-Climat
I-2-2- Relief et hydrographie
I-2-3-Géologie
I-3-MILIEU BIOTIQUE
I-3-1-Flore
I-3-2-Végétation
I-3-3-Faune
I-4-MILIEU SOCIO-ECONOMIQUE
I-4-1-Historique et organisation sociale
I-4-2-Répartition de la population…
I-4-3-Situation sociale
I-4-4-Population et ses activités
Partie II : METHODOLOGIE
II-1-ETUDES PRELIMINAIRES
II-1-1-Etude cartographique
II-1-2-Recherches bibliographiques et webographiques
II-1-3-Descente sur terrain
II-2-ENQUETES ETHNOBOTANIQUES
II-2-1-Choix des sites d’enquêtes…
II-2-2-Choix des personnes à enquêter
II-2-3-Réalisation de l’enquête
II-2-4-Choix et caractérisation des espèces cibles
II-3-RELEVES ECOLOGIQUES
II-3-1-Méthode d’étude de la flore : Placeau de BRAUN BLANQUET
II-3-2-Etude de la structure de la végétation
II-3-2-1-Structure verticale
II-3-2-2-Structure horizontale
II-3-3-Etude de la flore associée…
II-3-4-Régénération naturelle
II-3-5-Etude du sol
II-4-ETUDE DE LA DISTRIBUTION DES ESPECES CIBLES
II-5-ETUDE DES STATUTS ECOLOGIQUES SELON LES CRITERES DE L’UICN (2001)
Partie III : RESULTATS ET INTERPRETATIONS
III-1-ENQUETES ETHNOBOTANIQUES
III-1-1-Catégorisation des informateurs
III-1-2-Indication thérapeutique et parties utilisées des plantes médicinales recensées.
III-1-3- Mode de préparation
III-1-4-Choix des espèces cibles et leurs indices d’utilisation
III-1-5-Valeurs socio-économiques des plantes médicinales
III-2-CARACTERISTIQUES DES ESPECES CIBLES
III-2-1-Description des espèces cibles
III-2-2-Densité et abondance numérique des espèces cibles
III-2-3-Taux de régénération naturelle des espèces cibles
III-2-4-Flore associée aux espèces cibles
III-2-5-Densité des troncs associés et répartition par classe de diamètre
III-2-6-Distribution des espèces cibles
III-2-7-Pressions et menaces sur les espèces cibles
III-3-CARACTERISTIQUES DES HABITATS DES ESPECES CIBLES
III-3-1-Forêt primaire
III-3-1-1-Forêt dense humide sempervirente de basse altitude
1-Caractéristiques pédologiques
2-Caractéristiques floristiques et biologiques
– Richesse floristique
– Forme biologique…
3-Caractéristiques physionomiques
III-3-1-2-Forêt dense humide sempervirente de moyenne altitude
1-Caractéristiques pédologiques
2-Caractéristiques floristiques et biologiques
– Richesse floristique
– Forme biologique
3-Caractéristiques physionomiques
III-3-2-Forêt secondaire
1-Caractéristiques pédologiques
2-Caractéristiques floristiques et biologiques
– Richesse floristique
– Forme biologique
3-Caractéristiques physionomiques…
III-4- STATUTS ECOLOGIQUES DES ESPECES CIBLES
Partie IV : DISCUSSIONS ET RECOMMANDATIONS
III-5- DISCUSSIONS
III-5-1-Enquêtes ethnobotaniques
III-5-2-Choix des sites d’études
III-5-3-Identification des espèces
III-5-4-Habitats des espèces cibles
III-5-5-Régénération naturelle
III-5-6-Distribution des espèces cibles
III-5-7-Statuts écologiques des espèces cibles
III-6-RECOMMANDATIONS
CONCLUSION GENERALE
REFERENCES BIBLIOGRAPHIQUES

Télécharger le rapport complet

Télécharger aussi :

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *