Effets du chaponnage sur la biologie de la volaille

Os

Les androgènes jouent un rôle très important dans le développement, la physiologie et le métabolisme des os. Chezla volaille, le mécanisme d’action est peu connu. Les androgènes auraient une action inductrice sur les facteurs mécaniques en favorisant la maturité des chondrocytes et la sédimentation minérale des os des mâles,lorsque ceux-ci approchent la maturité (PEDERSON et al., 1999; NOTELOVITZ, 2002). Du fait de la présence de nombreux récepteurs androgéniques dans les ostéoblastes, les androgènes augmentent donc l’ossification des ostéoblastes et inhibent la corrosion des ostéoclastes.
Chez l’homme, les androgènes sont nécessaires à l’obtention et au maintien d’une masse osseuse (VANDERSCHUEREN et al., 1998). En effet, l’androgénothérapie chez des hommes atteints d’hypogonadisme et des hommes âgés présentant un déficit androgénique, entraîne la stabilisation, voire l’accroissement de la masse osseuse.
Les androgènes permettent donc l’alternance de la résorption et de la formation des os, ceci en faveur de la formation. Lastabilité et la solidité des os dépendent ainsi de ces hormones.
L’anatomie de la volaille, plus précisément celle des mâles, présente donc des particularités, notamment la situation topographique des testicules, position intra abdominale, différente des autres espèces animales, ainsi que la présence de sacs aériens intervenant dans le mécanisme respiratoire. La physiologie et le dimorphisme sexuel observés entre la poule et le coq dépendent des hormones sexuelles. Celles-ci revêtentaussi une grande importance dans le développement et la composition des tissus tels le muscleet les os, ainsi queles manifestations sexuelles. La suppression deleur production via uneopération chirurgicale a donc des effets sur la biologie de la volaille.

LA PRODUCTION DU CHAPON

DEFINITION ET CARACTERISTIQUES DU CHAPON

Le chapon peut être défini comme étant un poulet mâle dont les testicules ont été enlevés artificiellement, via une opération chirurgicale, que l’on engraisse et que l’on destine à la consommation. Du point de vue de ses caractéristiques, il est docile et moins actif que le coq entier. La crête et les barbillons dégénèrent et sont décolorés. L’énergie, normalement dépensée dans la bagarre, la protection du territoire, est réduite, permettant ainsi une meilleure conversion de l’aliment dans la croissance et le dépôt de gras. On note une amélioration de la qualité de la viande, celle-ci est plus tendre, plusjuteuse et a plus de goût. Selon CHANVIN et BERNARD (2006),on obtient une viande avec un gras intramusculaire encore appelée viande « persillée ».

IMPORTANCE

IMPORTANCE SOCIOCULTURELLE

Dans les pays méditerranéens, tels que la France et l’Espagne, la production de chapon est une vieille tradition. C’est un produit le plus souvent consommé lors de grandes fêtes familiales, ainsi il occupe une place dans la culture de ces sociétés. C’est une pratique réalisée non seulement pour assurer la qualité organoleptique du produit, mais aussi pour maintenir et pérenniser les pratiques traditionnelles.

IMPORTANCE ECONOMIQUE

En Afrique, le chapon est un produit qui n’a pas une grande importance économique du fait de sa méconnaissance par les populations, sa production est par conséquent quasi inexistante. On retrouve toutefois quelques stocks importés dans les grandes surfaces telles les supermarchés. Par contre dans d’autres pays du monde, la demande augmente au fil des années. Selon HSIEH (2002) cité par CHEN et al. (2006a), la consommation à Taiwan est de 4,3 millions de chapons par année. Environ 1,5 millions de chapons label rouge ont été produits en France en 2005 (S.N.L.A.F, 2005) et aux Etats-Unis, la production annuelle de chapons est estimée à 1 million de têtes (JACOB et MATHER, 2000). En Espagne, selon MARTIN (1991), le prix de vente des chapons est près de 6 fois supérieur à celui des poulets engraissés. Du fait de la qualité de sa viande, de la durée de l’élevage et du coût de production, le chapon est produit pour des marchés spécialisés et est vendu dans de grandes surfaces (TOR et al., 2002). Il permet de valoriser le pouletfermier du fait de l’amélioration de la qualité de sa viande. Donc, il pourrait aussi constituer une alternative à la valorisation des coquelets en Afrique.

TECHNIQUES DE CHAPONNAGE

CHOIX DES ANIMAUX

Critères généraux

Espèces

Outre la poule, la dinde et la pintade (CHANVIN et BERNARD, 2006), espèces généralement utilisées dans la production de chapons, selon JACOB et MATHER (2000) et SEVERIN et al. (2006), le faisan est aussi un oiseau qui peut être chaponné, même s’il n’a pas encore été exploité à l’échelle industrielle.

Souches

Deux grandes souches se distinguent parmi les poulets:les souches à croissance rapide et les souches à croissance lente. Pour le chaponnage, ce sont les souches rustiques à croissance lente, notamment les poulets fermiers, qui sont le plus souvent utilisées. Parmi ces souches à croissance lente, l’on peut citer des souches légères, semi-lourdes et des souches lourdes. D’après SANDOVAL et al. (2005), les chapons issus des races légères sont considérées comme étant de meilleure qualité mais sont coûteux du fait d’une croissance inférieure à celle des souches lourdes. Selon CARD et NESHEIM (1972), les mâles de toutes les variétés de poulet à croissance rapidepeuvent faire d’excellents chapons. CASON et al. (1988) ont aussi réalisé untravail de chaponnage sur des poulets de chair. Les souches utilisées pour le chaponnage varient enfonction des lieux et des pays (MIGUEL et al., 2001 ; VILLA et al., 2001 ; CARD et NESHEIM, 1988 ; JACOB et MATHER, 2000). Le pouletde Bresse, autochtone de la région française du même nom, a atteint un prestige et le chapon de Bresse est apprécié dans le monde (MARTIN, 1991). Des souches issues de croissements entre deux races pures sont aussi utilisées pour la production de chapon (tableau I).

Temps opératoires

Le chaponnage comprend différents temps opératoires.

Contention de l’animal

L’animal est mis dans une position convenable et la procédure habituelle de contention consiste à attacher les deuxailes et les pattes avec des cordes exerçant une tension suffisante pour bien exposer la surface de la cage thoracique.
L’usage d’un anesthésique sur les oiseaux (CASON et al., 1988) pour pouvoir les chaponner bien que toujours discuté, n’est pas obligatoire car avec une bonne contention les oiseaux ne se débattent pas et ceux-ci nesemblent pas traumatisés par l’opération (CARD et NESHEIM,1972 ; M’KAOUAR et BOUZOUAYA, 2003 ; SEVERIN et al., 2006).

Incisions cutanée et musculaire

Après avoir enlevé les plumesde la zone d’élection del’opération, l’incision se fait au niveau du dernier espace intercostal entre la 6 ème et la 7 ème côte, au niveau du tiers supérieur et du tiers moyen. Elle doit être assez profonde pour bien exposer les sacs aériens.

Ponction des sacs aériens

A la suite de l’incision musculaire, les sacs aériens sont visibles et couvrent les intestins et d’autres organes abdominaux.Ils sont ponctionnés afin de mettre à nu ces organes internes.

Repérage du testicule

Comme il a été signalé plus haut sur l’anatomie de la volaille, les testicules sont situés en arrière des poumons, près de l’extrémité antérieure des reins, le long de la paroi dorsale. Ainsi repéré, le premier testicule peut être ôté.

Exérèse des testicules

C’est l’acte le plus délicat de l’opération.Il nécessite beaucoup de concentration et de précision de la part de l’opérateur pour éviter, non seulement de léser l’aorte abdominale, mais aussi d’écraser le testicule. Celui-ci est ôté par torsion ou bistournage libre. Le manipulateur à l’aide de sa pince « en cœur » tient le testicule au niveau de son pédicule et tourne doucement la pince tout en la tirant vers l’extérieur, jusqu’à rupture.
Pour l’exérèse du deuxième testicule, il suffit de mettre l’animal sur son autre côté et de procéder de la même façon. Selon JACOB et MATHER (2000), il serait aussi possible d’enlever les deux testicules par la même incision.
Après l’opération, il est nécessaire de vérifier que tout le testicule est enlevé car il suffit de quelques cellules restantes pourque celles-ci croissent et produisent des hormones. L’incision peut être ou non suturée à l’aide d’un fil résorbable (LIN et HSU, 2003b) limitant ainsi l’introduction de corps étranger à travers la plaie. Compte tenu de la cicatrisation rapide de la plaie, la tendance est à l’abandon de la suture.

Accidents opératoires et post-opératoires

Bien que le chaponnage soit une opération simple dont le mode opératoire peut être rapidement appris par toute personne, il n’en demeure pas moins très délicat. Des accidents peuvent donc survenir pendant et même après l’opération, des complications sont également possibles (M’KAOUAR et BOUZOUAYA, 2003).

Accidents opératoires

Hémorragies

Pendant l’opération de chaponnage, les complications essentielles sont représentées par les hémorragies, notammentla lésion de l’aorte et la lésion des sinus veineux. Ceci est en majorité dû à la position topographique des testicules, tout près de l’aorte et des veines iliaques. Ces hémorragies entraînent le remplissage des poumons par du sang, mettant en péril la respiration chez le sujet. Elles aboutissent presque toujours à la mort de l’animal quelques minutes après.

Lésions des poumons

Les poumons peuvent être lésés lorsque le lieu d’élection de l’incision n’a pas été respecté, c’est-à-dire lorsque l’incision s’est faite entre la cinquième (5 e ) et la sixième (6 e ) côte. L’ouverture de l’écarteur peut également être la cause de l’arrachage d’un bout de poumon.
Les conséquences de ces deux premiers accidents sont souvent dramatiques, c’est pourquoi, il est recommandé de sacrifier l’animal dès que les signes de suffocation sont observés. Il n’existe pas un taux de mortalité « seuil » induit par le chaponnage, cependant, selon différents auteurs, on peut le situer dans un intervalle de 1- 3% du total des animaux opérés (SEVERIN et al., 2006 ; TOR et al., 2002)

Lésions costales

Des luxations ou des fractures des côtes sont souvent consécutives à une ouverture trop grande de l’écarteur au niveau de l’incision. Les conséquences ne sont pas graves, l’animal s’en remet bien. La luxation del’attache de la dernière côte favorise, cependant, l’apparition de l’emphysème sous-cutané.

DUREE D’ELEVAGE

La durée d’élevage du chapon est aussi variable. Bien que cette durée d’élevage soit fonction de certains facteurs (souche utilisée, objectif de poids à atteindre…), selon plusieurs auteurs,le chapon requiert une durée d’élevage minimum de 4 – 5 mois, comptés à partirde l’éclosion. Pour d’autres, cette durée peut aller jusqu’à 7-8 mois d’élevage (MIGUEL, 2001; TOR et al., 2002; LIN et HSU, 2003b). En France, de manière générale, l’âge minimum d’abattage d’un chapon est de 150 jours soit environ 5 mois.
En ce qui concerne la souche, selon SANDOVAL et al. (2005), les souches légères requièrent normalement une période d’engraissement de 6 mois pour obtenir un poids vif de 4 kg, en considérant un âge au chaponnage situé entre 50 et 60 jours. Chez les races semi lourdes, pour obtenir un poids de 4,5 kg, les chapons devront être élevéspendant 4 -5 mois.
Le chapon se présente donc comme étant un produit qui revêt une certaine importance culturelle et économique, mais sa production à l’échelle mondiale n’est pas encore très importante. L’obtention d’un bon chapon est déterminée par certains facteurs tels, le choix de lasouche, une opération réussie et un bon mode d’élevage. Dans les lignes qui suivent nous présenterons de manière succincte, les différents effets liés au chaponnage.

EFFET SUR LE COMPORTEMENT

La castration génère aussi des changements comportementaux. Le mâle castré devient docile et moins actif, il n’a plus d’activités sexuelles et l’énergie alimentaire qui normalement se destine à certaines activités (bagarre, agressivité, protection du territoire), est détournée vers une conversion alimentaire plus efficiente dans la croissance, le dépôt de gras et l’amélioration de la qualité de la viande (SANDOVAL et al., 2003; SEVERIN et al., 2006).
On note aussi des changements au niveau de la voix. Le chapon émet peu ou pas de son, on n’entend plus le « chant du coq » (CHEN et al., 2006b).

EFFET SUR LA CROISSANCE ET LA CONSOMMATION ALIMENTAIRE

POIDS

Divers auteurs ont décrit chez les chapons à la fin de leur élevage, des poids vifs très variables selon la race, l’âge et le poids au chaponnage (VILLA et al., 2001), ainsi que les conditions générales d’élevage durant la période d’engraissement (type et mode d’approvisionnement en aliment, contrôle de l’environnement, etc.). L’effet du chaponnage sur le poids vif n’est pas très clair, car dans la littérature on note chez certaines auteurs un effet positif (CHEN et al., 2006a ; LIN et HSU, 2006b) et chez d’autres un effet négatif (SEVERIN et al. 2006). Certains auteurs comme CASTILO et al. (2004) n’ont noté aucun effet sur le poids vif. Cependant, le chapon aurait un gain de poids élevé, plus marqué dans la dernière phase de croissance (CHEN et al., 2006a ; CASTILLO et al., 2004).

CONSOMMATION D’EAU ET D’ALIMENT

La littérature renseigne peu sur les effets du chaponnage sur la consommation d’eau et d’aliment. Cependant, selon CASTILLO et al. (2004) et CHEN et al. (2006a), la consommation d’eau et d’aliment pendant l’engraissement des chapons est sujette à l’action des mêmes facteurs qui conditionnent le poids corporel. Le chaponnage n’a pas une influence notable sur la consommation alimentaire et d’eau, mais améliorel’efficacité alimentaire ou conversion alimentaire. En effet, du fait de la moindre activité des chapons, l’énergie alimentaire utilisée en général dans les activités telles la bagarre, la protection du territoire et les activités sexuelles, serait réorientée vers la conversion alimentaire. Ainsi, les chapons valoriseraient mieux les aliments qu’ils consomment.

EFFET SUR LES CARACTERISTIQUES DE CARCASSE

POIDS CARCASSE ET LE GRAS

Le chaponnage n’a pas d’effet notable sur le poids de la carcasse (TOR et al., 2002 ; CASON et al., 1988). La couleur de la peau n’est pas aussi influencée (CASON et al., 1987), car sa pigmentation n’est pas régulée par les hormones sexuelles.
La conséquence principale du chaponnageest donc l’accumulation de lipides.
En effet, on note chez le chapon un poids élevé du gras abdominal, du gras souscutané et du gras intermusculaire (TORet al, 2005 ; CHEN et al…, 2006). Le mécanisme de lipogenèse après chaponnage n’est pas décrit dans la littérature et demeure peu clair. Cependant, comme l’indique HSIEH et al. (2001) cité par CHEN et al. (2005), l’accumulation des lipides est attribuée à l’augmentation de la capacité de lipogenèse hépatique et donc l’augmentation de la concentration sanguine en lipides. Des analyses électrophorétiques des lipoprotéines du sang montrent que les chapons présentent des proportions delipoprotéines altérées et ont ainsi dans leursérum des dysfonctionnements au niveaudes mécanismes de transport des protéines. Toutefois, le chaponnage n’influence pas la qualité et la digestibilité des graisses.

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Table des matières
INTRODUCTION
PREMIERE PARTIE : SYNTHESE BIBLIOGRAPHIQUE
CHAPITRE I : GENERALITES SUR LA VOLAILLE
1.1- BIOLOGIE DE LA VOLAILLE
1.1.1- RAPPELS ANATOMIQUES DE LA VOLAILLE
1.1.1.1- Squelette
1.1.1.2- Appareil respiratoire
1.1.1.2.1- Cavités nasales
1.1.1.2.2- Pharynx
1.1.1.2.3- Larynx
1.1.1.2.4- Trachée
1.1.1.2.5-Poumons
1.1.1.2.5.1- Arbre aérifère
1.1.1.2.5.2- Sacs aériens
1.1.1.3 Appareil génital mâle
1.1.1.3.1 Testicules
1.1.1.3.2 Epididyme
1.1.1.3.3 Conduit déférent
1.1.1.3.4 Appareil copulateur
1.1.2- RELATION ENTRE SYSTEME NERVEUX, SYSTEME ENDOCRINIEN ET SYSTEME REPRODUCTEUR
1.1.3- ROLE DES ANDROGENES
1.1.3.1- Caractères sexuels secondaires et comportement sexuel
1.1.3.2- Muscle
1.1.3.3-Os
CHAPITRE II : PRODUCTION DE CHAPON
2.1- DEFINITION ET CARACTERISTIQUES DU CHAPON
2.2- IMPORTANCE
2.2.1.- IMPORTANCE SOCIO-CULTURELLE
2.2.2- IMPORTANCE ECONOMIQUE
2.3-TECHNIQUES DE CHAPONNAGE
2.3.1-CHOIX DES ANIMAUX
2.3.1.1- Critères généraux
2.3.1.1.1- Espèces
2.3.1.1.2- Souches
2.3.1.2- Critères individuels
2.3.1.2.1- Poids
2.3.1.2.2- Age au chaponnage
2.3.1.2.3 -Etat général
2.3.2-MODES OPERATOIRES
2.3.2.1-Temps opératoires
2.3.2.1.1- Contention de l’animal
2.3.2.1.2-Incisions cutanée et musculaire
2.3.2.1.3-Ponction des sacs aériens
2.3.2.1.4-Repérage du testicule
2.3.2.1.5-Exérèse du testicule
2.3.2.2-Accidents opératoireset post-opératoires
2.3.2.2.1-Accidents opératoires
2.3.2.2.1.1- Hémorragies
2.3.2.2.1.2- Lésions des poumons
2.3.2.2.1.3-Lésions costales
2.3.2.2.2-Accidents post-opératoires
2.3.2.2.2.1- Emphysème sous-cutané
2.3.2.2.2.2- Persistance d’un fragment de testicule dans la cavité
2.3.2.2.2.3- Boiteries
2.3.2.2.2.4- Complications septiques
2.4- ELEVAGE DES CHAPONS
2.4.1- ALIMENTATION
2.4.2-DUREE D’ELEVAGE
CHAPITRE III : EFFETS DU CHAPONNAGE SUR LABIOLOGIE DE LA VOLAILLE
3.1- EFFET SUR l’ASPECT EXTERIEUR
3.2- EFFET SUR LECOMPORTEMENT
3.3- EFFET SUR LA CROISSANCE ET LA CONSOMMATION ALIMENTAIRE
3.3.1-POIDS
3.3.2-CONSOMMATION D’EAU ET D’ALIMENT
3.4- EFFET SUR LESCARACTERISTIQUES DE CARCASSSE
3.4.1-POIDS CARCASSE ET LE GRAS
3.4.2-VISCERES
3.5- EFFET SUR LES OS
3.6- EFFET SUR LE MUSCLE ETLA QUALITE DE LA VIANDE
DEUXIEME PARTIE : ETUDE EXPERIMENTALE
CHAPITRE I : MATERIEL ET METHODES
1.1- SITE ET PERIODE DE TRAVAIL
1.2 MATERIEL
1.2.1- ECHANTILLONAGE DES ANIMAUX
1.2.2- BATIMENT D’ELEVAGE
1.2.3- MATERIEL DE CHAPONNAGE
1.2.4- MATERIEL D’ELEVAGE ET DE CONTROLE DES PERFORMANCES
1.3- CONDUITE DES ANIMAUX
1.3.1- ELEVAGE DES POUSSINS D’UN JOUR A L’AGE AU CHAPONNAGE
1.3.1.1- Préparation d’un local
1.3.1.2- Mise en place des animaux
1.3.1.3- Plan deprophylaxie
1.3.1.4- Alimentation
1.3.2- ELEVAGE DE L’AGE AU CHAPONNAGE A L’ABATTAGE
1.3.2.1- Miseen lots
1.3.2.2- Méthode de chaponnage
1.3.2.2.1- Phase pré-opératoire
1.3.2.2.2- Phase opératoire
1.3.2.2.3- Prophylaxiepost-opératoire
1.3.2.3-Alimentation
1.3.2.4- Abattagedes coquelets
1.4- COLLECTES DES DONNEES
1.4.1-SUR LES ANIMAUX VIVANTS
1.4.1.1- Poids vif
1.4.1.2- Consommation d’aliment
1.4.2- SUR LES ANIMAUX APRES ABATTAGE
1.4.2.1-Poids carcasse
1.4.2.2- Taille de la crête et des barbillons
1.4.2.3- Poids des viscères
1.4.3- DETERMINATION DES VARIABLES ZOOTECHNIQUES
1.4.3.1-Gain moyen quotidien
1.4.3.2- Indice deconsommation
1.4.3.3- Taux de mortalité
1.4.3.4-Rendement carcasse
1.5- ANALYSES STATISTIQUES
CHAPITRE II-RESULTATSET DISCUSSION
2.1- RESULTATS
2.1.1- EFFET DU CHAPONNAGE SUR LA CROISSANCE
2.1.1.1- Poids vif
2.1.1.2-Vitesse de croissance
2.1.2- EFFET DU CHAPONNAGE SUR LE CONSOMMATION ET L’EFFICACITE ALIMENTAIRE
2.1.3- EFFET DU CHAPONNAGE SUR LESCARACTERIQTIQUES DE CARCASSE
2.1.4- EFFET DU CHAPONNAGE SUR LE DEVELOPPEMENT DES APPENDICES
2.1.5- EFFET DU CHAPONNAGE SUR LA MORTALITE
2.1.6- ASPECT ECONOMIQUE
2.2- DISCUSSION
2.2.1-METHODOLOGIE
2.2.2-EFFET DU CHAPONNAGE SUR LA CROISSANCE
2.2.3-EFFET DU CHAPONNAGE SUR LA CONSOMMATION ET EFFICACITE
ALIMENTAIRE
2.2.4-EFFET DU CHAPONNAGE SUR LESCARACTERISTIQUES DE CARCASSE
2.2.5-EFFET DU CHAPONNAGE SUR LE DEVELOPPEMENT DES APPENDICES
2.2.6- EFFET DU CHAPONNAGE SUR LA MORTALITE
2.2.7- ANALYSE ECONOMIQUE DE L’EFFET DU CHAPONNAGE SUR LA PRODUCTIVITE
2.3- RECOMMANDATIONS
2.3.1- RECOMMANDATIONS EN DIRECTION DES ELEVEURS
2.3.2-RECOMMANDATIONS EN DIRECTION DE L’ETAT
2.3.3-RECOMMANDATIONS EN DIRECTION DES INSTITUTIONS DE FORMATION ET DE RECHERCHE
2.3.4-RECOMMANDATIONS EN DIRECTION DES ONG
CONCLUSION GENERALE
REFERENCES BIBLIOGRAPHIQUES

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