Etude de projet de renormalisation de l’exportation de la Filière viande bovine

Relation économique entre Madagascar et l’Union Européenne

   D’une manière générale, au lendemain de la seconde guerre mondiale, l’Europe about de souffle cherche un moyen de consolider la paix, si chèrement acquise le 17Mars 1948, la Belgique, la France, le Luxembourg, et le Royaume-Uni signent à Bruxelles le traité d’Union occidentale qui prévoit une collaboration en matière économique, sociale, culturelle, et de légitime défense collective. Ce traité fut concurrencé dès l’année suivante par la création, de l’OTAN (Organisation du traité de l’Atlantique Nord) qui inclut un plus grand nombre de pays européens, mais également les états- unis et le Canada encore, très largement présents en Europe, que ce premier traité d’alliance défensive de Bruxelles n’aurait pas permis de défense. Dans les même temps, le principe d’une Europe- unie a été posé, en particulier sous l’impulsion de la France et de l’Allemagne, même si le discours du britannique Winston Churchill à Zurich a été déterminant ainsi que le rôle des du Benelux et de l’Italie. L’Europe recherchait alors un modèle d’intégration qui la mettrait à jamais à l’abri d’une nouvelle guerre. L’idée a été concrétisée par robert Schuman, ministre français des affaires étrangères, dans son discours du 09 mai 1950 appelant a mettre le charbon et l’ancien sous une haute autorité commune de la France et de l’Allemagne Fédérale. Le choix de ces deux secteurs économiques vise établir une garantie de la paix : l’industrie d’abattage est hautement stratégique en Europe puisqu’elle est liée étroitement à l’histoire de la révolution industrielle, défendant de ses ressources. Du file en aiguille historique, en 1957 : « Europe des six » :l’actuelle Union Européenne et au départ le résultat de la volonté des 6 pays fondateurs. En 1957 :l’Allemagne, la Belgique, la France, l’Italie, le Luxembourg et le Pays-Bas créent la Communauté Economique Européenne (CEE). Toujours est-il, dans ce même ordre d’idée chronologique,
– En 1973 : « Europe de Neuf » : Adhésion du Danemark, de l’Irlande et du Royaume Uni ;
– En 1981 : « Europe des Dix » : La Grèce entre en son tour dans la communauté européenne ;
– En 1986 : « Europe des Douze » : Adhésion de l’Espagne et du Portugal ;
– En 1990 : « Europe des Douze » : Réunification de l’Allemagne (l’ancienne République Démocratique Allemande fait alors partie des Douze) ;
– En 1995 : « Europe des Quinze » : Adhésion de l’Autriche, de la Finlande et de la Suède ;
– En 2004 : « Europe des Vingt cinq » : Adhésion de Chypre, Malte, de la Slovénie, la Pologne, la Hongrie, la République Tchèque, l’Estonie, la Lettonie, la Lituanie, la Slovaquie ;
En 2007 : « Europe des Vingt sept » : La Bulgarie et la Roumanie ont signé un traité d’adhésion en Avril 2005 qui est entré en vigueur le 1er janvier 2007. La Slovénie et Croatie adoptent l’entrée.

Part du marché du projet sur les trois abattoirs nationaux

   Le domaine d’exploitation du projet se trouve dans les trois villes sujettes à la présente étude. Nous choisissons l’abattoir en tant qu’il est parmi les régions riche en zébus. Ce choix n’est pas le fait du hasard car il n’y a pas encore de personne qui exporte et vend les viandes de bœufs sur le marché à grande envergure au niveau international. Le seul concurrent est l’intermédiaire entre les éleveurs bovin et les revendeurs nationaux. Dans ce cas, les éleveurs rencontrent de problème pour le prix de vente de bœufs sur le marché local. En effet, il vaut mieux créer ce projet en vue de résoudre ce problème en achetant les bœufs à bon prix. Dans les régions : MENABE, BOENY le projet vise jusqu’à 40 % du marché en matière d’exportation de viande. Cela veut dire que les concurrents occupent les 60 % et d’Analamanga est de 20% et 80% seulement sur le marché global dans ces régions. Et pour satisfaire le besoin des clients, ce projet propose et vend le produit aux clients à Ar 7.000 le kilo sur le marché. Nous allons présenter ci-dessous le tableau faisant ressortir notre capacité d’absorption sur le marché. La part de marché est appliquée aux trois abattoirs nationaux : Morondava, Antananarivo et Mahajanga.

Qualité et Quantité du produit à offrir par les Sociétés cibles

   Dans les conditionnalités hygiéniques de l’abattage, selon le codex alimentarius, volume 10-1994, concernant les prescriptions particulières pour inspection, des installations et de l’équipement devraient être prévues pour permettre au personnel de l’entreprise et à l’autorité compétente d’exercer une surveillance et un contrôle appropriés de l’hygiène de la viande. Un vétérinaire officiel devrait être responsable de rôle de tous les aspects relatifs à l’hygiène de la viande. Chaque abattoir ou établissement et son vétérinaire devraient avoir recours à des laboratoires et à des analyses dans l’exécution de contrôle de l’hygiène des opérations. En ce qui concerne les installations et équipement, toutes les dispositions juridiques exigent que les abattoirs et établissements doivent être aménagés et équipés de manière à faciliter une bonne surveillance de l’hygiène de la viande, y compris l’inspection de la viande. Et, à tous les points d’inspection, l’éclairage devrait être d’une intensité d’au moins 540 LUX .Chaque abattoir ou établissement devrait comprendre des locaux réservés au personnel chargé de l’inspection de la viande d’une superficie correspondant au nombre des inspecteurs et répondant aux prescriptions énoncées au code d’usages en matière d’hygiène pour la viande fraîche. Toutefois, dans le cas des établissements, l’autorité compétente peut renoncer à cette obligation lors que des locaux situés ailleurs sont disponibles pour autant que ceux-ci soient facilement accessibles et répondent aux prescriptions. En plus, des bureaux bien équipés devraient être exclusivement réservés à l’usage du service de l’inspection des viandes. Des installations de laboratoire devraient être facilement accessibles pour l’inspection et le contrôle de l’hygiène des viandes. Quant à la surveillance vétérinaire des viandes, un vétérinaire au moins devrait être désigné pour chaque abattoir ou établissement pour la supervision des conditions d’hygiène, y compris l’inspection des viandes ; pour les méthodes de contrôle en laboratoire, les méthodes d’analyse appliquées devraient être conformes aux méthodes reconnues ou normalisées afin que les résultats puissent être facilement interprétés. Par ailleurs, il faudrait veiller particulièrement aux conditions d’hygiène des opérations d’abattage et d’habillage d’animaux appartenant à une catégorie qui, conformément à une décision d’un inspecteur vétérinaire, devrait être abattus et habillés dans des installations distinctes. La viande saisie ou reconnue impropre à la consommation humaine devrait, sous la supervision d’un inspecteur vétérinaire.
-être immédiatement placée dans des goulettes, conteneurs, camions  chariots, wagonnets ou locaux bien identifiés ou manipulés conformément à d’autres dispositions adéquates prévues à cet effet ;
-être identifié au moyen d’une incision ou d’une marque indiquant clairement qu’il s’agit de viande saisie ou impropre à la consommation humaine ;
-être transporté à l’installation de traitement ou vers un autre lieu de destruction de manière à garantir qu’elle ne puisse en aucun cas être détournée et occasionnée une contamination.

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Table des matières

INTRODUCTION GENERALE
PREMIERE PARTIE: IDENTIFICATION DU PROJET 
CHAPITRE I : PRESENTATION DU PROJET
Section 1 : Historique du projet
Section2 : Caractéristique du projet
CHAPITRE II : ETUDE DE MARCHE VISE 
Section1 : Description du marché
Section2 : Analyse de la demande
Section3 : Analyse de l’offre
Section4 : La Concurrence
Section 5 : Stratégie et politique marketing envisagé
CHAPITRE III : THEORIE GENERALE SUR LES OUTILS, LES CRITERES D’EVALUATION ET LES STRUCTURES FINANCIERES
Section 1 : Outils d’évaluation du projet
Section 2 : Critères d’évaluation du projet
DEUXIEME PARTIE: CONDUITE DU PROJET 
CHAPITRE I : TECHNIQUE DE PRODUCTION 
Section 1 : Ressources nécessaires à mettre en place
Section 2 : Caractéristiques d’approvisionnement
Section 3 : Technique de production envisagée
CHAPITRE II : LA CAPACITE DE PRODUCTION ENVISAGEE
Section 1 : Processus de production
Section 2 : Dépenses en matières premières
Section 3 : Prévision de vente
CHAPITRE III : ETUDE ORGANISATIONNELLE 
Section 1 : Structure organisationnelle
Section 2 : Organisation du travail
Section 3 : Chronogramme d’activité
TROISIEME PARTIE: ETUDE FINANCIERE DU PROJET 
CHAPITRE I : COUTS DES INVESTISSEMENTS
Section 1 : Coût des investissements
Section 2 : Tableau d’amortissement
Section 3 : Tableau de remboursement des dettes
Section 4 : Plan de financement initial
CHAPITRE II : ANALYSE DE LA RENTABILITE ET ETUDE DE LA FAISABILITE 
Section 1 : Compte de gestion
Section 2 : Structure financière
Section 3 : Etats financiers prévisionnels
Section 4 : Cash Flows
Section 5 : Bilan prévisionnel
CHAPITRE III : EVALUATION DU PROJET 
Section 1 : Evaluation économique
Section 2 : Evaluation financière
Section 3 : Evaluation sociale
CONCLUSION GENERALE
ANNEXES

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