Émergence de nouvelles possibilités d’apprentissage 

Critical Human Resource Development

Une branche spécifique du mouvement critique s’est dédiée au champ de la Gestion des Ressources Humaines à savoir le Critical Thinking in Human Resource Development (CHRD).
Son orientation est de proposer, par la pensée critique, une alternative radicale à la pensée dominante quant au développement des personnes sur le lieu de travail.
Le courant du développement des Ressources Humaines (HRD) qui affiche comme but de favoriser la dynamique RH au sein des entreprises se concentre plus part iculièrement sur les domaines de la gestion des carrières, la formation et l’apprentissage (Fenwick, 2004). Cette catégorisation ne lui donne qu’une identité apparente. La HRD se révèle en effet comme un « concept mal défini » et qui se nourrit de nombreuses disciplines tels que « l’économie, la sociologie, la psychologie, la gestion stratégique, le leadership et la gestion des ressources humaines » (Stewart, 2005, p. 91). Sa caractéristique principale est qu’en se centrant essentiellement sur les objectifs organisationnels, elle présente une propension à considérer les ressources humaines uniquement comme des ressources (Hatcher, 2003). La littérature qui accompagne et soutient la HRD révèle de façon centrale de l’accent mis sur le lien entre HRD et « performance » : les problèmes d’organisation sont écartés (Sambrook, 2004), de même que les questions liées aux différents enjeux relatifs aux ressources humaines de type diversité, discrimination, sexisme, racismes, exclusion, … (Bierema,2002, p. 245). En France, un large panel de travaux complète plus spécifiquement ces critiques entre autres sous les aspects de souffrance ou travail et de risques psychosociaux. Ces divers aspects conduisent un certain nombre d’auteurs à soutenir la pertinence de penser la HRD à partir d’une position critique c’est-à-dire à proposer un virage crucial dans la HRD (Rigg, Stewart et Trehan, 2007).63.
Pour une plus ample discussion entre CMS et CME : Willmott (2008) ; Grey (2004, 2008).

Fondement de l’approche critique en HRD

Le Critical CHRD souligne de façon centrale que la littérature sur le développement des ressources humaines s’inscrit dans des perspectives performatives et fonctionnalistes. En cela, elle n’accorde que peu d’attention aux contextes (politiques, économiques, sociaux) (Elliott et Turnbull, 2005). La littérature – de façon centrale américaine – est, en effet, particulièrement centrée sur des approches qui articulent une orientation performance et une perspective unitariste (Sambrook, 2004). Comme l’analysaient déjà les travaux pionniers de Legge (1978) ou ceux de Brabet (1993), le contraste est fort entre ce que livrent les manuels de gestion du personnel qui restent particulièrement prescriptifs et normatifs, et le dynamisme et la complexité des organisations dans le réel de leur fonctionnement. L’hypothèse d’un lien entre performances et pratiques de GRH génère une vaste gamme de recherche, de nature fonctionnaliste dont le but d’identifier des High Performance Work Systems / High Performance Work Practices (Pfeffer, 1998). Une autre gamme de recherche se concentre quant à elle sur l’élaboration de « best practices » dans une orientation formulant que la performance s’expliquerait par des combinaisons (bundles) de bonnes pratiques (Delery et Doty, 1996).
Épistémologiquement, le CHRD défie le positivisme dominant et par déclinaison, les approches quantitatives mobilisées dans la construction de la connaissance HRD. Le geste central que déploie cette critique consiste en l’identification des objectifs sous-jacents aux activités qu’elle structure (Sambrook, 2008). Dit d’une autre façon, l’investigation critique a pour but de remettre en question ce qui est tenu pour acquis (Burrell, 2001). Burrell souligne à ce niveau qu’il est cependant très difficile de pratiquer cette « perspective révélatrice », entre autres parce qu’il est particulièrement problématique de distinguer « truth » et « illusion ».
Nous reviendrons sur ce point ultérieurement, car il est un des éléments centraux qui a justifié notre orientation de recherche.
Dégager une vision affinée des différents courants de recherche ne contribuerait pas à notre avancée. Ce qui nous importe est d’appréhender comment se comporte distinctivement la CHRD au-delà du fait que toute recherche scientifique est par nature critique. C’est dans cette perspective que nous allons continuer notre cheminement.
Fondamentalement, comme l’exprime Elliott et Turnbull S. (2002, p. 971), c’est bien au paradigme « functionalist-performative-positivist-unitarist » qui soutient la HRD que le courant CHRD s’attaque : « we are concerned that the methodological traditions that guide the majority of HRD research do not allow researchers to engage in studies that challenge predominantly performative and learning-outcomes focus of the HRD field ». Ces propos soulignent que la CHRD s’inscrit dans une critique plus ancienne et profonde et qui n’est donc pas propre au champ spécifique de la gestion des ressources humaines. Il n’est pas nécessaire ici de souligner que dans la recherche sociale, le « functionalist paradigm » et le « sociological positivism » dans lequel elle s’inscrit, occupent une place dominante.

Appuis théoriques

L’épistémologie constructiviste pragmatique nous soutient dans l’intérêt de concevoir les théories comme des propositions génériques, ce qui veut dire des propositions qui permettent l’engendrement, c’est-à-dire qu’elles permettent à d’autres d’avoir des guides ou des points de repère dans la structuration de leurs propres situations (Martinet, 2007). Dans la perspective développementale et transformatrice qui anime cette recherche, il nous apparaît fécond de les relier de manière dynamique. Nous convenons de les saisir ici comme des dispositifs provisoires de travail (Veblen, 1975 [1904], p. 371).

Problématique et problématicité

Un des problèmes que posent les stratégies de résolution de problème orientées « problem solving » est qu’elles conduisent à rechercher des solutions en mesure de résoudre les problèmes auxquels dès lors on s’est attelé. La littérature est riche pour distinguer « tame » et « wicked problem » . Un des problèmes que posent cependant les stratégies de résolution de problème orientées en ce sens est qu’elles conduisentà rechercher des solutions en mesure de résoudre les problèmes auxquels dès lors on s’est attelé.
Pour ce faire, elles doivent isoler le problème à résoudre. Les « wicked problems » appellent une interprétation d’une autre nature : ils ne sont pas linéaires, mais dynamiques, ils évoluent au fil du temps et des interventions. Plus encore, ils ne peuvent être clairement définis. Au regard de l’état du monde que chacun peut constater, nous pouvons poser que la grande majorité des problèmes auxquels nous sommes désormais confrontés sont des « wicked problems » nécessitant en cela des propositions et des méthodologies différentes que celles qui caractérisent les « tame problems ». Nous retiendrons comme définition transverse et minimale qu’un problème (ou un système) est complexe lorsqu’il y a des interactions fortes entre ses éléments, de sorte que les évènements actuels influencent fortement les probabilités de nombreux types d’évènements ultérieurs (Axelrod et Cohen, 1999, p. 7)

De la différence ou de l’écart

Pour étudier ces principes de structuration, il est possible et fréquent de s’intéresser aux pratiques sociales intégratives et dominantes. La situation de recrutement apparaissait ici comme un cas propice à ce type de recherche. Mais il est aussi possible de s’intéresser aux phénomènes émergents et appréhender dans notre cas, les innovations sociales qui apparaissent caractériser les processus engagés dans cette filiale et valorisés en tant que tel. Nous avons retenu pour notre part qu’elle pouvait également permettre de soutenir l’exploration d’alternatives, non encore élaborées comme en réfère la notion d’innovation orpheline que nous avons mobilisée.
Au sens de Jones (1999) la structuration consiste en quelque sorte en « une « tentative » de résolution d’une division fondamentale au sein des sciences sociales entre les chercheurs qui considèrent le phénomène social comme le produit des agents interprétant subjectivement le mode, et les chercheurs qui voient ces phénomènes comme causés par l’influence des structures objectives et exogènes » . Notre recherche ne vise cependant pas à comprendre ou rendre intelligibles les processus conduisant justement à cette structuration. Il s’agit bien pour nous d’appréhender la façon dont les travailleurs du savoir ici présents peuvent relancer un gestecritique et réflexif. L’appui théorique de la structuration est en cela mobilisé comme une ressource dès lors que nous posons qu’elle peut leur être un apport particulièrement fécond.
Comme l’exprime Gaudet (2011) en reprise de Martucelli (2005, p. 18) : « la fonction des théories sociales est d’offrir des outils de travail pour « produire de nouvelles interrogations ».

De l’intermonde

Martuccelli ne retient pas non plus quant à lui, d’interroger l’unité ou l’ordre social. Sa démarche consiste au contraire à interroger les caractéristiques du vivre ensemble dans le cadre d’une perspective d’interrelations et en lien avec le contexte à travers lesquelles elles évoluent.
Dit d’une autre façon, ce qui l’intéresse est bien « notre capacité sociale et culturelle à définir ce qui se passe à un moment donné comme étant ou non de l’ordre de la réalité » (Martuccelli, 2011, p. 32). Pour ce faire, Martuccelli mobilise le concept d’inter-mondequ’il définitcomme étant cet « entre-deux », entre le « système » et les « acteurs », c’est-à-dire « l’univers social où un nombre important d’actions, y compris radicalement opposées entre elles, sont toujours simultanément possibles, au moins momentanément ». Par le concept d’intermonde, il propose d’interpréter les évolutions que nous connaissons, non pas comme le résultat d’une liberté augmentée, c’est-à-dire d’acteur disposant d’une gamme de choix plus large, mais comme « un théâtre social qui permet aux individus cette réflexivité et l’ouverture de ces champs de possibles » (Gaudet, 2011). Certes les individus en tant que tels sont libres, mais ils sont, pour reprendre ici la reformulation de Gaudet (2011, p. 143), « toujours déterminés enpartie par des contextes normatifs et des « chocs avec la réalité », c’est-à-dire des moments où ils butent et prennent conscience de certaines réalités sociales » . Martuccelli, qui se rapproche de Giddens sur de nombreux points, propose donc quant à lui plutôt d’interpréter la période dans laquelle nous nous situons tant moins en termes de modernité avancée que comme une plus grande élasticité entre le système et l’acteur. Pour lui c’est cet entre-deux qui gagne à faire l’objet de notre attention dès lors que l’on souhaite s’intéresser à l’action des acteurs.

Considérations méthodologiques

La question du CSRT qui nous sert d’horizon pose aux « chercheurs » et aux « praticiens » un problème commun. Comme l’exprime Kleiber (2001), face aux difficultés du monde et à la problématicité qui les caractérisent, « comment orienter concrètement la production et la diffusion du savoir, pour qu’ils rendent le monde plus intelligible et nous plus intelligents, plus vigilants, plus intolérants à ce prêt-à-penser trompeur qui prend trop souvent le masque de la vérité ? ». Est ici posé que la fécondité scientifique est aussi aux frontières et qu’un « devoir d’ingérence intellectuelle » nous est nécessaire. Pour paraphraser Bolay et Schmid (2004), renforcer le lien social de la science, c’est aussi élaborer les savoirs indispensables aux hommes et aux femmes en tant que constructeurs de notre monde, acteurs individuels et collectifs, et dès lors également, entre autres, à ceux qui opèrent au sein des entreprises. Dès lors que l’on s’inscrit dans des courants de recherche qui reconnaissent aux sciences humaines et sociales unrôle émancipateur potentiel et qu’effectivement celles-ci participent à la construction du monde, les recherches sur le possible peuvent être conçues « comme des armes stratégiques » (Boltanski, 2009) à côté d’autres « recherches sur le possible » comme « la déconstruction d’idées reçues ou le dévoilement de réalités méconnues » (Jeanpierre, Nicodème et SaintGermier, 2013). « Passer par le dehors », nous dit Jullien (2004), c’est être invité à « réinterroger ce qu’on n’interrogeait pas ».
Dans le cadre de la problématologie, le possible apparaît comme une des ressources pour nourrir une sortie des situations où « faute d’avoir déjà les nouvelles réponses, on fait comme si elles l’étaient encore, alors que l’on sait bien que ce n’est plus le cas » (Meyer, 2011). Il offre une autre entrée que celle de la créativité qui, quant à elle, a été retenue par Agogué (2013) pour sortir des impasses que constituent les situations d’innovation orpheline. S’intéresser au possible, c’est aussi développer, – soutenu par le cadre épistémologique que nous avons retenu – , une méthode dialogique « chercheur » / « praticien » qui tire parti de la situation pour permettre l’émergence de connaissances innovantes. Dans un tel cadre, le défi ne peut être relevé à partir d’une méthodologie planifiée. Il demande à construire un outillage mental à même de s’ajuster à l’évolution de l’enquête et à mobiliser un opportunisme méthodologique (Girin, 1989). Accepter la problématicité nécessite plus une carte et une boussole qu’un plan préétabli pour progresser (Fabre, 2011). Une telle démarche appelle en premier temps une capacité à mobiliser des processus, peu élégants, mais utiles pour la navigation (Patton, 2011). Il s’agit bien d’avancer en coconstruisant la réflexivité qui alimente le geste critique que nous avons initié au départ de la démarche. Une telle approche permet de s’ajuster au caractère mal structuré des différents problèmes à explorer : processus de tâtonnements, d’avancées et de reculs, de mises à l’épreuve. C’est justement ce tâtonnement qui fait son sérieux et sa solidité.
Ce qui s’échafaude est nourri d’une multiple expertise. Il s’agit d’échafauder pour progresser en croisant « bricolage théorique provisoire » et indices, abduction et réflexivité critique : plutôt que denier la progression incertaine et imprécise, dès lors que nous explorons le possible, il y a lieu de soutenir de nouvelles méthodes qui permettent de prendre en compte les éléments decontexte.

Le champ du possible

En posant que la production de connaissances est une activité contingente, nous pouvons souligner que les épistémologies constructivistes ouvrent de nouvelles opportunités. La montée en puissance de ces programmes, l’émergence de l’innovation sociale comme l’élaboration de théories dynamiques, invitent en effet à porter une attention soutenue aux initi atives non reconnues, aux potentialités et aux territoires du possible (Hacking, 2001). Soulignant que « ce qui est construit peut être déconstruit et dès lors reconstruit », elles offrent la possibilité d’envisager de faire du possible une catégorie qui permette de penser la transformation et non de faire de celui-ci « le simple signe qu’il existe dans la réalité des zones d’indétermination tolérées » (Jeanpierre, Nicodème et Saint-Germier, 2013). Affirmer la contingence de la réalité, comme le soulignent ces trois auteurs, c’est dire en creux que d’autres mondes auraient été possibles. Pour notre part, c’est surtout aussi être en mesure de dire que d’autres possibles existent et demeurent. La question devient dans ce cas, pour qui souhaite s’inscrire dans cette orientation de recherche, d’étudier comment y accéder en vue d’investiguer de nouvelles avenues.
S’interroger en ces termes, c’est aller à l’encontre de l’idée – comme nous l’avons précédent exprimé en référence à Jeanpierre, Nicodème et Saint-Germier, (2013) -, que la recherche ou la description « de possibilités non actualisées n’a pas sa place dans le compte-rendu d’une enquête ou d’une expérience ». Cette invitation nous semble cependant particulièrement d’autant plus si nous nous intéressons en premier chef aux « possibilités réalistes », c’est-à-dire « des possibilités dont la description est suffisamment contrainte pour avoir un intérêt cognitif et éventuellement critique » (Jeanpierre, Nicodème et Saint-Germier, 2013). Comme le complètent ces auteurs, « si le possible doit être mieux connu, c’est aussi qu’il permet d’envisager le changement ». Dégager de la connaissance à propos de possibilités non actualisées, c’est construire de la ressource capacitante, c’est-à-dire « un appui, une garantie plus réelle, pour des perspectives de transformation de la réalité ». Dans ce cas, et comme lesoutiennent nos trois auteurs, « une telle démarche présuppose bien entendu d’accorder aux sciences humaines et sociales un rôle émancipateur potentiel » . Dire cela, ne sous-tend pas inscrire la recherche dans une perspective politique qui viserait la réalisation de certains possibles que les uns ou les autres jugeraient plus acceptables. Explorer le possible ou « rendre possibles certaines réalités », c’est « viser une articulation plus serrée entre le possible de la théorie et le possible de la pratique » (Jeanpierre, Nicodème et Saint-Germier, 2013, p. 16).
L’enjeu est ici de « faire parler les possibles », par exemple comme nous le propose Vercauteren (2011) en nourrissant une « culture des précédents ». L’approche par le possible permet d’aborder la critique par un autre pli. La critique suppose en effet « au moins tacitement, l’idée d’un « possible » en vertu et à partir duquel il est permis de contester ou au moins de questionner « ce qui est » […] selon une perspective de transformation » (Guéguen, 2014, p. 265). Mais comme le déplie Bruno (2015, p. 215), le possible reste flou, abstrait, insaisissable . La question est ici d’opérer en amont de l’émergence, c’est-à-dire au niveau du possible contenu dans le réel ou encore comme le qualifie Jullien (2009) en référence à la philosophie chinoise, aux potentialités transformatives de la situation. Le possible mis en lumière n’est donc pas un possible purement logique ou encore idéel : « immanent, le possible l’est au sens où il se trouvenon seulement porté par une situation sociale historiquement déterminée, et devant être abordéedans sa matérialité, mais par les acteurs sociaux et leurs capacités pratiques » (Guéguen, 2014,p. 273)

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Table des matières
Remerciements 
Résumé 
Résumé en anglais 
Résumé en allemand 
Table des matières 
Liste des tableaux 
Liste des figures 
Liste des encarts 
Liste des abréviations et acronymes 
Prolégomènes
Première partie 
1 Introduction
1.1 Le contexte de notre recherche
1.2 Le projet de recherche
1.2.1 Proposition d’approche
1.2.2 Stratégie de recherche
2 Premier volet de notre projet de recherche 
2.1 Approches critiques dans le champ de la gestion
2.1.1 Critical Human Resource Development
2.1.2 Fondement de l’approche critique en HRD
2.2 Discussion
2.2.1 Quatre questionnements
2.2.2 Quatre propositions
2.3 Posture épistémologique
2.3.1 Finalités de notre projet de connaissance
2.3.2 Cadre épistémologique
2.3.3 Perspective constructiviste et pragmatique
2.3.4 De l’objet de recherche au projet de recherche
2.4 Appuis théoriques
2.4.1 Problématique et problématicité
2.4.2 Du dualisme à la dualité
2.4.3 Approche de l’activité
2.5 Considérations méthodologiques
2.5.1 Le champ du possible
2.5.2 Nourrir une culture du précédent
2.5.3 Élaboration d’un espace de recherche partenariale
2.5.4 De l’intérêt de l’abduction
2.5.5 Recueil des données
3 Second volet de notre projet de recherche 
3.1 Introduction
3.2 Proposition pour sortir de l’innovation orpheline
3.2.1 Le bon recrutement selon le modèle orthodoxe
3.2.2 Proposition de reconceptualisation
3.2.3 L’enjeu de la représentation
3.3 Opérationnalisation de la recherche
3.3.1 Le recrutement par alternance
3.3.2 Programmes retenus
Seconde partie
4 Introduction 
5 Méthodologie 
5.1 Recueil d’indices, de signes et de données
5.2 Restitution des résultats
6 Analyse par niveaux 
6.1 Niveau Institutionnel
6.1.1 Approche par les marchés de l’emploi
6.1.2 Approche par l’enseignement et la formation professionnelle
6.2 Niveau organisationnel
6.2.1 La mise en récit
6.2.2 Des mises au format
6.3 Approche par le niveau local
6.3.1 Prémices
6.3.2 Thinking in new boxes
7 Mise à l’épreuve 
7.1 Constitution en prototerritoire
7.2 Phase d’amorçage
7.3 Genre et style
7.4 Indices et signes
7.5 Conditions préalables
7.6 Du renversement de l’ordre des questions
7.6.1 Rendre impossible certains possibles
7.6.2 Approche du geste critique et réflexif
7.6.3 Approche évènementielle
7.6.4 Approche sensible au lieu
7.6.5 Émergence de nouvelles questions
7.6.6 Émergence de nouveaux territoires
7.6.7 Émergence de nouvelles possibilités d’apprentissage
7.7 Résultats opérationnels
7.7.1 Non-discrimination territoriale
7.7.2 Visée de recrutement pour la totalité des apprentis en sortie d’alternance
7.7.3 Diversité de parcours et de profils
7.7.4 Révision de la place du candidat
7.8 Résultats de second type .
8 Conclusion partielle 
Troisième partie
9 Introduction 
10 La question de la santé psychologique
10.1 Les dimensions retenues
10.1.1 Modèle C.A.A
10.1.2 Alliance de travail
10.1.3 Confiance
10.1.4 Bienveillance
10.1.5 Intégrité
10.1.6 Fiabilité
10.1.7 Ouverture
10.1.8 Compétence
10.1.9 Sens
10.1.10 Reconnaissance existentielle
10.1.11 Perspective développementale
10.1.12 Expérience positive
10.2 Le contrat psychologique en arrière-fond
10.3 Élaboration d’un environnement capacitant
11 Méthodologie 
11.1 Action engagée en vue de soutenir l’environnement capacitant
11.2 Quasi ou pré expérimentation
11.3 Hypothèses
11.4 Stratégie de recueil de données
11.4.1 Mobilisation d’un dispositif d’enquête par questionnaire
11.4.2 Mobilisation de deux dispositifs d’enquête par entretien
11.5 Stratégie de triangulation
12 Résultats et analyses 
12.1 Approche par les processus (quantitatif)
12.1.1 Méthode
12.1.2 Résultats et analyses
12.1.3 Remise en perspective
12.2 Approche par les promotions d’alternants recrutés
12.2.1 Mode d’analyse qualitative retenu
12.2.2 Approche par tableau de synthèse
12.2.3 Extraits de verbatim et thématisation
12.2.4 Analyse des tableaux de synthèse
12.2.5 Construction d’indices
12.3 Approche par les candidats non recrutés
12.3.1 Approche par cas
12.3.2 Construction d’indices
12.4 Approche transverse
Conclusion générale
12.5 Problématicité et situation de gestion
12.6 Limites et déconstruction
12.7 Propos de clôture
Index 
Bibliographie
Annexes 

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