ETUDE DES CAS DES JEUNES ORPHELINS DE SISOP TOAMASINA

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ROLE ET ATTRIBUTION DES TACHES :

 D.P.O : directeur du programme « one village » dans la région Antsinanana. IL est le chef et le premier responsable de l’association dans la région Antsinanana.
 C.S.A : chef de service d’accueil du SISOP. En tant que chef, il est le responsable du service d’accueil des jeunes du SISOP. Au niveau du programme « one village », il remplace tout le personnel du SISOP et ses jeunes.
 LA CAISSE : la caisse joue un rôle très important au niveau du SISOP pour le bien du fonctionnement de ses activités et de ses interventions aux jeunes. Elle nous offre l’opportunité de subvenir aux besoins permanents des jeunes.
 EDUCATEUR : l’éducateur est garant de chaque jeune ; il assure l’autorité paternelle et un modèle de référent pour eux.
 TANTE OU MAITRESSE DE MAISON : maintenir la collaboration avec les éducateurs pour préparer l’équipement des jeunes dans chaque foyer et la vie familiale pour nos jeunes.
 JEUNE : ce sont les bénéficiaires du SISOP que les équipes éducatifs élèvent et éduquent.
Ces gens sont dépendants Les uns des autres, ils sont tous utiles pour le bon fonctionnement du travail et surtout pour la réalisation des objectifs.
Bref, l’association SOS village d’enfants est une association bien structurée, même si elle n’est pas subventionnée par l’Etat malgache, elle joue un rôle important dans l’avenir des orphelins ; elle est présente, presque dans chaque province de Madagascar. Dans la deuxième partie du devoir, on va parler de l’éducation que cette association donne à ces orphelins pour qu’ils deviennent un vrai auteur de développement de la société.
Vérification des hypothèses
L’association SOS village d’enfants est une association qui prend en charges les orphelins et pour le bien de ce dernier, l’association est obligée à adopter des activités comme le sport car cela permet aux jeunes de faire de nouvelles rencontres lors des compétitions et de respecter des règles et pour qu’il rencontre des personnes extérieurs et ceci dans le but de les socialiser et de les baigner dans la société dites normales avec des règles pour qu’ils se sentent pas marginalisés. Ensuite les fêtes pour permettre à ces jeunes de s’amuser, de se divertir et pour qu’ils puissent entretenir des relations avec des parents de ceux qui adhèrent à l’association et aux autorités ainsi que les personnes qui habitent dans fokontany.
Et enfin, l’association doit avoir comme but ultime de promouvoir l’intégration sociale car cela se définit comme la qualité et la fréquence des relations qui se nouent au sein d’un groupe ainsi que par le degré d’engagement de ses membres se parle, s’apprécient et s’aide mutuellement.

ANALYSE DES RAPPORTS SOCIAUX

L’EDUCATION ET SON IMPORTANCE

Généralités :

Près de 26% des jeunes de 10-14ans et 64% des jeunes de 15-19ans sont déjà actifs à Madagascar. Ces chiffres nous interpellent car ils montrent que la plupart des jeunes Malgaches entrent directement dans la vie active avec peu de qualification et en n’ayant pas achevé leurs études fondamentales, grâce à SOS village d’enfants, plusieurs jeunes malgré la situation familiale et économique sont aujourd’hui sur la route de réussite car plus de 500 mille enfants orphelins malgaches sont à la charge de l’association. Avec ses méthodes d’éducation très spécifiques, ces enfants selon les entretiens sont parrainés par les étrangers qui coopèrent avec l’association ; et ce parrainage joue vraiment un grand rôle dans l’avenir de ces enfants car après avoir fini les études supérieures ou formations supérieures, ils ont l’occasion de réaliser un projet avec cet argent ; en plus l’association pourrait encore financer le projet jusqu’à ce qu’il soit autonome.
En premier lieu, la population malgache a une structure par âge jeune, caractéristique des pays en développement avec une pyramide à large base qui se rétrécit rapidement au fur et à mesure que l’on avance vers les âges élevés. Les jeunes de moins de 15ans représentent près de la moitié de la population totale et les personnes âgées de 65ans et plus en constituent à peine 4%. Le maintien de la fécondité à un niveau encore élevé et la baisse modérée de la mortalité expliquent pour une large part, la forte proportion de jeunes.

Notion et définition de l’éducation

Selon le dictionnaire, Petit Larousse, (1998 :363) l’éducation est l’action d’éduquer, de former, d’instruire .L’éducation signifie encore l’action de développer méthodiquement une faculté particulière.
L’éducation est une initiation à un domaine particulier de connaissances, un ensemble des acquisitions morales, intellectuelles et culturelles, une connaissance de bons usages de la société.
BEITONE (1995 : 189) nous donne la définition proposée par Durkheim « L’éducation est l’action exercée par les générations adultes sur celles qui ne sont pas encore mûres pour la vie sociale. Elle a pour objet de susciter et de développer chez l’enfant et jeune un certain nombre d’états physiques, intellectuels et moraux que réclament de lui et la société politique dans son ensemble et le milieu spécial auquel il est partiellement destiné ».
Quelqu’un, c’est aussi la manière de comprendre, de dispenser et de mettre en œuvre cette formation.

Education au service du développement humain

L’éducation occupe une place cruciale dans le processus de développement humain. L’idée de PHILIP (1985 : 60) est convaincante quand il dit : « il est bien connu que l’éducation occupe une place centrale dans tout processus du développement et elle permet d’ailleurs une ouverture sur le monde extérieur. Depuis la seconde guerre mondiale, on a remarqué que c’est le développement lui-même qui a engendré la multiplication des besoins éducatifs de la population mondiale ». L’instruction universelle est le moteur du développement.
Aucun pays ne peut prétendre accéder au développement alors qu’il est victime de la non scolarisation de la plupart de sa population.
Quels sont les droits fondamentaux et les textes en vigueur donnant un sens et les raisons d’être de l’éducation inclusive au niveau de l’enfant mis en jeux ?
– LOI 2004-004 du 26-07-04 portent orientation générale du système d’éducation, d’enseignement et de formation à Madagascar-section 04-article 11
– Décret 2002-1007 du 11 septembre 2002 portant création d’une structure dénommée « partenariat pour le développement des établissements scolaires » articles 1 et 2
Pour permettre d’assumer pleinement leur responsabilité auprès des enfants, parents et enseignants doivent connaître les droits fondamentaux des enfants.
Droit à l’identité (état civil) :
– Responsabilité des parents à enregistrer la naissance des enfants à temps
Droit au soin et santé :
– Hygiène, propreté, soins corporels et habillement des enfants
– Visites médicale périodique et vaccination
– Prévention des accidents
Droit à l’alimentation saine et adéquate :
– Alimentation saine, équilibrée et adaptée à l’âge de l’enfant
Droit à l’éducation et suivi scolaire :
– Identification des enfants d’âge scolaire
– Inscription des enfants d’âge scolaire
– Suivi scolaire des enfants par les parents
Approche théorique :
L’éducation change le monde dit aide et action. Cela est éminemment vrai. Mais il faut voir et accepter cette évidence minimale : on ne peut pas ne pas éduquer…si nous ne maitrisons pas l’éducation pour que le changement aille là où on ne veut qu’il aille, ce sont diverses forces souvent plus « maléfique » que bénéfique qui orienteront cette éducation.
Généralement on distingue l’éducation informelle qui est faite par l’environnement et l’éducation formelle qui est régie par les actions volontaristes de la société. L’éducation informelle est difficile à maîtriser car ses sources sont diverse (famille, église, médias, société,…)
L’éducation occupe beaucoup d’importance dans la société malgache. Le programme de l’éducation à Madagascar a été confronté aux diverses incidences combinées sur les secteurs de l’éducation, d’une pression démographique, des effets d’une pauvreté grandissante et conditions de vie difficile de la population.

METHODE POUR BIEN INTEGRER LES JEUNES DANS L’EDUCATION

prendre en compte l’origine du jeune

Le jeune arrive d’abord avec un bagage. Il y a une origine sociale, des relations familiales, il s’inscrit dans une culture d’appartenance. Ces trois dimensions de son existence contribuent à construire son identité sociale (comment il est perçu par les autres) et son identité personnelle (comment il se perçoit). L’accompagnement d’un jeune passe par une analyse de ces dimensions et par une mise en relation de ces dimensions entre elles. Il est donc central que l’accompagnateur veille à identifier ce qui, dans ces dimensions peut agir comme frein ou comme levier à l’insertion et à se poser un certain nombre de questions qui vont permettre d’établir un diagnostic.

Développement de la motivation des jeunes

« Autrefois, c’est très difficile de capter leur intérêt, ils ne s’intéressent pas, ils arrivent tout simplement comme ça à l’école. Pour pouvoir réussir, on les force à réciter les leçons par cœur et à faire sortir ça en les questionnant, toujours les mêmes questions, c’est à la longue monotone mais à partir du moment où on a appliqué les méthodes actives avec CO.RE.BRI (comment réussir brillamment), on voit bien qu’ils commencent petit à petit à s’intéresser, c’est encore très peu. On voit à leurs visages même qu’ils s’intéressent à ce qu’ils sont en train de faire ».

C’est quoi le méthode Co.Re.Bri de SISOP Toamasina ? :

C’est une méthode appliquée par le personnel de SOS village d’enfants, c’est-à-dire que dans cette méthode le personnel (Tantine, tonton,….) fait des contrôles journaliers par des exercices et récapitulations ,en plus les jeunes ont différents choix dans cette méthode, ici on parle de différentes formes de méthode CO.RE.BRI, qui sont les fiches, les exercices d’application, ou les répétitions par cœur, ou encore se mettre en groupe pour travailler ensemble, durant l’application de méthode ,l’éducateur ( ou tonton) fait le suivi et évaluation de ces jeunes.

Le suivi scolaire :

C’est l’évaluation scolaire des jeunes par rapport à leurs résultats scolaires durant le deuxième trimestriel, avec le suivi de leurs comportements. Celle-ci a pour but d’identifier les divers blocages de non réussite de leurs études, puis pour déterminer les essentiels besoins et leur défi pour le trimestre suivant ; après avoir connu le vrai problème des jeunes, on leur donne des solutions qui répondent à leurs besoins (exemple : ils ont besoin d’un livre ou d’un dictionnaire, ou encore de cours d’appui et même s’ils ont des problèmes avec l’éloignement de l’école par rapport au foyer et on leur donne par exemple un vélo etc.)

APPUI SOCIO-EDUCATIF :

L’avenir d’un enfant, selon le dictionnaire LAROUSSE, l’avenir est le temps futur, donc l’avenir d’un enfant, c’est sa situation future. Il deviendra adulte, alors il faut bien préparer cette étape afin que l’enfant vive dans de meilleures conditions.
Pour que les Malgaches, selon le proverbe »izay adala no toa an-drainy » (fou est celui qui ressemble son père), l’enfant devrait toujours espérer à des conditions de vie meilleures que celles de ses parents.
En général, ce sont les parents qui sont les premiers guides de l’enfant pour son devenir. Ce sont eux aussi qui doivent subvenir aux moyens pour assurer l’avenir de l’enfant. Un enfant sans famille ne peut donc pas espérer un avenir meilleur à moins qu’on adopte une solution de substitution (parrainage ; tutelle ; prise en charge ;…).

Par les activités parascolaires :

Lorsqu’on parle d’activité ,tout d’abord , le sport est la première idée, le sport constitue un appui car premièrement en tant Qu’association ,SOS village d’enfants a pour vocation sociale, alors que le sport est un facteur de cohésion sociale, de ce fait, le sport se présente comme le dépositaire des valeurs des jeunes.
Ensuite les concours en tout genre, pour qu’ils aient un certain degré de cohésion et de participation afin d’être bien intégrés dans la société, les concours les aideront pour la communication et relation dans la société, mais surtout les concours sont des moyens pour les jeunes d’être plus sérieux, et aussi d’avoir un peu plus de maturité.
Egalement, les centres sociaux et les centres de loisir se sont aussi de meilleurs appuis socio-éducatifs, grâce aux différents loisirs, les jeunes approuvent leur don et leur potentiel intérieur pour bien épanouir et évoluent en milieu environnementale et social, en effet, les centres sociaux lui feront du bien en tout genre.
Enfin , les églises et les médias, concernant les médias ,on peut dire qu’ils occupent une place très importante au niveau de la socialisation des jeunes car premièrement, c’est à travers les médias que les jeunes construisent leur identité et vivent un univers fantastique bien loin de la réalité ; évidement pour l’église, c’est l’un des endroits de formation des gens, c’est-à-dire que l’église est aussi un appareil idéologique dominant ou précisément un autre centre d’éducation pour que l’homme devient un exemple dans sa société et surtout pour avoir de bon comportement et sécurité sociale.

IMPORTANCE DE L’EDUCATION:

Nelson Mandela a dit que : « l’éducation est l’arme la plus puissante pour changer le monde » ; d’après cette idéologie et philosophie de Mandela, l’éducation joue un rôle primordial dans le changement ou en particulier pour avoir une bonne évolution, on peut aussi dire que cette pensée nous dit que l’éducation joue un grand rôle dans la lutte contre la pauvreté, les données internationales suivantes confirment la grande utilité de l’éducation : + d’un an d’école ou d’études = + 10 % de salaire
Alphabétisé au moins 171 millions de personnes qui sortent de la pauvreté Moins de 50 % de taux de mortalité infantile après ses 5 ans si mère sait lire 4 à 6ans à l’école au moins augmentation de productivité 6 à 12 ans à l’école au moins augmentation de production industrielle
Pour apporter un changement durable d’attitude et de comportement, il faut suivre les étapes suivantes :
 Pré contemplation(ou pré réflexion) : le jeune a intérêt à connaître ses mauvaises habitudes et réfléchir avant de faire une chose.
 Contemplation(ou réflexion) : le jeune cherche de l’information sur l’habitude à changer, il discute du problème avec d’autres personnes et réfléchit à des solutions éventuelles pour y remédier.
 Préparation (ou décision) : le jeune s’engage à apporter le changement à l’habitude visée, puisqu’il croit pouvoir y arriver. Il met en place les conditions pour être en mesure de passer à l’action prochainement et en fait part à son réseau social.
 Action : le jeune adopte le changement souhaité selon la stratégie choisi.
 Maintien : le jeune adopte le nouveau comportement et évite la rechute.
 L’intégration (ou transformation) : l’ancienne habitude ne constitue plus une menace, il faut que le jeune intègre le nouveau comportement.
Voici un schéma qui montre la phase de vie stable reliée avec les méthodes d’éducation qui expliquent les étapes à faire pour avoir une vie stable.

LES DIFFICULTES ET BLOCAGES DE L’EDUCATION CHEZ LES JEUNES :

D’après les enquêtes, les jeunes ont des difficultés par rapport à l’entourage, c’est-à-dire que la société influence les jeunes par les différentes technologies, les modes,….
Sur les dimensions culturelles : les jeunes orphelins font face aussi à la diffusion culturelle venant de l’étranger, au détriment de la culture locale, qui empêche ces jeunes à bien suivre ses études, il pourrait donc s’agir d’un problème culturel important :
Influence des films : récemment, les vagues de films et de séries «étrangers » ont envahi les médias malgaches. Nous avons jugé bon d’explorer les effets de ces éléments sur la vie des jeunes orphelins, notamment à travers leurs préférences, en matière de genre de film.

Repère théorique et conceptuels

Nous vivons une époque de l’immédiateté : il faut tout de suite et sans trop d’efforts. A cela s’ajoute l’évolution rapide des nouvelles technologies (internet, téléphonie mobile, etc.) la mondialisation de l’information, et vis-à-vis des jeunes qui les poussent à consommer. Nous vivons dans un monde ou l’esprit critique heurte à une quantité d’information qui dépasse toute capacité humaine.
A l’école, la transmission de la culture est malmenée et les jeunes en subissent les effets : moins confrontés à la culture classique et aux savoirs ancestraux, pourtant essentiels à la compréhension de l’origine de l’être humain de ses modes de pensée actuels, les jeunes manquent d’objectivité face à leurs opinions.
La transmissions culturelle est en crise et touche également les milieux favorisés. La modification de la structure familial et du rôle parental, les dérivés des reformes de l’enseignement, les nouvelles technologies et les médias constituent les éléments déclencheurs de cette crise et de renforcement de la culture juvénile. Dans ce contexte, les jeunes ont détourné leurs références vers la loi du moindre effort et du plaisir immédiat, plus accessibles, plus facile à adopter. Cette appropriation révèle en réalité le désir impérieux de se distinguer des autres générations comme celle de l’enfance à adulte, une sorte de revendication générationnelle, qui est moins une révolte qu’un besoin de reconnaissance.

LES REUNIONS AUXQUELLES NOUS AVONS ASSISTE

Egalement en tant que stagiaire on ne peut pas assisté aux réunion des personnelles mais spécialement grâce a la recherche qui touche directement aux foyer surtout concernant les jeunes du foyer nous avions considéré comme des responsables et même comme des employés de l’association ;c’est pour cela que tout a été permis durant la pratique sur terrain pour nous. Et aussi de ce fait nous pouvons avoir certaines informations concernant la recherche. En bas nous allons résumer les idées essentiels pendant les différents réunions des personnelles administratives de l’association.
 Lieu : Foyer Morafeno
C. (Morafeno) :
Faits constatés : elle est une fille très différente des autres car selon les observations et l’entretien, on a dit qu’elle est la manipulatrice dans le foyer, elle parle à haute voix en utilisant des mots très blessants sans avoir du respect pour les adultes, elle est inconsciente de son attitude.
N. (Morafeno)
Faits constatés : une jeune fille très sadique, paresseuse mais intelligente, elle a besoin de soutien permanent, Noëlla pourra aller plus loin si elle modifie sa conduite et certains comportements.
F. (Ankirihiry)
Faits constatés : un jeune garçon têtu, il entre tard au foyer, toujours ivre avec absentéisme ; mais aussi il a beaucoup de petites copines à l’extérieur, Franklin est quelqu’un d’indiscipliné dans le foyer et il pourra influencer ses entourages.
L. (Marabout)
Faits constatés : à l’âge de 18ans, redoublant en classe de seconde, L. ne veut plus continuer ses études ; mais il a son petit projet d’ouvrir une salle de jeux avec son argent qu’il a eu de ses parrains. Ce jeune a aussi un comportement très silencieux, c’est-à-dire que durant son entretien, il n’ouvre jamais sa bouche, or il écrit sur un papier les réponses aux questions qu’on lui pose.
 Lieu : foyer Mangarivotra
Objet : Visite du D.H.L
La DHL est l’un des partenaires de l’association SOS village d’enfants Madagascar, cette visite a pour objectif de rencontrer les jeunes, le foyer ainsi que leur vie quotidienne.
 Lieu : Foyer Ankirihiry, Marabout, Morafeno et Mangarivotra :
Évaluation scolaire des jeunes par rapport à leurs résultats scolaires durant le deuxième trimestre, suivi de leur comportement. Celle-ci a pour but d’identifier les divers blocages de non réussite de leurs études, puis pour déterminer les essentiels besoins et leur défi pour le trimestre suivant.
Lieu : EPS Mangarano : orientation des jeunes du village en classe de troisième vers SISOP. Le but ici est de connaître les comportements, les résultats scolaires des jeunes. C’est l’analyse d’accueil des nouveaux jeunes du SISOP.
Lieu : bureau du SISOP: réunion du personnel afin de partager les activités, les réalités dans le foyer ainsi que les suivis et évaluations de chaque jeune.
Acquisition personnelle et professionnelle
Ce stage nous a fait également gagner de la maturité, grâce aux pratiques sur terrain, et puis il nous a permis de mettre en pratique notre cursus universitaire. Malgré les problèmes rencontrés, nous avons aussi la chance de visiter le monde professionnel, ensuite les relations avec le personnel de l’association nous ont fait accroître notre acquisition théorique.
D’après les observations et certains remarque sur terrain, nous pouvons dire que le développement n’a constitué qu’un mythe et que l’accès à l’éducation des enfants orphelins au niveau des quartiers vulnérables ne constitue qu’un rêve difficilement accessible, aussi, les différentes crises politiques ne font qu’aggraver les situations.

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Table des matières

INTRODUCTION
Motifs du choix du thème et du terrain
Problématique
Hypothèses
Objectifs
Global
Spécifiques
Limites et problèmes rencontrés
Méthodologie
Documentation
Plan de rédaction
PREMIERE PARTIE : MONOGRAPHIE ET HISTORIQUE DU TERRAIN
INTRODUCTION PARTIELLE
CHAPITRE I : HISTORIQUE
1.1) Collaboration et partenariat
1.2) Vision et mission…
1.3) Conditions pour être accueillis dans le SOS village d’enfants
1.4) Vie d’un village d’enfants SOS
1.5) Un village d’enfants SOS
CHAPITRE II : LES STRUCTURES DU SOS VILLAGE D’ENFANTS
CHAPITRE III : LES EQUIPES EDUCATIVES ET L’ORGANIGRAMME EN GENERAL
3.1) Rôle et attribution des tâches
DEUXIEME PARTIE : ANALYSE DES RAPPORTS SOCIAUX
CHAPITRE IV : L’EDUCATION ET SON IMPORTANCE
4.1) Généralités
4.2) Notion et définition de l’éducation
4.3) Education au service du développement humain
CHAPITRE V : METHODE POUR BIEN INTEGRER LES JEUNES DANS L’EDUCATION
5.1) Prendre en compte l’origine des jeunes
5.2) Développer la motivation des jeunes
5.2.1) C’est quoi la méthode CO.RE.BRI de Sisop Toamasina ?
5.3) Le suivi scolaire…
CHAPITRE VI : APPUI SOCIOEDUCATIF
6.1) Par les activités parascolaires
CHAPITRE VII : IMPORTANCE DE L’EDUCATION
CHAPITRE VIII : LA DIFFICULTE ET LES BLOCAGES DE L’EDUCATION CHEZ LES JEUNES
CHAPITRE IX : LA REALITE SUR L’EDUCATION A MADAGASCAR
CHAPITRE X : ETUDE DES CAS DES JEUNES ORPHELINS DE SISOP TOAMASINA
TROISIEME PARTIE : ACQUISITION PERSONNELLE ET PROFESSIONNELLE
CHAPITRE XI : LES FAITS ET LES RESPONSABILITES PENDANT LE STAGE
CHAPITRE XII : LES REUNION AUXQUELLES NOUS AVONS ASSISTE
REMARQUE
SUGGESTIONS
CONCLUSION
BIBLIOGRAPHIE

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