Étude de différents facteurs testés en relation avec l’attitude vis-à-vis de l’homéopathie

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Définition de l’homéopathie

Principes de base

Lois de similitude et d’infinitésimalité

Le principe de similitude, initialement pressenti et énoncé par Hippocrate (460-350 avant J.C.), puis transcrit sous sa forme latine « Similia, similibus curantur » (« les semblables sont soignés par les semblables »), fut redécouvert par S. Hahnemann en 1796 (Guermonprez, 2017). Celui-ci, polyglotte, traduisit de nombreux ouvrages scientifiques, dont un en particulier qui le mena à l’ébauche du fondement de ce principe. En effet, c’est en 1790, lors de la traduction d’un livre de Matière Médicale d’un médecin écossais, le Dr Cullen (Chemouny, 2010), que S. Hahnemann remarqua que l’écorce de Quinquina, réputée pour faire baisser les accès de fièvre lors du paludisme, provoquait des accès de fièvre chez les ouvriers chargés d’écorcer cette plante, et donc en contact quotidien et prolongé avec elle (Sarembaud, 2002).
C’est alors que S. Hahnemann comprit qu’il pouvait exister une loi fondamentale, dite de similitude, avec pour corollaire une autre loi, celle d’infinitésimalité. Ces lois peuvent être énoncées comme suit :
• Toute substance pharmacologiquement active provoque chez l’individu sain et sensible un ensemble de manifestations caractéristiques de cette substance.
• Tout individu malade présente un ensemble de symptômes morbides qui est caractéristique de sa maladie.
• La suppression des symptômes morbides, peut être obtenue par l’absorption, à dose faible ou infinitésimale de la substance, dont les effets expérimentaux chez le sujet sain et sensible sont semblables aux symptômes du malade.
L’homéopathie est une méthode thérapeutique qui met en application la loi de similitude en utilisant des substances à visée médicamenteuse à doses faibles à infinitésimales.
Toute substance capable, à dose pondérale, de provoquer des symptômes chez un individu sain peut, à dose infinitésimale, guérir ces mêmes symptômes chez un individu malade.
L’exemple le plus cité est celui du venin d’abeille (Demarque et al., 1995):
Chez une personne saine, la piqûre d’une abeille va lui provoquer les symptômes suivants : œdème rose rouge, d’apparition subite avec douleur, piquante, brûlante, améliorée par application d’eau froide.
Et chez une personne ayant des symptômes similaires, par exemple suite à un coup de soleil, une micro dose de venin d’abeille soulagera la personne malade.

Individualisation

L’homéopathie est une thérapeutique individualisée, le choix d’un médicament étant fonction du patient et de ses réactions. Il pourra donc être pour une même pathologie, différent d’un patient à l’autre (Hahnemann, 2017).
L’homéopathie s’intéresse à l’individu dans sa globalité, en réponse à la diversité des réactions individuelles face à la maladie : le traitement homéopathique ne dépend donc pas seulement des caractéristiques de l’individu mais aussi de ses symptômes. En homéopathie, les maladies et les symptômes, sont dus à un déséquilibre de l’organisme, et à une tentative de celui-ci de retrouver l’équilibre initial. Le but de l’homéopathie est donc de rééquilibrer l’organisme en profondeur et non de traiter seulement les symptômes (Chemouny, 2000).

Préparation

L’homéopathie est inscrite aux Pharmacopées française et européenne. Les matières premières utilisées dans les préparations sont donc soumises aux exigences des monographies de ces pharmacopées. Le médicament homéopathique, est défini par la réglementation en vigueur comme « tout médicament obtenu à partir de substances appelées souches homéopathiques, selon un procédé de fabrication homéopathique décrit par la pharmacopée européenne, la pharmacopée française ou, à défaut, par les pharmacopées utilisées de façon officielle dans un autre État membre de l’Union européenne. Un médicament homéopathique peut aussi contenir plusieurs principes ». (article L.5121-1 11° du Code de la Santé Publique) (Site internet n°15).

Déconcentrations

Les dilutions homéopathiques sont obtenues à partir des souches, par déconcentrations selon un procédé de fabrication homéopathique, c’est-à-dire par dilutions et dynamisations successives, pour les préparations liquides, et par triturations appropriées successives pour les préparations solides (cas des substances insolubles comme Arsenicum album, Phosphorus, Sulfur…) (Masson, 2010).
Pour la dilution, deux modes de préparation sont autorisées: la méthode hahnemannienne et la méthode korsakovienne. Concernant la dynamisation, il s’agit d’une agitation standardisée, effectuée automatiquement après chaque nouvelle dilution (Lachkar, 1983 ; Chemouny, 2010).

La remise en question de l’homéopathie

Ces principes sont remis en question par un certain nombre de scientifiques y compris l’académie de médecine et de pharmacie (Bontoux et al., 2019), pour lesquels : dilution et dynamisation sont inexistantes puisqu’il n’y a plus aucun principe actif dans la solution. Le statut de médicament étant d’ailleurs remis en question dans cette logique (site internet n°6).

L’étude et sa méthodologie

Questionnement

Notre étude s’appuie sur deux types de recueil d’informations complémentaires, auprès des pharmaciens. Le premier type de recueil est issu d’un questionnaire à compléter en ligne, et le second d’un entretien semi-directif. Ils permettent tous les deux d’aborder les thèmes suivants :
• Études et formation
• Relations au patient
• Convictions des pharmaciens concernant l’homéopathie
• Communication et débat
• Sphère familiale
Bien que notre questionnement porte sur les cinq thématiques ci-dessus, l’analyse des résultats dans le cadre de cette thèse se fera essentiellement sur le point 3 (les convictions des pharmaciens concernant l’homéopathie). Les autres points permettront d’apporter de la profondeur dans notre analyse en présentant les éléments contextuels, socioculturels et professionnels nécessaires à la bonne compréhension des résultats. Les autres données pourront en outre donner lieu à d’autres analyses ultérieures.
Quelle est donc la conviction du pharmacien concernant l’homéopathie, et pourquoi ?

Approche mixte

Pour l’étude du corps médical et notamment des pharmaciens, nous avons choisi d’utiliser une approche mixte, en cherchant à recueillir d’une part des informations quantitatives, au travers d’un questionnaire, et d’autre part des informations qualitatives, en réalisant des entretiens semi-directifs.
Nous avons initié les deux approches en parallèle.
Un premier questionnaire a été créé initialement pour s’adresser aussi bien aux médecins qu’aux pharmaciens. Le détail de son contenu a ensuite été discuté collectivement au sein du groupe de recherche du projet HOMEOCSS. Puis, deux versions distinctes ont été réalisées. La première, destinée aux médecins et la deuxième, destinée aux pharmaciens, qui fait l’objet de notre travail de thèse.
Traditionnellement, les questionnaires contiennent une majorité de questions fermées, qui permettent une analyse statistique des réponses. C’est le cas de nos questionnaires destinés aux pharmaciens : sur un total de 47 questions, nous avons 20 questions fermées, dont 12 nécessitant une réponse affirmative ou négative.
Nos questionnaires comportent également 17 questions semi-ouvertes. Il s’agit alors de questions à choix multiples, où plusieurs réponses peuvent être choisies ; ou bien avec une éventuelle demande de précision ;
ou bien des questions qui demandent une réponse textuelle très simple.
Nous avons choisi également de poser deux questions qui demandent une réponse numérique, en pourcentage, allant de 0 % (tout à fait défavorable) à 100 % (tout à fait favorable).
Ce type de proposition permet aux personnes interrogées d’exprimer un avis nuancé, tout en permettant facilement d’analyser les données d’un point de vue quantitatif.
Enfin, les questionnaires comportent également 10 questions ouvertes, qui permettent à la personne de s’exprimer librement, et d’inscrire ses réponses dans un cadre de texte. Sur ces 10 questions ouvertes, 5 contiennent le mot « pourquoi », qui amène à une demande de précisions concernant une précédente question.
Ce type de réponse requiert une analyse qualitative des données, concernant les thèmes abordés, et le vocabulaire utilisé.

Questionnaire internet

Le questionnaire est présenté en annexe n° 5. Le questionnaire internet passe par une interface (ordinateur/écran) et nécessite d’avoir une connexion réseau. A ces conditions, s’ajoute celle de la disponibilité des pharmaciens pour répondre à ce sondage. De facto, elle conditionne la personne auditionnée et filtre les personnes susceptibles de répondre. Ainsi, les personnes disponibles et intéressées au sujet seront potentiellement surreprésentées. Ce biais ne doit pas être sous-estimé, notamment dans le cadre d’une étude qui se veut objective.

Entretien semi-directif

L’entretien se fait sur la base des questions présentées en annexe n°6, et a pour but de laisser la personne interrogée s’exprimer le plus librement possible sur le sujet. Les questions ne sont donc pas forcément posées à chaque fois dans le même ordre. Elles sont surtout là pour recentrer la personne sur le sujet ou relancer la discussion. Ce guide d’entretien a été construit collectivement au sein du groupe de recherche du projet HOMEOCSS.
• Dans un premier volet du guide d’entretien, il y a la fiche d’identité, qui permet au pharmacien de parler de lui et de construire les bases de l’échange de la suite de l’entretien. Cela l’habitue dans le même temps à parler de lui et de son expérience.
Ensuite, les questions se focalisent sur ses études et sa formation. Ces questions simples vont permettre de mettre en confiance notre interlocuteur. Ces questions ont également un intérêt dans l’analyse, car cela permettra de détecter les influences et les convictions des pharmaciens au regard de leur origine géographique, et bien évidemment d’identifier des spécialisations ou formations en homéopathie.
• Puis dans un second volet, nous nous intéressons à la relation aux patients, en entrant progressivement dans le sujet. L’homéopathie devient progressivement l’élément central de l’échange, ce qui nécessite un positionnement de plus en plus marqué par l’interlocuteur. Il sera donc demandé au pharmacien s’il conseille des médicaments homéopathiques, mais également d’autres formes de thérapies. En outre, il sera interrogé sur le formalisme de ses conseils et les choix d’orientation thérapeutique. Cela permet de mieux connaître notre interlocuteur dans sa façon d’orienter son patient au regard de ses réticences ou de ses attentes.
• Le troisième volet est l’objet d’un développement plus détaillé des arguments des pharmaciens. Le positionnement et les arguments sur la question se dessinent de façon beaucoup plus explicite. La conviction de l’interlocuteur apparaît généralement très clairement, dès lors qu’il s’émancipe des discours flous et consensuels. L’efficacité de l’homéopathie fait également l’objet d’un questionnement relatif à son efficacité, clinique ou psychologique, au regard de son effet placebo ou de l’idée que chacun s’en fait . On pourra donc analyser les différents arguments présentés pour comprendre pourquoi les pharmaciens sont plutôt en faveur ou défaveur de l’homéopathie.
• Le quatrième volet se concentrera sur le positionnement du pharmacien interrogé, ainsi que sur son degré de participation au débat actuel relatif à l’efficacité de l’homéopathie. En substance, on reviendra sur les modalités de sa participation et les stratégies développées lors de son argumentation.
• Dans le cinquième volet nous clôturerons notre étude thématique par la sphère familiale, relevant du domaine de l’intime, nécessitant donc un plus grand degré de confiance. Ces parties ne seront pas traitées dans le cadre de cette thèse, mais seront analysées ultérieurement par le projet. Toutefois l’apport global de la matière reste une ressource non négligeable, dans la mesure où elle contribue à la contextualisation des données.

Diffusion des questionnaires

Les questionnaires ont été générés grâce à une application, appelée serveur de sondages, qui est disponible sur l’intranet de l’Université de Bourgogne-Franche-Comté. Il suffit de communiquer l’adresse (l’URL) correspondante, pour permettre aux personnes ciblées d’accéder et de répondre au questionnaire en ligne.
Pour diffuser notre questionnaire, nous avons contacté l’URPS (Union Régionale des Professionnels de Santé) de Bourgogne-Franche-Comté (site internet n°10) qui rassemble quelques milliers de pharmaciens, et qui a accepté de relayer notre étude.
Par ailleurs, nous avons contacté l’AMS (Association des Maîtres de Stage) de Normandie qui a également accepté de transmettre notre questionnaire.
Puis nous avons diffusé le questionnaire via un groupe facebook fermé, destiné aux pharmaciens d’officine, aux préparateurs et aux étudiants en pharmacie.

Résultats – Analyse de l’attitude des pharmaciens vis à vis de l’homéopathie

Résultats du questionnaire internet

Pour cette thèse, il m’est apparu pertinent de mettre en avant trois questions du questionnaire internet, concernant le grand thème III- La conviction (Annexe n°5). En effet les réponses à ces 3 questions sont en quelque sorte la quintessence du débat national sur la question :
• « Pourquoi êtes-vous favorable ou défavorable à l’homéopathie ? »
• « Quels sont les avantages de l’homéopathie ?»
• « Quels sont les inconvénients de l’homéopathie ? »
De plus, ces trois questions me paraissent essentielles pour connaître l’avis des pharmaciens et identifier les raisons des divergences dans la profession. Rappelons que les officines délivrent tous des médicaments homéopathiques, quotidiennement pour la majorité d’entre elles.
La partie du questionnaire qui porte sur les convictions demande aux personnes interrogées de quantifier leurs convictions sur une échelle de 0 à 100%.
Les réponses recueillies ont été ventilées en trois groupes distincts. Le premier groupe est celui des « 100% favorables », le deuxième celui des « intermédiaires de 10 à 90% » et le troisième celui des « défavorables 0% ».
La première étape de notre questionnaire est de caractériser les personnes ayant répondu.
Nous avons eu 98 réponses au questionnaire, dont 59 femmes et 39 hommes.
– Pour le groupe défavorable : 4 personnes ont répondu, dont 1 femme et 3 hommes. Parmi eux, 1 personne déclare avoir suivi une spécialisation en homéopathie en dehors du cursus universitaire, et aucun d’eux ne conseille de l’homéopathie.
– Pour le groupe intermédiaire : 39 personnes ont répondu, dont 22 femmes et 17 hommes. Parmi eux, 2 déclarent avoir suivi une spécialisation en homéopathie en dehors du cursus universitaire, 19 ne conseillent pas d’homéopathie ou rarement, 20 en conseillent assez souvent voire quotidiennement.
– Pour le groupe favorable : 55 personnes ont répondu dont 36 femmes et 19 hommes. Parmi eux, 18 déclarent avoir suivi une spécialisation en homéopathie en dehors du cursus universitaire, 1 conseille rarement de l’homéopathie, 54 en conseillent assez souvent à quotidiennement.
Les proportions observées ne sont pas représentatives de la population des pharmaciens français.
Une fois ces trois groupes définis, nous avons regroupé leurs arguments en les classant par fréquence d’apparition à l’aide du logiciel Iramuteq. Ce logiciel présente l’avantage d’identifier les similitudes, les spécificités ou les divergences, tout en classifiant ou segmentant les informations au travers d’une analyse statistique et d’une segmentation des informations.

Résultats à la question : « Pourquoi êtes-vous favorable ou défavorable à l’homéopathie ? »

Pour le groupe des favorables (100%)

Pour le groupe des favorables (100%) obtenu à partir d’Iramuteq.
Les résultats démontrent que les pharmaciens favorables à 100% à l’homéopathie, s’accordent unilatéralement sur l’absence de contre-indications et d’effets indésirables ou secondaires avec la prise de ces traitements. A titre d’information, ces mots sont les plus représentés dans l’analyse. Les mots « efficace » et « efficacité » sont également largement cités, notamment évoqués au regard de leurs bénéfices pour les patients. Ils parlent également de traitement complémentaire à l’allopathie, c’est-à-dire que les patients peuvent se soigner pour des choses simples, pathologie aiguë (ORL) avec de l’homéopathie mais également l’associer à un traitement chronique en complément.
Ils parlent aussi d’alternative thérapeutique, pour les femmes enceintes, les enfants/nourrissons et les animaux. Lorsqu’il n’y a pas d’autre traitement disponible, l’homéopathie reste pour les personnes sensibles, le meilleur et parfois le seul choix.
Ils évoquent la simplicité d’emploi, puisque l’on peut facilement transporter les remèdes homéopathiques et donc les prendre tout au long de la journée.
Les pharmaciens reçoivent les avis positifs de leurs patients, pour qui cette thérapeutique fut une réussite. C’est avec cette expérience et ces retours que ces pharmaciens y sont favorables à 100%.
C’est également une façon de se soigner à moindre coût. Les patients peuvent en effet se soigner avec un investissement économique limité. Dans le même temps, pour la sécurité sociale cela représente un budget relativement faible par rapport aux autres dépenses de santé en allopathie.

Pour le groupe des intermédiaires (10-90%)

Dans le groupe des intermédiaires, la plupart d’entre eux pense qu’il n’y a pas d’efficacité scientifiquement prouvée et démontrée mais qu’il y a un effet placebo. Ce dernier peut être utile pour le patient, comme par exemple pour des pathologies bénignes qui se soignent d’elles-mêmes, ou de tout ce qui relève de la « bobologie » pour reprendre les termes employés, ou encore en alternative/complémentarité à l’allopathie.
Ils redoutent cependant, une dérive de ces traitements pour des affections plus graves. On pourra citer un pharmacien qui prend l’exemple d’influenzinum (souche du vaccin homéopathie de l’année, diluée et dynamisée), appelée par le grand public « vaccin homéopathique », pris en remplacement du vaccin de la grippe. Le risque engendré par un retard de prise en charge leur apparaît non négligeable, et potentiellement vecteur de complications.

Pour le groupe des défavorables (0%)

Nous n’avons eu que très peu de réponses pour ce groupe (ce qui s’accorde avec le biais que nous avons identifié préalablement), mais ils sont tous unanimes pour dire qu’il y a un effet placebo qui pourrait être remplacé par d’autres traitements, dénués de la mystique ou du charlatanisme de l’homéopathie.
Au-delà de l’effet placebo, il n’y a pas d’efficacité, et pour eux, cela peut aggraver une maladie.
Ils avancent également l’argument que d’autres thérapeutiques devraient être priorisées ou remboursées plutôt que l’homéopathie.

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Table des matières

Introduction
Partie I : Le projet HOMEOCSS et l’homéopathie
1. Présentation du projet HOMEOCSS
1.1. Analyse contextuelle
1.2. Objectif
2. Définition de l’homéopathie
2.1. Principes de base
2.1.1. Lois de similitude et d’infinitésimalité
2.1.2. Individualisation
2.2. Préparation
2.3. Déconcentrations
2.4. La remise en question de l’homéopathie.
Partie II : L’étude et sa méthodologie
1. Questionnement
2. Approche mixte
3. Questionnaire internet
4. Entretien semi-directif
5. Diffusion des questionnaires
Partie III : Résultats – Analyse de l’attitude des pharmaciens vis à vis de l’homéopathie
1. Résultats du questionnaire internet
1.1. Résultats à la question : « Pourquoi êtes-vous favorable ou défavorable à l’homéopathie ? »
1.1.1. Pour le groupe des favorables (100%)
1.1.2. Pour le groupe des intermédiaires (10-90%)
1.1.3. Pour le groupe des défavorables (0%)
1.2. Résultats à la question : « Quels sont pour vous les avantages de l’homéopathie ? »
1.2.1. Pour le groupe des favorables (100%)
1.2.2. Pour le groupe des intermédiaires (10-90%)
1.2.3. Pour le groupe des défavorables (0%)
1.3. Résultats à la question : « Quels sont pour vous les inconvénients de l’homéopathie ? »
1.3.1. Pour le groupe des favorables (100%)
1.3.2. Pour le groupe des intermédiaires (10-90%)
1.3.3. Pour le groupe des défavorables (0%)
2. Résultats des entretiens pharmaciens
2.1. Résultats à la question : « Pourquoi êtes-vous favorable ou défavorable à
l’homéopathie ? »
2.1.1. Pour le groupe des favorables (100%)
2.1.2. Pour le groupe des intermédiaires (10-90%)
2.1.3. Pour le groupe des défavorables (0%)
2.2. Résultats à la question : « Quelles sont pour vous les avantages de l’homéopathie ? »
2.2.1. Pour le groupe des favorables ( 100%)
2.2.2. Pour le groupe des intermédiaires (10-90%)
2.2.3. Pour le groupe des défavorables (0%)
2.3. Résultats à la question : « Qu’elles sont pour vous les inconvénients de l’homéopathie ? »
2.3.1. Pour le groupe des favorables (à 100%)
2.3.2. Pour le groupe des intermédiaires (10-90%)
2.3.3. Pour le groupe des défavorables (0%)
3. Étude de différents facteurs testés en relation avec l’attitude vis-à-vis de l’homéopathie
3.1. La réponse scientifique
3.2. La finance
3.3. Le facteur générationnel
3.4. L’approche universitaire et l’approche empirique
3.5. La conviction
3.6. L’aspect social
Conclusion
Annexes
Bibliographie

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