ETIOLOGIES ET CONSEQUENCES DES EDENTATIONS CHEZ L’ENFANT

Télécharger le fichier pdf d’un mémoire de fin d’études

ETIOLOGIES ET CONSEQUENCES DES EDENTATIONS CHEZ L’ENFANT

Étiologies

L’édentation peut concerner les dents temporaires et/ou permanentes, être uni ou bimaxillaire. La portée de l’édentement est variable, allant de l’absence d’une seule dent à l’édentement complet bimaxillaire.

La maladie carieuse [7], [8]

La maladie carieuse, chez l’enfant sain ou à risque, est une cause très fréquente d’édentation, notamment d’édentation multiple, comme dans la carie précoce de l’enfant (CPE).
C’est la première cause d’édentation sévère de l’enfant, notamment de l’édentation totale.
Elle atteint les enfants dès le plus jeune âge et se manifeste alors sous la forme de caries en nappe atteignant tout d’abord les incisives maxillaires puis les molaires maxillaires, les molaires mandibulaires, et enfin les incisives mandibulaires longtemps protégées par la langue [9]. Au stade le plus sévère, l’enfant présente des incisives très délabrées et il ne reste parfois que leurs racines.
La cause de cet état bucco-dentaire est l’allaitement maternel prolongé ou la prise fréquente de biberons à contenu sucré.

Les traumatismes

Les traumatismes sont la 2éme cause de perte de dents entre 3 et 16 ans [10], mais la première cause de perte des incisives [11].
Les enfants représentent une population à risque pour les traumatismes dentaires et alvéolaires. Ainsi, un enfant sur deux subit un traumatisme des dents temporaires avant 6 ans [12].
Selon le stade de leur évolution, les structures osseuses et dentaires offrent des résistances différentes aux chocs.
¾ En denture temporaire [13] : l’os alvéolaire est peu dense et peu minéralisé, donc malléable, ce qui favorise des luxations des organes dentaires plutôt que des fractures.
¾ En denture mixte: c’est pendant cette période que le risque de traumatisme dentaire est le plus grand. Les incisives centrales maxillaires restent les plus touchées par les traumatismes [14]. Mais durant les premières années, l’édification radiculaire en cours confère quelques spécificités : la racine courte permet les luxations, même si l’os alvéolaire devient plus compact et plus résistant aux déplacements latéraux et axiaux. Les fractures des organes dentaires apparaissent avec l’allongement des racines et la densification osseuse.
¾ En denture permanente [13] : ce sont les activités sportives qui semblent générer le plus d’accidents chez les sujets jeunes.
La proalvéolie supérieure favorise la survenue de tels accidents, les incisives étant alors particulièrement exposées du fait de leur vestibuloversion [15]. La fracture (coronaire, radiculaire ou mixte) et/ou la luxation dépendent de la force et de l’orientation du choc.

Les anomalies dentaires

Il existe de nombreuses anomalies dentaires (nombre, morphologie, teinte, structure, éruption, exfoliation, position) [16].
Parmi elles, celles qui entraînent des édentations sont principalement les agénésies (associées, dans certains grands syndromes, à des anomalies de formes des dents présentes) et la dentinogenèse imparfaite héréditaire [17].

Les agénésies

Une agénésie dentaire est une anomalie de nombre par défaut. Une dent manque en raison de l’absence ou de l’arrêt de développement de son germe [18].
Les agénésies peuvent être simples ou multiples et concerner les dents temporaires et/ou permanentes. Elles sont souvent congénitales et influencées par des facteurs environnementaux présents durant la grossesse telles que certaines pathologies (comme la rubéole), la prise de médicaments (thalidomide par exemple) ou les irradiations [19], [20].
¾ En denture temporaire, les dents les plus concernées sont les incisives latérales maxillaires et mandibulaires [16], [19].
¾ En denture permanente, ce sont les dents de sagesse maxillaires et mandibulaires, les secondes prémolaires mandibulaires et les incisives latérales maxillaires.
Ce sont surtout les dents de « fin de série » qui sont touchées. L’anomalie est souvent symétrique par rapport au plan sagittal médian. Selon le nombre de dents absentes, la terminologie varie :
• L’ hypodontie : est définie par l’absence de 1 à 5 dents [13].
• L’oligodontie : est définie par l’absence de plus de 6 dents permanentes (à l‘exclusion des troisièmes molaires) [21].
• L’anodontie : est une oligodontie extrême caractérisée par l’absence de toutes les dents [19], [22]. Elle affecte essentiellement des enfants atteints de pathologies générales.

Dentinogenèse imparfaite héréditaire

La dentinogenèse imparfaite héréditaire, qui se transmet selon le mode autosomique dominant, atteint aussi bien les dents temporaires que permanentes et concerne 1/8000 naissances [21] [23].
Les dents des enfants atteints de dentinogenèse imparfaite héréditaire ont des couronnes très abrasées. La pulpe peut alors être exposée au milieu extérieur, entraînant des abcès à répétition d’où la nécessité d’extraire ces dents [24]. Mais en général, il n’y a pas d’exposition pulpaire du fait de la rétraction.
En l’absence d’abcès, ces dents peuvent être conservées, soit en reconstituant la couronne par des coiffes pédodontiques préformées si c’est possible, soit en faisant une prothèse amovible qui recouvre les dents abrasées (prothèse amovible complète supra radiculaire) [24].
Le traitement endodontique de ces dents est quasiment impossible en raison de la raréfaction de la chambre pulpaire et des canaux radiculaires.

Les parodontopathies

Les parodontites juvéniles concernent les dents permanentes (incisives centrales et premières molaires) des adolescents et des jeunes adultes (de11-15 ans jusqu’à 25-30 ans) en bonne santé générale.
Les parodontites prépubertaires peuvent atteindre les deux dentures [25]. Elles sont encore moins fréquentes.
Les parodontopathies entraînant des pertes dentaires sont en fait, essentiellement, des manifestations parodontales de maladies générales [7].

L’hypophosphatasie :

Les patients atteints d’hypophosphatasie manquent de phosphate alcalin. Ce trouble, caractérisé par un défaut de minéralisation osseuse, est dû à une déficience de l’activité de la phosphatase alcaline non-tissu-spécifique (TNSALP) [26].
. La dent manque de cément et n’a donc pas d’attache parodontale normale.
. La perte des dents temporaires est précoce (dès 3ans) [24].

Le syndrome de Papillon-Lefevre

Le syndrome de Papillon-Lefevre [27] se caractérise par une hyperkératose palmaire et plantaire et des destructions parodontales sévères dans les 2 dentitions, débutant au moment de l’éruption de la dent.
A 4 ou 5 ans, toutes les incisives temporaires peuvent déjà être exfoliées. La plupart des dents sont perdues à l’âge de 14-15 ans. La destruction de l’os alvéolaire est très importante laissant souvent des maxillaires atrophiés.
D’autres maladies entraînent les mêmes conséquences cliniques, comme le syndrome de Chediak-higashi, le syndrome de Hiam-Munk, l’agranulocytose, les neutropénies cycliques [27].

Conséquences des édentations [7], [28], [29]

Sur l’agencement de l’arcade

C’est pendant les six premiers mois qui suivent la perte prématurée d’une dent de lait que la plus grande partie de l’espace est comblée. La réduction d’espace résulte de deux phénomènes :
• Dérive mésiale pour les dents postérieures à l’espace ;
• Dérive distale pour les dents antérieures à l’espace.
Mais la plus forte est la dérive mésiale des dents postérieures au site. La fermeture d’espace varie d’un individu à l’autre. Elle est plus rapide au maxillaire qu’à la mandibule, plus accentuée par la perte d’une deuxième molaire lactéale que par la perte d’une première molaire lactéale.

Sur la croissance des bases osseuses

La croissance des bases osseuses est pour une grande part sous l’influence de l’hérédité. Il s’y ajoute cependant l’action de différentes fonctions : mastication, respiration, déglutition, qui vont développer suivant le territoire de leurs actions la croissance des pièces osseuses correspondantes.
Les avulsions prématurées entraînent des troubles importants de la croissance locale, avec formation de diastèmes créés par ces avulsions. Le déséquilibre qui apparaît alors va agir de proche en proche et va perturber la croissance des maxillaires et même celle de la face.

Sur la mastication, la déglutition et la digestion

¾ La mastication est le premier temps de la fonction de nutrition ; elle est à la base du développement normal de l’enfant et réclame l’intégralité du système dentaire. Chaque dent extraite, perdue précocement entraîne une diminution du coefficient masticatoire. Avec un pouvoir masticatoire
insuffisant, l’aliment ne sera pas convenablement broyé et nécessitera un travail digestif de l’estomac trop important.
Il y aura des risques de douleurs et de troubles gastriques et un retard de la croissance staturo-pondérale.
¾ La mastication entraîne la disparition des réflexes de succion au profit d’une déglutition en intercuspidie maximale avec appui de la pointe de la langue sur les faces palatines des incisives supérieures.
La perte prématurée des dents temporaires, notamment incisives et molaires, prolonge la déglutition avec interposition de la langue entre les arcades.
¾ La mastication assure le broiement des aliments solides et l’imprégnation salivaire du bol alimentaire : cette salive favorise non seulement le glissement du bol alimentaire mais joue aussi un rôle digestif (amylases salivaires).

Au niveau phonétique

La denture lactéale donne à la langue les appuis nécessaires à la prononciation de certains phonèmes, lors de l’acquisition du langage. Le manque de dents entraîne des problèmes de phonation tels que « chuintement », « zozotement ».

Sur l’évolution du germe de la dent permanente

Une édentation va entraîner une mésialisation des dents distales aux secteurs édentés, les dents permanentes sous-jacentes ne peuvent évoluer normalement, faute de place. Elles restent incluses ou évoluent en malposition, soit palatine, soit vestibulaire.

Sur l’esthétique et le psychisme

Le visage et surtout la sphère dentolabiale se révèlent comme les éléments essentiels de l’esthétique.
Les aspects psychologiques et esthétiques sont fondamentaux car ils sont liés à la formation du schéma corporel de la personnalité.
C’est ainsi qu’une modification esthétique, aussi disgracieuse que la perte prématurée d’une incisive temporaire maxillaire, peut créer des modifications du psychisme de l’enfant.
Par conséquent, l’intégrité physique de l’enfant est un élément prépondérant à l’établissement de sa personnalité et de son équilibre psychologique.
Ainsi, de par la relative infirmité due aux édentations (en particulier antérieures), l’enfant se sent différent de ses camarades et un complexe d’infériorité peut s’installer progressivement. L’enfant a tendance à se replier sur lui-même, à s’isoler, à s’écarter par peur des moqueries, ce qui peut être néfaste du point de vue de son insertion sociale.

Sur l’établissement de l’occlusion

La perte prématurée d’une ou de plusieurs dents temporaires engendre des déplacements dentaires et donc intervient sur l’établissement de l’occlusion de l’enfant.

LES OBJECTIFS DE LA PROTHÉSE

La prothèse, qu’elle soit amovible ou fixe, permet de remplacer les dents absentes. Ses rôles sont multiples et varient selon le type d’édentement et l’âge de l’enfant.

Au plan fonctionnel

Mastication, déglutition et digestion

La mastication, la déglutition et la digestion sont des fonctions essentielles :
elles assurent la bonne alimentation de l’enfant et donc sa croissance. Si l’une de ces fonctions est perturbée, des conséquences se ressentent sur le développement de l’enfant.

Phonation

L’absence de certaines dents perturbe la phonation. Selon le type d’édentement, le trouble sera différent.
Une édentation antérieure provoque un zozotement [7], [9].
Une édentation bilatérale postérieure peut provoquer un chuintement [9]. L’édenté total présente des troubles de l’articulation aussi bien des voyelles que des consonnes [30]. Ceci affecte l’intelligibilité de sa parole. Son langage est en outre souvent moins riche que celui de l’enfant normodenté [10].

Respiration

La diminution de l’étage inférieur consécutive à l’édentement de grande portée entraîne un refoulement de la langue vers le pharynx. En conséquence, pour pouvoir le dégager, il faut propulser la langue en avant et l’enfant a une respiration buccale qui se fait aux dépens des cavités aériennes supérieures [31]. En rétablissant des rapports d’arcades proches de la normalité, la prothèse aide l’enfant à acquérir ainsi une respiration nasale.

Autres rôles de la prothèse

L’esthétique et l’incidence psychologique

La prothèse permet de rétablir une esthétique en rapport avec l’âge civil de l’enfant et d’améliorer l’image qu’il a de lui-même.
La prothèse l’aide aussi dans la construction de son image corporelle, et dans sa relation avec les autres [31]. En effet, le sourire dento-labial constitue une entité psychologique dans laquelle la personnalité est visible [7].
L’édentation constitue un handicap et une frustration, source de souffrances [32].

Maintien de l’espace

La prothèse permet en effet de maintenir l’espace (dans les 3 sens) et ainsi de compenser l’édentement [33].
Le maintien de l’espace après perte d’une dent temporaire permet de conserver le diamètre mésio-distal nécessaire à l’éruption des dents permanentes en bonne place.

Au plan de la croissance

La perte prématurée des dents entraîne des modifications au niveau des rapports d’arcades, des condyles mandibulaires, de la croissance des bases osseuses et des procès alvéolaires.

Rapport d’arcades

L’édentation a un retentissement sur les rapports d’arcades avec une diminution de la hauteur d’occlusion (dimension verticale).

Condyles

La croissance des condyles mandibulaires est aussi modifiée par l’édentation. Ainsi, une édentation unilatérale peut entraîner une mastication unilatérale et donc, une morphologie condylienne modifiée du fait du déséquilibre musculaire [7].

Bases osseuses et procès alvéolaires

L’édentation mandibulaire bilatérale importante conduit à une position basse de la langue.
La croissance maxillaire n’est donc plus stimulée, ce qui entraîne une hypoplasie maxillaire. Le profil est modifié : fausse protrusion des globes oculaires, rétrochéilie supérieure Plus l’hypodontie est sévère, plus le profil a tendance à être concave [22].
La prothèse permet ainsi une croissance harmonieuse en diminuant les déséquilibres liés à l’absence des dents.

Habitudes néfastes

La prothèse doit permettre d’éviter les « manies » prises avant sa réalisation [33] : l’étalement de la langue, la succion de la lèvre inférieure… Ces habitudes nuisent au bon équilibre existant au sein de la cavité buccale.
Elles sont d’autant plus difficiles à faire cesser qu’elles sont installées depuis longtemps.
Tous ces objectifs peuvent être satisfaits par différents types de prothèses, qu’elles soient amovibles ou fixes.

LES DIFFERENTS TYPES DE PROTHESE

La prothèse amovible chez l’enfant

La prothèse amovible (ou prothèse adjointe) est régie par les mêmes principes chez l’enfant que chez l’adulte.
Les différences résident essentiellement dans la capacité de l’enfant à assumer ce traitement [10] : il faut notamment sélectionner les matériaux les moins contraignants, s’adapter la coopération de l’enfant et lui expliquer les bénéfices de la prothèse.
De plus, l’enfant étant en perpétuel changement, il faut que la prothèse puisse évoluer en fonction de la croissance et de l’éruption des dents.

Prothèse amovible partielle (P.A.P)

Description

La prothèse est constituée d’une plaque en résine, de moyens de rétention et de dents prothétiques.
¾ Plaque en résine :
Elle est le plus souvent en résine acrylique, en particulier en polyméthyle méthacrylate sous sa forme naturelle. Les appareillages type stellite sont, en règle générale, réservés aux adolescents [30].
La résine a comme inconvénient de retenir la plaque dentaire et peut se fracturer, mais permet aussi une évolutivité des prothèses [33].
Une plaque base en résine transparente peut permettre de suivre l’éruption des dents et permet une apparence de légèreté qui aide à l’acceptation de la prothèse [31].
La plaque-base doit avoir un recouvrement maximal en évitant, bien entendu, les freins et les insertions musculaires [17]. La stabilisation latérale et antéro-postérieure est assurée par le recouvrement vestibulaire des secteurs édentés.
A cette plaque sont ajoutés des moyens de rétention.
¾ Moyens de rétention :
La rétention des prothèses amovibles partielles est assurée par des crochets en métal souple dont l’extrémité rétentive vient s’insérer dans une zone de la dent support en contre-dépouille.
Or, les dents temporaires sont peu rétentives. Pour améliorer la rétention, les molaires temporaires, souvent délabrées, sont restaurées à l’aide de coiffes pédodontiques afin de servir de supports de crochets convenables [34].
Les canines temporaires sont, elles aussi, peu rétentives et la dent de six ans, ayant une éruption lente, ne permet une rétention que vers l’age de 10 ans [17].
Certains auteurs proposent de créer des zones rétentives sur ces dents à l’aide de composite [28], [33]. Ces dernières sont cependant difficiles à nettoyer. L’emplacement des crochets dans la plaque-base est fonction des modifications à prévoir lors de l’évolution des dents permanentes [17].

Le rapport de stage ou le pfe est un document d’analyse, de synthèse et d’évaluation de votre apprentissage, c’est pour cela chatpfe.com propose le téléchargement des modèles complet de projet de fin d’étude, rapport de stage, mémoire, pfe, thèse, pour connaître la méthodologie à avoir et savoir comment construire les parties d’un projet de fin d’étude.

Table des matières

INTRODUCTION
PREMIÉRE PARTIE : RAPPELS
• MORPHOGENESE DES ARCADES DENTAIRES
I.1. Considérations générales
I.1.1. Phénomènes de dentition
I.1.2. Rôles des dentures
I.2. Maturation des arcades dentaires
I.2.1.. Phase de constitution de la denture temporaire
I.2.2. Phase de denture temporaire stable
I.2.3. Phase de constitution de la denture mixte
I.2.4. Phase de denture mixte stable
I.2.5. Phase de constitution de la denture adolescente
I.2.6. Phase de denture adolescente stable
I.2.7. Phase de constitution de la denture adulte jeune
I.2.8. Phase de denture adulte jeune stable
I.2.9. Phase de constitution de la denture adulte complète
I.2.10. Phase de denture adulte stable
II. ETIOLOGIES ET CONSEQUENCES DES EDENTATIONS CHEZ L’ENFANT
II.1. Étiologies
II.1.1. La maladie carieuse
II.1.2 Les traumatismes
II.1.3. Les anomalies dentaires
II.1.3.1. Les agénésies
II.1.3.2. Dentinogenèse imparfaite héréditaire
II.1.4. Les parodontopathies
II.1.4.1 L’hypophosphatasie
II.1.4.2 Le syndrome de Papillon-Lefevre
II.2. Conséquences des édentations
II.2.1. Sur l’agencement de l’arcade
II.2.2. Sur la croissance des bases osseuses
II.2.3. Sur la mastication, la déglutition et la digestion
II.2.4 Au niveau phonétique
II.2.5. Sur l’évolution du germe de la dent permanente
II.2.6. Sur l’esthétique et le psychisme
II.2.7. Sur l’établissement de l’occlusion
III. LES OBJECTIFS DE LA PROTHESE
III.1. Au plan fonctionnel
III.1.1. Mastication, déglutition et digestion
III.1.2. Phonation
III.1.3. Respiration
III.2. Autres rôles de la prothèse
III.2.1. L’esthétique et l’incidence psychologique
III.2.2. Maintien de l’espace
III.2.3. Au plan de la croissance
III.2.3.1. Rapport d’arcades
III.2.3.2. Condyles
III.2.3.3. Bases osseuses et procès alvéolaires
III.2.4. Habitudes néfastes
IV. LES DIFFERENTS TYPES DE PROTHESE
IV.1. La prothèse amovible chez l’enfant
IV.1.1. Prothèse amovible partielle (P.A.P)
IV.1.1.1. Description
IV.1.1.2. Réalisation
IV.1.2. Prothèse amovible complète (PAC)
IV.1.3. Prothèse amovible complète supra-dentaire
IV.2. La prothèse fixée chez l’enfant
IV.2.1. bagues ou coiffes pédodontiques préformées associées à un arc
IV.2.1.1. Description
IV.2.1.2. Cas particulier: édentement postérieur unitaire
IV.2.2. Bridge collé
IV.2.2.1. Bridge collé réalisé en méthode directe
IV.2.2.2. Bridge collé réalisé en méthode indirecte
IV.2.3. Autres bridges
IV.2.3.1. Bridge « conventionnel »
IV.2.3.2. Bridge « sans couronne prothétique »
IV.2.3.3. Bridge en composite armé de fibre de verre
IV.2.3.4. Bridge à coulisse
IV.3. La prothèse implanto-portée
DEUXIÉME PARTIE : NOS OBSERVATIONS
CHAPITRE I : PRÉSENTATIONS DE NOS CAS CLINIQUES
CHAPITRE II : COMMENTAIRES
CONCLUSION
RÉFÉRENCES

Télécharger le rapport complet

Télécharger aussi :

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *