Epidemiologie de la toxoplasmose avec prevention de la toxoplasmose congenitale

La toxoplasmose est une zoonose cosmopolite due ร  un parasite intracellulaire obligatoire, Toxoplasma gondii. Elle est certainement lโ€™affection parasitaire la plus rรฉpandue dans le monde, sรฉvissant sous toutes les latitudes et susceptible dโ€™infecter toutes les espรจces animales. Des รฉtudes รฉpidรฉmiologiques chez lโ€™homme ont montrรฉ sa large distribution gรฉographique et sa forte prรฉvalence. Lโ€™incidence de la toxoplasmose dans la population gรฉnรฉrale est difficile ร  รฉvaluer car lโ€™infection est le plus souvent asymptomatique, mais, elle peut รชtre sรฉvรจre chez le sujet immunodรฉprimรฉ et dans sa forme congรฉnitale. Au cours de la grossesse, le risque de transmission augmente avec lโ€™รขge gestationnel alors que la gravitรฉ de lโ€™atteinte fล“tale diminue. En effet, en cas de sรฉroconversion au cours du premier trimestre de grossesse, le risque de toxoplasmose congรฉnitale est de 4 ร  14 % se traduisant par des atteintes sรฉvรจres. Ce risque atteint 70 ร  80 % au cours du troisiรจme trimestre de gestation mais se traduit en gรฉnรฉral par des formes infra-cliniques chez le nouveau nรฉ [1].Par consรฉquent, la prรฉvention de la toxoplasmose congรฉnitale doit se faire par une surveillance sรฉrologique des femmes enceintes afin dโ€™รฉtablir le statut immunologique, dโ€™identifier les femmes enceintes non immunes afin de limiter le risque de contamination (par des mesures dโ€™hygiรจne alimentaire) et de diagnostiquer le plus prรฉcocement possible une sรฉroconversion maternelle afin de proposer une prise en charge adaptรฉe [2].Les donnรฉes disponibles viennent gรฉnรฉralement des diagnostics prรฉnataux, qui ne sont systรฉmatiques quโ€™en France (Dรฉcret No 92 โ€“ 143 du 14 fรฉvrier 1992, Journal Officiel de la Rรฉpublique Franรงaise Nยฐ40 du 16 fรฉvrier 1992, page 2505), en Autriche et en Belgique [3,4]. Ainsi, la toxoplasmose affecte environ 7 ร  80 % de la population mondiale mais le pourcentage de personnes sรฉropositives pour lโ€™infection toxoplasmique varie dโ€™un pays ร  lโ€™autre en fonction des groupes ethniques, des habitudes culinaires et des conditions dโ€™hygiรจne [5]. En Amรฉrique du Nord [6], en GrandeBretagne [7], en Scandinavie [8] et enAsie du Sud- Est [9], moins de 30 % de la population semble infectรฉe ; cette sรฉroprรฉvalence est supรฉrieure ร  60 % en Afrique [10โ€“13] et en Amรฉrique latine [14,15]. En France, la sรฉroprรฉvalence a longtemps, รฉtรฉ รฉlevรฉe, 82 % en 1960 [16], puis a diminuรฉ ร  44 % en 2003[17โ€“20].

La situation en Algรฉrie est mรฉconnue. En effet, la sรฉroprรฉvalence serait autour de 50% (donnรฉes fournies par le Centre National de Rรฉfรฉrence de la toxoplasmose, service de biologie parasitaire de lโ€™Institut Pasteur dโ€™Algรฉrie) mais aucune รฉtude, ร  l’รฉchelle nationale, n’a รฉtรฉ entreprise afin de l’รฉvaluer. Nรฉanmoins, quelques รฉtudes รฉpidรฉmiologiques dans le cadre de mรฉmoires de fin d’รฉtude et de doctorat d’รฉtat en sciences mรฉdicales ont permis d’avoir une idรฉe sur cette sรฉroprรฉvalence. Afin dโ€™รชtre en mesure de comprendre lโ€™รฉpidรฉmiologie de lโ€™infection sur le territoire Algรฉrien et plus prรฉcisรฉment ร  lโ€™Est, lโ€™รฉtude de la prรฉvalence du parasite dans une population ร  diffรฉrents รขges et surtout chez les femmes enceintes et les sujets immunodรฉprimรฉs est fondamentale.Le travail que nous nous proposons ici sโ€™inscrit dans le cadre dโ€™une รฉtude รฉpidรฉmiologique de cette parasitose, afin de situer la sรฉroprรฉvalence de la toxoplasmose et de prรฉvenir prรฉcocement la toxoplasmose congรฉnitale et lโ€™รฉvolution de la toxoplasmose chez lโ€™immunodรฉprimรฉ (HIV+).

Problรฉmatique

La toxoplasmose est une infection qui se transmet naturellement des animaux vertรฉbrรฉs ร  l’Homme. Cette zoonose cosmopolite constitue un problรจme de santรฉ aussi bien humain que vรฉtรฉrinaire. Des รฉtudes sรฉroรฉpidรฉmiologiques chez lโ€™Homme et les animaux ont montrรฉ la large distribution gรฉographique et la forte prรฉvalence de la toxoplasmose. La prรฉvalence de cette maladie dans la population humaine varie dโ€™un pays ร  lโ€™autre, en fonction des groupes ethniques, des habitudes alimentaires et des conditions dโ€™hygiรจne .

La phase aigรผe de lโ€™infection ร  Toxoplasma gondii est gรฉnรฉralement bรฉnigne, voire asymptomatique. Elle peut parfois se traduire par un syndrome pseudo-grippal accompagnรฉ ou non dโ€™adรฉnopathies. Lors de la phase aigรผe, la rรฉponse immunitaire de lโ€™hรดte restreint la dissรฉmination des parasites et conduit ร  leur enkystement. Ce dernier a lieu dans les organes oรน la pression du systรจme immunitaire est la plus faible (cerveau, muscles). La formation de kystes est caractรฉristique de la phase chronique de lโ€™infection qui persiste toute la vie de lโ€™individu. Si lโ€™infection est habituellement asymptomatique chez lโ€™hรดte immunocompรฉtent, elle peut sโ€™avรฉrer gravissime chez les personnes immunodรฉprimรฉes ou pour les fล“tus.

La toxoplasmose congรฉnitale rรฉsulte dโ€™une primo-infection toxoplasmique acquise par la mรจre au cours de la grossesse. Une femme enceinte non immunisรฉe qui est confrontรฉe au parasite, peut dรฉvelopper une infection aigรผe qui sera contrรดlรฉe par son systรจme immunitaire. Par contre, le fล“tus peut รชtre contaminรฉ par voie trans-placentaire ; or son systรจme immunitaire encore immature lโ€™empรชche de rรฉagir contre le parasite. En cas dโ€™infection prรฉcoce de la mรจre, la complication la plus frรฉquente est lโ€™encรฉphalomyรฉlite qui peut provoquer la mort in utero et lโ€™avortement spontanรฉ. La toxoplasmose est รฉgalement un problรจme vรฉtรฉrinaire important puisquโ€™elle est responsable de nombreux cas dโ€™avortements spontanรฉs dans les รฉlevages dโ€™ovins et de caprins .

La toxoplasmose qui touche les sujets prรฉsentant une immunosuppression sรฉvรจre (atteinte par le virus de lโ€™immunodรฉficience humaine (VIH), chimiothรฉrapie ou traitements immunosuppresseurs) peut รชtre gravissime. Elle rรฉsulte soit d’une primo-infection, soit dโ€™une rรฉactivation des parasites contenus dans les kystes chez un sujet antรฉrieurement infectรฉ .La rรฉactivation parasitaire correspond ร  une conversion de la forme quiescente (parasites enkystรฉs) ร  la forme prolifรฉrative. Cette rรฉactivation est suivie dโ€™une multiplication et dโ€™une dissรฉmination des parasites dans lโ€™organisme du patient. La toxoplasmose cรฉrรฉbrale chez les patients infectรฉs par le virus du SIDA reprรฉsente la deuxiรจme infection opportuniste aprรจs la pneumocystose.Suivant les enquรชtes, on estime quโ€™environ 12 ร  47% des personnes infectรฉes par le virus du SIDA et sรฉropositives pour T. gondii souffriront dโ€™une rรฉactivation du parasite en lโ€™absence dโ€™un traitement prophylactique efficace. Les greffes de cล“ur, entre un donneur sรฉropositif et un receveur sรฉronรฉgatif prรฉsentent aussi un risque รฉlevรฉ de transmission de la toxoplasmose. En effet, la rรฉactivation des parasites prรฉsents dans le greffon est facilitรฉe par le traitement immunosuppresseur mis en place pour รฉviter les รฉpisodes de rejet. Dans le cas des patients subissant une greffe de moelle osseuse, le risque de rรฉactivation toxoplasmique endogรจne est รฉlevรฉ chez les sujets sรฉropositifs. En effet, irradiรฉ avant la greffe, le patient porteur latent de T. gondii, perd la capacitรฉ de rรฉpondre contre le parasite. Cette capacitรฉ nโ€™est pas restaurรฉe par le greffon sรฉronรฉgatif qui ne contient pas les cellules immunocompรฉtentes sensibilisรฉes vis ร  vis du parasite.

GENERALITES

Dรฉfinition

La toxoplasmose est une protozoose zoonotique cosmopolite, causรฉe par un protozoaire intracellulaire obligatoire : Toxoplasma gondii, ayant une affinitรฉ pour le systรจme rรฉticulohistocytaire (SRH) [21]. Il est responsable dโ€™une infection trรจs rรฉpandu dans le rรจgne animal, chez tous les animaux homรฉothermes y compris lโ€™homme [22]. Ce parasite est responsable de 3 formes cliniques : la toxoplasmose acquise, en gรฉnรฉral inapparente ou bรฉnigne, la toxoplasmose congรฉnitale qui peut รชtre ร  lโ€™origine de fล“topathies graves et la toxoplasmose de lโ€™immunodรฉprimรฉ .

Historique

Le parasite a รฉtรฉ dรฉcrit au dรฉbut du 20รจme siรจcle, mais ce nโ€™est quโ€™en 1970 que son cycle biologique complet est connu.

โž 1908 : Nicolle et Manceaux, (Institut Pasteur de Tunis) isolent le protozoaire endocellulaire chez un rongeur sauvage, Ctenodactylus gondii. La mรชme annรฉe, Splendore lโ€™isole du lapin au Brรฉsil.
โž 1909 : le parasite est nommรฉ Toxoplasma gondii ร  partir du mot grec toxon qui signifie croissant ou arc.
โž 1917 : Chatton et Blanc, notent la parentรฉ morphologique entre les coccidies et le toxoplasme.
โž 1923 : Junku, ophtalmologiste tchรฉcoslovaque met en รฉvidence Toxoplasma gondii sous sa forme kystique dans des lรฉsions rรฉtiniennes dโ€™un enfant hydrocรฉphale atteint de toxoplasmose congรฉnitale et qui prรฉsentait une choriorรฉtinite.
โž 1939 : Wolf et Gowen, rapportent le premier cas de toxoplasmose congรฉnitale humaine et Sabin dรฉcrit la symptomatologie de toxoplasmose humaine.
โž 1948 : Sabin et Feldman, mettent au point le dye test ou le test de lyse et le dรฉveloppement de l’approche immunologique et รฉpidรฉmiologique de la toxoplasmose.
โž 1951 : Hogane, avance l’hypothรจse de l’origine congรฉnitale des toxoplasmoses oculaires, confirmรฉe par Feldman en 1952.
โž 1954 : Weinman et Chandler, รฉmettent lโ€™hypothรจse de contamination par consommation de viande mal cuite.
โž 1958 : Goldman et Kelen, mettent au point l’immunofluorescence indirecte, qui a facilitรฉ la quantification des anticorps antitoxoplasmiques.
โž 1965 : Desmonts et al, confirment le rรดle de la viande insuffisamment cuite dans la contamination humaine.
โž 1967 : Hutchison dรฉcouvre le pouvoir infestant des fรจces du chat.
โž 1968 : la recherche des immunoglobulines M a รฉtรฉ rรฉalisรฉe par l’IFI, connue sous le nom de test de Remington.
โž 1970 : Hutchison et Frenkel, prouvent l’importance du chat avec la multiplication sexuรฉe de Toxoplasma gondii dans lโ€™intestin grรชle de cet animal hรดte dรฉfinitif : le cycle biologique complet du toxoplasme est dรฉsormais connu.
โž 1972 : Miller et al, Jewell et al et Janitschke et al, confirment dรฉfinitivement le chat comme hรดte dรฉfinitif et mettent en รฉvidence le rรดle possible d’autres fรฉlidรฉs dans la transmission du toxoplasme.
โž 1982 : le SIDA amรจne la toxoplasmose au premier rang des maladies opportunistes avec l’atteinte cรฉrรฉbrale principalement.
โž 1987 : Boothroyd et al, identifiaient le gรจne B1 rรฉpรฉtรฉ 35 fois, impliquรฉ dans la synthรจse des tubulines.
โž 1988 : Burg et al, clonaient et sรฉquenรงaient le gรจne codant pour la protรฉine majeur de surface, la P30.
โž 1989 : Burg, publiait la premiรจre application de la Polymerase Chain Reaction (PCR) pour la dรฉtection du toxoplasme, en prenant comme matrice le gรจne B1, et depuis la PCR est proposรฉe dans le diagnostic de la toxoplasmose congรฉnitale.

ETUDE EPIDEMIOLOGIQUE

Agent pathogรจne

Toxoplasma gondii est un protozoaire intracellulaire obligatoire dont la position systรฉmatique la plus admise a รฉtรฉ prรฉcisรฉe par levine en 1980 .

Taxonomie
Rรจgne : Animal
Embranchement : Protozoa (Goldfuss, 1918)
Phylum : Apicomplexa (Levine 1970)
Classe : Sporozoea (Leuckart, 1979)
Sous-classe : Coccidia (Leuckart, 1979)
Ordre : Eucoccidiida (Lรฉger & Duboscq, 1910)
Sous-ordre : Eimeridea (Lรฉger, 1911)
Famille : Sarcocystidae (Poche, 1913)
Sous-famille : Toxoplasmatinae (Biocca, 1957)
Genre : Toxoplasma (Nicolle et Manceaux, 1908)
Espรจce : gondii.
Le genre Toxoplasma ne comporte quโ€™une seule espรจce .ย 

Des รฉtudes ont รฉtรฉ entreprises, depuis une quinzaine dโ€™annรฉes, pour analyser la diversitรฉ gรฉnรฉtique de lโ€™espรจce Toxoplasma gondii. Les mรฉthodes de typage ont dโ€™abord fait appel ร  des techniques isoenzymatiques, qui ont portรฉes sur lโ€™analyse de quinze systรจmes enzymatiques ร  savoir lโ€™Aspartate aminotrasfรฉrase (ASAT), Amylase (AMY) , Gutathion rรฉductase (GSR) , Glucose phosphoisomรฉrase (GPI), Propionyl estรฉrase (PE) et la Phosphatase acide (ACP) [26]. Ces techniques ont permis lโ€™identification de douze zymodรจmes, le Z 1 qui correspond au type virulent, les groupes Z2, Z4 et Z8 sont les plus retrouvรฉs (60% des cas) et des zymodรฉmes particuliers le Z5, Z6 et Z 12 virulent mais nโ€™appartenant pas au groupe Z1 [27]. Ces mรฉthodes de typage ont fait intervenir รฉgalement les techniques de biologie molรฉculaire : PCR-RFLP [28,29] et lโ€™analyse des microsatellites [27, 30, 31]. Plus dโ€™une cinquantaine de marqueurs sont actuellement dรฉcrits : les plus utilisรฉs (I, II, III) font intervenir le polymorphisme de gรจnes codant pour des antigรจnes majeurs du toxoplasme.

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Table des matiรจres

INTRODUCTIONย 
Introduction
Problรฉmatique
Chapitre I. GENERALITES
1 .Dรฉfinition
2 .Historique
Chapitre II. ETUDE EPIDEMIOLOGIQUE
1.Agent pathogรจne
1.1Taxonomie
1.2. Caractรจres morphologiques
1.2.1. Forme vรฉgรฉtative : Tachyzoรฏte
1.2.2. Forme kystique
1.2.3. Forme oocyste
1.2.3.1. Oocyste non sporulรฉ
1.2.3.2. Oocyste sporulรฉ
1.3. Biologie
1.3.1. Lโ€™invasion et la formation de la vacuole parasitophore
1.3.2. Description morphologique de lโ€™invasion
1.3.3. Mรฉcanismes molรฉculaires de lโ€™invasion
1.3.4. Formation de la Vacuole parasitophore
1.3.5. Multiplication et diffรฉrenciation des tachyzoรฏtes
1.4. Le cycle รฉvolutif
1.4.1. La phase coccidienne
1.4.1.1. La phase asexuรฉe : phase schizogonique
1.4.1.2. La phase sexuรฉe : phase gamogonique
1.4.2. La phase libre : phase de sporulation
1.4.3. La phase prolifรฉrative et formation de kyste
1.5. Mode de contamination
1.5.1. Contamination par les oocystes
1.5.2. Contamination par des kystes
1.5.3. Contamination par les tachyzoรฏtes
1.6. Prรฉvalence
1.6.1. Dans le monde
1.6.2 .En Algรฉrie
Chapitre III. IMMUNITร‰
1. Rรฉponse immunitaire au cours de la toxoplasmose
2. Rรฉponse innรฉe naturelle
3. Rรฉponse acquise
3.1. Rรฉponse humorale
3.2. Rรฉponse cellulaire
4. Influence de la gestation sur la rรฉponse immunitaire maternelle
Chapitre IV. PHYSIOPATHOLOGIE
1. Toxoplasmose acquise
2. Toxoplasmose congรฉnitale
3. Toxoplasmose de lโ€™immunodรฉprimรฉ
Chapitre V. CLINIQUE
1. Aspects cliniques de la toxoplasmose
1.1. La toxoplasmose acquise
1.1.1. La toxoplasmose acquise chez lโ€™immunocompรฉtent
1.1.1.1.La toxoplasmose inapparente
1.1.1.2. La toxoplasmose ganglionnaire
1.1.1.3. Les atteintes oculaires
1.1.1.4. La toxoplasmose sรฉvรจre
1.2. La toxoplasmose acquise chez lโ€™immunodรฉprimรฉ
1.2.1. La localisation cรฉrรฉbrale
1.2.2. La localisation pulmonaire
1.2.3. La localisation oculaire
I.2.4. Les autres localisations et formes dissรฉminรฉes
1.3. La toxoplasmose congรฉnitale
I.3.1.La toxoplasmose tertiaire du premier trimestre de grossesse
1.3.2. La toxoplasmose secondaire du deuxiรจme trimestre de grossesse
1.3.3. La toxoplasmose primaire du troisiรจme trimestre de grossesse
1.4. La toxoplasmose et greffes dโ€™organes
Chapitre VI. DIAGNOSTIC
1.Diagnostic direct : Parasitologique
1.1 Examen direct
1.2. Inoculation ร  lโ€™animal
1.3. Culture cellulaire
1.4. Techniques de biologie molรฉculaire
1.5 Diagnostic indirect : sรฉrologique
2.1. Source dโ€™antigรจne
2.2. Les techniques utilisant des antigรจnes figurรฉs
2.2.1. Le dye test : test de lyse (test de Sabin et Feldman)
2.2.2. Lโ€™immunofluorescence indirecte(IFI)
2.2.3. Les rรฉactions dโ€™agglutination
2.2.3.1. Agglutination directe
2.2.3.2. Agglutination sensibilisรฉe
2.2.3.3. Immunossorbent Agglutination Assay (ISAGA)
2.3. Les techniques utilisant des antigรจnes solubles
2.3.1. Lโ€™hรฉmmagglutination passive
2.3.2. Les rรฉactions immunoenzymatiques
2.3.2.1. Enzym Linked-Immunossorbant Assay(ELISA)
2.3.2.2. Enzym Linked-Immunossorbant Assay inverse (ELISA inverse)
2.4. Les techniques complรฉmentaires
2.4.1. Agglutination diffรฉrentielle HS/AC
2.4.2. La charge immunitaire
CONCLUSION

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