Enseignement des sciences
Mรฉthode traditionnelle en enseignement des sciences
La mรฉthode traditionnelle dโenseignement, souvent utilisรฉe en enseignement des sciences, est caractรฉrisรฉe par la transmission des connaissances comme lโindique Gunstone (1990) : ยซ What the teacher says is what the learner hears and therefore knows. ยป Une telle approche, selon Mc Robbie et Tobin (1997), entraine un apprentissage basรฉ sur la mรฉmorisation des connaissances, le rappel des concepts et des applications directes des formules avec une comprรฉhension trรจs limitรฉe.
Les leรงons typiques au niveau prรฉuniversitaire sโapparentent ร une rรฉcitation inefficace : cโest le cas des cours magistraux, des exercices dโapplication et des problรจmes typiques, des diplรดmes dรฉlivrรฉs aprรจs des examens ou des tests standards dโรฉvaluation basรฉs sur la restitution des faits et sur la rรฉsolution des problรจmes quantitatifs similaires ร ceux dรฉjร รฉtudiรฉs (European Physics Education Network, 2000; Howes, 2001). Habituellement, lโenseignant prรฉsente son cours par un exposรฉ oral en lโassociant รฉventuellement ร dโautres outils dโenseignement (projection dโun transparent ou acรฉtate et commentaires associรฉs, etc.). Lโenseignement magistral demeure lโune des stratรฉgies dโenseignement les plus utilisรฉes par le personnel enseignant. Ce personnel recourt ร lโexposรฉ magistral non seulement pour traiter les notions abstraites, mais aussi pour expliquer des phรฉnomรจnes physiques dans le cas oรน le matรฉriel expรฉrimental nโest pas disponible.
Bien que lโenseignement magistral puisse รชtre efficace, particuliรจrement pour enseigner ร des classes oรน le nombre dโรฉtudiants est รฉlevรฉ, il faut reconnaรฎtre que son utilisation rรฉguliรจre se traduit trop frรฉquemment par de longs exposรฉs qui rendent inactifs, dรฉmobilisent et dรฉmotivent un nombre important d’รฉtudiants (Giordan et Girault, 1994). Lโenseignement magistral ne laisse que peu de place ร la rรฉflexion. Ce type dโenseignement nโoffre pas aux apprenants lโoccasion de manipuler les concepts thรฉoriques (abstraits). Cโest le cas par exemple des concepts de lumiรจre ou de photon du fait que ces concepts reprรฉsentent des outils dโanalyse ร la fois du fonctionnement de la physique enseignรฉe et de lโactivitรฉ cognitive des apprenants par le biais de leurs verbalisations. Ainsi, les rรฉsultats dโune recherche conduite par Mazur (1997) de lโUniversitรฉ de Harvard montrent que les รฉtudiants, aprรจs avoir complรฉtรฉ des cours traditionnels en physique, rรฉpondent correctement ร des questions traditionnelles dโun test sans comprendre les concepts de base ou apprendre les approches de rรฉsolution des problรจmes.
Lโenseignement de lโeffet photoรฉlectrique
ย Aperรงu sur lโeffet photoรฉlectrique
En 1905, Albert Einstein publia dans un des trois articles rรฉvolutionnaires une explication inattendue de lโeffet photoรฉlectrique en attribuant ร la lumiรจre une double nature : ondulatoire et corpusculaire. Ceci lui a valu par la suite le prix Nobel.
Jusquโร la fin du 19e siรจcle, lโobservation des phรฉnomรจnes dโinterfรฉrence, de diffraction et de polarisation avait clairement mis en รฉvidence le caractรจre ondulatoire de la lumiรจre. De plus, il รฉtait gรฉnรฉralement acceptรฉ que les รฉchanges dโรฉnergie entre la matiรจre et le rayonnement รฉlectromagnรฉtique se fassent de maniรจre continue. รclairรฉe par une lumiรจre bleue, une plaque de mรฉtal รฉjecte des รฉlectrons, minuscules grains dโรฉlectricitรฉ : cโest lโeffet photoรฉlectrique. Avec une lumiรจre rouge, on nโobtient aucun effet, mรชme en concentrant beaucoup de lumiรจre en un point ! Difficile ร comprendre si lโon admet que la lumiรจre nโest quโune simple vibration, une onde transportant une รฉnergie รฉlectromagnรฉtique, tel que lโassumait le modรจle courant ร la fin du XIXe siรจcle. Pour lโexpliquer, Einstein a รฉmis lโhypothรจse que la lumiรจre est ยซ quanta ยป, onde et corpuscule ร la fois. Cโest ainsi que tout un chapitre de la physique sโouvrรฎt.
Lโeffet photoรฉlectrique est parmi les phรฉnomรจnes majeurs qui permettent de mettre en รฉvidence la nature corpusculaire de la lumiรจre : la lumiรจre est composรฉe de grains dโรฉnergie localisรฉs.
L’effet photoรฉlectrique est l’รฉmission d’รฉlectrons par un matรฉriau, gรฉnรฉralement mรฉtallique, lorsque celui-ci est exposรฉ ร la lumiรจre ou un rayonnement รฉlectromagnรฉtique nde frรฉquence suffisamment รฉlevรฉe; cette frรฉquence dรฉpend du matรฉriau, alors que le nombre dโรฉlectrons รฉmis, qui dรฉtermine l’intensitรฉ du courant, est proportionnel ร l’intensitรฉ de la source lumineuse. Ce phรฉnomรจne a รฉtรฉ dรฉcouvert en 1887 par le physicien allemand Heinrich Rudolf Hertz.
De nombreux scientifiques ont rรฉpรฉtรฉ les expรฉriences dโHertz avec des appareils semblables. Non seulement leurs rรฉsultats appuyaient lโhypothรจse dโEinstein, mais ils fournissaient aussi les fondements de lโanalyse sur lโeffet photoรฉlectrique. La figure 1 montre le montage utilisรฉ par Lenard (1902) pour รฉtudier le phรฉnomรจne de lโeffet photoรฉlectrique. Voici quelques-uns des plus importants rรฉsultats de la recherche :
๏ท lโรฉmission des รฉlectrons nโest possible que si la frรฉquence de la lumiรจre incidente est au-dessus dโune certaine frรฉquence, appelรฉ frรฉquence seuil. Au-dessus de la frรฉquence seuil, plus grande est lโintensitรฉ de la lumiรจre, plus grand est le courant รฉlectrique gรฉnรฉrรฉ par les รฉlectrons รฉmis.
๏ท lโintensitรฉ de la lumiรจre nโa aucun effet sur la frรฉquence seuil. Quelle que soit lโintensitรฉ de la lumiรจre incidente, si elle se trouve sous la frรฉquence seuil, aucun รฉlectron nโest รฉmis.
๏ท la frรฉquence seuil ร laquelle lโรฉmission photoรฉlectrique se produit dโabord est diffรฉrente pour les diffรฉrentes surfaces. Par exemple, la lumiรจre produisant une รฉmission photoรฉlectrique ร partir dโune cathode de Cรฉsium nโa aucun effet sur une cathode de cuivre.
๏ท ร mesure que le potentiel de freinage appliquรฉ ร lโanode est augmentรฉ, le courant photoรฉlectrique faiblit, sans รฉgard ร lโintensitรฉ de la lumiรจre. Les รฉlectrons sont alors รฉmis avec diffรฉrentes รฉnergies cinรฉtiques. Une valeur du potentiel de freinage est finalement atteinte, suffisamment pour rรฉduire le courant รฉlectrique ร zรฉro. Mรชme les รฉlectrons les plus rapides ne peuvent parvenir ร lโanode et sont retournรฉs par le potentiel de freinage.
๏ท si diffรฉrentes frรฉquences de lumiรจre, toutes au-dessus de la frรฉquence seuil, sont dirigรฉes sur la mรชme surface photoรฉlectrique, le potentiel dโarrรชt varie pour chacune. Il apparait que plus la frรฉquence de la lumiรจre est รฉlevรฉe, plus le potentiel dโarrรชt est รฉlevรฉ.
๏ท durant la photoรฉmission, la libรฉration de lโรฉlectron est immรฉdiate, sans temps dโattente notable entre lโillumination et lโรฉmission de lโรฉlectron, mรชme avec une lumiรจre extrรชmement faible. Il semble que lโรฉlectron absorbe lโรฉnergie lumineuse immรฉdiatement : aucun temps nโest requis pour lโaccumulation dโรฉnergie suffisante ร libรฉrer les รฉlectrons.
Parmi tous ces rรฉsultats de recherche, seul le premier pouvait รชtre expliquรฉ par la thรฉorie รฉlectromagnรฉtique classique de la lumiรจre. Plus particuliรจrement, selon la thรฉorie ondulatoire classique, il nโexiste aucune raison pour laquelle un faisceau intense de lumiรจre ร basse frรฉquence ne puisse produire un courant photoรฉlectrique, ni que lโintensitรฉ de la lumiรจre ne puisse affecter lโรฉnergie cinรฉtique maximale des รฉlectrons libรฉrรฉs. La thรฉorie ondulatoire classique de la lumiรจre ne pouvait vraiment pas expliquer lโeffet photoรฉlectrique.
Einstein รฉtait bien au fait de ces nouvelles expรฉriences et de lโhypothรจse du corps noir de Planck. Il connaissait aussi la thรฉorie atomique de la lumiรจre de Newton, dont il a retenu certains aspects pour avancer une hypothรจse audacieuse : lโรฉnergie du rayonnement รฉlectromagnรฉtique, y compris celle de la lumiรจre visible, nโest pas transmise de faรงon continue; elle se concentre plutรดt en lots dโรฉnergie appelรฉs photons. Il a utilisรฉ sa thรฉorie sur les photons pour expliquer certains rรฉsultats dโexpรฉriences portant sur lโeffet photoรฉlectrique, tout en prรฉvoyant de nouveaux effets.
Lโeffet photoรฉlectrique joue non seulement un rรดle thรฉorique majeur en introduisant la nature quantique de la lumiรจre, mais aussi un rรดle trรจs important en technologie. Il possรจde de nombreuses applications, particuliรจrement dans les semi-conducteurs connus sous le nom de photodiodes. Ces photodiodes sont les piรจces majeures de nombreux dispositifs antivol, de portes de garage et les dispositifs de fermeture de portes automatiques. Plusieurs autres dispositifs utilisent lโeffet photoรฉlectrique comme les tรฉlรฉcommandes de certaines tรฉlรฉvisions et de magnรฉtoscopes, les dรฉtecteurs de fumรฉe etc. Lโune des applications les plus importantes de lโeffet photoรฉlectrique est le dispositif ร transfert de charge (DTC); un rรฉseau de ces dispositifs est utilisรฉ dans les appareils photonumรฉriques pour capter les images รฉlectroniquement, dโune maniรจre plus prรฉcise.
Importance de lโenseignement de lโeffet photoรฉlectrique
Lโexpรฉrience de lโeffet photoรฉlectrique est prรฉsentement enseignรฉe au niveau collรฉgial, dans le cadre du programme ยซ 200. B0. Sciences de la nature ยป dans le cours de physique : ยซ Optique et physique moderne ยป. Ce programme actuel a vu le jour en 1998 dans le but de prรฉparer les รฉtudiants pour l’universitรฉ. Il s’รฉtale sur une pรฉriode de quatre sessions et s’รฉchelonne sur deux ans.Le programme ยซ Sciences de la nature ยป au collรฉgial a pour objet de donner ร l’รฉtudiant ou ร l’รฉtudiante une formation รฉquilibrรฉe, intรฉgrant les composantes de base d’une formation scientifique et d’une formation gรฉnรฉrale rigoureuse, les rendant aptes ร poursuivre des รฉtudes universitaires en sciences pures, en sciences appliquรฉes ou en sciences de la santรฉ (MELS, 2007)
Les cours offerts se subdivisent en deux blocs, soit, d’une part, la formation gรฉnรฉrale commune et complรฉmentaire de 45 crรฉdits, et, d’autre part, la formation spรฉcifique de 60 crรฉdits. Parmi les objectifs du programme, on mentionne que l’รฉtudiant ou l’รฉtudiante doit รชtre capable de rรฉaliser les diffรฉrentes รฉtapes d’une dรฉmarche scientifique de type expรฉrimental (MELS, 2007).
La formation spรฉcifique inclut des cours de biologie, de chimie, de physique et de mathรฉmatiques. La prรฉsente recherche entre dans le cadre dโun cours de physique, intitulรฉ ยซ Ondes, optique et physique moderne, 203-NYC-05 ยป. Le cours se dรฉroule sur une session de 15 semaines pour un total de 75 heures, dont 45 heures sont consacrรฉes ร la thรฉorie et 30 heures aux expรฉriences de laboratoire. Ce cours est le dernier des trois cours de physique pour les รฉtudiants inscrits au Diplรดme dโรฉtudes collรฉgiales en Sciences de la nature. Il est suivi habituellement lors de la quatriรจme et derniรจre session de leur cheminement.
Selon le ministรจre de lโรducation de Quรฉbec (1998), un des 10 buts de la formation spรฉcifique du programme Science de la nature du collรฉgial consiste ร rendre lโรฉtudiant capable dโanalyser diffรฉrentes situations ou des phรฉnomรจnes physiques reliรฉs aux ondes, ร lโoptique et ร la physique moderne ร partir de principes fondamentaux. Lโannexe I indique les objectifs et standards concernant ce but. Lโeffet photoรฉlectrique prรฉsente une opportunitรฉ importante pour acquรฉrir cette compรฉtence.
Cette expรฉrience est traitรฉe dans le but de montrer la nature quantique de la lumiรจre et par la suite dโintroduire ร la physique quantique ou moderne. Elle constitue donc un bon exemple dโanalyse de situation ร partir de notions de la physique moderne en faisant appel aux standards nรฉcessaires pour aboutir au but gรฉnรฉral mentionnรฉ ci-dessous (voir Annexe I). Une activitรฉ basรฉe sur cette expรฉrience prรฉsente รฉgalement une opportunitรฉ pour les รฉtudiants dโappliquer une dรฉmarche scientifique en faisant appel aux concepts, aux lois et aux principes de la physique. Enseigner aux รฉtudiants que la lumiรจre, une saturation apparemment infinie de rayonnement รฉlectromagnรฉtique, est aussi de nature quantique offre une occasion de prรฉparer les รฉtudiants aux concepts quโils rencontreront ร lโuniversitรฉ. En utilisant le dispositif de lโexpรฉrience conduite par Philip Lenard (1902), la mise ร lโรฉpreuve de plusieurs situations, par les รฉtudiants, leur permet de dรฉvelopper habituellement des mรฉthodes de raisonnement quโils utiliseront constamment durant leurs รฉtudes postรฉrieures. Lโenseignement de lโeffet photoรฉlectrique peut ainsi impliquer lโappropriation de deux modes de raisonnement : inductif, les รฉtudiants tentent de construire un modรจle pour expliquer les rรฉsultats de lโexpรฉrience, et dรฉductif, en appliquant le modรจle pour la vรฉrification. De plus, le traitement de cette expรฉrience peut mener les รฉtudiants ร une redรฉcouverte guidรฉe, ร lโamรฉlioration de leur compรฉtence dโanalyser les graphiques et ร une meilleure communication scientifique.
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Table des matiรจres
RรSUMร
BSTRACT
TABLE DES MATIรRES
REMERCIEMENTS
INTRODUCTION
CHAPITRE 1. PROBLรMATIQUE
1. Enseignement des sciences : enjeux et limites
2. Apprentissage des sciences et conceptions initiales
3. Mรฉthode traditionnelle en enseignement des sciences
4. Lโenseignement de lโeffet photoรฉlectrique
4.1. Aperรงu sur lโeffet photoรฉlectrique.
4.2. Importance de lโenseignement de lโeffet photoรฉlectrique
4.3. Difficultรฉs en enseignement de lโeffet photoรฉlectrique
5. Nouvelles technologies de lโinformation et des communications
6. Apprentissage collaboratif
7. Technologies mobiles
8. Objectif de la recherche
CHAPITRE 2. CADRE THรORIQUE
1. Vision socioconstructiviste de lโapprentissage des sciences
1.1. Constructivisme de Piaget
0 1.2. Constructivisme et apprentissage des sciences
1.3. Socioconstructivisme de Vygotsky
1.4. Socioconstructiviste et apprentissage des science
1.5. Rรฉcapitulation
2. Apprentissage collaboratif
2.1. Dรฉfinition
2.2. Composantes
2.3. รtapes du processus de lโapproche collaborative
2.4. Limites de lโapprentissage collaboratif
2.5. Les interactions dans une situation de collaboration
2.6. Sommaire des principes de lโapprentissage collaboratif
3. Changement conceptuel
3.1. Prise en compte des conceptions initiales
3.2. Changement conceptuel
3.3. Revue sur les principaux modรจles de changement conceptuel
3.4. Rรฉcapitulation
3.5. Conception des environnements dโapprentissage
4. Conceptions des รฉtudiants au sujet du phรฉnomรจne photoรฉlectrique et de concepts connexes
4.1. Conceptions et principaux modรจles de la lumiรจre
4.2. Conceptions des รฉtudiants au sujet de lโeffet photoรฉlectrique .
5. Principales approches dโenseignement du phรฉnomรจne photoรฉlectrique et de concepts connexes.
5.1. Approche traditionnelle
5.2. Approche historique
5.3. Approche par analogie
5.4. Approche par rupture
5.5. Approche par juxtaposition
5.6. Approche par ordinateur
5.7. Rรฉcapitulation
6. Technologie de lโinformation et des communications et apprentissage des sciences
6.1. Nouvelles technologies et enseignement des sciences
6.2. Simulations
7. Apprentissage mobile
7.1. Dรฉfinition de lโapprentissage mobile
7.2. Technologies mobiles : potentialitรฉs et limites
7.3. Apprentissage mobile et thรฉories dโapprentissage
7.4. Apprentissage mobile : problรฉmatiques et dรฉfis
7.5. Apprentissage collaboratif et dispositifs mobiles
7.6. Cadre thรฉorique de lโapprentissage mobile
7.7. Rรฉcapitulation
8. Conclusion
CHAPITRE 3. QUESTIONS DE RECHERCHE
1. Introduction
2. Objectif de la recherche
3. Questions de recherche
CHAPITRE 4. MรTHODOLOGIE
1. Introduction
2. Dรฉmarche dโensemble et modes dโinvestigation
3. Laboratoire รฉlaborรฉ pour le projet de recherche (MobileSIM)
3. 1. Description de la simulation
3.2. Conception dโune activitรฉ MCSCL (Mobile Computer Supported Collaborative Learning)
3.3. รlaboration dโun scรฉnario dโapprentissage
4. Collecte dโinformation
4.1. Prรฉtest et post-test
4.2. Entrevues semi-structurรฉes
4.3. Questionnaire sur la collaboration, lโapprentissage mobile et les simulations
4.4. Enregistrements vidรฉos
4.5. Traces des sujets
5. Traitement des donnรฉes
5.1. รtude quantitative des rรฉsultats des prรฉtest et post-test
5.2. รtude qualitative des entrevues
5.3. Traitement des enregistrement vidรฉos
5.4. Traces : logs, papiers
CHAPITRE 5. RรSULTATS ET DISCUSSION
1. Effet dโenseignement de lโeffet photoรฉlectrique
1.1. Rรฉsultats au prรฉtest
1.2. Rรฉsultats au post-test
1.3. Comparaison des rรฉsultats des deux groupes
1.4. Gain normalisรฉ (facteur de Hake)
1.5. Rรฉcapitulation
2. Impact sur lโapprentissage et lโรฉvolution conceptuelle
2.1. Conceptions des รฉtudiants au sujet de la lumiรจre
2.2. Conceptions des รฉtudiants au sujet de lโeffet photoรฉlectrique et concepts annexes
2.3. Rรฉcapitulation
3. Processus dโapprentissage
3.1. Observation du contexte et dรฉroulement de lโexpรฉrimentation
3.2. Rรดle du simulateur sur PDA
3.3. Rรดle de la collaboration
3.4. Effet de la mobilitรฉ
CHAPITRE 6. CONCLUSIONS
REFERENCES BIBLIOGRAPHIQUES
ANNEXES
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