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GÉNÉRALITÉS SUR LA DISPOSITION SÉCURITAIRE
Classification des dangers
Gasoil
• Liquides inflammables – H226 ;
• Toxicité par aspiration – H304 ;
• Toxicité aiguë par inhalation – vapeur – H332 ;
• Corrosion/irritation cutanée – Catégorie 2 – H315 ;
• Cancérogénicité – Catégorie 2 – H351 ;
• Toxicité systémique spécifique pour certains organes cibles (exposition répétée) – Catégorie 2 – H373
• Toxicité chronique pour le milieu aquatique – Catégorie 2 – H411 ;
• Toxicité chronique pour le milieu aquatique – Catégorie 2 – H411 ;
• Propriété physico-chimique : un produit peut former des mélanges inflammables dans l’air quand il est chauffé au-dessus du point d’éclair. En présence de points chauds, risques particuliers d’inflammation ou d’explosion, dans certaines conditions lors de dégagements accidentels de vapeurs ou de fuites de produit sous pression ;
• Propriétés ayant des effets pour la santé : Un contact prolongé ou répété peut provoquer des irritations cutanées. Les vapeurs ou brouillards sont irritants pour les muqueuses notamment oculaires. Il y a aussi un risque de dépression du système nerveux central avec nausées, maux de tête, vertiges, vomissements et perte de coordination. En cas d’ingestion accidentelle, le produit peut être aspiré dans les poumons en raison de sa faible viscosité et provoquer des lésions pulmonaires graves dans les heures qui suivent (surveillance médicale indispensable pendant 48 h). [7] (Voir l’annexe 8 : Texte complet des Phrases-H sur le fiche de données de sécurité et l’annexe
Supercarburant sans plomb 95
• Liquides inflammables – Catégorie 1 – H224 ;
• Toxicité par aspiration – Catégorie 1 – H304 ;
• Corrosion/irritation cutanée – Catégorie 2 – H315 ;
• Mutagénicité sur les cellules germinales – Catégorie 1B – H340 ;
• Cancérogénicité – Catégorie 1B – H350 ;
• Toxicité pour la reproduction – Catégorie 2 – H361fd ;
• Toxicité systémique spécifique pour certains organes cibles (exposition unique) – Catégorie 3 – H336;
• Toxicité chronique pour le milieu aquatique – Catégorie 2 – H411 ;
• Propriétés physico-chimiques : il est extrêmement inflammable et très volatil. Ces vapeurs plus denses que l’air peuvent se répandre le long du sol, avec des risques d’explosions très élevé. En cas de pompage. Les frottements dus à l’écoulement du produit créent des charges d’électricité statique capables de générer des étincelles provoquant inflammation ou explosion ;
• Propriétés ayant des effets pour la santé : L’inhalation répétée de vapeurs en quantités importantes entraîne une exposition au benzène. Il y a aussi un risque de dépression du système nerveux central avec nausées, maux de tête, vertiges, vomissements et perte de coordination. Les vapeurs ou brouillards sont irritants pour les muqueuses notamment oculaires. En cas d’ingestion accidentelle, le produit peut être aspiré dans les poumons en raison de sa faible viscosité et provoquer des lésions pulmonaires graves dans les heures qui suivent (surveillance médicale indispensable pendant 48 h). [8]
(Voir l’annexe 8: Texte complet des Phrases-H sur le fiche de données de sécurité et l’annexe
Pétrole lampant
• Liquides inflammables – Catégorie 3 – H226 ;
• Toxicité par aspiration – Catégorie 1 – H304 ;
• Corrosion/irritation cutanée – Catégorie 2 – H315 ;
• systémique spécifique pour certains organes cibles (Toxicité exposition unique) – Catégorie 3 – H336 Toxicité chronique pour le milieu aquatique – Catégorie 2 – H411 ;
• Propriétés physico-chimiques : il est Inflammable. Les frottements dus à l’écoulement du produit créent des charges d’électricité statique capables de générer des étincelles provoquant inflammation ou explosion ;
• Propriétés ayant des effets pour la santé : Un contact prolongé ou répété peut provoquer des irritations cutanées. Les vapeurs ou brouillards sont irritants pour les muqueuses notamment oculaires. Des risques de dépression du système nerveux central avec nausées, maux de tête, vertiges, vomissements et perte de coordination sont présents.
• Propriétés environnementales : il est toxique pour les organismes aquatiques, et qui peut entraîner des effets néfastes à long terme pour l’environnement aquatique. Il faut donc éviter de le rejeter dans l’environnement. [9]
Jet A-1
• Liquides inflammables – Catégorie 3 – H226 ;
• Toxicité par aspiration – Catégorie 1 – H304 ;
• Corrosion/irritation cutanée – Catégorie 2 – H315 ;
• Toxicité systémique spécifique pour certains organes cibles (exposition unique) – Catégorie 3 – H336 Toxicité chronique pour le milieu aquatique – Catégorie 2 – H411 ;
• Propriétés physico-chimiques : il est Inflammable. Les frottements dus à l’écoulement du produit créent des charges d’électricité statique capables de générer des étincelles provoquant inflammation ou explosion ;
• Propriétés ayant des effets pour la santé : Un contact prolongé ou répété peut provoquer des irritations cutanées. Les vapeurs ou brouillards sont irritants pour les muqueuses notamment oculaires. Risque de dépression du système nerveux central avec nausées, maux de tête, vertiges, vomissements et perte de coordination. En cas d’ingestion accidentelle, le produit peut être aspiré dans les poumons en raison de sa faible viscosité et provoquer des lésions pulmonaires graves dans les heures qui suivent (surveillance médicale indispensable pendant 48 h) ;
• Propriétés environnementales : Toxique pour les organismes aquatiques, peut entraîner des effets néfastes à long terme pour l’environnement aquatique. Ne pas rejeter dans l’environnement. [10]
Fiouls lourds
• Toxicité aiguë par inhalation – vapeur – Catégorie 4 ;
• Cancérogénicité – Catégorie 1B ;
• Toxique pour la reproduction – Catégorie 2 ;
• Toxicité systémique spécifique pour certains organes cibles (exposition répétée) – Catégorie 2 ;
• Toxicité aiguë pour le milieu aquatique – Catégorie 1 ;
• Toxicité chronique pour le milieu aquatique – Catégorie 1 ;
• Propriétés physico-chimiques: En présence de points chauds, il y a de présence des risques particuliers comme l’inflammation ou l’explosion, dans certaines conditions lors de dégagements accidentels de vapeurs ou de fuites de produit sous pression ;
Propriétés ayant des effets pour la santé: Les vapeurs ou brouillards sont irritants pour les muqueuses notamment les oculaires. Du sulfure d’hydrogène peut s’accumuler en surface dans les réservoirs contenant ce produit et peut atteindre des concentrations potentiellement dangereuses. [11]
Précautions à prendre pour une manipulation sans danger des produits pétroliers
Recommandations pour une manipulation sans danger
• Prendre des précautions contre l’électricité statique ;
• Respecter les procédures strictes à l’aide des opérations d’inspection, de nettoyage et de maintenance des réservoirs de stockage et les confier à des personnels qualifiés (interne ou externe) ;
• Assurer une ventilation adéquate. Les vapeurs peuvent former des mélanges explosifs avec l’air ;
• Ne pas fumer ;
• Eviter de respirer les vapeurs ou le brouillard ;
• Éviter le contact avec la peau, les yeux et les vêtements ;
• Ne jamais amorcer avec la bouche le siphonage d’un réservoir ;
• Eviter la formation de vapeurs, brouillards ou aérosols ;
• Ne pas utiliser d’air comprimé pour des opérations de remplissage, déchargement ou de manutention;
• Ne jamais percer, piquer, meuler, tronçonner ou souder sur un conteneur vide ;
• Ne pas utiliser de téléphone portable lors de la manipulation ;
• Équipement de protection individuelle ;
• Éviter d’éclabousser lors de la manipulation de volumes en vrac du produit liquide chaud, maintenir la température du produit aussi basse que possible afin de minimiser les dégagements de fumées, ne jamais contrôler le niveau d’une citerne en s’éclairant avec une flamme nue et éviter de respirer les vapeurs ou le brouillard (pour le cas du fioul lourd).
Mesures d’ordre technique
• Assurer une ventilation adéquate ;
• Lors des mouvements de produits : il faut mettre toutes les parties en métal des équipements utilisés sur le sol pour éviter l’ignition des vapeurs par la décharge d’électricité statique;
• Il faut prendre aussi toutes dispositions, qui permettent d’éviter les entrées d’eau dans les bacs, les citernes et les lignes de flexibles.
Prévention des incendies et des explosions
• Mettre à l’abri de toutes sources potentielles d’inflammation (flamme nue, étincelles, arcs électriques…) et de chaleur (collecteurs ou parois chaudes) ;
• Éviter l’accumulation de charges électrostatiques ;
• Mettre à la terre, établir une liaison équipotentielle entre les conteneurs, les réservoirs ainsi que les équipements de transfert/réception ;
• Interdire le chargement en pluie et limiter la vitesse d’écoulement du produit, en particulier au début du chargement ;
• Ne jamais souder sur une citerne ou des tuyauteries, vides non dégazées.
• n’intervenir que sur des réservoirs froids, dégazes (risque d’atmosphère explosive) et aères ;
• Concevoir les installations pour éviter toute propagation de nappe enflammée (fosses, cuvettes de rétention, siphons dans les réseaux d’eau d’écoulement) ;
• Adapter la température de stockage au niveau le plus bas possible, en maintenant supérieure de 10°C la température au point d’écoulement, et qui ne dépasse pas de 70°C. Il ne faut jamais chauffer un réservoir ou une citerne si les éléments chauffants ne sont pas largement recouverts (minimum 15cm), et ne pas réchauffer les pompes ou les conduites avec une flamme nue (pour le cas du fioul lourd) ;
Mesures d’hygiène
• Lors de son utilisation, il ne faut ni manger, ni boire ou fumer ;
• Éviter le contact avec la peau, les yeux et les vêtements ;
• Ne pas placer les chiffons imbibés de produit dans les poches des vêtements de travail ;
• Se laver les mains avant les pauses et immédiatement après manipulation du produit ;
• En cas de contact avec la peau: laver la peau avec de l’eau et du savon, enlever les vêtements et les chaussures contaminés ;
• Inspecter périodiquement les gants et les remplacer en cas d’usure, de perforation ou de contamination ;
• Nettoyer régulièrement l’équipement, les locaux et les vêtements de travail ;
• Conserver à l’écart des aliments et boissons y compris ceux pour animaux ;
• Faire adopter des règles d’hygiène strictes pour le personnel exposé au risque de contact avec le produit ;
• Utiliser l’équipement de protection individuelle requis ;
• Changer les vêtements contaminés en fin de journée de travail ;
En cas de souillure minime de la peau, enlever le produit à l’aide d’huile végétale. On peut également utiliser une huile blanche, de la paraffine tiède ou un savon recommandé à cet effet, n’utiliser ni produit abrasif, ni solvant, ni carburant et éliminer le maximum par essuyage (pour le cas du fioul lourd).
La distillation ASTM D 86
Une prise d’essai de 100ml est distillée dans des conditions normalisées, dépendant de sa nature (chauffage, vitesse de distillation, température du condenseur,…). Une courbe de distillation est établie, associant automatiquement le volume distillé et la température associée.
Supercarburant 95
Les températures de 10, 50 et 90 % volume évaporés sont les plus courantes pour apprécier les caractéristiques du carburant :
10% : une valeur basse signifie que le carburant sera apte à faciliter les démarrages à froid.
50% : une valeur basse signifie de meilleures performances à l’accélération (particulièrement à froid).
90% : une valeur élevée indique que le carburant contribue à une moindre consommation et une résistance au cliquetis.
L’examen de la courbe de distillation renseigne sur le comportement ultérieur du moteur (facilité de démarrage à froid, mise en action,…)
Nota : La distillation est nécessaire au calcul de l’indice de volatilité (avec la mesure de la tension de vapeur)
Gasoil et fioul lourd
Dans le cas du gasoil et du fioul lourd, la distillation et la masse volumique sont nécessaires au calcul de l’indice de cétane.
Le point 50% est révélateur de la qualité du carburant :
S’il est bas : moins d’exigence sur la valeur du cétane
S’il est élevé : risque de fumées à l’échappement
Jet A-1
Les températures s’échelonnent de 150°C à 260°C. Elles ne doivent pas excéder le 300°C. La volatilité devant être plus élevée que celle d’un gazole, la spécification fixe une limite maximale de 205°C pour le point des 10% du volume distillés.
La corrosion à la lame de cuivre ASTM D 130
L’essai de corrosion à la lame de cuivre met en évidence d’une manière qualitative la présence de composés corrosifs pour le moteur qui sont pour l’essentiel des composés soufrés.
Une lame de cuivre fraîchement polie est immergée dans le produit pendant trois heures à 50°C (ou deux heures à 100°C suivant le produit). Elle est ensuite rincée sèche et comparée à des lames de référence présentant des degrés de corrosion normalisés. La corrosion est exprimée dans une échelle allant de 1 à 4 ; 1 correspond à la meilleure cotation. Des degrés intermédiaires entre chaque unité sont exprimés sous forme de lettres (a, b, …). [13]
La viscosité cinématique ASTM D 445
La mesure de viscosité consiste à évaluer le temps mis par un volume déterminé de produit pour s’écouler au travers d’un tube capillaire, à une température déterminée. Chaque tube dispose d’un coefficient (constante) permettant de déterminer la viscosité cinématique. Celle-ci décroît lorsque la température augmente.
Les températures de référence sont : gasoil: 40°C et 20°C, fioul lourd : 50°C et 100°C et le Jet A-1 : -20°C.
Gasoil
Dans les moteurs diesels, la viscosité du carburant a une importance non négligeable sur la qualité de sa vaporisation. Elle conditionne en grande partie la finesse de pulvérisation et l’énergie du jet sortant de l’injecteur :
Avec une viscosité trop élevée, le gasoil se vaporise mal et la qualité du mélange air-carburant n’est pas optimale. La combustion est incomplète et cela se traduit par une perte de puissance et une surconsommation.
Avec une viscosité trop faible, la vaporisation peut s’avérer trop légère et ne pas pénétrer suffisamment loin dans la chambre de combustion avec pour conséquence un mélange appauvri. Par ailleurs, une viscosité trop faible peut occasionner une usure prématurée de la pompe d’injection. [13]
Fiouls lourds
La viscosité donne une indication sur la pompabilité et la pulvérisation aux injecteurs.
Jet A-1
La viscosité répond à des spécifications précises car elle influe directement au moteur. Un carburant trop visqueux ne permet pas une pompabilté suffisante à partir du réservoir. Une viscosité insuffisante peut provoquer une usure rapide des pompes d’alimentation. De plus le produit doit rester fluide aux basses températures rencontrées aux hautes altitudes. [13]
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Table des matières
ES DES MATIERES
TENY FISAORANA
SOMMAIRE
LISTE DES ABREVIATIONS
LISTE DES FIGURES
LISTE DES TABLEAUX
GLOSSAIRE
INTRODUCTION
PARTIE I : SYNTHÈSE BIBLIOGRAPHIQUE
CHAPITRE I : GÉNÉRALITÉS SUR LES PRODUITS PÉTROLIERS LIQUIDES ET SUR LA DISPOSITION SÉCURITAIRE LIÉE À LEUR MANIPULATION
I.1.GÉNÉRALITÉS SUR LES PRODUITS PÉTROLIERS LIQUIDES
I.1.1. Gasoil
I.1.2. Supercarburant sans plomb 95
I.1.3. Pétrole lampant
I.1.4. Jet A-1
I.1.5. Fioul lourd
I.2.GÉNÉRALITÉS SUR LA DISPOSITION SÉCURITAIRE
I.2.1.Classification des dangers
I.2.1.1.Gasoil
I.2.1.2.Supercarburant sans plomb 95
I.2.1.3.Pétrole lampant
I.2.1.4.Jet A-1
I.2.1.5.Fiouls lourds
I.2.2.Précautions à prendre pour une manipulation sans danger des produits pétroliers
I.2.2.1.Recommandations pour une manipulation sans danger
I.2.2.2.Mesures d’ordre technique
I.2.2.3. Prévention des incendies et des explosions
I.2.2.4.Mesures d’hygiène
CHAPITRE II : GÉNÉRALITÉS SUR LES CONTRÔLES EFFECTUÉS SUR LES PRODUITS PÉTROLIERS LIQUIDES
II.1. PARAMÈTRES ANALYSÉS PAR TYPE DES PRODUITS ET RÉFÉRENCE DES MÉTHODES D’ANALYSE
II.2. GÉNÉRALITÉS SUR LES CARACTÉRISTIQUES DU PRODUIT
II.2.1.La couleur
II.2.2. La masse volumique à 15°C
II.2.3.La Distillation
II.2.4. La corrosion à la lame de cuivre
II.2.5. La viscosité cinématique
II.2.6. Le point éclair
II.2.7. Le point d’écoulement
II.2.8. La teneur en gomme actuelle
II.2.9. La teneur en sédiment
II.2.10.La pression de vapeur
II.2.11. Le point de décongélation
II.2.12. Le conradson sur le résidu (résidu de carbone)
II.2.13. La teneur en cendre
II.2.14. Le FIA (fluorescent indicator adsorption)
II.2.15. La teneur en eau
II.2.16.L’indice de cétane
II.2.18. L’indice d’acide
II.2.19. La teneur en soufre
II.2.20. La teneur en plomb
II.2.21. Le point de fumée
II.2.17.L’indice d’octane
II.3. TYPES D’ANALYSE ET LEURS INTERPRÉTATIONS
II.3.1. La couleur
II.3.1.1.Couleur ASTM D 1500
II.3.1.2.Couleur Saybolt ASTM D 156
II.3.2. La masse volumique ASTM D 1298 : kg/m3 à 15°C
II.3.3. La distillation ASTM D 86
II.3.3.1.Supercarburant 95
II.3.3.2.Gasoil et fioul lourd
II.3.3.3.Jet A-1
II.3.4. La corrosion à la lame de cuivre ASTM D 130
II.3.5. La viscosité cinématique ASTM D 445
II.3.5.1.Gasoil
II.3.5.2.Fiouls lourds
II.3.5.3.Jet A-1
II.3.6.Le point éclair ABEL NF ISO 13736
II.3.7. Le point éclair PENSKY-MARTENS ASTM D 93
II.3.8. Le point d’écoulement ASTM D 97
II.3.9. La teneur en gomme actuelle ASTM D 381
II.3.10. La teneur en sédiments ASTM D 473
II.3.11.La pression de vapeur ASTM D 323
II.3.12.Le point de décongélation ASTM D 2386 (manuel)
II.3.13. Le conradson sur résidu (résidu de carbone) ASTM D 189
II.3.14. La teneur en cendre ASTM D 482
II.3.15. Le FIA (fluorescent indicator adsorption)
II.3.15.1.Aromatiques
II.3.15.2.Oléfines
II.3.16. La teneur en eau ASTM D 95
II.3.17. L’indice de cétane ASTM D 976
II.3.18. L’indice d’octane ASTM D 2669
II.3.19. L’indice d’acide ASTM D 974
II.3.20. La teneur en soufre
II.3.20.1.Gasoil
II.3.20.2.Supercarburant sans plomb 95
II.3.21. La teneur en plomb
II.3.21. Le point de fumée ASTM D 1322
CHAPITRE III: MÉTHODES D’ÉCHANILLONNAGE DES PRODUITS PÉTROLIERS
III.1. OBJET
III.2. OBSERVATION PRELIMINAIRE
III.3. DÉFINITION
III.3.1. Échantillon moyen
III.3.2.Échantillon tous niveaux
III.4. APPAREILLAGE
III.4.1. Appareils de prélèvement
III.4.2. Récipients pour échantillons
III.4.2.1.Spécifications relatives aux récipients
III.4.2.2. Fermeture des récipients
III.4.2.3. Procédé de nettoyage
III.5. MODES OPÉRATOIRES
III.5.1. Généralités
III.5.1.1.Sécurité et hygiène
III.5.1.2. Lieu et temps de prélèvement
III.5.1.2.1. Navires-citernes, chalands, wagons et camions-citernes
III.5.1.2.1. Fûts, bidons, caisses
III.5.1.3. Réservoir à contenu manifestement hétérogène
III.5.1.4. Manipulation des échantillons
III.5.1.4.1. Échantillons volatils
III.5.1.4.2. Échantillons sensible à la lumière
III.5.1.4.3. Produits raffinés
III.5.1.4.4. Remplissage du récipient
III.5.1.4.5. Étiquetage des récipients à échantillons
III.5.1.4.6. Expédition des échantillons
III.5.2. Procédés employés
CHAPITRE IV: PROCÉDURE ET CONTRÔLE QUALITÉ DE LPSA
IV.1. COMPTABILISATION DES PRODUITS ANALYSÉS ET CONTRÔLÉS ET LES POINTS DE CONTRÔLE QUALITÉ
IV.1.1. Le bac
IV.1.2. Le camion-citerne
IV.1.3. Le wagon-citerne
IV.1.4. La cale
IV.2. LES DIFFÉRENTES CHAÎNES DU CONTRÔLE QUALITÉ DES PRODUITS PÉTROLIERS LIQUIDES
IV.2.1. Procédure de contrôle qualité des produits avant embarcation
IV.2.2. Procédure de contrôle qualité au chargement à Tamatave
IV.2.3. Procédure de contrôle qualité au sein du dépôt LPSA
IV.3.MODE DE TRAITEMENT POUR LA MISE EN QUARANTAINE DU CC/WR
IV.3.1. Suspension du déchargement
IV.3.2. Contre analyse labo indépendante
IV.3.3. Investigation de l’origine de la contamination
IV.3.4. Simulation
IV.3.5. Validation de résultat de la simulation et l’autorisation de la correction
IV.3.6. Déchargement
CHAPITRE V : LES PARAMÈTRES ANALYSÉS ET CONTRÔLÉS AU LABORATOIRE DE LPSA
V.1. LA MASSE VOLUMIQUE A 15°C
V.2. LA DISTILLATION
V.3. LE POINT ÉCLAIR
V.3.1. Le point éclair PMCC
V.3.2. Le point éclair ABEL
V.3.3.Calcul du point éclair corrigé
V.4. LA CONDUCTIVITE
V.5. LA CORROSION A LA LAME DE CUIVRE
V.7. LA PRESSION DE VAPEUR REID
V.8. LE POINT DE FUMÉE
V.9. LA COULEUR SAYBOLT
PARTIE III : RÉSULTATS
CHAPITRE VI : RÉSULTATS SUR LES CARACTÉRISTIQUES DU PRODUIT CONTRÔLÉ
VI.1. LA MASSE VOLUMIQUE A 15°C
VI.2. LA DISTILLATION (POINT FINAL)
VI.3. LE POINT ÉCLAIR
VI.4. LA CONDUCTIVITE
VI.5. LA CORROSION A LA LAME DE CUIVRE
VI.6. LA TENEUR EN EAU
VI.7. LA PRESSION DE VAPEUR REID
VI.8. LE POINT DE FUMÉE
VI.9. COULEUR SAYBOLT
VI.10. LES CONFORMITÉS DES PRODUITS PÉTROLIERS
VI.11. VALEUR DU PRODUIT NON-CONFORME DU SP95
CHAPITRE VII : RÉSULTATS SUR LES CORRECTIONS EFFECTUÉES SUR LA MISE EN QUARANTAINE
VII.1. CAS POUR LA CORRECTION DU SUPERCARBURANT SANS PLOMB 95
VII.2. CAS POUR LE RATTRAPAGE DU GASOIL (GO+PL)
CHAPITRE VIII : RECOMMANDATION
VIII.1. RECOMMANDATION SUR LE STOCKAGE
VIII.2. RECOMMANDATION SUR LA QUALITE DE GASOIL
VIII.3. RECOMMANDATION SUR LA QUALITE DU SUPERCARBURANT SANS PLOMB 95
VIII.4. RECOMMANDATION SUR LA QUALITE DU PETROLE LAMPANT
VIII.5. RECOMMANDATION SUR LA QUALITE DU JET A-1
CHAPITRE IX : DISCUSSION ET RECOMMANDATION SUR LA MISE EN QUARANTAINE
IX.1. CAS POUR LA CORRECTION DU SP95
IX.2. CAS POUR LE RATTRAPAGE DU GO (GO + PL)
CONCLUSION
REFERENCES BIBLIOGRAPHIQUES ET WEBOGRAPHIQUES
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