Elevage de poules pondeuses

Elevage de poules pondeuses

Revue des travaux antérieurs et cadre de l’étude

Comportement de la poule pondeuse

La poule domestique (Gallus gallus domesticus) a pour ancêtre la poule Bankiva (Gallus gallus bankiva) qui vit actuellement à l’état sauvage en Asie du sud. La poule a été domestiquée il y a 6000 à 8000 ans, élevée comme un animal d’agrément ou pour le combat. Cependant, au cours de ces dernières années elle est élevée de façon intensive pour des caractéristiques de production. Sur un territoire de 70 à 80 mètres de diamètre autour d’un arbre, les poules sauvages vivent en petits groupes, en harem, avec un coq, qui a le rôle de protéger ses poules et non seulement les cocher. Les poules d’un groupe se connaissent les unes les autres et communiquent entre elles par des appels sonores et des manifestations visuelles (Götz, 2013). D’abord, les poules se tiennent sur le sol durant la journée, mais en cas de danger ou pour se reposer, elles cherchent les endroits surélevés et dorment en hauteur dans les arbres. Les volières correspondent à ce comportement naturel puisqu’elles sont disposées en étages (Vonesch, 2007). Naturellement, les poules passent toute la journée à creuser et gratter le sol. Elles consomment tout; graines, pousses, insectes et vers. Elles recherchent leur nourriture principalement au sol et dans le sol. De plus, les poules s’exposent au soleil avec les ailes étendues puisqu’il leur permet une protection à l’égard des maladies et constitue une source de vitamine D. Les poules ne s’exposent pas seulement au soleil, mais elles prennent aussi des bains de poussière afin de se débarrasser de la vieille graisse et des parasites et de prendre soin de leur plumage (Vonesch, 2007). Ce comportement constitue un des besoins essentiels de la poule. Dans la nature, la poule cherche un endroit abrité, le rembourre de feuilles et d’herbes et construit son nid pour y pondre et éventuellement couver ses œufs pendant 21 jours. Elle quitte son nid chaque jour pour se nourrir, boire et se baigner dans la poussière.
Ni la domestication de la poule, ni la sélection génétique n’ont pu supprimer en elles les comportements vitaux tels que s’étirer et écarter les ailes, gratter le sol, se baigner dans la poussière, pondre dans un lieu abrité et couver leurs œufs (Götz, 2013). La poule domestique a aussi conservé le même type de comportement alimentaire mais avec un degré de conservation variable d’une souche à l’autre. Elle présente les mêmes comportements de confort et de toilettage que ses ancêtres; le lissage, le nettoyage et l’entretien des plumes avec le bec ou les doigts, l’étirement des ailes et le bain de poussière si elle en a la possibilité. La motivation pour se baigner reste forte même quand les poules sont élevées sur des sols grillagés. Elles essayent de le faire avec des plumes quand le milieu est dépourvu d’équipements et cela constitue l’une des causes du problème de picage (Vonesch, 2007). Elle a aussi gardé les comportements tels que l’immobilité, les cris d’alerte face aux prédateurs et les tentatives soudaines de fuite face au danger. La poule domestique a maintenu les comportements de nidification et de ponte; déplacements accrus, cri avant la ponte, position debout et caquetage, construction du nid, si la possibilité se présente. Sinon, ces comportements apparaissent sous forme réduite et sont considérés comme des comportements stéréotypés prolongés (Vonesch, 2007).

Logement des poules pondeuses

En élevage commercial de poules pondeuses, les systèmes de logement généralement rencontrés sont : les cages conventionnelles, les cages aménagées ou «enrichies», les volières et les systèmes avec accès extérieur, sur parcours ou pâturage ou encore élevage dit « plein air ». Les systèmes en cages ont l’inconvénient de priver les poules d’exprimer leurs comportements naturels à cause de l’espace réduit par individu. De nombreuses critiques (Freire et Cowling, 2013) sont dirigées sur ces systèmes de production souvent considérés comme une source de souffrances pour les poules et nuisibles à leur bien-être.

Cages conventionnelles ou « en batteries »

Le système d’élevage en cages conventionnelles consiste à loger les poules dans des cages grillagées par groupe de 5 à 6 individus avec un espace disponible généralement inférieur à 500 cm² par poule. Au Canada, la superficie doit être d’au moins 432 cm2 et 484 cm2 par poule respectivement pour la production d’œufs blancs et bruns (Jendral et al., 2010). Aux États-Unis, certaines sociétés privées exigent des surfaces minimales à leurs fournisseurs. Par exemple, les restaurants McDonald et Burger King fixent respectivement la densité minimale à 464 cm2 et 484 cm2 par poule. Les cages sont organisées en rangées superposées les unes sur les autres. Les risques de maladies et de parasitisme, associés à une meilleure hygiène par rapport autres systèmes, sont faibles. En effet, l’absence de litière dans le système ainsi que la séparation des poules de leurs propres excréments diminuent le développement des maladies et augmentent la salubrité des aliments (Baxter, 1994). De plus, cette densité élevée conduit généralement à l’installation d’une hiérarchie sociale stable et réduit les comportements agressifs et le cannibalisme (Abrahammson et Tauson, 1995). La mortalité est en moyenne plus faible que dans d’autres systèmes.
Les principaux inconvénients sont liés à la conception du système qui ne permet pas aux pondeuses d’exprimer certains comportements innés dus aux densités élevées limitant l’espace physique (Nicol, 1987), tels que le battement des ailes, le vol et les sauts. Et comme les poules sont complètement enfermées dans des cages grillagées, la restriction de circulation contribue à la déformation osseuse et à la fragilité du squelette en cours de production (Knowles et Broom, 1990). En plus, la lacune la plus importante est l’absence d’une aire de nidification close puisque la nidification est une priorité de comportement pour les poules. Outre, le perchage et les bains de poussière qui sont aussi des éléments très importants du comportement naturel qui ne peut pas être exprimé dans ce type de cages (Appleby et al., 1993). Les poules en cages conventionnelles disposent d’un espace insuffisant pour maintenir un « espace personnel » adéquat et pour échapper à l’intimidation des congénères. Les niveaux de stress physiologiques sont également plus élevés chez les poules soumises à une restriction spatiale (Laywel, 2006).

Cages aménagées ou « enrichies »

Les cages sont considérées comme « aménagées », ou encore « enrichies », lorsque différents équipements sont mis à la disposition des poules afin de leur permettre d’exprimer certains de leurs comportements jugés comme essentiels (figure 2.1). La densité animale y est plus faible que dans les cages traditionnelles. Ainsi, selon la législation européenne (Directive 1999/74/CE), les poules doivent disposer d’au moins 750 cm² par poule et avoir accès à un nid, un perchoir, une aire de grattage et de picotage et à un dispositif de raccourcissement des griffes. Les cages aménagées disponibles dans le commerce sont conçues pour héberger des groupes de 10 à 60 poules.
Figure 2.1. Équipements pour l’expression des comportements naturels dans les cages aménagées (Desrosiers, 2012).
Les cages enrichies sont créés pour pallier l’inconvénient de la restriction des comportements naturels des poules, en fournissant aux poules un espace riche en accessoires. Les poules sont motivées à se rendre au perchoir, surtout pour se percher la nuit (Bubier, 1996; Olsson et Keeling, 2002). Le perchoir améliore la solidité des os (Duncan et al, 1992) ainsi que l’état des pieds et des griffes (Jendral et al, 2010). Les pondeuses feront un effort pour accéder au nid et y pondent leurs œufs tant qu’il est présent. (Cooper et Appleby, 2003; Appleby, 1998). Elles prennent des bains de poussière grâce à l’accès à la litière, ce qui permet de réduire l’incidence de picage (Huber-Eicher et Sebo, 2001) et d’améliorer l’état du plumage (Wall, 2003). La mortalité est plus faible par rapport aux autres systèmes (Sherwin et al., 2010). Selon ces auteurs, ces aménagements permettraient d’améliorer le bien-être tout en conservant un meilleur niveau de production.
Les inconvénients de cages aménagées dépendent davantage de la conception, par exemple, la présence des perchoirs engendre des déviations des bréchets dues à la longue durée de perchage des poule (Vits et al., 2005; Pickel et al., 2011). Aussi, l’utilisation des perchoirs peut provoquer des fractures osseuses à la suite d’un atterrissage raté ou de chutes (Tauson, 1998; Lay et al., 2011; Pickel et al., 2011). Ensuite, on note un taux élevé d’œufs cassés (Guesdon and Faure, 2004), en raison de leur accumulation sur le tapis convoyeur au niveau du nid. Enfin, le picage peut apparaitre dans les cages aménagées, en cas de taille de groupe élevée (Sedlačková et al., 2004; Wall, 2011). Outre la douleur engendrée, il peut mener au cannibalisme (Keeling, 1995; Wall et al., 2008). De plus, la perte de chaleur engendrée par une moindre couverture des plumes entraîne des pertes économiques par une augmentation de la consommation de moulée et une détérioration de la conversion alimentaire (Sedlačková et al., 2004; Wall et al., 2008). Il est possible de pratiquer la taille du bec des poules, mais cela reste une opération douloureuse qui affecte leur bien-être (EFSA, 2005 ; Hester, 2005).

Volière de ponte

Avec ce type de logement, les poules disposent d’un volume d’espace sur plusieurs niveaux organisés en plates-formes. La capacité est de neuf poules pondeuses par m2 (soit 1 111 cm² par poule). Au niveau inférieur, de la litière peut être disposée sur le plancher. Parfois, l’utilisation de caillebotis est adoptée pour éliminer le besoin d’utiliser la litière mais des systèmes entièrement sur caillebotis existent également.
D’abord, les poules passent plus de temps à marcher, chercher la nourriture et prendre des bains de poussière (Mollenhorst et al., 2005). La volière de ponte permet la réduction des stéréotypies (Tanaka et Hurnik, 1992) et améliore la résistance osseuse (Leyendecker et al., 2005).
Le risque accru de picage et de mortalité (Rodenburg et al., 2005) constitue un des inconvénients de l’élevage en volière à cause du nombre élevé de poules. En plus, la qualité de l’air tend à se détériorer en raison du niveau élevé d’ammoniac provoquant ainsi des problèmes respiratoires (Nimmermark et al., 2009). De même, lors de l’utilisation des perchoirs, les poules ont tendance à se blesser au moment des sauts et risquent même une déformation des os parleur utilisation fréquente (Tauson et al., 1999). Enfin, le pourcentage d’œufs souillés et cassés est supérieur comparativement aux cages conventionnelles (Moinard, 1996; 1997).

Système plein air

Le système en plein air inclut deux types d’habitat pour la poule, le bâtiment et le parcours à l’extérieur. Les conditions d’élevage à l’intérieur du bâtiment sont similaires à celles décrites pour les volières. L’espace extérieur doit être accessible aux poules durant la journée. Il doit être en grande partie recouvert de végétation. La densité de peuplement ne peut y excéder 2 500 poules par hectare de terrain, soit une poule par 4 mètres carrés.
Les poules élevées en plein air peuvent se déplacer librement à l’extérieur durant la journée, sur l’herbe, et donc profiter de la lumière naturelle et de l’air frais, et par conséquent, présentent un meilleur état du plumage. Par contre, elles seront exposées à des vecteurs de maladies si un contact est possible avec des animaux sauvages ainsi que si elles sont exposées à des conditions climatiques extrêmes, ce qui compromet le bien-être des poules.

Le bien-être animal

Définitions

Les nombreuses définitions du concept de bien-être animal peuvent être classées en trois catégories : d’abord, les définitions basées sur le concept d’harmonie de l’individu avec son environnement. Dans ce contexte, Hughes (1976) parle d’ « Un état de parfaite santé physique et mentale, où l’animal est en complète harmonie avec son environnement ». L’harmonie résulte de la satisfaction des besoins de l’animal (Hughes et Duncan, 1988; Toates et Jensen, 1991; Fraser et Duncan, 1998), c’est-à-dire la manière que l’animal est motivé de réaliser certains comportements et de bien utiliser les composantes de son milieu. Ensuite, il y a les définitions basées sur l’adaptation des animaux. Ainsi, Broom (1987) définit le bien-être animal comme l’état dans lequel se trouve un animal qui essaie de s’adapter efficacement à son milieu. Aussi, « le bien-être d’un animal est un état relatif à ses tentatives d’adaptation à son environnement » (Broom, 1996). Enfin, il y a les définitions fondées sur l’absence de souffrance où le bien-être est défini par l’absence de souffrance et la présence de sensations agréables « le bien-être est tout ce qui est en rapport avec ce que l’animal ressent » (Duncan, 1996). Aussi, il est alors synonyme d’absence d’émotion désagréable telle que la peur, la douleur ou la frustration (Dawkins, 1983).
Le niveau de satisfaction d’un animal ainsi que son aptitude à s’adapter à son environnement peuvent décrire son niveau de bien-être qui se situe en permanence sur une échelle allant du «bien-être nul» au «bien-être total» (Broom, 1996). Par conséquent, un niveau de bien-être est considéré correct lorsque l’animal réussit à s’adapter à son environnement. Cette définition inclut les processus élaborés sur la Figure 2.2. Pour satisfaire ses besoins, un animal doit s’adapter en permanence aux perturbations de son environnement physique et social. La mise en place des processus d’adaptation comportementaux et physiologiques, qui peuvent être conscients ou inconscients, permet cette adaptation. Ces deux types de processus sont contrôlés par les mêmes mécanismes centraux (Keeling et Jensen, 2002).
Figure 2.2. Relations entre perturbation, adaptation et bien-être (Colson, 2006)
En effet, cinq grandes libertés ont été définies suite à une enquête sur le bien-être des animaux d’élevage en 1965 par le comité de Brambell. Ainsi, « un animal devrait avoir suffisamment de liberté de mouvement pour être capable de se retourner, de se toiletter, de se lever, de se coucher, et d’étirer ses membres sans difficulté ». En 1993, le Farm Animal Welfare Council (FAWC) a repris ces cinq libertés pour les faire correspondre à cinq nouvelles libertés, généralement reconnues, du moins en Europe, comme une base pour évaluer le bien-être des animaux domestiques et qui sont :
1) Absence de faim, de soif et de malnutrition;
2) Absence d’inconfort;
3) Absence de la douleur, de blessure et de maladie;
4) Absence de la peur et de la souffrance;
5) Libre d’exprimer des comportements normaux et naturels à leur espèce.

 Notion d’adaptation

Il existe de nombreuses propositions de définition de l’adaptation relativement au bien-être. D’abord, elle porte sur la façon dont un individu s’adapte à son environnement. Aussi, l’adaptation est définie comme l’ajustement de l’animal au milieu qui l’entoure (Mcfarland, 1990). Selon Broom (1989), quand un animal essaie de s’adapter à son environnement, trois conséquences en découlent : 1) l’animal peut s’adapter facilement, d’où peu ou pas de problèmes de bien-être ; 2) l’animal peut vivre dans des conditions difficiles mais développe des mécanismes d’adaptation. L’individu survit, croît et se reproduit mais avec difficulté, et 3) l’animal n’arrive pas à s’adapter à son environnement et, par conséquent, il ne se reproduit pas et meurt. Dantzer (2001) mentionne que « Le milieu dans lequel l’animal est placé sollicite ses capacités d’adaptation de façon plus ou moins intense en fonction des contraintes du milieu sur le fonctionnement normal de l’animal ». Alors, un échec du processus d’adaptation affecte le bien-être, soit par l’impossibilité de mettre en œuvre ce processus, soit par le coût biologique élevé de sa mise en œuvre (Mc Bride, 1984 – cité par Swanson, 1995).

Évaluation du bien-être animal

L’évaluation du bien-être a pour objectif d’identifier et d’étudier les facteurs de variation du bien-être des animaux afin d’apporter des modifications et des enrichissements au niveau de l’exploitation agricole. Cet objectif permet de mieux comprendre les besoins d’un animal, ses aversions et ses préférences (Dawkins, 1990). Ainsi, l’évaluation consiste à réaliser différentes mesures basées sur l’environnement et la façon de gérer les animaux ou basées directement sur les animaux ou à associées à ces deux types de mesures (Johnsen et al., 2001). Les mesures prises sur l’environnement, qui décrivent les systèmes de logement des animaux et leur gestion par l’Homme, sont facilement réalisables et nécessitent peu de temps. Celles prises directement sur les animaux, qui analysent leurs comportements des animaux, leur santé, leurs paramètres de production et leurs manières de réagir à ce qui les entoure, sont plus directes en termes de bien-être puisqu’elles évaluent directement l’état de l’animal. Elles sont plus difficiles à réaliser, demandent plus de temps et les résultats obtenues sont difficiles à interpréter (Johnsen et al., 2001), mais elles restent les mesures à préférer.
Il n’existe pas de mesure unique ou d’indicateur universel du bien-être puisque c’est un concept multidimensionnel et donc à évaluer sous chacune de ses dimensions. Par contre, certains auteurs ont proposé d’utiliser un seul indicateur pouvant donner une vue d’ensemble sur le bien-être. Par exemple, c’est le cas le dosage des corticostéroïdes (proposé par Barnett et Hemsworth 1990), et des protéines de phase aiguë (proposé par Geers et al., 2003). Mais aucune de ces propositions ne permet d’évaluer exactement le bien-être. Par exemple, un taux de cortisol élevé montre un état de stress de l’animal ou que ses besoins métaboliques ne sont pas couverts, mais il ne permet pas de savoir si l’animal est malade. Par conséquent, de nombreuses mesures différentes sont nécessaires afin de bien évaluer tous les aspects du bien-être d’un animal (Dawkins, 1980 ; Webster, 1997 ; Rutter, 1998). Les indicateurs du bien-être peuvent être classés en quatre catégories principales: zootechniques, sanitaires, comportementaux et physiologiques (EFSA, 2006).

Les indicateurs de bien-être

Performances zootechniques

À elles seules, les performances zootechniques ne sont pas une garantie de bien-être des animaux. D’abord, ce sont des moyennes et ne reflètent pas l’état de tous les individus. Ensuite, la productivité a été fortement augmentée suite à la sélection des animaux sur leurs performances zootechniques. De ce fait, des animaux en souffrance peuvent avoir une productivité considérée suffisante (Vandenheede, 2002). Dans certains cas, une chute des performances zootechniques constitue un signe d’alarme de mal-être de l’animal et peut apparaitre lors de la mise en place des processus physiologiques d’adaptation, soit par une augmentation du métabolisme de base, soit par un détournement de l’énergie destinée normalement aux fonctions biologiques (Von Borell, 1995; Elsasser et al., 2000) soit par une mauvaise adaptation. D’après Dantzer (1995), toutes les performances zootechniques peuvent être utilisées. En effet, la croissance des animaux tels que le gain de poids moyen quotidien, l’indice de consommation, la production et la reproduction telle que âge à la maturité sexuelle sont les performances les plus utilisées.

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Table des matières

CHAPITRE 1. INTRODUCTION
CHAPITRE 2. REVUE DES TRAVAUX ANTÉRIEURS ET CADRE DE L’ÉTUDE
2.1. Comportement de la poule pondeuse
2.2. Logement des poules pondeuses
2.2.1. Cages conventionnelles ou « en batteries »
2.2.2. Cages aménagées ou « enrichies »
2.2.3. Volière de ponte
2.2.4. Système plein air
2.3. Le bien-être animal
2.3.1. Définitions
2.3.2. Notion d’adaptation
2.3.3. Évaluation du bien-être animal
2.3.4. Les indicateurs de bien-être
2.3.4.1. Performances zootechniques
2.3.4.2. Santé
2.3.4.3. Comportement
2.3.4.4. Physiologie du stress
2.3.4.5. Avantages et inconvénients des indicateurs
2.4. Impacts des systèmes de logement
2.4.1. Impact sur les performances
2.4.2. Impacts sur la santé
2.4.3. Impact sur la qualité de l’air
2.4.4. Effet des systèmes sur le bien-être des poules
2.5. Discussion
2.6. Les objectifs du projet de maîtrise et les indicateurs
CHAPITRE 3. COMPARISON OF EGG PRODUCTION, QUALITY AND COMPOSITION IN THREE PRODUCTION SYSTEMS
ABSTRACT
3.1. Introduction
3.2. Materials and methods
3.2.1. Animals
3.2.2. Experimental rooms and housing systems
3.2.3. Mortality
3.2.4. Egg quality
3.3. Statistical analysis
3.4. Results
3.5. Discussion
3.6. Acknowledgement
3.7. References
CHAPITRE 4. COMPARISON OF LAYERS WELFARE KEPT UNDER THREE HOUSING CONDITIONS
ABSTRACT
4.1. Introduction
4.2. Materials and methods
4.2.1. Animals and housing
4.2.2. Experimental rooms and cage design
4.2.3. Production
4.2.4. Behavioral observations
4.2.5. Body condition and Blood sampling
4.3. Statistical analysis
4.4. Results
4.5. Discussion
4.6. Acknowledgment
4.7. Bibliography
DISCUSSION GÉNÉRALE
CONCLUSION
Références bibliographiques

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