ETAT DES LIEUX DE L’AVICULTURE MODERNE

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Principaux acteurs de la filière avicole

L’aviculture est une filière qui faire intervenir plusieurs acteurs, à savoir les éleveurs, les fournisseurs de sujets d’élevage (importateurs et producteurs locaux de poussins), les fournisseurs d’intrants zootechniques et vétérinaires (aliments, vaccin, etc.) et les commerçants.

Eleveurs

Principaux acteurs de cette filière, les éleveurs peuvent être classés dans les catégories traditionnelle et moderne selon qu’ils pratiquent l’aviculture traditionnelle ou moderne.

Fournisseurs de poussins

Deuxièmes acteurs plus importants de cette filière avicole, ils sont soit des producteurs locaux ou soit des importateurs de sujet d’élevage. En République du Bénin, les accouveurs sont rencontrés au Sud du pays. En effet deux grands couvoirs sont rencontrés dans le pays, il s’agit du Couvoir “ les Poussins du Roi ” situé à Pahou (département de l’Atlantique) et le Couvoir “du Terre et Associés ”situé à Abomey-calavi (département de l’Atlantique). Toutefois, il existe des petites unités qui fournissent aussi les poussins d’élevage. L’existence de ces unités de production de sujets d’élevage, n’empêchent pas d’importer les poussins des autres pays voisins (Nigeria, Ghana) et même de l’Europe (la France, la Belgique, la Hollande) car l’offre nationale n’arrive pas à satisfaire la demande.

Commerçants des produits avicoles

‹‹ Une chose est de produire, l’autre chose est de vendre ›› dit-on. En République du Bénin, la commercialisation des produits est dominée par les femmes au Centre et au Sud du pays.
Selon SODJINOU et ABOH (2009) ils existent trois principaux lieux de vente à savoir, la vente à la ferme (ou à domicile) le plus souvent, ensuite la livraison soit aux clients et /ou la vente à un poste de vente installé en ville (Cotonou, Abomey, Bohicon, Porto-Novo), et enfin la vente aux bords de la route.
En plus, on note la présence des commerçants de produits avicoles congelés importés ces derniers constituent de grandes sociétés comme CAJAF COMON (50% des importations), CDPA (20% des importations), SACOGIE et AFRICA GEL (ensemble 10% des importations) (ONIBON et SODEGLA, 2005).
Le marché des produits avicoles congelés est un marché d’oligopole où seulement un petit nombre d’individus contrôle les marchés. Ces grossistes disposent de grandes chambres et des camions frigorifiques. Ils desservent des grossistes et demi-grossistes ayant des magasins ou boutiques (équipés de réfrigérateurs ou congélateurs). Ceux-ci les revendent aux détaillants ou directement aux consommateurs (SODJINOU et ABOH., 2009).

Fournisseurs d’intrants zootechniques et d’aliment pour volaille

En République du Bénin, les intrants zootechniques sont fournis par de grandes sociétés agro-alimentaires à savoir les Grands Moulins du Bénin (GMB), l’Industrie Béninoise des Corps Gras (IBCG), la Société des Huileries du Bénin (SHB), la Société Fludor Bénin. Ces sociétés fournissent les sous-produits suivants le son de blé, le tourteau de soja, le tourteau de coton, le tourteau de palmiste et le son de maïs. Parmi ces sous produits, les tourteaux de coton, de soja et le son de blé sont les plus recherchés par les aviculteurs pour l’alimentation des volailles (ONIBON et SODEGLA, 2005).
La Société GROUPE VETO SERVICES est le principal grossiste intermédiaire qui achète ces aliments auprès des industries agro-alimentaires et se charge de la distribution auprès des semi-grossistes/détaillants (les plus nombreux), c’est à dire les distributeurs d’aliment et de matières premières, prestataires de services en matière de mouture d’aliment encore appelés provendiers. Ceux-ci desservent des détaillants ou directement les aviculteurs (ONIBON et SODEGLA, 2005).
En plus de ces sous-produits précédemment cités viennent s’ajouter les coquilles disponibles localement, la farine de poisson, les Compléments Minéraux Vitaminés (CMV), les prémix/concentrés, et les acides aminés tels que la lysine et méthionine etc. importés de l’Europe ou du Sénégal. En matière de fabrication d’aliments, 22 acteurs ont été identifiés (UNAP-Bénin, 2014).
Le GROUPE VETO SERVICE et AGRISATCH sont les plus gros producteurs de provende, mais il existe également plusieurs unités de production sans oublier parfois les aviculteurs qui fabriquent eux-mêmes leur propre provende (ONIBON et SODEGLA, 2005).

Fournisseurs des produits vétérinaires

Au plan national, le marché des produits vétérinaires est détenu par les importateurs grossistes (GROUPE VETO SERVICES, CAMEVET, SOPHARVET) représentant ou partenaires des Laboratoires étrangers (Europe ou ailleurs) au Bénin. Ces Grossistes se chargent de la vente en gros aux vétérinaires (semi-grossistes) installés en clientèle privée. Ces derniers les revendent en détail aux éleveurs (ONIBON et SODEGLA, 2005).
Quant au marché des vaccins, c’est la Direction de l’Elevage (DE), à travers son service de Santé Animale et le Centre National des Produits Biologiques Vétérinaires (CNPBV) qui jouent le rôle de grossiste. Le CNPBV vend les vaccins aux Docteurs vétérinaires privés installés par l’ordre des Docteurs Vétérinaires. Ceux-ci les revendent soit directement aux aviculteurs ou aux agents vétérinaires (Ingénieurs des Travaux d’Elevage, Assistants d’Elevage ou les Préposés d’Elevage) qui font le suivi des fermes avicoles. Les autres produits vétérinaires destinés à l’aviculture sont commandés par les importateurs grossistes qui les revendent soit aux vétérinaires ou directement aux aviculteurs (ONIBON et SODEGLA, 2005).

Différentes structures organisationnelles de la filière avicole

Environnement institutionnel

Selon ONIBON et SODEGLA (2005) l’environnement institutionnel sous-secteur de l’élevage en général et de la filière avicole moderne en particulier comprend de façon succincte l’Etat, les organisations d’éleveurs, les opérateurs privés et les ONG. Du côté de l’Etat, le secteur de l’élevage est administré par le Ministère d’Agriculture d’Elevage et de la Pêche (MAEP) et ses structures déconcentrées que sont :
La Direction de la programmation et de la prospective (DPP) ; la Direction de l’élevage (DE); la Recherche à travers les prestations de l’Institut national des recherches agricoles (INRAB) ; le CeRPA (Centre Régional pour la Promotion de l’Agriculture), chargé de l’application de la politique de développement rural au niveau des localités décentralisées ;
Les autres acteurs sont constitués par :
Les organisations d’éleveurs selon le mode filière ;
les opérateurs privés (importateurs de volailles congelées, gestionnaires d’abattoirs et de provenderies, pharmaciens vétérinaires) ;
les ONG (Organisation Non Gouvernementale).

Union Nationale des Aviculteurs Professionnels du Bénin

L’Union Nationale des Aviculteurs Professionnels du Bénin (UNAP-Bénin) est une organisation professionnelle d’envergure nationale qui regroupe les éleveurs modernes à la base et elle représente le maillon fort de la filière. Crée le 8 février 2008, cette association compte environ 450 aviculteurs modernes à sa création, repartis sur le plan national. Toutefois, le nombre effectif des adhérents à ce jour est de 350 sur les 450 aviculteurs estimés à l’actualisation. Il s’agit des aviculteurs exploitant les races améliorées ou importées de volailles qui produisent des œufs de consommation et de la viande de volaille (UNAP-Bénin, 2014).
Selon UNAP-Bénin (2014) pour bien quadriller tout le territoire national, l’UNAP-Bénin est organisée en quatre zones géographiques, Il s’agit de :
o La zone 1 : Atlantique-Littoral ; o la zone 2 : Ouémé-Plateau ;
o la zone 3 : Zou-Collines-Mono-Couffo ;
o la zone 4 : Borgou-Alibori-Atacora-Donga.

Différentes pratiques de biosécurité

Il n’est pas possible de recommander un seul et unique ensemble standardisé de mesures. Dans chaque pays, région ou système de production, les sources potentielles d’infection doivent être évaluées afin d’identifier les mesures qui auront le plus fort impact. Cela doit se faire :
o avant que la maladie n’apparaisse, pour identifier les voies potentielles de la transmission du germe à l’aide d’une analyse de la filière de production et de commercialisation, assortie d’une évaluation du risque et ;
o lorsqu’un foyer d’infection se développe, pour identifier les voies effectivement probables de la transmission à l’aide d’une enquête. Lorsqu’un foyer apparaît, il est important de déployer tous les efforts possibles pour découvrir la source de l’infection. L’examen d’une série de foyers déclarés verra émerger les types les plus communs de transmission du germe. Une fois ces voies identifiées, un ensemble de mesures de biosécurité sera défini en collaboration avec les personnes qui seront chargées de les mettre en œuvre. Toutefois, certaines mesures de base sont souhaitables et doivent être appliquées là où elles sont possibles (FAO, 2008c ).
Selon KABORET (2007b), la mise en œuvre de la biosécurité dépend de plusieurs facteurs. Il s’agit notamment :
o des facteurs liés à la conception des bâtiments et à l’exploitation des fermes ; o des facteurs liés à la conduite de l’élevage ;
o des facteurs liés aux exploitants ;
o des facteurs liés à l’encadrement des acteurs par les services vétérinaires.

Bâtiments d’exploitation

Selon PARENT et al. (1989), il existe de nombreux modes d’élevage, mais la claustration au sol reste le système le mieux adapté et le plus économique pour l’Afrique de l’Ouest. Tous les bâtiments d’élevage doivent être conçus et entretenus de manière à ce que les oiseaux sauvages en particulier, mais aussi les rongeurs, ne puissent s’y introduire (grillage de protection).
Des bâtiments appropriés peuvent être construits pour les élevages commerciaux à grande échelle, mais il n’en est pas toujours ainsi. Cela est souvent impossible dans les élevages commerciaux à petite échelle pour lesquels les bâtiments n’ont pas toujours été construits pour cet usage ou l’ont été avec des matériaux moins adaptés.
Il existe toujours un risque que les volailles élevées en divagation (poulets villageois) soient au contact d’oiseaux sauvages et de rongeurs, notamment à proximité des plans d’eau où se rassemblent de nombreux oiseaux aquatiques.

Limitation de l’accès à l’enceinte de la ferme avicole

Selon une publication de la FAO (2008b), il faudrait clôturer les locaux de l’exploitation et installer un portail. L’espace alloué aux volailles doit l’être également. Aussi, il est important d’éviter les eaux stagnantes dans l’exploitation car ces dernières peuvent abriter des agents infectieux pouvant être transportés par des véhicules et des personnes. Les agents pathogènes protégés peuvent ainsi servir de réservoir et réinfecter la ferme après le nettoyage et la désinfection (COX, 2006).

Contrôle des entrées et des mouvements dans une ferme avicole

Il s’agit là de barrière physique vis-à-vis de l’entrée des personnes et des objets. La barrière physique est la mesure la plus importante qu’une exploitation puisse prendre pour réduire le risque d’infection. Elle représente le premier point critique de contrôle pour l’entrée d’une maladie infectieuse dans l’exploitation (COX, 2006). En effet, un point d’entrée bien organisé, délimité par une barrière, permettant de contrôler et de restreindre l’accès des visiteurs et des objets, réduira considérablement le risque d’introduction du germe par des oiseaux infectés ou du matériel contaminé. La barrière physique permet de contrôler les mouvements dans l’élevage.
La préférence est une barrière fixe. La porte doit être assez haute pour être visible à partir d’une voiture ou un camion à cabine et empêcher le véhicule de se déplacer à travers la porte sans l’ouvrir. Elle doit être solide, résistant à la rouille des métaux de façon permanente avec les montants fixes, par exemple en béton. Selon KABORET (2007b), il faudrait tenir les portes et le portail fermés à clé. Quelle que soit la structure utilisée, la barrière doit être verrouillée.

Contrôle à l’entrée de la ferme

Le contrôle concerne les visiteurs, le personnel, les véhicules et le matériel.

Visiteurs

L’entrée des visiteurs dans une ferme ne doit se faire qu’en cas de nécessité. Ces derniers doivent changer de vêtements et de chaussures, porter une coiffe et des gants avant d’entrer dans l’enceinte même de la ferme. Cette règle doit également s’appliquer aux propriétaires, aux vétérinaires, aux conseillers, aux marchands, à la famille, aux amis, etc. Elle est particulièrement importante pour les visiteurs qui ont été récemment au contact avec d’autres oiseaux.
Un registre des visiteurs est nécessaire. En effet, il est de la responsabilité du propriétaire de la ferme d’avoir un registre de tous les visiteurs entrant dans l’exploitation, afin de faciliter une réponse rapide en cas d’apparition d’une maladie (COX, 2006).
La biosécurité est un processus à double sens. Tous les visiteurs doivent se conformer aux procédures exigées à l’entrée et la sortie de la ferme. Ceux qui refusent de s’y conformer devront être refusés d’accès à la ferme. Il reste cependant très important et efficace de limiter dans toute la mesure du possible le nombre de personnes entrant dans les unités de production.

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Table des matières

INTRODUCTION
PREMIERE PARTIE : SYNTHESE BIBLIOGRAPHIQUE
CHAPITRE I : ETAT DES LIEUX DE L’AVICULTURE MODERNE EN REPUBLIQUE DU BENIN
1.1 Classification du secteur avicole béninois
1.2 Production en aviculture moderne
1.3 Principaux systèmes d’aviculture en république du Bénin
1.3.1 Aviculture traditionnelle
1.3.2 Aviculture semi-traditionnelle
1.3.3 Aviculture moderne
1.4 Principaux acteurs de la filière avicole
1.4.1 Eleveurs
1.4.2 Fournisseurs de poussins
1.4.3 Commerçants des produits avicoles
1.4.4 Fournisseurs d’intrants zootechniques et d’aliment pour volaille
1.4.5 Fournisseurs des produits vétérinaires
1.5 Différentes structures organisationnelles de la filière avicole
1.5.1 Environnement institutionnel
1.5.2 Union Nationale des Aviculteurs Professionnels du Bénin
1.5.3 Interprofession de l’Aviculture en République du Bénin (IAB)
1.6 Apports de l’aviculture à l’économie nationale
1.7 Perspectives de la filière avicole au Bénin
1.8 Problématique dans le secteur avicole
1.9 Conséquences de l’Influenza aviaire
2 CHAPITRE II : MESURES DE BIOSECURITE EN ELEVAGE
2.1 DEFINITION, PRINCIPES ET OBJECTIFS
2.1.1 Définition
2.1.2 Principes
2.1.3 Objectifs
2.2 Différentes pratiques de biosécurité
2.2.1 Bâtiments d’exploitation
2.2.2 Limitation de l’accès à l’enceinte de la ferme avicole
2.2.3 Contrôle des entrées et des mouvements dans une ferme avicole
2.2.4 Assurance de la propreté d’une ferme avicole
2.3 Système de suivi et d’évaluation des mesures de biosécurité en élevage
3 CHAPITRE III : RISQUES BIOLOGIQUES EN ELEVAGE AVICOLE
3.1 Risques liés au microbisme dans les élevages
3.2 Facteurs de risques liés à l’introduction ou à la réintroduction des germes pathogènes
3.2.1 Facteurs d’introduction et de réintroduction de maladies dans les élevages
3.3 Risques d’endémicité
DEUXIEME PARTIE : BIOSECURITE DANS LES FERMES AVICOLES MODERNES AU SUD DU BENIN : PRATIQUE ET ANALYSE ECONOMIQUE
CHAPITRE I : MATERIEL ET METHODES
1.1 Matériel
1.1.1 Zone d’étude
1.1.2 Matériel technique
1.1.2.1 Questionnaire
1.1.2.2 Matériel roulant et de protection
1.2 Méthodologie d’étude
1.2.1 Echantillonnage
1.2.2 Enquête sur le terrain
CHAPITRE II : PRESENTATION DES RESULTATS
2.1 Typologie des élevages avicoles modernes enquêtés
2.1.1 Différentes catégories d’aviculteurs
2.1.2 Caractéristiques des fermes
2.2 Evaluation du programme de biosécurité mis en place
2.2.1 Isolement
2.2.1.1 Clôture
2.2.1.2 Localisation de la ferme
2.2.1.3 Poulaillers
2.2.1.5 Autres espèces présentes dans les fermes enquêtées
2.2.2 Contrôle des mouvements
2.2.2.1 Gestion des employés
2.2.2.2 Gestion des visiteurs
2.2.2.3 Gestion de l’aliment
2.2.2.5 Collecte et la vente des produits de fermes
2.2.2.6 Registre de consignation des données
2.2.3 Assainissement
2.2.3.1 Rotoluve
2.2.3.2 Pédiluves pour les poulaillers
2.2.3.3 Hygiène générale
2.2.3.4 Qualité de l’eau de boisson
2.2.3.5 Mise en place de plan de dératisation
2.2.3.6 Gestion des cadavres
2.2.3.7 Gestion et qualité de la litière
2.2.3.8 Vide sanitaire
2.2.3.9 Nettoyage et désinfection
2.2.4 Gestion sanitaire des fermes
2.2.5 Information sur le niveau d’appréciation de biosécurité des bassecouriers
2.3 Analyse économique de la mise en place des mesures de biosécurité dans les fermes modernes
2.3.1 Coûts du volet isolement
2.3.2 Coût du contrôle des mouvements
2.3.3.1 Coût affecté au nettoyage des abreuvoirs et mangeoires
2.3.3.2 Coût affecté aux désinfectants utilisés pour le pédiluve
4 Désinfectants utilisés
5 Quantité utilisée/mois
6 Prix unitaire (FCFA)
7 Valeur totale (FCFA) Coût total
2.3.3.3 Coût affecté aux désinfectants utilisés pour le nettoyage et la désinfection des bâtiments
CHAPITRE III : DISCUSSION ET RECOMMANDATIONS
3.1 Discussion
3.1.1 Choix de la zone d’étude
3.1.2 Choix des élevages cibles
3.1.3 Méthode de l’enquête
3.2 Résultats
3.2.1 Typologie des élevages
3.2.1.1 Différentes catégories d’aviculteurs
3.2.1.2 Caractéristiques des fermes
3.2.2 Evaluation du programme de biosécurité mise en place
3.2.2.1 Isolement
3.2.2.1.1 Clôture
3.2.2.1.2 Localisation des fermes
3.2.2.1.3 Poulailler
3.2.2.1.4 Garage pour les véhicules
3.2.2.1.5 Autres espèces présentes dans les fermes enquêtées
3.2.2.2 Contrôle des mouvements
3.2.2.2.1 Gestion des bâtiments
3.2.2.2.2 Gestion des visiteurs
3.2.2.2.3 Gestion des aliments
3.2.2.2.4 Gestion des matériels
3.2.2.2.5 Registre de consignation des données
3.2.2.3 Assainissement
3.2.2.3.1 Rotoluve
3.2.2.3.2 Pédiluves pour les poulaillers
3.2.2.3.3 Hygiène générale
3.2.2.3.4 Qualité de l’eau de boisson
3.2.2.3.5 Mise en place de plan de dératisation
3.2.2.3.6 Gestion des cadavres
2.3.3.4 3.2.2.3.7 Gestion et qualité de la litière
3.2.2.3.8 Vide sanitaire
3.2.2.3.9 Nettoyage et désinfection
3.2.3 Information sur le niveau d’appréciation de biosécurité des basse-couriers
3.3 Analyse économique
7.1 RECOMMANDATIONS
7.1.1 A l’Etat
7.1.2 Aux propriétaires des fermes et aux fermiers
7.1.3 A l’Union Nationale des Aviculteurs Professionnels du Bénin
Conclusion
REFERENCES BIBLIOGRAGRAPHIQUES
WEBOGRAPHIE
ANNEXES

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