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Les composantes du Projet de Gouvernance et de Financement de l’Enseignement Supérieur (PGF-Sup)
Le PGF-Sup comporte deux grandes composantes à savoir le renforcement du système de gouvernance dans l’enseignement supérieur et l’amélioration de l’efficacité des institutions universitaires.
Renforcement du système de gouvernance dans l’enseignement supérieur
Cette composante est à l’origine de la création de la Direction générale de l’enseignement supérieur (DGES) et de l’Autorité nationale d’assurance qualité de l’enseignement supérieur (ANAQ-Sup), bras technique du ministère de l’Enseignement supérieur et de la recherche en matière de contrôle de la qualité. L’ANAQ-Sup est chargée des habilitations et accréditations des programmes et des établissements d’enseignement supérieur, la mise en place d’un système de suivi et d’évaluation et la conduite d’études visant au développement de la connaissance du secteur.
Amélioration de l’efficacité des institutions universitaires
Cette composante a été traduite par la signature de contrats de performances (CDP) entre l’Etat et les universités, la diversification et l’accroissement de l’offre de formation professionnalisante. De nombreuses mesures peuvent être citées : la construction de l’Institut supérieur d’enseignement professionnel (ISEP) de Thiès ; l’amélioration de l’environnement d’apprentissage avec la construction de la 2ème université de Dakar ; la réhabilitation de l’infrastructure pédagogique de l’Université Cheikh Anta Diop de Dakar (UCAD) ; les nouvelles constructions sur les campus de l’Université Gaston Berger de Saint-Louis (UGB), de l’Université de Thiès (UT), de l’Université Alioune Diop de Bambey (UADB) et de l’Université Assane Seck de Ziguinchor (UASZ) ; le renforcement de l’utilisation des technologies de l’information et de la communication (TIC) avec l’interconnexion des universités ; le déploiement de réseaux Wifi sur les campus pédagogiques et sociaux et le développement des cours en ligne.
L’organisation de l’enseignement supérieur et la recherche au Sénégal [3]
L’organisation de l’enseignement supérieur au Sénégal est une mission publique confiée au Ministère de l’enseignement supérieur et de la recherche. Deux directions techniques sont chargées de la mise en œuvre de la politique d’orientation de l’enseignement supérieur et de la recherche.
Direction Générale de l’Enseignement Supérieur (DGES)
Elle est chargée d’assister le Ministre de l’Enseignement Supérieur et de la Recherche dans la mise en œuvre de la politique nationale en matière d’enseignement supérieur. A ce titre, et sous l’autorité du Ministre, elle joue un rôle de coordination, d’harmonisation et de mutualisation des ressources humaines et matérielles. Elle a pour mission de :
appuyer l’élaboration des projets et de plans stratégiques nationaux et d’en assurer le suivi;
proposer au ministre, après étude des dossiers, l’accréditation des établissements privés d’enseignement supérieur;
proposer et de mettre à jour la base de données de l’enseignement supérieur;
suivre et d’évaluer l’exécution des contrats de performance entre les universités et le ministère et assurer la reddition des comptes;
élaborer des projets de loi et de décrets servant de référentiel aux universités;
veiller à la mise en œuvre, après approbation du ministre, des recommandations de l’Autorité nationale d’assurance qualité (ANAQ-Sup).
La Direction générale de l’Enseignement Supérieur comprend des directions et services rattachés qui sont :
Il faut citer les directions
le bureau d’accueil et d’orientation,
le bureau administratif et financier.
Direction Générale de la Recherche (DGR)
La Direction générale de la recherche est chargée d’assurer la coordination, l’harmonisation des activités de recherche et d’innovation ainsi que la mutualisation des ressources. Elle assiste le ministre dans la mise en œuvre de la politique de recherche et d’innovation. La Direction Générale de la recherche a pour mission de :
assurer le renforcement des liens entre les différentes composantes du système national de recherche afin de favoriser les synergies ;
favoriser la diffusion des résultats de la recherche et leur valorisation;
assurer la promotion de la recherche;
contribuer à la mise en place d’un système de financement des activités de recherche et à la diversification des ressources de financement; et
assurer la promotion de la culture scientifique et technique. La Direction Générale de la recherche comprend :
la Direction des Stratégies et de la Planification de la Recherche (DSPR)
la Direction de l’Innovation, de la valorisation, de la Propriété intellectuelle et du transfert technologie;
la Direction du financement de la Recherche scientifique et du Développement technologique (DFRSDT);
la Direction de Promotion de la Culture scientifique (DPCS).
Les institutions de l’enseignement supérieur
Depuis plusieurs années, les capacités d’accueil des universités publiques ont atteint leur seuil de saturation alors que le nombre d’étudiants que compte le Sénégal représente tout jute 50% de ce qu’il devrait être au regard des normes internationales. Par ailleurs le nombre de nouveaux bacheliers ne cesse de croitre sous les effets du Plan décennal de l’éducation et de la formation (PDEF)
[6] qui a concouru à accroitre le taux de scolarisation, à réduire le taux de redoublement et à accroitre le taux d’achèvement des différents cycles. Afin de faire face à cette demande croissante d’accès à l’enseignement supérieur, les autorités ont décidé de procéder à l’extension de la carte universitaire.
Carte universitaire
Le gouvernement a déployé des efforts importants dans le cadre du PDEF. Ce qui a permis une expansion sans précédent du système éducatif sénégalais, notamment par l’amélioration de l’accès aux services de base, en particulier celle d’une éducation et d’une formation de qualité. Une option stratégique a été de dessiner une nouvelle carte universitaire décentralisée s’appuyant sur une profonde réforme en plusieurs pans : une Carte Universitaire planifiée dans l’espace et dans le temps ;
Une diversification des filières et des établissements ;
Une valorisation des ressources nationales et régionales ;
Un élargissement de la gouvernance des structures de l’enseignement supérieur aux représentants du monde du travail et des collectivités locales ou décentralisées ;
Une spécialisation des universités régionales et des Collèges Universitaires Régionaux avec des dominantes ;
Un portage académique des structures (Université de Thiès, Université de Ziguinchor, Université de Bambey) par des Universités-Ressources comme l’Université Cheikh Anta Diop de Dakar (UCAD) et l’Université Gaston Berger de St-Louis (UGB) ;
Une implantation de Programme Décennal de l’Education et de la Formation (PDEF) dans toutes les régions administratives du Sénégal et dans les pools économiques, avec des Instituts Supérieurs d’Enseignement Professionnel (ISEP) de niveau Bac+2 ; Une utilisation intensive des TIC pour des formations à distance et pour le pilotage ;
Une orientation vers le développement économique des nouvelles universités : filières scientifiques et technologiques, filières de gestion, de transport maritime et aérien et professionnalisation des filières actuelles de droit et de lettres.
A la lumière de ces objectifs, les autorités ont décidé de procéder à l’extension de la carte universitaire avec la création de la 2ème université de Dakar dénommée actuellement Université Amadou Mahtar MBOW, avec l’appui de la Banque mondiale, la création, sur le budget national, de l’Université du Sine-Saloum de Kaolack (USSK) à vocation agricole avec des campus à Kaolack, Fatick, Kaffrine et Diourbel, le projet de création de l’Université du Sénégal oriental à Tambacounda (USOT) axée sur les métiers des mines avec des campus à Tambacounda, Bakel et Kédougou. Il est également prévu une diversification de l’offre d’enseignement supérieur avec la création d’ISEP articulés avec le potentiel socio-économique des régions et reposant sur un enseignant en alternance dispensé à part dans les établissements et dans le monde du travail. Un effort important est également fait pour amener les universités à professionnaliser un certain nombre de filières et à créer de nouvelles filières à vocation professionnelle (Licence et Master professionnels). Cela étant, conscientes que malgré tous les efforts consentis par le gouvernement, les institutions d’enseignement supérieur publiques ne seront pas en mesure d’accueillir tous les nouveaux bacheliers dans les années à venir, les autorités ont décidé d’orienter une part croissante des nouveaux bacheliers vers les établissements privés d’enseignement supérieur (EPES) offrant des filières accréditées par le CAMES.
Evolution des effectifs
Les effets positifs dans le secteur de l’éducation (élémentaire, moyen et secondaire) ont fortement accru la demande d’accès au supérieur. En 2012, l’effectif des élèves en classe de terminale était de 78 000. Avec le même rythme d’augmentation observé au cours des années antérieures, il atteindra 118 000 élèves en 2017 et 174 000 en 2022. En outre, l’effectif des candidats au baccalauréat inclut le nombre d’élèves en Terminale et les candidatures libres. En 2012, 19000 candidatures libres ont été enregistrées et il faudra s’attendre à 24 310 en 2017 et 31 027 en 2022. Ainsi, le nombre de candidats au baccalauréat en 2017 s’élèvera à 143 000 et 204 500 en 2022. Avec un taux de réussite de 45% en 2017 et de 48% en 2022, les effectifs de nouveaux bacheliers seront respectivement de 64 203 et 97 616. La demande en éducation supérieure sera exponentielle dans les années à venir [5].
L’Autorité Nationale d’Assurance Qualité de l’enseignement Supérieur ANAQ-Sup
L’Autorité Nationale d’Assurance Qualité de l’enseignement Supérieur (ANAQ-Sup) est une agence de l’Etat sous la tutelle administrative et technique du Ministère de l’Enseignement Supérieur et de la Recherche, chargée de contrôler, garantir et améliorer la qualité des programmes et des institutions de l’enseignement supérieur. Elle a été créée par le décret 2012-837 du 07 août 2012 comme le deuxième organe, après la Direction Générale de l’Enseignement Supérieur, dans la foulée des réformes de gouvernance engagées dans le sous-secteur de l’enseignement supérieur au Sénégal [9]. Les principaux partenaires financiers de l’ANAQ-Sup sont la Banque Mondiale, le CAMES, Breda-UNESCO, Unesco Bureau multi-pays de Bamako et le PAES-UEMOA.
Les compétences de l’ANAQ-Sup sont élargies à tous les établissements publics et privés d’enseignement supérieur du Sénégal sous la tutelle du MESR ainsi que leurs programmes et filières.
L’ANAQ-Sup est une institution autonome, personne morale de droit public. Ses organes sont : le Conseil d’administration, le Conseil scientifique et le Secrétariat exécutif.
Missions de l’ANAQ-Sup
L’ANAQ-Sup a pour mission de:
définir, en rapport avec le Ministère chargé de l’Enseignement supérieur et les établissements d’enseignement supérieur, les standards de qualité à respecter par les établissements d’enseignement supérieur et leurs filières;
concevoir et mettre en place un mécanisme d’assurance qualité compatible avec les objectifs et les exigences de l’enseignement supérieur ;
mettre en place des procédures formelles et d’identifier les critères, pour l’évaluation de la qualité des établissements d’enseignement supérieur ;
donner un avis technique au Ministre chargé de l’Enseignement supérieur sur les demandes d’accréditation des institutions d’enseignement supérieur ;
évaluer périodiquement les enseignements, les outils et méthodes pédagogiques dans les établissements et les filières;
assister et accompagner les établissements dans le développement et la mise en œuvre de leur procédure interne d’assurance qualité et d’auto-évaluation.
Evaluation des établissements d’enseignement supérieur
L’évaluation consiste à faire émettre un jugement sur le niveau de qualité par des experts (pairs externes), lors d’une visite sur site et sur la base d’un rapport d’auto-évaluation, produit par l’établissement ou par le programme. L’ANAQ-Sup travaille en collaboration étroite avec les cellules internes d’assurance qualité des institutions. Ces cellules appuient l’auto-évaluation des établissements et des programmes sur la base des référentiels de l’ANAQ-Sup.
L’Emblème de l’UCAD
L’emblème de l’Université Cheikh Anta Diop de Dakar est composé de deux antilopes chevalines qui se font face et qui sont flanquées de part et d’autre d’un flambeau. Les antilopes chevalines sont le symbole de la fécondité, de l’abondance et de la procréation. Ce sont des idoles ou masques agraires qui proviennent du groupe ethnique des bambara de la ville de Ségou en République du Mali.
L’emblème a été conçu par le Professeur Théodore Monod, à l’époque, directeur de l’IFAN. Le Recteur Lucien Paye (1957-1960) l’a attribué par la suite à l’Université de Dakar. Son utilisation est restrictive et limitée aux seules fins officielles. Il est reproduit sur le sceau, les diplômes et les publications institutionnelles telles qu’annuaires et brochures. Seuls l’UCAD et les établissements qui la composent ou en dépendent peuvent l’utiliser comme logo ou en-tête de leur papier à lettre. Le logo et les inscriptions qui l’entourent sont imprimés en noir sur fond bleu turquoise légèrement foncé correspondant en art graphique au code bleu.
La devise de l’UCAD est LUX MEA LEX c’est-à-dire « La lumière est ma loi », devise qui a été créée par Léopold Sédar Senghor [12].
L’organisation de l’UCAD
Organisation générale
L’organigramme de l’Université Cheikh Anta Diop de Dakar (UCAD) est constitué des structures suivantes :
le Cabinet du Recteur et les services et directions rattachés ;
le Secrétariat général et les services rattachés ;
les directions que sont:
la Direction des Finances et de la Comptabilité ;
la Direction des Affaires juridiques ;
la Direction de la Gestion du Domaine universitaire ;
la Direction des Ressources humaines ;
la Direction de l’Informatique et du Système d’Information ;
la Direction de la Coopération ;
la Direction de la Vie universitaire et du service à la communauté ;
la Direction de la Recherche et de l’Innovation ;
la Direction des Affaires pédagogiques ;
la Direction de l’Animation culturelle et scientifique ;
la Direction de la Communication et de l’Information ;
la Direction des Presses universitaires ;
la Direction de la Cellule interne d’Assurance Qualité.
Directions rectorales
La Direction de la Cellule interne d’Assurance Qualité (DCIAQ)
La Direction de la Cellule interne d’Assurance Qualité a pour mission de promouvoir les pratiques de qualité au sein des établissements, notamment dans les domaines de la formation, de la recherche et de la vie universitaire de l’UCAD. A ce titre, elle est chargée de/d’:
mettre en œuvre la politique Qualité définie par le Gouvernement et le Recteur ;
élaborer des instruments d’exécution de la politique Qualité tels que les référentiels, les indicateurs, les plans d’actions, les tableaux de bord et les outils d’évaluation interne ;
piloter les différentes évaluations requises par l’Autorité nationale d’Assurance Qualité de l’Enseignement supérieur (ANAQ-Sup) ;
évaluer les projets de création de structures de recherche et/ou de formation ainsi que les projets et programmes de formation en vue de leur habilitation et/ou accréditation ;
exploiter les rapports d’évaluation internes et externes et mettre en place des stratégies de remédiation.
La Direction des Presses universitaires de Dakar (DPUD)
Elle assure la mise en œuvre et le suivi de la politique universitaire en matière d’édition. A ce titre, elle est chargée de la:
confection et la diffusion d’ouvrages didactiques ou spécialisés ;
confection, sur demande, de mémoires et de thèses universitaires ;
publication et la diffusion des annales des établissements de recherche, d’articles, de revues et de bulletins scientifiques, d’actes de colloques, de journaux universitaires d’information, etc.
La Direction de l’Information et de la Communication (DIRCOM)
Cette direction a pour mission principale de définir et mettre en œuvre la politique de communication de l’Université et de promouvoir l’Université et ses activités à travers divers moyens de communication. A ce titre, elle est chargée de/d’:
élaborer annuellement un plan de communication et le mettre en œuvre ;
concevoir, conduire et coordonner l’élaboration et la mise en œuvre des programmes d’information du grand public et de plaidoyer de l’Université;
créer et animer des supports écrits, radiophoniques et télévisuels de communication et proposer des orientations pour leur financement et leur articulation avec les établissements;
servir de point focal pour la diffusion de l’information et agir en qualité de porte-parole de l’Université;
coordonner toutes les activités de communication de l’Université ;
donner des conseils sur la ligne éditoriale et préparer des interventions, des discours, des droits de réponse sur des questions spécifiques, à l’intention du Recteur
organiser les conférences de presse de l’Université ;
préparer les communiqués de presse et autres documents d’information et apporter son concours dans la diffusion de ces matériels d’information ;
mobiliser la presse nationale et internationale pour la couverture des activités de l’Université.
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Table des matières
Introduction
Première partie : Enseignement supérieur au Sénégal, Université Cheikh Anta Diop, faculté de Médecine Pharmacie et d’Odontostomatologie
Chapitre I : Enseignement supérieur au Sénégal
I.1. L’enseignement supérieur à l’heure des reformes
I.2. Les composantes du Projet de Gouvernance et de Financement de l’Enseignement Supérieur
I.2.1. Renforcement du système de gouvernance dans l’enseignement supérieur
I.2.2. Amélioration de l’efficacité des institutions universitaires
I.3. L’Organisation de l’enseignement supérieur et la recherche au Sénégal
I.3.1. Direction Générale de l’Enseignement Supérieur (DGES)
I.3.2. Direction Générale de la Recherche (DGR)
I.4. Les institutions de l’enseignement supérieur
I.4.1. Carte universitaire
1.4.2. Evolution des effectifs
I.4.3. Universités et institutions publiques d’enseignement supérieur
I.4.4. Universités et institutions privées d’enseignement supérieur
I.5. L’Autorité Nationale d’Assurance Qualité de l’enseignement Supérieur ANAQ-Sup
I.5.1. Missions de l’ANAQ-Sup
I.5.2. Evaluation des établissements d’enseignement supérieur
I.5.2.1. Types d’établissements pouvant être évalués
I.5.2.2. Procédures de l’évaluation
I.5.2.3. Objectifs et avantages de l’évaluation
I.6. Les aspects financiers de l’enseignement supérieur
I.7. Les défis de l’enseignement supérieur
I.7.1. Défis pour l’accès
I.7.2. Défis pour la qualité
I.7.3. Défis pour le financement
I.7.4. Défis pour la gestion et le pilotage
Chapitre II : Université Cheikh Anta Diop de Dakar (UCAD)
II.1. Les dates repères de l’UCAD
II.2. Le Parrain : Cheikh Anta Diop
II.3. L’Emblème de l’UCAD
II.4. Les recteurs de l’UCAD
II.5. L’organisation de l’UCAD
II.5.1. Organisation générale
II.5.2. Directions rectorales
II.5.2.1. La Direction de la Cellule interne d’Assurance Qualité (DCIAQ)
II.5.2.2. La Direction des Presses universitaires de Dakar (DPUD)
II.5.2.3. La Direction de l’Information et de la Communication (DIRCOM)
II.5.2.4. La Direction de l’Animation culturelle scientifique (DIACS)
II.5.2.5. La Direction des Affaires pédagogiques (DAP)
II.5.2.6. La Direction de la Vie universitaire et du Service à la Communauté (DVUSC)
II.5.2.7. La Direction de la Coopération (DC)
II.5.2.8. La Direction de l’Informatique et des Systèmes d’information (DISI)
II.5.2.9. La Direction des Ressources humaines (DRH)
II.5.2.10. La Direction de la Gestion du Domaine Universitaire (DGDU)
II.5.2.11. La Direction des Affaires juridiques (DAJ)
II.5.2.12. La Direction des Finances et de la Comptabilité (DFC)
II.5.2.13. Le Conseiller spécial du Recteur et le Conseiller juridique
II.5.2.14. La Direction des Etudes et des Statistiques (DES)
II.5.2.15. La Direction de l’Audit interne (DAI)
II.5.2.16. Le Cabinet du Recteur et les services et directions rattachés
II.5.3. Facultés
II.5.4. Ecoles
II.5.5. Instituts
Chapitre III : Faculté de Médecine, de Pharmacie et d’Odontostomatologie (FMPOS)
III.1. Organisation administrative de la FMPOS
III.2. Organisation pédagogique de la FMPOS
III.3. Equipe décanale et comités (ou commissions)
III.3.1. Lacommission pédagogique
III.3.2. La commission Recherche et éthique
III.3.3. La commission loisirs, environnement et sports
III.3.4. La commission Déontologie et prévention des crises
III.3.5. La commission Finance et du budget
III.3.6. La commission Reforme
III.4. Section Pharmacie
III.4.1. Mission et objectifs
III.4.2. Objectifs institutionnels
III.4.3. Programme d’étude en pharmacie
III.4.3.1. Objectifs de la formation
III.4.3.2. Organisation et durée du programme
III.4.3.3. Contenu du programme d’études
III.4.3.4. Stages
III.4.4. Processus d’enseignement et d’apprentissage
III.4.5. Evaluation des étudiants
III.4.5.1. Contrôle(s) continu(s)
III.4.5.2. Examens semestriels
III.4.6. Formations optionnelles de second cycle
III.4.7. Internat
III.4.8. Evaluation de l’enseignement et des enseignants
III.4.9. Critère, politique et procédés de sélection des étudiants
III.4.10. Personnel Enseignant et Recherche (PER)
III.4.11. Charge relative d’enseignent par service
Deuxième partie : Méthodologie – Résultats – Discussion
Chapitre 1 : contexte et méthode
1.1. Contexte et objectif du travail
1.2.Méthodologie
1.2.1. Le cadre d l’étude
1.2.2. Domaine d’étude
1.2.3. Identification de la spécialité des différents travaux de thèse
1.2.4. Analyse des données
Chapitre 2 : Résultats
2.1. Axes de recherche
2.2. Evolution du nombre de thèses soutenues de 2010 à 2015
2.3. Répartition des thèses selon la citoyenneté des étudiants
2.4. Répartition des thèses en fonction de la spécialité du directeur de thèse
2.5. Répartition des thèses en fonction des départements
2.5.1. Département des sciences physicochimiques
2.5.2. Département des sciences pharmaceutiques
2.5.3. Département des sciences biologiques
2.6. Publications scientifiques
2.7. Les revues scientifiques et leur cote
2.7.1. Comparaison des facteurs d’impact des publications entre les départements de la section pharmacie
2.7.2. Comparaison des facteurs d’impact entre les spécialités du département des sciences physicochimiques
2.7.3. Comparaison des facteurs d’impact entre les spécialités du département des sciences pharmaceutiques
2.7.4. Comparaison des facteurs d’impact entre les spécialités du département des sciences biologiques
2.7.5. Exploitation croisée des publications et des revues
Chapitre 3 : Discussion
Conclusion
Références bibliographiques
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