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Les Moyens de communications :
Le service dispose d’une connexion internet avec 3 postes fixes et d’un téléphone portable de service.
Le Fonctionnement du service
Les malades hospitalisés dans le service passent d’abord par l’accueil de l’hôpital où se trouvent les consultations pédiatriques assurées par les médecins en spécialisation et les médecins pédiatres affectés dans le service.
Deux équipes de travail qui se relayent toutes les 12heures : une équipe du jour constituée de 2 infirmières, de 2 médecins pédiatres, des médecins en spécialisation ainsi que de la majore. Une équipe de nuits composée de 2 infirmières, et d’un médecin de garde.
Par ailleurs les 2 médecins pédiatres font des astreintes de 24h pendant une semaine. Quant à la majore, elle fait la permanence tous les jours ouvrables de 8H à 17H et de 8H à 14H un weekend sur deux.
Les gardes du weekend et des jours fériés sont aussi assurées par des médecins en spécialisation pédiatrique.
PATIENTS ET METHODE
TYPE D’ETUDE
Nous avons effectué une étude rétrospective portant sur les dossiers de malades hospitalisés durant la période d’août 2007 à Juillet 2009 au service de pédiatrie générale du centre hospitalier Abass Ndao de Dakar.
RECRUTEMENT DES PATIENTS
CRITERES D’INCLUSION
Nous avons inclus les enfants de 0 à 15 ans hospitalisés dans le service durant notre période d’étude.
CRITERES D’EXCLUSION
Nous n’avons pas de critères d’exclusion, tous les enfants hospitalisés durant notre période d’étude ont été retenus.
RECUEIL DES DONNEES
Les données ont été recueillies à partir des dossiers d’hospitalisation des malades ainsi que des bons de sorties. Les paramètres suivants ont été collectés :
L’âge des patients à l’entrée
Le sexe
La période d’entrée et de sortie (mois et année)
La structure d’origine (hôpital, centre de santé, poste de santé, domicile,
clinique, structure non précisée)
Le diagnostic à la sortie
L’évolution de la maladie (favorable, complications, sortie contre avis
médical, décès, transfert)
La durée moyenne de séjour
Le délai de décès par rapport à la date d’entrée (réparti en décès de moins de 24h et de 24h et plus).
ANALYSE DES DONNEES
Les données ont été saisies avec le logiciel Excel 2003.L’analyse a été faite avec le logiciel statistical package for social science(SPSS) version 1.
Les variables qualitatives et certaines variables quantitatives catégorisées ont été présentées sous forme de pourcentages et comparées à l’aide du test du chi carré.
Les autres variables quantitatives quant à elles, ont été présentées sous forme de moyenne avec une déviation standard ou de médiane avec un minimum et un maximum, selon la distribution. Un calcul de risque relatif (RR) associé à son intervalle de confiance (IC à 95%) a été réalisé dans l’étude analytique de la mortalité. Un seuil significatif P<0,05 a été retenu.
DISCUSSION
La morbidité
La fréquence des hospitalisations
Au cours de notre étude, le nombre de patients hospitalisés était de 449 sur une période de 24 mois soit une moyenne de 19 malades par mois. Ce taux est très faible comparé à celui obtenu par l’étude de M. Gueye (83 malades par mois) [33], de R. Camara (99 malades par mois) [14] et E.M. Ndiaye (70 malades par mois) [50].
Ce faible taux pourrait s’expliquer par le fait que le service n’est fonctionnel que depuis deux ans et ne serait pas bien connu par la population. Par une relative faible capacité d’accueil et est souvent confronté à des récurrentes cessations d’activités.
Les variations périodiques de la fréquence des hospitalisations
Nous avons observé des oscillations avec des mois où nous n’avons enregistré aucun malade, du fait d’épisodes d’inactivités. Par contre nous avons noté une affluence durant le mois de juillet (33,6%) qui correspond à la saison des pluies, saison chaude et humide où l’on voit la recrudescence des pathologies infectieuses (paludisme) et nutritionnelles. Ce fait avait été constaté par R. Camara et M. Gueye [14, 33].
Au mois de décembre et janvier nous avons relevé un pic d’admission qui serait probablement lié à une recrudescence des pathologies respiratoires. Cette tendance avait été retrouvée par E.M. Ndiaye [50].
C’est durant l’année 2008 que le taux d’hospitalisation avait été le plus important avec une fréquence de 54,6%(245/449). Cette affluence s’expliquerait par une activité presque régulière de l’hôpital ainsi que d’une analyse de tous les trimestres durant cette période.
Caractéristiques socio – démographiques
Le sexe
Dans notre étude, nous avons relevé une prédominance masculine (58,3% garçons contre 41,7% de filles) avec un sex ratio de 1,4.
Cette prédominance masculine est un fait qui se retrouve dans plusieurs études faites au Sénégal (R. Camara, M. Gueye, A. Djassi, M. Mangiaux) [14, 26 33, 46], en Afrique (Kaboro M. à Ndjamena, Khaldi et coll. à Tunis) [37, 38] et dans le monde (James E. et coll.) [36] sans que l’on ait élaboré une explication satisfaisante.
L’âge
Les enfants de 12 à 59 mois représentaient la tranche d’âge la plus importante avec un taux de 36,6%. Cette tendance avait été retrouvée dans l’étude de M. Gueye avec un taux de 74,3% et aussi dans celle de A. D. Ndiaye où les enfants âgés de 1à 60 mois représentaient 57% des admissions [23].
La vulnérabilité des enfants de cette tranche d’âge est rapportée dans de nombreuses études. Ces résultats observés au niveau hospitalier ne sont en fait que le reflet de la situation dans les pays en développement.
Cette grande morbidité explique que cette tranche d’âge soit la cible privilégiée des différents programmes de santé.
La tranche la moins représentée était celle des nouveaux nés avec une fréquence de 13,4%. Cette fréquence est inferieure à celles observées dans des études réalisées à Louga par E .M .Ndiaye (15,6%) et R. Camara (20%) et aussi celle faite a Albert Royer par N. A. Diop Ndiaye (16,6%) [14, 23, 50].
Structure d’origine
Sur un total de 449 malades hospitalisés, 276 patients (61,4%) provenaient du domicile. Ceci avait été constaté dans l’étude de M. Gueye (36,4%). Cette proportion de malades auto- référés nous paraît élevée. La notion de pyramide sanitaire ne semble pas être bien comprise par les populations et de toute façon ne fonctionne pas ainsi que projetée. Or le respect de cette pyramide pourrait sensiblement modifier la mortalité hospitalière car le malade peut bénéficier d’un traitement avant son transfert.
Néanmoins 11,4% des malades avaient été adressés par un centre de santé.
Par ailleurs 20,3% de malades référés d’un autre hôpital (hôpital d’enfant Albert Royer ou Hôpital Aristide Le Dantec) le plus souvent par manque de place.
Principales causes de morbidité
• Les affections respiratoires
Elles représentaient l’une des principales causes d’hospitalisation avec un taux de 22%. Ce taux est comparable à celui obtenu par l’étude E.M. Ndiaye à l’hôpital régional de Louga (22,5%), mais il est plus important que celui retrouvé par N. A. Diop Ndiaye à l’hôpital d’enfant Albert Royer (6,5%). Cette proportion était par contre plus importante que celle observée dans une étude faite par R. Camara à l’hôpital régional de Louga (32% des motifs d’hospitalisation). Au cours d’une étude faite en Guinée Conakry, les infections respiratoires aiguës représentaient la principale cause d’hospitalisation (20,7%) [40].
En Jamaïque, les infections respiratoires aiguës étaient l’une des principales causes d’hospitalisation (21,6%) [36].
La grande fréquence de ces infections respiratoires serait liée au niveau socio – économique estimé bas dans nos régions, favorisant la promiscuité.
Ce constat avait été aussi fait par E. M. Ndiaye. A ce facteur socio- économique se greffe le climat car nous avons constaté lors de notre étude une recrudescence de ces infections durant la saison froide. Ce caractère saisonnier des IRA avait été observé dans une étude faite au Burkina Faso [42].
• Les infections
Elles représentaient 22% des hospitalisations, cette proportion est supérieure à celle observée dans l’étude de M. Gueye (14,6%).
Le paludisme avait été la pathologie infectieuse la plus fréquente. La proportion des hospitalisations dues au paludisme (14,2 %) était plus élevée que celle des études de N. A. Diop Ndiaye (11,5%), d’Agbere (5,38%) [2] et de E. M. Ndiaye (3,7%). Ce pendant ce taux est moins important que celui obtenu par R. Camara au niveau de l’hôpital régional de Louga (19%).
La plus grande morbidité palustre avait été enregistrée durant les mois d’août, de septembre et d’octobre, correspondant à la période hivernale. C’est une période marquée par une recrudescence des pathologies infectieuses (paludisme).
• Affections digestives
La morbidité due aux affections digestives était de 21% plus que celle notée par M. Gueye (7,6%).
Ce groupe d’affection avait été représenté en grande partie par la maladie diarrhéique (82,6%) soit 17% des hospitalisations.
Cette proportion (17%) était supérieure à celle des études de R. Camara (11,4%) et d’E. M. Ndiaye (7,2%). Cependant ce taux est comparable celui de M. Mangiaux (17,4%) à l’hôpital Aristide Le Dantec [46].
• Affections néonatales
Elles représentaient 13% des hospitalisations, moins que la proportion obtenue dans le travail de M. Gueye (29,2%).
Dans ce groupe d’affections, les infections néonatales venaient en tête 68,3% contre 5% pour la maladie hémorragique du nouveau né et les malformations congénitales et enfin 3,3% pour la prématurité.
Les infections néonatales représentaient 15,2% de toutes les hospitalisations. Cette proportion est nettement plus élevée que celle issue des travaux d’A. M. Moyoka (9,1%), de N. A. Diop Ndiaye (7,1%) et d’E. M. Ndiaye (6,2%) [23,49, 50].
Ce fort taux rappelle encore combien la santé néonatale et materno – infantile continue d’être un vrai problème de santé publique au Sénégal.
• Affections nutritionnelles
La malnutrition protéino-énergétique représentait 5,8% des hospitalisations. Ce taux est inférieur à celui obtenu par M. Mangiaux (11,9% en 1989), par E. M. Ndiaye (26,4 en 1992), ainsi que par Agbere (30,4% en 1986). Par contre il rejoint approximativement celui de R. Camara (5% en 2009) et celui de N. A. Diop Ndiaye (5,1% en 2002).
Nous avons constaté que l’incidence de la malnutrition a tendance à baisser avec les années. Ce recul témoignerait d’une amélioration du niveau de vie dans nos régions et peut être d’une bonne politique de sevrage.
La tranche d’âge la plus affectée était celle des 29j à 59 mois particulièrement les nourrissons, témoignant de la mauvaise diversification alimentaire avec un emploi excessif de bouillie de farine très pauvre en éléments nutritifs.
L’évolution de la maladie
Nous avons noté une évolution favorable chez 81% des malades hospitalisés. 5,1% des malades avaient évolué sous complication et nous avons déploré 9,4% de décès.
La durée moyenne de séjour
La durée moyenne de séjour était de 6,4 plus ou moins 4,4 jours.
Le minimum des jours d’hospitalisation était d’un jour et le maximum était de 38jours. Elle était plus importante que celle obtenue par R. Camara (4jours) [14].
La mortalité
Mortalité cumulée
Le taux cumulé de décès dans le service durant la période de notre étude était de 9,4%. Il nous semble sous estimé compte tenu des périodes de faible activité liées à des perturbations récurrentes dans le fonctionnement de notre service. Ces perturbations pouvaient parfois durer plusieurs mois.
Ce taux est faible par rapport aux données de mortalité observées dans certains services de référence à Dakar ainsi que dans d’autres études africaines.
En effet, les résultats des enquêtes effectuées par A.M. Lallement et coll. à l’hôpital principal de Dakar [43] et par N.A. Diop Ndiaye à l’hôpital d’enfant Albert Royer [23] révélaient respectivement des proportions de mortalité de 16,9% et 16,3%. De même qu’au Cameroun, une étude faite dans un hôpital en zone rural révélait une mortalité globale de 13% [10].
Ce pendant ce taux de mortalité est plus élevé que celui observé dans d’autres travaux : Koko J. et coll. au Gabon (7%) [39], Braham M. et coll. en Tunisie (2,7%) [9] et en Jamaïque (8,9%) [36].
Evolution périodique de la mortalité
• Evolution de la mortalité en fonction de l’année
Nous déplorons une évolution ascendante du taux de mortalité au cours des années. Elle était de 4,8% en 2007 %, 9% en 2008 et de 13,4% en 2009.
Cette augmentation significative de la mortalité au fil des années pourrait s’expliquer en partie par une demande de soin sans cesse croissante sans augmentation proportionnelle des ressources matérielles et humaines allouées à notre service.
• Evolution de la mortalité en fonction de la période de l’année
Le plus grand nombre de décès avait été noté durant le premier trimestre (37,8%) avec un pic net au mois de mars (21,4%). Ces résultats ne rejoignent pas ceux obtenus dans plusieurs études (E.M. Ndiaye, N. A. Diop Ndiaye, M. Gueye).
Cette mortalité élevée durant la période froide serait en rapport avec la survenue des pathologies respiratoires particulièrement mortelle. Par ailleurs, nous avons noté une mortalité assez importante au cours du 3ème trimestre (31,8%) avec un pic au mois d’août (14,3%). Le mois d’août correspond à la période d’hivernage où l’on note une forte recrudescence des pathologies infectieuses particulièrement létales comme le paludisme.
Mortalité en fonction des caractéristiques socio – démographiques
Le sexe
La proportion des garçons décédés (10%) était supérieure à celle des filles (8,9%) avec un sex ratio de 1,1 confirmant la surmortalité masculine rapportée par de nombreux auteurs [10,20, 36, 39, 45].
L’âge
Dans notre étude le groupe d’âge le plus affecté par la mortalité était celui des nouveaux nés avec un taux de 35%. Cette surmortalité néonatale avait été observée par E. M. Ndiaye (26,8%), M. Gueye (32,2%) et par Cantagrel et coll. (52%) [15].
Cette mortalité particulièrement élevée reflète ce qui est observé au niveau national car selon la dernière enquête démographique du Sénégal, la mortalité néonatale n’a pas connu de baisse contrairement à la mortalité infanto-juvénile.
L’absence de consultations pré natales étant principalement incriminée. Les infections néonatales représentaient l’affection la plus létale chez les nouveaux nés comme l’avait observé Weizani [71].
A ces facteurs, il faudra sûrement ajouter l’absence d’un plateau technique adéquat pour les unités de néonatologie.
Le taux de décès de la tranche d’âge de 1 à 11mois est de 23,8% et est comparable à celui de N.A. Diop Ndiaye (25%) [23].
Cette mortalité néonatale et infantile encore élevée conforte à suffisance l’intérêt des programmes de santé néonatale (SONU) et les stratégies relatives à l’allaitement maternel exclusif jusqu’à 6 mois, la vaccination, le suivi pondéral et la supplémentation périodique en vitamine A.
La mortalité proportionnelle et spécifique en fonction de la provenance
Parmi les 42 décès enregistrés, 52% provenaient directement de leur domicile. 31% des malades avaient été adressés par les hôpitaux et 12% référés des centres de santé.
Ce pendant nous constatons que la mortalité spécifique en rapport avec la provenance a été plus importante chez les enfants référés par les hôpitaux (14,3%). Chez ceux adressés par les centres de santé, la mortalité était de 9,8% et de 8% pour les malades auto- référés.
Cette surmortalité des enfants référés par les hôpitaux pourrait s’expliquer en partie par le fait que les malades arrivent le plus souvent dans un état grave après avoir fait le tour des hôpitaux et ne bénéficient réellement pas de traitement et de transport adéquats.
Mortalité proportionnelle et spécifique aux principales affections
Les principales causes de mortalité dans le service ont été représentées par les affections néonatales (50%), respiratoires (17%) et infectieuses (14%).
• Les affections néonatales
Elles représentaient à elles seules plus de 50% de décès (21/42). Cette proportion est plus élevée que celle observée par M. Gueye (30%), Weizani (41,5%) et A. M. Moyoka (30%). De même, cette mortalité proportionnelle néonatale retrouvée dans notre travail est aussi plus élevée que celle issue de travaux réalisés en Côte d’ivoire (34%), au Gabon (38%), au Congo Brazzaville (37,4%) et au Togo (44%) [3, 4, 39, 45].
En revanche elle est inférieure à la mortalité observée par James E. et coll. (51,7%) en Jamaïque [36].
Cette forte mortalité néonatale retrouvée dans notre travail était liée essentiellement aux infections (42,8%). Ce qui était très supérieure à celle observée lors des études faites par E. M. Ndiaye (15,6%) et par A.D. Agbere et coll. (13,2%) [3].
• les affections respiratoires
La proportion des décès dus aux affections respiratoires était de 17% (7/42). Elle venait en deuxième position après les affections néonatales.
Ce taux était plus important que celui obtenu par weizani (9,9%) et par M. Gueye (11,7%).
La forte mortalité liée aux affections respiratoire avait déjà été déjà observée dans plusieurs études [9,10, 41, 45].
Les infections respiratoires basses prédominent et constituent un problème de santé publique majeur responsable de 20% des décès infanto-juvénile [42].
Dans notre étude, la pneumonie représentait 42,8% des affections respiratoires. Cette tendance avait été déjà constatée dans d’autres études [33, 42].
• Les Infections
La pathologie infectieuse représentait la 3ème cause de décès dans notre travail 14% (6/42). Elle était dominée essentiellement par le paludisme dans sa forme neurologique et anémique. Ce résultat est comparable à celui obtenu par M. Gueye (12,2%) et semble plus élevé que celui observé par Agbere (8,2%).
La mortalité proportionnelle en fonction du délai de survenu du décès
42,8% des patients décédaient dans un délai de moins de 24h. Cette lourde mortalité précoce est ressortie dans plusieurs travaux : A. Sylla (37,8%), M. Gueye (50,9%), Weizani (32,7%), E. M. Ndiaye (54%), Koko J. et coll. (33,2%) et Agbere (47,4%) [2, 33, 49, 50, 70, 71].
Cette mortalité hospitalière précoce (dans les 24h) élevée dans notre service pourrait s’expliquer par plusieurs facteurs parmi lesquels le recours tardif aux structures de référence [2, 24, 37], la faible capacité du personnel des structures périphériques à détecter à temps les malades les plus graves [24], le sous équipement de nos structures pour faire face à ces urgences majeures.
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Table des matières
INTRODUCTION
PREMIERE PARTIE: REVUE DE LA LITTERARURE
1. LES INDICATEURS SOCIO- SANITAIRES
1.1 .DEFINITION D’UN INDICATEUR
1.2 .LES INDICATEURS EN SANTE
1.2.1 La mortalité
1.2.2. Le taux de mortalité
1.2.3. Le taux de mortalité infantile
1.2.4. Le taux de mortalité juvénile
1.2.5. Le taux de mortalité infanto – juvénile
1.2.6. Le taux de mortalité spécifique d’une maladie
1.2.7. Le taux de mortalité proportionnelle
1.2.8. La morbidité
1.2.9. La létalité
2. EPIDEMIOLOGIE DE LA MORTALITE INFANTO- JUVENILE
2.1. MORTAITE INFANTO – JUVENILE DANS LE MONDE
2.2. MORTALITE INFANTO – JUVENILE EN AFRIQUE
2.3. MORTALITE INFANTO – JUVENILE AU SENEGAL
3. PRINCIPALES CAUSES DE MORBI MORTALITES INFANTO-JUVENILE
3.1. PRINCIPALES CAUSES DE MORBI – MORTALITE EN PERIODE NEONATALE
3.1.1. Les infections néonatales
3.1.2. La prématurité
3.1.3. L’asphyxie néonatale
3.2. PRINCIPALES CAUSES DE MORBI – MORTALITE EN PERIODE POSTNEONATALE
3.2.1. Les infections respiratoires aigües
3.2.2. La maladie diarrhéique
3.2.4. La malnutrition
3.2.5. La rougeole
4. STRATEGIES DE SURVIE DE L’ENFANT
4.1. Pendant la période périnatale
4.2. Pendant la période post néonatale : la stratégie est la prise en charge intégrée des maladies de l’enfant
DEUXIEME PARTIE : TRAVAIL PERSONNEL
I. MATERIEL ET METHODE
1. CADRE D’ETUDE
1.1. L’HOPITAL ABASS NDAO
1.2. LE SERVICE DE PEDIATRIE GENERALE
1.2.1. Les ressources matérielles
1.2.2. Les ressources humaines
1.2.3. Les moyens de communications
1.2.4. Le fonctionnement du service
2. PATIENTS ET METHODE
2.1. Type d’étude
2.2. Recrutement des patients
2.2.1. Critères d’inclusion
2.2.2. Critères d’excusions
2.3. Recueil des données
2.4. Analyse des données
II. RESULTATS
1. ETUDE DSCRIPTIVE DE LA MORBIDITE
1.1 Répartition des patients en fonction du mois et de l’année
1.2 Caractéristiques socio- démographiques
1.2.1 Répartition des patients en fonction du sexe
1.2.2 Répartition des patients selon l’âge
1.2.3 Répartition des patients en fonction de la structure d’origine
1.3 Répartition des patients en fonction de l’affection
1.4 Répartition des patients en fonction de l’évolution leur maladie
1.5La durée moyenne de séjour
2. ETUDE DESCRIPTIVE DE LA MORTALITE
2.1 La fréquence de la mortalité
2.2 Répartition des malades décédés en fonction de la période
2.2.1. Mortalité proportionnelle en fonction de l’année
2.2.2 Mortalité proportionnelle en fonction du mois
2.3 Caractéristique socio – démographique des malades décédés
2.3.1. Mortalité proportionnelle en fonction du sexe
2.3.2. Mortalité proportionnelle en fonction de l’âge
2.3.3. Mortalité proportionnelle en fonction de la provenance
2.4 Etude de la mortalité proportionnelle en fonction des affections
2.5 Le délai de décès
3. ETUDE ANALYTIQUE DES FACTEURS ASSOCIEES A LA MORTALITE
III. DISCUSSION
1. LA MORBIDITE
1.1 La fréquence des hospitalisations
1.2 Les variations périodiques de la fréquence des hospitalisations
1.3 Caractéristiques socio – démographiques des malades
1.3.1 Le sexe
1.3.2 L’âge
1.3.3 La structure d’origine
1.4 Les principales causes de morbidité
1.5 L’évolution de la maladie
1.6 La durée moyenne de séjour
2. LA MORTALITE
2.1 La mortalité cumulée
2.2 Evolution périodique de la mortalité
2.3 Mortalité en fonction des caractéristiques socio – démographique
2.3.1 Le sexe
2.3.2 L’âge
2.3.3 La mortalité proportionnelle et spécifique en fonction de la provenance
2.4 La mortalité proportionnelle et spécifique aux principales affections
2.5. La mortalité proportionnelle en fonction du délai de survenue du décès
CONCLUSION ET RECOMMANDATION
BIBILOGRAPHIE
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