ELEMENTS DE SYSTEMATIQUE ET CARACTERISTIQUES MORPHO ANATOMIQUE DES NEMATODES DU TUBE DIGESTIF ET DES ARTHROPODES PARASITES DU PORC

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Les acariens parasites du porc

Les acariens sont des arthropodes à respiration aérienne. Ils ont un corps formé de deux parties : le prosoma et l’opisthosoma. Ce dernier n’est pas segmenté, et est généralement fusionné avec le prosoma. Les pièces buccales sont regroupées en un rostre ou gnathosoma. Les adultes portent quatre paires de pattes. Les acariens que l’on peut rencontrer chez le porc appartiennent à plusieurs familles selon les éléments de diagnose décrits par plusieurs auteurs notamment SOULSBY (1968) ; PANGUI (1994).

Le genre Sarcoptes

Les parasites de ce genre appartiennent à la famille des Sarcoptidae qui sont des astigmates. Les espèces de cette famille ont un corps globuleux et un rostre court et carré. Elles possèdent des pattes courtes en deux groupes ne dépassant ni le rostre vers l’avant, ni l’abdomen vers l’arrière. Elles possèdent également des ventouses portées par des pédicules longs et non articulés. Les femelles ovigères s’enfoncent dans l’épiderme. Dans cette famille on note le genre Sarcoptes dont l’espèce Sarcoptes scabiei var suis qui parasite le porc.
Sarcoptes scabiei var suis engendre une gale très prurigineuse en particulier chez le jeune, et très rapidement on peut avoir une surinfection tégumentaire. On voit mal les boutons de la gale. Il y a des démangeaisons très importantes qui atteignent tout le corps. Le porc présente une gale sarcoptique généralisée. Les lésions débutent habituellement au niveau de l’oreille externe. Elles atteignent la face, s’étendent ensuite au tronc et aux membres.

Le genre Rhipicephalus Koch, 1844

Les parasites de ce genre appartiennent à la famille des Ixodidae qui sont des acariens métastigmatiques caractérisés par la présence d’une plaque chitineuse qui couvre toute la surface dorsale chez le mâle. Les espèces appartenant à ce genre sont de petite taille et ornementée sur la face dorsale. Ce sont des tiques métastriata, brévirostres possédant un capitulum hexagonal .On note la présence des yeux, des festons, et un sillon anal. Les péritrèmes virgulaires sont courts chez la femelle et long chez le mâle.
Chez les porcins, on rencontre Rhipicephalus sanguineus de couleur rougeâtre, et dont le cycle biologique se déroule sur deux hôtes (SOULSBY, 1968).

Le genre Amblyomma Koch, 1844

Les parasites de ce genre appartiennent à la famille des Ixodidae qui sont des acariens métastigmatiques caractérisés par la présence d’une plaque chitineuse qui couvre toute la surface dorsale chez le mâle. Les espèces appartenant à ce genre sont habituellement ornementées. Ce sont des tiques de grande taille, metastriata et longirostres. On note la présence des yeux et des festons.
En Afrique de l’Ouest, une seule espèce Amblyomma variegatum parasite les animaux domestiques. Cette espèce est rencontrée à l’état adulte chez les porcins.
Ces eléments de systématique et de caractéristiques morpho-anatomique vont nous permettre de faire l’identification des espèces rencontrées lors de nos investigations.

ETUDE DES NEMATODES DU TUBE DIGESTIF ET DES ECTOPARASITES DU PORC LOCAL DANS LE SUD-BÉNIN

MATERIEL ET METHODES

Les travaux se sont déroulés en deux phases :
− récolte d’ectoparasites sur les porcs et prélèvement des tractus digestifs, suivi d’autopsies helminthologiques ;
− traitement et identification des nématodes et ectoparasites au laboratoire. Une analyse statistique a été appliquée aux données recueillies sur le terrain.

Période et zone d’étude

Les investigations ont eu lieu au cours de la période allant d’octobre 2007 à mars 2009 dans les départements du Mono et de l’Ouémé (sud-Bénin).
Dans le Mono, les prospections ont été faites au niveau des élevages des communes d’Athiémé, de Lokossa et de Houéyogbé. Dans l’Ouémé, les études ont été faites dans les localités de fortes productions de porcs locaux, surtout les localités à savoir : Adjarra, Avrankou, Porto-Novo, Sèmè-Podji, Dangbo, Aguégués, Bonou, Adjohoun, Missérété, Sakété, Ifangni, et Pobè. Le tableau I récapitule les localités sillonnées au niveau de chaque département.

Matériel

Matériel animal

Les animaux ciblés ont été considérés selon l’espèce, le sexe et l’âge.
™ Pour les nématodes :
• animaux de 0 à 8 mois ;
• animaux de plus de 8 mois.
™ Pour les ectoparasites :
• animaux de moins de 2 mois ;
• animaux de 2 à 8 mois ;
• animaux de plus de 8 mois.

Matériel de récolte

Pour la récolte des vers, le matériel utilisé se compose comme suit :
– une batterie de tamis à différentes mailles fines (250 µm et 500 µm) ;
– des pinces ;
– des ciseaux ;
– des flacons étiquetés ;
– un pinceau ;
– du fil ;
– un système de jet d’eau ; et
– de l’éthanol à 70°.
Pour la récolte des ectoparasites, on utilise :
− des flacons étiquetés ;
− de l’éthanol à 70° ;
− des pinces ; et
− un scalpel.

Matériel de laboratoire

Le matériel de laboratoire utilisé pour le traitement des échantillons prélevés sur le terrain comprend :
− des pipettes ;
− une loupe binoculaire ;
− un microscope photonique ;
− un micromètre oculaire ;
− un microscope électronique à balayage ;
− des lames et lamelles ;
− du papier kleenex ;
− du lactophénol ;
− de l’éthanol 70° ;
− du polyvinyle lactophénol ;
− de l’hydroxyde de potassium à 10% ;

Méthodes

Recueil de données météorologiques

Les données relatives à la température de l’air sous abri et aux précipitations ont été recueillies auprès de l’Agence pour la Sécurité Aérienne en Afrique et Madagascar (ASECNA) en vue de la détermination du bilan climatique qui caractérise la période d’étude.

Récolte d’ectoparasites

Technique de récolte, et de conservation des acariens et des insectes macroscopiques

La recherche des ectoparasites macroscopiques se fait par une fouille minutieuse du pelage des animaux, et ce aux différentes parties du corps. Ces parasites sont prélevés à l’aide d’une pince, et plongés dans le liquide de conservation, l’éthanol 70°.

Technique de prélèvement des croûtes

Lors de l’examen individuel des animaux, les lésions croûteuses sont repérées et un raclage est réalisé à leur niveau à l’aide d’un bistouri jusqu’à l’apparition d’une rosée sanguine. Le produit du raclage est recueilli dans un sachet étiqueté, et acheminé au laboratoire pour traitement et identification.

Prélèvements du tractus digestif et observations cliniques

Prélèvement du tractus digestif des animaux

Les tractus gastro-intestinaux ont été soit prélevés sur des animaux achetés auprès des éleveurs et sacrifiés, soit collectés dans les charcuteries, les abattoirs ou restaurants des villages ou des villes. Ensuite, nous procédons par double ligature des extrémités des diverses parties des tubes digestifs de façon à avoir les compartiments suivants : œsophage, estomac, intestin grêle et gros intestin.

Technique de récolte des vers : autopsie helminthologique

Chaque compartiment ainsi délimité est ouvert dans le sens de la longueur et débarrassé de son contenu sous un mince filet d’eau et au-dessus des tamis de différentes mailles. Les nématodes retenus sont soigneusement rincés à l’eau, récupérés délicatement au moyen d’un pinceau et comptés, puis plongés dans de l’éthanol à 70°. Nous procédons également sur la partie intestinale à l’observation des nodules larvaires des Oesophagostomum spp en hypobiose.

Observations cliniques

L’état général des animaux a été apprécié, et l’exploration du pelage et de tout le corps a été effectuée.

Traitement des ectoparasites et des croûtes

Technique de montage des insectes et des acariens

Les acariens macroscopiques et de grande taille (tiques) sont, après récolte, éclaircis au lactophénol puis observés à la loupe à faible grossissement. Les plus petits parasites (poux, puce) sont montés entre lame et lamelle dans du polyvinyle lactophénol et observés au microscope photonique.

Traitement des croûtes

Les croûtes sont triturées et montées entre lame et lamelle dans du polyvinyle lactophénol pour un examen direct au microscope photonique à l’objectif 10. Certains prélèvements de croûtes sont traités à la technique de digestion et de concentration à base de l’hydroxyde de potassium (KOH) à 10%.

Traitement des nématodes récoltés

Technique de montage des nématodes

Les nématodes fixés à l’éthanol 70° sont immergés dans du lactophénol pendant 48 heures pour réaliser l’éclaircissement. Les vers sont ensuite montés entre lame et lamelle dans le polyvinyle lactophénol et observés au microscope photonique.

Identification des parasites

Les nématodes

Les vers ont été identifiés suivant les éléments de diagnose décrits par de nombreux auteurs (YAMAGUTI, 1961 ; SOULSBY, 1968 ; BUSSIERAS et CHERMETTE, 1995). Les observations ont été faites surtout au niveau des régions antérieures et postérieures des vers.

Les ectoparasites

L’identification des ectoparasites a été réalisée sur la base des caractéristiques morpho-anatomiques décrites par SOULSBY (1968), FRANC (1994 a et b), PANGUI (1994) et CHARTIER et al. (2000).

Microphotographies

Des microphotographies ont été réalisées à partir des échantillons prélevés sur le terrain.

Analyse statistique

Les données récoltées ont été organisées en nombre d’animaux examinés et infestés. Ceci a permis de calculer le taux d’infestation (%), c’est-à-dire le rapport entre animaux infestés / total examiné. Les différents taux d’infestation ont été calculés en fonction d’un certain nombre de facteurs d’influence : les compartiments gastro- intestinaux, les espèces parasitaires, les mois de collecte, le sexe, la localité, la tranche d’âge, le groupe d’arthropodes et la saison d’étude. A cette fin, le logiciel statistique Statistica 6.1 a été utilisé, et les différents taux d’infestation ont été comparés au seuil de 5%.

Etude descriptive et identification des parasites

Les nématodes

L’examen des tubes digestifs des porcs locaux a permis d’identifier cinq (05) espèces différentes de nématodes.

Les nématodes récoltés dans l’estomac

Deux types de nématodes ont été identifiés au niveau de l’estomac :
ƒ L’une des espèces est constituée d’individus présentant à l’extrémité antérieure un vestibule buccal avec épaississements cuticulaires spiralés. Ces vers mesurent 10 mm à 20 mm de long sur 0,4 mm de large. Ils possèdent une paire d’ailes cervicales. Le spicule gauche mesure entre 2,25 mm et 2,95 mm de long, et le droit entre 0,46 mm et 0,60 mm. La présence des œufs dans l’utérus permet de distinguer la femelle du mâle. Les mâles possèdent des ailes caudales, une paire de papilles pré-cloacales et une paire de papilles post-cloacales, toutes disposées de façon asymétrique. Il s’agit de l’espèce Ascarops strongylina (figures 2a et b).
ƒ L’autre espèce de parasites possède le vestibule buccal à épaississements cuticulaires annulaires avec des dimensions comprises entre 6 mm et 20 mm de long sur environ 0,4 mm de large. Ces caractères morphologiques et anatomiques dénotent de la présence de Physocephalus sexalatus (figures 3a et b).

Les nématodes récoltés dans l’intestin grêle

Les vers prélevés dans l’intestin grêle sont de grande taille mesurant entre 15 cm et 40 cm de long ; 0,3 cm à 0,5 cm de large. La partie antérieure porte trois lèvres. Le corps est rigide. Les œufs in utéro observés chez la femelle sont rectilignes. Ces œufs mesurés à l’aide de micromètre donnent pour dimension 60-65 µm x 40-50 µm. Le mâle possède dans la région postérieure une ventouse pré-cloacale circulaire et chitineuse et deux spicules. On y note également de nombreuses papilles : ce sont des nématodes Ascaris suum.

Les nématodes récoltés dans le gros intestin

Deux catégories de vers ont été identifiées dans ce compartiment gastro-intestinal :
ƒ La première catégorie de vers présente ventralement un sillon cervical à l’extrémité antérieure au-dessus duquel il y a une dilatation cuticulaire appelée vésicule céphalique. L’extrémité antérieure présente un bourrelet péristomique. On note la présence de coronule. L’orifice vulvaire se trouve à l’extrémité postérieure des femelles. L’ovéjecteur est formé de trois anneaux mis bout-à-bout.
Ces caractères conformes à ceux décrits par YAMAGUTI (1961) et SOULSBY (1968) montrent qu’il s’agit de l’espèce Oesophagostomum dentatum. (figures 4 a, b, c et d).

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Table des matières

PREMIERE PARTIE :SYNTHESE BIBLIOGRAPHIQUE
CHAPITRE 1 : PRESENTATION DU BÉNIN ET ASPECT CARACTERISTIQUE DE L’ELEVAGE DU PORC DANS LE SUD-BÉNIN 
1.1. Présentation du Bénin
1.2. Caractéristique de l’élevage du porc dans le sud-Bénin
1.2.1. Importance et systèmes d’élevage du porc
1.2.1.1. Importance numérique
1.2.1.2. Importance socio-économique
1.2.1.3. Description des races élevées
1.2.1.4. Les systèmes d’élevage
1.2.1.4.1. L’élevage traditionnel
1.2.1.4.2. L’élevage semi-moderne
1.2.1.4.3. L’élevage moderne
1.2.2. Contraintes majeures de l’élevage du porc au Bénin
1.2.2.1. Les contraintes liées à la conduite de l’élevage
1.2.2.2. Les contraintes liées à l’habitat
1.2.2.3. Les contraintes liées à l’alimentation et à l’abreuvement
1.2.2.4. Les contraintes sanitaires et pathologiques
1.3. travaux realises sur le porc au bénin
CHAPITRE 2 : ELEMENTS DE SYSTEMATIQUE ET CARACTERISTIQUES MORPHO ANATOMIQUE DES NEMATODES DU TUBE DIGESTIF ET DES ARTHROPODES PARASITES DU PORC
2.1. Les nématodes
2.1.1. Les nématodes parasites de l’œsophage
2.1.1.1. Le genre Gongylonema
2.1.2. Les nématodes parasites de l’estomac
2.1.2.1. Le genre Hyostrongylus Hall, 1921
2.1.2.2. Le genre Trichostrongylus Loss, 1905
2.1.2.3. Le genre Gnathostoma Owen, 1836
2.1.2.4. Le genre Ascarops V.Beneden, 1873
2.1.2.5. Le genre Simondsia Cobbold, 1864
2.1.2.6. Le genre Physocephalus Diezing, 1861
2.1.3. Les nématodes parasites de l’intestin grêle
2.1.3.1. Le genre Ascaris Linnaeus, 1758
2.1.3.2. Le genre Strongyloides Grassi, 1879
2.1.3.3. Le genre Trichinella Raillet, 1895
2.1.3.4. Le genre Globocephalus Molin, 1861
2.1.4. Les nématodes parasites du gros intestin
2.1.4.1. Le genre Oesophagostomum Molin, 1861
2.1.4.2. Le genre Trichuris Roederer, 1761
2.2. Les ectoparasites
2.2.1. Les insectes parasites du porc
2.2.1.1. Le genre Haematopinus
2.2.1.2. Le genre Pulex
2.2.1.3. Le genre Tunga
2.2.1.4. Le genre Ctenocephalides
2.2.2. Les acariens parasites du porc
2.2.2.1. Le genre Sarcoptes
2.2.2.2. Le genre Rhipicephalus Koch, 1844
2.2.2.3. Le genre Amblyomma Koch, 1844
DEUXIEME PARTIE : ETUDE DES NEMATODES DU TUBE DIGESTIF ET DES ECTOPARASITES DU PORC LOCAL DANS LE SUD-BÉNIN.
CHAPITRE 3 : MATERIEL ET METHODES
3.1. Période et zone d’étude
3.2. Matériel
3.2.1. Matériel animal
3.2.2. Matériel de récolte
3.2.3. Matériel de laboratoire
3.3. Méthodes
3.3.1. Recueil de données météorologiques
3.3.2. Récolte d’ectoparasites
3.3.2.1. Technique de récolte, et de conservation des acariens et des insectes macroscopiques.
3.3.2.2. Technique de prélèvement des croûtes
3.3.3. Prélèvements du tractus digestif et observations cliniques
3.3.3.1. Prélèvement du tractus digestif des animaux
3.3.3.2. Technique de récolte des vers : autopsie helminthologique
3.3.3.3. Observations cliniques
3.3.4. Traitement des ectoparasites et des croûtes
3.3.4.1. Technique de montage des insectes et des acariens
3.3.4.2. Traitement des croûtes
3.3.5. Traitement des nématodes récoltés
3.3.5.1. Technique de montage des nématodes
3.3.6. Identification des parasites
3.3.6.1. Les nématodes
3.3.6.2. Les ectoparasites
3.3.7. Microphotographies
3.3.8. Analyse statistique
CHAPITRE 4 : RESULTATS
4.1. Etude descriptive et identification des parasites
4.1.1. Les nématodes
4.1.1.1. Les nématodes récoltés dans l’estomac
4.1.1.2. Les nématodes récoltés dans l’intestin grêle
4.1.1.3. Les nématodes récoltés dans le gros intestin
4.1.2. Les arthropodes
4.1.2.1. Les insectes
4.1.2.2. Les acariens
4.2. Localisation des parasites
4.2.1. Les nématodes
4.2.2. Les ectoparasites
4.3. Bilan climatique
4.4. Taux d’infestation des animaux
4.4.1. Infestation aux nématodes
4.4.1.1. Taux d’infestation aux nématodes en fonction de la portion du tractus digestif.
4.4.1.2. Taux d’infestation aux diverses espèces de nématodes
4.4.1.3. Données cliniques
4.4.1.4. Evolution mensuelle du taux d’infestation aux nématodes
4.4.1.5. Variation du taux d’infestation aux nématodes en fonction de la localité et du sexe
4.4.1.6. Variation du taux d’infestation aux nématodes en fonction de la tranche d’âge
4.4.1.7. Variation du taux d’infestation aux nématodes en fonction de la saison
4.4.2. Autres infestations des tractus digestifs des animaux
4.4.2.1. Evolution mensuelle du taux d’infestation aux larves de mouches
4.4.2.2. Variation du taux d’infestation de l’estomac aux larves de mouche en fonction des localités et du sexe des animaux
4.4.2.3. Variation du taux d’infestation de l’estomac aux larves de mouche en fonction des tranches d’âge.
4.4.2.4. Variation du taux d’infestation de l’estomac aux larves de mouche en fonction de la saison.
4.4.3. Infestation aux arthropodes
4.4.3.1. Taux d’infestation aux divers groupes d’arthropodes.
4.4.3.2. Infestation dues aux acariens
4.4.3.2.1. Evolution mensuelle du taux d’infestation aux acariens
4.4.3.2.2. Variation du taux d’infestation aux acariens en fonction de la localité et du sexe des animaux.
4.4.3.2.3. Variation du taux d’infestation aux acariens en fonction des tranches d’âge.
4.4.3.2.4. Variation du taux d’infestation aux acariens en fonction de la saison.
4.4.3.3. Infestation aux insectes
4.4.3.3.1. Evolution mensuelle du taux d’infestation aux insectes.
4.4.3.3.2. Variation du taux d’infestation aux insectes en fonction de la localité et du sexe.
4.4.3.3.3. Variation du taux d’infestation aux insectes en fonction de la tranche d’âge.
4.4.3.3.4. Variation du taux d’infestation aux insectes en fonction de la saison.
4.4.3.4. Taux d’infestation aux diverses espèces d’arthropodes.
4.4.5. Charge parasitaire
5. DISCUSSION ET SUGESTIONS
5.1. Discussion
5.2. Suggestions
BIBLIOGRAPHIE

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