Télécharger le fichier pdf d’un mémoire de fin d’études
Assainissement et hygiène:
Il existe une liaison directe entre l’approvisionnement en eau potable et l’assainissement, car toutes activités peuvent présenter des dangers pour la ressource en eau et l’hygiène. Elles peuvent même accroitre la dégradation des eaux, en modifiant leurs caractéristiques physiques, chimiques ou bactériologiques et radioactives.
Assainissement :
L’existence d’une infrastructure d’assainissement adéquate empêche et minimise le risque des maladies et de réduire la morbidité infantile. L’assainissement concerne toutes les mesures destinées à faire disparaître les causes d’insalubrités de la zone d’habitation. Afin d’assurer la santé, la sécurité publique, la protection de la nature et de l’environnement.
Hygiène :
C’est l’ensemble des comportements concourants à maintenir les individus en bonne santé. Cette discipline maîtrise les facteurs environnementaux, pouvant contribuer à une altération de la santé. L’amélioration de l’hygiène a besoin d’une sensibilisation et d’une bonne éducation pour chaque individu.
Il existe 4 types d’hygiènes (4H) [3]:
Hygiène corporelle:
Le changement de comportement d’hygiène commence premièrement par l’hygiène du corps de l’individu. L’activité de la sensibilisation et l’éducation débute alors par la femme car c’est elle qui s’occupe de la propreté des enfants. Il faut donc que toutes les activités doivent respecter les 3 moments clés suivant:
– lavage des mains avec des savons, après les besoins aux latrines, avant de préparer les repas, avant de manger, après avoir nettoyé les fesses du bébé ;
– le lavage corporel avec du savon assurant un allégement de l’activité de lessive familiale ;
– le lavage des mains par la cendre est une option hygiénique reconnue universellement et que le ministère de la santé a aussi adoptée si le savon n’est pas en cas de disposition.
Hygiène domestique :
L’hygiène domestique englobe tout ce qui est à l’intérieur et aux alentours du foyer de l’individu. Pour rassurer l’hygiène domestique, il est nécessaire pour la population d’utiliser :
– les latrines familiales hygiéniques (LFH). Le nettoyage, au moins trois fois par semaine est souhaitable pour éviter toute multiplication des mouches et des germes ;
– une douche ;
– de l’eau avec du savon pour la lessive ;
– l’habitude de nettoyer la cour et l’intérieur de la maison.
Hygiène des aliments :
Avant de manger et/ou avant tout préparation des aliments, il faut les laver et préserver leur proprété en utilisant des matériels propres jusqu’ à leur consommation.
Hygiène de l’environnement :
Il faut expliquer aux villageois que toute activité peut polluer l’environnement surtout l’eau décrit par l’article 12 du code l’eau [16]. Le pollueur doit payer d’une somme dont le montant est déterminé par voie réglementaire, en rapport avec le degré de la pollution causée.
Pour assurer l’hygiène de l’environnement Il faut mettre:
– une gestion de rejets d’eaux usées domestiques, pluviales, industrielles et agricoles : il est interdit le déversement, l’écoulement, le rejet et le dépôt direct ou indirect d’eau. Les eaux usées domestiques doivent être accumulées dans une dalle non polluante et qu’il n’y ait pas aussi d’eau de surplus de pompage ou de puisage qui tourne dans la nappe ;
– une gestion des dépôts de déchets solides (matières fécales, ordures ménagères, les déchets industriels,…) que les ménages doivent construire des latrines, des fosses à ordure pour la préservation de l’environnement. Les fosses utilisées ne doivent pas polluer la nappe phréatique.
Le guide de l’utilisation de la fosse étanche en fonction des éléments clés est représenté par le tableau suivant :
Tableau 1: Guide d’utilisation de la fosse étanche [17].
Après avoir vue la généralité sur l’eau, l’assainissement et l’hygiène. Ils ont aussi des normes à suivre auxquels ils régissent pour préserver la santé de la population et pour satisfaire leur besoins en ces services. On va parler dans le chapitre suivant : les cadres juridiques pour l’eau potable, l’assainissement et l’hygiène.
CADRE JURIDIQUE POUR L’EAU POTABLE, L’ASSAINISSEMENT ET L’HYGIENE
Eau potable :
Selon l’article 38 du code l’eau, l’eau destinée à la consommation humaine doit répondre à des normes organoleptiques, physico-chimiques, bactériologiques et biologiques fixées par le décret N°2003-635 du 15 juin 2004 (tableau 3) . Donc, l’eau est dite « potable » quand elle obéit à ces normes requises par voie réglementaire pour minimiser ou éviter l’atteinte des maladies d’origines bactériennes à court terme, et parasitaires à long terme.
Proprietés de l’eau potable :
A part ces caractères physiques, Il existe plusieurs éléments chimiques et des micro-organisme dans l’eau. Mais on teste seulement les éléments qui semblent obligatoire pour permettre de définir « l’eau potable ». Ces éléments n’ont pas la même importance: ils peuvent être désirables : ces sont les éléments normaux ( Ca++, Mg++, SO4–,…) ou indésirables comme les éléments toxiques ( l’aluminium, l’arsenic, le Plomb, Fluor,…) pour l’organisme. Ces élements ont deux valeurs: une « limite souhaitable » et une « limite absolue ». Les paramètres de base se divisent en général en trois catégories dont :
les paramètres bactériologiques ;
les paramètres organoleptiques ;
les paramètres physico-chimiques.
Paramètres bactériologiques :
L’eau peut contenir des agents pathogènes qui sont souvent dangereux pour la santé surtout chez les enfants. Ils sont à l’origine des maladies hydriques et d’épidemie (dysenterie, choléra, diarrhée…). La plupart de ces agents sont d’origine fécale, on prend comme bactéries indicatrices de contamination fécale: les Coliformes thermotolérants, les Coliformes totaux et les Streptocoques fécaux. La détermination de ces agents nous donne la qualité sanitaire de l’eau (l’indice de contamination) et de prendre les mésures de protection et de stérilisation nécessaire parce que l’eau potable ne doit renfermer aucun germe pathogène. L’analyse bactériologique doit être toujours accompagnée d’une enquête sanitaire pour examiner la chaîne de l’eau et de determiner si elle est contamminée directement ou indirectement par l’excréta .
WaterAid élabore une grille avec les questionnaires et suivant les réponses, on note 1 point pour les réponses positives (annexe IV). On additionne les points pour avoir le score sanitaire représenté par le tableau ci-dessous :
Tableau 2: Les scores d’investigation sanitaire [4].
Paramètres organoleptiques :
Il existe certains éléments qui constituent les qualités organoleptiques de l’eau. Ils n’ont pas de signification sanitaire mais leur dégradation peut indiquer une pollution ou provoque un effet gênant dans l’utilisation de l’eau. Ces éléments sont :
a) Couleur :
L’ eau naturelle présente des differentes colorations selon les éléments dissoutes ou en suspensions (exemple : le Fer). Le changement de couleur de l’eau peut indiquer qu’elle est polluée. Mais l’eau destinée à l’alimentation doit être incolore.
b) Odeur :
Elle est dûe à la présence des plactons, des matières organiques en voie de putrefaction, à des algues mortes ou dûe aussi par des produits chimiques dissous comme le H2S (eaux souterraines). La présence d’odeur peut provoquer le refus d’eau pour la population, donc l’eau destinée à l’alimentation doit être inodore. Mais l’odeur disparait après l’aération.
c) Saveur :
La qualité de cette sensation dépend de la nature de la substance présente dans l’eau. Les principaux corps, pouvant donner à l’eau une saveur désagreable, sont : le Fer, le Manganèse, le chlore actif, Phénol, Chlorophénol.
d) Turbidité :
Il nous renseigne sur la visibilité de l’eau en mesurant la lumière diffractée par les particules colloïdales en suspension et qui retiennent des micro-organismes pour donner des avantages aux bactéries contre l’action des désinfectants .L’ eau peut être limpide ou non et le trouble de l’eau est dû à la dilution de particules minérales terreuses ( argile , silice,…) en suspension ou à des particules végétales et animales.
Paramètres physico-chimiques :
a) Potentiel Hydrogène (PH):
La molécule d’eau (H2O) peut fournir un ion H+ et un ion OH-. Le PH mesure la concentration en ion H+ de l’eau et donne le coefficient caractérisant l’état acide, neutre ou basique de l’eau sur une echelle de 0 à 14 dont le PH de neutralité étant 7. Ce paramètre caractérise un grand nombre d’équilibre physico-chimique et dépend de facteurs multiples dont l’origine de l’eau. L’eau déstinée à l’alimentation a une valeur de PH entre 6,5 et 9.
b) Conductivité :
La grandeur qui est en relation direct avec la salinité totale de l’eau est exprimée en Ms (milli-Siemens) ou µS (micro-Siemens). Il indique la quantité totale de sel (NaCl) dissous. L’eau salé (haute conductivité) est dangéreuse pour la santé sutout chez les enfants moins d’une année et les personnes âgés.
c) Minéralisation:
Au cours de cheminement souterrain ou en surface, l’eau se charge des élements minéraux à l état libre ou combiné ( les sels minéraux) présents dans des roches qu’elle traverse [Exemple les anions : bicarbonate, sulfates (SO4-), chlorure (Cl -), nitrate (NO3- ) combinés avec des cations: calcium (Ca++), Fer (Fe++ et Fe+++), Magnésium (Mg++), sodium (Na+)]. La présence des ces éléments a une influence sur la variation du PH, du gôut, de la couleur et de la dureté de l’eau. La teneur de ces élements doivent respecter les normes établies pour que l’eau de consommation soit potable.
d) Dureté ou Titre Hydrotimétrique (TH) :
La dureté de l’eau se manifeste par une difficulté dans la cuisson des légumes et dans la production de mousse avec le savon en présence de sels de calcium et de magnésium. L’eau peut être dure ou douce selon la quantité de ces éléments.
e) Concentration limitée de certains éléments :
L’eau d’alimentation doît être pauvre en matières organiques et en nitrates. Par définition les matières organiques sont des composés du carbone, de l’hydrogène et de l’oxygène. Ils proviennent souvent soit de la décomposition des matières végétales ou animales ou par des matières fécales ou les urines des animaux.
f) Substances toxiques ou indésirables :
Ces éléments proviennent des rejets industriels ou naturels (Arsenic, Mercure,..). En polluant l’eau, leur consommation provoque des maladies graves comme le cancer de la peau, Alzheimer, coloration brun des dents,… Une eau destinée à la consommation ne doit présenter aucun élément toxique.
|
Table des matières
INTRODUCTION
PREMIEREPARTIE : CADRE GENERALE
Chapitre I : GENERALITE SUR L’EAU, L’ASSAINISSEMENT ET L’HYGIENE
I.1 : L’eau
I.1.1 : Cycle de l’eau.
I.1.1.1 : Précipitation
I.1.1.2 : Ruissellement
I.1.1.3 : Infiltration
I.1.1.4 : Evaporation
I.1.2 : Types de ressources en eau
I.1.2.1 : Les eaux de pluies
I.1.2.2 : Les eaux de surfaces
I.1.2.3 : Les eaux souterraines
a) Les nappes de formations sédimentaires
a.1) La nappe libre
a.2) La nappe captive
b) Les nappes contenues dans les roches dures
I.1.3 : Besoin en eau potable
I.1.3.1 : Le captage
I.1.3.2 : Station de traitement
I.1.3.3 : Adduction
I.1.3.4 : Stockage
I.1.3.5 : Réseaux de distribution
I.1.3.6 : Branchements et puisage
I.2 : Assainissement et hygiène
I.2.1 : Assainissement
I.2.2: Hygiène
I.2.2.1 : Hygiène corporelle
I.2.2.2 : Hygiène domestique
I.2.2.3 : Hygiène des aliments
I.2.2.4 : Hygiène de l’environnement
Chapitre II : CADRE JURIDIQUE POUR L’EAU POTABLE, L’ASSAINISSEMENT ET L’HYGIENE
II.1 : Eau Potable
II.1.1 : Propriétés de l’eau potable
II.1.1.1: Paramètres bactériologiques
II.1.1.2 : Paramètres organoleptiques
a) Couleur
b) Odeur
c) Saveur
d) Turbidité
II.1.1.3 : Paramètres physico-chimiques
a) Potentiel Hydrogène (PH)
b) Conductivité
c) Minéralisation
d) D (TH)
e) Concentration limitée de certains éléments
f) Substances toxiques ou indésirables
II.2 Normes en matière d’hygiène et assainissement
II.2.1 : Lavage des mains avec du savon
II.2.2 : Utilisation de latrine hygiénique
II.2.3 : Hygiène des récipients de collecte et stockage de l’eau
II.3 Norme de desserte
Chapitre III : DESCRIPTION DE LA ZONE D’ETUDE « ANTANIFOTSY »
III.1 : Aspect géographique
III.1.1 : Généralité
III.1.2 : Localisation
III.1.3 : Climat
III.1.4 : Hydrographie
III.1.5 : Végétation
III.2 : Géologie et environnement
III.2.1 : Relief
III.2.2 : Nature du sol
III.2.3 : Nature lithologique
III.2.4 : Contexte hydrogéologique de la zone
III.3 : Données économiques
III.3.1 : Principaux activités économiques
III.3.1.1 : Agriculture
III.3.1.2 : Culture fruitière
III.3.1.3 : Elevage
III.3.1.4 : Production laitière
III.3.1.5 : Industrie
III.3.1.6 : Tourisme
III.3.1.7 : Secteur minier
III.3.2 : Infrastructures économiques
III.3.2.1 : Marchés.
III.3.2.2 : Transports.
a) Voies routières
b) Voie ferroviaire
III.3.3 : Réseaux de communications
III.3.4 : Réseaux financiers
III.4 : Données socio-culturelles
III.4.1 : Renseignement d’ordre administratif
III.4.2 : Caractéristiques de la ville d’Antanifotsy
III.4.3 : Extension de la ville d’Antanifotsy
III.4.4 : Description des 4fokontany de la zone d’étude
III.4.4.1: Fokontany Antobiniaro
III.4.4.2: Fokontany Antanifotsy antampotanana
III.4.4.3 : Fokontany Antsahamaina
III.4.4.4 : Fokontany Antanety Nord
III.4.5 : Population
III.4.6 : Taux de pauvreté
III.4.7 : Santé
III.4.8 : Energie et électricité
III.4.9 : Sécurité
III.4.10 : Infrastructures scolaires et éducatives
III.4.11 : Equipements sportifs et culturels
DEUXIEME PARTIE : ETAT DES LIEUX DU SYSTEME D’ADDUCTION D’EAU POTABLE, D’ASSAINISSEMENT ET D’HYGIENE A ANTANIFOTSY
Chapitre IV : LES SITES D’ACCUEIL CNEAGR-WATERAID ET LES METHODOLOGIES ADOPTES
IV.1 : Centre National de l’Eau, Assainissement et du Génie Rural (CNEAGR)
IV.1.1 : Historique et identification du centre
IV.1.2 : Objectifs du CNEAGR
IV.2 : WaterAid Madagascar (WAM)
IV.3 : Méthodologies et matériels
IV.3.1: Visite de coutoisie
IV.3.2: Echantillonnage
IV.3.3: Descente sur les Fokontany
IV.3.4 : Analyse de l’eau
IV.3.4.1 : Object
IV.3.4.2 : Détermination de l’ouvrage à analyser
a) Présentantion et environnement du puits
a.1) Puits près de latrine publique
du marché d’Antsahamaina
a.2) Puits d’Antsahamaina centre
IV.3.4.3 : Matériels et méthodes d’analyses
a) Le thermomètre
b) Le PH-mètre
c) Le turbimètrie
IV.3.4.4 : Méthode colorimétrie
IV.3.4.5 : Préparation de la solution colorée
IV.3.4.6 : Méthoded’analyse bactériologique
a) Streptocoques fécaux
b) Coliformes thermotolerants
Chapitre V : INFRASTRUCTURES D’ADDUCTION D’EAU POTABLE
V.1 : Système d’adduction d’eau potable de la JIRAMA
V .2 : Situation d’AEP des 4 fokontany
V.2.1 : Fokontany Antobiniaro
V.2.1.1 : Hameau Antobiniaro centre
V.2.1.2 : Hameau Antajomiolaka
V.2.1.3 : Hameau Antobiniaro Atsimo
V.2.2 : Fokontany Antanifotsy antampotanana
V.2.2.1 : Hameau Antanifotsy centre
V.2.2.2 : Hameau Amboniatsimo et Antanifotsy andrefana
V.2.2.3 : Hameau Alakamaisy
V.2.3 Fokontany Antsahamaina
V.2.3.1 : Ilempona gare
V.2.3.2 : Hameaux Antsahamaina centre et Est
V.2.3.3 : Hameau Fenoarivo centre
V.2.3.4 : Hameau Fenoarivo sud
V.2.4 : Fokontany Antanety nord
V.3 : Situation au niveau des écoles
Chapitre VI : LES INFRASTRUCTURES D’ASSAINISSEMENTS ET D’HYGIENES
VI.1 : Rôles de la commune sur l’assainissement
VI.1.1 : Organisation de la commune
VI.1.2 : Assainissement collectif
VI.1.2.1 : Elimination des excretas
a) Marché hebdomadaire d’Antsahamaina
b) Marché d’Andaniforsy centre.
c) Stationnement
d) Centre Hospital du District (CHD)
VI.1.2.2 : Elimination des ordures
VI.2.2.3 : Elimination des déchets liquides
VI.1.3 : Assainissement Individuel
VI.1.3.1 : Evacuation des eaux usées
VI.1.3.2 : Elimination des ordures ménagères
VI.1.3.3 :Latrine individuel
VI.2 : Pratique d’hygiène
VI.2.1 : Utilisation du savon pour le lavage des mains
VI.2.2 : Comportement des gens en 4hygiènes
VI.3 : Infrastructures d’assainissement de base des écoles
TROISIEME PARTIE : RESULTATS, PROPOSITIONS ET RECOMMANDATIONS
Chapitre VII : RESULTATS DES ANALYSES ET OBSERVATIONS
VII.1 Résultats d’analyses des trois paramètres
VII.1.1 : Résultats d’analyses organoleptiques et physico-chimiques
VII.1.2 : Résultats d’analyses bactériologiques
VI.1.3 : Interprétation
VII.1.3.1 : Puits près de la latrine publique du marché d’Antsahamaina
VII.1.3.2 : Puits d’Antsahamaina centre
VII.2 : Problèmes d’adduction d’eau potable de la ville d’Antanifotsy
VII.2.1 : Problèmes de la JIRAMA
VII.2.2 : Au niveau des fokontany
VII.3 : Problèmes d’assainissement et d’hygiène
VII.3.1 : Assainissement
VII.3.1.1 : Volet excréta
VII.3.1.2 : Volet ordure ménagère
VII.3.1.3 : Volet eaux usées et eaux pluviales
VII.3.2 : Problèmes d’hygiène
VII.4 : Problèmes des établissements scolaires
Chapitre VIII : SOLUTIONS PROPOSEES
VIII.1 : Responsabilisation de la population
VIII.2 : Préservation de l’environnement
VIII.3 : Respect des normes
VIII.3.1 : Volet eau potable
VIII.3.2 : Assainissement et hygiène
VIII.3.2.1 : Volets excrétas
VIII.3.2.2 : Volets Ordures
VIII.4 : Au niveau des écoles
VIII.4.1 : Assainissement et hygiène
VIII.4.2 : Approvisionnement en eau potable
Chapitre IX : LES INTERETS GENERAUX
IX.1 : Intérêts communautaires
IX.1.1 : Développement
IX.1.1.1 : Réduction l’extrême pauvreté et la faim
IX.1.1.2 : Réduction de la perte de temps de productivité
IX.1.1.3 : Amélioration de l’éducation pour tous (ETP)
IX.1.1.4 : Egalité de sexe et autonomisation des femmes
IX.1.2 : Santé
IX.1.2.1 : Réduction de la mortalité des enfants moins de cinq ans
IX.1.2.2 : Amélioration la santé maternelle
IX.1.2.3 : Réduction des VIH/SIDA, le paludisme et autres maladies
IX.1.3 : construction d’un environnement durable
IX.2 : Intérêts pédagogiques
IX.2.1 : Ecole Amie de Diorano-Wash (EAW)
IX.2.1.1 : Définition
IX.2.1.2 : Critères pour devenir EAW
IX-2-2 : Proposition pour les intérêts pédagogiques
CONCLUSION GENERALE
REFERENCES BIBLIOGRAPHIQUES
Télécharger le rapport complet