Etat des lieux de l’accessibilité architecturale des cabinets dentaires privés à Dakar

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Equipements concernés par l’accessibilité architecturale

L’accessibilité architecturale est obligatoire pour tous les établissements recevant le public (ERP) mais aussi pour les aménagements des espaces publics extérieurs, et la voirie. Elle concerne aussi bien les lieux de travail que les parties communes des logements collectifs. Elle est liée à celle de la qualité de vie, elle participe à améliorer le confort du cadre de vie.
A cet effet, tous les équipements destinés à l’usage de la population ont vocation à être accessibles.

Etablissements recevant tout public

Sont considérés comme des Etablissements Recevant du Public (ERP) tous bâtiments, locaux et enceintes dans lesquels des personnes sont admises, soit librement, soit moyennant une rétribution ou une participation quelconque, ou dans lesquels sont tenues des réunions ouvertes à tout venant ou sur invitation, payantes ou non [98].
Les établissements recevant du public sont classés en 5 catégories (en fonction du nombre de personnes accueillies [98].
Ces catégories sont définies par les seuils suivants :
• 1re catégorie : ERP accueillant plus de 1 500 personnes ;
• 2e catégorie : plus de 700 personnes ;
• 3e catégorie : plus de 300 personnes ;
• 4e catégorie : moins de 300 personnes et au-dessus d’un seuil variable selon le type d’ERP ;
• 5e catégorie : en dessous de ce seuil variable.
Les cabinets dentaires en tant que ERP de 5ème catégorie doivent être construits et aménagés de façon à être accessibles aux personnes handicapées ou à mobilité réduite, quel que soit le type.
Les caractéristiques à respecter dans ce sens doivent être établies dans :
– les cheminements extérieurs;
– le stationnement;
– l’accès au bâtiment;
– les circulations intérieures horizontales et verticales des parties communes;
– les portes;
– les équipements intérieurs et extérieurs;

NOTION DE MOBILITE REDUITE

Définitions de la mobilité réduite

La mobilité réduite est une situation de handicap due à une diminution des capacités de déplacement dans l’espace public d’une personne, de manière temporaire ou définitive [97]. Cela peut être lié, notamment à des déficiences prénatales ou dues à des maladies, des accidents ou plus généralement au vieillissement mais aussi à des situations ponctuelles comme en connaissent les femmes enceintes, les personnes accompagnées d’enfants (avec ou sans poussette), ou celles ayant un bagage lourd [94].
Une mobilité réduite amène la personne à avoir une autonomie de déplacement limitée ou nulle dans un environnement « ordinaire ».

Types de personnes à mobilité réduite

Personnes âgées

La population vieillissante s’accroît rapidement. Selon l’OMS [78], entre 2000 et 2050, la proportion des plus de 60 ans dans la population mondiale aura doublé, passant de 11% environ à 22%. En 2050 on comptera 395 millions de personnes âgées de 80 ans et plus, soit près de quatre fois plus qu’aujourd’hui. S’intéresser à l’accessibilité est donc crucial car elle garantit la participation à la vie, et contribue au « vieillissement réussi » pour tous [12; 13]. Dans le cadre de la mobilité, des études réalisées dans des pays développés montrent que c’est à partir de 55 ans que les premiers signes de déclin peuvent être observés [102; 24]. D’autres études sur la mobilité montrent que les effets liés à l’âge s’observent plutôt chez des populations plus âgées comme les 65 ans ou les 75 ans et plus [63; 28]. Cependant, la majorité des études portant sur les effets du vieillissement en mobilité s’intéresse aux personnes âgées de 60 ans et plus. Ce vieillissement peut impacter les fonctions mentales, sensorielles, physiques… etc.

Personnes obèses

L’obésité se définit comme une augmentation du tissu adipeux ayant des conséquences  somatiques, psycho-sociales avec un retentissement sur la qualité de vie. La définition de l’obésité nécessite donc l’évaluation de la masse grasse corporelle. Celle-ci représente normalement environ 10 à 15% du poids corporel chez l’homme jeune et 20 à 25% du poids corporel chez la femme jeune [15].
L’obésité est définie par un indice de masse corporelle (IMC) supérieur ou égal à 30 kg/m².
Elle est subdivisée en trois stades selon sa sévérité :
 l’obésité modérée (IMC entre 30 et 34,9 kg/m²),
 l’obésité sévère (IMC entre 35 et 39,9 kg/m²),
 l’obésité morbide (IMC supérieur ou égale à 40 kg/m²).
Au stade d’obésité morbide, le risque de mortalité cardio-vasculaire est très élevé.
Chez l’adulte, le surpoids est défini par un IMC compris entre 25 et 29,9 kg/m².
Un IMC inférieur à 18,5 kg/m² signe une dénutrition et donc un risque accru de mortalité [15].
L’obésité sarcopénique est définie par un IMC > 30 kg/m2 et une réduction de la masse et de la fonction musculaire [45]. La perte de la masse et de la force musculaire liée à l’âge est souvent indépendante de la masse corporelle [32].
• Effet de l’obésité sur la motricité individuelle
L’obésité chez l’adulte n’affecte pas seulement la santé physiologique. En effet, les adultes obèses ont une diminution de l’efficience des mécanismes du contrôle de la posture et du mouvement en posture debout et assise [7 ; 21; 22; 57]. Une diminution de la coordination inter-segmentaire requise dans une tâche de vitesse/précision est également observée. Une surcharge pondérale serait donc une contrainte pour la réalisation des habiletés motrices fondamentales [22]. De plus, la surcharge corporelle est un bon élément de prédiction de la stabilité posturale. L’adulte en surcharge corporelle excessive montre une vitesse de déplacement du centre de pression plantaire plus rapide que l’adulte de poids santé et pourrait être exposé à un plus grand risque de chuter [7; 57].
• Effets de l’obésité sur la mobilité sociale
La notion de mobilité sociale rend compte du déplacement d’un individu dans la structure sociale. Elle est dite «intra-générationnelle», si elle met en relation la position sociale d’un individu à deux moments de sa vie (début de carrière et fin de carrière par exemple) ou «intergénérationnelle», si elle met en relation la position sociale d’un fils et celle de son père par exemple. La mobilité peut être ascendante, descendante ou équivalente selon que l’individu s’élève, descend ou reste au même niveau de l’échelle sociale [84].
L’obésité ralentit la mobilité intra-générationnelle et augmente la fréquence de la mobilité intergénérationnelle descendante.

Femmes enceintes

Une femme enceinte est une personne fatigable surtout dans les derniers mois de grossesse elle a du mal à se déplacer sur de grandes distances, prendre les escaliers, rester en station debout, exécuter des opérations demandant une certaine précision, supporter les ambiances bruyantes, supporter la chaleur, le froid…

Les maladies invalidantes

Il s’agit des personnes sujettes à des troubles de la santé invalidant pouvant atteindre les organes internes vitaux (cœur, poumons, reins…). Ces personnes sont porteuses de maladies organiques comme : l’insuffisance respiratoire (mucoviscidose….), l’insuffisance cardiaque, rénale, immunitaire (VIH/SIDA…); les cancers; certaines maladies rhumatoïdes; des troubles musculo-squelettiques (douleurs articulaires…). Ces maladies peuvent être momentanées, permanentes ou évolutives, et constituent souvent un handicap non visible.

Personnes en situation de handicap

Historique et définition du handicap

Le mot handicap vient de l’expression anglaise hand in cap, ce qui signifie  »la main dans le chapeau ». Il s’agissait d’un jeu de hasard dans lequel les joueurs disposaient leurs mises dans un chapeau. L’expression s’est progressivement transformée en mot puis appliquée au domaine sportif (courses de chevaux notamment) au XVIIIe siècle [5].
En hippisme, un handicap correspondait à la volonté de donner autant de chances à tous les concurrents en imposant des difficultés supplémentaires aux meilleurs [5].
Historiquement, le handicap se définissait par opposition à la maladie. Le patient était malade tant que son problème pouvait être pris en charge médicalement, il était réputé handicapé une fois devenu incurable [5].
En 1980, le britannique ALLEMAND-BAUSSIER a transformé radicalement la vision du handicap en le définissant comme un désavantage dont est victime une personne pour accomplir un rôle social normal du fait de sa déficience (lésion temporaire ou définitive) ou de son incapacité (réduction partielle ou totale) pour accomplir une activité. Cette définition a, par la suite, été critiquée car elle met trop en avant l’aspect fonctionnel du handicap et pas assez son aspect social [5]. La problématique sociale du handicap a toujours buté sur une ambiguïté: tout le monde peut à un moment donné vivre une situation de handicap.
Avec la parution de la classification internationale du fonctionnement, du handicap et de la santé (CIF), l’OMS a introduit une nouvelle typologie du handicap qui prend plus en compte les facteurs environnementaux. Le handicap peut y être défini comme la rencontre d’une déficience avec une situation de la vie quotidienne.
Ces deux composantes sont soumises à l’influence de problèmes de santé (maladies, blessures, lésions) et de facteurs contextuels (environnement et facteurs personnels) [82].
Autrement dit, le mot handicap désigne  »toute limitation ou restriction à la participation à la vie de société subie dans son environnement par une personne en raison d’une altération substantielle, durable ou définitive d’une ou plusieurs fonctions physiques, sensorielles, mentales, cognitives ou psychiques d’un poly-handicap ou d’un trouble de santé invalidant » [82].
La loi d’orientation sociale du Sénégal définit le handicap dans le Chapitre 1 article 1 comme [100]: « toutes les personnes qui présentent des incapacités physiques, mentales, intellectuelles ou sensorielles durables dont l’interaction avec diverses barrières peut porter atteinte à leur pleine et effective participation à la société sur la base de l’égalité».

Nouveau concept du handicap

Une nomenclature ou une classification des handicaps reflète nécessairement une certaine conception du handicap et de la place du handicap dans la société. Or, la notion du handicap a évolué au cours des années, et par voie de retour, certaines nomenclatures en usage font l’objet de critiques et de mise en causes. La classification nouvelle du handicap et les réflexions qui ont entouré sa conception ont accompagné une révolution conceptuelle du handicap: considérer le handicap comme la conséquence d’une maladie (ou d’un accident) au lieu de l’assimiler à sa cause [36].

Classification internationale des handicaps (CIH)

L’apport le plus important de la CIH à la réflexion sur le handicap a été sa conceptualisation dans un cadre tridimensionnel. Les trois notions clefs sont : la déficience, l’incapacité et le désavantage. La déficience appréhende les altérations corporelles organiques ou fonctionnelles. L’incapacité apprécie les réductions partielles ou totales, les limites des capacités qui permettent d’accomplir une activité. Le désavantage correspond à la résultante de la déficience et de l’incapacité. Le schéma suivant permet de montrer les liens entre ces trois concepts qui permettent de définir le handicap. La déficience est extériorisée, l’incapacité est objectivée et le désavantage socialisé [14, 60].

Classification internationale du handicap révisée

En 2001 l’OMS a révisé la CIH et adapté la CIF (classification internationale du fonctionnement de santé et de handicap) [82]. Sur le plan théorique, la CIF ne s’est pas contentée d’intégrer les deux modèles du handicap (modèle biomédical et modèle social) en un modèle bio-social du handicap. Ces deux modèles sont à la fois pertinents dans ce qu’ils nous apprennent sur le phénomène du handicap, mais également imparfaits par la focalisation de leurs regards sur des objets extrêmement différents. Au modèle biomédical correspond un regard centripète qui ne s’attache qu’aux dysfonctionnements internes à la personne. Le regard du modèle social renvoie au contraire à une approche centrifuge, en ce qu’il ne recherche que les obstacles environnementaux qui entravent l’activité de la personne. Ces deux regards, certes complémentaires, sont difficilement harmonisables. L’originalité de la CIF est de proposer un troisième modèle qui permet d’unifier les deux modèles du handicap, le biomédical et le social en conceptualisant un modèle tridimensionnel. L’objectif de la CIF marque également une rupture en ne se focalisant pas sur la seule dimension du handicap, mais en se fixant comme objectif: la description de la santé et du handicap au sein d’une même entité: le fonctionnement [14 ; 36].
Face à la complexité du concept de handicap, la médecine demande à l’architecture de prendre le relais de son action et de participer dans le soin et la rééducation, afin d’intégrer la personne à la société et dans les espaces architecturaux qu’elle aménage. Ainsi l’architecture doit jouer un rôle très important dans la correction de l’handicap et cela par des aménagements spéciaux et par l’adaptation des espaces aux personnes circulant avec un dispositif pour satisfaire les besoins.

Dispositifs pour la mobilité réduite

Le déplacement habituel du corps humain est assuré essentiellement par la marche, le saut, le ramper.
 La marche
La marche est un phénomène complexe. La maîtrise des phénomènes mécaniques mis en jeu par la marche doit s’acquérir pour le jeune enfant mais peut également être perdue par l’adulte, après un accident ou une maladie. La marche peut aussi être plus ou moins bien contrôlée par la personne handicapée temporairement et c’est là qu’intervient la correction de l’handicap par l’usage d’objets (cannes, appareils de marche et orthèses, fauteuils roulants) qui visent à rétablir le mouvement et l’équilibre.
 Les aides à la marche
Il existe principalement trois sortes d’aides à la marche : les cannes, les déambulateurs et les orthèses.
 Les cannes
La canne, la canne anglaise ou la béquille et le tétrapode peuvent s’utiliser en simple ou en double suivant la nature de trouble fonctionnel de la personne. Citons à titre d’exemple : la fatigue, les fractures avec plâtre de marche, l’hémiplégie, les troubles cardiaques. Pour se déplacer, la largeur minimale de passage frontal, avec les cannes est la suivante : [72]
• avec 1 canne…………………………………0,70m ;
• avec 2 cannes………………………………..0,75m ;
• avec 2 cannes anglaises……………..………0,90m ;
• avec 2 tripodes………………………………0,90m ;
 Les déambulateurs
Le déambulateur équipé de pieds ou de roues permet de marcher en s’appuyant avec les deux mains sur l’appareil. Pour se déplacer, la largeur minimale de passage est de 0,80 à 0,85m [72].
 Les orthèses
Les orthèses font toujours l’objet de recherche qui porte sur le rétablissement de l’acheminement de l’influx nerveux vers les membres inférieurs par un système comportant : un micro-ordinateur, un stimulateur et des électrodes appliqués sur les parties du corps concernées. Les dernières applications de cette technique appelées « Fonctional Electrical Stimulation », miniaturisent l’ordinateur fixé à la taille. Le déambulateur est remplacé par des béquilles.
En plus de ces aides à la marche, on a un autre moyen de déplacement qui est l’élément essentiel de notre étude : le fauteuil roulant [72].
 Le fauteuil roulant
L’homme a inventé la roue pour se déplacer plus vite, pour transporter une charge. Pour remplacer la marche, il a appliqué son invention en réalisant le landau, la poussette et le fauteuil roulant, etc.
Depuis 1980, le développement des sports de compétition a accéléré la transformation du fauteuil roulant manuel par :
• L’emploi de nouveaux matériaux qui améliorent sa légèreté et sa maniabilité.
• La multiplication des options sur la longueur et la largeur du siège, la hauteur du dossier, le profil de l’accoudoir, le diamètre des roues, etc., constituent, en fait, une meilleure adaptation aux mesures et aux capacités de chacun.
Ces transformations du fauteuil roulant ont également permis la création de plusieurs types de fauteuils roulants [72].
Pour les personnes paralysées des membres inférieurs (les paraplégies), le fauteuil roulant est le seul moyen de déplacement à la fois sûr, rapide et sans fatigue. Depuis un siècle, il bénéficie de nombreuses améliorations qui le rendent plus léger, plus maniable et facilement repliable sans nuire pour autant à la stabilité. Il existe deux sortes de fauteuils : Ceux à commandes manuelles (Voir Photo 2.a et 2.b) et ceux à commandes électriques. Le choix du modèle s’effectue suivant la nature de l’infirmité de la personne.
Les principaux types de fauteuils sont les suivants :
– Le fauteuil universel à commandes manuelles sur chaque roue et grandes roues à l’arrière ; il convient à la plupart des personnes paraplégiques.
– Le fauteuil universel à commandes manuelles sur une seule roue; il convient aux personnes hémiplégiques (paralysies d’une moitié latérale du corps).
– Le fauteuil à commandes manuelles sur chaque roue, et grandes roues à l’avant ; il convient mieux à certains paraplégiques ayant des problèmes de répartition d’équilibre dus à leur infirmité.
– Le fauteuil à commande électronique avec moteurs électriques et batteries; il convient aux personnes qui ne disposent que de faibles ressources physiques, comme les
tétraplégiques (paralysies des membres inférieurs et supérieurs) [72].
Le fauteuil roulant « universel » est le type le plus utilisé; ses caractéristiques ont servi à établir les dimensions variant suivant qu’il est vide, occupé ou plié:
– Vide……………………………………0,70m X 1,20m
– Occupé…………………………………0,75m X 1,25m
– Plié……..………………………………0,30m X 0,80m
Le poids varie entre 12 et 25 kg suivant les tubes d’acier utilisés à sa fabrication. Les cotes d’encombrement des différents fauteuils sont peu différentes de celles du fauteuil roulant «universel» à condition de correspondre à la même catégorie de personnes.
Entre le fauteuil roulant électrique et le fauteuil roulant « universel », la grande différence est le poids. Le fauteuil électrique équipé de ses batteries pèse environ 4 à 5 kg, soit un peu plus du double du fauteuil roulant « universel » [72].
Le fauteuil roulant remplaçant la marche, est définit selon les caractéristiques du déplacement à travers des actions de base telles que : avancer, tourner, revenir en arrière. Ce qui donne : L’espace ou la personne peut circuler librement avec son dispositif de dégagement : (Voir Figure 3)

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Table des matières

INTRODUCTION
PREMIERE PARTIE : GENERALITES SUR L’ACCESSIBILITE ET LA MOBILITE REDUITE
I.ACCESSIBILITE
I.1. Concept d’accessibilité architecturale
I.2. Equipements concernés par l’accessibilité architecturale
I.3. Etablissements recevant tout public
II.NOTION DE MOBILITE REDUITE
II.1 Définitions de la mobilité réduite
II.2. Types de personnes à mobilité réduite
II.2.1. Personnes âgées
II.2.2 Personnes obèses
II.2.3. Femmes enceintes
II.2.4. Les maladies invalidantes
II.2.5. Personnes en situation de handicap
II.3. Dispositifs pour la mobilité réduite
II.4. Législations sur la réglementation de l’accès aux PMR
II.4.1. Normes d’accessibilité des PMR
II.4.2. Convention de l’ONU
II.4.3. Loi d’orientation sociale
II.5. Difficultés dans la prise en charge des personnes à mobilité réduite pour le chirurgien dentiste
III. CONTEXTE DE L’ETUDE
III.1. Problématique et justification de l’étude
III.2. Questions de recherche
III.3. Objectifs de l’étude
III.3.1. Objectif général
III.3.2. Objectifs spécifiques :
IV. METHODOLOGIE DE L’ETUDE
IV.1. Type d’étude
IV.2. Cadre et population d’étude
IV.3. Taille de l’échantillon et échantillonnage
IV.4. Critères de sélection
IV.5. Collecte de données
IV.6. Considérations éthiques
IV.7. Analyse des données
V. RESULTATS
V.1. Profil sociodémographique des praticiens
V.1.1. Sexe
V.1.2. Age
V.1.3. Statut de l’occupant du local
V.2. Etat des lieux de l’accessibilité architecturale des cabinets dentaires privés à Dakar
V.3. Profil socio-démographique des patients
V.3.1 Sexe
V.3.2. Age
V.3.4. Echelle de capacité
V.4. Satisfaction des patients par rapport aux variables d’accessibilité architecturale
V.4.1. Relation entre satisfaction des patients et les autres variables
V.4.2. Obstacles et suggestions des patients par rapport à l’accessibilité architecturale
VI. DISCUSSION
VI.1. Limites et considérations méthodologiques
VI.2. Profil socio-démographique des praticiens et des patients
VI.3. Etat des lieux de l’accessibilité architecturale des cabinets dentaires privés de Dakar
VI.4. Satisfaction des patients
VII. RECOMMANDATIONS
CONCLUSION
REFERENCES
ANNEXES

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