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Autres facteurs pathogéniques favorisant la prise de poids
La tendance qu’à un individu à prendre du poids peut être majorée par certains facteurs tels que le fait d’arrêter de fumer, l’apparition d’une maladie, le traitement par certains médicaments dont l’effet secondaire est de favoriser la prise de poids etc… Ces facteurs sont brièvement étudiés.
Arrêt du tabac
Le fait de fumer provoque une augmentation marquée de la vitesse du métabolisme et tend à diminuer les apports alimentaires lorsqu’on les compare à ceux des non-fumeurs. Le tabagisme et le poids montrent un rapport inverse et les fumeurs prennent fréquemment du poids lorsqu’ils arrêtent de fumer [92].
Consommation excessive d’alcool
L’organisme est incapable de stocker de l’alcool qui est oxydé en priorité avant les autres nutriments. La consommation d’alcool répond donc à certains des besoins énergétiques de l’organisme. Elle permet à une forte proportion de l’énergie provenant d’autres aliments ingérés d’être stockée, et est donc associée à un risque accru d’adiposité abdominale.
Toutefois, dans les études épidémiologiques, les sujets dont la consommation d’alcool est la plus importante ont tendance à être plus mince, peut-être parce que qu’ils mangent moins, et qu’une grande partie de leur besoins énergétiques est satisfaite par l’alcool [92].
Facteurs psycho affectifs
Même si la plupart des personnes obèses n’ont aucun problème psychologique particulier, on estime qu’environ 30% des personnes ayant de sérieux problème de poids mangent de façon compulsive sans même avoir faim. Ces débauches de nourriture sont parfois déclenchées par une émotion comme la tristesse, le stress ou la colère, ou elles surviennent toujours à un moment précis de la journée. Certaines personnes ne peuvent s’empêcher de manger lorsqu’elles regardent la télévision, d’autres ne peuvent résister à la vue d’aliments appétissants [67, 74].
Les stimuli qui poussent une personne à manger ou à manger sans cesse sont nombreux. Plusieurs personnes ont suivi des thérapies pour apprendre à mieux contrôler ce désordre. La perte de poids est alors grandement félicitée [74].
Influence des épisodes de la vie génitale
La survenue de l’obésité chez la femme est fréquemment associée à un évènement de la vie génitale tel que la puberté, la grossesse, la ménopause [67].
Facteurs iatrogènes
Certains traitements médicamenteux peuvent favoriser l’installation d’une obésité par différents mécanismes.
Ainsi, les sujets qui suivent un traitement au long cours par les corticoïdes pour une polyarthrite peuvent présenter un risque particulier de prise de poids, puisque les effets secondaires de ces médicaments exacerbent les effets d’une activité limitée [92].
Les autres médicaments incriminés dans la prise de poids sont les suivants :
les antidépresseurs tricycliques et le lithium dans le traitement de la dépression,
les sulfamides hypoglycémiants dans le DNID,
les bétabloquants dans l’HTA,
certains contraceptifs stéroïdiens dans la contraception,
les corticostéroïdes dans diverses maladies,
l’insuline dans le DID,
la cyproheptadine dans l’allergie, l’anorexie, et le rhume de foin,
l’acide valproique, les neuroleptiques dans l’épilepsie,
les neuroleptiques dans les psychoses,
les pizotifènes dans la migraine.
En dehors des médicaments, certaines pathologies sont incriminées. Ainsi, certains troubles génétiques et certaines affections endocrinologues telles que l’hypothyroïdie, la maladie de Cushing et les tumeurs de l’hypothalamus qui interviennent dans la régulation de l’appétit, peuvent entrainer une prise de poids. Cependant, il s’agit là de causes extrêmement rares d’obésité qui ne représentent qu’un faible pourcentage des cas d’obésité dans la population [74].
PREVALENCE DE L’OBESITE
De nombreuses études sur l’obésité ont été réalisées dans la plupart des pays riches où l’obésité constitue un réel problème de santé publique. En ce qui concerne les pays en développement, peu d’études ont été réalisées. Or, progressant jusqu’ici de façon quasi épidémique dans les grandes nations, l’obésité ne cesse d’apparaitre et de s’étendre dans les pays du sud y marquant alors la transition de la pauvreté à la richesse [110].
A l’échelle internationale
L’obésité existe désormais dans tous les pays du monde et sa prévalence est particulièrement élevée dans les pays industrialisés, mais elle n’épargne pas les pays en développement. Le phénomène devient encore plus alarmant avec l’augmentation de fréquence chez les enfants et les adolescents. Le tableau V résume les données recueillies par l’OITF dans les aires géographiques de l’OMS entre 1983 et 1995 [118, 21].
Aux Amériques
Aux Etats Unis d’Amérique, 20% des hommes et 25% des femmes étaient obèses. L’étude NHANES III (National Health And Nutrition Examination Survery) (1988 – 1991), ré analysée selon la classification de l’OMS, montrait que 34,7 millions d’américains avaient un IMC supérieur ou égal à 30kg/m2 dont 11,6 millions avec un IMC supérieur ou égal à 35kg/m2
Selon les projections de l’OITF, en 2025, 40% des hommes et 50% des femmes seront obèses [37]. Chez les enfants âgés de 6 à 11 ans, la prévalence avait augmenté en 17 ans de 23% chez les garçons et de 63% chez les filles [6].
Aux Canada, les chiffres étaient plus faibles : 15% des hommes et des femmes
Cependant, la prévalence avait presque triplé entre 1985 et 1998 passants de 5,6% à 14,8% [24]. Chez les enfants, la valeur de l’IMC avait augmenté de 1991 à 1996 : ainsi la prévalence de l’obésité chez les enfants est passée à 13,5% pour les garçons et à 11,8% pour les filles contre 5% en 1996 [24].
En Amérique du Sud et aux Caraïbes, la fréquence de l’obésité se rapprochait de celle des pays européens. Au Brésil, elle affectait 6% des hommes et 13% des femmes [119]. Entre 1974 et 1989, le surpoids était passé de 22,1% à 33,7%. Au Chili, 10% des enfants d’âge préscolaire étaient touchés [118].
Dans le Pacifique Ouest
Les prévalences notées au Japon et en Chine étaient globalement faibles comparées aux Amériques. Elles étaient comparables en Australie et en Nouvelle Zélande (tableau V). Les prévalences les plus élevées au monde étaient rencontrées dans cette région et dans les iles de l’océan Indien (Mélanésie, Polynésie, Micronésie). Par exemple dans les iles Samoa, le taux dépassait 75% chez les femmes et atteignait presque 60% chez les hommes [30]. En Inde, 27% de la population urbaine était obèse [30].
En Afrique
L’obésité était une pathologie rare chez l’africain comme l’affirmaient Von Dooren et Rogowski en 1959 [18]. Mais en 1998, le rapport de l’OMS sur la prévalence de l’obésité montrait l’importance du surpoids chez les femmes âgées de 20 à 49 ans dans divers pays (tableau VII).
DIAGNOSTIC POSITIF
EXAMEN CLINIQUE
Interrogatoire
Histoire du poids avec réalisation d’une courbe de poids
Il faudra :
Déterminer le poids de naissance,
rechercher l’âge de début et l’ancienneté de la prise de poids,
rechercher les circonstances déclenchantes ou aggravantes,
déterminer les périodes de prise de poids rapide (grossesse, dépression…) et les périodes de phases stables,
déterminer le poids pris à l’âge adulte,
apprécier le nombre, la nature et l’effet des précédentes tentatives d’amaigrissement,
rechercher le nombre et l’amplitude des fluctuations pondérales.
Circonstances déclenchantes
Il faudra rechercher :
une modification du statut hormonal (puberté, grossesse, ménopause …), un arrêt du sport,
un choc émotionnel ou affectif (dépression, deuil…..),
un changement d’environnement familial relationnel ou professionnel (mariage, divorce, perte d’emploi….),
un sevrage tabagique,
une prise médicamenteuse (stéroïdes, neuroleptiques ou antidépresseurs tricycliques, insuline, lithium, glucocorticoïdes …),
une intervention chirurgicale imposant une immobilisation prolongée, exceptionnellement : un traumatisme crânien, une chirurgie de la région hypothalamo hypophysaire.
Enquête alimentaire et son évolution au cours du temps
Elle est indispensable pour prévoir l’efficacité du régime et doit être intégrée dans une analyse globale du comportement alimentaire.
Bilan quantitatif des apports
Il est souvent normal,
peut être élevé en période d’obésité dynamique,
peut-être faible lors des obésités statiques, fixées, donc de pronostic plus sombre.
Bilan qualitatif des apports
Il est anormal dans deux tiers des cas, on retrouve souvent des anomalies de la répartition : trop de lipides saturés en général (beurre, fromage, fritures, huiles de cuisine…),
des troubles du comportement alimentaire : sont fréquents dans l’obésité (environ 50% des cas) mais ils sont ni obligatoires ni spécifiques. Souvent sous-tendus par des difficultés psychologiques, ils sont le plus souvent à type de compulsion et de grignotage orientés pour la plupart du temps vers les aliments glucidiques (soda boissons alcoolisées…). La restriction cognitive (tentative de limiter ses apports alimentaires dans le but de contrôler son poids) est fréquente. La boulimie accompagnée d’angoisse et de culpabilité, quelque fois cachée, est plus rare car elle s’accompagne en général de stratégie de contrôle du poids par des vomissements provoqués, une hyperphagie prandiale.
Enquête sur l’activité physique
Elle permet de préciser le niveau actuel d’activité physique (professionnel, loisirs, sport…) habituellement faible, de la sédentarité (temps devant écran, temps assis …) habituellement élevé et chez l’enfant la participation aux cours d’éducation physique et aux activités sportives extra scolaires…
Profil psychologique et social
Il est déterminé pour prévoir la compliance du régime.
Tout peut se voir dans les situations d’obésité, symptômes psychiatriques d’un état en voie de décompensation, jusqu’à l’absence d’interférence de l’obésité avec l’état psychologique.
Il peut y avoir une possibilité d’obésité hystérique rare et d’obésité psychosomatique avec dépression s’aggravant au cours de l’amaigrissement.
Il faudra toujours apprécier la nature réelle de la demande d’amaigrissement.
Sur le plan social :
Rechercher des difficultés d’intégration dans la société avec l’évitement des foules, l’absentéisme à l’école pour les enfants de peur d’être victime de stigmatisation et de moqueries.
Il faudra éventuellement évaluer les moyens financiers pour pouvoir adapter la prescription de régime.
Antécédents personnels
Il faut rechercher les autres facteurs de risque cardiovasculaire : HTA, diabète, hypercholestérolémie, hypertriglycéridémie, tabagisme, sédentarité…
Antécédents familiaux
Faire une évaluation des facteurs génétiques,
rechercher une notion d’obésité familiale,
rechercher une notion d’HTA familiale,
rechercher des troubles métaboliques liés à l’obésité dans la famille.
Demande de perte de poids
Reconnaitre la nature réelle de la demande d’amaigrissement :
pour résoudre des problèmes médicaux,
pour être comme les autres,
pour juste perdre du poids.
Examen physique
L’examen physique d’un sujet obèse doit s’atteler à :
confirmer l’obésité,
évaluer la répartition du tissu adipeux et typer l’obésité,
éliminer les fausses obésités,
rechercher des signes orientant vers des complications.
Eliminer les fausses obésités
Certaines prises de poids ne sont pas liées à une augmentation de la masse grasse et doivent être reconnues :
syndrome œdémateux généralisé (état d’anasarque),
augmentation importante de la masse musculaire (sportif de haut niveau), les dysmorphophobies.
Recherche des complications
Cette recherche doit se faire par un examen minutieux bien détaillé. L’examen clinique est très important car la recherche de complication ne doit pas se limiter aux seules anomalies métaboliques.
La pression artérielle doit être mesurée avec un brassard adapté à la circonférence du bras du patient (sinon il y a des risques de surestimation de la pression artérielle et de diagnostic par excès),
le syndrome d’apnée du sommeil doit faire l’objet d’un interrogatoire systématique (interrogatoire à la recherche en priorité d’un ronflement, d’apnées nocturnes constatées par l’entourage et d’une somnolence diurne),
rechercher un syndrome cardinal du diabète.
Recherche de signes orientant vers une cause d’obésité secondaire
Même si ces étiologies sont exceptionnelles, il faudra savoir évoquer :
une hypothyroïdie : associée à une infiltration catanéo muqueuse (myxœdème), un hypercorticisme : qui associe une obésité fasciotronculaire, des signes de catabolisme (vergetures rosées voire pourpres qui sont banales surtout dans les obésités de constitution rapides ou après plusieurs pertes de poids massives suivies de reprise pondérale), une tumeur hypothalamique ou hypophysaire : associe des troubles du sommeil, un hypogonadisme, un syndrome poly uro polydipsique, des troubles visuels, un syndrome génétique : histoire familiale avec obésité précoce associée à un syndrome malformatif.
EXAMENS COMPLEMNTAIRES
Recherche de tissu adipeux
Elle se fait par des techniques directes d’appréciation de la masse grasse, ces techniques sont peu utilisées :
la tomodensitométrie,
la densitométrie corporelle par immersion dans l’eau,
l’absorptiométrie,
l’impédancémétrie,
l’imagerie par résonnance magnétique.
Examens complémentaires systématiques
Glycémie à jeun, hémoglobine glyquée,
bilan lipidique : cholesterol total, HDL (High-Density Lipoprotein), LDL (Low-Density Lipoprotein), triglycerides,
bilan hépatique : Gamma Glutamyl Transpeptidase (GGT) ; transaminases (ASAT, ALAT),
bilan rénal : urée, créatinine,
numération formule sanguine (NFS),
ionogramme sanguin,
électrocardiogramme de repos.
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Table des matières
INTRODUCTION
PREMIERE PARTIE : RAPPELS SUR L’OBESITE
I. DEFINITION DE L’OBESITE
I.1. Définition générale
I.2. Définition sociale
I.3 Définition clinique
I.4. Définition selon le type cellulaire
I.5. Définition de l’obésité chez l’enfant
II. PHYSIOPATHOLOGIE DE L’OBESITE
II. 1. Histoire naturelle de l’obésité
II. 2. Physiologie de la régulation pondérale
II.2.1. Régulation du bilan énergétique
II.2.2. Régulation de la prise alimentaire
II.2.2.1. Milieu intérieur
II.2.2.2. Milieu alimentaire
II.2.2.3 Milieu extérieur
II.3. Etiopathogénie de l’obésité
II.3.1. Facteurs comportementaux
II.3.1.1. Alimentation
II.3.1.2. Sédentarité
II.3.1.3. Facteurs socioéconomiques et culturels
II.3.2 Facteurs génétiques
II.3.3. Le sexe
II.3.4. L’âge
II.3.5. Facteurs environnementaux
II.3.6. Autres facteurs pathogéniques favorisant la prise de poids
II.3.6.1. Arrêt du tabac
II.3.6.2. Consommation excessive d’alcool
II.3.6.3. Facteurs psycho affectifs
II.3.6.4. Influence des épisodes de la vie génitale
II.3.6.5. Facteurs iatrogènes
III. PREVALENCE DE L’OBESITE
III.1. A l’échelle internationale
III.1.1. En Europe
III.1.2 Aux Amériques
III.1.3. Dans le Pacifique Ouest
III.2 En Afrique
III.3 Au Sénégal
IV. DIAGNOSTIC
IV.1. DIAGNOSTIC POSITIF
IV.1.1 EXAMEN CLINIQUE
IV.1.1.1. Interrogatoire
IV.1.1.1.1. Histoire du poids avec réalisation d’une courbe de poids
IV.1.1.1.2.Circonstances déclenchantes
IV.1.1.1.3. Enquête alimentaire et son évolution au cours du temps
IV.1.1.1.4. Enquête sur l’activité physique
IV.1.1.1.5. Profil psychologique et social
IV.1.1.1.6. Antécédents personnels
IV.1.1.1.7. Antécédents familiaux
IV.1.1.1.8. Demande de perte de poids…
IV.1.1.2. Examen physique
IV.1.1.2.1. Confirmation de l’obésité
IV.1.1.2.2. Evaluation de la répartition du tissu adipeux
IV.1.1.2.3. Eliminer les fausses obésités
IV.1.1.2.4. Recherche des complications
IV.1.1.2.5. Recherche de signes orientant vers une cause d’obésité Secondaire
IV.1.2. EXAMENS COMPLEMNTAIRES
IV.1.2.1 Recherche de tissu adipeux
IV.1.2.2. Examens complémentaires systématiques
IV.1.2.3. Examens en fonction du contexte clinique
IV.1.2.4. La recherche d’une cause endocrine
IV.2. DIAGNOSTIC DIFFFERENTIEL
IV.2.1. Le syndrome œdémateux…
IV.2.2. Augmentation de la masse musculaire
IV.2.3. Les dysmorphophobies
IV.3. DIAGNOSTIC ETIOLOGIQUE
V. EVOLUTION
V.1. Les éléments de surveillance
V.1.1. Clinique
V.1.2 Paraclinique
V.2. Les modalités évolutives
V.2.1. L’évolution sous traitement
V.2.2 L’évolution en l’absence de prise en charge
VI. LES COMPLICATIONS DE L’OBESITE
VI.1. Les complications cardiovasculaires
VI.2. Les complications métaboliques
VI.3. Les complications respiratoires
VI.4. Les complications ostéoarticulaires
VI.5. Les complications néoplasiques
VI.6. Les complications hépatobiliaires et digestives
VI.7. Obésité et santé de la reproduction
VI.8. La mortalité de l’obésité
VII. TRAITEMENT
VII.1. OBJECTIFS
VII.2. MOYENS
VII.2.1. Les moyens hygiéno-diététiques
VII.2.1.1 : Diététique (conseils de régime)
VII.2.1.2. Activité physique
VII.2.2 Les moyens médicamenteux
VII.2.3 La prise en charge psychologique et comportementale
VII.2.4. Les moyens chirurgicaux
VII.2.4.1. La chirurgie bariatrique
VII.2.4.1.1. Buts
VII.2.4.1.2. Techniques chirurgicales
La gastroplastie
Le by – pass
VII.2.4.1.3. Les indications de la chirurgie bariatrique
VII.2.4.1.4. Les contre-indications de la chirurgie bariatrique
VII.2.4.1.5. Les résultats de la chirurgie bariatrique
VII.2.4.1.6. Les complications de la chirurgie
VII.2.4.2. La chirurgie plastique ou réparatrice (lipectomie)
VII.3. LES STRATEGIES THERAPEUTIQUES
VII.3.1. Les règles générales
VII.3.2. Les indications particulières
VII.3.3. Le suivi du traitement
VII.4. LA PREVENTION
VII.4.1. La prévention universelle
VII.4.2. La prévention sélective
VII.4.3. La prévention ciblée
DEUXIEME PARTIE : NOTRE ETUDE
I. BUT ET OBJECTIFS DE L’ETUDE
I.1 BUT
I.2 Objectif général
I.3 Objectifs spécifiques
II. CADRE DE L’ETUDE
III. METHODOLOGIE
III. 1 Type et période d’étude
III. 2 Période d’étude
III. 3 Définition de la population
III.3.1 Unités de sondage
III.3.2 Protocole d’échantillonnage
III.3.2.1 Critères d’inclusion
III.3.2.2 Critères de non inclusion
III.3.2.3 Méthode d’échantillonnage
III.4 Collecte des données
III.4.1 Outil de collecte
III.4.2 Méthodologie de collecte
III.5 Définition opérationnelle des variables
III.5.1 Aspects éthiques
III. 6 Analyse statistique
IV. RESULTATS
IV. 1 Analyse des données manquantes
IV. 2 Description de la population globale
IV.2.1 Données socio-démographiques
IV.2.1.1 Lieu de résidence
IV. 2.1.2 Le Sexe
IV. 2.1.3 L’âge
IV. 2.1.4 Le niveau de scolarisation
IV. 2.1.5 Activité professionnelle
IV. 2.2 Les autres facteurs de risque cardio-vasculaire
IV. 2.2.1 L’hypertension artérielle
IV.2.2.2 Le diabète
IV. 2.2.3 Tabagisme
IV. 2.2.4 Sédentarité
IV. 2.2.5 Consommation d’alcool
IV.2.2.6 Consommation de fruits et légumes
IV. 2.2.5.1 Consommation de fruits
IV. 2.2.6.2 Consommation de légumes
IV.2.2.7 Dyslipidémie
IV. 2.2.8 Syndrome métabolique
IV.2.2.9 Indice de pression systolique
IV.2.2.10 Insuffisance rénale
IV.2.2.11 La coronaropathie
IV.2 .2.12 Hyperuricémie
IV.2.2.13 Accidents vasculaires cérébraux
IV. 3 ETUDE DE L’OBESITE DANS LA POPULATION
IV. 3.1 Données anthropométriques
IV. 3.2 La prévalence de l’obésité
IV.3.3 Sexe
IV.3.4 Age
IV.3.5 Répartition selon les classes d’âge
IV.3.6 Niveau de scolarisation
IV.3.7 Activité professionnelle
IV.3.8 Zone de résidence
IV.4. L’OBESITE ET LES AUTRES FACTEURS DE RISQUE ETUDIES
IV.4.1. Hypertension artérielle
IV.4.2 Le diabète
IV.4.3 Tabagisme
IV.4.4 La consommation d’alcool
IV.4.5. La consommation de fruits et légumes
IV.4.5.1. La consommation de fruits
IV.4.5.2. La consommation de légumes
IV.4.6 La sédentarité
IV.4.7. La dyslipidémie
IV.4.8. L’Hyperuricémie
IV. 5 LES COMPLICATIONS
IV.5.1 Coronaropathies
IV.5.2 Insuffisance rénale
IV.5.3 L’indice de pression systolique
IV.5.4. Les accidents vasculaires cérébraux
V. COMMENTAIRES
V.1. LA METHODOLOGIE
V.2. LES RESULTATS
V.2.1 Les données socio-démographiques
V.2.1.1 Le sexe
V.2.1.2 L’âge
V.2.1.3 Le niveau de scolarisation
V.2.1.4. L’activité professionnelle
V.2.2. Les autres facteurs de risque cardio-vasculaire
V.2.2.1. L’hypertension artérielle
V.2.2.2. Le diabète
V.2.2.3. Le tabagisme
V.2.2.4. La consommation d’alcool
V.2.2.5. La sédentarité
V.2.2.6. La consommation de fruits et légumes
V.2.2.7. La dyslipidémie
V.2.2.8. Le syndrome métabolique
V.2.3. Les complications
V.2.3.1. L’indice de pression systolique
V.2.3.2. L’insuffisance rénale
V.2.3.3. La coronaropathie
V.2.3.4. L’hyperuricémie
V.2.3.5. Les accidents vasculaires cérébraux
V.3. ETUDE DE L’OBESITE DANS LA POPULATION
V.3.1. La prévalence de l’obésité
V.3.2. Sexe
V.3.3. L’âge
V.3.4. Le niveau de scolarisation
V.3.5. L’activité professionnelle
V.4. ETUDE DE L’OBESITE ET DES AUTRES FACTEURS DE RISQUE ETUDIES
V.4.1 L’hypertension artérielle
V.4.2. Le diabète
V.4.3. La dyslipidémie
V.4.4 La sédentarité
V.4.5. Le tabagisme
V.5. LES COMPLICATIONS
V.5.1. La coronaropathie
V.5.2. L’indice de pression systolique
V.5.3. L’hyperuricémie
V.5.4. Les accidents vasculaires cérébraux
V.5.5. L’insuffisance rénale
CONCLUSIONS ET RECOMMANDATIONS
REFERENCES
ANNEXE/FICHE D’ENQUETE
SERMENT D’HIPPOCRATE
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