ESTIMATION DES FRONTIERES DE PRODUCTION ET MESURE D’EFFICACITENDES ENTREPRISE MALGACHE

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Fonction de production simple a un facteur variable

On a des hypothèses suivant :
– Fabrication d’un seul produit .
– Divisibilité et substituaabilité continue des facteurs .
La substituabilité indique q ue les facteurs peuvent être combinés dans des proportion variables pour produire des bieens considérés.
– Division des produits .
– Pour le besoin de l’analyse, on suppose qu’il y a u n seul facteur de production variable, les autres sont considérrés comme fixe.
Un facteur de production variable est un facteur dont la qualité utilissé peut être modif presque instantanément p our répondre à des variations souhaitées de production.
Un facteur de production fixe est un facteur dont la quantité utilisé n e peut être modifié en plus ou moins) lorsque les fluctuations de la demande exigent une variation immédiate de la production.

Fonction de production simple à deux facteurs var iables

Les hypothèses suivantes de cadre au raisonnement sont les suivants :
– Fabrication d’un seul produit.
– Divisibilité parfaite des facteurs.
– Divisibilité parfaite des produits.
– Prise en considération des deux facteurs variables qui peuvent être associés à un ou plusieurs facteurs fixes ou bien être les seuls intrants.
– La fonction est statique, c’est-à-dire que le progrès technique n’est pas prise en compte. Elle est établie par un état de la technique.

Fonction dynamique de production simple : Introduction du Progrès technique

La découverte scientifique est connue de son origine par un certain nombre des gens, ne serait ce que par l’homme, même qui a fait la découverte et par les gens qui l’entourant. Autrefois, on avait le temps de faire connaître cette découverte a les milieux cultivé, à toute élite intellectuelle. Maintenant, cela n’est plus le cas. Il y a des gens qui informe tout de suite, d’autre qui ne sont pas informés les uns bénéficietout de suite de l’information, les autres non et peuvent rester des années et même des siècles nssa bénéficier de cette information, comme si en somme, elle n’était pas découverte. Ce la cequ’on appelle les régions sous développés.
Mais, a l’intérieur d’une même région existe égalemnt d’énorme égalité : Les gens ont pu bénéficier suivant de l’information et d’autre quisont pourtant très intelligent et instruit pour une raison ou pour une autre, non rien su9.
La progrès techniques est l’ensemble des améliorations technologiques permet, à inputs (capital et travail) donnés, d’obtenir, au cours d’une période, un accroissement de l’output au cours d’une période .
Est émet d’obtenir, auu cours d’une période, le mêmeoutput avec moins de facteurs (capital et travail) .
En modifiant la produuctivité marginale de chaque facteur, peut affecter l’utilisation relative des facteurs donc la réépartition de revenue national entre les facteurs.
La fonction de producction examinée jusqu’alors s’inscrivant danss le cadre de l’état donné de la croissance tecchnique. Mais cette hypothèse doit être révisée. L’at des connaissances des participantss à la production évolue. De nouvelles méthhodes d’organisation sont appliquées. Même lorsqque le stock de connaissance ne s’accroit pas ill est plus largement diffusé. L’apprentissage des technologies existantes est meilleur.

Fonction de production néo-classique

Fonction. au sens mathématique, qui est utilisée enmacroéconomie par les neoclassiques dans le but de représente toutes les techniques disponibles dans l’économie, dans son ensemble et à un moment donné. A la différence desfonctions de production usuelles de la microeconomie, les variable qui interviennent dans la fonction de Production néo-classique (notée F(.)] sont des agrégats, dont le capital (K), et le travail (L). Souvent les analyses qui utilisent la fonction de production néo-classique s’en tiennent ces deux seuls agrégat ;On a alors: Q ═F(K , L).
Ou Q est la production maximale qu’il est possible d’obtenir à partir du couple capital-travail (K, L).

Répartition des entreprises à Madagascar

La forme juridique (1), le type d’entreprise (2) et la branche d’activité (3) sont les trois axes à travers lesquels s’orientera la description de la répartition des entreprises à Madagascar.
(1) La forme juridique définit les droits et obligations de l’entreprise du point de vue juridique relatifs aux droits des affaires. Les entreprises sont ici départagées en trois classes de forme juridique :
• les SA ou Société Anonyme et les SAU ou SociéténonymeA Unipersonnelle .
• les SARL ou Société Anonyme à Responsabilité Limitée et les EURL ou Entreprises. Unipersonnelles à Responsabilité Limitée .
• et les EI ou Entreprises Individuelles.
(2) Le type d’entreprise définit la classification des entreprises en :
• Micro-entreprises .
• Petites et moyennes entreprises (PME) .
• Grandes entreprises.
Il est à noter que ce critère de classification varie d’un pays à un autre suivant son économie et sa culture. Néanmoins, le critère retenu communément reste celui de l’effectif des employés dans l’unité de production. Si en Europe, l’effectif des employés dans une PME ne dépasse pas 500 salariés (cas de la France), auxEtats-Unis, l’effectif des employés dans une PME peut atteindre 1500 personnes. En Asie, la petite entreprise emploie jusqu’à 99 personnes, et la moyenne jusqu’à 199 personnes (cas du Singapour, des Philippines et de la Corée). En Afrique, la petite entreprise emploie aumaximum 50 personnes comme le cas du Sénégal. En conséquence, il n’y a pas de définitionuniverselle sur les critères de classification des entreprises car ils varient d’un continent à un autre et d’un pays à un autre.
Tout au long de notre analyse, les critères de classification qui suivent, seront retenus1 :
• Est classée comme Micro-entreprises, toute entreprise employant au plus 9 personnes .
• Est classée comme Petites et Moyennes Entreprises (PME) / Petites et Moyennes Industries (PMI), toute entreprise employant 10 à 199 personnes
• Est classée comme Grandes Entreprises, toute entreprise employant 200 personnes et plus. La Branche d’activité est définie selon la nomenclature des activités et des produits en vigueur à Madagascar. La Branche d’activité est le critère principal qui limite le champ de l’enquête. Les branches touchées par l’enquête sont:
• Activités extractives .
• Activités de fabrication .
• Production et distribution d’électricité, de gazet d’eau .
• Construction .
• Commerce et réparation de véhicules automobiles te d’articles domestiques .
• Hôtels et restaurants .
• Transports, auxiliaires de transport et communications .
• Activités financières .
• Immobilier, location et services aux entreprises .
• Autres services privés.

Répartition par province et par forme juridique

Le nombre des entreprises formelles issues du secteur secondaire et tertiaire réparties à travers la Grande Ile est évalué à 211 315. La province d’Antananarivo est le lieu d’implantation de 62,8% de ces entreprises, suivie par la province de Toamasina (11,1%) et celle d’Antsiranana (9,4%).

Répartition par branche et par type d’entreprise

D’après la tableau 4,l’analyse de la répartition par branche d’activités des entreprises suivant le type d’entreprise met en relief une différence relative d. Les activités de «Transports, auxiliaires de transport et communication » font partie des trois premiers domaines d’exercices des micro-entreprises. De leur côté, les petites et moyennes entreprises sont plus attirées vers la « Construction ».
Cette activité est exercée par 25,7% d’entres elles. Pour les grandes entreprises, l’activité dominante est celle liée aux « Activitésde fabrication » qui regroupent 47,7% d’entres elles.

La région d’Atsimo Antsinanana

Les entreprises de la région d’Atsimo Atsinanana ont généré 4 milliards d’Ariary de valeur ajoutée, ce qui représente 0,1% de la valeurajoutée nationale. Elles ont employé 2.206 personnes, soit 0,3% de l’emploi national. Dans l’e nsemble, le travail de chaque employé permet de dégager une valeur ajoutée régionale de,91 millions d’Ariary.

La région d’Atsinanana

Les entreprises de la région d’Atsinanana ont créédurant l’année 2004, une valeur ajoutée d’un montant de 122 milliards d’Ariary. Cette valeur ajoutée a représenté près de 3% de la valeur ajoutée totale des entreprises. Le nombre d’entreprises identifiées dans cette région est estimé à 11.278 entreprises, occupant 39.884 salariés.

La région d’Analanjorofo

La région d’Analanjorofo a compté 5 360 entreprisesqui emploient 16 218 personnes et assurent 0,7% de la valeur ajoutée national. Dans l’ensemble, le travail de chaque employé permet de dégager une valeur ajoutée régionale de,81 millions d’Ariary.

La région d’Alaotra‐Mangoro

Les entreprises de la région Alaotra-Mangoro ont généré 52,7 milliards d’Ariary de valeur ajoutée, ce qui représente 1,21% de la valeur ajoutée nationale. Dans l’ensemble, la région compte 6.806 entreprises employant 14.808 personnes. En moyenne, le travail de chaque employé permet de créer une valeur ajoutéeégionaler de 3 559 000 Ariary. Les investissements s’élèvent à 1,9 milliards d’Ariary. 70% de la totalité de ces investissements a servi au renouvellement, à l’entretien et à la main tenance des équipements usagés, tandis que 9% ont été consacrés à la modernisation des entreprises.

Table des matières

PARTIE I : LA FONCTION DE PRODUCTION
1-Définition et Généralité
2-Historique de la fonction de production
a- A la recherche de production de masse
b-A la recherche du juste à temps
3-Les différents types de fonction de production
3-1- Type selon les nombres variables
a- Fonction de production simple a un facteur variable
b- Fonction de production simple à deux facteurs variables
d- Fonction dynamique de production simple : Introduction du Progrès technique
3-2-Fonction de production néo-classique
3-3-Fonction de production Douglas
PARTIE II : ANALYSE DE LA SITUATION DES ENTREPRISE MALGACHE 
I : Caractéristiques des Entreprises
1. Répartition des entreprises à Madagascar
1.1. Répartition par province et par forme juridique
1.2. Répartition par province et par type d’entreprises
1.3. Répartition par branche et par forme juridique
1.4. Répartition par branche et par type d’entreprise
II : Typologie des régions
1. Spécificité économique des différentes régions
1.1. La région d’Analamanga
1.2. La région de Vakinakaratra
1.3. La région d’Itasy
1.4. La région de Bongolava
1.5. La région de Haute Matsiatra
1.5. La région de Haute Matsiatra
1.6. La région d’Amoron’i Mania
1.7. La Région de Vatovavy‐ Fitovinany
1.8. La région d’Ihorombe
1.9. La région d’Atsimo Antsinanana
1.10. La région d’Atsinanana
1.11. La région d’Analanjorofo
1.12. La région d’Alaotra‐Mangoro
1.13. La région de Boeny
1.14. La région de Sofia1.15. La région de Betsiboka
1.16. La région de Melaky
1.17. La région d’Atsimo‐Andrefana
1.18. La région d’Androy
1.19. La région d’Anosy
1.20. La région de Menabe
1.21. La région de Diana
1.22. La région de Sava
2. Analyse comparative des régions
2.1. Selon la valeur Ajoutée
2.2. Selon la productivité apparente
2.3. Selon l’investissement
PARTIE III : ESTIMATION DES FRONTIERES DE PRODUCTION ET MESURE D’EFFICACITENDES ENTREPRISE MALGACHE
1-Cadre théorique et méthodologie
a-Cadre théorique sur la mesure d’efficience
b-Présentation de la méthode DEA
2-Type des modèles ou les méthodes non paramétriques
2.1. Le modèle CCR
2.2. Le modèle BCC
3. Application a des entreprises Malgache
3-1- Description des données et définition des variables
3.2- Frontière non paramétrique
3-2-1-Hypothèse de rendement d’échelle constant
a- Estimation
b-Interprétation des scores d’efficacité
3-2-2-Hypothèse de rendement d’échelle variable
a- Estimation
b- Interprétation des scores d’efficacité
Conclusion
Annexe
Bibliographie

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