Estimation sur la consommation alimentaire totale annuelle des cétacés

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Caractéristiques essentielles (BOURDELLE et GRASSE, 1995)

Les cétacés sont des mammifères constamment aquatiques. Ils ont acquis, au cours de l’évolution, un corps fuselé, de forme hydrodynamique (pisciforme). Leurs membres antérieurs se sont transformés en nageoires et leurs membres postérieurs ont totalement disparu ou sont vestigiaux. La nageoire dorsale impaire, non présente dans toutes les espèces, est dépourvue de squelette osseux. Le corps se termine par une puissante nageoire caudale musculeuse contenue dans le plan horizontal.
Leur peau lisse ne porte aucun système pileux (sauf quelques rares poils épars sur la tête), ni de glandes tégumentaires à l’exception des glandes mammaires à position inguinale et large. Cette absence de fourrure est compensée par une épaisse couche de graisse qui les protège du froid, améliore leur flottaison et constitue d’importantes réserves énergétiques.
Leur museau est très développé et leur boîte crânienne, reportée vers l’arrière, est globuleuse et large. Les ouvertures nasales se portent vers le sommet de la tête et la mandibule est sans branche ascendante.
La main, avec ses 4 ou 5 doigts entièrement palmés, est remarquable par son hyperphalangie et sa forme en longue palette ou battoir ; le bras et l’avant-bras sont très courts. La clavicule fait défaut. Les dents sont absentes ou nombreuses, auquel cas elles sont homodontes c’est-à-dire de taille et de forme identiques. L’estomac est pluriloculaire. L’appareil génital mâle comporte une prostate et des testicules intra abdominaux tandis que les glandes accessoires sont absentes. Celui de la femelle est composé d’un utérus bicorne et d’un placenta indécidu et diffus.

Morphologie externe

Leur corps est généralement fusiforme, plus ou moins allongé (Dauphins, Marsouins, Balénoptères), quelquefois relativement court et épais (Mégaptères). La tête massive à la base, conique et plus ou moins allongée, se termine par un museau en pointe mousse (Marsouin, Orque) ou par un « bec » bien défini (Plataniste et Dauphin) avec une bouche assez largement fendue, sans lèvres détachées. Les ouvertures des cavités nasales (ou évents) sont reportées en un ou deux orifices associées assez haut sur la partie supérieure de la face frontale de la tête.
En avant de l’évent existe une masse de tissu gras appelée melon, qui est présent chez les Odontocètes et absent chez les Mysticètes. Selon certains auteurs, cet organe jouerait le rôle d’amortisseur de chocs ; pour d’autres, il renseignerait l’animal sur les variations de pression de l’eau. Il est gigantesque chez les Physeteridae (cachalot) où il est connu sous le nom d’organe du blanc ou à spermaceti. Les yeux sont petits, à fleur de tête, et les pavillons auriculaires n’existent pas.
Les membres antérieurs existent seuls et sont transformés en nageoires pectorales beaucoup plus développées dans leur partie distale que dans les rayons proximaux. Les membres postérieurs, absents à l’extérieur du corps, existent sous forme de quelques rudiments squelettiques internes chez les grands cétacés.
La nageoire caudale, échancrée à son bord postérieur, est étendue dans le sens horizontal. Ses lobes droit et gauche n’ont pas d’autre soutien osseux que l’axe vertébral. La nageoire dorsale, bien développée, existe chez le plus grand nombre de cétacés sauf chez les Narval, Béluga, Marsouin de Cuvier, Cachalot et Baleine à bosse. Par contre elle est très réduite chez les balénoptères.
Par rapport à la longueur et au poids du corps, les cétacés regroupent des spécimens de grande taille. Les plus grands sont les baleines bleues du sud atteignant 33 mètres de long et pèsent jusqu’à 180 tonnes. A leur naissance, elles mesurent déjà 7 mètres et pèsent 2 tonnes. Les plus petits sont les dauphins d’Hector des eaux de Nouvelle-Zélande mesurant 1,5 mètre et pèsent entre 35 et 40 kg. A leur naissance, ils ne mesurent que 60 cm pour seulement 9 kg. Les longueurs de certaines espèces sont représentées dans le Tableau I.

Appareil digestif

L’appareil digestif des cétacés présente les caractéristiques suivantes :
• Après l’œsophage, il y a un premier compartiment gastrique dépourvu de glandes digestives (avant estomac), suivi d’un second (estomac postérieur ou estomac principal) puis d’un troisième (estomac pylorique) replié en U. Parfois une chambre intermédiaire sépare l’avant et le second estomac chez certaines espèces comme le Globicéphale.
• Pour ce qui est des intestins, le duodénum, à son tour, se dilate en une ampoule où débouchent le canal cholédoque et le canal pancréatique. Cette ampoule est absente chez Megaptera, Ziphius et Balaenoptera musculus.
• Les Glandes salivaires sont généralement considérées comme absentes chez la plupart des cétacés.
• Il y a absence de vésicule biliaire au niveau du foie.
• De nombreux conduits pancréatiques se jettent non dans le duodénum mais dans le canal cholédoque.
• Il y a une petite rate à l’extrémité postérieure du duodénum, accompagnée le plus souvent de rates supplémentaires.
La différence principale entre les odontocètes et les mysticètes réside surtout au niveau de l’architecture buccale (Figure 4) mais aussi du pharynx, de l’œsophage et de l’intestin :
a) Au niveau buccal, les odontocètes ont des dents tandis que les mysticètes ont plutôt des fanons.
* Les dents des odontocètes sont semblables, uniradiculées, de type simple et de forme conique. Ils ne servent pas mâcher mais servent plutôt à saisir les proies (poissons et céphalopodes, voir régime alimentaire plus loin).
* Les fanons des mysticètes sont des extensions cornées localisées sur la mâchoire supérieure. En leur qualité de formations épidermiques spéciales, elles réalisent un dispositif filtrant bien adapté au régime planctophage des baleines. Ils sont disposés en rangées suspendues à la mâchoire supérieure, de part et d’autre du palais. Chacun d’eux est une lame cornée, plus ou moins longue, en forme de triangle rectangle dont l’insertion se fait par le côté et dont l’hypoténuse est tournée vers l’intérieur de la bouche.
b) Au niveau du pharynx, celui des Mysticètes est très étroit et ne laisse passer qu’un bol alimentaire d’assez petite taille; celui des Odontocètes, au contraire, est très large au point que l’Orque peut engloutir d’un seul coup un Manchot voire une jeune Otarie.
c) L’œsophage est très large chez les Odontocètes et relativement très étroit chez les Mysticètes (10 cm de diamètre chez un Balénoptère de 23 m).
d) L’intestin présente une grande uniformité dans ses diverses parties. Chez la plupart des Odontocètes, on ne distingue ni caecum, ni côlon différenciés de l’intestin grêle, alors que les Mysticètes et les Platanistes offrent une nette différenciation du gros intestin avec un caecum et un côlon comme chez les mammifères terrestres.

Appareil respiratoire

L’appareil respiratoire est adapté à la fois à la respiration aérienne et à la vie aquatique :
• Les narines sont remplacées par les évents ou trous de soufflage. Ces évents s’ouvrent, sauf chez le cachalot (s’ouvrent à gauche), à la partie supérieure de la tête sur le plan médian, entre les deux yeux, par un orifice commun (Odontocètes) ou par deux orifices distincts (Mysticètes).
• Le larynx s’évagine ventralement en un grand sac impair chez les Mysticètes, pair chez les Odontocètes. Par son rôle émetteur de son, il joue un rôle important dans le comportement social des cétacés.
• La trachée, les bronches et même les bronchioles sont pourvues d’anneaux cartilagineux résistants.
• Le poumon est non lobé et présente certaines particularités structurales. Il se fait remarquer par le développement de l’arbre trachéo-bronchique, de nombreux plexus veineux, une disposition en deux plans des capillaires interalvéolaires, l’abondance de son tissu élastique, l’épaisseur de la plèvre, la grande taille des alvéoles pulmonaires et l’épaisseur des cloisons interlobulaires.

Appareil circulatoire

L’appareil cardio-vasculaire des cétacés diffère un peu de celui des mammifères terrestres du fait de l’adaptation à la plongée :
• Les dimensions du cœur sont en rapport avec la taille de l’animal et il est généralement plus large que long.
• Les vaisseaux sanguins sont caractérisés par des réseaux capillaires intercalés sur le trajet des artères ; les veines ont une disposition analogue (réseaux ou plexus) et sont dépourvues de valvules.
• Le sang a une teneur en glucose de 2 g/litre.
• Le système lymphatique est très peu connu.

Système nerveux

Le système nerveux est marqué par un cerveau avec un poids relativement considérable, globuleux, haut et large, arrondi et par l’état rudimentaire ou l’absence du lobe olfactif.

Appareil urinaire

L’appareil urinaire offre des reins d’apparence simple à surface lisse mais qui, décapsulés, se montrent composés de très nombreux petits reins étroitement accolés et bien distincts. Ils sont de forme :
– ellipsoïde, très allongée chez les Mysticètes ;
– beaucoup plus large, moins longue et plus mince chez les Odontocètes.
Les uretères se dégagent à l’extrémité postérieure des reins. La vessie est allongée, piriforme et comporte une paroi très épaisse et très vascularisée.

Appareils génitaux et mammaires

Il y a un dimorphisme sexuel net entre les deux sexes :
• Chez le mâle, les organes génitaux sont surtout marqués par des testicules ovoïdes en position permanente abdominale et par l’absence d’épididyme et de vésicules séminales. Le pénis reste caché dans le sac pénien et apparaît en état d’érection ou après la mort.
• Les femelles sont caractérisées par des ovaires non lobulés à surface lisse et pas du tout ou peu encapsulés dans une bourse ovarique. L’utérus est bicorne, mais à cornes inégalement développées en raison de la gestation généralement unipare des cétacés. C’est le plus souvent la corne gauche qui est gravide et qui se présente, même en dehors de la gestation, plus grande que la corne droite. Le vagin est allongé, cylindrique, rétréci dans sa partie antérieure et présente des plis vers l’intérieur. La vulve, quant à elle, est en large communication avec le vagin, sans hymen de séparation apparent, avec un orifice vulvaire situé au-dessous de l’anus, plus ou moins associé à celui-ci dans une poche peaussière commune chez les Odontocètes (donc pas de périnée), ou situé plus en avant et alors distinct de cet orifice chez les Mysticètes (donc ont un périnée).
L’appareil mammaire est constitué de deux mamelles lobulées dont une de chaque coté de la ligne médiane inférieure du corps. Chaque mamelle possède un grand canal collecteur lactifère central longitudinal. Ce dernier comporte en arrière un grand sinus galactophore, desservi par un seul grand canal galactophore qui s’ouvre à l’extrémité d’un mamelon par un orifice unique. Chaque mamelle est revêtue d’un muscle compresseur qui permet de chasser le lait dans la bouche du jeune. Et du fait de l’absence de lèvres molles permettant la succion, le jeune ne peut téter à la manière des mammifères terrestres.

PHYSIOLOGIE DES CETACES

Respiration

Les cétacés, comme tous les mammifères, respirent par des poumons. Ils sont donc obligés de remonter en surface pour inspirer de l’air. Leur narines, situées sur le dessus de la tête, s’ouvrent en un orifice souvent émergé appelé évent. Lorsqu’ils remontent à la surface après une plongée, les cétacés expulsent violemment l’air contenu dans leurs poumons. Ce jet de vapeur d’eau permet d’identifier souvent l’espèce concernée (Figure 5).

Régulation thermique

Les baleines, les dauphins et les marsouins, comme la plupart des autres mammifères, ont une température corporelle proche des 39°C, ce qui est bien plus chaud que la plupart des mers. Ces animaux ont donc tendance à voir leur température baisser au contact d’une eau plus froide.
Selon BOURDELLE et GRASSE (1995), ils apparaissent comme des homéothermes parfaits. Pour éviter ces pertes de chaleur et maintenir leur température corporelle constante, ils mettent en œuvre plusieurs mécanismes :
a) une épaisse couche de graisse appelée pannicule adipeux (cf. Figure 6), forme un écran d’isolement périphérique ;
b) l’élévation du métabolisme ;
c) la réduction du flux sanguin sous-épidermique.
Par contre dans les eaux chaudes, ou lorsqu’ils nagent vite et réchauffent leurs muscles, il se produit une hyperthermie. Afin de se rafraîchir, l’irrigation de l’épiderme est fortement accentuée et permet un échange de chaleur important entre l’eau plus fraîche et le corps du cétacé.

Adaptation à la plongée

Un certain nombre d’adaptations d’ordre physiologique permet aux cétacés de plonger à grande profondeur. Cela découle des particularités de leur appareil respiratoire et circulatoire (BOURDELLE et GRASSE, 1995) :
– les rythmes respiratoires des cétacés semblent être lents (1 souffle/minute chez Balaenoptera physalus, 5 à 6/minute chez Phocoena phocoena) et chaque inspiration renouvelle 80 à 90 % de l’air contenu dans les poumons contre 15 à 20 % chez l’homme ;
– au plan circulatoire, ils ont un volume sanguin supérieur à celui des mammifères terrestres de taille et de poids comparables, un nombre très élevé d’hématies et d’hémoglobine sanguin et par conséquent une capacité bien supérieure à stocker l’oxygène dans le sang et les tissus musculaires. En outre les cétacés ont une bonne résistance au dioxyde de carbone et sont capables de diriger le flux sanguin vers les organes vitaux lors d’une plongée.

Organes de sens des cétacés

Audition

Evoluant en milieu aquatique, les cétacés doivent plus se fier à leur ouïe qu’à tout autre sens. L’appareil auditif ne reçoit que des vibrations transmises par l’eau. L’audition est considérablement développée.
Ils disposent en outre d’une fonction supplémentaire, l’écholocation, sorte de sonar naturel qu’on ne trouve, chez les autres mammifères, que chez les chauves-souris et les insectivores.
Ce système d’écholocation repose sur l’émission de sons à haute fréquence qui, réfléchis par les obstacles ou les proies potentielles, sont captés grâce un organe situé au dessus de leur museau, appelé «melon». Il leur permet d’estimer la taille, la distance, la vitesse de déplacement et la structure des objets rencontrés. Il est beaucoup moins perfectionné chez les mysticètes que les odontocètes.
Un exemple du fonctionnement de ce système chez les dauphins est illustré par la Figure 7.

Odorat et goût

L’odorat a considérablement régressé par rapport à ce qu’elle est chez la plupart des autres mammifères.
Les cétacés à dents (odontocètes) ne possèdent ni bulbe ni nerfs olfactifs, tandis que ceux-ci sont très réduits chez les cétacés à fanons (mysticètes).
Les cétacés possèdent des papilles gustatives à la base de la langue. Les dauphins communs (Delphinus delphis), les grands dauphins (Tursiops truncatus) et les marsouins communs (Phocoena phocoena) ont démontré en captivité des capacités à détecter différentes substances chimiques, et même de petites différences de concentrations d’acide citrique (BOURDELLE et GRASSE ,1995). Cette chémoréception (perception des substances chimiques) chez les cétacés demeure encore méconnue, mais pourrait intervenir notamment dans la reproduction (détection des phéromones, substances chimiques émises par les animaux).

Toucher

Bien que les appendices, tels les membres, aient subi une réduction au profit de l’hydrodynamisme, ceux qui persistent semble jouer un grand rôle en tant qu’organe tactile notamment dans les relations sociales. Chez certaines espèces, de petits poils sur le rostre et/ou le menton aideraient à collecter des informations sur leur environnement proche (par exemple, à proximité immédiate de la surface, renseigner l’animal sur sa position par rapport à celle-ci). Cela peut expliquer pourquoi les dauphins fluviatiles (vivant dans des cours d’eau), évoluant dans des milieux turbulents et obscures, portent des moustaches sur leur long rostre sensitif.

Vision

Bien que peu de lumière filtre sous les eaux superficielles, on s’attend à ce que la vision ne soit pas un sens très développé, mais elle ne doit être sous estimé sous l’eau. A l’air, l’œil des cétacés est fortement myope et parait donc perdre sa capacité d’accommodation.
Le fait que de nombreux dauphins arborent une pigmentation avec des marques distinctives n’est pas seulement à considérer comme du camouflage vis à vis des proies ou des prédateurs, c’est aussi un indice pour la reconnaissance des individus d’une même espèce entre eux. Tout comme la taille de la nageoire dorsale ou de la tête permet aux individus de déterminer le sexe de leurs congénères.

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Table des matières

NTRODUCTION
PREMIERE PARTIE : SYNTHESE BIBLIOGRAPHIQUE
CHAPITRE I : ELEMENTS DE SYSTEMATIQUE
CHAPITRE II : ANATOMIE
II.1. Caractéristiques essentielles
II.2. Morphologie externe
II.3. Morphologie interne
II.3.1. Appareil digestif
II.3.2. Appareil respiratoire
II.3.3. Appareil circulatoire
II.3.4. Système nerveux
II.3.5. Appareil urinaire
II.3.6. Appareils génitaux et mammaires
CHAPITRE III : PHYSIOLOGIE DES CETACES
III.1. Respiration
III.2. Régulation thermique
III.3. Adaptation à la plongée
III.4. Organes de sens des cétacés
III.4.1. Audition
III.4.2. Odorat et goût
III.4.3. Toucher
III.4.4. Vision
CHAPITRE IV : BIO-ECOLOGIE DES CETACES
IV.1. Comportement, communication et vie sociale
IV.2. Habitats
IV.3. Aires de distribution et mouvements migratoires
IV.3.1. Aires de distribution
IV.3.2. Migrations
IV.4. Abondance et biomasse
IV.5. Alimentation
IV.5.1. Tendances alimentaires générales
IV.5.2. Tendances alimentaires particulières
IV.5.3. Synthèse sur la composition alimentaire
IV.5.4. Estimation sur la consommation alimentaire totale annuelle des cétacés
IV.6. Reproduction et cycle de vie
IV.7. Longévité
IV.8. Parasites des cétacés
CHAPITRE V : OBSERVATION DES CETACES
V.1. Définition
V.2. Objectifs principaux
V.3. Matériel et méthodes
V.3.1. Matériel
V.3.2. Méthodes
a- Techniques d’observation
b- Critères d’identification
c- Evaluation des stocks
d- Pratique sur l’anatomie et la biologie des cétacés
DEUXIEME PARTIE: CONSERVATION ET GESTION DES CETACES
CHAPITRE I : ORGANISMES IMPLIQUES
I.1. Commission Baleinière Internationale
I.1.1. Historique
I.1.2. Missions
I.1.3. Fonctionnement
I.1.4. Etats membres
I.1.5. Résultats positifs
I.1.6. Limites, failles et contraintes
I.2. Autres organismes
I.2.1. World Wild Fund for Nature
I.2.2. Union Mondiale pour la Conservation de la Nature
I.2.3. Greenpeace
CHAPITRE II : EXPLOITATION
II.1. Chasse commerciale
II.2. Produits exploités
II.3. Pêche scientifique
II.4. Ecotourisme
CHAPITRE III : MENACES PESANT SUR LES CETACES
III.1. Surpêche et captures accidentelles
III.2. Pollutions anthropiques
III.2.1. Pollutions chimiques
III.2.2. Pollution sonore
III.3. Dégradations et pertes d’habitats
III.4. Echouages
III.4.1. Généralités
III.4.2. Conduite à tenir
III.4.2.1. Devant un cétacé encore vivant
III.4.2.2. Devant un cétacé mort
III.4.3. Causes des échouages
III.5. Ecotourisme mal encadré
CHAPITRE IV : PRINCIPALES MESURES DE CONSERVATION ET DE GESTION
IV.1. Mesures de conservation
IV.1.1. Protection des immatures
IV.1.2. Limitation stricte du nombre d’animaux capturés
IV.1.3. Création de réserves intégrales
IV.1.4. Protection des espèces notoirement menacées
IV.1.5. Autres mesures à entreprendre
IV.2. Mesures de gestion
CHAPITRE V : CONTROVERSES SUR LA QUESTION BALEINIERE
V.1. Rappels
V.2. Arguments pour la chasse
V.2.1. Arguments politico-économiques
V.2.2. Arguments culturels, religieux et opinion publique
V.2.3. Arguments scientifiques
V.3. Arguments contre la chasse
V.3.1. Arguments politico-économiques
V.3.2. Arguments culturels et opinion publique
V.3.3. Arguments des organisations environnementales
V.3.4. Arguments scientifiques
V.4. Situation actuelle
TROISIEME PARTIE: SITUATION DES CETACES EN AFRIQUE
CHAPITRE I : ETATS AFRICAINS MEMBRES DE LA CBI
CHAPITRE II : REVUE DES CONNAISSANCES
II.1. Situation au Gabon
II. 2. Situation au Sénégal
II.2.1. Collections
II.2.2. Cadre législatif
II. 3. Situation dans les eaux allant de la Guinée au Sénégal et au Cap Vert
II.3.1. Campagnes d’observation des cétacés de la Guinée au Sénégal
II.3.2. Situation au Cap-vert et en Guinée Bissau
II.3.3. Menaces fréquentes dans la zone
II.4. En Afrique du Sud
CHAPITRE III : ENJEUX POUR LES ETATS CÔTIERS AFRICAINS 
III.1. Préservation de la biodiversité
III.2. Promotion de l’écotourisme
III.3. Participation au débat mondial sur les cétacés
CONCLUSION
BIBLIOGRAPHIE

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