Etude de la descendance : Louis Emile DAVIAUD & Marthe AMOULIEN

La naissance de Pierre DAVIAUD et de Magdelaine Gertrude MULON

Pierre DAVIAUD est né le 22 novembre 1767 dans la commune de Poiré-sur-Velluire, en Vendée. Il est le fils de Pierre DAVIAUD et de Marie MAINGOT. Il a pour marraine sa cousine germaine Marie Anne TALBOT. Le métier du père n’est pas précisé. Magdeleine Gertrude MULON est née le 4 octobre 1773 à Saint-Denis d’Oléron. Elle est la fille de Louis MULON, un laboureur, et de Jeanne JAUNEAU.

Les enfants du couple

A partir de l’acte de mariage de Pierre DAVIAUD et Magdelaine Gertrude MULON, je vérifie toutes les dates de naissance des enfants qui y sont notifiées.
Une autre surprise fait son apparition lors d’une recherche annexe : un autre enfant, le premier issu du couple. Il s’agit d’une fille prénommée Marie Magdelaine Aimée, née le 21 février 1800 à la Rochelle. N’étant pas présente lors de la légitimation de sa fratrie, il est probable que Marie Magdeleine Aimée soit décédée avant le mariage de ses parents en 1833.
Une vérification dans les tables décennales me permet de confirmer cette hypothèse, son décès survient le 6 février 1801.
Enfin, lors d’une consultation du recensement de 1826 , un autre enfant est indiqué. Il s’agit de Théodore DAVIAUD, né le 12 janvier 1814 à la Rochelle. Il est décédé accidentellement, noyé dans le canal de Luçon près de Triaize le 21 juin 1831 (dans le cadre de son apprentissage en tant que marin), il n’est donc lui non plus pas légitimé lors du mariage de ses parents.
Pour être sûr de ne pas oublier d’autres enfants, une dernière vérification des tables décennales est faite. Le couple Pierre DAVIAUD et Magdeleine Gertrude n’ont pas eu d’autres enfants, en tout cas pas à la Rochelle et pas d’après le recensement et les successions.
L’erreur commise dans la reconstitution de cette fratrie a été de penser avec l’affect d’aujourd’hui et sans l’idée de succession. Je me suis limité aux informations données dans l’acte de mariage avec l’idée que l’on reconnait tous les enfant s sans distinction. Pour l’époque en question, il est surement évident qu’il n’est pas besoin de reconnaitre des enfants nés hors mariage et décédés, alors qu’aujourd’hui on aurait tendance à estimer que tout enfant mérite la même reconnaissance quand bien même il n’est plus de ce monde. Est-ce que Pierre sentait sa fin arriver pour vouloir se marier moins de 4 mois avant son trépas et reconnaitre tous ses enfants ? Y avait-il une urgence en termes de succession ? Ou avait-il simplement besoin de régulariser une situation de péché ? Ce sont en tout cas des possibilités, en lien avec des préoccupations de l’époque.

La famille de Pierre DAVIAUD

Comme j’ai pu l’évoquer en introduction, pour des raisons logistiques, mon choix concernant la branche ascendante à étudier s’est limité aux individus natifs de la Charente-Maritime. Pour cette raison, j’évoquerai ici de manière succincte la famille de Pierre DAVIAUD et la suite de l’étude concernera l’ascendance de Magdelaine Gertrude MULON.
Les parents de Pierre DAVIAUD, Pierre (14 septembre 1736 à Le Poiré-sur-Velluire – 8 mai 1894 à Le Poiré-sur-Velluire) et Marie Catherine MAINGOT (7 avril 1741 à Charron – 11 décembre 1819
Le Poiré-sur-Velluire) se sont mariés le 14 juillet 1762 à Marans, en Charente-Maritime.

Le premier mariage de Magdelaine Gertrude MULON

Pour trouver le premier mariage de Magdelaine Gertrude MULON, un coup d’œil dans les tables décennales permet de découvrir l’acte rapidement.
Le mariage a lieu le 9 décembre 1793 à la Rochelle. Nous y apprenons très vite que son époux, Jean GOULLIARD, est âgé de 62 ans alors que Magdelaine Gertrude n’a que 20 ans. Jean est né le 26/08/1731 à Saint-Cybard, en Charente. Il est le fils de Pierre GOULLIARD et de Françoise ROGER. Les parents de l’épouse sont également précisés, il est dit d’ailleurs que Louis MULLON est vivant mais pas son épouse Jeanne JAUNEAU. Enfin, nous sont précisé les métiers. Jean GOULLIARD est tonnelier comme le sera le second mari de Magdelaine Gertrude, qui elle est journalière et demeurante rue de la Cloche à la Rochelle.
Deux remarques me viennent à l’esprit :
• La différence d’âge des époux est énorme. Le couple n’aura pas d’enfant dans la foulée du mariage, ce n’est donc à priori pas la raison de ce mariage. Il est possible que Jean GOULLIARD, âgé et n’ayant pas eu de descendance, ait eu cependant pour objectif d’épouser une jeune femme capable de faire rapidement des enfants. Un précédent mariage à la Rochelle a été trouvé pour Jean mais aucun enfant n’a été trouvé de cette union, qui n’a d’ailleurs pas été signalée dans l’acte de mariage avec Magdelaine Gertrude MULON.
• Magdelaine Gertrude MULON vit déjà dans la rue de la Cloche lors de son mariage avec Jean GOULLIARD : Peut-être est-ce elle qui amène la maison, située au n°2 de cette rue, dans le patrimoine familial des DAVIAUD. D’autant plus que si cette maison venait de Jean, pourquoi n’est-ce pas son fils André qui en hérite même si celui-ci était très jeune au décès de son père. Je n’ai trouvé aucun contrat de mariage dans la série E, dans les enregistrements (série 3Q) à travers les actes civils ou même dans les doubles notariés en série U, je n’ai donc pas pu prendre connaissance d’éventuelles dispositions des époux pour expliquer autrement la possession de la maison par Magdelaine Gertrude MULON. Je n’ai pas eu assez de temps pour travailler la succession de Jean GOULLIARD, il est probable que la réponse s’y trouve.
De cette union, sont nés deux enfants à la Rochelle :
• Elisabeth Magdelaine, née le 13 juillet 1795
• André, né le 12 janvier 1797 , évoqué en tant que témoin lors du mariage de son frère utérin Louis Pierre DAVIAUD Jean GOULLIARD décède le 14 mai 1798 , à la Rochelle, dans sa maison rue de la Cloche.

La reconnaissance d’une dette d’un père à son fils

Lors d’une recherche de contrat de mariage dans la liasse notariale (série E) de Maitre MORIN, déjà cité précédemment, j’ai découvert un acte de reconnaissance de dette datant du 17 juillet 1833 entre Pierre et Louis Pierre DAVIAUD. Cet acte est intéressant pour diverses raisons puisqu’il permet notamment de voir des arrangements financiers au sein d’une famille, il précise aussi à un instant T la disposition d’une maison étudiée ultérieurement dans ce mémoire. Il est surprenant de voir que celui qui contracte la dette soit le père, nous n’avons pas les raisons de ses soucis financiers, rien en est dit dans le document. Je me propose, à la suite de l’acte ci-après, d’en faire une transcription intégrale (sans la mention marginale).

Le décès et la succession de Pierre DAVIAUD et de Magdelaine Gertrude MULON

Pierre DAVIAUD

Pierre décède à la Rochelle, à six heures du soir le 30 novembre 1833, dans sa demeure rue de la Verdière, à l’âge de 66 ans. Parmi les déclarants, nous trouvons son fils François DAVIAUD ainsi que Pierre Joseph Arsace MORIN qui est à la fois le notaire de la famille et l’adjoint du maire.
La table de successions et absences, pour la période concernée , nous apprend que la succession a été faite le 16 mai 1834. L’acte de succession fait état d’un faible patrimoine de biens mobiliers puisque celui-ci consiste en une table, des chaises, un lit, une armoire, du linge et une batterie de cuisine, le tout estimé à 240 francs dont la moitié est concernée par la succession.
Dans la partie immobilière, nous retrouvons la maison située au n°2 de la rue de La Cloche à la Rochelle, dont le revenu est estimé à 75 francs pour un capital de 1500 francs. Nous apprenons également que la demeure n’est pas louée. Parmi les héritiers, à savoir les enfants survivants, seul François DAVIAUD assiste à la succession et représente sa fratrie.

Magdelaine Gertrude MULON

Magdelaine Gertrude décède à la Rochelle, à cinq heures du soir le 25 janvier 1836 , dans sa demeure rue Verdière. L’un des déclarants est son gendre Jean-Louis BRÜCK.
La table de successions et absences précise que la succession a été actée le 4 mars 1836.
Dans l’acte , seule sa fille Elisabeth DAVIAUD se présente devant le notaire, en son nom et en celui de ses trois frères encore en vie. La succession se limite une partie mobilière, non détaillée mais dont la valeur est estimée à 73 francs.

Etude d’une branche ascendante agnatique : Louis MULON & Marie JAUNEAU

Historique de l’Île d’Oléron

Le « berceau » familiale et donc l’ascendance de Madgelaine Gertrude MULON étant sur l’île d’Oléron jusqu’à la fin de cette étude, je me propose d’en faire un historique relativement général puis d’évoquer rapidement le village de Saint-Denis-d’Oléron d’où sont natifs la majorité des aïeux de celle-ci.
Il existe plusieurs possibilités quant à l’origine du nom « Oléron » :
• Vers 70 après J-C, Pline l’Ancien évoque « Ularius », un castrum construit par les galloromain. Le nom de ce fort a pu se généraliser à toute l’île.
• Ce nom pourrait aussi provenir du basque « ili » (ville) et « luro » (basse terre) et aurait le sens de « ville de la basse terre ».
• Selon d’autres étymologistes, au moyen-âge le nom de l’île était « Olus » ce qui signifierait « herbe potagère ».
• D’autres encore ont supposé que le nom de l’île d’Oléron « Insula Olerum » pourrait venir du latin « olere » qui veut dire « sentir », ce qui pourrait se traduire par « l’Île aux senteurs » ou « aux parfums ».
En 1152, l’île devient anglaise avec le remariage d’Aliénor d’Aquitaine et Henri II Plantagenêt, roi d’Angleterre de 1154 à 1189. Les Plantagenêt font construire et fortifier Château-d’Oléron.
Le commerce du vin entre Oléron et l’Angleterre devient très important à partir de cette époque.
Charles V signe le traité de Londres en 1358 lui permettant, en théorie, de récupérer les anciens territoires de l’Aquitaine c’est-à-dire le Poitou, l’Aunis, la Saintonge et l’Angoumois.
En 1372, le roi de France va partir en campagne pour regagner ses territoires qui ont choisi le parti anglais. Charles V détruit la flotte anglaise à la Rochelle et prend le contrôle des mers.
Ainsi, à partir du 26 août 1372, l’île d’Oléron se soumet au roi de France. S’en suit une période relativement prospère puisque l’île va exploiter le vin, le sel et commercer avec les pays nordiques lui conférant une puissance économique et maritime.
En 1546, les insulaires adoptent les idées de la Réforme et l’île devient majoritairement protestante comme le reste de la région, jusqu’au siège de la Rochelle en 1627-1628. Le château d’Oléron est transformé en citadelle vers 1630 par le cardinal de Richelieu, puis est renforcé par l’architecte militaire Vauban. L’objectif est de verrouiller le système de défense de la rade et de protéger l’estuaire de la Charente et l’arsenal à Rochefort, nouvellement créé par Louis XIV. Les travaux pour renforcer les systèmes de défense s’enchainent jusqu’au XIXème siècle, ce qui sera très dissuasif, car les anglais n’attaqueront jamais l’île d’Oléron.
D’ailleurs, la révolution puis l’Empire impose un blocus à l’Angleterre, interdisant les exportations de vin freinant ainsi l’économie de l’île.
Le XIXème siècle voit aussi le commerce du sel décliner, concurrencé par le sel de mine qui est moins cher à produire. Les exploitants se réorientent alors vers la conchyliculture. De même, à cette période, les ports sont aménagés et en 1836 le phare de Chassiron est construit à la pointe Nord de l’île. En 1885, l’économie de l’île est encore touchée. En effet, les 15 000 hectares de vignes seront dévastés par le phylloxéra, un insecte ravageur. Il faudra attendre 1902 pour faire redémarrer l’activité à partir d’importation de pieds de vigne résistants.
Durant la Seconde Guerre-Mondiale, l’île est occupée par les Allemands puisqu’elle représente une zone stratégique permettant à la fois de défendre la base sous-marine allemande de La Pallice et l’entrée de l’estuaire de la Gironde. L’île d’Oléron n’est libérée que le 30 avril 1945, par le débarquement de quelques milliers de soldats alliés. Saint-Denis-d’Oléron :
Saint-Denis-d’Oléron est situé à la pointe Nord de l’île, très exposé aux vents. Ce petit village pauvre de pêcheurs est implanté autour de son église romane du XIème siècle. Les activités principales sont la culture du blé, de l’orge, la production de vin, de légumes et de sel.
Depuis le Moyen-âge, les Dyonisiens pratiquent la pêche à pied et ils utilisent les écluses à poissons. C’est une technique traditionnelle de pêche qui se fait par le biais de petits enclos en pierre qui sont submergés par les marées permettant de récupérer les poissons une fois l’eau vidangée.
Ce village isolé n’a été connecté au réseau ferroviaire qu’en 1904 permettant ainsi de développer l’activité balnéaire, et d’y aménager un port de plaisance dans les années 1990 2 – Le mariage de Louis MULON et Marie JAUNEAU
Les parents de Magdelaine Gertrude MULON, Louis MULON et Marie JAUNEAU, se sont mariés le 06 novembre 1764 à Saint-Denis-d’Oléron. L’épouse est prénommée « Marie » pour la première fois depuis le début de mes recherches, ainsi il faudra prendre la précaution, si je ne trouve pas d’acte de naissance d’une « Jeanne », de chercher une naissance « Marie » JAUNEAU. Cela illustre toute la difficulté d’identifier des individus selon s’ils sont évoqués avec le prénom d’usage ou celui de baptême, se rajoutant à cela les difficultés potentielles liées à l’homonymie.
Sont rappelés les bases du mariage selon le droit canonique, chasse-gardée de l’Eglise depuis déjà plusieurs siècles :
• La publicité du mariage via la publication de bans trois dimanches consécutifs
• L’absence d’empêchements : l’âge des futurs époux, l’appartenance de l’un des deux à une autre religion, l’existence d’une autre union (bigamie), etc…
• Le consentement, théoriquement celui des époux mais les parents et l’église (surtout) décident : dans l’acte, il est question du consentement du curé de Saint -Pierred’Oléron accordé le 04 novembre 1764.
Louis est dit laboureur, il est le fils de René MULON et d’Anne BAILLARGE. Il est natif de la paroisse de Saint-Denis-d’Oléron.
Marie JAUNEAU est la fille de Jean JAUNEAU et d’Anne DAVID, tous les deux décédés. Elle est native de Saint-Pierre-d’Oléron.
Nous pouvons lire qu’il y avait, parmi les témoins, François MULON et Pierre COULON respectivement le frère et le beau-frère de l’époux.

La naissance de Louis MULON et de Marie JAUNEAU

À partir des informations indiquées dans le mariage, et pour gagner du temps, je commence par chercher la naissance Louis MULON puisqu’il s’agit de chercher dans le même village que le mariage. Louis MULON est né le 11 janvier 1740 à Saint-Denis-d’Oléron, il est effectivement le fils de René MULON et d’Anne BAILLARGE. Son parrain est son oncle maternel, Louis BAILLARGE.
Parmi les naissances d’enfants issus du couple Jean JAUNEAU et Anne DAVID, je ne trouve pas de « Jeanne » mais il y a bien une « Marie JONAS », avec une modification du patronyme.
Celle-ci est née le 19 septembre 1743 et a pour parrain et marraine Pierre et Jacquette JONAS, ses cousins germains.

Le second mariage de Louis MULON

Marie JAUNEAU décède moins d’un an après la naissance de son dernier enfant. Louis se marie une seconde fois, le 22 juin 1789 à Saint-Denis-d’Oléron avec Angélique DAVID (1 er novembre 1743 à Saint-Denis-d’Oléron – 03 octobre 1794 à Saint-Denis-d’Oléron). Le couple n’aura pas de descendance. Aucun contrat de mariage n’a été trouvé dans les séries disponibles telles que la série 2C ou la liasse du notaire en activité, à ce moment-là, dans la série E puisque l’année du mariage est lacunaire. La commune voisine, plus importante, n’a rien donnée pour les mêmes séries.

La famille de Marie JAUNEAU

L’acte de mariage de Marie JAUNEAU nous précise qu’elle est la fille de Jean et Anne DAVID.
Ils se sont mariés à Saint-Denis-d’Oléron le 22 juillet 1727:
• Jean JAUNEAU (29 juin 1699
à Saint-Pierre-d’Oléron – 12 août 1759
à SaintPierre-d’Oléron) est le fils de François et de Marie TESTENOIRE, tous les deux décédés.
Il est également précisé que Jean est tailleur de pierres.
• Anne DAVID (31 janvier 1702 à Saint-Denis-d’Oléron – 24 septembre 1750 à Saint-Pierre d’Oléron) est la fille de Pierre DAVID et de Catherine MOREAU, décédée.
Parmi les témoins, sont présents Louis DAVID et Simon REINE, respectivement le frère et le beau frère de l’épouse.
Du couple sont nés huit enfants, à savoir :
• Pierre, né le 20 juin 1728 à Saint-Denis-d’Oléron
• Jean et Elisabeth, nés le 27 février 1730 à Saint-Denis-d’Oléron
• Madeleine, née le 12 novembre 1731 à Saint-Denis-d’Oléron
• Germain, né le 1 er octobre 1735 à Saint-Pierre-d’Oléron
• Michel, né 24 septembre 1737 à Saint-Pierre-d’Oléron
• Jean, né 17 mars 1740 à Saint-Pierre-d’Oléron

 

Le rapport de stage ou le pfe est un document d’analyse, de synthèse et d’évaluation de votre apprentissage, c’est pour cela chatpfe.com propose le téléchargement des modèles complet de projet de fin d’étude, rapport de stage, mémoire, pfe, thèse, pour connaître la méthodologie à avoir et savoir comment construire les parties d’un projet de fin d’étude.

Table des matières
I – Introduction : Choix du couple et méthodologie générale 
II – La Rochelle : La ville et son histoire, un essor fulgurant 
1 – Généralités
2 – Historique depuis l’origine : la Rochelle, une ville « récente »
Une ville maritime fortifiée, convoitée par la France et l’Angleterre
Un grand lieu du protestantisme
Nouvel essor : les richesses provenant des colonies
Le port de la Pallice : entre un nouvel essor économique et une stratégie militaire
La Rochelle, une ville dynamique tournée vers le tourisme
III – Louis Pierre DAVIAUD & Marguerite BRÜCK : Un couple d’enfants légitimés 
1 – Le mariage
2 – La naissance de Louis Pierre DAVIAUD et de Marguerite BRÜCK
3 – Les enfants du couple
4 – La carrière de Louis Pierre DAVIAUD
Louis Pierre DAVIAUD, l’apprenti
Louis Pierre DAVIAUD, l’ouvrier charpentier
Louis Pierre DAVIAUD, le maitre charpentier au ralenti
5 – La famille de Marguerite BRÜCK
Légitimation de Marguerite BRÜCK
Du côté de Jean Louis BRÜCK
Du côté de Marguerite FAVRE
6 – Décès et successions de Louis Pierre DAVIAUD et Marguerite BRÜCK
Louis Pierre DAVIAUD
Marguerite BRÜCK
7 – Le contrat de mariage de Louis Pierre DAVIAUD et Marguerite BRÜCK
IV – Pierre DAVIAUD & Magdelaine Gertrude MULON 
1 – Un mariage tardif, surprenant et de justesse
2 – La naissance de Pierre DAVIAUD et de Magdelaine Gertrude MULON
3 – Les enfants du couple
4 – La famille de Pierre DAVIAUD
5 – Le premier mariage de Magdelaine Gertrude MULON
6- La reconnaissance d’une dette d’un père à son fils
7 – Le décès et la succession de Pierre DAVIAUD et de Magdelaine Gertrude MULON
Pierre DAVIAUD
Magdelaine Gertrude MULON
V – Etude d’une branche ascendante agnatique : Louis MULON & Marie JAUNEAU
1 – Historique de l’Île d’Oléron
L’île d’Oléron
Saint-Denis-d’Oléron
2 – Le mariage de Louis MULON et Marie JAUNEAU
3 – La naissance de Louis MULON et de Marie JAUNEAU
4 – Les enfants du couple
5 – Le second mariage de Louis MULON
6 – La famille de Marie JAUNEAU
7 – Le décès de Louis MULLON et de Marie JAUNEAU
VI – René MULON & Anne BAILLARGE 
1 – Le mariage de René MULON et Anne BAILLARGE
2 – La naissance de René MULON et d’Anne BAILLARGE
3 – Les enfants du couple
4 – La famille d’Anne BAILLARGE
5 – Témoignage de transactions familiales : un contrat de licitation gendre/neveu/beau-père
6 – Le décès de René MULLON et d’Anne BAILLARGE
VII – Jacques MULON & Françoise HERVÉ 
1 – Le mariage de Jacques MULON et de Françoise HERVÉ
2 – La naissance de Jacques MULON et de Françoise HERVÉ
3 – Les enfants du couple
4 – La famille de Françoise HERVÉ
5 – Des passages fréquents devant le notaire : deux exemples de contrats
6 – Le décès de Jacques MULON et de Françoise HERVÉ
VIII – Thomas MULON & Catherine BITONNAUD 
1 – Le mariage et les enfants de Thomas MULON et de Catherine BITONNAUD
2 – La naissance de Thomas MULON et de Catherine BITONNAUD
3 – La famille de Catherine BITONNAUD
4 – Quand la disette oblige à se séparer de biens
5 – Décès de Thomas MULON et de Catherine BITONNAUD
IX – Pierre MULON & Magdeleine RAUX 
1 – Le mariage et les enfants de Pierre MULON et de Magdeleine RAUX
2 – Naissances et décès du couple
X – Arbre généalogique de l’ascendance étudiée 
XI – Etude de la descendance : Louis Emile DAVIAUD & Marthe AMOULIEN 
1 – Le mariage de Louis Emile DAVIAUD et de Marthe Constance AMOULIEN
2 – La naissance, la famille et les précédents mariages de Marthe Constance AMOULIEN
3 – Les enfants du couple
4 – La carrière de louis Emile DAVIAUD dans la marine
Louis Emile DAVIAUD, l’apprenti
Louis Emile DAVIAUD, l’ouvrier charpentier
Louis Emile DAVIAUD et sa fin de carrière
5 – Décès et successions de Louis Pierre DAVIAUD et de Marguerite BRÜCK
Louis Emile DAVIAUD
Marthe Constance AMOULIEN
XII – Adolphe Emile DAVIAUD & Gabrielle Georgette Suzanne RAMBEAULT 
1 – Le mariage d’Adolphe Emile et de Gabrielle, un échec
2 – La naissance et la famille de Gabrielle RAMBEAULT
3 – Les enfants du couple
4 – La carrière d’Adolphe Emile DAVIAUD
Adolphe Emile DAVIAUD, l’apprenti
Adolphe Emile DAVIAUD, une courte carrière de marin
Adolphe Emile DAVIAUD, un poulieur en faillite
5 – Décès et successions d’Adolphe Emile et de Gabrielle RAMBEAULT
Adolphe Emile DAVIAUD
Gabrielle RAMBEAULT
XIII – Marguerite Marthe Gabrielle DAVIAUD & Léon Gabriel COGNACQ 
1 – Le mariage de Marguerite et de Léon
2 – Naissance et famille de l’époux
3 – La descendance du couple
4 – La carrière de Léon Gabriel COGNACQ
5 – Décès et successions de Léon Gabriel COGNACQ et de Marguerite DAVIAUD
XIV – Arbre généalogique de la descendance étudiée 
XV – Consultation des archives diocésaines 
XVI – Etude cadastrale 
XVII – Conclusion 
Des recherches inachevées et des difficultés à surmonter
Une expérience et des compétences acquises durant les recherches
XVIII – Références bibliographiques 
Ouvrages
Sites internet
• Archives départementales et communales en ligne
• Sites divers, recherches par mots clés
Peinture de la page de garde

Rapport PFE, mémoire et thèse PDFTélécharger le rapport complet

Télécharger aussi :

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *