État de lieu de la pauvreté à l’âge de la vieillesse dans un contexte de protection sociale

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Les approches et les courants utilisés

Courant individualiste

Selon Max WEBER, l’individu est expliqué quand il pense que les phénomènes sociaux s’expriment à travers l’individu. D’ailleurs, l’individualisme méthodologique de Max WEBER consiste à expliquer les faits sociaux à partir des comportements individuels à l’inverse de l’holisme. Avec lui, nous allons essayer de comprendre et d’expliquer l’action humaine. Grâce à sa théorie, nous savons que l’individu a un e liberté d’action selon sa valeur.Max WEBER nous instruit aussi sur la rationalité, c’est comme un schéma qui nous fait agir de façon rationnelle. La signification de notre action serait d’une part d’agir rationnellement en ayant un but d’une action rationnelle en finalité. Par exemple le fait de cotiser pour avoir une assurance pour sa retraite ou encore d’agir en fonction de la valeur pour une action rationnelle en valeur, disons par exemple cotiser pour préserver la retraite.

La sociologie de la vieillesse

Selon Vincent CARADEC, ces questions nous ramène par « Qu’est-ce que la vieillesse ? Quelles situations recouvre-t-elle? » Comment les différentes catégories de vieillesse se sont-elles constituées ? Qui désigne-t-on comme « vieux» et dans quel contexte? Voici quelques-unes des questions auxquelles Vincent CARADEC s’attache à répondre dans Sociologie de lavieillesse et du vieillissement.
Le premier chapitre retrace la construction sociale de la vieillesse, principalement du point de vue occidental, même s’il effleure d’autres contextes de la vieillesse. Faisant référence aux travaux de l’ethnologue Anne-Marie PEATRIK, il explique comment, chez les Meru du Kenya, la vieillesse est considérée comme un mûrissement, là où il tend à être envisagé comme le déclin dans les sociétés occidentales, ceci pour insister sur le fait que les représentations de la vieillesse sont dépendantes ’und contexte social et culturel donné.

Ce chapitre montre aussi comment les représentation occidentales de la vieillesse oscillent entre la figure du « senior indépendant et actif »d’une part, et celle du « vieillard dépendant et apathique» d’autres parts. Or, cette polarisation caricaturale toujours prégnante tend à dissimuler la diversité des formes que prend la vieillesse.
Du second chapitre il ressort essentiellement que l’âge chronologique ne constitue pas un indicateur pertinent. Le regroupement d’individus dans une tranche d’âge donnée cache en effet une grande diversité de situations, de pratiques et de modes de vies, ce que mettent en avant plusieurs enquêtes. Toutefois, la grande hétérogénéité des individus rassemblés sous la casquette des « personnes âgées » ne les empêche pas de « faire corps » ni même de se mobiliser comme les revendications les montrent pour la défense des retraites.
Le chapitre trois ouvre les voies d’une approche microsociologique de l’avancée en âge et propose notamment de penser les « transitions du vieillissement » que sont la retraite, le veuvage ou l’entrée en maison de retraite comme autant de cas qui contraignent l’individu à une reconfiguration des modalités d’exister et à une renégociation de son identité. Mais au-delà de ces trois « transitions du vieillissement » , l’une des ultimes transitions n’est-elle pas la prise de conscience de sa propre mort? D’autre part, si ces transitions constituent des situations d’observation privilégiées, l’analyse sociologique ne doit pas se limiter à ces caps biographiques

Le courant interactionniste

C’est un courant sociologique fondé sur l’idée de al société et le produit des interactions entre les individus. Ils désignent par de diverses réalités, tantôt d’ordre théorique, tantôt d’ordre organisationnel, bref l’interactionnisme symbolique est bien, comme l’a dit Bérénice FISHER etAnselme STRAUSS, une salle de ventes où l’on apporte et l’on achète ce que l’on veut.
L’interactionnisme renvoie d’une part à un cadre de référence général (paradigmatique) et d’autre part, à des déclinaisons disciplinaires dans des champs particuliers : philosophique, sociologique, psychologique et/ou psychosociologique. Il se présente également comme un paradigme venu s’intercaler entre deux paradigmes qui lui préexistent.

Le premier est focalisé sur l’objet et ses dérivés(objectivité, objectif, nature, matière, structure, extérieur).
A l’inverse du premier, le second a pour mettre le sujet avec une suite de dérivés (subjectivité, projet, culture, idée, partie, individualité, intérieur). En mettant ces deux pôles en relation, l’interactionnisme va mettre au jour, en leur restituant leur visibilité, les processus de construction que la disjonction objet/sujet avait détournée. Cet assemblage sous l’appellation de paradigme constructiviste signifie simplement que ce sont les hommes qui construisent le réel en le confrontant. Cette dynamique qui transforme la nature en culture changeante d’espaces en espaces.
Mais l’interactionnisme est rien moins que constitutif de ce paradigme constructiviste, parce que l’interaction sujet/objet y est le mode opératoire de la construction. La construction étant un effet émergent de l’interaction. Or, l’interaction se définit par sa dynamique productive, et non par le simple constat d’une relation formelle entre les acteurs.
L’interactionnisme est à la croisée de trois disciplines : la psychologie, la sociologie, et l’anthropologie. L’emprunt réalisé de manière indistincte à toutes ces disciples est de deux ordres : d’une part, la problématique des rapports entre individus et société, avec comme objet d’observation privilégié la socialisation, notammen son processus et ses procédures, d’autre part, la tendance, principalement à l’école de Chicago, d’orienter les études vers les faits concrets et empiriques

Sociologie de la communication

Pour ceci nous évoquons la théorie d’ Anne-Marie AULAN, quand elle pense que la vie sociale (y compris chez les animaux toute conquête de l’espace physique (voies de communication), toute exploration des civilisations disparues, toute planification de notre monde, demain, tout cela constitue des faits de communication. La quasi-totalité des disciplines scientifiques est concernée mais, de plus, les enjeux politiques, économiques et techniques sont eux aussi considérables. D’où la difficulté de cerner avec précision pareil sujet, d’où le risque de toute étude historique. Cependant, le point de vue du sociologue demeure spécifique, ce qui facilitera ma tâche : je retiendrai, du champ si vaste des recherches en Communication, uniquement ce qui débouche sur des systèmes sociaux. Les études purement théoriques, à caractère mathématique, ou tout au moins formalisé, les études de prospectives économique ou technique, les applications d’ordre interpersonnel, pédagogiques, les perspectives politiques ou idéologiques en tant que telles, voilà autant de branches de la Communication que je n’évoquerai pas ici. Le. seuil, pour moi, c’est l’activité des nommes, le comportement social des utilisateurs, des usagers, des consommateurs de communication.

Le capital

Étymologiquement du mot cumuler, mettre en tas et de capitaliserla tête en possesion d’un animal cheptel.
Selon Adam SMITH et David RICARDOl’accumulation du capital est le processus qui permet de transformer l’épargne en moyen de production ou en actifs financiers, avec le travail et le progrès technique elle est l’une des facteurs de production qui est nécessaire au développement socio économique.
La production est l’action de produire des biens et des services. En économie, la production est l’activité qui apporte de la valeur ajoutée.
L’épargne,selon John STUARTMILL, il nous informe que l’épargne consiste dans l’espoir de retirer un revenu de ses épargnes; en réalité, leapitalc appliqué à la production est susceptible non seulement de se reproduire, mais encore de s’augmenter. Plus est considérablele profit qu’on peut faire par l’emploi du capital, plus estpuissant le motif qu’on a pour accumuler. La disposition à épargner ne dépend pas entièrement des motifs extérieurs qui y engagent, de la somme du profit qui peut être réalisé par l’épargne.En balançant les chances de l’avenir avec celles du présent, l’incertitude de toutes les choses futures est un élément capital, et cette incertitude admet des différents degrés.

Théorie sociologique de la sécurité sociale

La première esquisse d’une théorique sociologiquede la sécurité sociale semble devoir être limitée, pour des considérations de faite pour comme des raisons de méthodes, aux sociétés industrielles entendus selon l’acceptation admise pour la société contemporaine. Cette limitation initiale n’ignore pas le succès de notable de sécurité sociale dans les sociétés différentes, notamment dans les pays en voies de développement où s’implante de manière générale, encore que prudent, des institutions inspirées des mêmes idées.
Mais, d’une part, elle tient compte du fait que ces dernières sociétés, n’étant pas parvenues au stade d’évolution technique et économique qui caractérise les sociétés industrielles, connaissent des besoins en parties différentes, dont la satisfaction appelle des réalisations qui ne sont pas entièrement comparables à celles des pays plus avancés, sauf dans certains secteurs influencéspar la technologie moderne. Ainsi, pour expliquer l’expansion de la sécurité socialedans les pays en voie de développement, il paraît indispensable d’élaborer une théorie spécifique, qui prend largement en considération la diffusion internationale des influences culturelles. D’autre part, sous l’aspect de la méthode, l’intérêt de la contribution à une théorie sociologique de la sécurité sociale risquerait d’être compromisarp l’ampleur excessive d’une recherche qui ne se consacrerait pas en priorité aux sociétés présentant des analogies suffisantes, fondées notamment sur leur appartenance au genre commun des sociétés industrielles.

En effet, la généralité de la théorie doitsauvegarder sa valeur explicative, qui dépend en définitive de son aptitude à ordonner et à synthétiser les éléments déterminants de la plupart des situations particulières dont elle vise à rendre compte.
Les assurances sociales étant issues de la nécessité d’atténuer les conséquences du processus d’industrialisation pour la classe ouvrière, dans les sociétés européennes en voie de développement, cette exigence particulière a imposé à l’institution nouvelle des traits originaux, irréductibles à ceux qui ont modelé le visage traditionnel de l’assistance dans les sociétés préindustrielles.Ces traits originaux découlent, pour la plupart, de la conception selon laquelle les assurances sociales constituent, au stade initial, le droit social spécifique de la classe des travailleurs de l’industrie et prolétariat.

LA NAISSANCE DE l’ETAT PROVIDENCE

La naissance de l’État-providence à la fin du dix X IXème siècle, en réaction aux mutations sociales liées a la révolution industrielle, à constituer une rupture fondamentale dans la conception de l’État. L’État moderne, en prenant la relève des modèles antérieurs d’entraide a acquis une nouvelle fonction : celle d’assurer un bien-être social aux citoyens par le biais de systèmes d’aides et de droits. Un siècle plus tard,la mondialisation oblige les puissances publiques à repenser les modalités de prise en charge des risques sociaux (vieillesse, invalidité, chômage). Cet ouvrage retrace l’histoire des Etats-providence et en souligne les différentes formes. Il établit ainsi une typologieprécise des régimes assurant la protection sociale et de leur fonctionnement et d’analyser les réformes en cours.

Les modèles de protection sociale et le systèmede retraite dans un contexte national et international

Image de la sécurité sociale

L’image de la sécurité sociale est à la fois considérée comme la représentation de la justice sociale et le partage des bénéfices. La justice est souvent une représentation communément partagée d’une valeur morale. Le partage est aussi une qualité qui peut résoudre tant de maux, une tactique pour éviter laconvoitise de celui qui ne détient pas la chose mais connaît sa valeur. En effet, la protection sociale est un système qui contient l’assurance sociale et la sécurité sociale, qui ensuite inclut tout un système tout autour de la santé, de la vieillesse, de la pauvreté,du logement.
Lorsqu’on étudie les systèmes de protection sociale, leur mode de fonctionnement et de financement, on constate qu’ils sont structurés autour de deux archétypes : le modèle

LE MODELE BISMARCKIEN

Le Prince et Chancelier Allemand BISMARCK, avait mené une politique qui consistait à rallier les ouvriers par des mesures sociales. Quoique cette politique fût autoritaire, elle ne fût adoptée qu’après le vote. Il avait fait voter leslois d’assurances sociales couvrant les risques de maladie (1883) et d’accidents (1884), et avait créé des caisses de retraite pour les personnes âgées et les infirmes (1889).

Le système Bismarckien est dit professionnel, car il est financé par le travail et les cotisations. Sa gestion est assurée par les représentants des entreprises et des travailleurs. L’Etat pour sa part fixe le cadre de l’action des caisses et redresse la situation en cas de déséquilibre financier. Ce système a pour objectif d’assurer un revenu de remplacement en cas de perte éventuelle de revenu. Il est financé par les cotisations, donc c’est un type de prestation contributive. Etant financé par les cotisations, il est alors proportionnel au revenu salarial.
Les motivations qui sont à l’origine du système Bis marckien sont éminemment politiques et résidents dans le souci de juguler les mouvements syndicaux et socialistes en améliorant les conditions de vie du prolétariat ouvrier. Ce système se base sur des logiques que l’on retrouve aujourd’hui dans de nombreux systèmes de protection sociale.
Plusieurs principes sous-tendent ce modèle protection fondée uniquement sur le travail et sur la capacité des individus à s’ouvrir des droits grâce à leur activité professionnelle ;
protection obligatoire ;
protection reposant sur une participation financière des ouvriers et des employeurs qui prend la forme de cotisations sociales ;
cotisations qui ne sont pas proportionnelles aux risques – comme dans la logique assurantielle pure – mais aux salaires. On parle ai nsi de « socialisation du risque » ;
protection gérée par les salariés et les employeurs.

LE MODELE BEVERIDGE

Le système de Beveridge est dit national, car la tutelle des services de santé et le financement y sont assurés par le même organisme, uiq dépend de l’Etat. Ce modèle est mis en place sous l’égide de Lord BEVERIDGE, économisteet administrateur Britannique.
D’inspiration sociale-démocrate, ce modèle se fonde sur l’universalité de l’accès aux soins et sur la fiscalisation des dépenses de santé. Il repose sur trois principes fondateurs, dits des trois « U » :
universalitéde la protection sociale par la couverture de toute la population (ouverture de droits individuels) et de tous les risques ;
uniformitédes prestations fondée sur les besoins des individus et non sur leurs pertes de revenus en cas de survenue d’un risque ;
unitéde gestion étatique de l’ensemble de la protection sociale ; financement basé sur l’impôt.
Cette inspiration est nourrie par l’indignation scandaleuse de Lord BEVERIDGE face à l’indigence de certains citoyens, indig ence qui peut être éjectée et éradiquée par une pression nationale.

Le système retraite en France

Les systèmes de retraite en Europe sont tous confrontés à la réduction du nombre de naissances et à l’allongement de l’espérance de vie, qui se traduisent par moins de cotisants pour plus de pensionnés, dans un contexte de chômage élevé pour la plupart d’entre eux.
L’inquiétude est particulièrement forte en Italie et en Allemagne : dans les années 2000, l’arrivée à la retraite de la génération baby-boomde l’après 1945 y avait jusqu’ici moins pesé qu’en France ou en Espagne, selon une étude de la Fondation Robert Schuman en 2003, mais ce facteur ne joue plus car ces deux pays ont en plus un déficit de jeunes cotisants, pour avoir expérimenté une natalité plus faible qu’ailleurs puisde une trentaine d’années

Contexte à Madagascar

De nos jours, 20% de la Population malgache seulement bénéficient d’un dispositif d’assurance ou de garanties sociales dont 80% sont non accès selon le Bureau international de travail.
Le système retraite à Madagascar

Pour Madagascar, la protection sociale se traduit par la prévoyance sociale. Cette dernière est une prestation qu’un travailleur reçoit à un certain âge pour une période de travail antérieure et en contrepartie d’une participation par affiliation, elle estdonc constituée quatre catégories de prestations dont : prestationsfamiliales, prestations d’accident du travail ou de maladies professionnelles et de pension de retraite. Certains pays attribuent du budget quand il s’agit de couvrir les risques sociaux. Il s’agit des dépenses concernant
les soins pour avoir la bonne santé, les incapacités de travail, les lésions physiques et le handicap, le chômage, les politiques du marché du travail et en matière d’emploi, la vieillesse, la survie et la famille.

Société d’assurance à Madagascar

Les sociétés d’assurance sont actuellement en xpansione à Madagascar, destiné à tout le public.Le public ciblé par les compagnies d’assurances à Madagascar n’exclut aucune couche sociale.
Le présent contrat d’assurance est régi par la Loi n° 99-013 du 02 août 1999 portant Code des Assurances, applicable à Madagascar, a insi que par les Conditions Générales qui suivent et les Conditions Particulières y annexéessignées par le Souscripteur
Logiques des assurances
L’assurance c’est un système qui s’inspire de modèle Bismarckien (basé sur des contributions, fondé sur la mutualisation des risques) vise à assurer aider les individus lorsqu’ils sont confrontés à des risques sociaux tels que la vieillesse, la maladie le chômage ou l’exclusion, les individus cotisent en fonction de leur revenus où s’ouvre le droit de prestation.
Par rapport à cela le travail social assure l’auto nomisation des personnes et la promotion du changement sociale, il informe leur droit en tant que citoyen pour l’amélioration de leur bien être.

La culture de l’assurance et l’épargne chez la population cible

Selon la banque mondiale, la crise a engendré des bouleversements de l’économie dans le secteur financier et comme nous savons tous qu’il y avait la fermeture de plusieurs entreprises ce qui signifie des pertes d’emplois. En dépit des progrès enregistrés dans le secteur des assurances à Madagascar, la culture y a fférente n’est pas encore tout à fait intégrée dans les mœurs malagasy. La raison est toute simple, la majorité des malgaches n’en sont encore qu’aux besoins fondamentaux. Plus déplorable, encore la plupart d’entre eux n’ont pas des biens à assurer, d’autant que le nive au de vie et le pouvoir d’achat des ménages ne leur permettent pas encore d’avoir recours aux services d’assurances. L’entreprise ARO a deux systèmes d’approche qui est le système 4P ou PPDC (Produits, Prix, Distribution, et Communication) .Dans ce sens, des animations de vulgarisation ont été effectuées sur terrain pour tenir en compte des besoins des clients ciblés.

Il est aussi noté que l’assurance ARO n’exclut aucune couche sociale. L’assurance libère l’initiative et accroît la productivité. On peut définir l’assurance comme une opération par laquelle un assureur met en commun les risques d’un ensemble d’assurés, les répartir et esl compenser à l’aide d’un fond alimenté par les cotisations collectées par l’assureur qui joue donc là un rôle économique et qui consiste à mutualiser des risques pour permettre le maintien de la croissance. Ce système de type contrat vise également à se cotiser pour faire face aux risques de la vieillesse, et destiner naturellement à toutes les catégories des travailleurs salariés ou non salariés, au fond à vrai dire un engagement individuel. L’assurance s’est d éveloppée parallèlement à l’émergence du travail du salarié pour pallier les risques d’une perte de salaire consécutive à un accident, au chômage ou à la vieillesse, il est apparu nécessair e d’instaurer une protection permettant à chaque travailleur de se constituer un revenu de remplacement, sur la base de cotisations préalables. Initialement limitée à la protection individuelle, la logique d’assurance s’est ensuite progressivement appliquée à des systèmes collectifs d’assurance sociale (ex : enAllemagne sous le modèle du chancelier Bismarck).
Dans la partie ci-dessus nous avons vu les approches et les courants utilisés ainsi que les modèles de protection sociale et le système retraite dans un contexte national et international et dans la prochaine et présente chapitre nous aurons la monographie du terrain d’investigation dit aussi terrain de recherche .

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Table des matières

INTRODUCTION GENERALE
PARTIE I : Cadrage conceptuels et Monographie du terrain
Section I : définition des mots clés
Section II : Les approches et les courants utilisés
1/ L’approche individualisme
2/La sociologie de la vieillesse
3/ Le courant interactionnisme
4/Sociologie de la communication
5/ Le capital
6/Théorie sociologique de la sécurité sociale
Section III : la naissance de l’État providence
1/ Les modèles de protection sociale et le système retraite
a) Image de la sécurité sociale
b)le modèle bismarckien
c) le modèle Beveridge
d)Le système retraite en France
e)Contexte à Madagascar
f)Société d’assurance à Madagascar
g)La culture de l’assurance
Chapitre II : Monographie de l’Entreprise ARO
Section I:Historique
Section II. Organisation de la compagnie
1/ Aperçu de l’activité de l’assurance ARO
a) Assurance
b) Coassurance
c) Réassurance
d) Investissement
e) Tableau des activités
Section III : SERVICES PRODUCTION
a) service retraite
b)le produit retraite complémentaire
Section IV : LES PRINCIPALES FONCTIONS DU SERVICE
1/Fonction administrative
2/ Les tâches au niveau de l’Unité Retraite et statistique
3/Périodicités des taches
4/Chef de service d’intervention commerciale
5/Chargés de clientèle
6/Organigramme de la DAA
Section V : Aperçu générale du terrain d’investigation
1/Localisation
2/Superficie et Ressources humaines
3/Tableau de répartition de la population
4/Cartographie de la commune
5/Les communes riveraines
6/populations et système éducatif
7/Répartition de la population active
8/Les données économiques
9/Les données sanitaires
10/Les organismes d’appui
Section VILes centres sociaux des personnes âgées
I/Aperçu général du centre
CHAPITRE III Appareillage Méthodologie
1/ La méthode
2/ Technique
3/Échantillonnage
4/ Entretien par questionnaire
5/ L’approche qualitative
6/L’approche quantitative
7/Limites de la recherche
8/Annonce du plan
PARTIE II : un système de protection social en faveur des travailleurs formel et informel
Chapitre I État de lieu de la pauvreté à l’âge de la vieillesse dans un contexte de protection sociale
Section I contexte de la pauvreté en général à Madagascar
1/Contexte de la pauvreté à l’âge de la vieillesse
2/Les problèmes rencontrés
3/Constatation sur la protection sociale à Madagascar selon l’ENSOMD
Section II Aperçu général de l’attribution et dynamisme organisationnelle des chargés clientèles et le service retraite
1/Organisation
2/Production assurance retraite
3/Processus de formation de contrat et traitement retraite
4/L’assurance retraite complémentaire
5/L’assurance retraite se divise en deux grandes parties
6/Le rachat total et le rachat partiel
Chapitre V : Résultats des enquêtes auprès des personnes ayant un compte retraite et auprès des individus qui n’adhèrent pas
Section I.Les groupes cibles se divisent de façon générale en deux catégories
1/Répartition par genre des bénéficiaires
Section II : Le niveau des salaires des travailleurs peut dégager une propension à Épargner ainsi que le secteur d’épargne devait être développé
1/Fonctions et formes de la division du travail
A/ Épargne
B/La culture d’épargne à Madagascar
D/ Motivation des adhérents et leurs affiliations à la CNAPS
C/connaissance en matière d’assurance retraite complémentaire
2/Résumé des motivations
3/cas d’une retraite pensionnaire et bénéficiaire chez ARO
Section III : Résultats auprès des non adhérents
1/Répartition par sexe
2/Répartition par âge
3/Taille du foyer
4/Niveau de scolarisation
5 Caractéristique des groupes cibles
Section IV : Mettre en place un programme de communication sociale capable de Vulgariser l’assurance retraite complémentaire
1/ Niveau salarial des enquêtés
2/Motivation à épargner
3/ Solliciter les gens à épargner
4/ Préserver la retraite
Section V :Petits essais d’analyse comparaison des résultats
I Tableau comparative des bénéficiaires et non bénéficiaire selon leur perspective par rapport au questionnaire que nous avons effectué
2/ Avantage de l’épargner
Chapitre VI : LA CULTURE DE L’ASSURANCE
Section VI : Culture des assurances
1/La Majorité Des Malgaches n’en sont pas encore qu’aux Besoins Fondamentaux
2/La pauvreté monétaire
3/ vérifications des hypothèses
PARTIE III Approche prospective
Chapitre VIIRETRAITE ASSUREE ET EXECPTIONNELLE
Section 1 .Avantage de l’épargne retraite
1 /Aspect anthropologique sur la prévoyance retraite
2/ Les personnes âgées son actuellement victimes de la violence
3/ L’insuffisance de la sensibilisation
a) la méconnaissance de l’assurance retraite par la population
4) politiques de communication de l’assurance
5) campagnes de communication
Section II : Illustration des différents types de système retraite
1) Prévoyance pour tous
Chapitre VIII Recommandation en tant que travailleur social
1 / Amélioration de la communication, rôle du travailleur social
2/ Amélioration de la communication par le biais du mas médias et du réseau social
a) Le choix de mass médias et supports
b) Pour L’État
3/ Acquisition personnelle
CONCLUSION
BIBLIOGRAPHIE

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