ENVIRONNEMENT INTERNE ET EXTERNE A L’ENTREPRISE 

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ENVIRONNEMENT EXTERNE

L’environnement externe de la SOMAPECHE est constitué :
– d’une part de ses principaux concurrents ;
– d’autre part de ses principaux marchés.

LES PRINCIPAUX CONCURRENTS DE LA SOMAPECHE

REFRIGEPECHE EST (Société Anonyme)

La REFRIGEPECHE EST est une société, dont le siègesocial se trouve à Toamasina, avec un capital de 208 000 000,00 Ar (deux cent huit millions d’Ariary). Ses activités concernent principalement :
– L’exploitation et la prospection des poissons et crustacés dans les eaux territoriales ;
– Le conditionnement à bord des chalutiers congélateurs des produits exploités ;
– La préparation, la conservation et la commercialisation de la pêche, et de tous les produits alimentaires ;
– L’étude et la réalisation des projets aquaculture te de chaîne de froid, et de leur exploitation ;
– La réalisation de toutes activités de pêche complémentaires.
La flotte de la société REFRIGEPECHE EST est composée de six (06) chalutiers congélateurs. Le pays de destination des exportations de REFRIGEPECHE est la France : La France métropole, avec la collaboration de GEL PECHE, et le Département de La Réunion, en partenariat avec COPAL.

APERCU DE LA FILIERE CREVETTIERE A MADAGASCAR

Après le premier chapitre relatif à la présentation de la société et de son environnement, nous allons aborder le deuxième chapitre qui s’appuiera sur un succinct aperçu de la filière crevettière à Madagascar. Dans un souci de discernement, ce chapitre sera structuré de façon à mettre en évidence :
– Une description succincte de la filière crevettièreà Madagascar : en évoquant le milieu naturel, les techniques et les produits, ainsi que les acteurs ;
– Les structures et modes d’organisation existante dans la filière : les structures de production, les structures d’appui, ainsi que les structures de commercialisation ;
– L’économie globale de la filière ;
– Le contexte économique actuel relatif aux intérêtsde la filière : à savoir les opportunités à saisir et les atouts à exploiter ;
– La politique (grandes lignes), définie par l’Etat Malgache concernant la filière crevettière à Madagascar : Les objectifs, les stratégies et les grands axes d’action.
Nous allons, ainsi entamer ce chapitre par une description sommaire de la filière crevettière à Madagascar.

DESCRIPTION DE LA FILIERE CREVETTIERE A MADAGASCAR 

La filière crevettière constitue l’une des principales sources de devise de Madagascar. Elle peut être caractérisée à travers trois paramètres : le milieu naturel, les techniques, et les produits ainsi que les acteurs.

LE MILIEU NATUREL

Les crevettes côtières pêchées à Madagascar sont composées de cinq (05) espèces. Ces espèces comprennent : Penaeus indicus, Metapenaeus monoceros, Penaeus semisulcatus, Penaeus monodon, et Penaeus japonicus.

LES TECHNIQUES ET LES PRODUITS

Les pêcheurs traditionnels exercent leurs activitésau moyen de pirogues en général non motorisées, de 4 à 9 mètres de long, et ne sortent pas des baies et des estuaires. La pêche industrielle utilise des chalutiers de taille relativement importante de 15 à 30 mètres de long.

LES STRUCTURES ET MODES D’ORGANISATION

La mise en œuvre des activités fait toujours appel à l’implentation de structures répondant à un mode d’organisation sous-tendant la réalisation des activités. La SOMAPECHE vient de mettre sur pied une nouvelle structure pour faire face aux exigences toujours croissantes de ses partenaires.

STRUCTURES DE PRODUCTION

Les opérateurs des sociétés de pêche industriellets artisanales, ont créés, en 1994, le Groupement des Armateurs à la Pêche Crevettière de Madagascar, devenu par la suite Groupement des Aquaculteurs et Pêcheurs de Crevettes de Madagascar ou GAPCM. Cette association se veut présenter comme un partenaire de l’administration pour la gestion de l’exploitation des crevettes à Madagascar.

STRUCTURES D’APPUI

Le GAPCM est l’initiateur du programme « Zones d’Aménagement Concerté (ZAC) ». Cette initiative vise à mettre en place des plates- formes de concertation devant permettre à tous les acteurs concernés de pérenniser l’exploitaion des ressources, dont les crevettes, et d’en optimiser les profits tirés par chacun.

STRUCTURES DE COMMERCIALISATION

Pour contribuer à la recherche des solutions pour l a mise aux normes de leur usine de traitement et de conditionnement, plusieurs petites et moyennes sociétés de collecte de captures des pêcheurs traditionnels, ont adhéré à’associationl Groupement des Exportateurs des Produits de la Mer ou GEXPROMER.
Nonobstant, les sociétés industrielles exportent leur production seules, ou avec leur maison mère ou des sociétés de distribution baséesà l’extérieur. En effet, cette dernière technique de distribution constitue un atout considérable pour les sociétés industrielles.

L’ECONOMIE GLOBALE DE LA FILIERE

Les crevettes de pêche occupent, en valeur, la première place des produits halieutiques exportés  par Madagascar. Les crevettes de pêche sont vendues principalement au Japon et en Europe. La production de crevette par pêche oscilleautour de 12.000 tonnes par an. La part de la pêche traditionnelle est relativement importante(29,3% en 2001).

CONTEXTE ECONOMIQUE ACTUEL

Le contexte économique peut être résumé d’une certaine manière à mettre en évidence les opportunités et les atouts. En d’autres termes, ce contexte favorise une croissance forte au
bénéfice des sociétés industrielles de la filièrerevettièrec.

OPPORTUNITES

En terme d’opportunités, on peut constater que :
– L’offre est inférieure à la demande sur le marché nternational ;
– La concurrence est réduite sur le marché européen,car certains pays producteurs sont sous embargo ou sévèrement contrôlés (Chine, Thaïlande).

ATOUTS

En terme d’atouts, on peut constater :
– Une Pêcherie relativement bien gérée (40 années xistence)d’e ;
– Une Qualité des crevettes malgaches reconnue sur lemarché international ;
– Des Sociétés industrielles utilisant des équipements et installations aux normes et la standardisation internationale.

POLITIQUE NATIONALE SUR L’EXPORTATION DES CREVETTES

Les grandes lignes de la politique définie par le Ministère de tutelle, s’articulent autour des axes permettant d’assurer par l’exportation descrevettes de pêche, une source permanente de devises pour l’Etat, de faire participer la filière à la satisfaction des besoins alimentaires de la population par le biais des poissons d’accompagnement, d’améliorer le revenu et les conditions de vie des pêcheurs traditionnels, et depérenniser les emplois créés.

OBJECTIFS

Les objectifs ont été fixés dans le but de :
– Éviter la baisse de la production ;
– Mieux valoriser les ressources halieutiques.

STRATEGIES

La stratégie est l’ensemble des actions spécifiquesdevant permettre d’atteindre les buts en s’inscrivant dans le cadre de missions, et de politique générale de l’entreprise. Les stratégies adoptées sont par conséquent d’ordre géral,n c’est-à-dire :
– Examiner les mesures nécessaires pour améliorer la performance de la pêche crevettière ;
– Améliorer la gestion de la pêche crevettière, notament l’interaction entre ses divers segments (traditionnel, artisanal, industriel) ;
– Utiliser pleinement les nouveaux outils d’analyse et d’aide à la décision.

GRANDS AXES D’ACTIONS

Les grands axes d’actions définis par l’Etat sont également d’ordre global, dont :
– Le renforcement du suivi et du contrôle de la pêcherie (système statistique permanent, contrôle et surveillance, sécurité en mer, contrôle de qualité des produits à l’exportation, amélioration du fonctionnement de l’administrationdes pêches) ;
– L’harmonisation de la répartition des zones de pêche entre les pêches traditionnelles, artisanale et industrielle en fonction des objectifs fixés ;
– L’analyse de l’importance du rôle des petites et mo yennes entreprises de collecte exportatrice dans l’exportation des crevettes ;
– La diminution des pertes après captures de la pêcheindustrielle ;
– L’appui à la structuration des groupements des soci étés industrielles;
– L’étude technico-économique pour analyser la faisabilité de l’augmentation des débarquements et de la commercialisation des crevetes du chalutage crevettier.
Ce chapitre, concernant l’aperçu succinct de la fil ière crevettière à Madagascar, nous a permis une vision globale sur l’ensemble des caractéristiques de la filière : le milieu naturel, les techniques et les produits, les acteurs. Ce chapitre nous a également permis une rétrospective sommaire sur les structures et mode d’organisation de la filière d’une part, et le contexte économique global (opportunités, la politque de l’Etat : les objectifs, les stratégies, les grands axes d’action) d’autre part.
Il est à noter que l’objectif principal de notre tr avail est d’apporter des éléments significatifs et nécessaires à l’amélioration du système d’information existant. Pour notre part de contribution à la mise en place de l’ISO 9001 ve rsion 2000. Cependant, cela sollicite une méthodologie claire et efficace, et des bases théoriques appropriées aux perspectives d’analyse.
Dans le troisième chapitre qui va suivre, nous allons mettre un accent sur la méthodologie de travail, concernant notre thème surla « Contribution à l’amélioration des performances de la SOMAPECHE ; par la mise en œuvre de l’assurance qualité ». Ainsi ce chapitre, parlera davantage des méthodologies (méthodologie de travail et d’approche). Il portera également sur une rétrospective succincte esd bases théoriques relatives à notre domaine d’étude.

METHODOLOGIE ET BASES THEORIQUES

Dans ce chapitre, nous exposerons, d’une part la méthodologie de travail, et d’autre part la méthodologie d’approche pour permettre une certaine lucidité dans la compréhension. Ce chapitre sera articulé autour de :
– Une méthodologie de travail : à savoir le traitement des informations disponibles, et une méthode de collecte des données ;
– Une méthodologie d’approche : analyse de la situation de la société en ce qui concerne le système d’information existant, identification des problèmes rencontrés au cours de l’analyse, et la proposition des recommandations correctives.
– Un résumé des bases théoriques par approche du système d’information, ainsi que le processus de contrôle y afférant.

METHODOLOGIE DE TRAVAIL

Notre étude s’appuie nécessairement sur une méthodequi comporte deux étapes :
– Le traitement des informations nécessaires à la perspective de l’analyse ;
– La sélection et la mise en forme d’indicateurs significatifs et utiles.
L’étude de ces indicateurs aboutit à une synthèse de la situation de l’entreprise. Ce qui pourra conduire à la formulation d’éléments de prise de décision : la prévision et l’évaluation.

LE TRAITEMENT DES INFORMATIONS DISPONIBLES

La collecte des informations nous a permis de rassembler l’ensemble des données utiles, en vue de mener à bien un diagnostic sommai re de la société, à savoir :
– Les différentes procédures et la circulation des documents ;
– Le système organisationnel.

METHODE DE COLLECTE DES DONNEES

La collecte d’information s’avère être une étape primordiale et prépondérante à la prise de décision d’une société. Deux informationspeuvent être collectées, pour avoir une certaine fiabilité sur les informations :
– Données secondaires ;
– Données primaires.

DONNEES SECONDAIRES

Les données secondaires sont constituées des données :
– Déjà en possession de l’entreprise : son historique, l’évolution de ses chiffres d’affaires, ses activités, etc. ;
– Et des données externes : ouvrages de recherche (mémoire, etc.), etc.

DONNES PRIMAIRES

Les données primaires sont celles recueillies :
– Par le chercheur lui-même par compilation de documents divers concernant l’objet de la recherche ;
– Et à partir des jugements, des avis, des conseils e tc. d’autres individus compétents à travers d’entretien.

METHODOLOGIE D’APPROCHE

L’objectif principal du thème choisi est d’apporter des éléments nécessaires à l’amélioration du système d’information existant. Le résultat de la présente étude constitue ainsi notre part de contribution à la mise en place de l’ISO 9001 version 2000.

METHODOLOGIE D’ANALYSE

Pour cela, nous commencerons par :
– La revue des bases théoriques sur le domaine de recherche ;
– L’analyse de la situation de l’entreprise en matière de système d’informations sur la base des outils inhérents au domaine de recherche ;
– L’identification des problèmes rencontrés, au coursde l’analyse de l’existant;
– La proposition des recommandations correctives, par rapport aux problèmes rencontrés lors de l’analyse de l’existant.
La méthodologie de notre travail s’appuiera également sur une partie diagnostique, qui consistera à examiner les observations effectuées sur la société et son environnement. Cette partie de l’étude abordera :
– Une analyse de l’environnement de l’entreprise (off re, demande et concurrence) ;
– Un bilan des forces et faiblesses de la société ;
– Un bilan des opportunités et menaces du secteur.

LIMITE DE LA RECHERCHE

La confidentialité liée à certaines informations aété, en premier lieu, la limite de nos recherches. L’insuffisance de documents et données relatives au domaine d’étude ne nous a pas permis également d’étayer davantage notre travail.
Le délai limite de recherche et de rédaction de notre devoir a été en deuxième lieu, une contrainte à nos recherches. Avec un peu plus de te mps, nous avons pu approfondir davantage nos analyses, et par conséquent, les propositions et recommandations plus appropriées.

RESULTAT DE L’IMPREGNATION

Après les théories dispensées par l’établissement ed formation, la pratique en entreprise constitue la seconde étape, considérée ommec complémentaire aux théories et consistant à la concrétisation de ces dernières. C’est aussi une phase pendant laquelle l’étudiant, devenu chercheur, commence à apprécier les différents outils mis à sa disposition pendant son cursus académique.

L’IMPREGNATION

Notre sollicitation de stage auprès de la SOMAPECHE s’avére concluante. Aussi, notre stage, au sein de la SOMAPECHE, s’est-il étalé sur une durée de douze (12) semaines, qui a commencé le23 Octobre 2007 et s’est terminé le 23 Janvier 2008.
Les douze semaines se sont déroulées dans une ambiance professionnelle, avec un sens de rigueur, de discipline, et de respect des règlements et horaires de travail. L’accueil et la sympathie du personnel ont facilité notre intégration aux activités de la société et surtout du Département Pêche et Technique auprès duquel nousvonsa effectué notre stage. Par ailleurs, la pratique de la communication nous a permis de situer d’une certaine manière nos collègues sur le plan organisationnel. Cela nous a permis de nous conformer facilement aux cultures de l’entreprise, et d’adapter nos comportements en con séquence.

ACQUIS HUMAINS

En terme d’acquis humains, le stage en entreprise nous est mis à profit pour comprendre l’importance de la responsabilité au sein de la Société. Cela nous a davantage conscientisé sur la nécessité d’une promptitude dans l’exécution des travaux pour le bon déroulement des opérations. Il nous appartenait donc d’adapter nos capacités à la cadence de travail de la Société, et d’effectuer les mises auxpoints nécessaires, tant au niveau intellectuel que professionnel.

ACQUIS TECHNIQUES

En terme d’acquis techniques, les activités liées uxa procédures et aux documents indispensables à l’élaboration des schémas désignant les flux d’informations, nous a permis de nous familiariser davantage dans le traitement des documents, et des procédures en vigueur au sein de la société. S’ajoute à cela l’occasion de mettre en pratique le s théories sur le management de l’entreprise, comportant les quelques notions concernant les principes d’organisation, les moyens de communication, et bien d’autres notions transmises tout au long de la formation. Cela a aussi éveillé notre curiosité quant à l’approfondissement des concepts acquis par rapport aux pratiques en entreprise.

BASE THEORIQUE : APPROCHE DU SYSTEME D’INFORMATION

Le système d’information est caractérisé par les élments ci-après :
– Intervenants : Entité émettrice (en amont) et Entité réceptrice (en aval)
– Information : Information directement utilisable, et Information nécessitant un certain niveau de traitement
– Outils : Traitement et Cryptage / Décryptage
– Contenus / Support : Ecrit, Sonore, Visuel et Audio-visuel
– Contrôle : Suivi et Feedback
Les entreprises ont eu tôt fait de constater qu’une gestion efficace des flux d’information passe par la distinction des données en deux catégories : les informations directement utilisables, et les informations nécessitant des traitements.
En fait, ces informations peuvent aussi bien provenir de l’extérieur (amont, aval) à l’entreprise, et certaines de l’intérieur. Le système d’informations de l’entreprise doit prévoir ainsi un dispositif de réception, de traitement, detransmission, de suivi et même de réactivité (feedback) pour que le flux ne soit pas cassé.
L’intervenant en amont (l’émetteur) reçoit des informations de sources internes ou externes. Avant d’éventuellement les transmettre à un destinataire quelconque (le récepteur), l’émetteur va apprécier l’opportunité des informations : (i) Si les informations nécessitent un certain traitement (informations brutes), il est indispensable que l’émetteur traite d’abord ces informations avec des outils informatiques, avant de les transmettre à l’autre utilisateur ; (ii) si les informations ne nécessitent aucun traitement, le premier intervenant transfère directement l’information vers son destinataire.
Ces informations sont transférées au moyen de supports. Ces supports peuvent sous forme de stockage informatique, de documents, de téléphonie, etc. La transmission peut être ainsi effectuée suivant les supports par Ecrit, Sonore, Visuel et Audio-visuel. Étant transférées à l’autre utilisateur, ces informations doivent enc ore faire l’objet de suivi de la part de l’émetteur. En revanche, un feed-back peut avoir lieu ou même doit être provoqué pour que puisse être appréciée l’efficacité du système d’informations. En conséquence, la mise en place d’un dispositif de contrôle ou d’autocontrôle est p lus que nécessaire pour le processus.

PROCESSUS DE CONTRÔLE

Organiser le contrôle consiste à déterminer les étapes du processus où s’effectueront le les contrôles, à fixer les seuils de qualité accept able, et à désigner les responsables de ces opérations. Ainsi, la démarche appelle plutôt la notion de « contrôle directif » que celle de « contrôle analytique ». En effet, le contrôle anal ytique est caractérisé par la définition des écarts entre la prévision et la réalisation afin dedégager des mesures correctives. Tandis que le contrôle directif sert à prévenir pour que ne se produise un événement indésirable. C’est alors un dispositif de réglage systématique du processus agrémenté d’autocontrôle qu’il faut ériger.

LES POINTS DE CONTRÔLE

Est-il rentable de contrôler après chaque opération d’un processus ? Doit-on se contenter de placer les contrôles à certains points clés ? Pour répondre à ces questions, il faut considérer les deux conséquences suivantes d’un défaut : (i) Si une désinformation ou une divergence d’information n’est pas détectée à temps, elle continue à se propager jusqu’au prochain contrôle où sera détecté la non-conformité; on va donc travailler avec de mauvaises informations comme référence à la prise de décisionou comme cadre de réalisation d’une activité : c’est la notion de propagation dans le temps ; (ii) si l’on ne détecte pas aussitôt une carence d’information due à une rétention ou à une non actualisation d’information, on continue à encaisser les méfaits de cette carence si la cause n’en serait pas éliminé :c’est la notion de propagation dans l’espace.

LE NIVEAU DE LA QUALITÉ DE L’INFORMATION

Suivant les cas, un niveau de qualité acceptable différent est fixé :
 Soit dans un seuil de tolérance de5%, alors la qualité de l’information est « acceptable » puisque les carences ou les divergences d’information sont jugées « non significatives ». Dans ce cas, la zone de non qualité n’affiche qu’un niveau de carence moindre ; la zone de qualité peut présenterseulement une divergence tolérable.
– Soit une position inférieure à – 5% dans la zone de non qualité, alors les carences ou les divergences d’information sont jugées « significatives » :
] – 5% ; – 10%] la qualité de l’information est « alarmante » ] – 10% ; – 20%] la qualité de l’information est « menaçante » en deçà de – 20% la qualité de l’information est « critique »

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Table des matières

INTRODUCTION
PREMIERE PARTIE : CADRE D’ETUDES
CHAPITRE I : PRESENTATION DE L’ENTREPRISE ET DE SON ENVIRONNEMENT
SECTION 1 : IDENTIFICATION DE L’ENTREPRISE
SECTION 2 : ENVIRONNEMENT INTERNE ET EXTERNE A L’ENTREPRISE 
CHAPITRE II :APERCU DE LA FILIERE CREVETTIERE A MADAGASCAR
SECTION 1 : DESCRIPTION DE LA FILIERE CREVETTIERE A MADAGASCAR(3)
SECTION 2 : LES STRUCTURES ET MODES D’ORGANISATION
SECTION 3 : L’ECONOMIE GLOBALE DE LA FILIERE
SECTION 4 : CONTEXTE ECONOMIQUE ACTUEL
SECTION 5 : POLITIQUE NATIONALE SUR L’EXPORTATION DES CREVETTES
CHAPITRE III : METHODOLOGIE ET BASES THEORIQUES 
SECTION 1: METHODOLOGIE DE TRAVAIL
SECTION 2: METHODOLOGIE D’APPROCHE
SECTION 3: RESULTAT DE L’IMPREGNATION
SECTION 4: BASE THEORIQUE : APPROCHE DU SYSTEME D’INFORMATION
DEUXIEME PARTIE : ANALYSE DE L’EXISTANT ET IDENTIFICATION DES PROBLEMES
CHAPITRE I : LE SYSTEME D’INFORMATION 
SECTION 1: ASSURER LA QUALITE DE L’INFORMATION
SECTION 2: FAVORISER L’AMELIORATION DE LA PERFORMANCE DE L’ENTREPRISE
SECTION 3: INFORMATIQUE ET INFORMATION
CHAPITRE II : ANALYSE DE L’EXISTANT ET IDENTIFICATION DES PROBLEMES 
SECTION 1: LE DOMAINE COMMERCIAL
SECTION 2: LE DOMAINE TECHNIQUE
CHAPITRE III : CONSTATS GLOBAUX 
SECTION 1: CONSTATATION INTERNES
SECTION 2: DIAGNOSTIC SOMMAIRE DE LA SOCIETE
TROISIEME PARTIE: PROPOSITION: «LA CONTRIBUTION A L’AMELIORATION DES PERFORMANCES DE LA SO.MA.PECHE, PAR LA MISE EN PLACE DE L’ASSURANCE QUALITE»
CHAPITRE I : L’ASSURANCE QUALITE 
SECTION 1: NOTIONS SUR L’ASSURANCE QUALITE
SECTION 2: LES OBJECTIFS DE LA PROPOSITION
SECTION 3: RAPPEL DES PRINCIPES ET DE L’ASSURANCE QUALITE
CHAPITRE II : MISE EN ŒUVRE DE L’ASSURANCE QUALITE 
SECTION 1: APPLICABILITE DE LA MISE EN PLACE DE L’ASSURANCE QUALITE
SECTION 2: ETABLISSEMENT D’UNE ARCHITECTURE DOCUMENTAIRE
SECTION 3: CONTROLE DE LA MISE EN ŒUVRE DE L’ASSURANCE QUALITE
CHAPITRE III : PROPOSITION D’AMELIORATION 
SECTION 1: PROPOSITION RELATIVE A L’ORGANISATION
SECTION 2: LES POSSIBILITES OFFERTES PAR L’OUTIL INFORMATIQUE
SECTION 3: LIMITES ET CONTRAINTES DE LA PROPOSITION
CONCLUSION
BIBLIOGRAPHIE

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