ETUDE DE LA FILIERE LAPIN DE CHAIR AU SENEGAL, LE CAS DE DAKAR

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PRODUCTION DE VIANDE

Selon l’OIE (organisation mondiale de la santé animale), la viande désigne toutes les parties comestibles d’un animal. Selon la réglementation européenne, ce sont les parties comestibles des animaux, y compris le sang. L’Organisation Mondiale de la Santé Animale considère que le mot « animal », dans ce contexte, désigne « tout mammifère ou oiseau, ainsi que les abeilles ».
Dans ce chapitre nous allons parler de la production mondiale de viande, de la production nationale de viande et de la production mondiale de lapin.

Production mondiale de viande

La production de viande dans le monde est estimée à 280 millions de tonnes (FAO, 2008.) dont 36,9 % de viande porcine, 28,5 % de viande de volailles et 22,3 % de viande bovine.
Il n’est pas facile d’obtenir des données complètes et statistiquement fiables sur l’élevage et la production de viande de lapin. Certains pays évaluent la totalité de la production, y compris celle provenant des petits élevages à vocation vivrière, d’autres se limitent aux unités à vocation commerciale. Les données de la FAO peuvent constituer un aperçu des principaux pays producteurs ; ces données résultent de chiffres officiels mais aussi d’estimations.
Les principaux pays producteurs sont la Chine (26,6 %), les États-Unis (15,4 %), le Brésil (8,2 %), l’Allemagne (2,75 %), l’Inde (2,4 %), la Russie (2,2 %) et le Mexique (2,0 %). Cette statistique n’inclut pas les poissons et autres animaux aquatiques.
Les données de la FAO disponibles sur la production de viande permettent de suivre son évolution de 1961 à nos jours. Au niveau mondial, elle se caractérise par une progression régulière, de 1 à 6 % par an. Le taux moyen de croissance approche de 3 % (2,4 % pour la période 1998-2008). La Chine est le principal moteur de cette croissance. Sixième producteur mondial en 1961, ce pays est passé premier en 1990 ; sa production a augmenté en moyenne de 7,5 % sur la période 1961-2008, et a fourni en 2008 le quart de la production mondiale.

Production nationale de viande

La production locale de viande est estimée en 2010 à 176840 tonnes soit une progression de 10770 tonnes par rapport à 2009 (SENEGAL, 2010). Cette production se répartit en viande rouge pour près de 118089 tonnes soit (58%) et en viande blanche pour 58750 tonnes soit (42%). Les importations de viandes en 2010 ont accusé une régression par rapport à 2009, passant 8 469 tonnes à 7685 tonnes. Elles représentent 4,16% du disponible en viande. Les volailles prennent de plus en plus de l’importance. La consommation per capita (14,8 kg/hbt) est très faible par rapport à celle des USA(120), France (90), Japon (40) (voir tableau III).

LA CUNICULTURE ET SON DEVELOPPEMENT

Ce chapitre traite de trois sections : le lapin et ses produits, la cuniculture et le développement de la cuniculture au Sénégal.

Le lapin et son importance

Rappel systématique:

Le lapin est un mammifère de l’ordre des Lagomorphes, de la famille des Léporidés et de la sous famille des Léporinés qui compte 6 genres (OWEN ET MORGAN, 1976), dont le genre Oryctolagus (du grec oruktes = fouisseur… et lagos = lièvre !) qui n’a qu’une seule espèce :Oryctolagus cuniculus ( Linné, 1758).
Les races cunicoles se classent de deux manières. La première en fonction du format, où on a trois catégories:
Le grand format comme le Géant des Flandres, le Géant blanc de Bouscat , dont le poids vif varie entre 5 et 6 Kg ;
Le format moyen comme le Néo-Zélandais Blanc, le Blanc et le Bleu de Vienne le Californien , dont le poids varie entre 3,5 et 5 Kg, de bonne conformation bouchère, il supporte les cases grillagées
et le petit format comme le Petit Russe, le Polonais, son poids est inférieur à 3,5Kg très précoce, très prolifique (HENAFF R. et JOUVE D. 1988).
La seconde selon la nature des poils. On a trois races :
Les races ordinaires caractérisées par la présence en bonne proportion de poils uniformément répartis sur tout le corps ;
Les Rex ou races à poils ras qui sont des races sans poils de jarre, à peau veloutée
et les races à duvet ou races d’agrément et de fourrure (VARENNE H. ; RIVE M. ET VEIGNEAU, 1963)
Fauve de Bourgogne Californien Géant Blanc du Bouscat
Néo Zélandais Blanc Géant des Flandres Bélier Français

Les caractéristiques du lapin:

Le lapin est un monogastrique. Il a des dents qui poussent continuellement mais il les use et les affûte par des mouvements continuels des mâchoires. Il fait la caecotrophie ( la caecotrophie est le fait de reingestion de la crotte molle du caecum). En effet, selon BINET et al. Cité par LAPLACE (1978), l’originalité du fonctionnement du tube digestif du lapin réside dans l’activité de son colon proximal. Ainsi le colon fabrique 2 types de crottes : les crottes dures et les crottes molles appelées caecotrophie. Les crottes dures sont éliminées dans la litière tandis que les caecotrophie sonneries par l’animal qui les récupère directement au niveau de l’anus. Ces crottes molles enrichies en vitamines et en acides aminés progressent dans le tube digestif et les nutriments sont absorbés par l’intestin grêle lors de ce deuxième passage.
Le lapin domestique est capable de s’adapter facilement aux différentes conditions aux quelles il peut être soumis (LEBAS et al ; 1984).
Il a une haute productivité en termes d’animaux ou en Kg/an/mère, liée à une ovulation permanente induite par la saillie, (150 jours d’intervalle entre deux générations) et de courtes durées de gestation (30-31jours) et de lactation. A cela s’ajoute une haute prolificité (2-3 portées/ an), et une croissance rapide.
Malgré ses avantages, le lapin présent des faiblesses : les mâles adultes cherchent à éliminer les jeunes mâles à la puberté. De même, chaque femelle suitée ou non attaque les jeunes d’autres femelles (LEBAS, 1996). Par ailleurs, l’impact de la température élevée est plus important chez le lapin mâle ( lésion des spermatozoïdes affectant leur aptitude si l’exposition à la chaleur est limitée dans le temps a ou blocage systématique de la spermatogénèse au stade spermatogonie si l’exposition est prolongée) que chez la femelle, chez laquelle il ne se produit qu’un état physiologique proche du di-œstrus dont la maîtrise peut être envisagée et une diminution du taux d’ovulation dont le contrôle est aussi possible dans certaine condition (SABBAGH M.;1983).
Un des attributs de l’élevage de lapin est l’incidence relativement limitée des maladies épidermiques quand un niveau élevé d’hygiène et une gestion soigneuse sont pratiqués (GUINDJJOUMBI S. 2007).
Owen (1976) a observé une faible incidence des maladies et/ou des niveaux plus élevés de productivité dans des élevages de lapin de type familial par opposition aux unités intensives et commerciales.

Les pathologies du lapin

Les maladies de l’appareil digestif

Chez le lapin, les maladies de l’appareil digestif se traduisent presque toujours par de la diarrhée. Les causes de ces maladies sont de plusieurs ordres : psychique, alimentaire et microbien.
– les causes psychiques
Le surpeuplement, le changement de personne soignant, les rats, les chiens, les enfants, les bruits violent, causent une décharge d’adrénaline qui bloque le péristaltisme intestinal, en particulier au niveau de l’évacuation du cæcum. Cela entraîne le développement d’une flore anormale, surtout colibacillaire, ces bactéries étant déjà présentes dans le tube digestif mais à faible niveau.
– les causes alimentaires
Le déficit de la ration en fibres, ou plus précisément en cellulose et en lignine (voir la partie « alimentation »), entraîne un ralentissement du transit digestif et accroît très fortement la sensibilité des lapins aux autres facteurs. A défaut d’un aliment complet granulé contenant les bonnes proportions de fibres, les éleveurs utilisent souvent de la provende en farine pauvre en fibres. Dans ce cas, un apport complémentaire et suffisant d’un fourrage appétant lui même riche en fibres est indispensable.
Par ailleurs, les matières premières constituant les aliments granulés comme les provendes farineuses peuvent contenir des moisissures et les mycotoxines qu’elles ont produits. C’est malheureusement souvent le cas des tourteaux d’arachide par exemple (présence d’aflatoxines). Les mycotoxines provoquent des arrêts de consommation et des diarrhées. Le risque de production de mycotoxines est particulièrement important lorsque les matières premières ou l’aliment préparé ne sont pas stockés dans un milieu bien sec et aéré.
– les causes infectieuses
Des colibacilles sont toujours présentes dans le tube digestif des lapins. Cependant, seuls certains d’entre eux sont pathogènes voire très pathogènes. Les salmonelles, les klebs elles peuvent aussi provoquer des diarrhées.
Les principales causes des maladies digestives sont présentées ci-après.

Les maladies respiratoires

Outre les affections du tube digestif, les maladies respiratoires sont également très répandues et redoutées en élevage cunicoles. Les plus couramment rencontrées sont le coryza contagieux et les pasteurelloses. Dans la majorité des cas, les maladies respiratoires sont liées à un défaut dans l’environnement immédiat du lapin. Les facteurs favorisants sont :
• Les facteurs climatiques (froid ou chaleur excessive)
• Les facteurs d’ambiance comme une aération insuffisante, un air trop humide et surtout des courants d’air
• La présence de poussière dans l’air ou dans l’aliment (un aliment est poussiéreux si des particules fines se soulèvent quand on souffle doucement sur l’aliment)
• La concentration excessive de gaz irritant comme l’ammoniac (plus de 10-15 ppm).
• Les situations physiologiques délicates (gestation, sevrage, …)
• Les facteurs pathologiques (parasitisme par exemple).

Les maladies virales

Deux maladies son très rependues: la maladie virale hémorragique (VHD) et la myxomatose.
La maladie hémorragique virale (ou VHD), de nos jours, de nombreux foyers apparaissent encore, mettant en évidence la persistance du virus. Cette maladie touche les lapins adultes ou pré-adultes, rarement les jeunes lapereaux. Elle est causée par Calicivirus, sa transmission se fait par contact de lapin à lapin. le lapin est excréteur 24 heures après sa contamination. Le virus n’est pas détruit par la congélation des viandes, vecteurs transfrontaliers. La maladie évolue très rapidement vers la mort. On a des difficultés respiratoires, une immobilité de l’animal dans un coin de la cage, pattes avant étirées, tête souvent en l’air, Hypothermie environ (précédée d’un pic thermique (jusqu’à ) la veille),une épistaxis (sang autour des narines) ou du sang à l’anus, un ictère : teinte jaunâtre des organes, une nécrose du thymus et coagulation intravasculaire disséminée sur le foie, le rein, le poumon et œdèmes.
Aucun traitement n’est possible mais il existe des vaccins…
La prévention peut se faire en distribuant du fourrage de qualité, en évitant le contact entre le chien de la maison et les lapins, en désinfecter le matériel de tatouage, en stopper les prêts ou échanges de reproducteurs et en vaccinant le lapin (l’immunité est efficace 7 jours après la vaccination).
La myxomatose est la maladie virale la plus connue et qui reste très présente en France. Elle est très contagieuse. Autrefois saisonnière, elle s’exprime désormais toute l’année et revêt des formes atypiques de plus en plus difficiles à déceler.
Elle est causée par un Provirus : famille des leporipoxvirus. Le virus est résistant dans le milieu extérieur, il en existe plusieurs souches avec des pathogénicités différentes.
La contamination peut se faire par piqûre d’insecte (puce, moustique, mouche), par la semence du mâle ou par simple contact.
La à disparaître.
Forme c La Forme cprintemps à l’automne). Inoculation par piqûre de puce (Spilopsillus cuniculi). Un premier myxome apparaît au point d’inoculation (simple rougeur ou petite papule), puis d’autres, sous forme nodulaire, apparaissent sur les paupières, les oreilles, les parties génitales et le nez.
La gesForme»:sur«lesboutonslapinsrouangora
Il n’ya Aucun traitement mais il existe des vaccins…
Conseiller l’abattage du lapin contaminé et la destruction de son environnement
Désinfecter et pulvériser un produit virucide sur le matériel de l’élevage matin et soir.
Pour la prévention: installer des moustiquaires et des insecticides, désinfecter l’environnement, utiliser des aiguilles à usage unique ou (effectif nombreux) changer souvent les aiguilles, ou utiliser un appareil en intra-dermo, vacciner : Favoriser le développement de l’immunité. Eviter tout « vide » vaccinal.

Les maladies externes

Les plus fréquentes sont:
• Les gales En Afrique, les gales sont fréquentes chez les lapins.
• Les dermatomycoses ou teignes et
• La nécrose des pattes

Les maladies des reproductrices

Elles sont nombreuses et variées on peut citer :
• Les abcès et les mammites ;
• Frigidité et stérilité ;
• Fausse gestation ou Pseudo-gestation ;
• Les accidents à la mise bas et
• Mortalité au nid des lapereaux avant la 4e semaine
Les trois principales maladies en production de lapin, en général, sont la coccidiose, la pasteurelleose et la myxomatose.
Au Sénégal, selon GUINDJJOUMBI S. 2007 et NTEME ELLA G. S. 2000 les maladies les plus rencontrées sont les maladies cutanées (la gale et le mal de patte) et la diarrhée.

La prophylaxie sanitaire et médicale (la prévention)

La prophylaxie sanitaire : l’Hygiène

Prophylaxie veut dire « Prévenir les maladies »; la prophylaxie sanitaire ou hygiène c’est « prévenir » les maladies en mettant l’animal dans les meilleures conditions possibles d’environnement.

La prophylaxie médicale : prévention à l’aide de médicaments ou de vaccins

La prophylaxie médicale des maladies parasitaires (coccidiose et vers intestinaux) permet de maintenir en général un bon état sanitaire de l’élevage. A cet effet, il existe des sulfamides très efficaces dans la prévention de la coccidiose. Une vermifugation périodique est également souhaitable. L’usage abusif des antibiotiques est à proscrire.
Afin de ne pas créer les foyers de sensibilité, l’usage de vaccins contre la VHD et la myxomatose n’est recommandé qu’en milieu contaminé. Penser à détruire les flacons après décontamination longue dans l’eau de Javel.

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Table des matières

INTRODUCTION
PREMIERE PARTIE: GENERALITES SUR L’ELEVAGE AU SÉNEGAL
CHAPITRE 1 : PRESENTATION DU SENEGAL
1.1 ZONES AGRO-ECOLOGIQUES
Figure 1 : zonage agro-écologique
1.2. SYSTEMES D’ELEVAGE
1.2.1. Les systèmes d’élevage des ruminants
1.2.1.1. Le système d’élevage pastoral
1.2.1.2. Le système agropastoral
1.2.1.3. Le système péri-urbain
1.2.2. Les systèmes d’élevage des porcs
1.2.3. Les systèmes d’élevage des volailles
1.3. L’élevage dans l’économie nationale
CHAPITRE 2: PRODUCTION DE VIANDE
2.1. PRODUCTION MONDIALE DE VIANDE
2.2. PRODUCTION NATIONALE DE VIANDE
2.3. LA PRODUCTION MONDIALE DE LAPIN
CHAPITRE 3: LA CUNICULTURE ET SON DEVELOPPEMENT
3.1. LE LAPIN ET SON IMPORTANCE
3.1.1. Rappel systématique:
3.1.2. Les caractéristiques du lapin:
3.1.3. Les pathologies du lapin
3.1.5. L’importance du lapin
3.1.5.1. Les produits du lapin
3.1.5.1.1. Les éléments du cinquième quartier
3.1.5.1.2. La carcasse
3.1.5.2. LE LAPIN COMME ANIMAL DE LABORATOIRE
3.1.5.3 Le lapin dans l’économie mondiale
3.2. DEVELOPPEMENT DE LA FILIERE LAPIN DE CHAIR
3.2.1. LA CUNICULTURE
3.2.1.1. L’historique de la domestication et de l’élevage de lapin
3.2.1.2. Différents types d’élevage
3.2.1.2.1. La cuniculture traditionnelle
3.2.1.2.2. La cuniculture rationnelle
3.2.1.2.3. La cuniculture rationnelle stabilisée
3.2.1.2.4. La cuniculture de type dynamique
3.2.2. Les abattoirs de lapin
3.2.2.3.1. Préparation de la viande de lapin
3.2.3. L’amont de la filière: sélection, aliment et matériel
3.3. LE DEVELOPPEMENT DE LA CUNICULTURE AU SENEGAL
3.3.1. Types de cunicultures au Sénégal :
3.3.1.1. Type I
3.3.1.2. Type II
3.3.1.3. Type III
3.3.2. Les politiques d’accompagnement de la cuniculture :
3.3.3. La cuniculture dans l’économie du Sénégal
3.3.3.1. En zone urbaine
3.3.3.2. En zone rurale
3.3.3.3. Au niveau des fermes
3.3.3.4. Hôtels et restaurants
DEUXIEME PARTIE : ETUDE DE LA FILIERE LAPIN DE CHAIR AU SENEGAL, LE CAS DE DAKAR
1.1. LES ZONES D’ETUDE ET ECHANTILLONNAGE
1.2. METHODES DE COLLECTE DES DONNEES
1.2.1. Collecte de l’information de base
1.2.2. Enquête exploratoire
1.2.3. Enquête formelle
1.2.3.1. Questionnaire pour les éleveurs
1.2.3.2. Questionnaire pour les bouchers
1.2.3.3. Questionnaire pour les transformateurs
1.2.3.4. Questionnaire pour les consommateurs
1.3. METHODES DE TRAITEMENT ET D’ANALYSE DE DONNEES
1.4. LIMITES DES METHODES ET DIFFICULTES RENCONTREES
CHAPITRE 2 : RESULTATS
2.1. LES ELEVEURS
2.1.1. Identification des éleveurs
2.1.1.1. Le genre des éleveurs.
2.1.1.2. Les religions des éleveurs
2.1.1.3. La main d’œuvre des éleveurs
2.1.1.4. La formation en cuniculture
2.1.1.5. Les motivations de l’exploitation.
2.1.1.6. La présence d’autres animaux dans les exploitations
2.1.1.7. L’ancienneté des éleveurs
2.1.1.8. Catégories socio-professionnelle des éleveurs
2.1.2. Description des fermes
2.1.2.1. Localisation des exploitations par rapport aux habitations
2.1.2.2. Effectif des exploitations
2.1.2.3. Matériels de construction
2.1.2.4. Les races de lapin utilisées
2.1.2.5. Les modes d’élevage rencontrés dans les exploitations
2.1.2.6. L’alimentation et l’abreuvement
2.1.2.7. La période de mise en reproduction
2.1.2.8. La pratique de la palpation abdominale et de la période de diagnostic
2.1.2.9. L’âge de sevrage des lapereaux
2.1.2.10. L’âge de mortalité des lapins
2.1.2.11. L’âge de réforme des reproducteurs
2.1.2.12. Mode de remplacement des reproducteurs
2.1.2.13. Les maladies les plus fréquentes et les modes de traitement
2.1.3. Aspect financier
2.1.3.1. Coût de bâtiment et du coût du matériel d’installation
2.1.3.2. Le coût des aliments
2.1.3.3. Coût du traitement
2.1.3.4. Le prix de vente des lapins
2.1.3.5. Le prix du Kg de lapin et le gain par mois des éleveurs
2.1.3.6. Etude de rentabilité
2.1.3.7. Les projets d’extension des éleveurs
2.2. LES PRODUCTEURS ET LES VENDEURS DE MATERIELS CUNICOLES
2.3. LES BOUCHERS
2.4. LES TRANSFORMATEURS
2.5. LES CONSOMMATEURS
2.5.1. Identification des consommateurs
2.5.1.1. Lieux visités pour interroger les consommateurs
2.5.1.2. Sexe des consommateurs
2.5.1.3. Religions des consommateurs
2.5.1.4. Nationalité des consommateurs
2.5.1.5. Professions.
2.5.2. Comportements des consommateurs vis-à-vis du lapin de chair
2.5.2.1. Appréciation de la viande de lapin de chair
2.5.2.2. Connaissance des consommateurs de lieux d’élevage ou de vente de lapin de chair
2.5.2.3. Place de la viande de lapin dans le choix des consommateurs
Tableau XLIX : Place du lapin dans les viandes domestiques
2.5.2.4. Propositions pour l’augmentation de la consommation de la viande de lapin
3.1. DISCUSSION DES RESULTATS
3.1.1. Les producteurs
3.1.1.1. Les éleveurs
3.1.1.1.1. Identification des éleveurs
3.1.1.1.2. Aspects zootechnie et alimentaires
3.1.1.1.3. Aspects sanitaires
3.1.1.1.4. Aspects commerciaux financiers
3.1.1.2. Les producteurs d’aliments, de médicaments vétérinaires et les vétérinaires
3.1.1.3. Les fabricants et les vendeurs de matériels cunicoles
3.1.2. Les transformateurs
3.1.3. Les consommateurs
3.1.4. Diagramme de la filière lapin de chair
3.2. RECOMMANDATIONS
3.2.1. Recommandations aux producteurs
3.2.1.1. Recommandations aux cuniculteurs
3.2.1.1.1. Organisation
3.2.1.1.2 Modélisation
3.2.1.1.2.1 L’amélioration de la cuniculture familiale
3.2.1.1.2.1.1. Bâtiment et matériels d’installation
3.2.1.1.2.1.2. Matériel animal, reproduction et alimentation
3.2.1.1.2.1.3. Contrôle technico-économique
3.2.1.1.2.2. La modernisation
3.2.1.1.2.2.1 Le bâtiment et les matériels d’installation
Figure 6: Cages agencées en plan inclines
3.2.1.1.2.2.2. Le matériel animal, la reproduction et l’alimentation
3.2.1.1.2.2.3. Le contrôle technico-économique
3.2.2. Recommandations aux producteurs d’aliments et de matériels cunicoles
3.2.3. Recommandations aux Vétérinaires
3.3. RECOMMANDATIONS AUX BOUCHERS ET AUX TRANSFORMATEURS
3.4. RECOMMANDATIONS AUX AUTORITES
CONCLUSION
BIBLIOGRAPHIE
ANNEXES

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