Os
Les androgรจnes jouent un rรดle trรจs important dans le dรฉveloppement, la physiologie et le mรฉtabolisme des os. Chezla volaille, le mรฉcanisme dโaction est peu connu. Les androgรจnes auraient une action inductrice sur les facteurs mรฉcaniques en favorisant la maturitรฉ des chondrocytes et la sรฉdimentation minรฉrale des os des mรขles,lorsque ceux-ci approchent la maturitรฉ (PEDERSON et al., 1999; NOTELOVITZ, 2002). Du fait de la prรฉsence de nombreux rรฉcepteurs androgรฉniques dans les ostรฉoblastes, les androgรจnes augmentent donc lโossification des ostรฉoblastes et inhibent la corrosion des ostรฉoclastes.
Chez lโhomme, les androgรจnes sont nรฉcessaires ร lโobtention et au maintien dโune masse osseuse (VANDERSCHUEREN et al., 1998). En effet, lโandrogรฉnothรฉrapie chez des hommes atteints dโhypogonadisme et des hommes รขgรฉs prรฉsentant un dรฉficit androgรฉnique, entraรฎne la stabilisation, voire lโaccroissement de la masse osseuse.
Les androgรจnes permettent donc lโalternance de la rรฉsorption et de la formation des os, ceci en faveur de la formation. Lastabilitรฉ et la soliditรฉ des os dรฉpendent ainsi de ces hormones.
Lโanatomie de la volaille, plus prรฉcisรฉment celle des mรขles, prรฉsente donc des particularitรฉs, notamment la situation topographique des testicules, position intra abdominale, diffรฉrente des autres espรจces animales, ainsi que la prรฉsence de sacs aรฉriens intervenant dans le mรฉcanisme respiratoire. La physiologie et le dimorphisme sexuel observรฉs entre la poule et le coq dรฉpendent des hormones sexuelles. Celles-ci revรชtentaussi une grande importance dans le dรฉveloppement et la composition des tissus tels le muscleet les os, ainsi queles manifestations sexuelles. La suppression deleur production via uneopรฉration chirurgicale a donc des effets sur la biologie de la volaille.
LA PRODUCTION DU CHAPON
DEFINITION ET CARACTERISTIQUES DU CHAPON
Le chapon peut รชtre dรฉfini comme รฉtant un poulet mรขle dont les testicules ont รฉtรฉ enlevรฉs artificiellement, via une opรฉration chirurgicale, que l’on engraisse et que l’on destine ร la consommation. Du point de vue de ses caractรฉristiques, il est docile et moins actif que le coq entier. La crรชte et les barbillons dรฉgรฉnรจrent et sont dรฉcolorรฉs. Lโรฉnergie, normalement dรฉpensรฉe dans la bagarre, la protection du territoire, est rรฉduite, permettant ainsi une meilleure conversion de lโaliment dans la croissance et le dรฉpรดt de gras. On note une amรฉlioration de la qualitรฉ de la viande, celle-ci est plus tendre, plusjuteuse et a plus de goรปt. Selon CHANVIN et BERNARD (2006),on obtient une viande avec un gras intramusculaire encore appelรฉe viande ยซ persillรฉe ยป.
IMPORTANCE
IMPORTANCE SOCIOCULTURELLE
Dans les pays mรฉditerranรฉens, tels que la France et lโEspagne, la production de chapon est une vieille tradition. Cโest un produit le plus souvent consommรฉ lors de grandes fรชtes familiales, ainsi il occupe une place dans la culture de ces sociรฉtรฉs. Cโest une pratique rรฉalisรฉe non seulement pour assurer la qualitรฉ organoleptique du produit, mais aussi pour maintenir et pรฉrenniser les pratiques traditionnelles.
IMPORTANCE ECONOMIQUE
En Afrique, le chapon est un produit qui nโa pas une grande importance รฉconomique du fait de sa mรฉconnaissance par les populations, sa production est par consรฉquent quasi inexistante. On retrouve toutefois quelques stocks importรฉs dans les grandes surfaces telles les supermarchรฉs. Par contre dans dโautres pays du monde, la demande augmente au fil des annรฉes. Selon HSIEH (2002) citรฉ par CHEN et al. (2006a), la consommation ร Taiwan est de 4,3 millions de chapons par annรฉe. Environ 1,5 millions de chapons label rouge ont รฉtรฉ produits en France en 2005 (S.N.L.A.F, 2005) et aux Etats-Unis, la production annuelle de chapons est estimรฉe ร 1 million de tรชtes (JACOB et MATHER, 2000). En Espagne, selon MARTIN (1991), le prix de vente des chapons est prรจs de 6 fois supรฉrieur ร celui des poulets engraissรฉs. Du fait de la qualitรฉ de sa viande, de la durรฉe de lโรฉlevage et du coรปt de production, le chapon est produit pour des marchรฉs spรฉcialisรฉs et est vendu dans de grandes surfaces (TOR et al., 2002). Il permet de valoriser le pouletfermier du fait de lโamรฉlioration de la qualitรฉ de sa viande. Donc, il pourrait aussi constituer une alternative ร la valorisation des coquelets en Afrique.
TECHNIQUES DE CHAPONNAGE
CHOIX DES ANIMAUX
Critรจres gรฉnรฉraux
Espรจces
Outre la poule, la dinde et la pintade (CHANVIN et BERNARD, 2006), espรจces gรฉnรฉralement utilisรฉes dans la production de chapons, selon JACOB et MATHER (2000) et SEVERIN et al. (2006), le faisan est aussi un oiseau qui peut รชtre chaponnรฉ, mรชme sโil nโa pas encore รฉtรฉ exploitรฉ ร lโรฉchelle industrielle.
Souches
Deux grandes souches se distinguent parmi les poulets:les souches ร croissance rapide et les souches ร croissance lente. Pour le chaponnage, ce sont les souches rustiques ร croissance lente, notamment les poulets fermiers, qui sont le plus souvent utilisรฉes. Parmi ces souches ร croissance lente, lโon peut citer des souches lรฉgรจres, semi-lourdes et des souches lourdes. Dโaprรจs SANDOVAL et al. (2005), les chapons issus des races lรฉgรจres sont considรฉrรฉes comme รฉtant de meilleure qualitรฉ mais sont coรปteux du fait dโune croissance infรฉrieure ร celle des souches lourdes. Selon CARD et NESHEIM (1972), les mรขles de toutes les variรฉtรฉs de poulet ร croissance rapidepeuvent faire dโexcellents chapons. CASON et al. (1988) ont aussi rรฉalisรฉ untravail de chaponnage sur des poulets de chair. Les souches utilisรฉes pour le chaponnage varient enfonction des lieux et des pays (MIGUEL et al., 2001 ; VILLA et al., 2001 ; CARD et NESHEIM, 1988 ; JACOB et MATHER, 2000). Le pouletde Bresse, autochtone de la rรฉgion franรงaise du mรชme nom, a atteint un prestige et le chapon de Bresse est apprรฉciรฉ dans le monde (MARTIN, 1991). Des souches issues de croissements entre deux races pures sont aussi utilisรฉes pour la production de chapon (tableau I).
Temps opรฉratoires
Le chaponnage comprend diffรฉrents temps opรฉratoires.
Contention de lโanimal
Lโanimal est mis dans une position convenable et la procรฉdure habituelle de contention consiste ร attacher les deuxailes et les pattes avec des cordes exerรงant une tension suffisante pour bien exposer la surface de la cage thoracique.
Lโusage dโun anesthรฉsique sur les oiseaux (CASON et al., 1988) pour pouvoir les chaponner bien que toujours discutรฉ, nโest pas obligatoire car avec une bonne contention les oiseaux ne se dรฉbattent pas et ceux-ci nesemblent pas traumatisรฉs par lโopรฉration (CARD et NESHEIM,1972 ; MโKAOUAR et BOUZOUAYA, 2003 ; SEVERIN et al., 2006).
Incisions cutanรฉe et musculaire
Aprรจs avoir enlevรฉ les plumesde la zone dโรฉlection delโopรฉration, lโincision se fait au niveau du dernier espace intercostal entre la 6 รจme et la 7 รจme cรดte, au niveau du tiers supรฉrieur et du tiers moyen. Elle doit รชtre assez profonde pour bien exposer les sacs aรฉriens.
Ponction des sacs aรฉriens
A la suite de lโincision musculaire, les sacs aรฉriens sont visibles et couvrent les intestins et dโautres organes abdominaux.Ils sont ponctionnรฉs afin de mettre ร nu ces organes internes.
Repรฉrage du testicule
Comme il a รฉtรฉ signalรฉ plus haut sur lโanatomie de la volaille, les testicules sont situรฉs en arriรจre des poumons, prรจs de lโextrรฉmitรฉ antรฉrieure des reins, le long de la paroi dorsale. Ainsi repรฉrรฉ, le premier testicule peut รชtre รดtรฉ.
Exรฉrรจse des testicules
Cโest lโacte le plus dรฉlicat de lโopรฉration.Il nรฉcessite beaucoup de concentration et de prรฉcision de la part de lโopรฉrateur pour รฉviter, non seulement de lรฉser lโaorte abdominale, mais aussi dโรฉcraser le testicule. Celui-ci est รดtรฉ par torsion ou bistournage libre. Le manipulateur ร lโaide de sa pince ยซ en cลur ยป tient le testicule au niveau de son pรฉdicule et tourne doucement la pince tout en la tirant vers lโextรฉrieur, jusquโร rupture.
Pour lโexรฉrรจse du deuxiรจme testicule, il suffit de mettre lโanimal sur son autre cรดtรฉ et de procรฉder de la mรชme faรงon. Selon JACOB et MATHER (2000), il serait aussi possible dโenlever les deux testicules par la mรชme incision.
Aprรจs lโopรฉration, il est nรฉcessaire de vรฉrifier que tout le testicule est enlevรฉ car il suffit de quelques cellules restantes pourque celles-ci croissent et produisent des hormones. Lโincision peut รชtre ou non suturรฉe ร lโaide dโun fil rรฉsorbable (LIN et HSU, 2003b) limitant ainsi lโintroduction de corps รฉtranger ร travers la plaie. Compte tenu de la cicatrisation rapide de la plaie, la tendance est ร lโabandon de la suture.
Accidents opรฉratoires et post-opรฉratoires
Bien que le chaponnage soit une opรฉration simple dont le mode opรฉratoire peut รชtre rapidement appris par toute personne, il nโen demeure pas moins trรจs dรฉlicat. Des accidents peuvent donc survenir pendant et mรชme aprรจs lโopรฉration, des complications sont รฉgalement possibles (MโKAOUAR et BOUZOUAYA, 2003).
Accidents opรฉratoires
Hรฉmorragies
Pendant lโopรฉration de chaponnage, les complications essentielles sont reprรฉsentรฉes par les hรฉmorragies, notammentla lรฉsion de lโaorte et la lรฉsion des sinus veineux. Ceci est en majoritรฉ dรป ร la position topographique des testicules, tout prรจs de lโaorte et des veines iliaques. Ces hรฉmorragies entraรฎnent le remplissage des poumons par du sang, mettant en pรฉril la respiration chez leย sujet. Elles aboutissent presque toujours ร la mort de lโanimal quelques minutes aprรจs.
Lรฉsions des poumons
Les poumons peuvent รชtre lรฉsรฉs lorsque le lieu dโรฉlection de lโincision nโa pas รฉtรฉ respectรฉ, cโest-ร -dire lorsque lโincision sโest faite entre la cinquiรจme (5 e ) et la sixiรจme (6 e ) cรดte. Lโouverture de lโรฉcarteur peut รฉgalement รชtre la cause de lโarrachage dโun bout de poumon.
Les consรฉquences de ces deux premiers accidents sont souvent dramatiques, cโest pourquoi, il est recommandรฉ de sacrifier lโanimal dรจs que les signes de suffocation sont observรฉs. Il nโexiste pas un taux de mortalitรฉ ยซ seuil ยป induit par le chaponnage, cependant, selon diffรฉrents auteurs, on peut le situer dans un intervalle de 1- 3% du total des animaux opรฉrรฉs (SEVERIN et al., 2006 ; TOR et al., 2002)
Lรฉsions costales
Des luxations ou des fractures des cรดtes sont souvent consรฉcutives ร une ouverture trop grande de lโรฉcarteur au niveau de lโincision. Les consรฉquences ne sont pas graves, lโanimal sโen remet bien. La luxation delโattache de la derniรจre cรดte favorise, cependant, lโapparition de lโemphysรจme sous-cutanรฉ.
DUREE DโELEVAGE
La durรฉe dโรฉlevage du chapon est aussi variable. Bien que cette durรฉe dโรฉlevage soit fonction de certains facteurs (souche utilisรฉe, objectif de poids ร atteindre…), selon plusieurs auteurs,le chapon requiert une durรฉe dโรฉlevage minimum de 4 – 5 mois, comptรฉs ร partirde lโรฉclosion. Pour dโautres, cette durรฉe peut aller jusquโร 7-8 mois dโรฉlevage (MIGUEL, 2001; TOR et al., 2002; LIN et HSU, 2003b). En France, de maniรจre gรฉnรฉrale, lโรขge minimum dโabattage dโun chapon est de 150 jours soit environ 5 mois.
En ce qui concerne la souche, selon SANDOVAL et al. (2005), les souches lรฉgรจres requiรจrent normalement une pรฉriode dโengraissement de 6 mois pour obtenir un poids vif de 4 kg, en considรฉrant un รขge au chaponnage situรฉ entre 50 et 60 jours. Chez les races semi lourdes, pour obtenir un poids de 4,5 kg, les chapons devront รชtre รฉlevรฉspendant 4 -5 mois.
Le chapon se prรฉsente donc comme รฉtant un produit qui revรชt une certaine importance culturelle et รฉconomique, mais sa production ร lโรฉchelle mondiale nโest pas encore trรจs importante. Lโobtention dโun bon chapon est dรฉterminรฉe par certains facteurs tels, le choix de lasouche, une opรฉration rรฉussie et un bon mode dโรฉlevage. Dans les lignes qui suivent nous prรฉsenterons de maniรจre succincte, les diffรฉrents effets liรฉs au chaponnage.
EFFET SUR LE COMPORTEMENT
La castration gรฉnรจre aussi des changements comportementaux. Le mรขle castrรฉ devient docile et moins actif, il nโa plus dโactivitรฉs sexuelles et lโรฉnergie alimentaire qui normalement se destine ร certaines activitรฉs (bagarre, agressivitรฉ, protection du territoire), est dรฉtournรฉe vers une conversion alimentaire plus efficiente dans la croissance, le dรฉpรดt de gras et lโamรฉlioration de la qualitรฉ de la viande (SANDOVAL et al., 2003; SEVERIN et al., 2006).
On note aussi des changements au niveau de la voix. Le chapon รฉmet peu ou pas de son, on nโentend plus le ยซ chant du coq ยป (CHEN et al., 2006b).
EFFET SUR LA CROISSANCE ET LA CONSOMMATION ALIMENTAIRE
POIDS
Divers auteurs ont dรฉcrit chez les chapons ร la fin de leur รฉlevage, des poids vifs trรจs variables selon la race, lโรขge et le poids au chaponnage (VILLA et al., 2001), ainsi que les conditions gรฉnรฉrales dโรฉlevage durant la pรฉriode dโengraissement (type et mode dโapprovisionnement en aliment, contrรดle de lโenvironnement, etc.). Lโeffet du chaponnage sur le poids vif nโest pas trรจs clair, car dans la littรฉrature on note chez certaines auteurs un effet positif (CHEN et al., 2006a ; LIN et HSU, 2006b) et chez dโautres un effet nรฉgatif (SEVERIN et al. 2006). Certains auteurs comme CASTILO et al. (2004) nโont notรฉ aucun effet sur le poids vif. Cependant, le chapon aurait un gain de poids รฉlevรฉ, plus marquรฉ dans la derniรจre phase de croissance (CHEN et al., 2006a ; CASTILLO et al., 2004).
CONSOMMATION DโEAU ET DโALIMENT
La littรฉrature renseigne peu sur les effets du chaponnage sur la consommation dโeau et dโaliment. Cependant, selon CASTILLO et al. (2004) et CHEN et al. (2006a), la consommation dโeau et dโaliment pendant lโengraissement des chapons est sujette ร lโaction des mรชmes facteurs qui conditionnent le poids corporel. Le chaponnage nโa pas une influence notable sur la consommation alimentaire et dโeau, mais amรฉliorelโefficacitรฉ alimentaire ou conversion alimentaire. En effet, du fait de la moindre activitรฉ des chapons, lโรฉnergie alimentaire utilisรฉe en gรฉnรฉral dans les activitรฉs telles la bagarre, la protection du territoire et les activitรฉs sexuelles, serait rรฉorientรฉe vers la conversion alimentaire. Ainsi, les chapons valoriseraient mieux les aliments quโils consomment.
EFFET SUR LES CARACTERISTIQUES DE CARCASSE
POIDS CARCASSE ET LE GRAS
Le chaponnage nโa pas dโeffet notable sur le poids de la carcasse (TOR et al., 2002 ; CASON et al., 1988). La couleur de la peau nโest pas aussi influencรฉe (CASON et al., 1987), car sa pigmentation nโest pas rรฉgulรฉe par les hormones sexuelles.
La consรฉquence principale du chaponnageest donc lโaccumulation de lipides.
En effet, on note chez le chapon un poids รฉlevรฉ du gras abdominal, du gras souscutanรฉ et du gras intermusculaire (TORet al, 2005 ; CHEN et alโฆ, 2006). Le mรฉcanisme de lipogenรจse aprรจs chaponnage nโest pas dรฉcrit dans la littรฉrature et demeure peu clair. Cependant, comme lโindique HSIEH et al. (2001) citรฉ par CHEN et al. (2005), lโaccumulation des lipides est attribuรฉe ร lโaugmentation de la capacitรฉ de lipogenรจse hรฉpatique et donc lโaugmentation de la concentration sanguine en lipides. Des analyses รฉlectrophorรฉtiques des lipoprotรฉines du sang montrent que les chapons prรฉsentent des proportions delipoprotรฉines altรฉrรฉes et ont ainsi dans leursรฉrum des dysfonctionnements au niveaudes mรฉcanismes de transport des protรฉines. Toutefois, le chaponnage nโinfluence pas la qualitรฉ et la digestibilitรฉ des graisses.
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Table des matiรจres
INTRODUCTION
PREMIERE PARTIE : SYNTHESE BIBLIOGRAPHIQUE
CHAPITRE I : GENERALITES SUR LA VOLAILLE
1.1- BIOLOGIE DE LA VOLAILLE
1.1.1- RAPPELS ANATOMIQUES DE LA VOLAILLE
1.1.1.1- Squelette
1.1.1.2- Appareil respiratoire
1.1.1.2.1- Cavitรฉs nasales
1.1.1.2.2- Pharynx
1.1.1.2.3- Larynx
1.1.1.2.4- Trachรฉe
1.1.1.2.5-Poumons
1.1.1.2.5.1- Arbre aรฉrifรจre
1.1.1.2.5.2- Sacs aรฉriens
1.1.1.3 Appareil gรฉnital mรขle
1.1.1.3.1 Testicules
1.1.1.3.2 Epididyme
1.1.1.3.3 Conduit dรฉfรฉrent
1.1.1.3.4 Appareil copulateur
1.1.2- RELATION ENTRE SYSTEME NERVEUX, SYSTEME ENDOCRINIEN ET SYSTEME REPRODUCTEUR
1.1.3- ROLE DES ANDROGENES
1.1.3.1- Caractรจres sexuels secondaires et comportement sexuel
1.1.3.2- Muscle
1.1.3.3-Os
CHAPITRE II : PRODUCTION DE CHAPON
2.1- DEFINITION ET CARACTERISTIQUES DU CHAPON
2.2- IMPORTANCE
2.2.1.- IMPORTANCE SOCIO-CULTURELLE
2.2.2- IMPORTANCE ECONOMIQUE
2.3-TECHNIQUES DE CHAPONNAGE
2.3.1-CHOIX DES ANIMAUX
2.3.1.1- Critรจres gรฉnรฉraux
2.3.1.1.1- Espรจces
2.3.1.1.2- Souches
2.3.1.2- Critรจres individuels
2.3.1.2.1- Poids
2.3.1.2.2- Age au chaponnage
2.3.1.2.3 -Etat gรฉnรฉral
2.3.2-MODES OPERATOIRES
2.3.2.1-Temps opรฉratoires
2.3.2.1.1- Contention de lโanimal
2.3.2.1.2-Incisions cutanรฉe et musculaire
2.3.2.1.3-Ponction des sacs aรฉriens
2.3.2.1.4-Repรฉrage du testicule
2.3.2.1.5-Exรฉrรจse du testicule
2.3.2.2-Accidents opรฉratoireset post-opรฉratoires
2.3.2.2.1-Accidents opรฉratoires
2.3.2.2.1.1- Hรฉmorragies
2.3.2.2.1.2- Lรฉsions des poumons
2.3.2.2.1.3-Lรฉsions costales
2.3.2.2.2-Accidents post-opรฉratoires
2.3.2.2.2.1- Emphysรจme sous-cutanรฉ
2.3.2.2.2.2- Persistance dโun fragment de testicule dans la cavitรฉ
2.3.2.2.2.3- Boiteries
2.3.2.2.2.4- Complications septiques
2.4- ELEVAGE DES CHAPONS
2.4.1- ALIMENTATION
2.4.2-DUREE DโELEVAGE
CHAPITRE III : EFFETS DU CHAPONNAGE SUR LABIOLOGIE DE LA VOLAILLE
3.1- EFFET SUR lโASPECT EXTERIEUR
3.2- EFFET SUR LECOMPORTEMENT
3.3- EFFET SUR LA CROISSANCE ET LA CONSOMMATION ALIMENTAIRE
3.3.1-POIDS
3.3.2-CONSOMMATION DโEAU ET DโALIMENT
3.4- EFFET SUR LESCARACTERISTIQUES DE CARCASSSE
3.4.1-POIDS CARCASSE ET LE GRAS
3.4.2-VISCERES
3.5- EFFET SUR LES OS
3.6- EFFET SUR LE MUSCLE ETLA QUALITE DE LA VIANDE
DEUXIEME PARTIE : ETUDE EXPERIMENTALE
CHAPITRE I : MATERIEL ET METHODES
1.1- SITE ET PERIODE DE TRAVAIL
1.2 MATERIEL
1.2.1- ECHANTILLONAGE DES ANIMAUX
1.2.2- BATIMENT DโELEVAGE
1.2.3- MATERIEL DE CHAPONNAGE
1.2.4- MATERIEL DโELEVAGE ET DE CONTROLE DES PERFORMANCES
1.3- CONDUITE DES ANIMAUX
1.3.1- ELEVAGE DES POUSSINS DโUN JOUR A LโAGE AU CHAPONNAGE
1.3.1.1- Prรฉparation dโun local
1.3.1.2- Mise en place des animaux
1.3.1.3- Plan deprophylaxie
1.3.1.4- Alimentation
1.3.2- ELEVAGE DE LโAGE AU CHAPONNAGE A LโABATTAGE
1.3.2.1- Miseen lots
1.3.2.2- Mรฉthode de chaponnage
1.3.2.2.1- Phase prรฉ-opรฉratoire
1.3.2.2.2- Phase opรฉratoire
1.3.2.2.3- Prophylaxiepost-opรฉratoire
1.3.2.3-Alimentation
1.3.2.4- Abattagedes coquelets
1.4- COLLECTES DES DONNEES
1.4.1-SUR LES ANIMAUX VIVANTS
1.4.1.1- Poids vif
1.4.1.2- Consommation dโaliment
1.4.2- SUR LES ANIMAUX APRES ABATTAGE
1.4.2.1-Poids carcasse
1.4.2.2- Taille de la crรชte et des barbillons
1.4.2.3- Poids des viscรจres
1.4.3- DETERMINATION DES VARIABLES ZOOTECHNIQUES
1.4.3.1-Gain moyen quotidien
1.4.3.2- Indice deconsommation
1.4.3.3- Taux de mortalitรฉ
1.4.3.4-Rendement carcasse
1.5- ANALYSES STATISTIQUES
CHAPITRE II-RESULTATSET DISCUSSION
2.1- RESULTATS
2.1.1- EFFET DU CHAPONNAGE SUR LA CROISSANCE
2.1.1.1- Poids vif
2.1.1.2-Vitesse de croissance
2.1.2- EFFET DU CHAPONNAGE SUR LE CONSOMMATION ET LโEFFICACITE ALIMENTAIRE
2.1.3- EFFET DU CHAPONNAGE SUR LESCARACTERIQTIQUES DE CARCASSE
2.1.4- EFFET DU CHAPONNAGE SUR LE DEVELOPPEMENT DES APPENDICES
2.1.5- EFFET DU CHAPONNAGE SUR LA MORTALITE
2.1.6- ASPECT ECONOMIQUE
2.2- DISCUSSION
2.2.1-METHODOLOGIE
2.2.2-EFFET DU CHAPONNAGE SUR LA CROISSANCE
2.2.3-EFFET DU CHAPONNAGE SUR LA CONSOMMATION ET EFFICACITE
ALIMENTAIRE
2.2.4-EFFET DU CHAPONNAGE SUR LESCARACTERISTIQUES DE CARCASSE
2.2.5-EFFET DU CHAPONNAGE SUR LE DEVELOPPEMENT DES APPENDICES
2.2.6- EFFET DU CHAPONNAGE SUR LA MORTALITE
2.2.7- ANALYSE ECONOMIQUE DE LโEFFET DU CHAPONNAGE SUR LA PRODUCTIVITE
2.3- RECOMMANDATIONS
2.3.1- RECOMMANDATIONS EN DIRECTION DES ELEVEURS
2.3.2-RECOMMANDATIONS EN DIRECTION DE LโETAT
2.3.3-RECOMMANDATIONS EN DIRECTION DES INSTITUTIONS DE FORMATION ET DE RECHERCHE
2.3.4-RECOMMANDATIONS EN DIRECTION DES ONG
CONCLUSION GENERALE
REFERENCES BIBLIOGRAPHIQUES