Le marchรฉ du travail en Afrique subsaharienne
ย ย ย ย ย ย ย ย ย ย ย Le marchรฉ du travail qui se localise en Afrique subsaharienne serait dominรฉs par des jeunes sans emploi ; les jeunes sont exposรฉs au sous-emploi en Afrique en raison de la difficultรฉ de trouver un emploi stable, alors que les jeunes sortants Universitaires ne sont pas directement embauchรฉs pour travailler mais deviennent chรดmeurs avec son diplรดme. Dans ce cas, les jeunes sont obligรฉs dโaccepter le travail avec un faible revenu, du fait quโils ne trouvent pas du travail ร temps plein. Par exemple : lโheure normale de travail ร Madagascar est de huit (08) heures de temps par jour sโil nโy a pas dโheure supplรฉmentaire. Or si le temps du travail dรฉpasse en heure, lโheure supplรฉmentaire peut complรฉter le salaire. Il y aurait un manque ร gagner au niveau du salaire, cela concerne les jeunes en gรฉnรฉral ร cause de lโinsuffisance dโheure de travail. Pour un Etat faible et surtout en Afrique subsaharienne, lโinstabilitรฉ politique ne favorise pas une meilleure croissance รฉconomique ; lโinstabilitรฉ politique constitue la prรฉsence dโun faible rendement de lโinvestissement en capital ร cause de la chute de la consommation et le facteur dโinsรฉcuritรฉ qui se trouve en milieu urbain et surtout en milieu rural. Ensuite, le taux dโintรฉrรชt รฉlevรฉ par rapport aux autres pays pour le marchรฉ bancaire est nรฉgatif pour lโรฉconomie en Afrique subsaharienne. Par exemple, lโAfrique subsaharienne connait les taux dโintรฉrรชt de 7% ร 19% entre lโannรฉe 2000 et 2010 qui est beaucoup รฉlevรฉ et cela nโincite pas lโinvestisseur รฉtranger ร investir davantage en Afrique et par consรฉquent, il y a une faible productivitรฉ et la plupart des pays en Afrique importent des produits venant des autres pays. Dโoรน, les pays Africains exportent des matiรจres premiรจres vers les pays partenaires ร moindre coรปt et ensuite les pays Africains importent des produits finis venant des autres pays avec des prix รฉlevรฉs. Il faut noter que le sous-emploi est frรฉquent chez les jeunes ; cela pourrait รชtre le rรฉsultat du fait dโaccepter nโimporte quel travail qui se prรฉsente car lโemploi est difficilement accessible surtout dans le secteur formel ; il y a dโinnombrables candidats qui postulent face aux offres dโemplois limitรฉs sur le marchรฉ du travail. Nous constatons un manque dโexpรฉriences chez les jeunes en gรฉnรฉral car la plupart des offres dโemplois exigent des annรฉes dโexpรฉriences pour les candidats. Cโest un obstacle majeur car la moitiรฉ de la population en Afrique est composรฉe de jeunes. Donc, il y a lโentrรฉe prรฉcoce des jeunes sur le marchรฉ du travail ; par exemple, lโenfant travaille dรฉjร ร lโรขge de 6ans et plus ร Madagascar et cela aura une image nรฉgative sur le marchรฉ du travail car il nโy a pas de productivitรฉ efficace et cette tendance incite les enfants ร quitter lโรฉcole. Cette tendance entraine des consรฉquences sur la santรฉ des enfants qui entrent dans le monde du travail avant lโรขge lรฉgal du travailleur. En Afrique, on a un nombre trรจs รฉlevรฉ de jeunes entre 15 ร 24ans de plus de 20% de la population Africaine, et plus de 40% de la population Africaine ont moins de 15ans. Dโaprรจs lโOIT, un taux de 36% de la population en รขge de travailler et les jeunes reprรฉsentent un taux de chรดmage trรจs important avec trois jeunes sur cinq qui sont en situation de chรดmage. La croissance รฉconomique est nรฉcessaire pour le renforcement du marchรฉ de travail et pour lutter contre la pauvretรฉ. La croissance en Afrique subsaharienne sโest รฉlevรฉe ร 5,0% en 2010 contre 2,8% en 2009. Le resserrement des liens commerciaux avec lโAsie, la remontรฉe des exportations et des prix des produits de base ainsi que la vigueur de la demande intรฉrieure sont autant de facteurs ayant expliquรฉ la reprise dans la rรฉgion7 . La croissance du PIB rรฉel est de 4,7% en 2013 contre 3,7% en 2012 en Afrique subsaharienne. En effet, la croissance รฉconomique moyenne par an ร Madagascar est de 4% depuis 2001, alors que son taux de croissance dรฉmographique annuel est รฉvaluรฉ ร 2,5% selon la projection qui couvre la pรฉriode de 2003 ร 20158 , cโest le plus grand taux de croissance dรฉmographique au niveau dโAfrique subsaharienne. Donc le ralentissement de la croissance รฉconomique suivi dโune forte augmentation de la croissance dรฉmographique, surtout chez les jeunes, aurait un effet nรฉgatif sur le dรฉveloppement รฉconomique national malgache ร cause du dรฉsรฉquilibre entre la demande dโemploi qui est largement supรฉrieure par rapport ร celui de lโoffre dโemploi ร Madagascar.
Lโanalyse globale Keynรฉsienne
ย ย ย ย ย ย ย ย ย ย Si lโentreprise diminue les salaires donnรฉs aux employรฉs, celle ci pourrait rรฉduire les prix de vente de ses produits et aussi accroitre sa part de marchรฉ et embaucher des salariรฉs supplรฉmentaires. En effet, cette diminution des revenus rรฉduit les dรฉbouchรฉs qui aggravent la situation. Keynes adopte une idรฉe diffรฉrente par rapport ร la loi de Say ยซ les produits sโรฉchangent contre les produits ยป, pour Keynes, lโรฉconomie de marchรฉ ร beaucoup dโincertitude sachant que lโoffre serait dรฉterminรฉe par la demande effective. La demande anticipรฉe sera dรฉpendante de la confiance des entreprises, donc fluctuante en fonction de facteurs divers agissant sur les perspectives de vente. Cโest ainsi que faute de dรฉbouchรฉs, elles produisent moins. A partir de la hausse de lโinvestissement public, lโEtat aurait la possibilitรฉ de faire attirer encore plus dโinvestissements privรฉs et les entrepreneurs trouvent les moyens dโaugmenter leurs dรฉpenses dโinvestissements pour produire plus. Le principe de multiplicateur constitue un moyen efficace pour augmenter le revenu, en mรชme temps pour assurer la hausse de lโinvestissement. Les mรฉnages ont la possibilitรฉ dโacheter les produits venant de lโentreprise. Pour avoir une meilleure croissance รฉconomique, il faut faire augmenter la production par lโintermรฉdiaire de la politique budgรฉtaire selon Keynes grรขce ร lโintervention de lโEtat pour aider les entreprises. Cela donne la possibilitรฉ dโembaucher encore plus de main dโลuvre afin de produire plus encore pour rรฉduire le taux de chรดmage. Par consรฉquent, les pays sous-dรฉveloppรฉs nโont pas la possibilitรฉ dโaugmenter la dรฉpense publique, facteur qui pourrait faire augmenter lโinvestissement ou la dรฉpense publique nโest pas utilisรฉe vers la production nationale mais vers lโimportation des biens รฉtrangers, situation qui nโamรฉliore pas la croissance รฉconomique. Dโune part, la redistribution du revenu est inรฉgale dans les pays pauvres ; lโindividu qui a un niveau de revenu รฉlevรฉ prรฉsente une propension marginale ร consommer de faรงon faible et lโindividu qui a un faible revenu nโaura pas les moyens de consommer davantage. Comme lโaugmentation de la dรฉpense engendre une hausse des investissements privรฉs considรฉrant que pour avoir lโefficacitรฉ de lโeffet multiplicateur, il faut que la propension marginale ร consommer soit รฉlevรฉe, cette propension est dรฉcroissante en fonction du revenu. Pour aboutir ร une importante production, il faudrait faire la politique de redistribution รฉquitable des revenus afin de mettre en norme lโeffet de multiplicateur. ยซ Ce sont la propension ร consommer et le montant de l’investissement nouveau qui dรฉterminent conjointement le volume de l’emploi ยป. Dโautre part, lโinstabilitรฉ politique continuelle dans les pays sous-dรฉveloppรฉs et la hausse du taux dโintรฉrรชt au niveau de la banque nโincitent pas les investisseurs รฉtrangers, ce qui tend ร rรฉduire lโinvestissement en capital ร cause de la faible consommation et de lโinsรฉcuritรฉ. De ce fait, il y a la faible production et un taux de chรดmage รฉlevรฉ. Keynes souligne un ensemble de dispositions nรฉcessaires qui supposent lโintervention de lโEtat pour dรฉvelopper un pays. LโEtat doit jouer un rรดle essentiel pour garantir lโaccรจs aux investissements en vue de la crรฉation dโemplois ร lโaide de la politique budgรฉtaire grรขce aux dรฉpenses publiques. LโEtat doit encourager les entreprises nationales ร investir pour produire davantage, afin que la politique budgรฉtaire soit bรฉnรฉfique aux deux cotรฉs c’est-ร -dire ร lโendroit des investissements directs รฉtrangers et ร lโendroit des investisseurs nationaux. Un pays devrait toujours augmenter sa production nationale face ร la concurrence internationale, lโEtat doit aider ses entreprises nationales ร lโaide de lโinvestissement public direct et aussi faciliter lโobtention de crรฉdits aux nouvelles entreprises pour donner les moyens nรฉcessaires dโaugmenter la production de chaque entreprise afin de promouvoir la hausse de la production nationale. Lโexistence de la production est obtenu, sโil y a lโexistence du taux dโintรฉrรชt, ce qui constitue la thรฉorie de la prรฉfรฉrence pour la liquiditรฉ ; lโinvestissement ne prend pas en compte lโexistence de lโรฉpargne mais se demande comment financer lโinvestissement sans รฉpargne. Cโest ainsi que Keynes rรฉpond ร la problรฉmatique par la thรฉorie ยซ des fonds prรชtables ยป qui se manifeste par la rencontre entre la demande de financement et lโoffre de financement considรฉrant le taux dโintรฉrรชt. LโEtat doit faire diminuer le taux dโintรฉrรชt de la banque centrale et aussi sur les banques commerciales par lโintermรฉdiaire de la politique monรฉtaire. Ensuite, lโEtat doit envisager aussi la politique de redistribution grรขce ร une politique fiscale avec la propension moyenne ร consommer pour prospรฉrer lโeffet multiplicateur, cela amรฉliore la production et le monde du travail. Donc, ces dispositions amรจnent un effet positif sur lโinvestissement ร cause de lโefficacitรฉ marginale du capital et cela apporte une nouvelle croissance รฉconomique pour lutter contre les crises politiques surtout en Afrique subsaharienne. Alvin Harvey Hansen est nรฉ le 23 Aoรปt 1887 ร Viborg, Dakota du Sud, Etats-Unis et mort le 06 Juin 1975 ร Alexandria, Virginie, Etats-Unis, il a utilisรฉ le raisonnement Keynรฉsien c’est-ร -dire la demande est un รฉlรฉment important pour la prospection de lโรฉconomie qui est diffรฉrent du raisonnement de la thรฉorie classique. Il y a le sous-emploi, si lโoffre est inferieure par rapport ร la demande. Alvin Hansen pense que lโamรฉlioration de la croissance รฉconomique dรฉpend de la consommation et de lโinvestissement. Lโaugmentation de la masse monรฉtaire nโa pas de consรฉquence sur la hausse du prix, pour Keynes, mais au contraire cela ne se solde pas au sous-emploi si lโaugmentation de la capacitรฉ de production est supรฉrieure ร lโaugmentation de la masse monรฉtaire. Dans ce cas, il nโen rรฉsulte pas un effet inflationniste (hausse gรฉnรฉrale des prix). Keynes aborde la demande globale c’est-ร -dire la consommation, lโinvestissement ou lโexportation. Le capitalisme engendre une demande globale insuffisante ; chaque Entreprise diminue le coรปt de la production, cela engendre la rรฉduction du revenu distribuรฉ aux agents รฉconomiques. Le rรดle de lโEtat est dโinjecter des revenus dans lโรฉconomie pour stimuler la demande, par consรฉquent de stimuler la production et la crรฉation dโemploi. Keynes insiste sur la nature involontaire du chรดmage.
Le sous-emploi chez les cadres et les intellectuels
ย ย ย ย ย ย ย ย ย ย ย Les cadres et les intellectuels sont souvent exposรฉs aux problรจmes de sous-emploi au niveau de marchรฉ du travail. Cette situation prรฉsente un phรฉnomรจne nรฉgatif en termes de productivitรฉ sur lโรฉconomie nationale car les intellectuels nโont pas la possibilitรฉ de dรฉvelopper leurs savoirs. Donc, ils sont obligรฉs de trouver un autre travail supplรฉmentaire pour subvenir ร leurs besoins familiaux et pour assurer lโavenir de leurs gรฉnรฉrations futures. Le sous-emploi porte essentiellement sur la situation dโemplois inadรฉquats qui ne respectent pas le salaire minimum ni la catรฉgorie socioprofessionnelle ni le niveau dโรฉducation, cโest le problรจme financier au niveau de la caisse de lโEtat qui oblige les cadres au sous-emploi et aussi, ils nโont pas la possibilitรฉ dโencaisser les indemnitรฉs correspondant ร leurs qualifications. Cette situation les oblige ร chercher une autre occupation pour complรฉter le salaire. En effet, on trouve aussi le sous-emploi liรฉ ร la durรฉe du travail au niveau des cadres et les universitaires. On estime que plus dโun quart des cadres supรฉrieurs et moyens travaillent moins de 35heures par semaine contre leur grรฉ. Lโinsuffisance de lโoffre de travail est la majeure cause au niveau des cadres et des intellectuels qui les contraint ร accepter lโemploi qui se prรฉsente mรชme si lโemploi ne correspond pas ร leurs qualifications ร cause des problรจmes financiers qui empรชchent les intellectuels ร rรฉaliser leurs projets en sortant de lโUniversitรฉ. Dโoรน, les cadres et les intellectuels nโont pas les moyens de bouger et sont obligรฉs dโaccepter le travail dans la forme du sous-emploi ร Madagascar.
Le profilage du sous-emploi ร Madagascar
ย ย ย ย ย ย ย ย ย Le profilage des variables indรฉpendantes est un moyen pour savoir distinguez chaque variable indรฉpendante entre elles afin dโobserver les groupes dโindividus appartiennent ร la variable dรฉpendante รฉtudiรฉe qui est le sous-emploi (lโindividu qui travaille moins de 35heures par semaine) et les groupes dโindividus qui travaillent plus de 35heures par semaine ร Madagascar entre les modalitรฉs des variables indรฉpendantes que nous avons choisies c’est-ร dire les neufs variables indรฉpendantes significatives ร partir du test de khi-deux. On prend lโaxe1(Facteur1) en lโabscisse pour expliquer notre variable ร รฉtudier (sous-emploi) et lโindividu qui travaille plus de 35heures par semaine suivant lโorthogonale ร partir de facteur1 (axe1) dรฉpart par le point zรฉro(0) en axe de lโabscisse. Le facteur1ou lโaxe1 en abscisse reprรฉsente bien ou de faรงon approchรฉe les variables dรฉpendantes รฉtudiรฉes qui sont le sousemploi et lโindividu qui travaille plus de 35heures par semaine par rapport ร lโaxe2 (Facteur2) en ordonnรฉe qui nโa pas bien reprรฉsentรฉ nos deux variables dรฉpendantes รฉtudiรฉes (lโindividu qui travaille plus ou moins de 35heures par semaine). Le sous-emploi des individus abordรฉ par lโAnalyse Factorielle des Correspondances Multiples (AFCM) ร partir du logiciel SPAD5.5 est essentiel pour voir le profilage des variables indรฉpendantes entre elles c’est-ร dire que la figure 2 se divise en trois parties avec des couleurs differentes dont : la partie en couleur rouge qui represente le sous-emploi travaillant moins de 35heures par semaine ยซ sousemployรฉ ยป, et la partie en couleur verte qui represente celui travaillent pour plus de 35heures par semaine. Enfin,la partie de couleur bleue qui nโa pas bien representรฉ la variable etudiรฉe qui est le sous-emploi et ne reprรฉsente pas aussi lโindividu qui travaille plus de 35heures par semaine. Donc, on ne peut rien dire sur le profilage pour la couleur bleue
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Table des matiรจres
INTRODUCTION
PREMIERE PARTIE : APPROCHE THEORIQUE
CHAPITRE I : LE MARCHE DU TRAVAIL
SECTION 1 : LES DEFINITIONS ET LES INDICATEURS DE MARCHE DU TRAVAIL
1- Le marchรฉ du travail
1-1- Le taux de chรดmage
1-2- Le taux dโactivitรฉ
1-3- Les indicateurs du marchรฉ de travail
1-4- Le dรฉsรฉquilibre sur le marchรฉ du travail
2- Les diffรฉrents types de marchรฉ du travail
2-1- Le marchรฉ du travail en Afrique subsaharienne
2-2- Le marchรฉ du travail dans les pays industrialisรฉs
3- Le secteur informel
4- La dรฉfinition du sous-emploi
5- Les indicateurs du sous-emploi
5-1- Le sous-emploi visible
5-2- Le sous-emploi invisible
5-3- Le sous-emploi global
SECTION 2 : LES THEORIES ECONOMIQUES
2-1- La thรฉorie de lโemploi, la thรฉorie de la demande effective et lโanalyse globale Keynรฉsienne
2-1-1- La thรฉorie de lโemploi
2-1-2- La thรฉorie de la demande effective
2-1-3- Lโanalyse globale Keynรฉsienne
2-2- La thรฉorie classique
2-3- La thรฉorie du dualisme sectoriel de William Arthur Lewis
CHAPITRE II : LES PRINCIPAUX DETERMINANTS DU SOUS-EMPLOI : CAS DE MADAGASCAR
SECTION1 : LES REALITES DE LโEMPLOI A MADAGASCAR
1-1- Un aperรงu gรฉnรฉral de la rรฉalitรฉ ร Madagascar
1-2- Les travailleurs pauvres ร Madagascar
SECTION 2 : LES INDICATEURS DE MARCHE DU TRAVAIL A MADAGASCAR
2-1- Les caractรฉristiques de marchรฉ du travail ร Madagascar
2-1-1- Le taux dโactivitรฉ
2-1-2- Le taux de dรฉpendance au mรฉnage
2-1-3- Le niveau dโinstruction et lโรขge
2-1-4- Lโinsertion prรฉcoce des enfants sur le marchรฉ du travail
2-2- Le secteur Informel
2-3- Le sous-emploi ร Madagascar
2-3-1- Le sous-emploi chez les cadres et les intellectuels
2-3-2- Le sous-emploi des jeunes
2-3-3- Le sous-emploi au niveau de lโinstitution publique et privรฉe
2-4- Avantages et Inconvรฉnients du sous-emploi
2-4-1- Avantages du sous-emploi ร Madagascar
2-4-2- Inconvรฉnients du sous-emploi ร Madagascar
DEUXIEME PARTIE : ANALYSE ECONOMETRIQUE
CHAPITRE I : LES ESSAIS DโESTIMATIONS DES VARIABLES
SECTION 1 : LA METHODOLOGIE ET LA PRESENTATION
1-1- La mรฉthodologie
1-2- La prรฉsentation des variables
SECTION 2 : LE TEST DE KHI-DEUX ET LโINTERPRETATION DE RESULTAT DU TEST DE KHI-DEUX
2-1- Le test de Khi-deux
2-2- Lโinterprรฉtation des rรฉsultats du test de Khi-deux
2-3- La hiรฉrarchisation de la variable indรฉpendante
2-4- Le profilage du sous-emploi ร Madagascar
CHAPITRE II : LโESTIMATION DE LA REGRESSION BINOMIALE
SECTION 1 : LE TEST DE REGRESSION BINOMIALE ET LโINTERPRETATION DU RESULTAT
1-1- Le test de rรฉgression binomiale
1-2- Lโinterprรฉtation du rรฉsultat de la rรฉgression binomiale
SECTION 2 : LE RESULTAT DE LA REGRESSION LOGISTIQUE
2-1- Lโadรฉquation du modรจle
2-2- Lโinterprรฉtation et la recommandation
CONCLUSION
ANNEXES
BIBLIOGRAPHIE
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