Télécharger le fichier pdf d’un mémoire de fin d’études
Différentes espèces introduites à Madagascar
Plusieurs espèces ont été introduites à Madagascar depuis 1857 à nos jours en vue d’améliorer la performance des cheptels piscicoles2.
Il y a celles qui s’adaptent bien aux conditions climatiques et édaphiques du pays comme le Tilapia, la carpe, le Fibata … alors que d’autres n’arrivent pas à s’acclimater.
CARACTERISTIQUES DU PROJET
Un projet est un processus unique de transformation de ressources ayant pour but de réaliser d’une façon ponctuelle un extrant spécifique répondant à un ou plusieurs objectifs précis à l’intérieur des contraintes budgétaires, humaines, matériels et temporels.
Le projet consiste à produire de Tilapia de consommation de 500 g en étang dans la région d’ANALANJIROFO. Il contribue à l’amélioration de l’apport protéique de la population ainsi qu’à la valorisation des ressources locales disponibles. Il cadre bien dans les orientations du MAP et des prioritaires identifiés lors du dialogue présidentiel à Iavoloha.
Contexte et justification du projet
En tant que zone littorale, la pêche maritime tient une place importante dans la région d’Analanjirofo. Les populations locales sont habituées à consommer de poissons d’origine marins. Toutefois, depuis un certain temps, un changement de comportement alimentaire a été constaté, les consommateurs locaux demandent de poissons d’origine dulçaquicole dont l’apport sur le marché n’arrive pas à honorer cette demande toujours croissante.
Au vu de cette tendance de changement de comportement ainsi que de la disponibilité des ressources en eau, un projet d’élevage de Tilapia monosexé male s’avère opportun. D’abord, le projet traduit la participation du secteur privé au développement local, puis à la satisfaction des besoins en poissons d’eau douce de la région
Enfin, ce projet nous a permit de renforcer nos acquis durant la formation.
Objectifs
L’objectif est défini comme le résultat qu’une organisation se propose d’atteindre à une date donnée, des états désirés de l’organisation pour un moment déterminé du futur.
Objectifs globaux
Le projet vise trois objectifs principaux :
– contribuer à l’amélioration de l’apport protéique ;
– valoriser les ressources disponibles locales tels les terrains et l’eau, et ;
– contribuer à la création d’emploi.
Objectif spécifique
L’objectif spécifique du projet est la production et la vente annuelle de quelque 38 tonnes en première année de Tilapia monosexé mâle de taille marchande de 20 cm et de poids 500 g pour la consommation locale et hors région avec une production de croisière de 120 tonnes.
Identification du projet
Appellation : FISH FARMING FENERIVE EST
Activités : Elevage semi intensif de tilapia monosexé mâle, commercialisation et distribution
Produits : Tilapia marchand de 500g
Capital : 97 000 000 Ar
Siège social : Le fokontany d’Ambinanin’ Iazafo sur le site dénommé Anosin’Aomby, Commune rurale de FENERIVE EST
Forme juridique : Société à Responsabilité Limitée
Zone desservi : Analanjirofo, Foulpointe, Toamasina
Choix de l’espèce
L’ « Oreochromis niloticus » mâle, appelé communément Tilapia est l’espèce élevée.
Il appartient à :
– Ordre : Perciformes
– Famille : Cichlidae
– Genre : Oreochromis
– Espèce : niloticus
– Noms vernaculaires: Menatritry, nilotica, Barahoa, Menarambo, Menasaoka
Le Tilapia monosexé mâle a comme avantage les points suivants :
– a une croissance rapide dans les zones de basse altitude inférieures à 900mètres et une température supérieure à 20 °C ;
– a une croissance élevée par rapport à la femelle (dimorphisme sexuel) ;
– s’adapte bien à toutes formes connues d’élevage, de plus extensif au plus intensif ;
– a une tolérance aux fortes densités ;
– a une grande résistance au manque d’oxygène, aux agents chimiques, aux maladies et aux manipulations fréquentes et au transport ;
– a un bel aspect, bonne chair, et ;
– est apprécié par les consommateurs.
Environnement socio-économique de la zone d’implantation
Le site est localisé dans le district d’Analanjirofo, région d’Analanjirofo qui répond aux conditions climatiques, écologiques et édaphiques du Tilapia.
Situation administrative
Le site est localisé dans la commune urbaine de Fenoarivo Atsinana, district de Fenoarivo Atsinana, région d’Analanjirofo. La région a une superficie de 2570km² avec une population de 249 354 habitants et 12 communes3.
Climatologie
Deux saisons bien distinctes se rencontrent dans la zone. Une saison pluvieuse et chaude de septembre à février dont la température moyenne annuelle est de 24°C environ, avec un maximum autour de 27°C. Une saison fraîche moins humide de mars à juillet dont la température moyenne est de 21° c avec un minimum de 18 °c au mois de juillet. Ces caractéristiques répondent aux conditions climatiques, écologiques et édaphiques du Tilapia.
Hydrographie et topographie
La très forte pluviosité, évoquée auparavant, entretient en permanence d’importants débits pour les cours d’eau .La région d’Analanjirofo est ainsi parsemée d’un réseau hydrographique dense dont l’importance varie d’un district à un autre. Cette situation avec la topologie permettent l’aménagement facile des sites piscicoles.
Population
C’est une commune surpeuplée en raison de son taux d’accroissement naturel élevé puisqu’il est de l’ordre de 3.2%, largement supérieur par rapport à l’ensemble national (2.8%). La commune est cosmopolite. Les Betsimisaraka tiennent une place importante dans la région, suivie des Betsileo et des Merina avec quelques étrangers.
Economie
L’agriculture est l’activité dominante de la population en tant que source principale de revenus des ménages. Les principaux produits porteurs sont le riz et d’autres cultures de rente. Viennent ensuite l’élevage, la pêche, l’exploitation forestière, l’exploitation minière et le tourisme et l’écotourisme. L’élevage de zébus est prépondérant suivi de ceux des porcins et de volailles. Les produits d’élevage restent limités à l’autoconsommation. Pour la pêche, vu les potentiels en réseaux hydrographiques et sa façade maritime, elle constitue une activité majeure pour les habitants.
En ce qui concerne l’exploitation forestière, les produits sont destinés essentiellement pour les bois d’œuvre, les bois d’industrie, les bois de chauffe, le charbon de bois pour augmenter le revenu de la population et autres usages domestiques.
Quant à la l’exploitation minière, elle reste encore sous exploitée bien qu’un potentiel non négligeable est identifié.
Et, enfin, pour le secteur touriste et éco touristique, il présente d’énormes potentialités par l’existence de nombreux sites potentiels non encore exploités qui n’attendent qu’à être valorisés. La stratégie de promotion commerciale est très faible, les infrastructures d’accueil ne sont pas de bonne qualité et insuffisantes.
Infrastructures routières
Pour les infrastructures de transport, sur les 695 km de routes que compte la région, seules les 197 km sont bitumées, soit à peine 30% du réseau .Le reste est constitué à la fois de routes secondaires praticables toute l’année mais difficilement, ou tout simplement de routes praticables uniquement une partie de l’année.
Dans l’ensemble, malgré le mauvais état de la route, la transportation fonctionne suffisamment pour permettre la survie de la population.
Communication
On parle ici de la communication des informations. L’insuffisance en moyens de communication, publics ou privés, au niveau régional accentue davantage les difficultés de mise en réseau des six districts. Du point de vue spatiale, la partie Sud (Fénérive-Est, Soanerana- Ivongo, Vavatenina) est récemment dotée de moyens de communication avec les opérateurs de réseaux comme TELMA, ORANGE et CELTEL .Et du point de vue médiatique, la région dispose de stations de radio, de télévision et autres médias.
Réseaux bancaires
La région est équipée d’infrastructures appropriées pour développer le secteur économique .A part le téléphone, le transport, des institutions financières comme les Banques BOA et BFV et les organismes mutualistes (OTIV…) sont implantées dans la région.
Les exposés ci-dessus montrent que la région d’Analanjirofo rempli les conditions physiques et économiques demandées par l’élevage de Tilapia et l’accessibilité pour l’encadrement, l’approvisionnement en intrant et la commercialisation.
Cependant une étude de marché s’avère nécessaire pour faire écouler le produit.
ETUDE DE MARCHE VISE ET ASPECTS MARKETING
Ce second chapitre se consacre à l’étude et analyse de la commercialisation de nos produits. Les stratégies à adopter sont tirées par des résultats de différentes recherches et enquêtes sur terrain. Pour cela, une analyse du secteur d’activités permet de mener l’étude de marché.
ANALYSE DU SECTEUR D’ACTIVITE
Situation actuelle de la production d’eau douce
Malgré le développement du secteur piscicole ces dernières années, la production national stagne autour de 32 000 tonnes/an au niveau national 4 . La majeure partie de la quantité des prises provient de la pêche continentale, soit plus de 90% de la production totale .La contribution de la pisciculture ne dépasse pas les 10%, et le développement de cette dernière reste localisé sur les Hauts – plateaux, dans le triangle Fianarantsoa, Antananarivo et Toamasina .Ce sont des zones à forte concentration de population. Cependant, pour la région d’Analanjirofo, les données statistiques relatives à la contribution de la pêche continentale ne sont pas disponibles bien que l’engouement de la population locale en poissons d’eau douce soit constaté selon l’enquête. Cette situation permet de confirmer que le marché est encore large et prometteur et la zone d’implantation est bien choisie.
En rapport au potentiel géographique de la région, l’avenir du projet ne présente pas beaucoup de risques.
Commercialisation
La quasi-totalité de la production d’eaux douces est commercialisé localement ou autoconsommée. La plupart des produits viennent du lac Alaotra, du canal de Pangalanes et aux alentours.
ETUDE DE MARCHE
Au sens économique le marché est le lieu de rencontre de l’offre et de la demande ; au sens commercial large, le marché comprend tout l’environnement d’un produit ou d’une entreprise : fournisseurs, clients, banques, Etat, réglementations, technologie ; au sens commercial étroit, le marché est l’ensemble des consommateurs d’un produit sur un territoire géographique délimité et sur un laps de temps précis.
Actuellement, le marché a changé, les évolutions de la société ont crée de nouveaux comportements, des nouvelles opportunités et de nouveaux défis pour les entreprises. L’étude fait partie des facteurs de réussite du projet. Elle permet d’avoir des informations sur le marché notamment sur : le produit, les concurrences et la part du marché
Dans les trois régions citées plus haut, pour les poissons mis en vente, quatre espèces sont les plus commercialisées : « la Carpe, le Tilapia, le Cyprin doré et le Fibata » ; pourtant le Tilapia est le plus recherché pour sa chair ferme, sans arête et son goût.
Analyse de la demande
Une estimation correcte de la demande est essentielle pour un projet, et aucun projet ne vaut la peine d’être entrepris s’il ne répond pas à la demande du marché.
L’analyse de la demande dépend de la nature des produits; les poissons sont des produits périssables donc il faut déterminer les quantités disponibles et les prix des produits qui peuvent varier considérablement dans un court laps de temps.
Description du marché visé
Le marché ciblé est composé des restaurants dans le chef lieu de la région, de la commune rurale de Foulpointe et le marché de Toamasina. Le marché local à Fénérive-Est existe régulièrement, le marché de Foulpointe et les sites touristiques de la périphérie est périodique pour les touristes et les vacanciers qui séjournent dans la région ; tandis que le marché de Toamasina est offre une potentialité avec l’ouverture de la société SHERRITT qui emploie des milliers d’employés.
Consommation moyenne annuelle par habitant
La consommation moyenne annuelle de poisson par habitant reste encore relativement basse de 7.4kg alors que le seuil de carence en protéines animales est estimé à 25kg y compris celle d’origine terrestre5 .
Caractéristique de la demande globale
En terme de quantité
Les données des enquêtes menées auprès des restaurants, des marchés et des ménages, nous ont établi une estimation de la demande globale des régions ciblées en poisson frais qui sera présentée dans le tableau n°1 ci-dessous. En ce qui concerne l’étude de marché, les données ne tiennent compte que les vendeurs et/ou grossistes en poissons frais qui sont prêts à faire de contrats avec la société.
En terme d’habitude des consommateurs
Concernant les préférences des consommateurs, l’enquête indique d’une manière générale, les poissons frais sont plus appréciés par rapport aux autres viandes ou aux poissons congelés.
Les autres produits salés, séchés ou fumés traditionnellement commercialisés dans les villes sont moins acceptés.
L’habitude alimentaire est considérée plus souvent comme un facteur favorisant la consommation des produits halieutiques.
Analyse de l’offre
Les entreprises répondent aux besoins des clients en élaborant une proposition de valeur ; cela veut dire un ensemble de bénéfices offerts aux clients pour satisfaire leurs besoins. Cette proposition tangible se concrétise sous forme d’une offre composée de produit, de services d’information et /ou d’expérience
Les acteurs principaux sont les producteurs. Ces derniers doivent assurer la qualité et la performance de ses produits et cherchent toujours les moyens pour satisfaire les besoins de la clientèle.
Mais l’analyse de l’offre doit permettre à l’entreprise de se situer par rapport à ses concurrents en terme de part de marché, de type de client, de capacité de production, d’avance technologie, d’image et de politique Marketing.
Etude de la concurrence
Notre concurrent se divise principalement en deux catégories.
Concurrents directs
Ce sont les pêcheurs maritimes et d’eau douce qui assurent l’approvisionnement de notre marché en produits halieutiques. Toutefois, leur apport est limité voir même irrégulier car la production marine est en fonction du temps et du climat et la qualité des produits n’est pas satisfaisante. Ce qui privilège les produits mis en vente par la société avec sa qualité et sa quantité régulière et suffisante.
Concurrents indirects
Les concurrents indirects constituent les vendeurs des autres produits halieutiques sur les marchés ciblés et les boucheries.
Poissonneries
Les poissonneries sont ceux qui vendent les poissons de mer congelés, ce type de poissons est substituable aux poissons frais, Seulement en cas d’insuffisance des poissons frais sur le marché les consommateurs tournent vers les produits congelés.
Vendeurs de produits fumés et séchés
Différents types des poissons fumés et séchés sont vendus sur le marché. Toutefois, les consommateurs préfèrent de loin les produits frais surtout les poissons d’eau douce. Ce qui constitue un avantage pour notre produit. De toutes les façons, la société négocie au préalable avec les vendeurs de poissons.
Boucheries
Les boucheries constituent les seconds types de nos concurrents indirects. En comparant les prix du poisson frais à ceux de la viande, on constate que dans la ville, le prix moyen des poissons sont assez proche du prix de la viande de bœuf sans os mais un peu plus élevé que la viande de bœufs avec os, et plus bas en général que la viande de porc. Mais comme la politique de prix pratiquée est celle de pénétration, l’entreprise n’aura pas de problème pour écouler leur produit. A cela s’ajoute l’apport de poissons de l’entreprise qui coïncide avec les jours de carême et jour de fête, période à laquelle les consommateurs s’orientent vers les produits halieutiques.
Part de marché
Par définition, « la part de marché de l’entreprise » est le rapport des ventes de l’entreprise sur les ventes totales de la catégorie de produit et on peut les exprimer en volume ou en valeur.
Pour assurer l’efficacité sur l’étude de la part de marché, on doit étudier les consommations, puis l’analyse de la part de marché.
L’étude de la demande permet d’évaluer à quelques 223.200 kg le marché ciblé6. Pour FISH FARMING, sa production en première année ne représente que les 17.2 % (38.400 kg) de ce marché existant ; ce qui traduit que la société a beaucoup de chance pour écouler leurs produits.
ASPECT MARKETING
Le marketing se définit comme un ensemble d’études, de décisions et d’actions qui ont pour objet de connaître les besoins, les désirs des consommateurs et d’y adapter les offres commerciales, dans le but de réaliser les objectifs de l’entreprise (échanges ou de vente).
Les différentes analyses précédentes ont permis d’établir la politique et la stratégie marketing à adopter. Il s’agit précisément, du marketing MIX et des stratégies « PUSH » et « PULL ».
Stratégie PULL et PUSH
Un bon produit offert à un prix satisfaisant et distribué correctement ne suffit pas pour vendre. En effet, pour se faire connaître, l’utilisation des deux approches habituelles « PUSH » et « PULL » sera nécessaire.
La stratégie « Pull » consiste à communiquer à l’attention du consommateur final (ou du prescripteur) en utilisant notamment la publicité, pour l’attirer vers le produit. Alors que la stratégie « Push » vise à pousser le produit vers le consommateur, à l’aide notamment de la force de vente, de la promotion et/ou en stimulant les intermédiaires de la distribution.
Marketing MIX
La présentation la plus connue du marketing mix est celle dite des 4P: Produit, Prix, Place et Promotion7.
Politique du produit
L’étude de la qualité des produits est une stratégie pour faire face à la concurrence. Le projet offre sur le marché des poissons frais de taille 500g qui est facile à préparer. Cette homogénéité de taille permet au restaurant de faire plusieurs types de préparation culinaires que ce soit en sauce, en frite ou fileté. Toutefois, pour avoir une meilleure qualité des produits, quelques conditions sont exigées dans la condition d’élevage: nourriture de bonne qualité n’entraînant pas une mauvaise odeur du produit, qualité de l’eau des étangs permettant d’avoir un produit sain et des poissons à jeun avant livraison.
Politique de prix
La politique de prix est une composante très sensible de l’action marketing ; elle détermine fortement le volume des ventes, la marge unitaire et l’image de l’entreprise sur le marché. L’entreprise sera alors obligée de rechercher la meilleure politique de juste prix .Puisque le produit est relativement récent sur le marché local, la politique de pénétration qui consiste à appliquer un prix bas pour toucher la totalité de la cible a été choisie. Toutefois, le prix pratiqué doit se référer au prix psychologique à partir duquel les consommateurs acceptent d’acheter le produit. Ce prix est de 3.200 Ar8. Pour le prix de poissons de la société, elle est de 4000 Ar qui signifie politique de prix indifférenciée et cela en se référant au tableau n°3 ci-dessous.
|
Table des matières
INTRODUCTION
PREMIERE PARTIE : IDENTIFICATION DU PROJET
Chapitre 1 : Présentation du projet
Section 1 : Historique de la pisciculture
1.1 Phase précoloniale
1.2 Phase coloniale
1.3 Phase d’indépendance jusqu’en 1979
1.4 Phase de 1979 à ce jour
1.5 Différentes espèces introduites à Madagascar
Section 2 : Caractéristiques du projet
2.1 Contexte et justification du projet
2.2 Objectifs
2.2.1 Objectifs globaux
2.2.2 Objectif spécifique
2.3 Identification du projet
2.4 Choix de l’espèce
2.5 Environnement socio-économique de la zone d’implantation
2.5.1 Situation administrative
2.5.2 Climatologie
2.5.3 Hydrographie et topographie
2.5.4 Population
2.5.5 Economie
2.5.6 Infrastructures routières
2.5.7 Communication
2.5.8 Réseaux bancaires
Chapitre 2 : Etude de marché visé et aspects marketing
Section 1 : Analyse du secteur d’activité
1.1 Situation actuelle de la production d’eau douce
1.2 Commercialisation
Section 2 : Etude de marché
2.1 Analyse de la demande
2.1.1 Description du marché visé
2.1.2 Consommation moyenne annuelle par habitant
2.1.3 Caractéristique de la demande globale
2.1.3.1 En terme de quantité
2.1.3.2. En termes de qualité
2.1.3.3. En termes d’habitude des consommateurs
2.2 Analyse de l’offre
2.3 Etude de la concurrence
2.3.1 Les concurrents directs
2.3.2 Les concurrents indirects
2.3.2.1. Poissonneries
2.3.2.2. Vendeurs de produits fumés et séchés
2.3.2.3. Boucheries
2.4 Part de marché visé
Section 3: Aspects marketing
3.1 Stratégie PULL et PUSH
3.2 Marketing MIX
3.2.1 La politique de produit
3.2.2 La politique de prix
3.2.3 La politique de place : la distribution
3.2.3.1 Circuits de distribution et commercialisation de FENERIVE-ES
3.2.3.2 Circuits de distribution et commercialisation de FOULPOINTE
3.2.3.3 Circuits de distribution et commercialisation de TOAMASINA
3.2.4 La politique de promotion : communication (Push –pull)
DEUXIEME PARTIE : CONDUITE DU PROJET
Chapitre 1 : Etude technique
Section 1: Etude et aménagement du site
1.1 Choix du site
1.2 Type d’étangs
1.3 Construction des étangs
Section 2 : Conduite de l’élevage
2.1 Préparation des étangs
2.1.1. Mise à sec
2.1.2 Chaulage
2.1.3 Fertilisation
2.1.4 Mise en eau des étangs
2.1.5 Approvisionnement en alevins
2.1.6 Mise en charge
2.1.7 Grossissement
2.1.8 Alimentation
2.1.9 Cahier de charges zootechnique
2.1.10 Préparation préalable du poisson
Chapitre 2 : Capacité de production
Section 1 : Production de prévisionnelle
1.1 Phase de démarrage
1.2 Phase de croisière
1.3 Estimation de la capacité de production de poissons frais pour une campagne..
1.4 Planning de production
1.5 Estimation de la capacité de production annuelle
Section 2 : Identification des facteurs de production
2.1. Infrastructures d’exploitation
2.1.1. Etangs
2.1.2. Local
2.2. Divers matériels et équipements
2.2.1 Matériels et mobiliers de bureau
2.2.2 Matériel de transport
2.2.3 Matériels et outillages
Chapitre 3 : Etude organisationnelle
Section 1 : Organigramme
Section 2 : Attribution et profit du personnel
2.1 Le gérant
2.2 Technicien piscicole
2.3 Secrétaire comptable
2.4 Ouvriers
2.5 Magasinier
2.6 Chauffeur-livreur
2.7 Gardien
Section 3 : Organisation de travail
3.1 Effectif du Personnel
TROISIEME PARTIE : ETUDE FINANCIERE DU PROJET
Chapitre 1 : Coût d’investissement et plan de financement
Section 1 : Coût d’investissement
1.1 Immobilisations incorporelles
1.2 Immobilisations corporelles
1.2.1. Terrains
1.2.2. Construction
1.2.3. Matériel et mobilier de bureau
1.2.4. Matériel et outillage
1.2.5. Matériel de transport
1.2.6. Installation technique
1.3 Amortissement
Section 2 : Fonds de roulement initial
2.1 Définition
2.2 Application
Section 3 : Plan de financement
3.1 Répartition de l’investissement
3.2 Remboursement des emprunts
Chapitre 2 : Etude de faisabilité et rentabilité
Section 1 : Comptes de gestion
1.1. Charges d’exploitations prévisionnelles
1.1.1. Approvisionnements
1.1.1.1. Coût de la matière première
1.1.1.2. Matières consommables
1.1.1.3. Fournitures consommables
1.1.2. Charges externes
1.1.3 Impôts et taxes
1.1.4. Charges de personnel
1.2 Produits d’exploitations prévisionnelles
1.3 Résultat prévisionnel
Section 2 : Plan de Trésorerie
2.1 Budget de TVA
2.2 Bilans prévisionnels
Section 3 : Flux de trésorerie
Section 4 : Les ratios
4.1 Sur le plan de l’entreprise : Ratios de structure
4.2 Sur le plan économique : Ratios de Rentabilité
Chapitre 3 : Evaluation du projet
Section 1 : Evaluation socio-économique
1.1 Création d’emploi
1.2 Développement social et économique de la région
Section 2 : Evaluation financière
2.1 La Valeur Actuelle Nette (VAN)
2.1.1 Définition
2.1.2 Formule
2.1.3 Interprétation
2.1.4 Application
2.2 Le Taux de Rentabilité Interne (TRI)
2.2.1 Définition
2.2.2 Formule
2.2.3 Interprétation
2.2.4 Application
2.3 Indice de Profitabilité (IP)
2.3.1 Définition
2.3.2 Formule
2.3.3 Interprétation
2.3.4 Application
2.4 Le Délai de Récupération des Capitaux Investis (DRCI)
2.4.1 Définition
2.4.2 Formule
2.4.3 Interprétation
2.4.4 Application
Section 3 : Les critères d’évaluation du projet
3.1 La pertinence
3.2 L’efficacité
3.3 La durée de vie du projet
3.4 L’impact du projet
3.5 Durée de vie
CONCLUSION GENERALE
Télécharger le rapport complet