Effets du sorgho grain entier et broyé en alimentation séquentielle et mélangée sur les performances zootechniques des oiseaux

Caractéristiques

L’aviculture traditionnelle est basée sur le mode d’exploitation familiale avec une productivité très faible. Les poules pondent peu avec une croissance lente accompagnée de pertes énormes avant la commercialisation. Les pertes sont dues au manque de prophylaxie qui est souvent inaccessible ou méconnue, aux vols et aux prédateurs.
Par ailleurs, la faible productivité est liée aux faibles potentialités génétiques de la race locale et au système d’élevage. Toutefois, cette race incarne des valeurs qui sont sa résistance aux dures conditions d’élevage (GAYE, 2004 cité par TENO, 2009) caractérisées par un apport d’intrants qui est très réduit.
L’aviculture traditionnelle revêt une très grande importance notamment sur le plan culturel, social et économique, et dans la lutte contre la pauvreté en milieu rural (TRAORE, 2006). Selon les travaux réalisés par LY et al. (1999) ; MISSOHOU et al. (2002), l’aviculture traditionnelle constitue unmoyen de lutte contre la pauvreté car elle représente une source de revenus, de protéines animales et permet de renforcer les liens sociaux.
En effet, une part non négligeable des effectifs de volaille, estimée à 30 %, est consommée lors des fêtes religieuses, des cérémonies rituelles ou culturelles telles que le nouvel an musulman ou Tamkharit, la Korité ou Aïd el fitre, les fêtes de Noël et de fin d’année et la circoncision. Une part plus ou moins importante de poules est utilisée pour les sacrifices rituels ou culturels.

Effectifs

L’aviculture rurale dite villageoise ou paysanne est pratiquée de façon extensive (UNAFA, 2009). Son effectif était estimé en 2008 à environ 21 889 000 têtes soit 61,2 % du cheptel avicole national (tableau I). Par estimation, 90% des effectifs de volailles sont constitués de poulets(TRAORE, 2006).

Aviculture moderne

L’aviculture moderne était en construction au lendemain de l’indépendance et fut tenue jusqu’à la fin des années 80 par l’Etat. En effet, ce dernier s’occupait de la production et de la commercialisation des poussins, d’aliments et d’autres facteurs de production. Le désengagement de l’Etat avait permis à l’aviculture intensive de connaître un véritable envol jusqu’à la mise en application du TEC (Taxe Extérieur Commun) de l’UEMOA en 2000. L’application d’une TVA de 18 % sur les aliments et les poussins d’un jour et la baisse des taxes douanières sur la viande avicole avaient entraîné une destruction jamais connue de l’aviculture moderne au Sénégal. Mais l’adoption du programme de prévention et de riposte contre la grippe aviaire comportant une interdiction des importations de produits avicoles et de matériels avicoles usagers a depuis fin 2005 permis une relance de la filière au Sénégal (UNAFA, 2009).
La filière avicole sénégalaise, notamment le système dit moderne, est un secteur économique dynamique dont le taux de croissance est l’un des meilleurs du secteur primaire au niveau national. Il occupe un nombre important d’acteurs qui sont complémentaires et interdépendants au niveau de la filière (TRAORE, 2006).

Caractéristiques

L’aviculture moderne ou semi-industrielle utilise des souches génétiquement améliorées et surtout sensibles aux conditions d’élevage (NGOM, 2004) cité par KONE (2011). Elle est concentrée dans la zone des Niayes (régions de Dakar, Thiès et Saint-Louis) qui offre un climat favorable à ce type d’élevage. La région de Dakar abrite plus de 80 % des effectifs de ces élevages commerciaux, Thiès environ 15 % et Saint-Louis 3 % (MINISTERE DE L’ELEVEGE, 2009).
Le chiffre d’affaires généré par l’aviculture moderne de façon générale et le nombre d’emplois directs ou indirects créés, démontrent l’importance de cette activité. Plusieurs races ou souches sont exploitées mais les plus fréquentes et élevées au Sénégal sont pour la filière ponte : Lohman Blanche et Rouge, Hy Line Blanche et Rouge, Harco, Isa Brown, Gold Line, Shaver et Star Cross; et pour la filière Chair : Cobb 500, Hubbard, Ross 208, Vedette (TRAORE, 2006).

Acteurs de l’aviculture moderne et circuit de commercialisation

Les services de l’élevage ne disposent pas de statistiques permettant de connaître officiellement le nombre d’acteurs par activité. Cependant, on estime à 10 000 le nombre d’emplois directs créés par l’aviculture moderne. Le système industriel correspond surtout aux unités de production de poussins (accouveurs) et aux unités de fabrication d’aliments pour volaille (provendiers). Le marché de volailles de chair fait intervenir un certain nombre d’acteur: les éleveurs et les revendeurs (Banabanas) (figure 1). Les banabanas sont des acheteurs-revendeurs qui connaissent bien le marché. Les hôtels et les supermarchés ont généralement des fournisseurs déterminés (certains éleveurs et très souvent de grands éleveurs) avec qui, ils ont passé un accord tacite, le plus souvent ou parfois un accord écrit à cause de leurs nombreuses exigences en termes de normes de qualité. Les grandes structures qui servent des repas collectifs à des effectifs importants (universités, camps militaires, hôpitaux), sont également des clients acheteurs de poulets de chair ou d’œufs de consommation. Les revendeurs de carcasses de poulets dans les marchés et les restaurateurs ou gargotiers sont des clients qui achètent des quantités plus ou moins importantes de poulets de chair vivants et des œufs. Le consommateur est représenté ainsi par la ménagère qui achète le poulet soit vivant chez le banabana, soit sous forme de carcasse au marché chez le revendeur, chez l’éleveur qui a une cantine de vente à domicile, ou encore au supermarché. Les œufs sont le plus souvent achetés chez le commerçant (boutiquier) du quartier (TRAORE, 2006).

Evolution de la production

En 2007, la production de viandes de volailles issue de l’élevage moderne était de 16 367 tonnes correspondant à un total de 11 million de têtes abattues (poulets et poules de reformes confondues). La même année, l’effectif moyen des poules pondeuses en production était estimé à 1 638 800, contre environ 1 425 000 en 2006 et un peu moins de 124 700 en 2005. Ainsi, la production au Sénégal d’aliments de volaille a quasiment doublé entre 2006 et 2007, passant de 80 000 tonnes environ à plus de 155 000 tonnes amenant certains fabricants d’aliments à augmenter leur capacité de production (DIREL/CNA, 2008).
De 180 millions d’unités en 2000, la production moderne d’œufs de consommation est passée en 2006 à 371 millions unités, soit une augmentation de 93,8 % (TRAORE 2006). L’offre d’œuf a presque doublé en cinq années. En 2007, elle a été estimée à 418 millions d’unités pour un chiffre d’affaires d’environ 25 milliards FCFA. L’importation des œufs à couver (OAC) connaît par contre une hausse régulière malgré la mise en place de quelques fermes de reproducteurs.
D’environ 2 millions d’unités en 1990, elle a connu une progression pour atteindre le double entre 1992 et 1995. Depuis cette date, l’importation d’OAC varie de 3 à 5 millions / an pour atteindre en 2005 le chiffre de 6 679 230. Le chiffre d’affaires total de l’aviculture progresse, mais lentement à cause de celui de la viande de volaille (essentiellement la production de poulets de chair) qui est resté plus ou moins statique avec des chutes enregistrées certaines années. Le chiffre d’affaires des œufs de consommation reflète par contre le dynamisme de l’élevage de volai lle de ponte: il a progressé de façon notable passant de 9 milliards de francs en 2000 à 17,4 milliards de francs en 2005, soit presque le double (TRAORE, 2006).
Des efforts importants ont été consentis pour la production de poussins d’un jour au Sénégal. Ainsi, couvrant à peine 28 % des besoins en 1990, la production locale de poussins assure aujourd’hui 98% des besoins. Selon les responsables du CNA, les couvoirs en place peuvent assurer les besoins nationaux en poussins.
Evidemment, cette production de poussins est encore à 75 % dépendante des œufs à couver (OAC) importés, ce qui signifie qu’il reste encore des efforts à faire pour que lafilière soit indépendante (TRAORE, 2006). Les accouveurs de la place arrivent à produire des quantités importantes de poussins d’un jour dénommés « poussins 100 % sénégalais » en vue de satisfaire la demande nationale et même d’exporter vers lespays voisins.

CONTRAINTES DE L’AVICULTURE VILLAGEOISE

L’aviculture traditionnelle représente 60 à 70 % de l’offre de la filière avicole au Sénégal. La part appréciable de ce sous-secteur de l’élevage dans l’approvisionnement du marché intérieur masque néanmoins beaucoup de contraintes (pathologiques, conduite de l’élevage, alimentaires et techniques) (GUEYE et al., 2004).

Contraintes pathologiques

Pour la filière rurale, le premier problème est la prise en charge effective des problèmes de pathologies (TRAORE, 2006). Les pertes pour l’élevage sont considérables, avec une mortalité de 60 % en moyenne, taux que l’on trouve dans d’autres pays africains. La maladie de Newcastle est généralement désignée comme étant la pathologie majeure en zone rurale (GUEYE et al., 2004),elle entraîne des pertes de 75 à 100 % des élevages villageois (CMAAOC, 2005).

Contraintes liées à la conduite d’élevage

Elles sont liées à la précarité des conditions du bâtiment d’élevage (bâtiments en banco utilisés à de fortes densités) et d’hygiène. La mauvaise conduite des élevages en aviculture traditionnelle entraîne des pertes importantes (retards de croissance des jeunes, abandon des nids par les couveuses et les mortalités d’origine pathologique).

Contraintes alimentaire et techniques

Ces contraintes sont caractérisées par l’insuffisance de l’aliment tant en quantité qu’en qualité, l’insuffisance de formation, d’information et de sensibilisation des producteurs, l’inexistence oul’inadaptation de matériels d’élevage (mangeoires, éleveuses) (CMAAOC, 2005).

CONTRAINTES DE L’AVICULTURE MODERNE

L’aviculture moderne est confrontée à des contraintes d’ordre nutritionnel, sanitaire, financier et institutionnel.

Contraintes alimentaires

L’alimentation qui représente plus de la moitié des coûts de production en aviculture moderne, n’est pas maîtrisée et reste tributaire de la production de maïs qui en est sa principale composante, mais aussi du prix et de la qualité des intrants (PREMIX). Les contraintes relevées portent essentiellement sur : les coûts élevés des intrants ;les ruptures fréquentes de l’approvisionnement des intrants (CMAAOC, 2005).

Contraintes sanitaires

Les principales pathologies rencontrées en aviculture moderne au Sénégal sont : les salmonelloses, les coccidioses, la maladie de Gumboro et la maladie de Newcastle (CMAAOC, 2005); la menace de la grippe aviaire n’est pas à négliger(TRAORE, 2006).

Contraintes financières

Les banques considèrent l’aviculture comme un secteur à risque élevé à cause du manque de formation des producteurs, ce qui explique les difficultés d’accès au crédit pour ces derniers (TRAORE, 2006).

Contraintes institutionnelles

La multiplicité des organisations ne facilite pas la tâche aux pouvoirs publics qui ne trouvent pas d’interlocuteurs valables pour poser et régler les problèmes de la filière (TRAORE, 2006).
En résumé, il faut dire que l’aviculture sénégalaise est en plein essor, lequel progrès est surtout dû à la fermeture des frontières aux importations de viande de volailles congelée. Par ailleurs, elle joue un important rôle socioéconomique et culturel. Toutefois, elle reste encore tributaire de certaines contraintes dont les plus saillantes sont d’ordres organisationnel, nutritionnel, et pathologique. Sur le plan nutritionnel, les céréales occupent une place incontournable car peuvent être incorporées jusqu’à plus de 60 % dans l’aliment selon les spéculations aviaires.

Qualités bromatologiques du sorgho

La culture du Sorgho est de plus en plus motivée compte tenu de son coût de production relativement faible et de sa valeur nutritive pour les volailles. En effet, le sorgho peut remplacer le maïs dans la ration alimentaire de base des poulets (NGA, 2009). Néanmoins, certaines variétés de sorgho comportent une teneur élevée en tanins qui doit être contrôlée avant leur utilisation. Cette teneur ne doit pas dépasser 0,3 % en alimentation animale.

Composition chimique et digestibilité du sorgho

Le sorgho a une forte teneur en amidon (70 % MS), une proportion non négligeable en matière grasse (environ 3,3 % MS) et est légèrement plus riche en protéines que le maïs (11,4 % MS) (FAO, 1990).
De même, il est presque dépourvu de calcium (0,03 % MS) et la disponibilité de son phosphore est faible (0,06 % MS) (LARBIER et LECLERCQ, 1992).
Le principal problème du sorgho réside dans la variabilité de sa teneur en tanins, qui entraine l’augmentation de l’amertume de l’aliment, provoquant chez la volaille une diminution de la digestibilité des nutriments de l’aliment, en particulier les protéines (COTHENET et BASTIANELLI, 1999).
La composition chimique du sorgho varie en fonction des souches comme le montre le tableau VI.

Facteurs antinutritionnels du sorgho

Une des caractéristiques du sorgho est sa teneur relativement importante en tanins qui sont des polyphénols. Néanmoins, les tanins ne sont présents que dans les sorghos avec un testa pigmenté. Dans ces derniers, les tanins ne sont pas toxiques comme certains mythes le rapportent, car ils sont sous forme condensée. Selon ROONEY et al. (2010) cités par ALLANONTO (2011) chez le bétail, ils peuvent réduire l’efficacité alimentaire (jusqu’à 5 à 10 % en comparaison avec les sorghos sans tanins), mais tout dépend de l’animal et du traitement du grain. La particularité des tanins est de se lier aux protéines formant des complexes résistants aux attaques enzymatiques dans la lumière du tube digestif. (HULSE et al. 1980) cités par IBRAHIM et al. (1988) montrent que les tanins inhibent l’activité des enzymes notamment les amylases et probablement les lipases et les protéases.
Eneffet, les protéines, les acides aminés (surtout la méthionine et la choline) servent de donneur du groupe méthyle aux tanins. Ces derniers sont hydrolysés en acide gallique et excrétés partiellement sous forme de 4-0 méthylgallate (GUALTIERI et RAPACCINI, 1990)
Ce caractère antinutritionnel entraîne certaines conséquences chez les volailles :
– le retard de croissance chez les poussins alimentés avec du sorgho à forte teneur en tanins (LOUL, 1998) ;
– le changement du goût de la viande (PETERSON, 1969);
– des anomalies des pattes caractérisées par une courbure avec élargissement des jarrets (GUALTIERI et RAPACCINI, 1990);
– la réduction de la production, du poids et de la qualité des œufs (ARMANIOUS et al., 1973).
Ces effets antinutritionnels influencent plus significativement la digestibilité de l’énergie et des protéines chez les volailles, si leur concentration est inférieure à 2,6 g/kg soit 0,26 % (MCNAB et BOORMAN, 2002).Les sorghos dits « pauvres » en tanins qu’on rencontre en Afrique ne présentent guère ces inconvénients (ANSELME, 1987).

Qualités bromatologiques des mils

Les mils sont des graminées et appartiennent à plusieurs espèces. Parmi les plus importantes, on peut citer: Pennisetum, Seteria, Eleusine, Paspalum, Digitaria.
Les exigences des mils varient. En règle générale, les mils sont plus résistants à la sécheresse que le sorgho, qui lui même peut se développer sur des terres plus sèches et plus arides que le maïs (FERRANDO, 1964).

Composition chimique et digestibilité du mil

Le mil est essentiellement constitué d’amidon. Sa teneur en protéines est presque égale et comparable à celle du maïs (FAO, 1993). Il contient une forte teneur en matière grasse mais sa composition en acide gras n’est pas différente de celle du sorgho (HULSE et al., 1980). L’une des caractéristiques de la composition des grains de mil est leur forte teneur en cendres et en fibres alimentaires. Ils sont également riches en fer et en phosphore.
En général, les grains complets sont une source importante des vitamines du complexe B, qui est surtout concentré dans le son. Le mil tout comme le sorgho ne contient pas de vitamine A, bien que certaines variétés contiennent de petites quantités de β carotène, précurseur de la vitamine A. Il n’y a pas de vitamine C dans les grains de mil.
Les grains de mil sont caractérisés par une haute teneur en fibres alimentaires et une mauvaise digestibilité des éléments nutritifs (FAO, 1993). Selon la définition modifiée de TROWELL (1976)cité par LOUL (1998), la fibre alimentaire est la somme de la lignine et des polysaccharides qui ne sont pas hydrolysés par les enzymes endogènes du tube digestif du poulet. La teneur en fibres alimentaires est utilisée pour décrire divers polysaccharides végétaux non assimilables: celluloses, hémicelluloses, pectines, oligosaccharides, gommes et divers composés lignifiés. La nature chimique de l’amidon, en particulier, la teneur en amylose et en amylopectine, est un autre facteur qui influe sur la digestibilité du mil.

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Table des matières
LISTE DES ABREVIATIONS 
LISTE DES FIGURES 
LISTES DES TABLEAUX 
INTRODUCTION
PREMIERE PARTIE : SYNTHESE BIBLIOGRAPHIQUE 
CHAPITRE I : SITUATION DE L’AVICULTURE SENEGALAISE
1.1. Généralités
1.2. ORGANISATION GENERALE DE LA FILIERE AVICOLE AU SENEGAL
1.3. DIFFERENTS TYPES D’ELEVAGE
1.3.1. Aviculture traditionnelle
1.3.1.1. Caractéristiques
1.3.1.2. Effectifs
1.3.2. Aviculture moderne
1.3.2.1. Caractéristiques
1.3.2.2. Acteurs de l’aviculture moderne et circuit de commercialisation
1.3.2.2.1. Fournisseurs d’intrants
1.3.2.2.2. Provendiers
1.3.2.2.3. Accouveurs
1.3.2.3. Effectifs
1.3.2.4. Evolution de la production
1.4. CONTRAINTES MAJEURES DE L’AVICULTURE SENEGALAISE
1.4.1. CONTRAINTES DE L’AVICULTURE VILLAGEOISE
1.4.1.1. Contraintes pathologiques
1.4.1.2. Contraintes liées à la conduite d’élevage
1.4.1.3. Contraintes alimentaire et techniques
1.4.2. CONTRAINTES DE L’AVICULTURE MODERNE
1.4.2.1. Contraintes alimentaires
1.4.2.2. Contraintes sanitaires
1.4.2.3. Contraintes financières
1.4.2.4. Contraintes institutionnelles
CHAPITRE II : QUALITES BROMATOLOGIQUES DES CEREALES LOCALES ET ALIMENTATION DES POULETS DE CHAIR
2.1. QUALITES BROMATOLOGIQUES DES CEREALES
2.1.1. Qualités bromatologiques du maïs
2.1.1.1. Composition chimique et digestibilité du maïs
2.1.1.2. Valeurs énergétique et protéique du maïs
2.1.1.3. Facteurs antinutritionnels du maïs
2.1.2. Qualités bromatologiques du sorgho
2.1.2.1. Composition chimique et digestibilité du sorgho
2.1.2.2. Valeurs énergétique et protéique du sorgho
2.1.2.3. Facteurs antinutritionnels du sorgho
2.1.3. Qualités bromatologiques des mils
2.1.3.1. Composition chimique et digestibilité du mil
2.1.3.2. Valeurs énergétique et protéique du mil
2.1.3.3. Facteurs antinutritionnels du mil
2.2. DIGESTION ET BESOINS ALIMENTAIRES DES POULETS DE CHAIR
2.2.1. Rappels anatomo-physiologiques de la digestion chez les volailles
2.2.2. Besoins nutritionnels des poulets de chair
2.2.2.1. Besoins en eau
2.2.2..2. Besoins en énergie
2.2.2.3. Besoins en protéines et en acides aminés indispensables
2.2.2.4. Besoins en minéraux
2.2.2.5. Besoins en vitamines
CHAPITRE III : STRATEGIES NUTRITIONNELLES ET EFFETS DE LA TAILLE PARTICULAIRE SUR LES PERFORMANCES ZOOTECHNIQUES DES POULETS DE CHAIR
3.1. STRATEGIES NUTRITIONNELLES CHEZ LES POULETS DE CHAIR
3.1.1. Alimentation complète classique
3.1.1.1. Alimentation complète classique en farine distribuée ad libitum en élevage des poulets de chair en zone tropicale
3.1.1.2. Limites de l’alimentation complète classique
3.1.2. Alimentation séquentielle chez les poulets de chair
3.1.2.1. Avantages de l’alimentation séquentielle
3.1.2.2. Inconvénients de l’alimentation séquentielle
3.1.3. Alimentation séparée chez le poulet de chair
3.1.3.1. Avantages de l’alimentation séparée chez le poulet de chair
3.1.3.2. Inconvénients de l’alimentation séparée chez le poulet de chair
3.1.4. Alimentation mélangée chez les poulets de chair
3.1.4.1. Avantages de l’alimentation mélangée
3.1.4.2. Inconvénients de l’alimentation mélangée chez le poulet de chair
3.2. EFFETS DE LA TAILLE PARTICULAIRE SUR LES PERFORMANCES ZOOTECHNIQUES DES POULETS DE CHAIR
3.2.1. Caractéristiques granulométriques d’un aliment chez le poulet
3.2.1.1. Comportement alimentaire du poulet
3.2.1.1.1. Vitesse et rythme d’ingestion chez le poulet
3.2.1.1.2. Choix et préférences des particules
3.2.1.2. Effets de la taille particulaire sur le processus digestif des poulets de chair
3.2.1.2.1. Effets sur le transit digestif des poulets
3.2.1.2.1. Effets sur la digestibilité des particules
3.2.1.3. Effets de la taille particulaire sur les performances zootechniques des poulets
3.2.1.3.1. Consommation alimentaire et indice de consommation
3.2.1.3.2. Croissance et engraissement
3.2.1.3.3. Rendement carcasse
3.2.1.3.4. Vitalité et mortalité
DEUXIEME PARTIE : EFFETS DU SORGHO GRAIN ENTIER OU BROYE EN ALIMENTATION SEQUENTIELLE OU MELANGEE CHEZ LE POULET DE CHAIR
CHAPITRE I : MATERIEL ET METHODES
SITE ET PERIODE D’EXPERIMENTATION
1.1. MATERIEL
1.1.1. Cheptel expérimental
1.1.2. Matériel d’élevage et de contrôle de performances
1.2. Méthodes
1.2.1. Conduite de l’élevage
1.2.1.1. Préparation du bâtiment d’élevage
1.2.1.2. Elevage des poussins
1.2.1.3. Identification et mise en lot des poussins
1.2.1.4. Eclairage du bâtiment
1.2.1.5. Alimentation des oiseaux
1.2.2. Différents paramètres étudiés
1.2.2.1. Paramètres d’ambiance
1.2.2.2. Paramètres zootechniques
1.2.2.2.1. Consommation alimentaire
1.2.2.2.2. Poids vifs
1.2.2.2.3. Gain moyen quotidien (GMQ)
1.2.2.2.4. Indice de consommation (IC)
1.2.2.2.5. Rendement carcasse (RC)
1.3.2.2. Paramètres sanitaires
1.2.3. Analyses économique
1.2.4. Analyse statistique des données
CHAPITRE II : RESULTATS ET DISCUSSION
2.1. RESULTATS
2.1.1. Evolution des paramètres d’ambiance
2.1.2. Effets du sorgho grain entier et broyé en alimentation séquentielle et mélangée sur les performances zootechniques des oiseaux
2.1.2.1 Poids vif (PV)
2.1.2.2. Gain moyen quotidien (GMQ)
2.1.2.3. Consommation alimentaires
2.1.2.4. Indice de consommation
2.1.2.5. Poids carcasse et rendement carcasse
2.1.3. Effets du sorgho grain entier et broyé en alimentation séquentielle et mélangée sur les mortalités chez les poulets de chair
2.1.4. Résultats économiques
2.2. DISCUSSION
2.2.1. Paramètres d’ambiance
2.2.2. Effets du sorgho grain entier et broyé en alimentation séquentielle et mélangée sur les performances zootechniques des oiseaux
2.2.2.1. Poids vif et le gain moyen quotidien (GMQ)
2.2.2.2. Consommation alimentaire
2.2.2.3. Indice de consommation
2.2.2.4. Poids carcasse et rendement d’abatage
2.2.2.5. Effets de la taille particulaire et du mode d’alimentation sur les résultats économiques
2.3. RECOMMENDATIONS ET PERSPECTIVES
2.3.1. Recommandations
2.3.1.1. En direction des agriculteurs
2.3.1.2. Recommandation en direction des acteurs de l’alimentation animale
2.3.1.3. Recommandation en direction de l’Etat
2.3.2. Perspectives de recherches
CONCLUSION 
REFERENCES BIBLIOGRAPHIQUES 
WEBOGRAPHIE 
ANNEXES

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