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Les interprétations du mauvais sort
Le mauvais sort en tant que maladie est le résultat d’une agression par autrui. Dans ce cas la victime est la cible d’un être jaloux, envieux, celui qu’on appelle sorcier et qui jette un mauvais sort à celui-là qui jouit d’une réussite familiale ou sociale. En effet, les esprits malfaisants de la nature peuvent être utilisés par les hommes à des fins personnelles. Ceci est la spécialité du sorcier, cet homme méchant aux connaissances occultes, il est le jeteur de sorts. Il rend malade par envoutement et peut manger l’âme de ses victimes et provoque la mort (Konan, 2012).
Les voyances
La voyance s’exerce à partir d’un substratum matériel constitué par des miroirs de pacotille, de la bimbeloterie, des canaris remplis d’eau avec dans le fond un objet appartenant au voyant ou au consultant ; tout simplement aussi à partir de kolas ou de cauris (Kerharo, 1975).
Ainsi le Xooy est une science de voyance publique traditionnelle que l’ONG « la promotion des médecines traditionnelles en Afrique » (PROMETRA internationale) organise chaque année avec les saltigués (grands maitres voyants de l’ethnie sérère). Pratique immatérielle de très haute portée, le Xooy permet de combattre les épidémies, de sauver les récoltes, les invasions multiples et d’obtenir un rendement élevé de production agricole. Il permet aussi de ramener l’harmonie et la paix au niveau des relations sociales (PROMETRA internationale, 2004).
Les interprétations des rêves
Les rêves tiennent une grande place dans l’Islam et sont naturellement interprétés par les vrais ou faux marabouts. Dans le Fouta Toro certains d’entre eux, ayant d’ailleurs une excellente réputation de sainteté, disposent de vieux ouvrages écrits en arabe qu’ils feuillettent sous les yeux de leurs consultants pour donner des explications appropriées sur les songes (kerharo,1975).
Les Incantations
La parole est l’élément principal du traitement traditionnel. Il s’agit de paroles consacrées ou incantations. L’incantation est une récitation de formules consacrées à voix haute ou basse ayant pour but de produire des sortilèges qui ont le pouvoir de déclencher le processus de guérison (Assalaha, 2009)
Les talismans
Les talismans sont des croyances et des superstitions relatives aux maladies. Il existe des mauvais et des bons talismans, suivant qu’ils sont fabriqués dans un but d’envoûtement et de sorcellerie ou au contraire pour se protéger de maléfices ou de maladies. Ils se présentent sous des formes très diverses : bracelets, de petits morceaux de bois enfilés, pendentifs de lianes entrecroisés, nouets de tissus renfermant des cendres, des débris végétaux et même parfois des inscriptions sur une boulette de papier. Le plus souvent ce sont des dents de crocodiles ou de requins, des entre-nœuds de bambous ou de cornes de zébus ornementées de perles remplies de poudre végétale agglomérée à du suif, dans laquelle sont plantées des plumes, des becs d’oiseaux, des clous et de vieux ciseaux (Kerharo,1975).
Place de la médecine traditionnelle dans le système sanitaire au Sénégal
La MT est très présente, aussi bien dans les milieux ruraux que dans les milieux urbains, et est utilisée comme recours pour tout type de problème de santé. Les tradipraticiens se retrouvent en amont et en aval de tous les processus (préventif, diagnostic, curatif). Ils ont un rôle en tant que responsables et dispensateurs de soins et sont reconnus et acceptés par les populations. Selon l’OMS, il y aurait au Sénégal un tradipraticien pour 500 personnes contre un médecin pour 40.000 habitants. L’OMS est active en ce qui concerne le soutien au développement de la MT. Elle coopère avec ses Etats Membres en vue de promouvoir l’utilisation de la MT pour les soins de santé. Cette collaboration a pour but de :
soutenir la MT et de l’intégrer dans les systèmes nationaux de santé, établir en même temps une politique nationale et une règlementation applicables aux produits, aux pratiques et aux prestataires afin d’en assurer l’innocuité et la qualité ;
reconnaitre la MT en tant que partie intégrante des soins de santé primaires, pour améliorer l’accès aux soins et préserver les connaissances et les ressources ;
assurer la sécurité des patients en renforçant les compétences et les connaissances des praticiens de la MT. Au Sénégal les politiques de santé font intervenir la MT.
En Mai 2007, le ministère de la Santé et de la prévention médicale a reconnu la MT et a notamment lancée un projet de valorisation de la MT Sénégal-Mali en créant un bureau de la médecine et pharmacopée traditionnelle, des centres d’expérimentation clinique des médicaments à base de plantes médicinales et de validation du projet de loi règlementant la pratique de cette médecine. Ces engagements de l’Etat montrent l’importance qu’il accorde à la MT (François, 2009)
Rappels sur l’hypertrophie bénigne de la prostate
Définition
L’hypertrophie bénigne de la prostate (HBP) est un état de la nature plus qu’une pathologie. Elle se définit anatomiquement par une augmentation de la taille de la prostate non due à un cancer et histologiquement par une hyperplasie de la zone transitionnelle de la prostate. Quand elle devient symptomatique, elle peut entrainer des symptômes irritatifs (pollakiurie, impériosité mictionnelle) et/ou obstructifs (dysurie, diminution du jet, gouttes retardataires). Ces symptômes habituellement regroupés sous le terme de prostatisme ont été nommés dans ces recommandations « Troubles Urinaires du Bas Appareil (TUBA) ».La compression de l’urètre, comme les modifications histologiques peuvent cependant coexister avec une prostate dont le volume parait normal et il n’existe pas de parallélisme entre la taille de la prostate et l’importance des TUBA (ANAES, 2003).
Anatomie de la prostate
On peut séparer la prostate en quatre zones agencées autour de l’urètre prostatique et des canaux éjaculateurs (Le Tanneur, 2012):
La zone périphérique (ZP), postéro-latérale et inférieure (l’apex est entièrement formé de ZP), accessible au toucher rectal, est très riche en tissu glandulaire, et est le siège de la majorité des cancers (68%) et des prostatites.
la zone de transition (ZT), antéro-médiane, formée de deux petits lobes discoïdes situés de part et d’autre de l’urètre prostatique, est la zone élective de l’HBP et le siège de 24% des cancers de la prostate.
la zone centrale (ZC), postéro-basale, formant une masse conique médiane et postérieure dont la base correspond à la totalité de la base prostatique reçoit les canaux déférents et les vésicules séminales et est rarement le terrain de développement de cancer (10%)
la zone des glandes péri-urétrales (ZPU), paroi musculaire lisse, participe à la constitution du lobe médian.
Physiopathologie
L’HBP n’est pas une maladie en soi, sa symptomatologie est due à l’emplacement d’un processus bénin à un carrefour important : le carrefour urogénital. Deux éléments occasionnent la symptomatologie typique (Sanou, 2008):
la composante statique : augmentation du volume, effet mécanique obstructif.
la composante dynamique : probable augmentation du tonus fibro-musculaire sous dépendance alpha-1-adrénergique.
Lorsque l’adénome devient obstructif quatre phases vont schématiquement se succéder :
La phase de dysurie avec vessie de lutte
La vessie va s’adapter à l’effort supplémentaire qui lui est demandé : le détrusor s’hypertrophie et les fibres musculaires qui le composent forment des colonnes. Entre ces colonnes existent des zones de faiblesse par où s’invagine la muqueuse vésicale formant ce que l’on appelle des cellules puis des diverticules. Parallèlement à l’épaississement de la paroi vésicale (hypertrophie du détrusor) la capacité vésicale diminue. A ce stade la miction, malgré l’obstacle, reste convenable et permet encore à la vessie de se vider complètement (Sanou, 2008).
La phase de rétention vésicale incomplète
L’obstruction se fait de sorte que les capacités d’hypertrophie du muscle vésical sont dépassées. La vessie ne se vide plus entièrement : Il persiste un résidu post mictionnel plus ou moins important (à partir de 100cm cube est considéré comme important). La pollakiurie est le symptôme essentiel de cette phase
(Sanou,2008).
La phase de distension vésicale
Progressivement, le résidu post mictionnel augmente : il atteint puis dépasse 300cm cube (capacité vésicale normale). La paroi vésicale se distend et va progressivement modifier sa structure, petit à petit elle est colonisée par des fibres de collagènes et perd ses capacités contractiles pour aboutir finalement à une vessie claquée ou acontractile. Les mictions par regorgement caractérisent la phase finale de cette distension. Cette pseudo-incontinence d’abord nocturne puis diurne et finalement permanente, résulte des contractions anarchiques de la vessie qui est pleine en permanence. La constatation d’un globe vésical chronique, souvent très volumineux (il peut atteindre ou dépasser l’ombilic), indolore et sans besoin mictionnel (à l’opposé du globe aigu) confirme cette distension (Sanou, 2008).
La phase de distension du haut appareil urinaire avec insuffisance rénale
Elle apparait soit à la phase de lutte du fait de l’hypertrophie du détrusor étreignant les bas urètres dans leur trajet intra-pariétal, soit le plus souvent en phase de distension vésicale. Celle-ci modifie l’implantation des uretères dans la vessie et détériore les mécanismes anti reflux. Les uretères et les cavités rénales se dilatent généralement de façon symétrique. Si aucun traitement n’intervient la distension progresse et l’insuffisance rénale apparait par laminage progressif du parenchyme rénal (Sanou, 2008).
II.3 Diagnostic
II.3.1 L’interrogatoire :
C’est un élément majeur de la démarche diagnostique et thérapeutique. Les signes cliniques doivent être recherchés car le patient s’habitue progressivement à la symptomatologie, d’autant plus que la croyance qu’ils sont « un signe de vieillissement » est largement ancrée dans la population. Vingt pour cent (20%) des médecins généralistes ne recherchent pas de façon systématique les signes urinaires (Alhader, 2010).
Signes cliniques
Pollakiurie :
C’est une émission trop fréquente de petites quantités d’urine, c’est le symptôme le plus souvent rapporté par les patients. En effet, c’est celui qui entraine dans ses deux variantes diurne et nocturne, le maximum de gêne sociale et de détérioration de la qualité de vie :
La pollakiurie nocturne, dès qu’elle dépasse trois occurrences, constitue une gêne véritable au sommeil, tant pour le patient que pour sa partenaire.
La pollakiurie diurne, avec impossibilité de contenir les mictions plus de deux heures durant le jour, rend difficile la pratique des activités sociales communes à cet âge : voyages, spectacles, parties de cartes …
La pollakiurie est parfois difficile à différencier d’une polyurie liée, soit à une inversion du rythme nycthéméral de la diurèse, soit à une prise vespérale importante de boissons que l’interrogatoire seul peine à quantifier. Au moindre doute, on demande au patient un « catalogue mictionnel » où il note l’horaire et la quantité de miction. Enfin, la pollakiurie est souvent associée à des contractions vésicales désinhibées qui ne disparaissent pas toujours avec le traitement de l’obstruction (Alhader, 2010).
Symptômes dysuriques
Diminution de la force du jet : ce symptôme est généralement très progressif, souvent plus marqué le matin (congestion pelvienne ou distension vésicale par accumulation d’urine nocturne) et rarement ressenti comme gênant. Cette « absence de pression » est le plus souvent considérée normale à tort par le patient. Sensation de miction incomplète : elle se manifeste par la nécessité de retourner uriner quelques minutes après en avoir terminé ou par une sensation de pesanteur pelvienne post mictionnelle persistante (Alhader, 2010).
Les mictions impérieuses
Elles sont particulièrement gênantes pour le patient car souvent responsables de fuites d’urine. Elles sont la conséquence d’un réservoir hypertonique avec une contraction vésicale non inhibée. Le piétinement, le coincement des jambes ou le pincement de la verge en contrôlent l’urgence mictionnelle, créant un réflexe nociceptif qui relâche la contraction (Alhader, 2010).
Rétention aigue d’urine
Elle attire immédiatement l’attention sur le bas appareil urinaire. Elle se manifeste volontiers au cours d’une poussée inflammatoire de l’adénome où elle s’installe au cours d’un repas prolongé ou d’un besoin d’uriner longtemps contenu. L’envie est d’abord impérieuse, puis devant l’impossibilité à l’assouvir elle devient rapidement intolérable avec une douleur à l’origine d’un état d’agitation ou de prostration. Ces malades doivent être rapidement soulagés soit par un sondage trans-urètral, soit par cathétérisme sus-pubien (Alhader, 2010).
Hématurie
Classiquement, elle est initiale, traduisant l’origine urétrale du saignement. Cependant elle peut se révéler totale lorsqu’elle est abondante. En effet les saignements d’origine prostatique sont dus à de gros lobe médian à développement endo-vésical. Toutefois l’hématurie n’est pas un symptôme habituel de l’adénome de la prostate (Alhader, 2010).
Examen physique
Le toucher rectal est l’élément fondamental du diagnostic d’HBP, pratiqué après vidange vésicale et rectal. La découverte d’une prostate ferme, lisse, régulière ayant perdu son sillon médian bombant dans le rectum, affirme à elle seule le diagnostic d’HBP. La seule cause d’erreur du TR pour le diagnostic d’HBP est la présence du globe vésical : en effet, celui-ci repousse les lobes prostatiques vers le bas et, de consistance identique, i ne permet pas d’en apprécier les limites. Le reste de l’examen physique consiste en une palpation abdominale à la recherche d’un globe vésical (tuméfaction mate, rénitente, à convexité supérieure), une palpation rénale à la recherche de gros reins dilatés et un examen neurologique sommaire (Alhader, 2010).
Signes paracliniques
Bandelette urinaire
Elle permet de rechercher une hématurie ou des éléments en faveur d’une infection (leucocytes et nitrites). Au besoin, elle est sensibilisée par une ECBU avec antibiogramme (Olivier, 2005).
Fonction rénale
On doit faire le dosage de la créatine si l’on craint un retentissement sur le haut appareil, un uro-scanner, ou faire une UIV si l’on suspecte une atteinte associée du rein ou de la voie excrétrice (Olivier, 2005).
Echographie abdominale
L’échographie abdominale apprécie le retentissement en amont de l’obstacle (vessie, reins) et donc la présence de complications : mesure de l’épaisseur vésicale, recherche de diverticules, mesure du résidu post mictionnel, recherche d’une dilatation de la voie excrétrice haute, mesure de la taille des reins, recherche de lithiase vésicale. La mesure du volume de la prostate est mieux réalisée par échographie endoréctale, mais la correspondance n’est pas parfaite (Olivier, 2005).
Débitmètrie mictionnelle
La débtimètrie est un bon examen pour évaluer le degré d’obstruction, puis ultérieurement l’efficacité du traitement. Elle permet la mesure du débit urinaire maximal et n’est valable que si le volume mictionnel est supérieur à 150ml. Un débit normal n’exclut pas la présence d’un obstacle, car la vessie peut travailler sous haute pression. Elle est au mieux couplée avec une échographie vésicale post mictionnelle (Olivier, 2005).
Catalogue mictionnel
Si la pollakiurie est un symptôme prédominant, il peut être intéressant de consigner les mictions (horaire et volume) pour apprécier la variabilité des volumes urinés. Des mictions de faible volume, alors que la vessie n’a pas de résidu, doivent faire craindre une diminution de la capacité vésicale. En l’absence de traitement, cela va se traduire par une pollakiurie irréversible (Olivier, 2005).
Dosage de l’antigène spécifique de la prostate (PSA)
Le dosage du PSA n’est pas un élément du diagnostic d’HBP, il fait partie du « bilan prostatique » du patient. Classiquement un gramme (1g) d’adénome sécréterait 0,3ng/ml de PSA. Si un traitement chirurgical est envisagé, un dosage de PSA est recommandé, surtout chez les malades pour lesquels un diagnostic de cancer de prostate associé pourrait conduire à un traitement différent. Si un traitement influant sur le taux du PSA devait être proposé, le dosage de PSA devait avoir lieu et sa surveillance serait alors nécessaire (inhibiteurs de la 5-alpha-réductase). Si une surveillance simple est décidée, les patients suivront les programmes généralement admis de détection du cancer de prostate (Olivier, 2005).
Urographie Intra Veineuse
L’UIV a perdu la place prépondérante qu’elle occupait depuis l’avènement de l’échographie qui apporte des informations généralement suffisantes ; elle est moins couteuse et ne représente aucun risque pour le patient. L’UIV est exceptionnellement demandée mais permet d’avoir à la fois :
un état morphologique ;
une étude fonctionnelle de l’ensemble de l’appareil urinaire.
L’UIV est réalisée après dosage de la créatinémie, avec clichés per et post mictionnels.
Elle peut, si besoin, être remplacée par un uroscanner (Olivier, 2005). II.3.4.8 Echographie endoréctale
Elle permet au mieux de mesurer le volume prostatique (pour le corréler au taux de PSA), de voir le lobe médian, de rechercher des anomalies d’échogénicité évocatrice d’un cancer de prostate associé. C’est l’examen radiologique de référence pour la prostate. L’échographie prostatique ne doit pas être réalisée par voie sus-pubienne (sauf contre-indications à la voie endoréctale : fissure anale, crise hémorroïdaire aigue …) (Olivier, 2005).
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Table des matières
INTRODUCTION
PREMIERE PARTIE : GENERALITES SUR LA MEDECINE TRADITIONNELLE ET RAPPELS SUR L’HYPERTROPHIE BENIGNE DE LA PROSTATE
I Généralités sur la médecine traditionnelle
I.1 Définition, historique et intérêt de la médecine traditionnelle
I.1.1 Définition
I.1.2 Historique
I.1.3 Intérêt
I.1.3.1 Raisons du recours à la médecine traditionnel
I.1.3.1.1 Accessibilité et proximité
I.1.3.1.2 Caractère abordable
I.1.3.1.3 Efficacité pour le traitement des troubles particuliers
I.1.3.1.4 Familiarité et reconnaissance culturelle
I.1.3.1.5 Approche holistique et tournée vers l’individu
I.2 La médecine traditionnelle au Sénégal
I.2.1 Les différents types de pratiques
I.2.1.1 Les rituels
I.2.1.2 Les interprétations du mauvais sort
I.2.1.3 Voyances
I.2.1.4 Les interprétations des rêves
I.2.1.5 Les incantations
I.2.1.6 Les talismans
I.2.2 Place de la médecine traditionnelle dans le système sanitaire au Sénégal
II Rappel sur l’hypertrophie bénigne de la prostate
II.1 Définition
II.2 Anatomie de la prostate
II.3 Physiopathologie
II.3.1 La phase de dysurie avec vessie de lutte
II.3.2 La phase de rétention vésicale incomplète
II.3.3 La phase de distension vésicale
II.3.4 La phase de distension du haut appareil urinaire avec insuffisance rénale
II.4 Diagnostic
II.4.1 L’interrogatoire :
II.4.2 Signes cliniques
II.4.2.1 Pollakiurie :
II.4.2.2 Symptômes dysuriques
II.4.2.3 Les mictions impérieuses
II.4.2.4 Rétention aigue d’urine
II.4.2.5 Hématurie
II.4.3 Examen physique
II.4.4 Signes paracliniques
II.4.4.1Bandelette urinaire
II.4.4.2 Fonction rénale
II.4.4.3 Echographie abdominale
II.4.4.4 Débitmètrie mictionnelle
II.4.4.5 Catalogue mictionnel
II.4.4.6 Dosage du PSA
II.4.4.7 Urographie Intra Veineuse
II.4.4.8 Echographie endoréctale
II.4.4.9 Urétrocystoscopie
II.4.5 Complications
II.4.5.1Calcul vésical
II.4.5.2 Infection urinaire
II.4.5.3 Incontinence urinaire
II.4.5.4 Insuffisance rénale obstructive
II.4.5.5Hématurie
II.4.5.6 Rétention Aigue d’Urines (RAU)
II.5 Traitement
II.5.1 But
II.5.2 Moyens
II.5.2.1 Moyens médicaux
II.5.2.2 Moyens chirurgicaux
II.5.2.2.1 Technique de la résection endoscopique
II.5.2.2.2 Technique de l’incision cervicoprostatique
II.5.2.2.3 Technique de la chirurgie ouverte
II.5.3 Indications
II.5.3.1Traitement médical
II.5.3.2 Traitement chirurgical
DEUXIEME PARTIE : TRAVAIL PERSONNEL
I Objectifs
I.1 Objectif Général
I.2 Objectifs Spécifiques
II Cadre d’étude
II.1 Cadre physique
II.1.1 Présentation du Site
II.1.2 Climat
II.1.3 Sols et végétation
II.1.3.1Sols
II.1.3.2 Végétation
II.2 Cadre humain
III Type d’étude et population
IV Matériel et méthodes
IV.1 Matériel
IV.2 Méthodes
V Résultats
V.1 Données Sociodémographiques
V.2 Connaissance de l’hypertrophie bénigne de la prostate par les TP
V.3 Diagnostic de l’HBP
V.4 Traitement de l’HBP par les Plantes
VI Discussion
CONCLUSION
REFERENCES BIBLIOGRAPHIQUES
ANNEXES
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