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PRODUCTION DE VIANDE
Selon l’OIE (organisation mondiale de la santรฉ animale), la viande dรฉsigne toutes les parties comestibles d’un animal. Selon la rรฉglementation europรฉenne, ce sont les parties comestibles des animaux, y compris le sang. L’Organisation Mondiale de la Santรฉ Animale considรจre que le mot ยซ animal ยป, dans ce contexte, dรฉsigne ยซ tout mammifรจre ou oiseau, ainsi que les abeilles ยป.
Dans ce chapitre nous allons parler de la production mondiale de viande, de la production nationale de viande et de la production mondiale de lapin.
Production mondiale de viande
La production de viande dans le monde est estimรฉe ร 280 millions de tonnes (FAO, 2008.) dont 36,9 % de viande porcine, 28,5 % de viande de volailles et 22,3 % de viande bovine.
Il nโest pas facile dโobtenir des donnรฉes complรจtes et statistiquement fiables sur l’รฉlevage et la production de viande de lapin. Certains pays รฉvaluent la totalitรฉ de la production, y compris celle provenant des petits รฉlevages ร vocation vivriรจre, dโautres se limitent aux unitรฉs ร vocation commerciale. Les donnรฉes de la FAO peuvent constituer un aperรงu des principaux pays producteurs ; ces donnรฉes rรฉsultent de chiffres officiels mais aussi dโestimations.
Les principaux pays producteurs sont la Chine (26,6 %), les รtats-Unis (15,4 %), le Brรฉsil (8,2 %), l’Allemagne (2,75 %), l’Inde (2,4 %), la Russie (2,2 %) et le Mexique (2,0 %). Cette statistique n’inclut pas les poissons et autres animaux aquatiques.
Les donnรฉes de la FAO disponibles sur la production de viande permettent de suivre son รฉvolution de 1961 ร nos jours. Au niveau mondial, elle se caractรฉrise par une progression rรฉguliรจre, de 1 ร 6 % par an. Le taux moyen de croissance approche de 3 % (2,4 % pour la pรฉriode 1998-2008). La Chine est le principal moteur de cette croissance. Sixiรจme producteur mondial en 1961, ce pays est passรฉ premier en 1990 ; sa production a augmentรฉ en moyenne de 7,5 % sur la pรฉriode 1961-2008, et a fourni en 2008 le quart de la production mondiale.
Production nationale de viande
La production locale de viande est estimรฉe en 2010 ร 176840 tonnes soit une progression de 10770 tonnes par rapport ร 2009 (SENEGAL, 2010). Cette production se rรฉpartit en viande rouge pour prรจs de 118089 tonnes soit (58%) et en viande blanche pour 58750 tonnes soit (42%). Les importations de viandes en 2010 ont accusรฉ une rรฉgression par rapport ร 2009, passant 8 469 tonnes ร 7685 tonnes. Elles reprรฉsentent 4,16% du disponible en viande. Les volailles prennent de plus en plus de lโimportance. La consommation per capita (14,8 kg/hbt) est trรจs faible par rapport ร celle des USA(120), France (90), Japon (40) (voir tableau III).
LA CUNICULTURE ET SON DEVELOPPEMENT
Ce chapitre traite de trois sections : le lapin et ses produits, la cuniculture et le dรฉveloppement de la cuniculture au Sรฉnรฉgal.
Le lapin et son importance
Rappel systรฉmatique:
Le lapin est un mammifรจre de lโordre des Lagomorphes, de la famille des Lรฉporidรฉs et de la sous famille des Lรฉporinรฉs qui compte 6 genres (OWEN ET MORGAN, 1976), dont le genre Oryctolagus (du grec oruktes = fouisseur… et lagos = liรจvre !) qui nโa quโune seule espรจce :Oryctolagus cuniculus ( Linnรฉ, 1758).
Les races cunicoles se classent de deux maniรจres. La premiรจre en fonction du format, oรน on a trois catรฉgories:
Le grand format comme le Gรฉant des Flandres, le Gรฉant blanc de Bouscat , dont le poids vif varie entre 5 et 6 Kg ;
Le format moyen comme le Nรฉo-Zรฉlandais Blanc, le Blanc et le Bleu de Vienne le Californien , dont le poids varie entre 3,5 et 5 Kg, de bonne conformation bouchรจre, il supporte les cases grillagรฉes
et le petit format comme le Petit Russe, le Polonais, son poids est infรฉrieur ร 3,5Kg trรจs prรฉcoce, trรจs prolifique (HENAFF R. et JOUVE D. 1988).
La seconde selon la nature des poils. On a trois races :
Les races ordinaires caractรฉrisรฉes par la prรฉsence en bonne proportion de poils uniformรฉment rรฉpartis sur tout le corps ;
Les Rex ou races ร poils ras qui sont des races sans poils de jarre, ร peau veloutรฉe
et les races ร duvet ou races dโagrรฉment et de fourrure (VARENNE H. ; RIVE M. ET VEIGNEAU, 1963)
Fauve de Bourgogne Californien Gรฉant Blanc du Bouscat
Nรฉo Zรฉlandais Blanc Gรฉant des Flandres Bรฉlier Franรงais
Les caractรฉristiques du lapin:
Le lapin est un monogastrique. Il a des dents qui poussent continuellement mais il les use et les affรปte par des mouvements continuels des mรขchoires. Il fait la caecotrophie ( la caecotrophie est le fait de reingestion de la crotte molle du caecum). En effet, selon BINET et al. Citรฉ par LAPLACE (1978), l’originalitรฉ du fonctionnement du tube digestif du lapin rรฉside dans l’activitรฉ de son colon proximal. Ainsi le colon fabrique 2 types de crottes : les crottes dures et les crottes molles appelรฉes caecotrophie. Les crottes dures sont รฉliminรฉes dans la litiรจre tandis que les caecotrophie sonneries par l’animal qui les rรฉcupรจre directement au niveau de l’anus. Ces crottes molles enrichies en vitamines et en acides aminรฉs progressent dans le tube digestif et les nutriments sont absorbรฉs par l’intestin grรชle lors de ce deuxiรจme passage.
Le lapin domestique est capable de s’adapter facilement aux diffรฉrentes conditions aux quelles il peut รชtre soumis (LEBAS et al ; 1984).
Il a une haute productivitรฉ en termes dโanimaux ou en Kg/an/mรจre, liรฉe ร une ovulation permanente induite par la saillie, (150 jours dโintervalle entre deux gรฉnรฉrations) et de courtes durรฉes de gestation (30-31jours) et de lactation. A cela sโajoute une haute prolificitรฉ (2-3 portรฉes/ an), et une croissance rapide.
Malgrรฉ ses avantages, le lapin prรฉsent des faiblesses : les mรขles adultes cherchent ร รฉliminer les jeunes mรขles ร la pubertรฉ. De mรชme, chaque femelle suitรฉe ou non attaque les jeunes dโautres femelles (LEBAS, 1996). Par ailleurs, l’impact de la tempรฉrature รฉlevรฉe est plus important chez le lapin mรขle ( lรฉsion des spermatozoรฏdes affectant leur aptitude si l’exposition ร la chaleur est limitรฉe dans le temps a ou blocage systรฉmatique de la spermatogรฉnรจse au stade spermatogonie si l’exposition est prolongรฉe) que chez la femelle, chez laquelle il ne se produit qu’un รฉtat physiologique proche du di-ลstrus dont la maรฎtrise peut รชtre envisagรฉe et une diminution du taux d’ovulation dont le contrรดle est aussi possible dans certaine condition (SABBAGH M.;1983).
Un des attributs de l’รฉlevage de lapin est l’incidence relativement limitรฉe des maladies รฉpidermiques quand un niveau รฉlevรฉ d’hygiรจne et une gestion soigneuse sont pratiquรฉs (GUINDJJOUMBI S. 2007).
Owen (1976) a observรฉ une faible incidence des maladies et/ou des niveaux plus รฉlevรฉs de productivitรฉ dans des รฉlevages de lapin de type familial par opposition aux unitรฉs intensives et commerciales.
Les pathologies du lapin
Les maladies de l’appareil digestif
Chez le lapin, les maladies de l’appareil digestif se traduisent presque toujours par de la diarrhรฉe. Les causes de ces maladies sont de plusieurs ordres : psychique, alimentaire et microbien.
– les causes psychiques
Le surpeuplement, le changement de personne soignant, les rats, les chiens, les enfants, les bruits violent, causent une dรฉcharge d’adrรฉnaline qui bloque le pรฉristaltisme intestinal, en particulier au niveau de l’รฉvacuation du cรฆcum. Cela entraรฎne le dรฉveloppement d’une flore anormale, surtout colibacillaire, ces bactรฉries รฉtant dรฉjร prรฉsentes dans le tube digestif mais ร faible niveau.
– les causes alimentaires
Le dรฉficit de la ration en fibres, ou plus prรฉcisรฉment en cellulose et en lignine (voir la partie ยซย alimentationย ยป), entraรฎne un ralentissement du transit digestif et accroรฎt trรจs fortement la sensibilitรฉ des lapins aux autres facteurs. A dรฉfaut d’un aliment complet granulรฉ contenant les bonnes proportions de fibres, les รฉleveurs utilisent souvent de la provende en farine pauvre en fibres. Dans ce cas, un apport complรฉmentaire et suffisant d’un fourrage appรฉtant lui mรชme riche en fibres est indispensable.
Par ailleurs, les matiรจres premiรจres constituant les aliments granulรฉs comme les provendes farineuses peuvent contenir des moisissures et les mycotoxines qu’elles ont produits. C’est malheureusement souvent le cas des tourteaux d’arachide par exemple (prรฉsence d’aflatoxines). Les mycotoxines provoquent des arrรชts de consommation et des diarrhรฉes. Le risque de production de mycotoxines est particuliรจrement important lorsque les matiรจres premiรจres ou l’aliment prรฉparรฉ ne sont pas stockรฉs dans un milieu bien sec et aรฉrรฉ.
– les causes infectieuses
Des colibacilles sont toujours prรฉsentes dans le tube digestif des lapins. Cependant, seuls certains d’entre eux sont pathogรจnes voire trรจs pathogรจnes. Les salmonelles, les klebs elles peuvent aussi provoquer des diarrhรฉes.
Les principales causes des maladies digestives sont prรฉsentรฉes ci-aprรจs.
Les maladies respiratoires
Outre les affections du tube digestif, les maladies respiratoires sont รฉgalement trรจs rรฉpandues et redoutรฉes en รฉlevage cunicoles. Les plus couramment rencontrรฉes sont le coryza contagieux et les pasteurelloses. Dans la majoritรฉ des cas, les maladies respiratoires sont liรฉes ร un dรฉfaut dans l’environnement immรฉdiat du lapin. Les facteurs favorisants sont :
โข Les facteurs climatiques (froid ou chaleur excessive)
โข Les facteurs d’ambiance comme une aรฉration insuffisante, un air trop humide et surtout des courants d’air
โข La prรฉsence de poussiรจre dans l’air ou dans l’aliment (un aliment est poussiรฉreux si des particules fines se soulรจvent quand on souffle doucement sur l’aliment)
โข La concentration excessive de gaz irritant comme l’ammoniac (plus de 10-15 ppm).
โข Les situations physiologiques dรฉlicates (gestation, sevrage, โฆ)
โข Les facteurs pathologiques (parasitisme par exemple).
Les maladies virales
Deux maladies son trรจs rependues: la maladie virale hรฉmorragique (VHD) et la myxomatose.
La maladie hรฉmorragique virale (ou VHD), de nos jours, de nombreux foyers apparaissent encore, mettant en รฉvidence la persistance du virus. Cette maladie touche les lapins adultes ou prรฉ-adultes, rarement les jeunes lapereaux. Elle est causรฉe par Calicivirus, sa transmission se fait par contact de lapin ร lapin. le lapin est excrรฉteur 24 heures aprรจs sa contamination. Le virus nโest pas dรฉtruit par la congรฉlation des viandes, vecteurs transfrontaliers. La maladie รฉvolue trรจs rapidement vers la mort. On a des difficultรฉs respiratoires, une immobilitรฉ de lโanimal dans un coin de la cage, pattes avant รฉtirรฉes, tรชte souvent en lโair, Hypothermie environ (prรฉcรฉdรฉe dโun pic thermique (jusquโร ) la veille),une รฉpistaxis (sang autour des narines) ou du sang ร lโanus, un ictรจre : teinte jaunรขtre des organes, une nรฉcrose du thymus et coagulation intravasculaire dissรฉminรฉe sur le foie, le rein, le poumon et ลdรจmes.
Aucun traitement n’est possible mais il existe des vaccins…
La prรฉvention peut se faire en distribuant du fourrage de qualitรฉ, en รฉvitant le contact entre le chien de la maison et les lapins, en dรฉsinfecter le matรฉriel de tatouage, en stopper les prรชts ou รฉchanges de reproducteurs et en vaccinant le lapin (lโimmunitรฉ est efficace 7 jours aprรจs la vaccination).
La myxomatose est la maladie virale la plus connue et qui reste trรจs prรฉsente en France. Elle est trรจs contagieuse. Autrefois saisonniรจre, elle sโexprime dรฉsormais toute lโannรฉe et revรชt des formes atypiques de plus en plus difficiles ร dรฉceler.
Elle est causรฉe par un Provirus : famille des leporipoxvirus. Le virus est rรฉsistant dans le milieu extรฉrieur, il en existe plusieurs souches avec des pathogรฉnicitรฉs diffรฉrentes.
La contamination peut se faire par piqรปre dโinsecte (puce, moustique, mouche), par la semence du mรขle ou par simple contact.
La ร disparaรฎtre.
Forme c La Forme cprintemps ร lโautomne). Inoculation par piqรปre de puce (Spilopsillus cuniculi). Un premier myxome apparaรฎt au point dโinoculation (simple rougeur ou petite papule), puis dโautres, sous forme nodulaire, apparaissent sur les paupiรจres, les oreilles, les parties gรฉnitales et le nez.
La gesFormeยป:surยซlesboutonslapinsrouangora
Il n’ya Aucun traitement mais il existe des vaccins…
Conseiller lโabattage du lapin contaminรฉ et la destruction de son environnement
Dรฉsinfecter et pulvรฉriser un produit virucide sur le matรฉriel de lโรฉlevage matin et soir.
Pour la prรฉvention: installer des moustiquaires et des insecticides, dรฉsinfecter lโenvironnement, utiliser des aiguilles ร usage unique ou (effectif nombreux) changer souvent les aiguilles, ou utiliser un appareil en intra-dermo, vacciner : Favoriser le dรฉveloppement de lโimmunitรฉ. Eviter tout ยซ vide ยป vaccinal.
Les maladies externes
Les plus frรฉquentes sont:
โข Les gales En Afrique, les gales sont frรฉquentes chez les lapins.
โข Les dermatomycoses ou teignes et
โข La nรฉcrose des pattes
Les maladies des reproductrices
Elles sont nombreuses et variรฉes on peut citer :
โข Les abcรจs et les mammites ;
โข Frigiditรฉ et stรฉrilitรฉ ;
โข Fausse gestation ou Pseudo-gestation ;
โข Les accidents ร la mise bas et
โข Mortalitรฉ au nid des lapereaux avant la 4e semaine
Les trois principales maladies en production de lapin, en gรฉnรฉral, sont la coccidiose, la pasteurelleose et la myxomatose.
Au Sรฉnรฉgal, selon GUINDJJOUMBI S. 2007 et NTEME ELLA G. S. 2000 les maladies les plus rencontrรฉes sont les maladies cutanรฉes (la gale et le mal de patte) et la diarrhรฉe.
La prophylaxie sanitaire et mรฉdicale (la prรฉvention)
La prophylaxie sanitaire : l’Hygiรจne
Prophylaxie veut dire ยซย Prรฉvenir les maladiesย ยป; la prophylaxie sanitaire ou hygiรจne c’est ยซย prรฉvenirย ยป les maladies en mettant l’animal dans les meilleures conditions possibles d’environnement.
La prophylaxie mรฉdicale : prรฉvention ร l’aide de mรฉdicaments ou de vaccins
La prophylaxie mรฉdicale des maladies parasitaires (coccidiose et vers intestinaux) permet de maintenir en gรฉnรฉral un bon รฉtat sanitaire de l’รฉlevage. A cet effet, il existe des sulfamides trรจs efficaces dans la prรฉvention de la coccidiose. Une vermifugation pรฉriodique est รฉgalement souhaitable. L’usage abusif des antibiotiques est ร proscrire.
Afin de ne pas crรฉer les foyers de sensibilitรฉ, l’usage de vaccins contre la VHD et la myxomatose n’est recommandรฉ qu’en milieu contaminรฉ. Penser ร dรฉtruire les flacons aprรจs dรฉcontamination longue dans l’eau de Javel.
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Table des matiรจres
INTRODUCTION
PREMIERE PARTIE: GENERALITES SUR L’ELEVAGE AU SรNEGAL
CHAPITRE 1 : PRESENTATION DU SENEGAL
1.1 ZONES AGRO-ECOLOGIQUES
Figure 1 : zonage agro-รฉcologique
1.2. SYSTEMES DโELEVAGE
1.2.1. Les systรจmes d’รฉlevage des ruminants
1.2.1.1. Le systรจme dโรฉlevage pastoral
1.2.1.2. Le systรจme agropastoral
1.2.1.3. Le systรจme pรฉri-urbain
1.2.2. Les systรจmes d’รฉlevage des porcs
1.2.3. Les systรจmes d’รฉlevage des volailles
1.3. L’รฉlevage dans l’รฉconomie nationale
CHAPITRE 2: PRODUCTION DE VIANDE
2.1. PRODUCTION MONDIALE DE VIANDE
2.2. PRODUCTION NATIONALE DE VIANDE
2.3. LA PRODUCTION MONDIALE DE LAPIN
CHAPITRE 3: LA CUNICULTURE ET SON DEVELOPPEMENT
3.1. LE LAPIN ET SON IMPORTANCE
3.1.1. Rappel systรฉmatique:
3.1.2. Les caractรฉristiques du lapin:
3.1.3. Les pathologies du lapin
3.1.5. L’importance du lapin
3.1.5.1. Les produits du lapin
3.1.5.1.1. Les รฉlรฉments du cinquiรจme quartier
3.1.5.1.2. La carcasse
3.1.5.2. LE LAPIN COMME ANIMAL DE LABORATOIRE
3.1.5.3 Le lapin dans lโรฉconomie mondiale
3.2. DEVELOPPEMENT DE LA FILIERE LAPIN DE CHAIR
3.2.1. LA CUNICULTURE
3.2.1.1. Lโhistorique de la domestication et de lโรฉlevage de lapin
3.2.1.2. Diffรฉrents types d’รฉlevage
3.2.1.2.1. La cuniculture traditionnelle
3.2.1.2.2. La cuniculture rationnelle
3.2.1.2.3. La cuniculture rationnelle stabilisรฉe
3.2.1.2.4. La cuniculture de type dynamique
3.2.2. Les abattoirs de lapin
3.2.2.3.1. Prรฉparation de la viande de lapin
3.2.3. Lโamont de la filiรจre: sรฉlection, aliment et matรฉriel
3.3. LE DEVELOPPEMENT DE LA CUNICULTURE AU SENEGAL
3.3.1. Types de cunicultures au Sรฉnรฉgal :
3.3.1.1. Type I
3.3.1.2. Type II
3.3.1.3. Type III
3.3.2. Les politiques dโaccompagnement de la cuniculture :
3.3.3. La cuniculture dans lโรฉconomie du Sรฉnรฉgal
3.3.3.1. En zone urbaine
3.3.3.2. En zone rurale
3.3.3.3. Au niveau des fermes
3.3.3.4. Hรดtels et restaurants
DEUXIEME PARTIE : ETUDE DE LA FILIERE LAPIN DE CHAIR AU SENEGAL, LE CAS DE DAKAR
1.1. LES ZONES DโETUDE ET ECHANTILLONNAGE
1.2. METHODES DE COLLECTE DES DONNEES
1.2.1. Collecte de lโinformation de base
1.2.2. Enquรชte exploratoire
1.2.3. Enquรชte formelle
1.2.3.1. Questionnaire pour les รฉleveurs
1.2.3.2. Questionnaire pour les bouchers
1.2.3.3. Questionnaire pour les transformateurs
1.2.3.4. Questionnaire pour les consommateurs
1.3. METHODES DE TRAITEMENT ET DโANALYSE DE DONNEES
1.4. LIMITES DES METHODES ET DIFFICULTES RENCONTREES
CHAPITRE 2 : RESULTATS
2.1. LES ELEVEURS
2.1.1. Identification des รฉleveurs
2.1.1.1. Le genre des รฉleveurs.
2.1.1.2. Les religions des รฉleveurs
2.1.1.3. La main dโลuvre des รฉleveurs
2.1.1.4. La formation en cuniculture
2.1.1.5. Les motivations de lโexploitation.
2.1.1.6. La prรฉsence dโautres animaux dans les exploitations
2.1.1.7. Lโanciennetรฉ des รฉleveurs
2.1.1.8. Catรฉgories socio-professionnelle des รฉleveurs
2.1.2. Description des fermes
2.1.2.1. Localisation des exploitations par rapport aux habitations
2.1.2.2. Effectif des exploitations
2.1.2.3. Matรฉriels de construction
2.1.2.4. Les races de lapin utilisรฉes
2.1.2.5. Les modes dโรฉlevage rencontrรฉs dans les exploitations
2.1.2.6. Lโalimentation et lโabreuvement
2.1.2.7. La pรฉriode de mise en reproduction
2.1.2.8. La pratique de la palpation abdominale et de la pรฉriode de diagnostic
2.1.2.9. Lโรขge de sevrage des lapereaux
2.1.2.10. Lโรขge de mortalitรฉ des lapins
2.1.2.11. Lโรขge de rรฉforme des reproducteurs
2.1.2.12. Mode de remplacement des reproducteurs
2.1.2.13. Les maladies les plus frรฉquentes et les modes de traitement
2.1.3. Aspect financier
2.1.3.1. Coรปt de bรขtiment et du coรปt du matรฉriel dโinstallation
2.1.3.2. Le coรปt des aliments
2.1.3.3. Coรปt du traitement
2.1.3.4. Le prix de vente des lapins
2.1.3.5. Le prix du Kg de lapin et le gain par mois des รฉleveurs
2.1.3.6. Etude de rentabilitรฉ
2.1.3.7. Les projets dโextension des รฉleveurs
2.2. LES PRODUCTEURS ET LES VENDEURS DE MATERIELS CUNICOLES
2.3. LES BOUCHERS
2.4. LES TRANSFORMATEURS
2.5. LES CONSOMMATEURS
2.5.1. Identification des consommateurs
2.5.1.1. Lieux visitรฉs pour interroger les consommateurs
2.5.1.2. Sexe des consommateurs
2.5.1.3. Religions des consommateurs
2.5.1.4. Nationalitรฉ des consommateurs
2.5.1.5. Professions.
2.5.2. Comportements des consommateurs vis-ร -vis du lapin de chair
2.5.2.1. Apprรฉciation de la viande de lapin de chair
2.5.2.2. Connaissance des consommateurs de lieux dโรฉlevage ou de vente de lapin de chair
2.5.2.3. Place de la viande de lapin dans le choix des consommateurs
Tableau XLIX : Place du lapin dans les viandes domestiques
2.5.2.4. Propositions pour lโaugmentation de la consommation de la viande de lapin
3.1. DISCUSSION DES RESULTATS
3.1.1. Les producteurs
3.1.1.1. Les รฉleveurs
3.1.1.1.1. Identification des รฉleveurs
3.1.1.1.2. Aspects zootechnie et alimentaires
3.1.1.1.3. Aspects sanitaires
3.1.1.1.4. Aspects commerciaux financiers
3.1.1.2. Les producteurs dโaliments, de mรฉdicaments vรฉtรฉrinaires et les vรฉtรฉrinaires
3.1.1.3. Les fabricants et les vendeurs de matรฉriels cunicoles
3.1.2. Les transformateurs
3.1.3. Les consommateurs
3.1.4. Diagramme de la filiรจre lapin de chair
3.2. RECOMMANDATIONS
3.2.1. Recommandations aux producteurs
3.2.1.1. Recommandations aux cuniculteurs
3.2.1.1.1. Organisation
3.2.1.1.2 Modรฉlisation
3.2.1.1.2.1 Lโamรฉlioration de la cuniculture familiale
3.2.1.1.2.1.1. Bรขtiment et matรฉriels dโinstallation
3.2.1.1.2.1.2. Matรฉriel animal, reproduction et alimentation
3.2.1.1.2.1.3. Contrรดle technico-รฉconomique
3.2.1.1.2.2. La modernisation
3.2.1.1.2.2.1 Le bรขtiment et les matรฉriels dโinstallation
Figure 6: Cages agencรฉes en plan inclines
3.2.1.1.2.2.2. Le matรฉriel animal, la reproduction et lโalimentation
3.2.1.1.2.2.3. Le contrรดle technico-รฉconomique
3.2.2. Recommandations aux producteurs d’aliments et de matรฉriels cunicoles
3.2.3. Recommandations aux Vรฉtรฉrinaires
3.3. RECOMMANDATIONS AUX BOUCHERS ET AUX TRANSFORMATEURS
3.4. RECOMMANDATIONS AUX AUTORITES
CONCLUSION
BIBLIOGRAPHIE
ANNEXES
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