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Topographique et pédologie
La zone d’étude est caractérisée par de falaise escarpée dans l’Est et les reliefs sont très accidentés. Ces reliefs sont formés par un enchaînement de hautes collines séparés par des quelques vallées étroites. Les pentes sont fortes entre 30% et 60% et l’altitude moyenne varie entre 0 et 800 mètre (Faramalala 1999). Les sols sont de type ferralitiques jaune et rouges et de manières générales composées de roches acides. La région est caractérisé par de roches migmatites granitoïdes, parsemés de quelques bandes de graphites dans la partie Nord-Est.
Elle est classée comme une zone de transition entre la haute terre centrale et la zone côtière de la grande île.
Sur la pente, on rencontre parfois, sous un horizon superficiel d’épaisseur variable mais relativement faible, abondante en argile, en fer et en matière organique, un horizon de départ lessivé, sableux, de colorant rose ou blanc. L’eau s’y infiltre et y circule aisément, diminuant de façons considérable les phénomènes d’érosion en nappe dus au ruissellement superficiel (S.Rakotonanahary, 2016, p7), le sol de Vohimana n’est pas vraiment propice à l’agriculture puisque sa texture argileuse empêche tous les échange nutritifs (élément minéraux) pour les plantes (actu : S.Rakotonanahary, 2016, p7)).
Selon la classification FAO, ces sols sont nommé ferra sols humiques ou sols ferralitique, ces derniers sont caractéristique des régions tropicales. Ils indiquent une pluviométrie continue. Les compositions minéralogiques sont composées d’hydroxyde de fer et d’aluminium et de kaolinite. Ces composés sont caractérisés par comme étant de faible capacité de rétention pour les éléments nutritifs (J.C Moreteau 2005). La présence des pentes importantes sur le site favorisent les pertes d’éléments minéraux par l’érosion lorsque les sols sont mis à nu. Ce sol représente une fertilité naturelle réduite.
La Flore et la végétation
Selon la division phytogéographique en zone floristiques établi par Faramalala(1999), la zone d’étude fait partie de la zone orientale de basse altitude, dans le domaine de l’Est entre 0 et 800m, marqué par une forêt dense humide sempervirente.
La superficie d’environ 1900 hectares, il y on a 760 hectares de forêt dense humide sempervirente de moyenne altitude dont 400 hectares des forêts naturelle peu exploité et le reste est composé de forêt secondaire, de savoka avec de différente âge d’implantation.
Floristiquement, le site fait parties de la zone de transition entre la forêt dense humide de basse altitude de la série Anthocleista et Myristicaceae et la forêt dense de moyenne altitude de la série de Weinmannia et Tambourissa (NAVEL.M-E 2005)
Cependant, l’existence des cultures sur brulis, et les exploitations illicites et abusives de bois, la végétation de la zone d’intervention provoque des formations dégradée : des forêts secondaires, savoka et des Jachère de différentes âges et de qualités différentes.
Une botaniste de l’ONG a recensé 284 espèces floristiques reparties en 158 genres et 86 familles. Les 145 espèces sont strictement Forestières et 21% de plantes forestières sont destiné à la construction.
La faune
Au début de la prise de gestion par MATE, l’organisme a trouvé 8 espèces de lémuriens dont l’Indri qui se trouve dans la Foret de Vohimana mais aussi le Fisaka à Diadèma qui est dans la réserve d’Analamazaotra.
En 2003, un inventaire Herpétologique et entomologique a permis de constater la présence de 73 espèces herpétofaunique dont 48 amphibiens et 25 reptiles dans la réserve de Vohimana.
Au de la préservation des espèces, la réserve de Vohimana est soumise à de grandes pressions par l’augmentation de la population locale et les autres exploitants de la région ce qui est très handicapant si l’on considère l’absence d’espèces à forte valeur commerciale comme les Phesulma flavigularis, Uroplatus spp, ainsi on remarque la rareté des espèces pour la consommation local telles que le Mantidactylus guttulatus et le Mantidactylus grandidient.
Durant la mise en place de plan d’aménagement en 2003, des recommandations ont étés faites par les chercheurs pour reconstituer la vraie richesse de la zone de Vohimana, les actions suivante sont donc à mener :
Laisser se développer les habitats spécifiques des espèces absentes dans la forêt en limitant la zone d’agriculture utilisable par la population et en contrôlant le prélèvement des bois et la circulation dans la forêt. Il est donc primordial de laisser les Pandanus, les palmiers et la grande fougère dans la forêt.
Garder quelques portions de forêt et de couverture végétale hors du grand bloc forestier dans le but de repeupler, par des essences d’intérêt commercial et consommable, une partie de la forêt. Il est donc important de ne pas toucher aux couloirs végétaux reliant la forêt avec les forêts avoisinantes comme Andasibe, Ambato et Mantadia ce qui favorise les échanges et les migrations des espèces.
Cette recommandation a eu des impacts positifs sur le nombre des espèces car en 2013, durant l’élaboration du plan d’aménagement, on constatait que la région de Vohimana abritait une grande diversité faunistique. Le nombre d’Amphibiens regroupés en 70 espèces, dont les genres Mantidactylus et Boophis sont les plus représentés avec respectivement 14 et 16 espèces. Entre autres, onze espèces de Lémuriens ont été rencontrées dans la zone d’étude : quatre diurnes, cinq nocturnes et deux cathémérales. Cinq de ces espèces sont menacées ; l’espèce Varcia variegata est en danger critique d’extinction (CR). Et on a 33 espèces de Reptiles, 85 espèces d’Oiseaux. 209 espèces d’Insectes ont été inventoriées à ce jour, dont Chrysiridia rhipheus (papillon à sept queues), Uraniidae endémique de Madagascar, aux couleurs très attirantes et très recherché par les touristes.
Les formations végétales qui y trouvent actuellement sont :
Forêt primaire dense humide de moyenne altitude
Forêt dégradée, par des activités agricole et exploitation des bois
Mosaïque de culture, jachère de formation graminéenne
Forêt de reboisement (eucalyptus)
Milieu humain
Population
Selon les enquêtes établies à Vohimana en juin 2017, plus de 70% de la population enquêté appartient à l’ethnie des Betsimisaraka, l’organisation sociale de la population est donc régie par leurs us et coutumes. On a rencontré aussi des Bezanozano qui sont de l’ethnie voisine. Et actuellement, la présence des migrants d’autres régions sont accélérés comme les Sihanaka, les Antesaka, les Merina, les Betsileo et les Antandroy. Les Sihanaka et Antesaka sont attirés par la pratique de la culture sur brûlis ou « tavy » tandis que Betsileo et Merina sont attirés par les commerces des produits forestiers et par les produits de première nécessité.
Le Fokontany Fanovana est le village d’origine de la population de Vohimana où se trouvent le Tranobe (maison royale) et le tangalamena (notable). Le tangalamena assure le lien entre les ancêtres et les vivants et est considéré comme l’homme sage du village.
Démographie
Les données géographique sont des éléments très importante quelques soit le projet de développement que nous envisageons. Pour notre étude, l’étude statistique des collectivités humaines tributaires et bénéficiaires de ces ressources naturelles, nous permettent de discerner une stratégie d’orientation de la population locale pour la conservation de la réserve de Vohimana. D’après le dernier recensement de population en 2011 (Fanisana Mponina, plan d’aménagement 2012), la zone de Vohimana est habitée par plus de 2 656 personnes répartie dans trois Fokontany divisés en 6 principaux villages.
Autres activités
Les activités quotidiennes de la population sont l’agriculture, l’exploitation forestière, et l’élevage. Mais depuis l’intervention de l’ONG MATE, elle s’est positionnée dès sa création sur une approche intégrée de la conservation d’un site et de ses ressources naturelles. Le site de Vohimana a une importance valeur en tant que ressource renouvelable, donc, l’ONG a créé des activités régénératrice de revenus dans le but d’aider la population locale et afin d’assurer la conservation la réserve. Les AGR permettant d’offrir une alternative durable aux activités de surexploitation des forêts sur la réserve.
Depuis 2005, des formations à différents niveaux ont été organisées et proposées par L’Homme et L’Environnement aux intéressés impliqués dans les activités (production d’huiles essentielles, écotourisme, artisanat et transformation agro-alimentaire) dans l’objectif de maîtriser les techniques de production et d’assurer les qualités de prestations.
Production d’huiles essentielles
Depuis 2005, ONG et les producteurs d’huiles essentielles ont travaillés côte-à-côte dans le but de développer l’exploitation de l’huile essentielle. Alors en 2008, l’ONG a cherché des partenariats pour développer et renforcer les capacités de production et de la commercialisation. Elle est intermédiaire entre la société privée Aroma Forest et les producteurs. A partir de cette année, les producteurs d’huiles essentielles se sont regroupés (les distillateurs et les collecteurs). Et ils sont formés sur les normes et les qualités de produits et se regroupant en association pour gérer leur activité. Année 2011, L’ONG se concentre sur la formalisation des groupements de producteurs, la redéfinition du partenariat avec L’Homme et l’Environnement d’une part, et Aroma Forest d’autre part. De fait, deux unité de distillation et de production d’huiles essentielles sont présentent sur le site de Vohimana, mais malheureusement, seule une est en état de marche. En 2012, 28 espèces de plantes aromatiques et médicinales ont étés valorisées ou ont fait l’objet d’une étude sur les perspectives d’exploitation à Vohimana. Mais sur l’ensemble de ces espèces, une étude d’opportunité est effectuée pour valider les projections d’exploitation et de vente. Donc parmi les 24 espèces qui sont exploitées régulièrement, les quatre espèces suivantes (tableau ci-dessous) sont les plus favorables et les plus demandées au niveau de marché.
ETAT DE LIEUX ET LES PRESSIONS SUBIS A LA RESERVE DE VOHIMANA
ETAT DES LIEUX DE LA RESERVE DE VOHIMANA
Contexte de Vohimana
Entre 1962 et 2002, 50% du territoire forestier de Vohimana a été détruit. Cette disparition est principalement liée au besoin important en bois de chauffe des ménages, pour laquelle le charbon est une ressource indispensable pour les revenus de la population local. La pratique du « TAVY » ou Culture-sur-brûlis, une importante pratique culturelle et traditionnelle, bien qu’interdite depuis 1881, participe fortement à la dégradation de l’état boisé. Cette pratique est en effet avantagée par un relief accidenté et à forte pente sur le site ce qui est le cas de Vohimana. Le problème de la déforestation à Vohimana est dû au manque d’investissement public dans le secteur rural et agricole et engendre un besoin toujours plus important en terres agricoles, au détriment des espaces boisés.
En effet, Une décision d’intervention dans la zone est prise par l’ONG, dans un but de restauration de l’état boisé. Le travail de restauration et de conservation sur le site n’est pas facile à réaliser, mais l’ONG MATE a des objectifs sur la conservation de site et la réhabilitation et la restauration de la zone dégradé. La restauration naturelle peut prendre plusieurs siècles, mais avec l’intervention de l’homme on peut arriver en quelques décennies.
Etat de la réserve Vohimana
Depuis la prise en main, l’ONG à augmenter les actions d’inventaires, de suivi phrénologique pour comprendre au mieux l’écosystème et l’état de la dégradation existant à Vohimana dans le but de valoriser au maximum la potentialité de la forêt et assurer aussi la sauvegarde et la conservation de la forêt. De même, des enquêtes socio-économiques et de perception paysanne ont aussi été mises en œuvre pour identifier les besoins de la population locale mais aussi pour essayer de définir et de concevoir un modèle de développement compatible avec les réalités sur terrain et la disponibilité des ressources existantes. Donc, ONG a identifié sur le site de Vohimana une forte pression anthropique qui est les causes directe de la dégradation et la déforestation dans la zone. En effet la population locale pratique le défrichement à l’intérieur même de la réserve naturelle pour pratiquer de l’agriculture de subsistance du fait du manque de terrain de culture et de la rizière. ONG MATE était déjà établie un plan d’aménagement en 2012 pour maintenir la conservation de la réserve et renforcer sa protection dans le but de la gestion durable des habitats naturelle de la forêt, ainsi que le développement du cadre de vie de la population locale. L’objectif de l’ONG est de l’intégration de la population local de base dans la gestion des ressources forestières et de la réserve de Vohimana, en effet l’ONG a créé des différentes associations dans les buts de gérer les différentes activités comme, le tourisme, les activités liées à la production d’huiles essentielles, les artisans, les charbonniers. Pour assurer les besoins de la population locale, ONG a créé dans le site six zones différentes. Le zonage du site de Vohimana se doit de respecter et de concilier à la fois les objectifs de l’H&E en matière de conservation et de la valorisation de la biodiversité d’une part et d’assurer aussi les besoin fondamentaux des populations local de Vohimana. Ces six zones sont les suivantes :
La forêt naturelle (noyau dur ou sanctuaire), la zone de régénération naturelle, la zone de production, la zone de restauration, la jachère et la zone d’eucalyptus. L’objectif du zonage se fera alors par la satisfaction des besoins de la population en matière de zone cultivable et de l’exploitation raisonnable des ressources.
Noyau dur : foret naturelle
La forêt naturelle de Vohimana est une forêt dense et humide de moyenne altitude avec une superficie de 750 ha (Mariette, 2016)
Les caractéristiques de ce noyau dur sont :
o Une zone ayant subi peu de dégâts ou de pression anthropique
o Riche en espèces naturelle faune et flore
o Les espèces forestières n’ont pas le diamètre minimal d’exploitabilité et font l’objet de conservation
o Possibilité de former un pont pour le raccordement entre le parc de Mantadia et le réserve d’Analamazaotra et de Maromiza.
Zone tampon
C’est une zone de restauration et de reboisement du site et sa reconstitution est entreprise pour la protection et la conservation de la forêt naturelle contre les pressions anthropiques. On constate que la zone tampon ne peut pas être reconstituée sans intervention humaine, donc le plus important est de faire un reboisement tout autour du noyau dur pour former une ceinture de protection adéquate contre les activités de l’homme. La surface exacte actuelle est de 120ha. Entre 2007 et 2016 93,37ha ont été restaurés (reboisement). 82,58ha appartiennent à la zone de conservation et 10,79ha sont dans la zone d’utilisation durable. Et d’après le rapport de stage effectué par Mariette. Aucun reboisement n’a été effectué au cours des années 2008, 2009, 2010 et 2013. Le taux moyen de plants survivants est de 72,04%. Avec un écart type de 4,02%. On remarque que les taux de chaque année s’éloignent peu de cette valeur (rapport de stage. Mariette). En faisant l’hypothèse que la mortalité n’a lieu que la première année après plantation, on peut assimiler ce taux à un taux de réussite. Or le taux de survie moyen en plantations peut atteindre jusqu’à 90% dans de bonnes conditions (saison de reboisement) et avec les bonnes pratiques. Ce taux, bien que correct, peut donc être amélioré si on arrive à surveiller de près les parcelles de reboisement après la plantation, c’est-à-dire, l’entretien des plans reboisés dès la première année.
Terrain d’Aménagement en rizière et en terrain de culture
L’objectif du zonage est d’améliorer du cadre de vie de la population, ils disposent de beaucoup de terrains qui sont aménagés sur le site et l’application de la culture sur brûlis est interdite. Malgré l’interdiction, on a identifié toujours l’existence de tavy sur le site. Or, le but de zonage est d’assurer les besoins de la population sur le manque d’espace cultivable. Des aménagements de bas-fonds sont à effectuer à fin de transformer en rizière les terrains pour honorer les besoins de la population en alimentation, surtout le riz, et aussi afin d’éliminer la pratique de tavy sur le site.
Les habitants ont le droit d’exploiter la zone de jachère et peuvent la transformer en zone de culture mais, la pratique de tavy est non autorisé. La répartition et la distribution des terrains se fera entre les autorités local, les Tangalamena, la population locale et avec le gestionnaire de la réserve qui est l’ONG MATE.
La zone d’eucalyptus est très importante pour la vie quotidienne de la population, surtout pour ses besoins en bois de chauffe, de construction et les autres activités comme la fabrication de charbon. L’un des objectifs de cette zone a pour but d’éviter l’exploitation illicite de la forêt. Et ce pour cette raison qu’il a le zone d’utilisation durable, composée de :
Une zone de production de 120ha, une forêt composée généralement d’eucalyptus.
La superficie de la jachère pauvre en espèces est de 120ha et la superficie de zone de culture gérée par la population est de 310ha via le transfert de gestion.
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Table des matières
INTRODUCTION
PARTIE I : PRESENTATION GENERALE DE ZONE D’ETUDE
CHAPITRE I:CARACTERISTIQUE DE LA ZONE D’ETUDES
I.1. PRESENTATION DU MILIEU D’ETUDE
I.1.1. MILIEU PHYSIQUE
I.1.1.1. Localisation du site
I.1.1.2. Topographique et pédologie
I.1.1.3. Climat
I.1.2. MILIEU BIOLOGIQUE
I.1.2.1. La Flore et la végétation
I.1.2.2. La faune
I.1.3. MILIEU HUMAIN
I.1.3.1. Population
I.1.3.2. Démographie
I.1.3.3. La sante de la population
I.1.3.4. Niveau d’Education dans la zone
I.1.3.5. Les activités source de revenus dans le Site
I.1.3.6. Autres activités
I.2. IDENTIFICATION DES BESOINS ET FREINAGE DE LA POPULATION LOCALE
I.2.1. TYPOLOGIE DE L’ECONOMIE PAYSANNE.
a) Catégorie 1
b) Catégorie 2
I.2.2. LES REVENUS DES MENAGES
I.2.3. LES DEPENSES DES MENAGES
I.2.4. LES BESOINS DES MENAGES EN RESSOURCES FORESTIERES
I.2.5. LES IMPACTS DES ACTIVITES IRRATIONNELLE ET ILLEGALE
I.2.5.1. Les impacts économiques
I.2.5.2. Les problèmes et freinage des AGR
PARTIE II : ETAT DE LIEUX ET LES PRESSIONS SUBISSENT A LA RESERVE DE VOHIMANA
CHAPITRE II: ETAT DES LIEUX DE LA RESERVE DE VOHIMANA
II.1. CONTEXTE DE VOHIMANA
II.2. ETAT DE LA RESERVE VOHIMANA
II.3. NOYAU DUR : FORET NATURELLE
II.4. ZONE TAMPON
II.5. TERRAIN D’AMENAGEMENT EN RIZIERE ET EN TERRAIN DE CULTURE
CHAPITRE III : LES PRESSIONS SUBIS A LA RESERVE DE VOHIMANA
III.1. PRESSIONS INDIRECTES
III.1.1. POLITIQUE DE GESTION
III.1.2. LA FAIBLESSE DU CADRE JURIDIQUE ET INSTITUTIONNEL
III.1.3. LA CROISSANCE DEMOGRAPHIQUE ET INFORMATIONS LIMITEES SUR LA BIODIVERSITE
III.1.4. FRAGMENTATION FORESTIERE
III.1.5. MANQUE DE BENEFICE SUR LA PRESERVATION POUR LES COMMUNES LOCALES
III.1.6. FAIBLE PARTICIPATION DES PARTIES PRENANTES
III.2.1. LA CULTURE ITINERANTE SUR BRULIS OU TAVY
III.2.2. L’EXPLOITATION FORESTIERE
III.2.2.1. Les causes de l’exploitation forestière
III.2.3. LES FEUX DES BROUSSES
III.2.4. LES CATASTROPHES NATURELLES ET LA PERTURBATION CLIMATIQUE
PARTIE III : ORIENTATION A L’UTILISATION DURABLE DES RESSOURCES NATURELLES
CHAPITRE IV : STRATEGIE D’ORIENTATION DE LA POPULATION LOCALE POUR LA CONSERVATION DURABLE
IV.1. TECHNIQUE D’ORIENTATION A LA CONSERVATION EFFICACE
IV.1.1. SENSIBILISATION ET EDUCATION
IV.1.2. SURVEILLANCE ET PATROUILLE
IV.1.3. LE SYSTEME D’EXPLOITATION AUTORISE ET CONTROLE DANS LA RESERVE.
IV.1.4. MISE EN PLACE ET OPERATIONNALISATION DU COMITE D’APPLICATION
IV.2. IDENTIFICATION DES AGR, LES AUTRES ACTIVITES LOCAL ET PROPOSITION DES SOLUTIONS ET PROMOTION DES AGR
IV.2.1. ECOTOURISME
IV.2.2. ARTISANAT ET AGROALIMENTAIRE
IV.2.3. EXTRACTION DES HUILES ESSENTIELLES
IV.2.4. VALORISATION DE LA FILIERE BOIS
IV.3.1. RENFORCEMENT DE SAVOIR-FAIRE SUR LE BOIS ENERGIE
IV.3.2. AUGMENTATION DES SURFACES REBOISEES
IV.3.3. AUGMENTATION DES REBOISEMENTS
IV.3.4. ATOUTS SUR REBOISEMENT DE BOIS
IV.3.5. AMELIORATION DE FABRICATION DES CHARBONS : TECHNIQUE AMELIOREE
IV.3.6. REGROUPEMENT ET RENFORCEMENT DE CAPACITE DE L’ASSOCIATION ARINA
IV.3. UNE DE STRATEGIE POUR ELIMINER LES EXPLOITATIONS ILLICITES DES CHARBONS
IV.3.1. MISE EN PLACE DES DEPOTS DE VENTE DE CHARBON DE BOIS :
IV.3.2. CONTROLE ET SUIVIE DES CHARBONS.
IV.4. AMELIORATION DE SYSTEME D’EXPLOITATION AGRICOLE
IV.3.1. RECHERCHE DES TERRAINS CULTIVABLES
IV.3.2. VALORISATION DES SOLS
IV.3.3. RENFORCEMENT DES CAPACITES DES PRODUCTEURS
IV.5. ELECTRIFICATION
PARTIE IV : ANALYSE DES IMPACTS DES ACTIVITES MENEES SUR LE SITE ET PLAN D’ACTION
CHAPITRE V : IMPACTS
V.1. ANALYSE DES IMPACTS DES ACTIVITES MENE A VOHIMANA
V.2. MISE EN OEUVRE DU PLAN D’ACTION
CONCLUSION
BIBLIOGRAPHIES
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