ÉTUDE COMPARATIVE DE LA FILIÈRE GIROFLE AVEC LES PRODUITS DE LA RÉGION

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La plantation sur la culture moderne1

La multiplication du giroflier

Sur cette technique, la pépinière est constituée par des plate- bandes de 1.50 m de large et de longueur variable sur les quelles on trace des raies de 1 à 2 cm de profondeur espacées de 25 cm ; cet espacement est destiné à éviter les repiquages que les jeunes girofliers supportent assez mal. On cueille ou on ramasse les antofles sur les pieds et on les trie. On ne garde que les antofles bien rouges violacés non ridés et les mettre en terre sans tarder après la récolte. On dispose ainsi ces antofles dans les petits sillons tracés sur les plate- bandes. Les grains germent en cinq semaines après. Les antofles sont ensuite recouvertes de terre fine et on réalise un léger paillis sur le sol. On termine letout en établissant une ombrière à 2m au-dessus de sol, on peut utiliser des feuilles de cocotier par exemple. Ce semis en pépinière se fait aux mois de Mars – Avril marquent la fin de la saison pluvieuse.

la plantation

La plantation s’effectue lorsque les pluies sont bien établies et régulières.
Le piquetage: a pour but de repérer les emplacements précis des utursf girofliers, espacé de 7m sur chaque ligne. Chaque ligne étant elle-même espacée de 7m. Ce qui correspond à une densité de 200 pieds par hectare.
La trouaison: On marque tout d’abord une aire de plus de 1m2, autour d’un piquet qui matérialise le centre de cette surface. On trace les limites du trou de 60cm de côté, le trou a également 60cm de profondeur. On a pris soin de déposer la terre de surface d’un côté et la terre de fond d’un autre côté du trou.
Le rebouchage : on commence par la terre de surface, on procède à un apport de fumier à mélanger avec la terre de fond. On termine le rebouchage avec ce mélange. Il est important de bien marquer une butte afin qu’il n’y ait pas de stagnation d’eau et donc de pourrissement du jeune plant. Dans cette butte, on creuse un trou qui va accueillir le jeune plant.
Arrosage: Il convient d’arroser le plant encore en pot afin d’éviter l’effritement de la motte. On incise le fond du pot plastique. Le pot plastique est enlevé puis on finit le rebouchage à la main. On procède alors à un bon arrosage.
Ombrage: Il est impératif de protéger le jeune plant des rayons de soleil par la fabrication d’une ombrière d’environ 80cm de hauteur. Cette ombrière restera en place au moins durant les 6 premiers mois suivant la plantation.
Paillage: On procède ensuite à un paillage autour du jeune plant, sans que ce paillage touche directement le plant afin d’éviter tout développement de la maladie fongique et la pourriture du collet.
Par la suite il sera procédé régulièrement, à un détourage des plants. Des défrichages doivent également être réalisés dans les plantations plus anciennes.

Forme de culture dans le district de Mananara Nord

En général, il existe deux types de méthodes de multiplication
La multiplication asexuée
La multiplication végétative
Actuellement la plus pratiquée est la multiplication asexuée appelée aussi «semis », mais de façon très traditionnelle. Elle se fait en ramassant les plants qui poussent aux pieds des girofliers adultes, et après, on applique la méthode la plus simple appelée « Bata tany » ou transplantation c’est-à-dire, on déplace les jeunes plants d’un endroit à un autre avec un morceau de terre autour de ses racines pour garder l’état normal du giroflier. Les cas de la multiplication végétative : marcottage, greffage etbouturage ne sont pas encore développés dans cette zone, ni pratiqués.

Les soins de la plantation par les producteurs

Face aux multiples nécessités de soin pour les girofliers, rares sont les producteurs qui arrivent à bien soigner leurs plantations. Ils n’ont pas non plus l’habitude d’arroser les plants parce qu’ils ont confiance au climat de cette région. Pour les plants adultes, les cultivateurs n’ont pas aussi l’habitude d’en prendr e soin quotidiennement, mais seulement une fois par an, avant ou après la saison de la récolte.

La structure de mode d’exploitation et de la récolte1

Dans la zone d’étude, la production du girofle est en général de type familial. Le travail est fourni par la main –d’œuvre familiale, l’entraide et le salariat. Le mode de faire valoir est la nature des liens contractuel qui existent .Cette Organisation est valable surtout au stade de la récolte. Ce sont les diverses formes de mise en valeur des exploitations, on distingue :

Le faire -valoir direct

La main-d’œuvre familiale : Le travail est réalisé par les parents et les enfants. Il dépend aussi de la composition de la famille. Le travail à faire est l’entretien de la plantation / égourmandage, désherbage.
L’entraide : Elle est présentée sur plusieurs formes :
Le valin-tanana : C’est la participation de deux ou plusieurs paysans qui font la rotation pour les travaux des champs. Le travail se fait en une ou deux journées dans le champ du premier, et les jours suivants sont consacrés auservice du second et ainsi de suite. Le repas est à la charge de l’hôte.
Le asa-maro : Le chef de famille invite ses camarades ou les voisins pour travailler dans son champ. Il précise le jour du travail. Dansce genre d’entraide, le ménage requérant prépare les repas et les boissons
Le mantera : Certains planteurs pratiquent le «Mantera », c’est à dire, le propriétaire invite plus de centaines de villageois pour participer à la récolte ; pour cela il doit donner un bœuf à titre de remerciement. Et cet animal doit êt re abattu et mangé par les invités durant le jour du travail. Le jour favorable pour ce genre de travail, soit le samedi, soit le lundi, parce qu’il les considère comme le beau jour « Androtsara » pour le travail.
Le misasaka( metayage) : veut dire moitié. Dans ce genre de contrat, les deux contractants (le propriétaire et le récolteur) se artagentp les produits récoltés, le partage est parfois se fait soit en kilo, en journée, et parfois en semaine

La récolte du clou de girofle

La saison et la durée de la récolte

Le giroflier fructifie à partir de la cinquième année, la récolte de clous est appréciable vers la huitième année, et la pleine production est atteinte à 20 ans. Cependant, il faut signaler que la production a un caractère cyclique et que la pluviométrie a une influence non négligeable. En effet, une faible pluviométrie favorise la production des clous au détriment des feuilles et réciproquement. La récolte du girofle est une opération laborieuse.Elle se fait en prélevant le pédoncule qui porte les clous. Elle est suivie de l’égriffage qui consiste à séparer le clou du pédicelle, puis les produits sont mis à sécher séparément.
Dans notre zone d’étude, la saison de la récolte duclou de girofle varie d’une période à une autre, et d’une région à une autre, elle dépend du climat ; le plus souvent, la récolte tourne autour du mois de novembre à janvier. Mais dans certaines communes, la récolte est parfois très avancée par rapport auxutresa communes, c ‘est le cas de la partie sud du District ; ceci est sans doute dû au climat et les lieux de plantation là où les planteurs plantent leurs girofliers, ce qui empêche les girofliers de voir les lumières.

Les différentes étapes de la récolte et le rendement

La production des girofliers est très irrégulièreEt. on ne peut compter sur une bonne production qu’une fois tous les trois à quatre années. Le rendement annuel par arbre est estimé entre 6 à 16 kg de clous frais correspondant entre 900 kg et plus de 2 tonnes à l’hectare 1.
Les populations de Mananara Nord récoltent les clous de girofles lorsqu’ils sont roses, en général la récolte débute à la fin de lasaison sèche, c’est-à-dire durant les mois d’octobre, décembre, et janvier.
La récolte se fait à la main en utilisant une échelle, « Mahafatoky » deux paniers et un « Lagafo » qui sont des matériels locaux. L’ouvrier prélève tous les pédoncules avec les clous qui y sont insérés. Un ouvrier peut récolterde 3 à 4 grandes tantes par jour qui est environ 35 à 45 kg d’inflorescence fraiche, soit 4 à 5 kg de clou sec.
Puisque la pratique d’essence par feuille n’est pa s encore développée dans le district, le rendement moyen est d’ordre de 20 à 50 kg de clo us frais par arbre.
Pour 100 kg d’inflorescences fraiches :
= 78 /80 kg clous frais + 20/22 kg de griffes fraiches
= 20 /24 kg clous secs + 7/ 7,5 kg griffes sèches 2 100 kg d’inflorescence donnent 1 700 kg de clous frais et 500 kg de clous secs 350 kg de feuilles donnent 6 à 7 kg d’essence à 75 – 88 % d’eugénol les griffes donnent 6 % d’essence à 89 % d’eugénol les clous donnent 11 à 13 % d’essence riche en eugénol à 78 à 98 %.
les antofles fournissent 2 à 3 % d’essence à 53 % d ’eugénol.

Les techniques et les matériels de la récolte

Pour préparer la récolte de clou de girofle, les producteurs ont prévu beaucoup de matériels nécessaires : Deux Paniers (Helitra) sontindispensables, l’un est plus grand et l’autre est plus petit appelé « Fameno ». Le grand panier reste au pied de l’arbre pour stocker les produits récoltés, et le petit, est enhaut avec l’ouvrier pour rendre facile le déplacement, une ou plusieurs cordes : pour faire descendre le petit Panier « Fameno », et pour ligoter les « mafatoky », un ou deux escaliers : C’est pour faciliter la montée sur l’arbre et aussi le ramassage des clous sur les petites branches, deux petites tiges avec une branche à l’extrémité : l’une est très longue, de 1 à2 m de ongl appelé « Fiavitra », c’est pour tirer les branches, l’autre est plus courte, attaché sur la corde du « fameno », elle est environ 20 à 30 cm de long et appelé « Lagafo ».

Les différents traitements sur les produits chezles producteurs a- L’ égriffage

L’égriffage consiste à séparer les clous frais du pédoncule, ou encore détacher les clous de la griffe. L’égriffage est commencé justeaprès l’arrivée des clous frais au village. Pour les petits producteurs, l’égriffage est fait par les membres de la famille eux-mêmes, mais pour les grands producteurs, ils doivent inviter plusieurs personnes pour faire l’égriffage ; pour cela le propriétaire doit offrir des boissons alcoolisées comme le « Betsabetsa », il peut durer jusqu’à l’aube, et ce rtains mettent directement leurs produits au soleil sans passer par l’égriffage.

La dessiccation

Après l’égriffage c’est la phase de séchage ; aprèsavoir bien séparé les clous et les griffes, pour cela, les nattes, ou des bâches sont utilisées, et parfois le séchage est fait par terre. Elle est finie lorsque le clou devient cassant c’est-à-dire lorsque sa couleur devient teinte brun clair.
Par temps ensoleillé, on compte 3 à 5 jours de séchage tant pour les clous que pour la griffe. Mais le temps de séchage dépend du climat,puisque Mananara est l’une des régions la plus arrosée de Madagascar, parfois il est très difficile de faire sécher les girofles pendant la durée normale (3 à 5 jours), parfois le séchage peut durer jusqu’à une semaine et plus ; dans ce cas, il est très difficile d’obtenir la couleur normale des clous de girofle, car après 3 ou 4 jours d’absence de soleil, le clou devient moisi ou de couleur blanche (kavalera).

Le stockage chez les producteurs

En le comparant avec les autres produits agricoles, il est très facile de stocker le girofle, car la présence des produits aromatiques apréalablement une action répulsive vis-à-vis des insectes. Pour cela les producteurs n’ont pas besoin d’un endroit plus confortable pour stocker leurs produits, ils utilisent des paniers en « penja ».

SECTION III- ÉTUDE COMPARATIVE DE LA FILIÈRE GIROFL E AVEC LES PRODUITS DE LA RÉGION

La région Analanjirofo figure parmi les localités uiq possèdent des richesses diversifiées à Madagascar. Elle présente une fortepotentialité agricole telle que la culture de rente. Cette forte potentialité agricole s’explique par la présence des sols variés, et le climat favorable.

Les cultures vivrières

La riziculture occupe une superficie plus importante dans le district de Mananara Nord, en tant qu’aliment de base pour la population malgache , il est obligé d’en produire plus.
Pendant la période de culture de manioc, de patate douce et parfois de maïs, les exploitants agricoles dans cette zone profitent aussi d’en cultiver. Les produits répondent non seulement aux besoins alimentaires, mais aussi aux besoins financiers des paysans.

La riziculture

L’existence des vastes plaines favorables à la rizi culture des plaines et des bas fonds ( Maroantsetra, Soanierana-Ivongo, Iazafo Vavatenina) a fait de la riziculture une des principales activités agricoles de la Région. On relève actuellement 33 920 ha de riziculture des plaines et de bas fonds, 2 390 ha de riziculture sur tanety et 35 270 ha de riziculture sur tavy. Cette dernière, malgré son impact négatif sur l’environnement, garde son importance dans la production rizicole de la Région ; car elleoccupe 35 270 ha de surface cultivée sur une surface totale en riz de 84 430 ha, soit une occupation spatiale de 47, 7 %.
Actuellement, plusieurs organismes et institutions ont intervenu ou interviennent dans la Région pour l’épauler dans son propre développement.

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Table des matières

INTRODUCTION
PREMIÈRE PARTIE : LA FILIÈRE GIROFLE ET SON ENVIRONNEMENT
CHAPITRE I – L’ÉTUDE DU GIROFLE
SECTION I – LA GÉNÉRALITÉ SUR LA FILIÈRE ET DE LA ZONE D’ÉTUDE
§1- Historique et origine de la filière Girofle
§2-Description de la plante
§3- Écologie de la plante
§4- Localisation du district de Mananara Nord
§5- Les aspects géographique
A- La végétation
B- Le climat
C- La température
D- La pluviométrie
E- Population
SECTION II : LA PRODUCTION ET LA RÉCOLTE
§1-Évolution des superficies et la production
A- Au niveau national
B- Au niveau de la région Analanjirofo
§2-Le but de la culture
§3-La comparaison des méthodes de culture
A- La plantation sur la culture moderne
a- La multiplication du giroflier
b- la plantation
B- Forme de culture dans le district à Mananara Nord
a- Les soins de la plantation par les producteurs
b- La structure de mode d’exploitation et de la récolte
§4- La récolte du clou de girofle
A-La saison et la durée de la récolte
B-Les différentes étapes de la récolte et le rendement
C-Les techniques et les matériels de la récolte
D-Les différents traitements sur les produits chez les producteurs
a- Le griffage
b- La dessiccation
c- Le stockage chez les producteurs
SECTION III- ÉTUDE COMPARATIVE DE LA FILIÈRE GIROFLE AVEC LES PRODUITS DE LA RÉGION
§1-Les cultures vivrières
A- La riziculture
a- Les prix et les débouchés
b- Le compte caractéristique de la riziculture irriguée
c- Le bénéfice obtenu pour 1 ha de riz
B- Le manioc
a- Le prix et débouchés
b- Compte caractéristique de culture de manioc
c- Revenu obtenu pour 1ha de manioc
§2-Les cultures industrielles et fruitières
A- La canne à sucre
B- La banane
§3-La culture de rentes
A- Le café
B- La vanille
C- Estimation du coût d’exploitation de girofle par ha
D- Les autres activités source de revenu de la population
CHAPITRE II- LE MARCHÉ DE GIROFLE
SECTION I- LE MARCHÉ INTERNE
§-1- La collecte du girofle
A- L’organisation de la collecte
a- Les processus de l’organisation
b- L’Intervention du comité Administratif
§2- La collecte du produit
A- Le système de collecte en réseau
B- Approche technique du système en réseau
§ 3- Les collecteurs
§4- Le prix de girofle
A- Définition
B- Les moyens d’évacuation
a- Le transport fluvial
b- Le transport terrestre
§5- Les différentes charges engagées par chaque acteur de la filière
A- Au niveau producteur
B- Du prix à l’exploitation
a- Coût de collecte primaire par kilo
b- le coût de revient avant conditionnement par kilo
c- Le coût de revient après conditionnement par kilo
d- Le coût de revient du kilo de girofle embarqué à bord du navire
SECTION II- L’EXPORTATION DU GIROFLE
§1- La procédure d’exportation
§2- La processus de la préparation de girofle à l’exportation
A- Les différentes étapes de conditionnements
a- Définition
b- Le conditionnement et emballage
B- Le contrôle
a- Le contrôle de pesage
b- L’étiquetage
c- Le stockage du girofle
d- L’organisation de contrôle
§3- Les exportateurs
A- Définition
B- Les Exportateurs au niveau Mondial
C- Les obligations des exportateurs (à Madagascar)
§4- les importateurs
A- Les principaux pays importateurs de Madagascar
§5- Le prix sur le marché international
§6- Le document requis à l’exportation
A- Document concernant l’exportation
B- Document concernant le contrôle
C- Le connaissement ou Bill of Lading
E- Les obligations de l’exportateur du Girofle
§7- Les moyen de recouvrement
A- Le crédit documentaire ou le CREDOC
B- La remise documentaire ou le REMDOC
DEUXIÈME PARTIE : LES HANDICAPS DE LA FILIÈRE GIROFLE ET SES PERSPECTIVE
D’AVENIR
CHAPITRE I : LES CAUSES DE L’HANDICAP DE LA FILIERE GIROFLE
SECTION I: LES CAUSES INTERNES
§1- Au niveau technique
A- Le vieillissement des plants
B- Problème au niveau de collecte
C- Les technique culturales
D- Le non respect à la production
§2- Au niveau social et économique
A- Les voies de dessertes
B- La pratique usuraire
C- La désignation du tissu social
D- Les prix non inactifs aux producteurs
E- Le crédit agricole
§3- Commercialisation
§4- Dues aux phénomènes naturels
A- Les aléas climatiques
B- Le cycle de la production de girofle
C- Les maladies et ennemies
§5- Les comportements de l’Etat
SECTION II – LES CAUSES EXTERNES
§1- L’instabilité des prix du girofle sur le marché international
§2- Les déterminants de la baisse de prix du girofle sur le marche international
§3- L’augmentation de la production mondiale du girofle
§4- L’importance de stocks de girofle détenus pour leur pays importateurs
§5- Les déterminants de la hausse du prix sur la marche international
§6- La baisse a moyen terme du prix des produits tropicaux
§7- Les autres facteurs indépendants
CHAPITRE II : LES PERSPECTIVES D’AVENIR DE LA FILIERE GIROFLE
SECTION I- LES PROPOSITIONS D’AMELIORATIONS DE LA PRODUCTION
§1- Remplacement de plantations vieillissantes
§2-La vulgarisation agricole
§3-La mise en place des projets de développement ruraux (PPRR)
§4- Les luttes contre les ennemis et les maladie
§5-Face aux phénomènes naturels
§6-La constitution d’organisation
A- Fondement des organisations paysannes
B- Formation des organisations paysannes
C- Association des collecteurs
D- Les groupements interprofessionnels
§7- Facilitation d’accès au crédit
§8-Le désenclavement de la région
A- La Route Nationale (RN)
B- Les routes et les pistes rurales
§9-Les autres appuis a la filière
A- La protection de l’environnement
B- La sécurité
SECTION II – LES PROPOSITIONS CONCERNANT LA COMMERCIALISATION
§1-Sur le plan normatif
A- La qualité des produits
B- La recherche de la qualité
C- La Norme
D- Traitement / stockage /triage / conditionnement :
§2-L’acheminement et la mise en FOB
§3-L’amélioration de l’opération d’exportation
§4-La stabilisation interne des recettes d’exportation du girofle : « le fairtrade » ou le marche équitable
A- Le système Stabex de l’Union Européenne
SECTION III- LES INTERVENTIONS NECESSAIRES
§1- Les interventions au niveau macro-économiques
A- Les respects des objectifs généraux des politiques économiques
a- La réduction du déficit budgétaire
b- la maîtrise de l’inflation
§2- Le renforcement du cadre réglementaire de la politique commerciale
A- Se conformer parfaitement aux accords et aux décisions multilatéraux
§3- Les accords facilitateurs/ coopérations régionales
A- COMESA
B- COI
C- ACP-UE
D- SADC
CONCLUSION
BIBLIOGRAPHIE

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