Enfants ayant fui à cause des violences intrafamiliales, avec l’encouragement des amis

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Effectif des enfants accueillis dans le centre 

Actuellement, les garçons dans l’Internat sont au nombre de vingt (20), tandis que ceux dans le gîte de nuit varient de vingt-cinq à quarante. En moyenne ils sont au nombre de trente garçons. La tranche d’âge des garçons dans le gîte varie de neuf à dix-sept ans et généralement l’âge d’accueil dans l’Internat est de quatorze ans.

Enfant

« Enfant » vient du latin « infans » qui signifie « celui qui ne parle pas. ». Selon la Convention Internationale relative aux droits de l’enfant de 1989, un enfant est « […] tout être humain âgé de moins de dix-huit ans, sauf si la majorité est atteint plus tôt en vertu de la législation qui lui est applicable ».

Concept d’enfant de la rue, dans la rue et enfant en situation de rue

Une différenciation de la définition d’enfant de la rue et d’enfant dans la rue s’avère nécessaire avant d’expliquer le concept d’enfant en situation de rue.
Les définitions sur l’enfant de la rue sont des définitions descriptives qui privilégient les conditions d’existence des enfants. Lucchini, en 1993, donne une définition imprécise de l’enfant de la rue : « un enfant ou un jeune de la rue est un mineur sans protection adéquate et qui a élu domicile dans la rue ». L’Unicef les définit en fonction des paramètres suivants :
– Ils habitent dans la ville.
– Les relations familiales sont faibles si elles existent.
– Les enfants développent des stratégies de survie.
– La rue est leur habitat principal et remplace la famille en tant qu’instance de socialisation.
– Les enfants sont exposés à des risques spécifiques importants.
Ces définitions de l’enfant de la rue se distinguent de celles de l’enfant dans la rue. L’institut international des Droits de l’Enfant (2008) définit les enfants dans la rue comme des enfants travaillant ou traînant dans la rue, mais rentrant chez eux le soir ou certains soirs7.
Ces catégories ne prennent pas compte de ce que représente la rue pour l’enfant. C’est pourquoi, il est préférable d’utiliser le terme enfant en situation de rue. De plus, « enfants en situation de rue » englobe enfants dans la rue et enfants de la rue. Les enfants en situation de rue sont, selon l’Institut international des Droits de l’Enfant (2008), des enfants « qui ont tissé des liens étroits avec les lieux publics et pour qui la rue est un élément essentiel de leur identité et de leur vie quotidienne ». Terre des hommes (Tdh, 2014) donne une définition des enfants en situation de rue :
[…] la définition des ESR, insistant sur le paradigme de l’acteur social : les enfants en situations de rue sont des acteurs sociaux, et non pas simplement des victimes ou des délinquants. Néanmoins, ils ne sont pas seulement victimes, ils sont également acteurs. Comme c’est toujours le cas chez ceux qui sont aux marges de la société, ces enfants ne font pas que s’adapter à la situation ; ils essaient activement de surmonter leurs difficultés en rejoignant un autre monde –la rue- en créant leur propre monde – leur rue.

Rue des enfants

Les enfants tissent des relations avec la rue. Ils y vivent et y travaillent mais ils la produisent aussi. Pour eux, la rue se traduit par argent rapide, insécurité, secteurs de travail et conflits.
La rue est synonyme d’opportunité pour les enfants en situation de rue. Opportunité pour avoir de l’argent rapidement. Selon Morelle (2006), « La rue est un espace où vivre au jour le jour. N’importe quelle opportunité est bonne à saisir. Mieux vaut recevoir le maximum d’argent en une journée que se contenter d’un petit job régulier ne garantissant qu’un faible revenu. L’urgence domine dans la rue : avoir et vite. »
L’insécurité règne dans la rue. D’après Morelle (2006), « La violence inhérente à la rue, émanant autant de leurs pairs que des habitants, des policiers et des militaires découragent les enfants de réaliser la moindre épargne. Les plus petits préfèrent dépenser leur gain journalier, souvent faible, avant la nuit et le début du racket des plus grands et des plus expérimentés. »
Selon qu’un espace est plus lucratif ou facile qu’un autre, il y a les bons et les mauvais endroits. Ces espaces sont qualifiés de secteur selon Morelle (2006). Ainsi, « les enfants ont tendance à classer les secteurs, d’une part selon les possibilités financières et d’autre part, ce qui y est souvent lié, selon la difficulté à s’y faire accepter et à y survivre. Il existe ainsi des « bons » secteurs, où un travail reconnu par les habitants est possible, et des « mauvais » secteurs, souvent plus violents, où l’argent est gagné pour l’essentiel, en volant. »
La rue est aussi un terrain où les enfants en situation de rue subissent ou font subir des violences. La rue apparaît « comme un espace de conflits et d’affrontements » contre les forces de l’ordre mais aussi contre les pairs. Morelle (2006).

Représentation sociale : émergence du concept

Durkheim a été l’inventeur du concept de représentation collective qu’il différencie des représentations individuelles. Celle-ci est une production mentale sociale dont il reconnaît le droit d’expliquer les phénomènes les plus variés de la société. (Durkheim, 1968, cité par Moscovici, 1999).
En 1961, Moscovici a repris l’étude de Durkheim et a préféré la notion de représentation sociale à la notion de représentation collective. Pour lui, les représentations sont une forme de connaissance qui fait la spécificité des groupes sociaux qui la produisent.

Caractéristiques des représentations sociales

Premièrement, elles sont des systèmes d’interprétation. Elles interviennent dans les conduites et les communications sociales mais aussi dans des processus tels que la diffusion et l’assimilation des connaissances, le développement individuel et collectif, la définition des identités personnelles et sociales, l’expression des groupes, et les transformations sociales (Jodelet, 1999).
Deuxièmement, ce sont des phénomènes cognitifs menant et aboutissant à une appartenance sociale. De ce fait, elles ont une double nature : produit et processus. Selon Jodelet (1999, p37) c’est « […] le produit et le processus d’une activité d’appropriation de la réalité extérieure à la pensée et d’élaboration psychologique et sociale de cette réalité. ».
Troisièmement, elles se caractérisent par le rapport entre le sujet et l’objet. Le sujet interprète l’objet et en même temps, le construit. Comme l’affirme Jodelet (1999) : « [la représentation mentale] porte la marque du sujet et de son activité. Ce dernier renvoie au caractère constructif, créatif, autonome de la représentation qui comporte une part de re-construction, d’interprétation de l’objet et d’expression du sujet. ». Guichard (1993. p. 118) précise : « elle [la représentation sociale] est le reflet tant de l’objet que l’activité du sujet qui le connaît : celui-ci n’est pas un simple réceptacle, mais acteur, constructeur. »

Fonction de représentation sociale

La représentation sociale a quatre fonctions principales : fonction de savoir, fonction identitaire, fonction d’orientation et fonction justificatrice.
La fonction de savoir conduit l’individu à comprendre et expliquer la réalité. Cette connaissance s’intègre à un cadre existant et est en harmonie avec les valeurs du groupe auquel l’individu appartient. Cela facilite la communication sociale : « les représentations instaurent des versions de la réalité, communes et partagées. » (Jodelet, 1999).
La fonction identitaire aide à sauvegarder et à définir l’identité. Elle préserve la cohésion du groupe.
La fonction d’orientation permet aux individus d’orienter leurs comportements et leurs pratiques. Elle définit ce qu’il faut dire et faire dans un contexte social déterminé.
La fonction justificatrice : elle sert à justifier des comportements et des prises de position. Par exemple, elle permet de chercher « des justifications de comportements le plus souvent hostiles à l’égard de l’autre en tant que membre d’un groupe différent. » (Abric, 1994).

Les conditions d’émergence d’une représentation sociale

Trois conditions sont nécessaires à l’émergence d’une représentation sociale (Moscovici, 1961). La première condition est la dispersion de l’information concernant l’objet de représentation. Les informations concernant un objet social sont en général insuffisantes ou surabondantes à cause de la complexité de l’objet ou des barrières sociales, culturelles ou éducatives. Il existe donc un décalage entre les informations nécessaires qui permettent la connaissance d’un objet et les informations dont nous disposons réellement. C’est cette difficulté d’accès à l’information qui favorise la transmission indirecte des savoirs et donc l’apparition de nombreuses distorsions (Moliner, 1993).
La seconde condition à l’émergence d’une représentation sociale est la focalisation d’un groupe ou d’un individu sur certains aspects de l’objet de représentation. Cette focalisation se fait en fonction des intérêts et de l’implication des individus par rapport à l’objet. Elle les empêche d’en avoir une vision globale. (Moscovici, 1961).
L’inférence exercée par le groupe constitue la dernière condition à l’émergence d’une représentation sociale. Le groupe oblige à prendre position, à obtenir l’acceptation des membres du groupe et de construire aussi un code commun et stable. (Moscovici, 1961).

La formation des représentations sociales

Selon Moscovici (1961), la représentation sociale se forme à travers deux processus. Ces processus sont l’objectivation et l’ancrage. L’objectivation correspond à une matérialisation de l’objet de représentation. Elle s’opère en trois phases et remplit deux critères. L’ancrage se fait par assimilation. Il présente plusieurs aspects.
 L’objectivation (Moscovici, 1961).
La première phase de l’objectivation est la déconstruction sélective. A travers elle, l’individu fait un tri parmi les éléments relatifs à l’objet et fait une appropriation. L’objet est mis en contraste avec d’autres objets sociaux.
La deuxième phase correspond à la schématisation structurante : les éléments retenus sont reconstruits en un schéma cohérent. C’est là que se forme un noyau figuratif où certains éléments prennent plus de place que d’autres.
La dernière phase est celle de la naturalisation. Les éléments du noyau se matérialisent et deviennent objectifs.
Enfin, c’est en fonction de deux critères que l’objectivation s’opère. Ces critères sont des critères culturels (tous les groupes n’ont pas un égal accès aux informations relatives à l’objet) et des critères normatifs (n’est retenu que ce qui concorde avec le système de valeurs de groupe).
 L’ancrage, avec trois aspects : le sens, l’utilité et l’enracinement. (Moscovici, 1961).
Le sens constitue le premier aspect. L’objet représenté est significatif pour le sujet et le groupe concerné par la représentation dont il fait partie. Cet aspect traduit l’insertion sociale de l’individu. L’utilité représente le deuxième aspect. Les éléments de la représentation expriment des rapports sociaux et contribuent à la création de ces rapports.
L’enracinement illustre le troisième aspect. La représentation prend place dans un système de pensée.

Place de l’enfant dans la culture malgache

Dans la culture malgache, la place de l’enfant va d’un extrême à l’autre. D’enfant richesse, il devient enfant fardeau (Ravololomanga et Schlemmer, 1994).
Avoir des enfants c’est assurer la vie après la mort. En effet, le culte des ancêtres est très important pour les Malgaches. C’est pourquoi il est primordial d’avoir une descendance afin que celle-ci assure le rituel funéraire afin de parvenir au statut d’ancêtre. Ravololomanga et Schlemmer (1994) affirment qu’ « assurer sa descendance est une affaire primordiale. Non pas tant pour avoir quelqu’un sur qui compter quand viendront ses vieux jours (encore que cela soit important), mais surtout pour avoir quelqu’un qui se chargera d’accomplir correctement son rituel funéraire, ce rite de passage qui permet au défunt d’accéder à l’ancestralité. De ses enfants dépend ainsi sa survie, sa vie après la mort, la qualité de sa vie d’ancêtre ».
L’enfant est aussi synonyme de richesse. Lors d’un mariage, on souhaite pour les nouveaux mariés d’avoir sept garçons et sept filles. En effet, avoir des enfants signifie être béni et riche.
Ravololomanga et Schlemmer (1994) l’explique comme suit : La littérature orale utilise fréquemment les notions de fécondité et de stérilité, dans un système d’opposition binaire tout à fait parlant. Liée à la bénédiction, la fécondité est considérée comme l’un des biens que les divinités et les ancêtres réservent à ceux qui ont su attirer leur bienveillance. La fécondité incarne le bonheur, la vie.
Mais actuellement, s’entendre souhaiter d’avoir sept garçons et sept filles est mal perçu. Cela s’explique par l’appauvrissement des Malgaches qui ne prennent plus ce souhait comme une bénédiction. « C’est que la terrible dégradation de la situation économique a eu des répercussions sur cet idéal de fécondité, pourtant bien ancré dans la culture malgache et qui a sans doute permis d’amortir les répercussions de la crise. » (Ravololomanga et Schlemmer, 1994).
Les enfants sont devenus un fardeau pour les parents. Ceux-ci souhaitent désormais avoir le moins d’enfants possible. Ravololomanga et Schlemmer (1994), développent :
Aussi bien en milieu rural qu’en milieu urbain, le souci des foyers est désormais d’avoir le moins d’enfants possible, de pouvoir les soigner en cas de maladie, les nourrir et leur trouver un travail quand ils arrivent à l’âge adulte, si c’est possible. Mais un grand nombre de familles ne peuvent même plus vêtir ni même nourrir leurs enfants. Si certains foyers ne peuvent plus compter sur l’aide de leur parentèle pour l’adoption ou la prise en charge de certains de leurs enfants, leur recours est désormais de les placer chez des amis ou des connaissances, pour y travailler. « Les enfants sont une richesse » affirme un dicton malgache : de cadeaux du ciel, voici qu’ils deviennent des fardeaux, et des fardeaux parfois trop lourds à porter.

Droits et protection de l’enfant

Madagascar a adhéré à plusieurs textes concernant directement ou indirectement les droits de l’enfant et a mis en place plusieurs applications de ces textes.
 La Convention internationale relative aux droits de l’enfant (ratifié en 1991).
 Le Protocole facultatif à la CDE, concernant la vente d’enfants, la prostitution des enfants et la pornographie mettant en scène des enfants (ratifié en 2004).
 Le troisième Protocole facultatif à la CDE, établissant une procédure de plainte pour des violations de droits de l’enfant (signé en 2012).
 La Charte africaine des droits et du bien-être des enfants (ratifié en 2005).
 Les Conventions n°138 et 182 de l’OIT relatives à l’âge minimum et aux pires formes de travail des enfants (ratifiés en 2000 et 2001).
 La loi n°2007-023 sur les droits et la protection des enfants a été votée le 20 août 2007 (Voir Annexe 3).
 L’Ordonnance 62-038 sur la protection de l’enfance (ratifié le 19 septembre 1962) (Voir Annexe 2).
 Une ligne verte pour la protection de l’enfant a été ouverte en 2008 (numéro 805), remplacée par le 147 en 2011. Mais peu d’appels ont été traités en raison des appels sans rapport avec la violation des droits de l’enfant.
 Un service de protection de l’enfant et des moeurs (SPEM) a été mis en place au sein de la gendarmerie.
 Un site8 sur la protection des enfants à l’initiative de l’UNICEF et en collaboration avec le ministère de la Justice a été créé. Ce site est dédié à l’information, aux conseils et aux signalements en ligne en cas d’abus ou d’exploitation d’enfants.
 Enfin, concernant les enfants en situation de rue, Madagascar a adhéré à la Charte des « Enfants de la rue ». Cette Charte des Enfants de la rue (voir Annexe 1) a été définie lors de formations de Rufisque de 1994 à 1995. Elle a pour objet de fixer les modalités d’interventions auprès des enfants de la rue. Ces modalités sont en accord avec la législation malgache et le contexte malgache.

Analyse proprement dite des données

La première étape de l’analyse est la préparation des données (Denscombe, 2007). La préparation des données s’est effectuée à la fin de la collecte de données. J’ai procédé à la transcription des entretiens puis au catalogage des données. Celles qui se ressemblent ou qui portent la même idée sont rassemblées ensemble.
J’ai ensuite procédé à une exploration initiale des données (Denscombe, 2007). J’ai recherché des thèmes ou des tendances évidentes. Cela s’est fait sans écouter les enregistrements, en utilisant ma mémoire. Ensuite, j’ai listé tous les thèmes et je les ai classés en catégories.
L’analyse des données (Denscombe, 2007) s’est faite avec l’analyse qualitative. J’ai procédé à un codage a posteriori, créant des catégories et des thèmes au fur et à mesure de l’émergence de nouvelles unités d’analyse (Allar-Poesi, 2002). Ces unités d’analyse ont été constituées par rapport au sens et peuvent être des unités de textes comme des phrases (Denscombe, 2007). Pour cette recherche, j’ai classifié les données par thèmes.
Enfin, j’ai fait la présentation des données (Denscombe, 2007). J’ai retranscrit les citations des participants dont j’avais besoin afin de les insérer dans les thèmes classifiés.

Collecte de données

Je rappelle que l’étude porte sur les représentations sociales des enfants en situation de rue de la vie dans la rue. La question de recherche est : quelle représentation sociale ont les enfants en situation de rue de la vie dans la rue ? Le premier objectif étant de comprendre ce qui peut, dans le contenu de cette représentation sociale, conduire les enfants à continuer à vivre dans la rue malgré la fréquentation du centre N.R.J. Le deuxième objectif est de décrire les représentations sociales qu’ont les enfants en situation de rue de la vie dans la rue. Le troisième objectif est de comprendre la représentation sociale des enfants en fonction de leur groupe : enfants dans la rue ou enfants de la rue. La population étudiée est celle des enfants en situation de rue de sexe masculin : dans cette dénomination sont regroupés les enfants de la rue et les enfants dans la rue. La collecte de données avec ces enfants s’est faite dans le gîte de nuit.

Population étudiée

Mes participants sont au nombre de onze. Ils ont entre 9 et 17 ans (Tableau 3). La durée passée dans la rue varie de 6 mois à 10 ans (Tableau 4). Ils sont en général issus de parents séparés, mais certains d’entre eux ont des parents qui vivent encore ensemble, d’autres sont orphelins (Tableau 5). Pour des raisons éthiques, les participants ont été numérotés de P1 à P11 afin de respecter leur anonymat.

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Table des matières

INTRODUCTION
I. revue de littérature
1. Zone d’étude
a. Présentation
b. Situation géographique
c. Activités
d. Moyens humains :
e. Organisation
f. Financements
2. Bénéficiaires
a. Effectif des enfants accueillis dans le centre :
3. Concepts
a. Enfant
b. Concept d’enfant de la rue, dans la rue et enfant en situation de rue
c. Rue des enfants
d. Représentation sociale : émergence du concept
4. Enfants en situation de rue à Madagascar
a. Traits psychologiques en commun
b. Carence affective
c. Place de l’enfant dans la culture malgache
d. Droits et protection de l’enfant
II. Méthodologie
1. Cadre épistémologique
2. Etapes de la recherche
a. Documentation
b. Travail de terrain
c. Analyse des données
3. Collecte de données
a. Population étudiée
4. Éthique
III. Résultats
1. Représentation sociale des enfants dans la rue
a. Enfants participant aux dépenses familiales
b. Enfants fuyant les maltraitances psychologiques
c. Enfants de parents défaillants
2. Représentation sociale des enfants de la rue
a. Enfants rejetés
b. Enfants ayant fui à cause des violences intrafamiliales, avec l’encouragement des amis
3. Hypothèses dégagées par rapport aux résultats
a. Enfants dans la rue
b. Enfants de la rue
IV. DISCUSSION
1. Tentative d’explication des résultats obtenus par les théories existantes
2. Comparaison des résultats obtenus avec les résultats d’études existantes
a. Similitude avec la recherche de Morelle (2006a et 2006b)
b. Similitude et différences avec l’étude de Sere (2003)
c. Similitudes avec le travail de Bousquet (2003)
3. Réflexions méthodologiques
CONCLUSION
Bibliographie

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