EFFETS DE L’ACIDE HYALURONIQUE SUR LES RIDES

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La couche cornée

Le Stratum corneum ou couche cornée est la partie la plus superficielle de l’épiderme et constitue l’interface entre l’organisme et le milieu extérieur. C’est une couche très fine, son épaisseur varie généralement entre 8 et 20μm, mais elle peut être beaucoup plus importante au niveau de la paume des mains et de la plante des pieds, par exemple [4-6].
La couche cornée est le résultat final de la différenciation kératinocytaire. Les kératinocytes arrivent à ce niveau-là ne possèdent plus de noyaux, d’organites et de granulations, on parle alors de cornéocytes. Ce sont des cellules aplaties, remplies de kératine, et dont la membrane s’est épaissit.
En effet, de l’extérieur, une couche lipidique double la membrane. De l’intérieur, elle se borde d’une coque protéique rigide et résistante, c’est la cornification. Durant cette phase, les liaisons covalentes se créent entre des protéines (involucrine, loricine et cornifine principalement) formant un véritable squelette au cornéocytes, ce qui permet d’assurer la grande résistance mécanique de la couche cornée [3-4-6].
On distingue deux parties dans la couche cornée :
– La couche compacte ou stratum compactum succède à la couche granuleuse et comprend des cornéocytes étroitement liés par des cornéodesmosomes. Ceux-ci proviennent de l’association d’une protéine structurale, la cornéodesmososine, aux parties extracellulaires des desmosomes de la couche granuleuse. La cohésion inter-cornéocytaire est par ailleurs renforcée pas les lipides déversés par les kératinocytes de la couche inférieure. Ces lipides présentent une organisation lamellaire, ce qui est indispensable pour que les espaces intercellulaires de la couche cornée soient relativement imperméables [3-6].
– La couche desquamante ou Stratum disjonctum est caractérisée par la destruction des membranes cornéocytaires et la dégradation des cornéodesmosomes sous l’action d’enzymes spécifiques ; c’est la zone de desquamation des cellules cornées [3].
La couche cornée représente donc un élément structural clé de l’épiderme puisqu’elle joue un rôle décisif dans la fonction de barrière de l’épiderme. En effet, le Stratum corneum est à l’origine du caractère imperméable de la peau, ce qui limite les pertes hydriques. De plus, le phénomène de desquamation, associé au pH acide, contribue à l’élimination régulière de micro-organismes potentiellement pathogènes [6].

La jonction Dermo-Epidermique

La jonction dermo-épidermique (JDE) se situe à la limite entre l’épiderme et le derme. Elle est constituée entre autres d’hémidesmosomes qui assurent la cohésion des kératinocytes basaux à la matrice extracellulaire du derme. C’est un lieu d’échange entre ces deux couches.

Le derme

Le derme est situé sous la lame basale de l’épiderme. C’est un tissu conjonctif de soutien dont la surface est irrégulière : elle présente de nombreuses papilles dermiques qui s’imbriquent avec des projections de l’épiderme (Figure 4), ce qui permet la cohésion et la solidité des différentes couches de cellules. La disposition en invagination du derme permet d’augmenter la surface de jonction entre l’épiderme et le derme et ainsi de s’adapter aux étirements. Les papilles dermiques constituent la couche papillaire, un tissu conjonctif lâche et fin, riche en cellules immunitaires, en fibroblastes, cellules productrices du collagène et de l’élastine, et en mécanorécepteurs. La matrice du derme contient, en faible proportion, des fibres de collagène, de réticuline et des fibres élastiques disposées perpendiculairement par rapport à la surface de la peau [7].
Contrairement à l’épiderme, le derme papillaire est vascularisé et innervé. La vascularisation permet la nutrition de l’épiderme et l’apport de cellules de défense comme les lymphocytes. On y trouve également les annexes cutanées, tels que les poils, glandes sébacées et glandes sudoripares [8].
Sous la couche papillaire se trouve le derme réticulaire, un tissu conjonctif épais et dense, plus riche en fibres que le derme papillaire mais plus pauvres en cellules. Les fibres de collagène épaisses et les fibres élastiques s’entrecroisent dans toutes les directions dans des plans parallèles à la surface de la couche la plus externe de la peau, lui procurant ainsi sa densité et son épaisseur. Le derme réticulaire est continu avec l’hypoderme, l’architecture cellulaire se modifie progressivement pour aboutir au tissu adipeux de l’hypoderme [9].
La substance fondamentale matricielle du derme contient des protéoglycanes (PG) et des glycosaminoglycanes (GAG) qui comblent les espaces entre les différentes fibres précédemment citées. Les glycosaminoglycanes se lient aux protéoglycanes pour former de longues chaines polysaccharidiques occupant un volume important et attirent l’eau par osmose. Les principaux glycosaminoglycanes du derme sont l’acide hyaluronique (50% des glycosaminoglycanes), le dermatane-sulfate, la chondroïtine-sulfate et l’héparane-sulfate [10].

L’hypoderme

L’hypoderme est la couche la plus profonde de la peau et constitue 15 à 20% du poids corporel. Situé au-dessous du derme réticulaire, c’est un réseau de cellules graisseuses (adipocytes) qui sont regroupées sous forme de lobules et attachées au derme par des fibres de collagène et d’élastine. On y trouve aussi des fibroblastes et des macrophages. Elle agit comme isolant thermique, protège contre les chocs et constitue aussi un réservoir énergétique et relie la peau au tissus sous cutanée (tels les muscles et l’os) tout en permettant le mouvement [1].

Les annexes

Les annexes cutanées regroupent des glandes cutanées et des phanères. Les glandes cutanées sont les glandes sudoripares eccrines, les glandes sudoripares apocrines et les glandes sébacées. Les phanères sont les poils, les cheveux et les ongles, des productions épidermiques protectrices très fortement kératinisées.
Les glandes sébacées sont annexées aux poils constituant ainsi le follicule pilosébacé (Figure5). Elles sécrètent le sébum, mélange de lipides, de triglycérides, d’acides gras et d’esters que les cellules de l’épiderme de surface ne produit pas et qui les protège des agressions extérieures [11].
Les glandes sudoripares apocrines sont annexées aux follicules pilosébacés.
Elles ont une sécrétion opaque lipidique et alcaline. La sécrétion est de type apocrine, c’est à dire que la sécrétion de la glande est expulsée dans des vésicules via un canal excréteur qui débouche dans le follicule pilo-sébacé, en aval de la glande sébacée et permettant ainsi aux sécrétions de parvenir jusqu’à la surface de l’épiderme. Les glandes sudoripares apocrines ne sont présentes que sur certaines parties du corps : les creux axillaires, les régions anogénitales, les paupières (glandes de Moll), la région aréolaire et les conduits auditifs externes (glandes cérumineuses) [12]. Les glandes sudoripares eccrines sont indépendantes des poils et s’ouvrent directement à la surface de la peau : la partie sécrétrice de la glande, appelée « glomérule sudoripare », se situe au niveau de la jonction dermo-hypodermique et se poursuit par des canaux traversant le derme et l’épiderme où ils s’abouchent par un pore (Figure 5). Les glandes sudoripares eccrines sont situées sur tous les téguments du corps et élaborent la sueur, liquide constitué d’eau et d’électrolytes, tels que l’urée, les sels minéraux ou des acides organiques [1].
Les sécrétions sudorales, ou sueur, sont initialement inodores, elles acquièrent une odeur à la surface de l’épiderme par oxydation sous l’action des enzymes de la flore microbienne résidente. La sueur intervient dans le processus de transpiration et joue un rôle important pour la thermorégulation du corps [2].

Fonctions de la peau

Fonction de barrière-protection vis-à-vis du milieu extérieur

La peau constitue la première défense de l’organisme vis-à-vis des agressions extérieures, qu’elles soient physiques, chimiques ou microbiennes.
Contre les agressions mécaniques, la peau assure une protection souple et efficace à trois niveaux :
– la couche cornée, formée d’une solide barrière de kératine continue et rendue imperméable par la juxtaposition des membranes des cornéocytes, soudées entre eux par le sébum,
– les fibres du derme (collagène, élastine et réticuline) associées à la substance fondamentale fluide environnante et à ses glycosaminoglycanes possèdent des propriétés viscoélastiques. D’une part la peau présente un comportement visqueux grâce au déplacement de la matrice de substance fondamentale au sein du réseau de fibres. D’autre part les fibres lui confèrent une propriété d’élasticité, elles peuvent s’étirer et reprendre ensuite leur forme initiale [13].
– l’ensemble formé par les fibres et la substance fondamentale permettent à la peau de rester souple et de revenir en place après étirement,
– le coussin graisseux de l’hypoderme, jouant un rôle d’amortisseur, protège les muscles et les os sous-jacents contre les chocs et les pressions [14].
Le film hydrolipidique déposé à la surface du stratum corneum est une émulsion d’acides gras, de triglycérides et d’électrolytes dans une phase aqueuse. Des produits de dégradation des kératinocytes issus de la desquamation sont également présents à la surface de l’épiderme. L’ensemble des constituants de ce film permet la protection contre les agents chimiques et pathogènes.
D’une part, la desquamation permanente des cornéocytes de l’épiderme empêche l’adhésion de micro-organismes pathogènes sur la peau (Tableau I).
D’autre part, la surface de la peau est acide : son pH est compris entre 5,2 et 7,0 chez l’adulte et s’approche de la neutralité chez le nourrisson. Cette acidité cutanée est liée aux sécrétions sudoripares et à la présence d’acides gras [15]. Ce pH acide créé une première ligne de défense face aux micro-organismes pathogènes en empêchant le développement de certains germes non acidophiles et permet la sélection des microorganismes bactériens et mycologiques constituant la flore résidente ou saprophyte : staphylococcus epidermidis, corynébactérium, propionibacterium, malassezia…) [16].
L’adhésion et le développement de micro-organismes pathogènes sont aussi limités par la flore microbienne saprophyte de la surface de la peau, s’opposant au développement de la flore pathogène (streptococcus, staphylococcus aureus…) par plusieurs mécanismes, présentés dans le (tableau I) : sécrétion d’agents inhibiteurs (bactériocines, métabolites toxiques), modification du pH, compétition par une même substance nutritive et inhibition de l’adhérence de certains germes à la peau, production d’acides gras et d’antibiotiques [17].
La flore saprophyte de la peau doit alors être respectée afin de maintenir son intégrité et lui permettre d’assurer sa fonction protectrice. Par ailleurs, la flore bactérienne joue un rôle clé dans l’élaboration du sébum : elle lui permet d’acquérir ses acides gras par l’action des lipases bactériennes sur les triglycérides produits par le follicule pilosébacé [18].

Thermorégulation

L’homme est un homéotherme, c’est-à-dire que sa température corporelle est indépendante de la température extérieure. Dès lors, il doit user de mécanismes biologiques pour la maintenir. La thermorégulation est la capacité de l’organisme à maintenir la température corporelle à un niveau constant afin de permettre aux activités métaboliques et cellulaires de s’effectuer. La température optimale du corps humain est située entre 36.1 et 37.8°C, ce qui représente les conditions idéales pour les activités physiologiques, notamment enzymatiques [2].
La chaleur corporelle provient des activités métaboliques des différents organes et tissus et est régulée par l’innervation autonome des systèmes sympathique et par l’hypothalamus, le centre du contrôle de l’équilibre thermogénèse/thermolyse [19]. Il reçoit des informations complémentaires des thermorécepteurs de la peau et de la moelle épinière.
Lorsque la température corporelle s’élève, le processus de thermolyse se produit. Le centre hypothalamique de thermogénèse, situé dans la partie postérieure de l’hypothalamus, est inhibé et le centre de thermolyse, situé dans la partie postérieure, est activé.
Sous l’action du système sympathique, deux phénomènes se produisent : d’une part une vasodilatation périphérique, qui permet au sang chaud d’envahir les vaisseaux de la peau, et d’autre part la stimulation des glandes sudoripares. Au niveau du système vasculaire, la chaleur est dissipée à travers la peau par trois mécanismes d’échanges de chaleur :
– La radiation : la peau dissipe sa chaleur par l’émission d’un rayonnement dans le milieu ambiant,
– la conduction : le contact direct avec des surfaces plus froides que la peau lui permet d’évacuer de la chaleur,
– la convection : l’air échauffé au contact de la peau devient plus léger que l’air ambiant plus froid et est évacué et remplacé par de l’air plus frais [20].
Le sang refroidi regagne ensuite la circulation générale. Au niveau des glandes sudoripares, la production de sueur augmente, permettant ainsi une évacuation de chaleur grâce à l’évaporation : l’eau absorbe de la chaleur avant d’être vaporisée et permet ainsi une déperdition calorifique [21]. Lorsque la température corporelle s’abaisse, le centre de la thermogénèse est activé. Au niveau du système vasculaire périphérique, une vasoconstriction a lieu : le sang circule alors très peu au niveau des vaisseaux sous-cutanés et est détourné vers les régions centrales, éloigné de l’environnement froid. Les glandes sudoripares évacuent peu ou pas d’eau afin de limiter les pertes calorifiques [22]. On retrouve également le mécanisme de conduction dans la défense contre les pertes de chaleur grâce à une réaction réflexe des muscles horripilateurs des poils : leur contraction a pour effet de dresser les poils à la surface du corps et de créer ainsi une fine couche d’air chaud emprisonné entre les poils. Cependant, chez l’homme, la diminution de la pilosité durant l’évolution a rendu ce mécanisme peu efficace, peu d’air étant effectivement emprisonné par les poils [20].

Rôle sensoriel

Le système nerveux cutané constitue une partie du système nerveux périphérique (SNP). En contact direct avec l’environnement extérieur, la peau est un organe sensoriel majeur. Le système nerveux cutané reçoit et répond continuellement à une multitude de stimuli physiques (thermique, mécanique, électrique, rayonnement UV), chimiques ou endogènes, issus de la circulation sanguine ou en réaction à des stress émotionnels.
Deux systèmes d’innervations distincts sont présents dans la peau : le système autonome et le système sensoriel.
Nous avons vu précédemment que l’innervation cutanée autonome est placée sous le contrôle des systèmes sympathique et parasympathique. Ces fibres nerveuses autonomes constituent une minorité des fibres nerveuses de la peau et sont localisées principalement dans le derme, où elles innervent les vaisseaux sanguins et lymphatiques, les muscles érecteurs du poil, les glandes apocrines, les glandes eccrines et les follicules pileux.
Le système sensoriel cutané intervient dans la somesthésie, système de collecte toutes les informations sensorielles provenant du corps. Les terminaisons nerveuses de la peau sont classées en fonction des stimuli auxquelles elles répondent : les mécanorécepteurs répondent aux stimuli mécaniques, les thermorécepteurs aux stimuli thermiques et les nocicepteurs aux stimuli douloureux [23].
Les mécanorécepteurs tactiles peuvent être divisés en quatre sous-groupes : les corpuscules de Meissner, les corpuscules de Pacini, les disques de Merkel et les corpuscules de Ruffini. Tous sont des récepteurs de haute sensibilité, c’est-à-dire qu’un potentiel d’action sera généré en réponse à de très faibles stimuli.
Les corpuscules de Meissner sont les plus communs des mécanorécepteurs. Retrouvés presque exclusivement sur la peau glabre, ils représentent 40% de l’innervation totale de la main [23]. Histologiquement, ils sont situés au niveau des papilles dermiques (figure 6) et sont sensibles aux vibrations. Les corpuscules de Pacini, situés dans l’hypoderme de la peau glabre, répondent également aux stimuli vibratoires mais s’adaptent plus rapidement que les corpuscules de Meissner et ont un seuil de réponse plus bas.
Les corpuscules de Ruffini sont localisés dans le derme de la peau glabre ou velue et répondent préférentiellement à la pression et à l’étirement de la peau. Ils peuvent répondre à la fois à des stimuli externes et à des stimuli internes, tels que l’étirement de la peau engendrée par une contraction musculaire [24].
Les disques de Merkel sont présents à la jonction dermo-épidermique, juste au-dessus des papilles dermiques. Ces récepteurs induisent une réponse lente à la pression [25].

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Table des matières

INTRODUCTION
PARTIE A : PHYSIOLOGIE DE LA PEAU ET SON VIEILLISSEMENT
I. RAPPELS PHYSIOLOGIQUES
1. Structure générale
1.1. L’épiderme
1.1.1. La couche basale ou germinative
1.1.2. La couche épineuse
1.1.3. La couche granuleuse
1.1.4. La couche cornée
1.2. La jonction Dermo-Epidermique
1.3. Le derme
1.4. L’hypoderme
1.5. Les annexes
2. Fonctions de la peau
2.1. Fonction de barrière-protection vis-à-vis du milieu extérieur
2.2. Thermorégulation
2.3. Rôle sensoriel
2.4. Synthèse de la Vitamine D
2.5. Impact socioculturel et esthétique de l’aspect de la peau
II. LE VIEILLISSEMENT DE LA PEAU
1. Vieillissement chronologique ou intrinsèque
2. Vieillissement cutané extrinsèque
2.1. Nutrition
2.2. Stress oxydant
2.3. Exposition au soleil : Le photo vieillissement
2.4. Tabac et autres addictions
2.5. Polluants atmosphériques
3. Vieillissement cutané hormonal
III. LES RIDES
I. INTRODUCTION
1. Formule et classification
2. Répartition dans l’organisme
4. Les méthodes d’obtention de l’acide hyaluronique
4.1. L’extraction tissulaire
4.2. La biotechnologie : la fermentation bactérienne
5. Les propriétés de l’acide hyaluronique
5.1. Propriétés hygroscopiques primordiales
5.2. Propriétés viscoélastiques majeures
5.3. Propriétés antioxydantes
6. Les différents domaines d’utilisations de l’acide hyaluronique
6.1. Cosmétique
6.2. Esthétiques
6.3. Pathologies articulaires
6.4. Ingénierie tissulaire
6.5. Agent de transport pharmacologique
6.6. Ophtalmologie
II. EFFETS DE L’ACIDE HYALURONIQUE SUR LES RIDES
1. Les modes d’action sur les rides
1.1. L’acide hyaluronique dans la peau
1.2. Acide hyaluronique et vieillissement cutané
2. Les modes d’administration de l’acide hyaluronique
2.1. Applications cosmétiques
2.1.1. Définition d’un produit cosmétique
2.1.2. Les principales catégories de produits cosmétiques
2.1.2.1. Classification selon la topographie
2.1.2.2. Classification selon la catégorie
2.1.3. Limite avec le médicament
2.1.4. Propriétés cosmétiques de l’acide hyaluronique
2.2.1. Les différents produits injectables de comblement et leurs indications
2.2.2. Précautions d’emploi et effets indésirables
2.3. Les compléments alimentaires
III. REGLEMENTATION – MISE SUR LE MARCHE D’UN PRODUIT COSMETIQUE A BASE D’AH
1. Règlement (CE) 1223/2009
2. Les conditions de commercialisation d’un produit cosmétique
2.1. Dans le cas d’une fabrication locale
2.2. Dans le cadre d’une importation
3. Contenu du dossier de demande d’homologation d’un produit cosmétique
4. Respect des bonnes pratiques de fabrication et de laboratoire
4.1. L’étiquetage des produits cosmétiques
4.2. La procédure d’octroi d’une autorisation de commercialisation d’un produit cosmétique
5. Cas d’un produit cosmétique anti-âge contenant de l’acide hyaluronique
6. Les différents produits à base d’acide hyaluronique vendues en officine
6.1. Laboratoire Uriage
6.2. Laboratoire Avène
6.3. Laboratoire Lierac
6.4. Laboratoire La Roche Posay
6.5. Laboratoire Nuxe
CONCLUSION
BIBLIOGRAPHIE

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