Origine et distribution géographique
Les experts ne sont pas d’accord sur le pays d’origine du Phoenix dactylifera, présentant de nombreux cultivars et une population d’environ 100 millions à travers le monde (MUNIER, 1974 ; DELEUZE, 1995). Les études archéologiques et paléontologiques ont fourni une certaine indication sur le centre d’origine du palmier dattier. Les premières découvertes du genre Phoenix étaient dans les sédiments Eocène du bassin parisien et dans les jeunes couches du tertiaire au centre et au sud de l’Europe. KAUL (1951), conclut sur cette base que Phoenix dactylifera est une espèce à la base d’origine européenne plutôt que asiatique. L’Afrique du Nord, le Moyen-Orient et le Sud de l’Asie étaient au-dessous du niveau de la mer dans la période du tertiaire. La culture du palmier dattier a probablement commencé dès l’âge Néolithique (MUNIER, 1953). Elle s’est développée pratiquement de façon simultanée dans différents endroits, entre l’Atlantique et l’Inde. Les traces de cultures trouvées à l’Ouest de l’Inde, datent du 3ème millénaire avant J.C. (CHEVALIER, 1952). Elle est cultivée depuis la haute antiquité en Egypte et en Mésopotamie, environ 5000 ans avant J.C. Actuellement, son aire de culture s’étend dans les zones arides et semi-arides chaudes, allant de la vallée de l’Indus à l’Est jusqu’aux côtes atlantiques à l’Ouest. Ces zones possèdent environ 90 % du nombre total de palmiers et donnent l’essentiel de la production mondiale (DJERBI, 1994). Les limites extrêmes de la phoeniciculture s’étendent sensiblement entre 10° de latitude Nord (Somalie) et 39° de latitude Nord (Espagne et Turkménistan). Les zones les plus favorables semblent comprises entre le 24° et le 34° de latitude Nord (GIRARD, 1961). L’espèce dactylifera est localisée en Europe méditerranéenne, en Afrique et en Asie occidentale (OUDEJANS, 1969). D’autre part, Il a été introduit en Australie (FONTENEY, 1960) et aux Etats-Unis d’Amérique, notamment au sud de la Californie, 33° de latitude Nord, où beaucoup de recherches ont été réalisées sur le palmier dattier (NIXON, 1959).
Types de racines
Le système racinaire du palmier dattier est de type fasciculé (DJERBI, 1994) avec une ramification basale selon le modèle de TOMLINSON (BOUNAGA, 1991 in BABAHANI, 1998). Il est formé de racines de premier ordre qui émettent très tôt des racines de deuxième ordre qui émettent à leur tour des racines de troisième ordre et ainsi de suite. La répartition et la morphologie des racines sont comme suit (DJERBI, 1994) :
Les racines de premier ordre « auxirhyzes », sont sensiblement cylindriques sur toute leur longueur ; leur extrémité conique ne présentent jamais de poils absorbants ; elles prennent toute naissance à la base du stipe, leur longueur est en moyenne de 4 à 10 m. leur diamètre varie entre 7 et 12,5 mm. Ces racines forment un tapis qui couvrent de grandes superficies.
Les racines de deuxième ordre « mésorhyzes », sont portées par les racines de premier ordre ; elles ont une longueur variant entre 20 et 25 cm et un diamètre moyen de 3,5 mm. Elles présentent une morphologie et une structure identiques à celles des racines de premier ordre,
Les racines de troisième ordre « brachyrhizes », portées par les racines de deuxième ordre ont un diamètre de quelques dixièmes de millimètres à 1,5 mm. Ce sont des racines à croissance lente, courtes et très abondantes. Toutes les racines peuvent présenter des pneumatodes qui sont des organes à vocation respiratoire ; ils se présentent sous forme de petites plaques et verrues farineuses sur les racines. Ils sont facilement reconnaissables en palmeraie par leur forme en anneaux farineux blanchâtre ; au microscope, ils se présentent sous forme de tissus parenchymateux éclatés qui n’occupent pas toujours la même position chez les différentes racines (DJERBI, 1994).
Organes floraux
Le nombre de chromosomes de n = 18, 2n = 36 (diploïde), est observé sur six espèces de Phoenix et dix cultivars de Phoenix dactylifera (BEAL, 1937). Des cas de polyploïdie (2n = 64) ont été signalés par AL-SALIH et AL-RAROI (1987 in DJERBI, 1994) sur des cultivars irakiens de palmier dattiers. Il est dioïque, les inflorescences mâles et femelles sont portées par des palmiers différents, elles sont en forme de grappes d’épis de 0,25 à 1 m de long, provenant du développement des bourgeons situés à l’aisselle des palmes, apparus depuis un an. Les fleurs du dattier sont unisexuées, pratiquement sessiles, à pédoncule très court. Elles sont portées par des pédicelles rassemblés en épi composé appelé spadice (Fig. 2). Ce dernier est enveloppé dans une bractée appelée spathe, elle s’ouvre d’elle-même suivant la ligne médiane du dos (DJERBI, 1994). Les pieds femelles présentent des spathes étroites, allongées, pouvant atteindre 1,2 à 2 m de long, éclatent longitudinalement, une hampe florale peut compter de 25 à 100 épis (OUDEJANS, 1969). La période de réceptivité des fleurs femelles au pollen varie selon le cultivar. En effet, elle est respectivement pour le cultivar « Ghars » et « Deglet-Nour » de 8 et 12 jours après l’éclatement des spathes (BABAHANI, 1998). Mais les spathes mâles sont plus gonflées de 25 à 60 cm de long, avec une légère dépression dans la partie supérieure, une hampe florale peut compter de 100 ou 150 épis (OUDEJANS, 1969). Huit à dix milles fleurs, ont été observées dans une très grande inflorescence femelle, et un grand régime peut contenir plus de 5000 dattes (NIXON, 1935). La fleur femelle est globulaire, constituée d’un calice court, capuliforme, à trois pointes, formé de trois sépales soudés (calice gamosépale) et d’une corolle formée de trois pétales ovales, arrondies et libres (corolle dialypétale à préfloraison tordue) et dix étamines avortées ou staminoïdes. Le gynécée comprend trois carpelles indépendants à un seul ovule anatrope, chacun est inséré à la base de l’ovaire et possède trois styles libres, se terminant chacun par un stigmate papillé. La fleur mâle présente une forme allongée, composée d’un calice court et cupuliforme, tridenté, formée de trois sépales soudés, d’une corolle formée de trois pétales légèrement allongés, se terminant en pointe et de deux verticilles de trois étamines (androcée displostémone). Les six étamines sont réduites à leurs anthères qui sont à déhiscences dextroses (MUNIER, 1973). BOUGUEDOURA (1991) a mis en évidence la présence de trois pseudos carpelles chez les fleurs mâles. Les fleurs mâles et femelles se ressemblent au début de leur autogenèse, elles sont hermaphrodites, ensuite, la différenciation morphologique débute, lorsque l’élongation des étamines se réalise en différenciant les sacs polliniques (DE MASON et al. 1983).
Exigences hydriques
Le palmier dattier est localisé dans les zones arides et semi-arides chaudes, possédant des ressources importantes en eau, pour qu’il puisse satisfaire ses besoins en eau au niveau des racines. Ceci est illustré par le vieil proverbe populaire « le palmier dattier vit les pieds dans l’eau et la tête au soleil ». Les palmiers dattiers exploitent directement les eaux des nappes phréatiques superficielles. Cette pratique, très ancienne et répandue largement à Oued Souf, est appelée couramment palmeraie Bour. Dans les autres palmeraies de nappe profonde l’irrigation est primordiale. Les palmiers sont irrigués généralement par la méthode de submersion ou localisée. Les eaux exploitées proviennent des puits, forages et Foggaras. Les besoins en eau du palmier dattier sont importants, de l’ordre de 2,4 m3 d’eau par kg de dattes (DJERBI, 1994). Les besoins hydriques du palmier dattier varient selon la situation géographique des oasis dans les pays producteurs de dattes. Le palmier dattier a besoin d’environ 115 à 306 m3 d’eau par an. En Algérie, pour une densité de plantation de 130 palmiers par hectare, les besoins en eau varient entre 22750 et 21344 m3 / ha / an (JUS, 1900 in DJERBI, 1994 ; HUSSEIN et al. 1979). Cependant, dans les pays où les oasis présentent 120 palmiers par hectare, les besoins en eau varient de 13800 à 36720 aux U.S.A. (NIXON, 1959), et de 24640 à 36500 en Tunisie (UNESCO, 1970 in DJERBI, 1994). DJERBI (1994), les besoins en eau du palmier dattier en Algérie ont été estimés par plusieurs chercheurs en fonction de la densité de plantation par hectare. Les besoins en eau sont estimés à Oued Righ, pour 129 palmiers / ha, de 33927 m3 / ha / an (GAUTIER, 1935), et de 21960 à 26040 m3 / ha / an, pour 120 palmiers / ha (WERTHEIMER, 1957). Cependant, LANGRONIER (1935) estime au M’Zab les besoins de 130 palmiers / ha à 17940 m3 / ha / an, et WERTHEIMER (1957) mentionne que les besoins de 120 palmiers / ha aux Ziban sont de l’ordre de 15000 à 18000 m3 / ha / an. Nous remarquons que les besoins du palmier dattier sont plus faibles aux Ziban et au M’Zab, ils sont de l’ordre de 125 à 150 m3 d’eau par palmier et par an. Ces régions ont une nappe phréatique profonde et des eaux d’irrigation nettement plus douces par rapport à celles de l’Oued Righ où les besoins sont de 183 à 263 m3 d’eau / palmier / an. REME (1935), a déterminé que sur 175 m3 d’eau apportés au palmier par an, celui-ci absorbe réellement 87 m3 d’eau / an. 50,4 % des eaux qui restent sont nécessaires à la lixiviation des sels dans les sols. Les sels de ces derniers, en provenance de l’eau d’irrigation et de la nappe phréatique superficielle, s’accumulent par remontée capillaire dans les horizons superficiels des sols. Les doses et fréquences d’irrigation changent en fonction des saisons et la nature des sols cultivés. En hiver, stade zéro de végétation, les palmiers dattiers ont des besoins en eau réduits. Au printemps, les besoins en eau augmentent car le palmier passe par une intense activité correspondant à la sortie des inflorescences, à la floraison, à la fécondation, à la nouaison et à la sortie de nouvelles palmes. Les besoins atteignent leur maximum en été à cause de l’évolution rapide de la formation des fruits et l’évapotranspiration potentielle élevée. Au début d’automne, les besoins en eau sont encore considérables, puisque cette période correspond à celle du cycle de maturation des dattes et la formation de nouvelles palmes. A la fin de l’automne, malgré la baisse des températures, il est déconseillé de diminuer les doses d’irrigation, parce que le cycle de maturation des dattes n’est pas terminé et la récolte risque de s’abaisser fortement (DJERBI, 1994). MONCIERO (1950), conclut sur la base d’étude précédente à la palmeraie d’El-Arfiane, en Algérie, que le volume 26383 m3 / ha / an est réparti par une irrigation par semaine en saison fraîche et deux irrigations par semaine en saison chaude. NIXON (1959), estime que le volume annuel d’eau par hectare devrait être deux fois important en sol léger par rapport au sol lourd. La fréquence d’irrigation change aussi en fonction des apports de nappe phréatique et de la pluie. MUNIER (1973), à Kankassa en Mauritanie, définit les volumes d’irrigation en fonction de trois saisons :
En saison sèche et fraîche, de décembre à février, avec une nappe phréatique à moins de 2 m, il faut apporter au palmier dattier 1500 m3 d’eau par semaine,
En saison sèche et chaude, allant de mars à juin et d’octobre à novembre, avec une nappe se trouvant entre 2,5 et 3 m de profondeur, il faut apporter au palmier dattier
1500 m3 d’eau tous les cinq jours,
En saison des pluies, juillet à septembre, il faut arrêter les irrigations, car la pluviométrie est supérieure aux besoins hydriques.
La qualité des eaux phréatiques superficielles et des eaux d’irrigation doit être pris en considération dans le calcul de la dose d’irrigation. En nappe phréatique douce, il faut déduire les quantités d’eau, que le palmier peut utiliser de la nappe, des besoins totaux en eau d’irrigation. En cas de nappe chargée en sels ou d’eau d’irrigation salée, il faut augmenter les apports d’eau pour diluer la nappe en vue de son drainage et permettre une bonne lixiviation des sels dans le sol (DJERBI, 1994).
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Table des matières
Introduction
CHAPITRE I : GENERALITES SUR LE PALMIER DATTIER
I.1. Taxonomie
I.2. Origine et distribution géographique
I.2.1. Palmeraies du monde
I.2.2. Palmeraies algériennes
I.3. Morphologie
I.3.1. Système racinaire
I.3.1.1. Types de racines
I.3.1.2. Description anatomique
I.3.1.3. Zones d’enracinement
I.3.11.1. Racines respiratoires
I.3.1.2.2. Racines de nutrition
I.3.1.3.3. Racines d’absorption
I.3.1.4.4. Racines d’absorption profonde
I.3.1.4. Développement racinaire
I.3.2. Système végétatif
I.3.2.1. Stipe
I.3.2.2. Palmes
I.3.2.3. Organes floraux
I.3.2.4. Fruits
1.4. Exigences écologique
1.4.1. Exigences climatiques
1.4.1.1. Températures
1.4.1.2. Pluviométrie
1.4.1.3. Humidité
1.4.1.4. Vents
1.4.2. Exigences édaphiques
1.4.3. Exigences hydriques
CHAPITRE II : PRESENTATION DE LA REGION D’ETUDE
II.1. Situation géographique
II.2. Présentation du milieu naturel
II.2.1. Relief
II.2.2. Sol
II.2.3. Hydrogéologie
II.3. Facteurs climatiques
II.3.1. Température
II.3.2.Vents
II.3.3. Précipitations
II.3.4. Evaporation
II.3.5. Insolation
II.3.6. Humidité relative de l’air
II.4. Synthèse climatique
CHAPITRE III : MATERIEL ET METHODES
III.1. Méthodes utilisées sur terrain
III.1.1. Choix des Stations
III.1.1.1. Description de l’exploitation
III.1.1.1.1. Palmeraie moderne
III.1.1.1.1. 1. Transect végétal de la station Djedida et Bayada
III.1.1.1.2. Palmeraie traditionnelle de Djedida et Miha Gazalla
III.1.1.1.2.1. Transect végétal de la station Djedida et Miha Gazalla
III.1.1.1.3. Palmeraie abandonnée de Djedida et Miha Gazalla et Bayada
III.1.1.1.3.1. Transect végétal de la station Djedida, Miha Gazalla et Bayada
III.2. ETUDE DU SOL
III.2.1. Méthodes d’analyse
III.2.2. Analyses du sol
III.2.2.1. Mesures physiques
III.2.2.1.2. Estimation de l’humidité
III.2.2.2. Mesures chimiques et physico-chimiques
III.2.2.2.1. pH, pH Kcl et conductivité électrique (CE)
III.2.2.2.2. Calcaire total
III.2.2.2.3. Estimation de la matière organique
III.3. Méthode de capture de la faune
III.1.4.1. Méthode des pots Barber
III.1.4.1.1. Description de la méthode des pots Barber
III.1.4.1.2. Avantages des pots Barber
III.1.4.1.3. Inconvénients des pots Barber
III.3. Exploitation des résultats par la qualité d’échantillonnage et par des indices écologiques
III.3.2. Exploitation des résultats par des indices écologiques de composition
III.3.2.1. Richesse spécifique
III.3.2.1.1. Richesse totale (S)
III.3.2.1.2. Richesse moyenne (Sm)
III.3.2.2. Fréquences centésimales ou abondances relatives
III.3.2.3. Fréquence d’occurrence et constance
III.3.3. Exploitation des résultats par des indices écologiques de structure
III.3.3.1. Indice de diversité de Shannon-Weaver
III.3.3.2. Indice de diversité maximale
III.3.3.3. Indice d’équirépartition ou d’équitabilité
III.3.3.4. Analyse Factorielle des Correspondances (A.F.C)
III.3.3.5. Analyse statistique des données
CHAPITRE IV : RESULTATS ET DISCUSSION
IV.1. ANALYSE DU SOL
IV.1.1. Etude des propriétés physiques
IV.1.1.1. Humidité du sol
IV.1.2. Etude des propriétés physico-chimiques
IV.1.2.1. Conductivité électrique des sols
IV.1.2. 3. PH du sol
IV.1.3.2. Taux de calcaire total
IV.1.3.3. Taux de matière organique
IV. 2. Exploitation des résultats portant sur la macrofaune dans les palmeraies
IV. 2. 1. Inventaire des espèces piégées en fonction des ordres dans chaque palmeraie
IV.2.1.1. Effectifs et abondance relative des individus en fonction des ordres dans les stations de la palmeraie moderne
a) Palmeraie moderne Station 01 (Djedida)
b) Palmeraie moderne Station 02 (Bayada)
c) Palmeraie moderne Station 03 (Bayada)
IV.2.1.2. Effectifs et abondance relative des individus en fonction des ordres dans les stations de la palmeraie traditionnelle
a) Palmeraie traditionnelle Station 04 (Djedida)
b) Palmeraie traditionnelle Station 05 (Miha Gazalla)
c) Palmeraie traditionnelle Station 06 (Miha Gazalla)
IV.2.1.3. Effectifs et abondance relative des individus en fonction des ordres dans les stations de la palmeraie abandonnée
a) Palmeraie abandonnée Station 07 (Djedida)
b) Palmeraie abandonnée Station 08 (Miha Gazalla)
c) Palmeraie abandonnée Station 09 (Bayada)
IV.3. Exploitation des résultats inventories dans les trois palmeraies par les indices écologique
IV.3.1. Exploitation des résultats obtenus par les indices écologiques de compositions
IV.3.1.1. Abondance relative des individus en fonction des espèces dans les palmeraies
IV.3.1.1.1. Abondance relative des individus en fonction des espèces dans la palmeraie moderne
a) Palmeraie moderne Station 01 (Djedida)
b) Palmeraie moderne Station 02 (Bayada)
c) Palmeraie moderne Station 03 (Bayada)
IV.3.1.1.2. Abondance relative des individus en fonction des espèces dans la palmeraie traditionnelle
a) Palmeraie traditionnelle Station 04 (Djedida)
b) Palmeraie traditionnelle Station 05 (Miha Gazalla)
c) Palmeraie traditionnelle Station 06 (Miha Gazalla)
IV.3.1.1.3. Abondance relative des individus en fonction des espèces dans la palmeraie abandonnée
a) Palmeraie abandonnée Station 07 (Djedida)
b) Palmeraie abandonnée Station 08 (Miha Gazalla)
c) Palmeraie abandonnée Station 09 (Bayada)
IV.3.1.2. Richesse totale mensuelle et moyenne dans les palmeraies
IV.3.1.2.1. Richesse totale mensuelle et moyenne dans la palmeraie moderne
a) Palmeraie moderne Station 01 (Djedida)
b) Palmeraie moderne Station 02 (Bayada)
c) Palmeraie moderne Station 03 (Bayada)
IV.3.1.2.2. Richesse totale mensuelle et moyenne dans la palmeraie traditionnelle
a) Palmeraie traditionnelle Station 04 (Djedida)
b) Palmeraie traditionnelle Station 05 (Miha Gazalla)
c) Palmeraie traditionnelle Station 06 (Miha Gazalla)
IV.3.1.2.3. Richesse totale mensuelle et moyenne dans la palmeraie abandonnée
a) Palmeraie abandonnée Station 07 (Djedida)
b) Palmeraie abandonnée Station 08 (Miha Gazalla)
c) Palmeraie abandonnée Station 09 (Bayada)
IV.3.1.3. La constance des espèces échantillonnées dans les palmeraies
IV.3.1.3.1. La constance des espèces échantillonnées dans la palmeraie moderne
a) Palmeraie moderne Station 01 (Djedida)
b) Palmeraie moderne Station 02 (Bayada)
c) Palmeraie moderne Station 03 (Bayada)
IV.3.1.3.2. La constance des espèces échantillonnées dans la palmeraie traditionnelle
a) Palmeraie traditionnelle Station 04 (Djedida)
b) Palmeraie traditionnelle Station 05 (Miha Gazalla)
c) Palmeraie traditionnelle Station 06 (Miha Gazalla)
IV.3.1.3.3. La constance des espèces échantillonnées dans la palmeraie abandonnée
a) Palmeraie abandonnée Station 07 (Djedida)
b) Palmeraie abandonnée Station 08 (Miha Gazalla)
c) Palmeraie abandonnée Station 09 (Bayada)
IV.3.2. Exploitation des résultats obtenus par les indices écologiques de structure
IV.3.2.1. Diversité de Shannon-Weaver et Diversité maximale dans les palmeraies
IV.3.2.1.1. Diversité de Shannon-Weaver et Diversité maximale dans la palmeraie moderne
a) Palmeraie moderne Station 01 (Djedida)
b) Palmeraie moderne Station 02 (Bayada)
c) Palmeraie moderne Station 03 (Bayada)
IV.3.2.1.2. Diversité de Shannon-Weaver et Diversité maximale dans la palmeraie traditionnelle
a) Palmeraie traditionnelle Station 04 (Djedida)
b) Palmeraie traditionnelle Station 05 (Miha Gazalla)
c) Palmeraie traditionnelle Station 06 (Miha Gazalla)
IV.3.2.1.3. Diversité de Shannon-Weaver et Diversité maximale dans la palmeraie traditionnelle
a) Palmeraie abandonnée Station 07 (Djedida)
b) Palmeraie abandonnée Station 08 (Miha Gazalla)
c) Palmeraie abandonnée Station 09 (Bayada)
IV.3.2.2. Equitabilité dans la palmeraie
IV.3.2.2.1. Equitabilité dans la palmeraie moderne
a) Palmeraie moderne Station 01 (Djedida)
b) Palmeraie moderne Station 02 (Bayada)
c) Palmeraie moderne Station 03 (Bayada)
IV.3.2.2.2. Equitabilité dans la palmeraie traditionnelle
a) Palmeraie traditionnelle Station 04 (Djedida)
b) Palmeraie traditionnelle Station 05 (Miha Gazalla)
c) Palmeraie traditionnelle Station 06 (Miha Gazalla)
IV.3.2.2.3. Equitabilité dans la palmeraie abandonnée
a) Palmeraie abandonnée Station 07 (Djedida)
b) Palmeraie abandonnée Station 08 (Miha Gazalla)
c) Palmeraie abandonnée Station 09 (Bayada)
IV. 4. Exploitation des résultats portant sur la macrofaune dans les palmeraies par A.F.C
IV.5. DISCUSSION
Conclusion et Perspective
Référence bibliographie
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