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Éléments actifs contenus dans les plantes et leurs effets
Avec l’avènement de la chimie moderne et des instruments de laboratoire plus précis, les scientifiques commencèrent à s’intéresser aux composants moléculaires des plantes et entreprennent des recherches systématiques [11] .
Une plante peut être composée jusqu’à 10.000 – 12.000 molécules [12]. Cette composition peut varier d’un spécimen à l’autre, dépendant du terrain, des conditions de croissance, humidité, température, ensoleillement 11][. Entada chrysostachys peut contenir plusieurs molécules comme toutes les plantes.
Les plantes médicinales contiennent essentiellementles principes actifs suivants :
Phénols :
Il existe une très grande variété de phénols, de mposésco simples comme l’acide salicylique, molécule donnant par synthèse l’aspirine, à des substances plus complexes comme les composés phénoliques auxquels sont rattachés les glucosides. Les phénols sont des anti-inflammatoires et antiseptiques. Les acides phénoliques, comme l’acide rosmarinique, sont fortement antioxydants et anti-inflammatoires et peuvent avoir des propriétés antivirales [13,14].
Huiles essentielles :
Les huiles essentielles ont de multiples propriétés.Elles sont extraites des plantes par distillation et comptent parmi les plus importants principes actifs des plantes. Elles sont largement employées en parfumerie. Les huiles essentielles contenues telles quelles dans les plantes sont des composés oxygénés, parfois d’origine terpénoïdes et possédant un noyau aromatique [13,14].
Flavonoïdes :
Les flavonoïdes, présents dans la plupart des plantes, sont des pigments polyphénoliques qui contribuent entre autres, à colorer les fleurs et les fruits en jaune ou en blanc. Ils ont un important champ d’action et possèdent de nombreuses vertus médicinales. Antioxydants, ils sont particulièremen actifs dans le maintien d’une bonne circulation. Certains flavonoïdes ont aussi des propriétés anti-inflammatoires et antivirales, et des effets protecteurs sur le foie [13,14].
Tanins :
Toutes les plantes contiennent des tanins à un degr é plus ou moins élevé. Ceux-ci donnent un goût amer à l’écorce ou aux feuilles et les rendent impropres à la consommation pour les insectes ou le bétail. Les tanins sont des composants polyphénoliques qui contractent les tissus en liant les protéines et en les précipitant. D’où leur emploi pour « tanner » les peaux. Ils permettent de stopper les hémorragies et de lutter contre les infections. Les plantes riches en tanins sont utilisées pour retendre les tissus souples, comme dans les cas des veines variqueuses, pour drainer les secrétions excessives, comme dans la diarrhée, et ourp réparer les tissus endommagés par un eczéma ou une brûlure [13,14].
Anthocyanes :
Les anthocyanes sont issus de l’hydrolyse des anthocyanidines (flavonoïdes proches des flavones), qui donnent aux fleurs et aux fruits leurs teintes bleue, rouge ou pourpre. Ces puissants antioxydants nettoient l’organisme des radicaux libres. Ils maintiennent une bonne circulation, notamment dans les régions du cœ ur, des membres et des yeux [13,14].
Coumarines :
Les coumarines, de différents types, se trouvent dans de nombreuses espèces végétales et possèdent des propriétés très diverses c’est-à-ired que certaines contribuent fluidifier le sang et constituent un puissant vasodilatateur coronarien tandis que d’autres soignent les affections cutanées [13,14].
Saponines :
Principaux constituants de nombreuses plantes médicinales, les saponines doivent leur nom au fait que, comme le savon, elles produisent de la mousse quand on les plonge dans l’eau. Les saponines existent sous deux formes, les stéroïdes et les triterpénoïdes. Elles sont souvent expectorantes et facilitent l’absorption des aliments [13,14].
Anthraquinones :
Agissant sur la constipation, les anthraquinones ont un effet irritant et laxatif sur le gros intestin, provoquant des contractions des parois intestinales et stimulant les évacuations environ dix heures après la prise. Leurs actions rendent les selles plus liquides, facilitant ainsi le transit intestinal [13,14].
Glucosides cardiaques :
Les glucosides cardiaques comme la digoxine, la digitoxine et la convallotoxine ont une action directe et puissante sur le cœur. Ils l’aide nt à maintenir le rythme cardiaque en cas d’affaiblissement. Ces glucosides sont également diurétiques. Ils contribuent à transférer les liquides des tissus et du système circulatoire vers les conduits urinaires [13,14].
Glucosides cyanogéniques :
Bien que ces substances soient à base de cyanure, u n poison très violent, elles ont, prises à petites doses, un effet sédatif et relaxant sur le cœur et les muscles. Elles permettent de supprimer ou de calmer les toux sèches et irritantes [13,14].
Polysaccharides :
Ces sont des unités complexes de molécules de sucreliées ensemble que l’on trouve dans toutes les plantes. Du point de vue de la phytothérapie, les polysaccharides les plus importants sont les mucilages « visqueux » et les gommes, présents dans les racines, les feuilles et les graines. Le mucilage et la gomme absorbent de grandes quantités d’eau, produisant une masse gélatineuse. Cette dernière peut être utilisée pour calmer et protéger les tissus enflammés, par exemple la peausèche et irritée ou la paroi des intestins enflammée et douloureuse [13,14].
Glucosinolates :
Ils provoquent un effet irritant sur la peau, causant inflammation et ampoules. Appliqués comme cataplasme sur les articulations douloureuses, ils augmentent le flux sanguin dans la zone irritée, favorisant ainsi l’évacuation des toxines [13,14].
Substances amères :
Les substances amères forment un groupe très diversifié de composants dont le point commun est l’amertume de leur goût. Cette amertume stimule les sécrétions des glandes salivaires et des organes digestifs. Ces sécrétionsaugmentent l’appétit et améliorent la digestion. Avec une meilleure digestion, et l’absorption des éléments nutritifs adaptés, le corps est mieux nourri et entretenu [13,14].
Alcaloïdes :
Formant un groupe très large, les alcaloïdes possèdent presque tous une molécule d’azote qui les rend pharmaceutiquement très actifs [13,14].
Vitamines :
Bien qu’elles soient souvent négligées, de nombreuses plantes médicinales sont particulièrement riches en vitamines [13,14].
Minéraux :
De nombreuses plantes médicinales sont très riches en minéraux. Les plantes, notamment celles issues de l’agriculture biologique, tirent les minéraux du sol et les transforment en une structure aisément assimilable par l’organisme. Dans de nombreux cas, les minéraux contenus dans une plante participent activement à son activité thérapeutique dans l’organisme. Certaines sont des puissants diurétiques, effets dus à leur concentration en potassium Alors que d’autres, grâce à leur forte teneur en silice, sont efficaces contre l’arthrite contribuant à réparer le tissu conjonctif [13,14].
Pathologies oculaires
Anatomie de l’œil
Les oiseaux ont les mêmes structures oculaires principales que celles des autres vertébrés [15].
La membrane la plus extérieure de l’œil est la corn ée. C’est une membrane transparente. Elle sert de première lentille à l’œil et elle le p rotège des agressions extérieures, notamment des poussières. Cette membrane est composée de 5 couches : l’épithélium, la couche de Bowman, le stroma, la membrane de Descemet et l’endothélium [16].
Juste derrière la cornée, se trouve l’iris, un desdeux constituants de l’œil (avec la rétine) qui ne soient pas transparents. C’est un corps opaque. Il est de couleur très variée selon la race et le croisement effectué (Figure 3). Il contient des tissus musculaires qui lui permettent de contrôler la quantité de lumière entrant dans l’œil par la pupille.
L’intérieur de l’œil est divisé par le cristallin en deux principaux segments : le segment antérieur et segment postérieur. La chambre antérieure est remplie de l’humeur aqueuse, et la chambre postérieure contient l’humeur vitréedes fluides transparents [17].
Les yeux des oiseaux sont allongés dans le sens antéropostérieur, de façon à ce que les images des objets éloignés qui se forment sur la rétine soient plus grandes [15].
La plupart des oiseaux ont l’œil fixe dans l’orbite . Ils doivent bouger la tête pour regarder dans une autre direction, bien qu’il y ait des exceptions comme chez le Grand Cormoran [19] (Figure 4). L’œil est très volumineux , il occupe toute l’orbite. Lorsque l’oiseau est en plongée, le muscle de Crampton permet l’aplatissement de la cornée comme pour les poissons. Sous l’action du muscle de Brüch, le cristallin peut se déformer jusqu’à former un lenticône [20] (Annexe 1 ; Figure VIII-3). Un organe, que l’on retrouve également chez certains reptiles, le pecten qui a un rôle mal compris. C’est un organe composé de tissu de la rétine replié sur lui-même. Il est bien fourni en vaisseaux sanguins et permettrait, selon la théorie classique, d’approvisionner la rétine en éléments nutritifs. elonS une théorie plus récente, il interviendrait dans le changement de volume de l’œi l ce qui permettrait une meilleure focalisation afin de mieux détecter les objets en mouvement [19] (Figure 5).
Les annexes de l’œil sont les paupières, la conjonc tive et la membrane nictitante [21]. Ces dernières permettent de maintenir un taux d’humidité constant, nécessaire à l’intégrité de la cornée lui conférant la préventioainsi que le traitement des infections oculaires chez les sujets âgées [22]. Les moyens de protection de l’œil sont nombreux et de natures diverses : anatomique, mécanique, biochimique, immunologique… Les paupières, les cils et le film lacrymal protègent aussi bien la cornée que les tissus oculaires adjacents contre les agressions extérieures. La protection du globe résulte d’une ntrication de ces différents moyens qui forment ainsi un équilibre.
Le globe oculaire est protégé d’éventuels corps étrangers par les paupières qui forment une barrière anatomique en s’interposant devant le globe lui-même. L’existence des troisièmes paupières chez les animaux augmente davantage cette protection. Elles nettoient tous les débris qui tapissent sur la cornée.
Les cils jouent un véritable rôle de filtre de poussière contenue dans l’air adjacent au globe oculaire. Les clignements normaux étalent les larmes sur la surface cornéenne, formant ainsi un film lacrymal stable pré cornéen te permettent un débridement épithélial physiologique [23]. Concernant le film lacrymal, sa qualité est elle-même sous la dépendance de lipides, qui proviennent de la sécrétion de glandes sébacées uéessit au niveau des paupières et de mucine, qui provient de la sécrétion de glandes situées au niveau de la conjonctive.
Le film lacrymal précornéen a lui aussi une actionanatomique de barrière, mais aussi une action mécanique en permettant l’évacuation d’éventuels corps étrangers, aidé en cela par la sécrétion réflexe aqueuse provenant desglandes lacrymales. Son action est aussi biochimique par lubrification de la cornée etapport de nutriments [16].
Les larmes jouent un rôle très important dans la protection de la cornée. Elles contiennent de nombreuses enzymes telles que le lysozyme, la lactoferrine, la betalysine, les orosomucoides et la séruloplasmine.Certaines de ces enzymes, comme la lactoferrine, ont des propriétés antibactérienneseconnuesr [16,24].
La flore bactérienne commensale est présente au niveau de la muqueuse conjonctivale et un équilibre entre ces bactéries et les cellules onjonctivocornéennes est maintenu grâce à ces moyens de défense (sous l’influence not amment des cellules lymphoïdes conjonctivales) dont l’action est continuelle. Dès la naissance, les paupières et les conjonctives sont progressivement colonisées par des bactéries. La flore résidente offre une excellente protection contre les pathogènes [25], c’est dire que la connaissance de cette flore est importante, puisque ces bactéries peuvent devenir des bactéries pathogènes opportunistes dans certaines situations, comme un ulcère de cornée, en permettant leur prolifération. Ces bactéries commensales sont variées et, parmi elles, les plus fréquentes et par ordre décroissant de fréquence : Staphylococcus epidermidis, Propionibacterium, Corynébactéries commensales (c’est-à dire non diphteriae), Micrococcus, Staphylocoque doré, Streptocoques non groupables, Branhamella catarrhalis [16].
L’épithélium commensal forme une véritable barrièreanatomique et mécanique en s’opposant à l’adhésion bactérienne, étape préliminaire à l’invasion bactérienne du stroma cornéen (couche de cellules cornéennes).
Espèces sensibles aux maladies oculaires
Les rougeurs oculaires d’origine traumatique s’obse rvent sur tous les animaux mais elles sont plus fréquentes chez les coqs de combat (Figure 6). « Dès l’âge de six mois, âge où les ergots commencent à pousser, ce volatile devient insupportable si on ne le met pas devant un adversaire et s’il ne peut s’adon ner à ses instincts, il meurt » [26].
Étiologie des rougeurs oculaires d’origine traumati que chez le coq de combat
Plusieurs causes peuvent provoquer les rougeurs oculaires chez les coqs de combat. Mais, les plus probables sont les deux armes qu’ils possèdent. Ce sont leur bec et leurs ergots. Un coq ne peut pas vaincre son adversaire s’il lui manque l’un d’entre eux.
Les ergots évoluent selon l’âge de l’animal.
Pour les jeunes, ils ont la forme d’un grain de maï s, tapissés sur la face interne de la patte. Pour les adultes, au-dessus d’un an, les ergots prennent la forme pointue et ils s’élargissent au fur et à mesure que le coq vieillit (Figure 7).
Chaque coqueleux peut modifier l’ergot de son coq. Beaucoup de techniques existent de nos jours. Il y a les ergots artificiels (Figure 8) et l’armage de ces derniers par des clous ou des lames de bistouri (Figure 9). Pour mentir sur l’âge de leurs coqs, certains coqueleux coupent leurs longs ergots pour que l’on pense que ce sont des jeunes coqs.
Les ergots et le bec provoqueraient ainsi une inflammation et une plaie cornéenne.
Inflammation
Généralités
L’inflammation est une réaction des êtres vivants àune lésion ou une stimulation cellulaire excessive ou normale due à une agression tissulaire d’origine: mécanique, chimique et immunologique [31]. Elle se traduit ordinairement par quatre symptômes cardinaux : chaleur, rougeur, douleur et tuméfaction [32,33].
Les coups portés par les ergots non pointus entraînent une inflammation au niveau de la partie frappée. Par conséquent, si le coup est porté sur les yeux, une inflammation oculaire peut se produire comme une uvéite, un glaucome, une conjonctivite, une kératite voire même un ulcère cornéen.
L’inflammation est un processus habituellement bénéfique : son but est d’éliminer l’agent pathogène et de réparer les lésions tissulaires. Parfois l’inflammation peut être néfaste du fait de l’agressivité de l’agent pathogène, de sa persistance, du siège de l’inflammation, par anomalies des régulations du processus inflammatoire, ou par anomalie quantitative ou qualitative des cellules intervenant dans l’inflammation [34].
C’est un processus de défense de l’organisme qui parfois évolue de façon anormale et déclenche des maladies auxquelles on oppose des médicaments dits anti- inflammatoires, soit stéroïdiens (AIS, type la cortisone) soit non stéroïdiens (AINS, type l’indométacine) [35].
Différentes réactions inflammatoires
Il existe deux types d’inflammations. L’inflammatio n primaire, elle est de cause immédiate et localisée et celle secondaire se développe à distance sous l’influence d’un agent phlobogène [36].
L’inflammation ainsi définie se déroule en trois phases :
– une première phase qui consiste en une augmentation de la perméabilité capillaire entraînant œdème et gonflement. C’est au cours de cette phase que les substances responsables de la douleur sont libérées;
– une deuxième phase caractérisée par une prédominance des polynucléaires dans l’infiltration cellulaire puis il y’a diminution de leur nombre pour faire place à des cellules mononuclées ;
– une troisième phase dite de réparation dans laquelle le fibroblaste est la cellule dominante [32, 36-38].
Différents anti-inflammatoires
Anti-inflammatoires stéroïdiens ou glucocorticoïdes (AIS)
Les glucocorticoïdes constituent une classe thérapeutique qui a des propriétés anti-inflammatoires, anti-allergique et immunosuppressives [36]. Ils antagonisent les processus inflammatoires. Ils inhibent la réaction aux agressions du tissu mésenchymateux, empêchent l’activation de la phospholipase A2 qui libère l’acide arachidonique des phospholipides de la membrane cellulaire [38].
Ces AIS sont représentés par la cortisone et l’hydrocortisone qui sont des produits naturels sécrétés par la corticosurrénale et lesoduitspr synthétiques [35] .
Anti-inflammatoires non stéroïdiens
Les anti-inflammatoires non stéroïdiens ou AINS quant à eux sont mieux définis comme étant la classe médicamenteuse qui possède sle mêmes propriétés pharmacologiques que l’acide salicylique (Aspirine® ) : analgésique anti pyrétique, anti inflammatoire. Ils sont constitués d’une vaste famille aux produits chimiquement distincts mais qui se caractérisent tous par leurs propriétés antalgique, anti-inflammatoire et antiagrégants plaquettaire [32] .
Les AINS inhibent la formation des prostaglandines pro-inflammatoires, vasodilatatrices et algogènes. Les différentes familles agissent par le même mécanisme, l’inhibition de la cyclo-oxygénase, mais ont des activités différentes liées à des paramètres pharmacocinétiques différents et à l’inhibition spécifique de l’isoforme COX-2 (famille non utilisée en ophtalmologie) [39] .
Mécanisme de réactions inflammatoires
En réponse à une perturbation physique ou chimique, il se produit une activation de la phospholipase A2 qui hydrolyse les liaisons esters des phospholipides membranaires et libère des dérivés de l’acide arachidonique. Ce dernier à son tour est métabolisé selon deux voies possibles (Figure10) :
– La voie de la lipooxygénase qui le transforme en leucotriène.
– La voie de la cyclooxygénase qui le transforme principalement en prostaglandine.
Les leucotriènes augmentent la perméabilité capillaire et exercent une chimioatractivité sur les polynucléaires.
Les prostaglandines par contre produisent une vasodilatation locale, favorisent l’œdème et l’afflux leucocytaire. En outre, ils dépriment certains mécanismes immunitaires et potentialisent les effets algogènes de la bradykinine.
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Table des matières
INTRODUCTION
PREMIERE PARTIE: RAPPELS
I. Généralités sur les plantes médicinales
I.1. Matériel végétal
II. Pathologies oculaires
II.1. Anatomie de l’œil
II.2. Espèces sensibles aux maladies oculaires
II.3. Étiologie des rougeurs oculaires d’origine traumatique
II.4. Symptômes
II.5. Diagnostics
II.6. Traitement
II.7. Prophylaxie
II.8. Complication
III. Coqs de combat à Madagascar
III.1. Généralités
III.2. Souches et races de coq de combat
DEUXIEME PARTIE: METHODES ET RESULTATS
A/ METHODES
I. Enquêtes
I.1. Site d’étude
I.2. Type d’étude
I.3. Période d’étude
I.4. Populations
I.5. Échantillonnage
I.6. Critères
I.7. Pré-test
I.8. Questionnaires
I.9. Paramètres à étudier
I.10. Analyses statistiques
II. Tests chimiques et biologiques
II.1. Criblage phytochimique d’Entada chrysostachys
II.2. Essai in vivo
II.2.1. Préparation de la plante Entada chrysostachys
II.2.2. Préparation de l’extrait
II.2.3. Test de cicatrisation
II.2.4. Test anti-inflammatoire sur souris
II.2.5. Observation clinique sur les coqs
B/ RESULTATS
I. Enquêtes au niveau des coqueleux
I.1. Populations cibles
I.2. Règlements généraux
I.3. Relation entre les maladies et la plante
II. Etude chimique
II.1. Rendement de l’extraction
II.2. Familles chimiques de la plante
III. Etude biologique
III.1. Cicatrisation
III.2. Anti-inflammatoire
III.3. Maladies oculaires
TROISIEME PARTIE: DISCUSSION
CONCLUSION
REFERENCES BIBLIOGRAPHIQUES
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