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Les signes dysautonomiques
Les manifestations dysautonomiques qui reflรจtent un excรจs ou une activitรฉ inadรฉquate des systรจmes sympathiques et parasympathiques sont frรฉquentes et sont dโautant plus prรฉsentes que lโatteinte neurologique est sรฉvรจre.
Elles surviennent plus frรฉquemment chez les patients tรฉtraplรฉgiques avec dรฉfaillance respiratoire ou atteinte bulbaire et constituent une cause importante de dรฉcรจs dans les formes sรฉvรจres [83, 105].
Les manifestations les plus frรฉquentes sont les variations du rythme cardiaque. Lโhypertension artรฉrielle et lโinstabilitรฉ tensionnelle avec รฉpisodes hypotensifs constituent des facteurs de risque indรฉpendants dโarythmie [77, 105].
Les rรฉtentions dโurines surviennent dans environ 15% des cas faisant suite ร lโapparition du dรฉficit moteur et est le plus souvent transitoire et rรฉgresse en quelques jours.
Ailleurs constipation, ileus et anomalie de la sudation son frรฉquentes.
Les signes associรฉs
Il peut coexister au cours des PRNA une atteinte associรฉe de la musculature intrinsรจque de lโลil responsable de pupilles arรฉactives ร la lumiรจre et ร lโaccommodation [5].
Un ลdรจme papillaire a รฉtรฉ รฉgalement dรฉcrit dans plusieurs observations.
Elle est alors imputรฉe ร lโhyperprotรฉinorachie et ร une diminution de la rรฉsorption du LCR. Son pronostic est favorable avec sa disparition habituelle ร la phase de rรฉcupรฉration motrice.
Les signes encรฉphaliques
Lโassociation de signes centraux est extrรชmement rare au cours des PRNA
Les signes mรฉningรฉs
Un syndrome mรฉningรฉ est parfois rapportรฉ au tout dรฉbut de lโรฉvolution.
Lโataxie
Il sโagit dโune pseudo-ataxie par atteinte dรฉficitaire motrice purement proximale ou bien dโune ataxie de type sensitif par trouble de la sensibilitรฉ profonde [86].
Etude paraclinique
Le bilan รฉlectrophysiologique
Lโรฉtude รฉlectrophysiologique permet de confirmer lโatteinte du SNP, contribue au diagnostic de SGB et sa classification dans les diffรฉrents sous types (AIDP, AMAN, AMSAN) [42, 43]. Elle a aussi une valeur pronostic [28].
Lโรฉlectromyogramme de stimulodรฉtection :
Dans cet EMG, les anomalies traduisant un processus dรฉmyรฉlinisant sont :
๏ญ Les blocs de conduction.
๏ญ la dispersion temporelle de la rรฉponse motrice.
๏ญ Lโaugmentation de la latence distale motrice (traduisant une atteinte des fibres nerveuses).
๏ญ La rรฉduction de la vitesse de conduction motrice (traduisant une dรฉmyรฉlinisation รฉtagรฉe).
๏ญ Lโallongement des latences de la rรฉponse F et H (traduisant lโatteinte radiculaire).
Les anomalies les plus prรฉcoces sont le retard de rรฉponse des ondes F et concernent รฉgalement lโamplitude des motrices distales.
Les vitesses de conduction motrices et les latences distales sont altรฉrรฉes secondairement. Les potentiels sensitifs peuvent รชtres normaux en raison de lโatteinte motrice prรฉdominante [31].
Le phรฉnomรจne de bloc de conduction est la caractรฉristique รฉlectrophysiologique majeure de la forme dรฉmyรฉlinisante, il est ร lโorigine du dรฉficit moteur et sensitif dans le SGB [9].
Lโรฉlectromyogramme de dรฉtection :
LโEMG de dรฉtection se caractรฉrise par des tracรฉs pauvres avec des unitรฉs motrices dรฉchargeant ร des frรฉquences รฉlevรฉes.
Lโexistence dโactivitรฉs de dรฉnervation (fibrillation, potentiel lent) traduit la survenue dโune atteinte axonale primitive ou secondaire ร une dรฉmyรฉlinisation prolongรฉe.
Les anomalies รฉlectro-physiologiques sont dรฉcalรฉes par rapport ร la clinique cโest pourquoi il peut รชtre intรฉressant de rรฉpรฉter lโexamen lorsque le premier EMG nโest pas contributif [4].
En pratique, le diagnostic du SGB est initialement รฉtabli sur les donnรฉes cliniques sans attendre lโรฉtude รฉlectromyographique. Des critรจres diagnostics sont รฉtablis [Tableau I].
Examens biologiques
Etude du liquide cรฉphalo-rachidien
Lโanalyse du LCR constitue un critรจre diagnostic selon la classification proposรฉe par Asbury [Tableau 1].
Deux รฉlรฉments doivent attirer lโattention :
La dissociation Albumino-cytologique et la normalitรฉ de la glycorachie.
๏ La dissociation albumino-cytologique
La dissociation Albumino-cytologique bien que non pathognomonique des PRNA est un signe biologique fondamental ; toutefois elle peut manquer lors de la premiรจre ponction lombaire justifiant ainsi son absence chez 60% des patients.
Par ailleurs il est recommandรฉ de renouveler le geste dรจs le 10 jours [102]. Dans les 10 premiers jours de la maladie, la protรฉinorachie est souvent normale mais ร la fin de la deuxiรจme semaine, lโhyperprotรฉinorachie est prรฉsente dans plus de 90% des cas. Elle est habituellement comprise entre 0,5 et 1,5 g/L et le liquide est acellulaire avec moins de 10 รฉlรฉments nuclรฉรฉs par mm3 [22, 27]. Dans 10% des cas il existe une rรฉaction lymphocytaire modรฉrรฉes entre 10 et 50 รฉlรฉments /mm3 qui diminue rapidement en 2 ร 3 jours [32].
๏ La glycorachie normale
Les chiffres de la glycorachie restent normaux dans le SGB, ce qui est un atout supplรฉmentaire pour รฉliminer dโautres pathologies.
Autres examens biologiques
Les examens biologiques de routine sont habituellement normaux hormis une รฉlรฉvation des transaminases rapportรฉes dans 10 ร 40% des cas [72]. Et une hyponatrรฉmie dans 25% des cas par sรฉcrรฉtion dโADH [78].
Le dosage des anticorps anti-ganglioside a un intรฉrรชt limitรฉ en pratique courante mais peut aider au diagnostic des sous-groupes du SGB.
Parmi les anticorps anti-ganglioside seul le dosage des anti-GQ1b sensibles et spรฉcifiques peut avoir un intรฉrรชt diagnostic dans certaines prรฉsentations cliniques [26].
Les formes cliniques
A cรดtรฉ du tableau clinique typique du SGB de nombreuses prรฉsentations cliniques ont รฉtรฉ dรฉcrites posant souvent des difficultรฉs diagnostiques.
Les formes symptomatiques
๏ Syndrome de Miller Fisher
Ce syndrome dรฉcrit en 1956 par C. Miller Fisher associe ophtalmologie, arรฉflexie et ataxie. Il reprรฉsente environ 5% des cas de SGB.
Sur le plan paraclinique, des anticorps anti GQ1b sont retrouvรฉs dans 95% des cas [109], la DAC est quasi constante alors que lโEMG est habituellement peu perturbรฉ [67].
Lโรฉvolution est habituellement considรฉrรฉe comme bรฉnigne mais il est difficile ร un stade prรฉcoce de diffรฉrencier un syndrome de Miller Fisher dโun SGB descendant dรฉbutant.
Enfin une atteinte centrale associรฉe ร lโatteinte pรฉriphรฉrique a souvent รฉtรฉ รฉvoquรฉe au cours du syndrome de Miller Fisher ; un tableau clinique reconnu sous le nom de rhombencรฉphalite post infectieuse de Bickerstaff [10].
๏ Formes descendantes
Dans environ 14% des cas les symptรดmes dรฉbutent au niveau des nerfs crรขniens ou des membres supรฉrieurs avant de se gรฉnรฉraliser avec une progression descendante et une atteinte axiale et proximale prรฉdominante.
Dans cette forme, lโatteinte respiratoire peut รชtre prรฉcoce. La forme pharyngo-cervico-brachiale dรฉbute par des troubles de la dรฉglutition associรฉs ร un dรฉficit moteur cervical et proximal des membres supรฉrieurs respectant les membres infรฉrieurs. Un ptosis ou une ophtalmoplรฉgie peuvent รชtre prรฉsents simulant un Fisher [79, 95].
๏ Formes paraparรฉtiques
Dans cette forme, la description typique est un dรฉficit moteur intรฉressant essentiellement ou exclusivement les membres infรฉrieurs [79].
๏ Formes motrices pures
Des cas de SGB avec atteinte motrice pure ont รฉtรฉ dรฉcrits dans une population rurale en Chine durant lโรฉtรฉ chez lโenfant [38].
Cette forme est รฉtroitement corrรฉlรฉe avec une infection ร Campylobacter jejuni prรฉcรฉdant les symptรดmes et ร la prรฉsence dโanticorps anti GM1, GM1b, GaINac-GD1a dans le sรฉrum [70, 71].
Les รฉtudes รฉlectrophysiologiques et histologiques ont montrรฉes quโil sโagissait dโune atteinte axonale et non dรฉmyรฉlinisante amenant au concept dโAMAN.
๏ Formes sensitives
Des formes ร prรฉdominance sensitive ont รฉtรฉ dรฉcrites mais lโexistence de formes sensitives pures est discutรฉe [41, 42].
๏ Formes dysautonomiques
Des formes dรฉbutant par une atteinte dysautonomique ont รฉtรฉ dรฉcrites.
Par ailleurs des neuropathies aigues dysautonomiques pures sont ร rapprocher du SGB [41].
Formes selon le terrain
๏ SGB chez lโenfant
Divers รฉtudes cliniques ont prouvรฉes quโil nโexiste pas de diffรฉrences fondamentales entre le SGB de lโadulte et celui des enfants ร lโexception dโun temps de rรฉcupรฉration plus court et un taux de sรฉquelles moins important chez les enfants par rapport aux adultes [37, 94].
๏ SGB et grossesse
Les PRNA reprรฉsentent 1.5% de la pathologie neurologique chez la femme enceinte et dans un grand nombre de cas, les symptรดmes apparaissent au dernier trimestre [13].
Sur les cas relevรฉs dans la littรฉrature il est impossible de conclure si les modifications immunologiques engendrรฉes par la grossesse favorisent ou protรจgent dโune PRNA.
Lโaccouchement par voie basse est dโindication et est sans difficultรฉ chez les parturientes paraplรฉgiques et aucune malformation fลtale nโa รฉtรฉ dรฉcrite ร la naissance et aucun nouveau-nรฉ nโa prรฉsentรฉ un syndrome neurologique รฉvocateur de PRNA [15].
๏ SGB nรฉonatal
Un seul cas est retrouvรฉ dans la littรฉrature [64]. Celui dโun nouveau-nรฉ de sexe masculin dont la maman a prรฉsentรฉe ร la 29e semaine dโamรฉnorrhรฉe un SGB confirmรฉ par une concordance clinico-biologique et รฉlectro-physiologique avec une sรฉrologie du CMV positive et une dรฉtresse respiratoire constante imposant une hospitalisation en unitรฉ de soins intensifs.
Formes associรฉes
Le SGB peut รชtre associรฉ ร plusieurs pathologies, essentiellement les maladies auto-immunes, les maladies mรฉtaboliques, endocriniennes ou autres.
Ces associations sont dรฉcrites sans pour autant quโune relation de cause ร effet soit รฉtablie.
๏ PRN et pathologies inflammatoires
Cette association se rencontre volontiers chez lโadulte.
La biopsie du nerf pรฉriphรฉrique peut objectiver des lรฉsions spรฉcifiques.
๏ช Lupus รฉrythรฉmateux aigue dissรฉminรฉ
Environ 10% des cas de LED se compliqueraient de neuropathies pรฉriphรฉriques Le dรฉficit immunitaire engendrรฉ par la maladie lupique peut รชtre responsable dโune rรฉaction immunologique contre la myรฉline [2].
๏ช Autres
Il sโagit de la pรฉriarthrite noueuse, la sarcoรฏdose, la sclรฉrodermie et la polyarthrite rhumatoรฏde [9].
๏ Les PRN associรฉes ร une hรฉmopathie
๏ช Les lymphomes
Selon les รฉtudes lโincidence de lโatteinte clinique du SNP au cours des lymphomes varie de 0.1 ร 8%
๏ช Les leucรฉmies
Souvent lโatteinte du SNP est liรฉe ร une infiltration plus rarement ร un infarctus ou des hรฉmorragies intraveineuses.
La PRNA est rare au cours dโune leucรฉmie myรฉloรฏde chronique.
Diagnostique diffรฉrentiel du SGB
Dans certaines situations des diagnostics diffรฉrentiels devront รชtre รฉvoquรฉs :
Les myรฉlopathies aigues
La prรฉsence dโun niveau sensitif mรชme subjectif, dโune anesthรฉsie en selle, de troubles sphinctรฉriens prรฉcoces (en particulier les incontinences urinaires ou fรฉcales) ou de signes pyramidaux (Hyperrรฉflexie, signe de Babinski ou de Hoffman) doit faire suspecter une compression mรฉdullaire ou un syndrome de la queue de cheval ou du cรดne terminal et faire pratiquer en urgence une IRM de lโensemble de la moelle [40].
Les myopathies aigues
Elles traduisent lโatteinte du muscle striรฉ et excluent les atteintes de la jonction neuromusculaire et les atteintes des nerfs pรฉriphรฉriques et de la corne antรฉrieure. La prรฉsence dโun syndrome myogรจne : Dรฉficit moteur bilatรฉral et symรฉtrique ร prรฉdominance proximal avec signe du tabouret (impossibilitรฉ de passer de la position assise ร la position debout sans utiliser las mains), signe de Gowers (difficultรฉ ร se relever de la position accroupie, dรฉmarche dandinant, et difficultรฉ ร lever les bras et ร porter des charges parfois ptosis et ophtalmoplรฉgie). Ailleurs, les ROT sont normaux, pas de troubles sensitifs ni de signes centraux. Sur le plan paraclinique, lโEMG, le dosage des enzymes musculaires (CPK, LDH, Transaminases) et parfois la biopsie musculaire permettent de trancher
[40].
La myasthรฉnie
Cโest une maladie auto-immune touchant la jonction neuromusculaire.
Le diagnostic sera รฉvoquรฉ devant une fatigabilitรฉ ร lโeffort, une ophtalmoplรฉgie, une atteinte bulbaire prรฉdominante ou une atteinte respiratoire sรฉvรจre contrastant avec un dรฉficit moteur limitรฉ aux membres.
Les ROT sont conservรฉs et le dรฉficit moteur peut รชtre fluctuant.
Le test aux cholinergiques dโaction rapide peut permettre le diagnostic en urgence. A dรฉfaut, lโEMG permet dโรชtre formel [68].
Les polyneuropathies
Elles seront รฉvoquรฉes devant lโatteinte sensitivomotrice distal, symรฉtrique et amyotrophiante des quatre membres avec abolition des ROT et ร lโEMG un processus axonal [45].
Diagnostic รฉtiologique
Lโenquรชte รฉtiologique
Lโinterrogatoire est dโune importance capitale car permettant dโorienter aussi bien le diagnostic positif que le bilan รฉtiologique. Elle doit prรฉciser :
๏ช Le mode dโinstallation du tableau, le caractรจre ascendant ou descendant des paralysies, les signes fonctionnels dโaccompagnement (Douleur, crise convulsives troubles respiratoires).
๏ช Les antรฉcรฉdents du patient :
Notion dโรฉpisodes rรฉcents dโun syndrome infectieux, terrain (virose, LED, maladie thyroรฏdienne, cancer).
Notion de vaccinations antรฉrieures (Sont incrimines les vaccins de la Diphtรฉrie, du Tรฉtanos, de la Polio, de la Variole, de la Grippe).
Notion dโusage de mรฉdicaments comme les antidรฉpresseurs, la chimiothรฉrapie.
Bilan รฉtiologique
Dans un souci dโapporter des liens de causalitรฉ certains examens complรฉmentaires doivent รชtre rรฉalisรฉs.
๏ Lโhรฉmogramme
Il retrouve une hyperleucocytose souvent ร prรฉdominance neutrophile.
Les marqueurs inflammatoires indiquent une vitesse de sรฉdimentation accรฉlรฉrรฉe et un taux de fibrinogรจne รฉlevรฉ dans la plus part des cas traduisant une infection latente ou patente.
๏ Lโionogramme sanguin
Elle peut rรฉvรฉler un syndrome de Schwartz Bartter dรฉfini comme une sรฉcrรฉtion inappropriรฉe dโADH responsable dโune hyponatrรฉmie infรฉrieure ร 130 mmol/L ร natriurรจse conservรฉe.
On peut observer รฉgalement une lรฉgรจre hyperglycรฉmie ce qui explique certains cas de diabรจte dรฉstabilisรฉs au cours du SGB รฉvolutif.
๏ Le bilan hรฉpatique
Les enzymes hรฉpatique peuvent รชtre perturbรฉs transitoirement ainsi que les enzymes musculaires surtout sโil existe cliniquement des myalgies importantes.
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Table des matiรจres
INTRODUCTION
PREMIERE PARTIE : REVUE DE LA LITTERATURE
I. ANATOMIE SYSTEME NERVEUX
I.1. Gรฉnรฉralitรฉs
I.2. Le systรจme nerveux pรฉriphรฉrique
II. ETUDE ANATOMO-PATHOLOGIQUE
II.1. Les lรฉsions du systรจme nerveux pรฉriphรฉrique
II.2. La topographie des lรฉsions
II.3. Les lรฉsions associรฉes
II.4. Effet de la dรฉmyรฉlinisation aigue
III. PHYSIOPATHOLOGIE
IV. EPIDEMIOLOGIE
IV.1. Incidence
IV.2. Rรฉpartition selon lโรขge
IV.3. Rรฉpartition selon le sexe
IV.4. Rรฉpartition saisonniรจre
IV.5. Rรฉpartitions gรฉographique
IV.6. Rรฉpartition par races
V. DIAGNOSTIC DU SGB
V.1. Diagnostic positif
V.2. Diagnostic diffรฉrentiel du SGB
V.3. Diagnostic รฉtiologique
VI. MESURES THERAPEUTIQUES
VI.1. Mesures spรฉcifiques
VI.2. Mesures non spรฉcifiques
DEUXIEME PARTIE : TRAVAIL PERSONNEL
I. ETUDE DES POLYRADICULONEVRITES AIGUES
I.1. Patients et mรฉthode
I.2. Malades et mรฉthodes
II. LES RESULTATS
II.1. Les donnรฉes รฉpidรฉmiologiques de lโรฉtude
II.2. Les donnรฉes liรฉes aux antรฉcรฉdents
II.3. Les donnรฉes cliniques
II.3.1. Les donnรฉes liรฉes ร lโhistoire de la maladie
II.4. Les donnรฉes paracliniques
II.5. Evolution
COMMENTAIRES
I. EPIDEMIOLOGIE
I.1. Frรฉquence hospitaliรจre
I.2. Rรฉpartition selon lโรขge
I.3. Rรฉpartition selon Le sexe
I.4. Rรฉpartition gรฉographique
I.5. Rรฉpartition annuelle du SGB
II. LES ANTECEDENTS
II.1. Antรฉcรฉdents personnels
II.2. Antรฉcรฉdents familiaux
III. ETUDE CLINIQUE
III.1. Dรฉlai de consultation
III.2. Les signes fonctionnels
III.3. Examen physique
IV. PARACLINIQUE
IV.1. Le bilan รฉlectrique
IV.2. Examens biologiques
IV.3. Les sรฉrologies
IV.4. Les bilans inflammatoires
V.1. Hospitalisation
V.2. Traitement spรฉcifique
V.3. Traitement symptomatiques et mesure prรฉventive
VI. EVOLUTION
VI.1. Pronostics
CONCLUSION ET RECOMMENDATIONS
RECOMMENDATIONS
REFERENCES BIBLIOGRAPHIQUES
RECOMMENDATIONS
ANNEXES
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