Télécharger le fichier pdf d’un mémoire de fin d’études
Le concept MIMO
La course vers les hauts debits,´ et notamment dans les reseaux´ locaux sans fil, qui supportent des debits´ suffisants pour les applications multim edia´ a permis d’evoluer´ vers de nouvelles solu-tions technologiques. En effet, la possibilite´ d’accroˆıtre substantiellement les debits´ de transmis-sion par l’emploi simultane´ de reseaux´ d’antennes a` l’emission´ et a` la reception´ a et´e´ introduit par J.Winters en 1987 pour deux systemes` de communications basiques [7]. Puis, des chercheurs des laboratoires Bell Labs ont elabor´e´ un demonstrateur´ BLAST en 1996 exhibant des efficacit es´ spectrales de l’ordre de 40 bit/s/Hz avec 8 el´ements´ d’emission´ et de reception´ [8]. Des` lors, le paradigme des systemes` de communication a` entrees´ multiples et a` sorties multiples MIMO etait´ ne´. Les systemes` actuels, qui ne sont pourvus que d’une antenne a` l’emission´ et une antenne a` la reception´ (SISO), pour Single Input Single Output, tirent partis de la diversite´ temporelle et/ou frequentielle´. Les systemes` MIMO permettront de profiter d’un ordre suppl ementaire´ de diversite´ apporte´ par le domaine spatial.
Les differentes´ structures des systemes` MIMO
Deux categories´ de systemes` MIMO peuvent etreˆ distinguees´. Ces differences´ dependront´ de l’endroit ou` l’on met en œuvre la diversit e´ spatiale, a` savoir sur le reseau´ d’antennes a` l’emission´ ou sur le reseau´ d’antennes a` la reception´. On parlera alors de systemes` MISO pour Multiple Input Single Output et de systemes` SIMO pour Single Input Multiple Output.
Concernant les systemes` SIMO, Nrx antennes sont utilisees´ aux recepteurs´ afin d’acqu erir´ dif-ferentes´ copies du signal transmis qui seront ensuite convenablement combinees´ pour combattre les degradations´ apportees´ par les evanouissements´ du canal. Les systemes` SIMO sont aujourd’hui utilises´ dans les liaisons montantes, soit du mobile vers la station de base, des systemes` GSM. Cependant, et ce pour des raisons d’encombrement, sa mise en œuvre en voie descendante, soit de la station de base vers le mobile, s’avere` extremementˆ delicate´.
Les systemes` MISO, quant a` eux, procedent` a` une repartition´ appropriee´ de l’information sur l’ensemble des Ntx antennes disponibles a` l’emission´. Le fait de diffuser des informations sur plu-sieurs antennes emettrices´ destinees´ a` une seule antenne receptrice´ apportera donc des contraintes supplementaires´ quant a` la formation du signal emis´. En effet, l’onde emise´ sera « melang´ee´ » dans l’espace avant d’arriver sur l’antenne de reception´. A partir de la,` des techniques de traite-ment de donnees´ seront mises en place a` l’emission´ pour faciliter la remise en forme du signal a` la reception´.
La combinaison des deux systemes` aboutira donc a` un systeme` ayant un reseau´ de Ntx an-tennes a` l’emission´ et un reseau´ de Nrx antennes a` la reception´. La combinaison des deux tech-niques d’exploitation de la diversite´ spatiale conduira aux systemes` MIMO. On definira´ alors la diversite´ spatiale Ds comme le produit du nombre Ntx d’antennes a` l’emission´ par le nombre Nrx d’antennes en reception´ soit : Ds = Ntx ⁄ Nrx : (1.1)
Les systemes` MIMO et ses deriv´es´ pourront etreˆ ainsi represent´es´ comme sur la figure ( 1.4). hrt correspond a` l’attenuation´ du canal de propagation reliant l’antenne d’indice r et l’antenne d’indice t.
Au-dela` de l’emergence´ de ces solutions innovantes, dans le cadre du developpement´ de la quatrieme` gen´eration,´ l’objectif principal de la future Radio Logicielle est de favoriser l’inter-operabilit´e´ entre des reseaux´ de natures het´erog´enes`.
Vers l’emergence´ d’une Radio Logicielle
Les operations´ de modulations de la couche physique repondent´ aux contraintes introduites par le canal de propagation et les besoins en terme de debit´ et de mobilite´. Par consequent,´ l’evolution´ des solutions algorithmiques s’accompagne necessairement´ d’une evolution´ des struc-tures materielles´ de realisation´.
Structures actuelles de realisation´
Les structures materielles´ actuelles se decomposent´ en deux categories´ selon la nature de l’operation´ de transposition en frequence´ [9]. Cette operation´ peut s’effectuer en utilisant plu-sieurs frequences´ intermediaires,´ elle est alors appelee´ structure superhet´erodyne,´ ou bien direc-tement sans passage par une frequence´ intermediaire,´ denomm´ee´ dans ce cas structure homodyne. La structure superhet´erodyne´ represent´ee´ sur la figure ( 1.5) est la structure qui nous interesse´. Elle se decompose´ en trois parties distinctes.
Contexte de developpement´
Le terme de Radio Logicielle designe´ un systeme` de radiocommunications flexible, multi-standards et reconfigurable logiciellement du dispositif RF jusqu’aux plus hautes couches de protocole [12, 13]. Cette notion repond´ aux besoins d’inter-operabilit´e´ entre systemes` de radio-communications.
Idealement,´ un systeme` Radio Logicielle est compose´ d’une partie numerique,´ d’un conver-tisseur, d’un amplificateur faible bruit et d’une antenne. Cela afin de tirer parti de la modularite´ de l’architecture numerique´ tant en terme de calcul que de reprogrammabilite´. Cette struc-ture reste aujourd’hui trop optimiste. En effet, les contraintes technologiques liees´ notamment a` l’emploi de convertisseurs large bande [14, 3] restent aujourd’hui non respectees´. Neanmoins,´ le developpement´ d’architectures sous-optimales permettra de repondre´ a` une partie des contraintes imposees´ par la Radio Logicielle, nous parlerons alors de Radio Logicielle Restreinte, ou SDR pour Software Defined Radio . La SDR repose ainsi sur un dispositif qui permet l’utilisation d’une frequence´ intermediaire´ et sur l’interchangeabilite´ entre fonctions. Pour ce faire, un tel dispositif devra inclure des traitements en multi-rythme, la conversion en bande de base, la selection´ de la bande utile d’ou` la reconnaissance du signal a` traiter.
Un exemple de structure repondant´ aux contraintes de la SDR est present´e´ sur la figure ( 1.6), cette structure est extraite de [15, 16, 17]. Cette representation´ illustre bien l’importance de la partie numerique´ vis a` vis des parties analogiques. Par consequent´ les fonctions qui etaient´ auparavant realis´ees´ en analogique pourront etreˆ realis´ees´ en numerique´ [18] car le traitement numerique´ offre une flexibilit e´ dans le traitement de differentes´ formes d’onde et une souplesse en ce qui concerne la reprogrammation logicielle. Des` lors, la convergence et l’inter-operabilit´e´ entre differents´ standards sera possible. Cependant, plusieurs contraintes technologiques se posent a` la realisation´ des differents´ etages´ de traitement d’une telle structure.
Les architectures de traitements numeriques´ : introduction aux plate-formes de prototypage
Evolution et caracteristiques´ des architectures de traitements numeriques´
Elements´ de classification dans le contexte de la Radio Logicielle
L’organisation interne, la granularite´ des operateurs,´ la consommation ou bien le temps de reconfiguration peuvent etreˆ des criteres` de classification des architectures de traitements num e´-riques. Dans le contexte de la Radio Logicielle, le critere` de reconfiguration sera le seul crit ere` retenu. Ce choix se justifie par les contraintes induites par la Radio Logicielle d’interchangea-bilite´ des fonctions [24]. La reconfiguration pourra se faire dynamiquement ou statiquement. Tout d’abord, si certaines unites´ de traitements et/ou quelques zones du reseau´ d’interconnexion peuvent etreˆ reconfigur ees´ parallelement,` elle sera design´ee´ comme reconfigurable dynamique-ment, et reconfigurable statiquement dans le cas contraire. Les solutions architecturales candi-dates peuvent etreˆ classifi ees´ d’une maniere` qualitative comme sur la figure ( 1.7). Des` lors, les compromis performances-flexibilit e´-coutsˆ permettent de disposer d’implantations optimisees´. Les performances representent´ les temps d’executions´ supposes,´ les coutsˆ representent´ le temps de developpement´ mais egalement´ le coutˆ relatif a` l’utilisation des composants dans un contexte d’applications embarquees´.
Les architectures seront distinguees´ selon quatre niveaux de reconfiguration [ 25] : le niveau systeme,` le niveau fonctionnel, le niveau operateur´ et le niveau porte. D’autres criteres` tels que l’organisation entre unites´ de traitements et zones memoires´ disponibles [26] ou la remanence´ de la reconfiguration [ 27] permettent de preciser´ cette classification :
– La reconfiguration au niveau syst eme` : les processeurs programmables, les processeurs d’usages gen´eraux´ ou les processeurs de traitements du signal du type DSP sont compris dans ce niveau,
– la reconfiguration au niveau fonctionnel : ce niveau considere` des architectures het´ero´-genes` et plus particulierement` les echanges´ de donnees´ entre operateurs´. L’architecture gen´erique´ Pleiades [28], composee´ d’un reseau´ hierarchique´ d’interconnexions program-mables qui permet la communication entre des processeurs programmables et de la logique reconfigurable, en fait partie. L’architecture DART [ 29] en est un autre exemple. Elle re-pose sur la gestion parallele` de tachesˆ sur differents´ clusters de traitements. Chacun des clusters comporte un bloc de logique reconfigurable pour les traitements a` grain fin ainsi que six unites´ pour les traitements arithmetiques,´
– la reconfiguration au niveau op erateur´ : les fonctionnalites´ des operateurs´ ainsi que des interconnexions sont modifi ees´. Par exemple, l’architecture du systolic ring [30, 31] uti-lise un reseau´ configurable qui connecte diff erentes´ unites´ de traitements arithmetiques´. Chaque unite´ possede` un certain nombre de bits de configuration qui d efinissent´ sa fonc-tionnalite´ a` un instant donne,´
– la reconfiguration au niveau porte : ici, la reconfiguration se fait sur tout ou sur une partie des el´ements´ logiques du composant ainsi que sur les interconnexions. Ce niveau correspond a` la reconfiguration telle qu’elle est op er´ee´ pour les composants de type FPGA, pour Field Programmable Gate Array.
Suivant le type d’application, les architectures cibles seront differentes´. Dans notre etude,´ l’integration´ de systemes` de radiocommunications impose l’etude´ de complexite´ des differentes´ fonctions afin de d eterminer´ la distribution la mieux adaptee´ ainsi que son architecture cible. L’etude´ prealable´ des fonctions nous a conduit a` l’utilisation de deux types de composants : les composants programmables de type DSP et les composants configurables de type FPGA.
Evolutions et performances des processeurs DSP : L’architecture des processeurs DSP repose le plus souvent sur une architecture Harvard. Celle-ci dispose d’un bus de donnees´ et d’un bus de programme, et utilise une unite´ de calculs adaptee´ pour le traitement numerique´ du signal. Elle permet gen´eralement´ l’execution´ de multiplications et d’additions en un seul cycle d’horloge. Differentes´ familles de DSP existent. Elles sont differenci´ees´ selon le format de representation,´ en virgule fixe ou flottante, et selon la taille, typiquement 16 ou 32 bits, des donn ees´ manipulees´. Les DSP offrent egalement´ une capacite´ d’adressage importante aussi bien en memoire´ interne qu’en memoire´ externe. L’organisation de ces memoires´ autorise un acces` simultane´ a` differents´ emplacements.
L’evolution´ des DSP peut s’effectuer au regard de l’architecture de l’unite´ de traitements et de la capacite´ memoire´. De nombreuses optimisations visant les unites´ de traitements ont et´e´ realis´ees´ : la parallelisation´ des unites´ au sein d’un memeˆ DSP 2, la manipulation des donnees´ avec la naissance d’instruction optimisees´ SIMD, pour Single Instruction on Multiple Data3. En-fin l’extension de la capacit e´ d’adressage et du nombre de periph´eriques´ disponibles permet l’uti-lisation de ces processeurs pour un champ d’applications de plus en plus vaste. Le tableau (1.3) recapitule´ les principales caracteristiques´ de differentes´ familles de DSP [32].
Convergence necessaire´ vers une methodologie´ de conception coherente´
Les contraintes imposees´ par la Radio Logicielle impliquent l’accroissement de l’het´erog´en´eit´e´ des architectures mais egalement´ la diversite´ des applications. Des` lors, l’emploi de methodologies´ de conception doit conduire a` optimiser le flot de d eveloppement´ en repondant´ aux contraintes imposees´ dans un tel contexte.
– Faciliter l’exploration architecturale : la distribution et l’ordonnancement des fonctions sur les architectures, ainsi que la synthese` automatique des interfaces de communications doivent etreˆ guides´ par la methodologie´ de conception utilisee´. Ainsi, le concepteur pourra profiter de l’h et´erog´en´eit´e´ des architectures het´erog´enes`.
– Faciliter la reutilisation´ des developpements´ existants : l’emergence´ des fonctions IP de traitements ou de communications, que ce soit pour des implantations sur DSP ou sur FPGA, permet d’envisager des developpements´ rapides et fiables. La m ethodologie´ employee´ doit donc autoriser l’insertion de ces fonctions, ce qui induit une necessaire´ compatibilite´ entre langages de description.
– Limiter les coutsˆ de developpement´ : les erreurs du code doivent etreˆ detect´ees´ le plus haut possible dans le flot de d eveloppement´. La reutilisabilit´e´ maximum du code lors des etapes´ de conception doit etreˆ maximale. Ainsi, l’emploi de methodologies´ de conception permettra la validation et la reutilisabilit´e´ de chaque etape´ du flot de conception.
– Reunir´ les competences´ : les differentes´ etapes´ de conception etant´ realis´ees´ par plusieurs equipes,´ issues de differents´ domaines, la methodologie´ de conception doit simplifier et fiabiliser l’interaction entre ces diff erentes´ equipes´.
La propagation par trajets multiples
Les phenom´enes` prec´edemment´ present´es´ modifient le signal transmis. De nombreuses r e´-pliques du signal transmis sont ainsi cre´ees´. Celles-ci sont plus ou moins retardees´ selon les longueurs des trajets effectues´. Des` lors, elles sont plus ou moins attenu´ees´ selon la distance parcourue et selon les phenom´enes` de base rencontres´. A la reception,´ ces repliques´ se combinent de fac¸on constructive ou destructive donnant naissance a` des evanouissements,´ represent´es´ sur la figure ( 2.5). Dans le cas du canal radiomobile, en supposant que les diffuseurs sont uniformement´ repartis´ sur [0; 2…[, ces evanouissements´ apparaissent statistiquement en moyenne tous les ‚=2.
Les systemes` de radiocommunications mobiles, que ce soit a` l’interieur´ ou a` l’exterieur´ des batiments,ˆ sont ainsi soumis aux distorsions induites par les trajets multiples. Cependant dans le cas NLOS, les trajets multiples evitent´ l’interruption de la liaison entre l’emetteur´ et le recepteur´.
Les pertes moyennes hors espace libre
Nous avons vu dans le paragraphe 2.1.1 que les pertes en espace libre peuvent s’exprimer suivant le rapport de puissance entre l’emission´ et la reception´ dans le cas ideal´. En pratique, c’est a` dire hors espace libre, ce modele` n’est plus exploitable. Ceci est duˆ aux irregularit´es´ de transmission prec´edemment´ citees´. Il est donc necessaire´ d’evaluer´ les pertes moyennes de puissance en tenant compte des caracteristiques´ de l’environnement de propagation. Cependant, les nombreux parametres` affectant le signal impliquent qu’aucune relation theorique´ ne permet d’estimer la puissance lors d’une communication. En revanche, a` partir de campagnes de mesures, une relation empirique, deduite´ de l’equation´ (2.2) et qui permet d’estimer les pertes moyennes de puissance hors espace libre, a et´e´ elabor´ee´ [62] : L0 = 32:44 + 20: log10 (f) ¡ 10: log10 (GSGR) + 10:fi: log10 (d) ; (2.3)
ou` f est la frequence´ de l’onde emise´ en MHz et d la distance entre les deux antennes exprimee´ en km.
Cette equation´ 2.3 met en exergue le fait que les pertes moyennes de puissance ne sont plus proportionnelles a` d2 mais a` dfi ou` fi est une variable dependante´ de l’environnement. Le ta-bleau (2.1) liste les differentes´ valeurs de fi en fonction du type d’environnement.
Le bruit radioelectrique´
Le bruit radioelectrique´ regroupe l’ensemble des signaux qui ne transportent pas d’informa-tion utile et qui viennent perturber le signal desir´e,´ il est donc independant´ du signal emis´. Il s’agit d’une perturbation aleatoire´ dont le milieu de propagation (bruit externe) et les dispositifs electroniques´ utilises´ dans l’emetteur´ et le recepteur´ (bruit interne) sont a` l’origine [63, 66]. Les sources de bruits externes peuvent etreˆ de nature extra-terrestre ou terrestre. Elles re-groupent les bruits et les parasites atmospheriques,´ les rayonnements divers captes´ par l’an-tenne, les interferences´ eventuelles´ entre les utilisateurs du milieu de transmission ou encore les bruits d’origine industrielle. Le bruit interne a pour origine le mouvement brownien des electrons´ presents´ dans les composants electroniques´ du recepteur´. Ces electrons´ etant´ presents´ dans la matiere` en tres` grand nombre et evoluant´ independamment´ les uns des autres tout en suivant une memeˆ loi, le bruit interne peut alors etreˆ modelis´e,´ d’apres` le theor´eme` de la limite centrale [67], par un processus gaussien.
Dans notre approche, toutes les contributions du bruit interne et externe seront prises en compte dans une source unique de bruit n(t) situee´ en amont du recepteur´. Neanmoins,´ le bruit interne est en gen´eral´ celui qui est prepond´erant´ dans les systemes` de radiocommunications. Les bruits qui composent le bruit interne, bruit prepond´erant´ ici, sont dits « blancs » car, par analo-gie au spectre chromatique, leurs composantes frequentielles´ sont d’egales´ amplitudes dans une gamme de frequences´ s’etendant´ jusqu’a` 1013 Hz. Le bruit modelis´e´ par un processus aleatoire´gaussien, a` moyenne nulle, stationnaire a donc une densite´ spectrale de puissance bilaterale´ °n(f) uniforme qui est egale´ a` : °n(f) = N0 8 f • 1013Hz ; (2.4) ou` N0 est la densite´ spectrale de puissance monolaterale´ du bruit.
Le rapport de stage ou le pfe est un document d’analyse, de synthèse et d’évaluation de votre apprentissage, c’est pour cela chatpfe.com propose le téléchargement des modèles complet de projet de fin d’étude, rapport de stage, mémoire, pfe, thèse, pour connaître la méthodologie à avoir et savoir comment construire les parties d’un projet de fin d’étude.
|
Table des matières
1 Contexte de l’etude
1.1 Evolutions et pr ´ esentation g ´ en ´ erale des syst ´ emes de radiocommunications num ` e- ´ riques
1.1.1 Evolutions des normes de radiocommunications
1.1.2 Presentation g ´ en ´ erale des syst ´ emes de radiocommunications num ` eriques
1.1.2.1 Description d’une chaˆıne de traitement
1.1.2.2 Le concept MIMO
1.1.2.3 Les differentes structures des syst ´ emes ` MIMO
1.1.3 Vers l’emergence d’une Radio Logicielle ´
1.1.3.1 Structures actuelles de realisation ´
1.1.3.2 Contexte de developpement ´
1.1.3.3 Contraintes de realisation ´
1.2 Les architectures de traitements numeriques : introduction aux plate-formes de ´ prototypage .
1.2.1 Evolution et caracteristiques des architectures de traitements num ´ eriques ´ 16
1.2.1.1 Elements de classification dans le contexte de la Radio Logicielle ´ 16
1.2.1.2 Conception des systemes temps r ` eel embarqu ´ es sur des architectures het ´ erog ´ enes
1.2.2 Une solution intermediaire : les plate-formes de prototypage ´
1.2.2.1 Un peu d’histoire
1.2.2.2 Qu’est-ce que le prototypage ?
1.2.2.3 Classification de plates-formes de prototypage
1.3 Convergence necessaire vers une m ´ ethodologie de conception coh ´ erente ´
1.4 Contexte de developpement pour la future quatri ´ eme g ` en ´ eration ´
2 Canal de propagation radioelectrique
2.1 La propagation des ondes
2.1.1 La propagation en espace libre
2.1.2 La propagation hors espace libre
2.1.2.1 Les phenom ´ enes de base en propagation `
2.1.2.2 La propagation par trajets multiples
2.1.2.3 Les pertes moyennes hors espace libre
2.1.3 Le bruit radioelectrique ´
2.1.4 Modelisation statistique du canal de propagation ´
2.1.5 Parametres des canaux ` WSSUS
2.1.5.1 Les dispersions temporelles
2.1.5.2 Les dispersions frequentielles ´
2.1.6 Influences sur les systemes de radiocommunications `
2.1.6.1 La notion de selectivit ´ e´
2.1.6.2 La notion de diversite´
2.2 Modeles de simulation ` SISO
2.2.1 Description des canaux theoriques ´
2.2.2 Description des canaux realistes ´
2.3 Modeles de simulation ` MIMO
2.3.1 Modes propres du canal
2.3.2 Passage du modele classique au mod ` ele ` equivalent ´
2.3.3 Modele de Rayleigh ` MIMO theorique ´
2.4 Conclusion
3 L’etalement de spectre, les modulations ´ a porteuses multiples et les codes temps- ` espaces : application aux futurs reseaux cellulaires
3.1 Presentation des techniques de traitement du signal utilis ´ ees ´
3.1.1 L’etalement de spectre et les techniques d’acc ´ es multiples `
3.1.1.1 Principe de l’etalement de spectre ´
3.1.1.2 L’acces multiple `
3.1.1.3 Applications et realisations ´
3.1.2 Les modulations a porteuses multiples `
3.1.2.1 Un peu d’histoire
3.1.2.2 Principes des modulations a porteuses multiples `
3.1.2.3 Applications et realisations ´
3.1.3 Les codes temps-espaces codes en blocs ´
3.1.3.1 Apports de la dimension spatiale
3.1.3.2 Les codes OSTBC
3.2 Les systemes ` a porteuses multiples et ` a acc ` es multiple par r ` epartition de codes
3.2.1 Principes du systeme ` AMRC a porteuses multiples ou ` MC-CDMA
3.2.2 Techniques d’egalisation appliqu ´ ees aux syst ´ emes ` MC-CDMA
3.2.2.1 Modelisation du syst ´ eme ` MC-CDMA dans le cas d’une liaison descendante .
3.2.2.2 Les detecteurs mono-utilisateurs ´
3.2.3 Performances du systeme ` MC-CDMA sur canaux radiomobiles
3.2.4 Methode de dimensionnement des syst ´ emes ` MC-CDMA
3.2.5 Vers l’emergence des syst ´ emes ` MC-CDMA
3.3 Combinaison des techniques temps-espace en blocs et des systemes ` MC-CDMA : les systemes ` OSTBC/MC-CDMA
3.3.1 Expression du signal emis ´
3.3.2 Expression du signal rec¸u
3.3.3 Techniques de combinaison et d’egalisation appliqu ´ ees aux syst ´ emes ` OSTBC/ MC-CDMA .
3.3.3.1 Combinaison des signaux rec¸us
3.3.3.2 Les techniques de detection mono-utilisateurs dans le cas ´ MIMO
3.3.4 Dimensionnement du systeme ` OSTBC/MC-CDMA
3.3.5 Performances des systemes ` OSTBC/MC-CDMA
3.4 Conclusion
4 Etude des contraintes d’implantation des systemes consideres
4.1 Prerequis pour l’ ´ etude du format des donn ´ ees ´
4.1.1 Representation des donn ´ ees ´
4.1.1.1 Codage en virgule flottante
4.1.1.2 Codage en virgule fixe
4.1.2 Definition des r ´ egles de l’arithm ` etique virgule fixe ´
4.1.2.1 Addition
4.1.2.2 Multiplication
4.1.3 Processus de codage
4.1.3.1 Lois de depassement ´
4.1.3.2 Lois de quantification
4.1.4 Modelisation du processus de quantification ´
4.2 Etude de complexite, de format de donn ´ ees et optimisations des fonctions ´
4.2.1 El ´ ements de complexit ´ e et ´ etude du format de donn ´ ees des fonctions ´ mises en œuvre
4.2.1.1 Les fonctions de codages binaires a symboles `
4.2.1.2 L’etalement de spectre ´
4.2.1.3 L’entrelacement
4.2.1.4 Le zero-padding
4.2.1.5 Le codeur OSTBC
4.2.1.6 La modulation OFDM
4.2.1.7 L’insertion de l’intervalle de garde
4.2.1.8 La transposition en frequence interm ´ ediaire ´
4.2.1.9 L’estimation de canal
4.2.1.10 L’egalisation dans le cas ´ SISO
4.2.1.11 La combinaison et l’egalisation dans le cas ´ MIMO
4.2.1.12 Determination du format de donn ´ ees appliqu ´ e´ a l’op ` eration ´ d’egalisation ´
4.2.2 Complexite globale des syst ´ emes ` MC-CDMA et OSTBC/MC-CDMA etudies
4.3 Conclusion
5 Methodologie de conception applique eaux systemes etudies
5.1 La Methodologie pour la Conception des Syst ´ emes ` Electroniques ( ´ MCSE)
5.1.1 Principes de MCSE
5.1.2 Outil associe´ a la m ` ethodologie ´
5.2 Analyse et conception des systemes ` etudi ´ es selon l’approche ´ MCSE
5.2.1 Modelisation des syst ´ emes de radiocommunications ` etudi ´ es selon l’ap- ´ proche MCSE .
5.2.1.1 Modele structurel `
5.2.1.2 Modele comportemental `
5.2.1.3 Description algorithmique en virgule flottante
5.2.1.4 Description algorithmique en virgule fixe
5.2.2 Exploration architecturale des systemes de radiocommunications ` etudi ´ es ´ selon l’approche MCSE
5.2.3 Modelisation de l’architecture de prototypage ´
5.2.4 Analyse et resultats de la phase de conception architecturale ´
5.2.4.1 Analyse de la conception architecturale
5.2.4.2 Evaluation des performances d’implantation ´
5.2.5 Bilan de l’utilisation de la methode ´ MCSE pour l’analyse de systemes de ` radiocommunications
5.3 Analyse et resultats de la phase de g ´ en ´ eration de code ´
5.3.1 Modifications apportees par l’outil CoFluent Studio sur le mod ´ ele structurel pour une gen ´ eration de code sur ´ FPGA
5.3.2 Regles de conception du mod ` ele comportemental induite par le mod ` ele ` de traduction VHDL utilise par l’outil ´
5.3.3 Resultats de g ´ en ´ eration et d’implantation du syst ´ eme ` MC-CDMA
5.3.3.1 Gen ´ eration automatique et implantation de l’ ´ emetteur ´ MC-CDMA174
5.3.3.2 Gen ´ eration automatique des op ´ erations de l’ ´ emetteur ´ MC-CDMA 175
5.3.4 Bilan de l’utilisation de la methode ´ MCSE pour la gen ´ eration automatique ´ de code VHDL
5.4 Conclusion
6 Resultats d’implantation des syst ´ emes ` MC-CDMA et OSTBC/MC-CDMA 179
6.1 Description gen ´ erale de la plate-forme de prototypage ´
6.1.1 Caracteristiques de la cartemere `
6.1.2 Environnement logiciel
6.1.3 Caracteristiques des differents m ´ edias de communications ´
6.1.3.1 L’interface PCI
6.1.3.2 Les interfaces de communications CP et SDB
6.1.4 Caracteristiques des cartes filles ´
6.1.4.1 Cartes filles comprenant un DSP
6.1.4.2 Cartes filles comprenant un FPGA
6.1.4.3 Cartes filles comprenant un CNA ou un CAN
6.1.4.4 Caracteristiques du module ´ CNA
6.1.4.5 Caracteristiques du module ´ CAN
6.2 Communications, controle et gestion des param ˆ etres des syst ` emes `
6.2.1 Gestion du flux de donnees entre le PC h ´ ote et la plate-forme de prototypage
6.2.2 Gestion du flux de donnees entre le module ´ DSP et le module FPG integrant l’emetteur ´ MC-CDMA ou OSTBC/MC-CDMA
6.2.3 Description des parametres des syst ` emes `
6.2.4 Machine d’etat exerc¸ant le contr ´ ole des syst ˆ emes `
6.3 Description et resultats de l’implantation du syst ´ eme ` MC-CDMA
6.3.1 Description de l’emetteur ´ MC-CDMA implante´
6.3.2 Description du recepteur ´ MC-CDMA implante´
6.3.3 Configuration implantee ´
6.3.4 Complexite du syst ´ eme ` MC-CDMA
6.3.5 Debits mesur ´ es du syst ´ eme ` MC-CDMA
6.4 Description et resultats de l’implantation du syst ´ eme ` OSTBC/MC-CDMA
6.4.1 Description de l’emetteur ´ OSTBC/MC-CDMA implante´
6.4.2 Description du recepteur ´ OSTBC/MC-CDMA implante´
6.4.3 Complexite du syst ´ eme ` OSTBC/MC-CDMA
6.4.4 Debits mesur ´ es du syst ´ eme ` OSTBC/MC-CDMA
6.5 Conclusion
Conclusion gen ´ erale et perspectives
A Annexes
A Exemples de calcul de combinaison et egalisation pour un syst ´ eme ` MIMO 2 £ 2 reposant sur un schema d’Alamouti ´
A.I Exemple 1 : Combinaison et egalisation ´ MRC
A.II Exemple 2 : Combinaison et egalisation ´ ORC
B Annexes
B La librairie sc fixed du langage SystemC
Acronymes & Abreviations
Notations mathematiques
Liste des tableaux
Liste des figures
Bibliographie
Télécharger le rapport complet