Au niveau des secteurs productifs intermédiaires
A – Les infrastructures : En matière d’infrastructures de transports, l’enclavement reste toujours un problème crucial de la région, car il perturbe l’évacuation des produits et l’approvisionnement du monde rural. En plus, la région a connu aussi une imperfection des infrastructures scolaires comme le faible niveau de couverture scolaire dans les communes ; il en est de même pour les infrastructures hospitalières. Concernant les infrastructures financières, l’insuffisance des points de service pour l’accès au produit financier (épargne, crédit) comme le cas des IMF et les conditions imposées par les institutions financières n’encouragent pas les producteurs à y accéder.
B – L’insécurité foncière : Pour l’ensemble de la région, les problèmes fonciers résident dans le mode d’appropriation et l’insuffisance de parcelles culturales. Avec l’accroissement démographique, les paysans exploitent les mêmes parcelles qu’ils ont héritées de leurs ancêtres. Ce qui constitue une entrave au développement et à la croissance économique de la région et provoque, par la suite, la pauvreté. Une politique de sécurisation foncière est donc impérative.
C – L’environnement : Le problème essentiel de l’environnement est l’insuffisance de moyens matériels et humains de contrôle pour une meilleure gestion et exploitation des ressources. C’est pourquoi les paysans pratiquent continuellement le déboisement par « tavy » . En plus, la filière tourisme n’est pas encore développée et est sous exploitée. Enfin, la région a connu une difficulté dans la gestion des risques, car on a remarqué l’absence du système de veille et d’alerte précoce, c’est la raison pour laquelle l’insécurité et les vols persistent en milieu rural. Lorsqu’on a analysé la problématique de la région, on constate qu’elle a beaucoup d’opportunités pour développer le monde rural, malgré ses diverses contraintes. Puisque la majorité de la population est située dans le milieu rural, le grand problème de la région se situe au niveau du comportement des producteurs à s’adapter aux innovations et aux conseils techniques. C’est pourquoi « l’innovation de centre interventionniste remarquent la fréquence des cas où des techniques qu’ils estiment rentables se trouvent refusées par les exploitants qui leur préfèrent des méthodes de production souvent traditionnelles ou en désiétudes1 » . Si ce n’était pas le cas, l’ONN apporterait sa contribution dans la partie Sud de cette région, en vue de développer le monde rural par l’amélioration des revenus des ménages ruraux. Ainsi, nous allons expliquer et développer l’inquiétude de l’intervention à propos de la malnutrition dans cette région.
Lutte contre la malnutrition proteino-énergetique
La malnutrition s’établit très tôt chez l’enfant Malagasy et c’est la période de grande vulnérabilité qui pourrait entraîner un retard de développement physique et mental. La défaillance de la croissance s’installe dès la première année et deviendra plus difficile à corriger avec le temps. Une intervention précoce2 assure une meilleure efficience dans la prévention de la malnutrition et la réduction de la mortalité infanto juvénile. L’inadéquation de l’allaitement maternel et l’alimentation de complément associée aux maladies récurrentes sont les causes les plus importantes de la malnutrition chez les enfants Malagasy. Réduire la malnutrition chronique chez les femmes est important en vue de réduire la mortalité maternelle et prévenir l’insuffisance pondérale chez les nouveau-nés, autre facteur de mortalité néonatale et de malnutrition. L’action de la famille doit être appuyée par l’accès au service de santé et un environnement sain, ainsi que par une meilleure disponibilité alimentaire en quantité et qualité. L’emphase doit être mise sur la prévention de la malnutrition. Les stratégies spécifiques de lutte contre la MPE3 comprendront donc :
La surveillance et promotion de la croissance des enfants de moins de 5 ans;
L’alimentation adéquate du nourrisson et du jeune enfant, notamment l’allaitement maternel et l’alimentation de complément ;
L’alimentation et la santé des femmes et des filles, notamment des femmes enceintes et allaitantes ;
Comportements positifs relatifs à la nutrition, l’hygiène et la santé au sein de la famille ;
La sécurité alimentaire et économique au niveau des ménages ;
L’accès aux soins de santé primaires (dans toutes ses composantes) et la prise en charge des enfants sévèrement malnutris ;
L’accès à l’eau potable et l’hygiène du milieu.
La pérennisation de la réalisation
1- Les Agences de Mise en Œuvre (AMIOs) : Les AMIOs sont les organes d’exécution du Programme National de Nutrition et comprennent les représentants des ministères sectoriels et leurs services compétents, les programmes et projets nationaux, les institutions nationaux, la société civile, le secteur privé et les ONGs nationales. Les agences de coopération multilatérales et bilatérales qui apportent un appui financier et technique à ces programmes seront aussi représentées. Les AMIOs conçoivent, programment, gèrent, mettent en œuvre les activités qui leur sont confiées et en assurent leur propre suivi et évaluation, en se conformant respectivement aux orientations générales arrêtées par l’ONN.
2- Fonction : La fonction de l’ONN consiste à:
Assurer la coordination et la cohérence des interventions sur les plans techniques, opérationnels et financiers, tout en apportant, si nécessaire, un appui technique aux AMIOs dans l’élaboration des documents de projet ou de financement ;
Suivre et évaluer l’exécution des actions par les divers intervenants ;
Assurer l’intégration de la nutrition dans la planification et la budgétisation des programmes des différents ministères et projets au niveau national et régional.
Assurer une collaboration étroite entre les secteurs clés : santé, éducation, agriculture, développement rural, plan… ;
Appliquer les orientations stratégiques définies par le Conseil National de Nutrition et assurer l’harmonisation et l’effectivité des stratégies et approches de mise en œuvre ;
Assurer la synergie des activités avec les ONGs, en évitant la concurrence et renforcer le partenariat public- privé ;
Emettre des directives et préparer des protocoles pour l’exécution des actions ;
Assurer la coordination et l’échange des informations, ainsi que la coordination des recherches et de développement dans le domaine de la nutrition ;
Mettre en place un plan de positionnement des bailleurs selon les besoins du pays, ainsi qu’un retrait des bailleurs pour assurer la pérennisation des actions.
Les étapes de mise en place des sites PNNC
Ciblage des Régions et Districts par les autorités compétentes à partir des réalités et besoins de la communauté. Les critères de vulnérabilité des Districts :
déficit énergétique : différence entre la production et les besoins énergétiques.
taux d’insuffisance pondérale supérieur à 20%, en priorisant les District ayant un taux le plus élevé par rapport aux données collectées au niveau des CSD, et celles provenant des sites de nutrition communautaire. Sensibilisation des autorités (Régional, District) sur la mise en œuvre du PNNC :
information sur les objectifs du programme et les activités à mettre en œuvre.
plaidoyer auprès de ces autorités pour les engager à intégrer la lutte contre la malnutrition dans le Plan de Développement à chaque niveau.
Discussion et choix des communes.
Les critères de vulnérabilité des communes :
taux d’insuffisance pondérale supérieure à 20% en priorisant les communes ayant un taux le plus élevé par rapport aux données collectées au niveau des CSB et celles provenant des sites de nutrition communautaire.
période de soudure supérieure à 4 mois.
communes n’ayant pas de sites communautaires ou une partie de Fokontany de la commune est seulement touchée.
communes enclavées.
Sensibilisation au niveau commune (Maire et membres du comité communal de développement, autorités administratives et traditionnelles) sur la mise en œuvre du PNNC :
information sur les objectifs du programme et les activités à mettre en œuvre.
Plaidoyer auprès de ces autorités pour les engager à intégrer le PNNC dans le PCD.
Appui à la redynamisation du CCD.
Discussion et choix des Fokontany vulnérables.
Les critères de vulnérabilité des Fokontany :
nombre d’habitants supérieur à 1000.
Fokontany non desservis par des formations sanitaires.
Distance par rapport au centre de santé de base supérieure à cinq kilomètre.
Sensibilisation des communautés des Fokontany cibles :
Information sur les objectifs du programme et les activités à mettre en œuvre.
Explication sur le profil des intervenants et leur sélection.
Importance de la participation communautaire dans le programme et de la nécessité de l’organisation de communauté en OCB.
Election des agents communautaires de nutrition par les communautés. L’élection de l’ACN est annoncée au moment de la sensibilisation de la communauté. Elle sera élue lors d’une assemblée générale ultérieure par cette dernière. L’ACN doit œuvrer dans le Fokontany d’implantation du site et répondant au profil requis. Mise à la disposition d’un local par les autorités et les communautés pour les activités de nutrition.
Formation des intervenants : ACN, responsables nutrition, animateurs, services techniques (chef CSB, agent d’agriculture), par les responsables du programme avec la présence des autorités locales.
Etablissement des conventions entre :
ORN/AMIOS et commune ;
ORN/AMIOS et ONG
Collecte des données de base par des comités issus des Fokontany.
Un comité de recensement de 2 à 3 personnes par village, connaissant le Fokontany et plus particulièrement le village, collecte les données de base du site. Impliquer si possible les enseignants et toutes personnes résidant dans le Fokontany, ayant de l’expérience en la matière pour renforcer le comité. Lors de cette collecte, on avait procédé à la :
formation des membres du comité ;
identification et pesée de tous les enfants de moins de 5 ans des Fokontany ;
remplissage de la fiche d’enquête Fokontany ;
élaboration de la monographie du site ;
collecte et analyse des données par le responsable de nutrition et l’ONG.
Sensibilisation de la communauté sur les problèmes de malnutrition, recherche de solution et action à entreprendre. Restitution des résultats du recensement à la communauté et aux autorités locales pour:
les faires connaître les problèmes de malnutrition du Fokontany
les responsabiliser sur les actions à entreprendre.
Dotation en matériels et équipements pour les sites et la commune :
balance salter, ustensiles de cuisine
supports IEC : carnet de santé, affiches,…
outils de gestion : registre, fiche de rapport
Mise en œuvre du programme et du paquet minimum d’activités au niveau de la communauté.
Suivi des activités.
Evaluation communautaires tous les semestres.
Remise à niveau des intervenants.
L’Information – Education – Communication
Si l’activité « Education nutritionnelle et amélioration des habitudes alimentaires » met l’accent sur l’utilisation des aliments disponibles et accessibles, par contre, elle représente la « médecine préventive des maladies dont les retombées influent directement ou indirectement sur l’état sanitaire global de l’individu, et par extension, affaiblissent la capacité de produire, l’Indicateur Composite d’Invalidité (ICI) est très manifeste. De ce fait, elle opère dans le domaine de :
L’utilisation rationnelle des aliments, car leur mauvaise utilisation, malgré leur disponibilité et leur accessibilité, compromet la « sécurité alimentaire »
La prévention de différentes maladies influe sur l’état nutritionnel, surtout au niveau des enfants (enfants des femmes en âge de procréer ou en gestation)
La prévention des maladies liées à une mauvaise utilisation ou à une qualité sanitairement déplorable de l’eau.
Parmi les maladies principalement rencontrées, nous avons : la diarrhée ; le paludisme ; l’insuffisance respiratoire aiguë ; les maladies carentielles divers (carence en fer, calcium, iode, etc…) ; les maladies parasitaires. Les moyens et les méthodes utilisées reposent essentiellement sur l’éducation et le conseil en matière d’hygiène, d’alimentation et de traitement.
|
Table des matières
INTRODUCTION
PREMIERE PARTIE : CONTEXTE ET GENERALITE
Chapitre I : PRÉSENTATION DE LA ZONE D’ÉTUDE
SECTION I : LOCALISATION
§1. Localisation
§2. Milieu physique
A- Relief et paysages
B- Le climat
C- Hydrographie
D- Sols
SECTION II : MILIEU ENVIRONNEMENTAL
§1. Milieu environnemental
A- Couverture végétale
§2 : Milieu humain
A- Démographie
SECTION III : CARACTERISTIQUES SOCIALES
§1. Santé
§2. L’éducation
A- Taux de scolarisation régionale
B- Le taux d’alphabétisation régional
§3. La sécurité
A- Les services de sécurité
1. L’armée
2- Police
3- Gendarmerie
Chapitre II : CONTEXTE ÉCONOMIQUE ET ACTIVITÉS AGRICOLES DANS LA RÉGION ANALANJIROFO
SECTION I : CONTEXTE ECONOMIQUE
§1. Contexte économique national
§2. Contexte économique régional
A- Activités de la population (secteurs d’activité)
§3. Infrastructures économiques
A- Transport
1- Le réseau routier
2- Le réseau fluvial
3- Le réseau maritime
4- Le réseau aérien
B- Énergie
1- L’électricité
2- L’eau
SECTION II : ANALYSE DES PRINCIPAUX PRODUITS AGRICOLES PORTEURS DANS LA REGION
§1. Les produits agricoles
A- Le riz
B- Manioc
C- Le maïs
D- Girofle
E- Café
F- Vanille
G- Les fruits tropicaux
1- Le litchis
2- Bananes et autres
§2. Les produits d’élevage
§3. Les produits de pêche
SECTION III : LES PRINCIPAUX PROBLEMES DE LA REGION
§1 – Au niveau des activités génératrices de revenus
A – L’agriculture
B – La pêche
C – L’élevage
§2 – Au niveau des secteurs productifs intermédiaires
A – Les infrastructures
B – L’insécurité foncière
C – L’environnement
Chapitre III : POLITIQUE GENERALE DE L’ETAT SUR LA NUTRITION
SECTION I : LA POLITIQUE NATIONALE ET OBJECTIF
§1-La politique nationale
A- Contexte
B -les indicateurs de la malnutrition
1- Le retard de croissance
2- L’insuffisance pondérale
3- L’émanciation
B- Les causes de la malnutrition
1- Soins inadéquats et habitudes alimentaires inappropriés
2-Accès inadéquat aux services de santé et environnement insalubre
3-L’insécurité alimentaire des ménages
C- Les différents types de malnutrition
1-La malnutrition proteino-énergetique
2-Les carences en micronutriments
2-1-Carence en iode
2-2-Carence en vitamine A
2-3-Les anémies nutritionnelles
§2-BUT ET OBJECTIFS
A- But
B- les objectifs
1-Objectifs généraux
2-Objectifs spécifiques
SECTION II : LES STRATEGIES
§1- Contexte
§2- Les stratégiques spécifiques
A- Lutte contre la malnutrition proteino-énergetique
B- Lutte contre les Troubles Dus à la Carence en Iode
C- Lutte contre l’Avitaminose
D-Lutte contre l’Anémie ferriprive
E- Lutte contre les autres carences en micronutriments
§3-Les stratégies opérationnelles
§4-Les 14 Axes Stratégiques
SECTION III- NUTRITION ET AUTRES
§1-Nutrition et MAP
A- Réalité actuelle
B- Objectif
C- Stratégies
§2-Nutrition ; Education ; Santé
A- PNANSS
1-Objectif
2-Activités
2-1-L’éducation à la nutrition, à l’hygiène et à la santé
2-2-Mise en place de jardin potager et plantation d’arbres fruitiers
2-3-Appui alimentaire
2-4-Prévention Sanitaire en milieu scolaire
2-5-Dotation en eau potable et en latrine
B- Cantines scolaires
C- Nutrition scolaire pour la Région Analanjirofo
D- le déparasitage
1- But
2- Déroulement
3-Prévention
§3-Nutrition et Pauvreté
Chapitre I : LA REALITE FONCTIONNELLE DE L’ONN
SECTION I : GENERALITES SUR l’ONN
§1-Historique et description
A- Le contexte de mise en place
B- Missions et objectifs
C- La forme institutionnelle
D- La pérennisation de la réalisation
1- Les Agences de Mise en Œuvre (AMIOs)
2- Fonction
§2- Présentation générale
A- Missions et formes de la structure
1- Conseil d’Administration
2- Partenaires
3- Bénéficiaires
B- L’Organigramme de l’ONN
§3-Les différents types de financement
A- Financement par IDA (Association Intermédiaire pour le Développement)
SECTION II : STRUCTURES OPERA3TIONNELLES
§1-PSN (Prévention et Sécurisation Nutritionnelle)
A- Mission
B- Objectifs
C- Zones d’interventions
D- Critères d’éligibilité des zones d’intervention
E- Protocole d’accord « la commune »
§2- PNNC/SEECALINE
A- Historique
B- Objectifs
C- Principes directeurs et modalités
1- L’appropriation
2-L’alignement
3-L’harmonisation
4- La gestion axée sur les résultants
5- Responsabilité mutuelle
D- Mécanisme organisationnelle
1- Au niveau Fokontany
2- Au niveau commune
§3- Les étapes de mise en place des sites PNNC
SECTION III- LES AUTRES INTERVENANTS
§1-CARE International
§-2 ASOS (Actions Socio Sanitaire Organisation Secour)
A- Objectifs
1-Objectifs générales
2- Objectif spécifique
B- Activités de l’ONG
1-Activités générales
2- Rôles des coordonnateurs communaux
§3-CRENI
A- Description
B- Comment un enfant malnutri parvient-il au CRENI ?
C- L’approche de gratuité totale
Chapitre II- IMPACTS SUR L’ACTIVITE DE L’INTERVENTION NUTRITIONNELLE
SECTION I : LA MISE EN ŒUVRE DES ACTIVITES DE L’ONN
§1-Mise en œuvre des travaux HIMO
A- Objectifs
B- Les types de travaux communautaires réalisés
1- En temps ordinaires et en période de soudure
2-Réponses aux urgences post-cataclysmiques et/ou catastrophiques
§2-Chaine de réalisation de travail HIMO
A- Phase préparatoire
1- Réunion d’information avec les autorités locales et régularisation des formalités administratives
2- Recrutement et formation des agents de chantiers
3- Assemblée générale et recrutement des travailleurs
4- Implantation des ouvrages et répartition des tâches par équipes
B- Phase de réalisation
1- Démarrage des travaux
2- Exécution
3- Suivi
4- Paiement
C- Phase de réception
1- Pré- réception technique
2- Réception technique
§3- Paquet Minimum d’Activité (PMA) pour le PNNC
A- Suivi et promotion de la nutrition des femmes enceintes et allaitantes
1– Sensibilisation régulière des mères et promotion des comportements
2- Orientation des femmes enceintes vers les CSB
3 – Promotion des bonnes pratiques
B- Prévention de la malnutrition et promotion de la croissance des enfants moins de 5 ans
1-Recensement
2- Sensibilisation
3- Suivi et promotion de la croissance (SPC)
3-1- Pesée
3-2- Système de référence et contre référence
C- Suivi et promotion de la nutrition des adolescentes (13 à 20 ans)
D- Promotion de la sécurité alimentaire des ménages
SECTION II : MECANISME DES INTERVENTIONS
§-1- Politique et stratégies pour un projet de haute qualité
A- La méthode utilisée
1- Expériences antérieures en matière de développement et leçons apprises
2- Coordination avec les structures existantes
2-1- Vis-à-vis de l’Administration
2-2- Avec les ONGS
2-3- Les communautés s’intègrent facilement, si elles sont associées dans toutes les phases du projet
B- Intégration des différents volets du projet
1-Unité agro-économique
1-1- Culture sèche
1-2- Culture maraîchère
1-3- La protection des végétaux
1-4- Amélioration des capacités de Gestion de l’eau
2-Unité santé nutrition
1-1- L’activité curative
1-2- L’éducation nutritionnelle et l’amélioration des habitudes alimentaires
1-3- L’Information – Education – Communication
3- Unité – GRC
§ – 2- Les difficultés rencontrées
SECTION III : SITUATION NUTRITIONNELLE DE LA REGION
§-1 Taux de Couverture (TC)
§-2 Taux d’Insuffisance Pondérale (TIP)
§-3 Taux de mortalité
§-4 Enfants dans la Bande Rouge
Chapitre III- ANALYSE ECONOMIQUE, RECOMMANDATIONS ET PERSPECTIVES D’AVENIR
SECTION I : ANALYSE ECONOMIQUE
§-1 Le développement
A- l’amélioration du niveau de vie
B- La satisfaction au niveau du projet
C- Le changement dans leur comportement
D- Le développement de la filière
E- Le développement de quelques spéculations innovantes
§-2 Portées environnementales
§-3 Portées de la santé nutrition
SECTION II : RECOMMANDATIONS ET SUGGESTIONS
§-1 Les points forts des interventions
§-2 Les points faibles à améliorer
§-3 Proposition d’amélioration au niveau régional et national
A- Orientation vers les autres secteurs
1- Contribuer à l’amélioration de l’éducation
2- Promouvoir la sécurité foncière
B- Faire la vision à long terme
1- Cibler les besoins des paysans participants
2- Améliorer la Sécurité Alimentaire
SECTION III : PERSPECTIVES D’AVENIR DE L’INTERVENTION NUTRITIONNELLE
§1 – La vision stratégique de développement de la région à travers le PRD
A – La vision de développement de la Région
B – Les pôles de développement
§2 – Les contributions de l’ONN pour certains objectifs du PRD
§3 – La perspective d’avenir de la zone d’intervention de l’ONN
CONCLUSION
BIBLIOGRAPHIE
ANNEXES
Télécharger le rapport complet