L’infrastructure économique : l’équipe du SMA
« C’est vrai qu’au SMA, on a un côté S.P.A… Mais société protectrice de qui ?
Des associations ?… » Un responsable.
Une petite équipe de quelques militants anime aujourd’hui le syndicat. Elle bénéficie d’un bureau où ont lieu les permanences syndicales à l’Union Départementale de Paris.
L’acteur principal du syndicat est le secrétaire général, N. ; d’abord professeur d’histoire pendant une courte période, il rejoint le secteur associatif militant comme chargé de mission au MRAP. C’est à cette période qu’il devient bénévole au tout jeune CFDT-SMA, en 1997. Rapidement il est coopté et élu comme trésorier adjoint en 1998, puis secrétaire général en 2000. A la suite du retrait au motif de… retraite officielle de la fondatrice en 2005, jusqu’alors animatrice bénévole du syndicat, le conseil décide la création en mai 2006 d’un poste de salarié à temps partiel (3/5e). N. est depuis cette date investi à temps plein dans l’animation du syndicat et dans son développement, à double titre : secrétaire général et salarié permanent.
Il est appuyé dans la réalisation de ses missions au quotidien par une petite équipe de bénévoles : la fondatrice, investie depuis l’origine, qui assure encore les « permanences du jeudi », ainsi que deux membres du bureau du conseil qui apportent un soutien régulier sur les aspects de gestion administrative et financière.
En fonction des projets et de l’actualité, d’autres bénévoles sont mobilisés – comme sur les questions de formation syndicale.
Description de l’activité de l’animateur du syndicat
L’animateur du syndicat (permanent salarié et secrétaire général) est le pivot de la structure économique. Il est donc intéressant de se pencher sur son travail.
Précisons que s’agissant du cadre d’exercice de l’activité, autrement dit du prescrit,nous n’avons eu connaissance d’aucun document. Nous avons entendu parler d’un contrat de travail et nous ne savons pas s’il existe une fiche de poste ; si c’est le cas, elle est inexistante dans la réalité du travail et ne constitue pas un point de référence pour l’agent et l’employeur. Aussi, le prescrit relatif à l’exercice de l’activité se résume à la « feuille de route » donnée par le congrès et aux orientations qui sont votées, une fois tous les deux ans. Celle-ci se décline en décisions prises par la « direction » du syndicat, le conseil syndical, qui se réunit rappelons-le mensuellement.
L’observation du réel de l’activité de l’agent nous est ici d’autant plus précieuse pour comprendre l’activité du syndicat.
« Je suis l’animateur du syndicat »…
Animateur : métier protéiforme, difficile à saisir, aux contours flous, aux réalités multiples en fonction des univers de référence… Il souffre assurément de sa proximité auditive avec le vocable « amateur » et s’associe dans l’imaginaire populaire avec la figure du « jeune » plein d’énergie et de bons sentiments que l’on rencontre sur son lieu de vacances, une flopée d’enfants aux bras. Une image aux antipodes de la réalité du métier de N. mais qu’il utilise « faute de mieux ».
Quelles sont ses missions ?
A – Animer le syndicat « côté superstructure » : il s’agit de préparer, d’organiser et d’animer l’ensemble des moments de la vie du syndicat, vie interne et vie externe (congrès divers). Le calendrier d’un syndicat affilié CFDT est plutôt conséquent, car les institutions d’affiliation sont plurielles : interprofessionnelles (l’union départementale de Paris, l’union régionale, la confédération) et professionnelle (la fédération des services). Cette activité représente environ un tiers du temps de travail.
B – Animer le syndicat « côté adhérents » : d’une part, il s’agit de traiter les demandes d’appui et de conseils divers des adhérents individuels « hors mandats » ; trois formes principales : entretiens téléphoniques, rendez-vous à la « permanence » du syndicat (bureau) ou rendez-vous à l’extérieur (lieu public ou permanence sur le lieu de travail le cas échéant). De la même manière, les élus adhérents et les sections bénéficient d’un accompagnement spécifique en fonction de leur actualité et problématiques syndicales. Il s’agit donc, d’autre part, de répondre aux demandes d’accompagnement de ces adhérents « mandatés ». Bien entendu, en tant que syndicat, le SMA se doit de proposer des espaces de militance et de pensée collective syndicale qui sortent de l’actualité de chacun, stricto sensu. Il s’agit d’un volet stratégique important, qui souffre cependant de la charge importante de travail que représentent les autres missions, répondre « aux demandes » et « rendre le service attendu » étant considéré comme une priorité. A ce jour, aucun espace collectif n’existe en soi ; les adhérents se réunissent, pour ceux qui le souhaitent, à deux moments de la vie du syndicat : lors du congrès (tous les deux ans) et lors des formations proposées par le syndicat, en moyenne une fois tous les trois mois durant une demi-journée à deux jours.
C – Informer et conseiller les salariés du champ associatif : une part variable mais non négligeable du temps de travail de N. est consacrée à répondre aux sollicitations des salariés, non adhérents, qui rencontrent une difficulté professionnelle et s’adressent au syndicat (demandes spontanées, le plus souvent par téléphone).
C’est une tâche délicate car « limite », aux contours flous : si le développement du syndicat impose d’informer a minima des salariés non adhérents, avec pour perspective qu’ils le deviennent, la priorité reste de consacrer son temps aux adhérents qui eux attendent le service auquel ils peuvent prétendre souvent avec un vécu d’urgence et de stress (besoin d’une intervention dans le cadre d’un conflit avec l’employeur majoritairement, sous toutes ses formes). D’autre part, une difficulté importante, de ce que j’en ai observé, réside dan s la méconnaissance qu’ont les demandeurs du fonctionnement d’un syndicat et du principe de service rendu aux adhérents. Ce qui fait parfois dire à N. avec ironie, en off, que ce n’est pas le numéro de SOS Amitiés…
Ce premier niveau d’analyse amène un constat : si le prescrit quant à l’exercice du poste est faible, il est contrebalancé par un prescrit intrinsèque à l’activité très fort : il est constitué par l’ensemble des lois et règlements relevant du droit social, du droit syndical et du droit du travail d’une part. D’autre part en ce qui concerne l’animation vers l’interne, par l’ensemble des lois et règlements régissant le fonctionnement de la confédération et des organisations affiliées (syndicats notamment). Ces deux cadres de références juridiques sont puissants, vécus comme la double norme qui fait référence.
Le « regard » porté sur l’activité : l’analyse de l’activité de N
Si je n’ai pu conduire une analyse de son activité en bonne et due forme, ma présence à ses côtés une demi-journée par semaine pendant six mois m’a permis d’observer son travail de façon relativement fine. Je pense être en mesure d’en donner une image fidèle puisque nous avons pu travailler et échanger en confiance, sur une période relativement longue.
De la nécessité (double) de faire (doublement) face. Ce qui ressort de l’observation du travail de N. au quotidien est l’existence d’une forte tension entre deux flux : le flux des « demandeurs » de tous ordres, adhérents individuels, sections, « quidams », membres du conseil, autres militants CFDT… et le flux du traitement, souvent avec un nécessaire passage à l’écrit, des demandes. Car dans une écrasante majorité des cas, la réponse au problème posé est d’ordre juridique, et le conseil revient à replacer le problème posé dans un cadre légal et réglementaire. Ainsi, le téléphone sonne plusieurs fois par heure, tandis que la messagerie électronique est toujours débordante, et la bannette à courrier pleine…Des piles de dossiers divers s’entassent sur les bureaux et les étagères, « en cours de traitement »… Mon traditionnel accueil du vendredi consistait à ranger le bureau qui m’était dévolu en le débarrassant des piles de papiers qui l’encombrait.
Il s’agit là du travail de « back-office », d’une toute autre nature que celui du « frontoffice », autrement dit du face-à-face avec l’adhérent. Selon nous, la tension entre ces deux flux est la conséquence d’au moins trois phénomènes qui se combinent :
Un effet de masse critique
Le nombre de demandes croît logiquement avec l’évolution du nombre d’adhérents, l’augmentation annuelle moyenne depuis 2007 se situant entre 5 et 10 %. Le poste salarié, quant à lui, est toujours le même depuis cinq ans. Effet aggravant, la petite équipe de bénévoles ne grossit pas ses rangs et a tendance à réduire son temps d’investissement.
La superstructure institutionnelle et idéologique : le syndicat et son conseil
« Il n’y a pas de postes à pourvoir, il n’y a que des coups à prendre dans ce syndicat. Du coup, ça se bouscule pas au portillon pour y entrer. » Un responsable.
Le Conseil du Syndicat (CS) est composé de 12 membres élus tous les 2 ans à l’occasion du Congrès réunissant l’ensemble des adhérents. Sur 12 membres, seul 1 est permanent (N.). En comparaison avec le plus gros syndicat de l’Union
Départementale de Paris (UDP), le syndicat Chimie-Energie (SCE), le SMA est un petit syndicat : petit par sa taille (nombre d’adhérents) et aussi par son envergure : le CS du SCE est composé exclusivement de permanents salariés, et est doté d’un pool administratif de 5 personnes. La taille de l’exécutif du syndicat est bien évidemment corrélée au nombre d’adhérents, qu’il faut pondérer avec le « type » d’adhérents : en effet la cotisation versée au syndicat dépend des revenus de l’adhérent. Si l’on schématise à l’extrême, mieux vaut moins d’adhérents mais plus riches que beaucoup d’adhérents pauvres. L’adhérent type du SMA se situe dans un entre-deux, avec 8 euros de cotisation mensuelle moyenne, ce qui est honorable.
Si l’on compare le CS de 2000 avec celui de 2010, seules 2 personnes sont encore présentes, ce qui est un indice de la vitalité démocratique du syndicat – là où ailleurs, la proportion est souvent inverse : les mandatés élus sont reconduits d’un mandat sur l’autre. Par ailleurs, il y a un souci du secrétaire général de représentativité des membres du conseil : sur 12, 3 sont ce qu’il nomme des « adhérents maison », c’est-à-dire émanant d’organisations CFDT telle l’union départementale de Paris. En effet, et c’est une forte particularité du SMA, il compte dès son origine parmi ses adhérents des travailleurs « CFDT », c’est-à-dire salariés par d’autres instances cédétistes, en nombre important : 60 % des effectifs les 10 premières années, aujourd’hui et suite à un effort de développement vers l’extérieur, 10 % environ (60 sur 650). Ceci n’est bien sûr pas sans impact sur les relations entre le SMA et les différentes instances CFDT, comme nous aurons l’occasion de l’évoquer plus loin.
L’environnement politique et institutionnel du SMA : La supersuperstructure CFDT et ses différentes composantes
« Les syndicats sont des organisations complexes, dont le discours et le fonctionnement restent obscurs au profane et même à l’adhérent de base », nous dit Dominique Andolfatto . J’ai maintes fois fait ce constat durant mes six mois de plongée dans la nébuleuse syndicale cédétiste. Il est par ailleurs intéressant de noter que mon interlocuteur cédétiste n’a, lui non plus, pas le sentiment, au bout de quinze ans de maison, d’avoir tous les tenants et les aboutissants de l’organisation dans laquelle il travaille. Sa complexité – voire son opacité ? – la rend donc en partie énigmatique, y compris pour ses propres militants. Le présent mémoire ne peut et n’aura pas par voie de conséquence pour objet d’en donner une exhaustive approche au lecteur ; j’en donnerai néanmoins quelques clés de lecture, dans l’objectif d’éclairer le cadre de l’intervention menée. Après quelques généralités, j’en viendrai à préciser les liens entre le SMA et les autres instances CFDT.
Depuis la loi de 1950 sur les conventions collectives, et la fixation de critères de représentativité par le législateur, La CFDT – à l’époque Confédération Française des Travailleurs Chrétiens (CFTC) jusqu’au changement de sigle lors de la scission de 1964 – compte parmi les 5 confédérations syndicales représentatives françaises.
Elle est organisée, comme ses consœurs, selon les principes du fédéralisme associatif :
– L’organe de base est le syndicat, composé d’une ou de plusieurs sections d’établissement ;
– Ces syndicats se fédèrent, sur une base professionnelle ou catégorielle, dans des fédérations d’industrie ou de métiers, et sur une base géographique, dans des unions locales, départementales ou régionales.
La solitude de « l’analyseur »
Citons Meignant : « L’analyseur, c’est, au sens hégélien, celui qui porte, qui agit, la négativité qui est le complément nécessaire à la positivité de l’organisation. » Il est celui qui « trouble de ses écarts de conduite ou de langage, le rassurant discours que l’organisation tient sur elle-même ». Il porte aussi, à son insu, « les formes du devenir de l’organisation ». Ce concept de l’acteur « mauvais sujet » pour les uns, « visionnaire » pour les autres, le fou de Michel Foucault, s’applique particulièrement bien dans notre cas d’espèce. Dans son univers organisationnel, le SMA sent le souffre, sa réputation d’« oppositionnel » – terme plus moderne qu’opposant ? – le précède. Ses déclarations publiques lors des congrès, ses écrits et ses actes portent sa signature. Loin de tourner sur elle-même ou de s’ériger en principe, il nous semble que cette posture fait ici sens et dit quelque chose de l’état de l’organisation. Comment l’intervenant, ayant conduit son enquête, peut-il « décrypter le message » ? Quelle lecture pouvons-nous aujourd’hui en donner ?
C’est l’attachement à trouver la réponse à cette question qui a guidé notre réflexion, dont nous livrons la substantifique moelle au lecteur dans les pages suivantes.
Dans un premier temps, j’ai synthétisé les informations qui m’ont semblé les plus pertinentes pour comprendre les lignes de force de la pensée et de l’action du syndicat, en regard de celles des autres organisations auxquelles il est statutairement affilié : niveau géographique régional et niveau professionnel fédéral.
Ces caractérisations se fondent sur mes observations ainsi que sur la parole des acteurs et non sur une observation menée dans les règles de l’art des organisations.
Elles indiquent néanmoins des grandes tendances, de type « représentations », utiles pour la compréhension du contexte. Dans la mesure du possible, j’ai recoupé mes informations avec celles émanant de différentes études sur la CFDT – sachant qu’elles sont peu nombreuses, en particulier sur la période récente. C’est Dominique Andolfatto, auteur déjà cité, qui a produit à mon sens les travaux les plus pertinents dans les années 2000, en particulier une Histoire et une Sociologie des syndicats français.
Un clivage révélateur d’« une fracture politique »
Un élément de contexte historique et stratégique propre à la CFDT vient utilement éclairer la logique d’alliance constatée. Les unions régionales sont devenues en 70 le niveau territorial le plus important : ceci répond d’abord à un impératif politique pensé au niveau central, et leur donne, aux côtés des fédérations, un rôle clé dans l’organisation. Comme l’illustre l’organigramme officiel page 18, elles seules participent de plein droit au conseil national et présentent des candidats au bureau national confédéral. Devant alors disparaître, les unions départementales ont été rétablies en 79 ; elles ont ainsi « retrouvé le premier rôle en ce qui concerne les questions quotidiennes » (Andolfatto D., op.cit., page 57)… avant d’être de nouveau politiquement réduites au silence comme cela a été évoqué plus haut, lors du congrès de 2006.
De l’ambition d’une pratique homogène à l’adoption d’un schéma directeur de la formation « au service de la stratégie » (1920-1999)
Avant d’en arriver à la période actuelle, il est utile de donner au lecteur les grandes lignes de l’histoire de la formation syndicale cédé tiste. Sur cette question, comme sur d’autres, « dénicher » une étude non partisane, c’est-à-dire dont l’auteur n’appartient pas à l’organisation, est une tâche ardue. Nous nous appuierons « par défaut » pour notre propos sur l’article de Philippe Lepeu, publié dans le numéro 154 de la revue Education permanente en janvier 2003. Précisons qu’il était alors responsable de la politique de formation syndicale à la CFDT. Sa lecture, nécessairement partisane, n’en demeure pas moins éclairante pour nous.
Nous nous attacherons à donner ici les grands repères historiques de l’évolution du système de formation syndicale cédétiste, en y adjoignant notre commentaire. 1920 : création d’une « session confédérale d’études et de pratiques syndicales » pour donner à tous « une pratique homogène et des principes qui soient vraiment ceux de la CFTC ».
Dès l’origine, s’affirme une volonté forte d’encadrement de l’action des syndicalistes par une unification de la pratique. Celle-ci est d’une part reliée à des principes qui guident l’action, édictés selon toute probabilité par l’organisation, c’est-à-dire ses dirigeants, comme le suggère l’emploi du verbe « donner ». C’est donc un système fortement normé et « pensé d’en haut », lié à une doctra politique. La pensée sous-jacente pourrait être : « Il faut remettre nos troupes en bon ordre de marche. »
A partir de 1925 apparaissent les premières Ecoles Normales Ouvrières dans le Nord tout d’abord puis à Lyon (1930) et Paris (1931) ; en 1938 est créé l’Institut Confédéral d’Etudes et de Formation Syndicale (ICEFS). Les ENO, précise l’auteur, sont encadrées par des responsables religieux ; l’enseignement porte sur « la doctrine sociale de l’Eglise mais vise également à doter les syndicalistes de compétences techniques et de méthodes de travail ».Très tôt des formes d’institutionnalisation de la formation se font jour et s’incarnent dans des lieux symboliques forts : les Ecoles Normales et un Institut confédéral. Il est frappant de constater que ces lieux ont été pensés non en altérité avec l’existant (le système des grandes écoles et des instituts) mais bien en continuité, en réempruntant les dénominations symboliques « prestigieuses » que l’on « estampille » aux couleurs de son drapeau : les écoles sont ouvrières et la formation est syndicale.
Avec l’arrivée massive de nouveaux militants en 1936, la question du contenu de la formation se pose avec plus d’acuité et, nous dit l’auteur, « devient conflictuelle ».
Deux positions s’affrontent : les tenants d’une formation contrôlée théologiquement et ceux qui souhaitent l’ouvrir davantage aux préoccupations des militants. La formation syndicale s’ouvre « (…) au-delà de la formation doctrinale, aux questions politiques et économiques ».
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Table des matières
INTRODUCTION
D’où je parle : mon parcours professionnel et militant
PARTIE I
Le dispositif d’intervention
1-Genèse et lancement
2- Les « indices » de l’intervention»
3- L’identification des atouts et des freins (…)
4- Le déroulement de l’intervention
5- Le bilan de l’intervention
6- Mon « pas de côté » : quelques réflexions sur ma posture(…)
PARTIE II
Du contexte de l’intervention
A – PRESENTATION DES ACTEURS ET DE LEURS ENJEUX
Avant-propos
1-L’organisation commanditaire : le Syndicat des Mouvements et des Associations (SMA)
2-L’environnement politique et institutionnel du SMA : La super-superstructure
C.F.D.T et ses différentes composantes
3- L’air du temps : la désyndicalisation ou le désaveu social
4- Des relations entre le SMA et les autres instances
5- Analyse organisationnelle de l’acteur syndical
B – LE SYSTEME DE FORMATION SYNDICALE
1- Des évolutions du système de la formation syndicale à la CFDT
2-La démarche de formation au S.M.A
PARTIE III
Elus de TPE-PME associatives, un questionnement vers ce qui fait métier
Avant-propos
1 – Le métier, une certaine vision du travail ?
2 – Fonctions et compétences des élus syndicaux
3 – Métier d’élu syndical et professionnalisation en question
CONCLUSION
De la singularité d’intervenir en milieu militant
Bibliographie
Glossaire
Annexes
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