Effet du traitement sur l’évolution pondérale des animaux 

RAPPELS ANATOMO-HISTOLOGIQUE DES TESTICULES

Anatomie des testicules

Position

Les testicules sont des organes pairs, ovoïdes chez les grandes espèces et le lapin, et plutôt sphériques chez les petites espèces.
Chez les Mammifères, les testicules d’abord en position intra-abdominale migrent de l’avant vers l’arrière pour se retrouver dans un petit diverticule de la cavité abdominale: le scrotum. Cette position extra-abdominale permet la spermatogenèse à une température inférieure à la température corporelle.
La migration des testicules s’opère à des périodes différentes suivant l’espèce ; elle est précoce chez les ruminants (5ème mois de la gestation), plustardive chez les carnivores (3ème semaine après la naissance) et chez le porc (3ème mois de l’existence)(33).
Les testicules des Oiseaux sont intra-abdominaux ; en avant des reins de part et
d’autre de l’aorte. Ils sont au contact des sacsaériens, si bien que leur température est,
malgré tout, inférieure à la température centrale. (6)

Structure interne

Les lobules spermatiques

Le lobule spermatique est délimité par : l’albuginée périphérique, les cloisons latérales, le corps de Highmore au sommet, formant la charpente conjonctive, riche en fibres de collagène(36).

PHYSIOPATHOLOGIE DE L’ACTIVITE TESTICULAIRE

A l’intérieur on distingue 

9 les tubes séminifères : épithélium pluristratifié reposant sur une lame basale; la lumière des tubes est irrégulière et contient des spermatozoïdes;
9 la glande interstitielle: petits massifs cellulaires formés de cellules polyédriques, acidophiles : les cellules de Leydig ;
9 le stroma : tissu conjonctif lâche entourant les tubes séminifères et les cellules de Leydig, associé à denombreux capillaires sanguins et lymphatiques(90).

Les tubes séminifères

Les tubes séminifères sont au nombre de 2 à 4 par lobules(90) ; ils sont circonvolutionnés et forment souvent entre eux des boucles anastomotiques (1500 à 3000 ųm de diamètre – 0,3 à 1,5 m de long) qui se réunissent pour former les tubes droits au sommet des lobules.
Plusieurs tuniques entourent l’épithélium séminifère :
9 la lame basale sur laquelle reposent les cellules épithéliales ;
9 une couche de tissu dont les fibresont des orientations variées ;
9 une assise de cellules fusiformes à propriétés contractiles : les cellules myoïdes;
9 un stroma conjonctif riche en capillaires sanguins et lymphatiques.
Les tubes séminifères sont constitués par un épithélium stratifié spécialisé : l’épithélium séminifère ou épithélium germinal, comprenant, les cellules de Sertoli et les cellules germinales capables de proliférer et de subir une maturation de la périphérie vers la lumière du tube séminifère(18,22,53).

Cellules de la lignée germinale

Les cellules de la lignée germinale sont constituées par l’ensemble de cellules dérivant des cellules souches, les spermatogonies, pour aboutir aux spermatozoïdes.
Les spermatogonies ( 2n chromosomes)situéesà la périphérie du tube séminifère contre la lame basale, se distinguent en trois types :
9 Spermatogonie Ad (Dark type A) : 12 ųm de diamètre, noyau arrondi à chromatine très basophile finement granuleuse ( poussiéreuse) et nucléole situé contre la membrane nucléaire ;
9 Spermatogonie Ap (Pale type A) : noyau faiblement basophile, à chromatine finement granuleuse ;
9 Spermatogonie B ou spermatogonie croutelleuse : noyau à chromatine condensée en amas, contre la membrane nucléaire très basophile, nucléole en position centrale.(43,84,11)
Ces spermatogonies se transforment successivement en spermatocytes I , II puis en spermatides(schémas I).
Spermatocyte de 1 er ordre ( 2n chromosomes) Grande cellule ovalaire, lenoyau contient une chromatine en motte régulièrement répartie et un nucléole. Cette cellule subit la première version de laméiose : mitose réductionnelle, caractérisée par une prophase très longue dont le stade est pachytène; aussi observe-t-on souvent ce stade correspondant à la forme auxocyte, grande cellule à cytoplasme peu coloré, à noyau volumineux renfermant des chromosomes épais, appariés, régulièrement répartis.

Spermatocyte de 2ème ordre ou spermatocyte II ( n chromosomes)

Cellule haploïde, de petite taille 8 à 9 ųm de diamètre, issue de la mitose réductionnelle. Le noyau possède une chromatine granuleuse faiblement colorée.
Spermatides ( n chromosomes) Cellules issues de la 2 ème version de la méiose : mitose équationnelle. Elles sont situées près de la lumière du tube séminifère. De forme allongée,de petite taille, les spermatides possèdent un noyau péri-coloré avec un nucléole volumineux.
Ces cellules ne se divisent plus mais vont se transformer en spermatozoïdes, c’est la spermiogenèse(5,31,48,91).

Cellules de sertoli

Ce sont des cellules prismatiques dont le corps cellulaire occupe toute la hauteur de la paroi du tube séminifère, et émettent de fins prolongements cytoplasmiques qui entourent les cellules germinales(18).
Le noyau, situé en région basale, ovalaire ou triangulaire possède une chromatine poussiéreuse et de volumineux nucléoles.
Le pôle basal comporte un réticulum endoplasmique lisse bien développé, des mitochondries sphériques ou allongées, des inclusions lipidiques, du glycogène(22).
L’appareil de Golgi est important et leréticulum endoplasmique granulaire est disposé autour des inclusions lipidiques. Les portions moyennes et spirales de la cellule contiennent des microtubules et des microfilaments.
Les cellules de Sertoli sont réunies entre elles par des jonctions étanches localisées à la partie basale(22).

les voies spermatiques intra-testiculaires

Elles réalisent la jonction entre l’extrémité des tubes séminifères et le début de l’épididyme.
La zone de transition entre letube séminifère et le tubedroit est formée par un cour segment tubulaire de calibre réduit dont laparoi est constituée par des cellules de Sertoli modifiées qui pourraient jouer un rôlede valvules. Les tubes droits s’ouvrent dans un réseau de canalicules anastomosés quiforme la partie profonde (mediastinale) du rété téstis(77,90).
La partie terminale des tubes séminifères est caractérisée par la disparition progressive des cellules germinales, seules les cellules de Sertoli persistent.
Les tubes droits et le rété téstis sont bordés par un épithélium simple, cubique ou prismatique(84).

Vascularisation et innervation des testicules

Vascularisation des testicules

Les testicules sont suspendus dans le scrotum à l’extrémité du cordon spermatique.
Celui-ci est engainé par une tunique fibreuse recouverte sur un côté par le muscle crémaster, sensible à la température. Il renferme un complexe vasculaire constitué par l’artère testiculaire et les veinestesticulaires et épididymaires(83).
L’artère, très pelotonnée à son extrémité distale se divise en branches terminales qui parcourent l’albuginée et les cloisons inter lobulaires. Les veines se regroupent au pôle dorsal du testicule pour former le plexus pampiniforme étroitement appliqué sur l’artère testiculaire. Des vaisseaux lymphatiques en provenance du testicule et de l’épididyme et des filets nerveux sont disposés à la périphérie du complexe vasculaire.
Le cordon spermatique renferme en outre le canal déférent accompagné de l’artère et des veines déférentielles et logés dans un diverticule séparé du péritoine.
Le débit sanguin testiculaire apparaît faible. Aussi toute augmentation du métabolisme ou de la température qui n’est pas accompagnée d’une augmentation du débit sanguin est susceptible de produire une hypoxie testiculaire.
Le sang veineux testiculaire véhicule de la testostérone et des stéroïdes sulfates en quantités élevées(27,42).
La composition en ions , en protéines et en acides aminés de la lymphe testiculaire est assez semblable à celle du sang veineux testiculaire. La lymphe est une voie importante de transport pour les stéroïdes ; la lymphe est surtout riche en stéroïdes conjugués.

Innervation des testicules

Les testicules sont innervés par les rameaux qui accompagnent l’artère testiculaire (artère spermatique interne). Près du testicule, les nerfs se divisent en fines terminaisons qui longent les branches terminales de l’artère testiculaire. De nombreuses terminaisons adrénergiques innervent les vaisseaux, dont elles contrôlent la vasomotricité, les cellules musculaires lisses de la gaine péri tubulaires et, chez certaines espèces, les cellules de Leydig elles mêmes. Des terminaisons cholinergiques se trouvent, en particulier dans la tunique fibreuse(83).
Outre les fibres efférentes motrices, le tractus nerveux contient des fibres afférentes sensitives probablement impliquées dans la perception de la douleur associée à tout traumatisme testiculaire. Trois types de récepteurs sensoriels ont été identifiés chez le rat et le chien : des mécanorécepteurs, des récepteurs chimiques et des thermorécepteurs(42).

Voies spermatiques extra-testiculaires

Ces voies sont constituées par des canaux efférents, les canaux epididymaires, les canaux déférents et des ampoules déférentielles.
– Canaux efférents.
Ils relient le rété testis aucanal de l’épididyme. Selon leur disposition topographique, on peut distinguer :
9 Les animaux dont la têtede l’épididyme est presque entièrement formée par les canaux efférents qui débouchent isolement dans le canal épididymaire (Taureau, bélier, Verrat, chien, Chat) ;
9 Les animaux chez lesquels les canaux efférents pénètrent dans la tête de l’épididyme pour y constituer un seul petit canal qui débouchedans le canal épididymaire. La tête de l’épididyme est constituée par le canal épididymaire ( rat, souris, lapin )(90).
La paroi est faite d’un épithélium composé decellules ciliées et ne contenant pas des grains dans leur partie apicale. Les cilsassurent la progression des spermatozoïdes vers l’épididyme. Les cellules non ciliées possèdent de nombreuses microvillosités au pôle apical ; elles ont une fonction d’absorption d’une partie du fluide élaboré par les tubes séminifères. L’épithélium repose sur un chorion conjonctif .
Une épaisse couche de cellules musculaires lisses forme la paroi ; la tunique externe comprend du tissu conjonctif lâche riche en fibres élastiques(18).
– Les canaux épididymaires.
Le canal épididymaire est extrêmement tortueux et replié sur lui-même ; sa longueur varie selon les espèces, son diamètre augmente progressivement de son début à son extrémité postérieure. La paroi est faite :
9 d’un épithélium prismatique simple dontle pôle apical présente des stéroïdes ;
9 d’une lame basale ;
9 d’un chorion ;
9 d’une mince couche de cellules musculaires ;
9 d’une couche conjonctive.
Les canaux efférents situés dans la tête de l’épididyme assurent la propulsion des gamètes mâles(90). L’environnement épididymaire intervient dansla maturation des spermatozoïdes qui deviennentfertiles au niveau de la queue de l’épididyme ; cette maturation est dépendante du taux d’hormones mâles(9,41).
– Les Canaux déférents
Le canal déférent s’étend de la queue de l’épididyme jusqu’à l’urètre : à son extrémité distale il se dilate en une ampoule déférentielle.
La lumière du canal est bordée par une paroi épaisse comportant :
9 une muqueuse présentant des plis longitudinaux formée d’un épithélium pseudostratifié prismatique formé de cellules à stéréocils et de cellules basales ;
9 une musculeuse avec 3 plans de cellules musculaires lisses : l’interne et l’externe orientés longitudinalement, et celle du milieu à disposition circulaire. L’adventice est un tissu conjonctif riche en fibres élastiques(77)

LA FONCTION GERMINALE DES TESTICULES

Etape de l’activité testiculaire

Période intra-utérine

Après leur différenciation, les testicules, chez la plupartdes mammifères, quittent la cavité abdominale pour se placer dans le scrotum en passant par le canal inguinal.
Cette descente testiculaire commence plus ou moins tôt selon les espèces : chez le bélier et le taureau, les testicules regagnent le scrotum à l’approche de la naissance, chez le chien après la naissance. Cette période est caractérisée par lamise en place dela fonction endocrine.

De la naissance a la puberté

L’appareil génital mâle qui est peu développé à la naissance, va progressivement se développer pour atteindre sa dimension définitive à la fin de période pré-pubertaire.
Mais, pendant toute cette période, la fonction germinale n’est pas encore déclenchée.

Période pubertaire

La puberté est marquée par le début de lafonction germinale. Dès lors, l’activité glandulaire du testicule est complète et permanente, et l’animal est apte à la reproduction(3,53,77).

Biosynthèse des Androgènes

Le cholestérol est le précurseur de la biosynthèse des androgènes.Celle-ci se fait endeux étapes :la première va du cholestérol à la prégnénolone ; dans cette réaction interviennent successivement les enzymes suivantes :20 et 22αhydroxylases qui sont des oxygénases, une desmolase (cholestérol 20-22-desmolase) qui coupe la chaîne latérale du cholestérol entre les carbones 22 et 20 porteurs de deux fonctions hydroxyles(26,61).
A partir de la prégnènolone suite à une série de réaction enzymatiques, il se forme la Δ4- androsténedione qui est en grande partie transformée entestostérone sous l’action d’une 17 βhydroxysteroide déshydrogénase(8,56)

Rôles des androgènes testiculaires

Les androgènes détiennent sous leur contrôle , toute l’activité sexuelle du mâle.
En plus de leur implication dans la production des gamètes mâles,les spermatozoïdes, les androgènes manifestent leurs rôles d’une part, par des effets morphologiques sur les caractères sexuels primaires , secondaires et tertiaires d’autre part, par des effets métaboliques. Le dénominateur commun de ces actions semble être une activité des androgènes orientée au niveau cellulaire vers la synthèse des protéines(63).

Effet des androgènes sur les caractères sexuels primaires

Les caractères sexuels primaires correspondent au développement des organes génitaux.
Après castration, l’ensembledes voies génitales (voies excrétrices du sperme et glande annexes) involuent. La prostate est un des effecteurs privilégiés des androgènes. Après castration, on note chez lerat une involution des lobes ventraux et des cellules épithéliales, enparticulier de l’appareil de Golgi. L’administration d’androgènes crée le phénomène inverse ; les vésicules séminales obéissent aux mêmes lois(23,88).
Les androgènes stimulent aussi la croissance des glandes de Cowper et les glandes préputiales, ainsi que les voies excrétrices du sperme (épididyme et canal déférent).
En plus de leurs effets directs, les androgènes jouent un rôlesur la spermatogenèse en agissant sur la composition chimique du plasma séminal qui est formé à partir des cellules séminales prostatiques et des glandes de Cowper. Ainsi on peut dire que la concentration du plasma séminal en fructose, acide citriqueet phosphatase, qui conditionne l’énergie et la mobilité des spermatozoïdes est directement en rapport avec la quantité d’androgènes circulant(19,63) .

Effets sur les caractères sexuels secondaires

Les caractères sexuels secondaires sont représentes par la morphologie, la combativité, l’endurance ,la pilosité, disposition de la graisse de réserve et même de la musculature, et le timbre de la voie.

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Table des matières
INTRODUCTION
PREMIERE PARTIE : SYNTHESE BIBLIOGRAPHIQUE
CHAPITRE I : PHYSIOPATHOLOGIE DEL’ACTIVITE TESTICULAIRE
I – 1 RAPPELS ANATOMO-HISTOLOGIQUE DES TESTICULES
I – 1 – 1 Anatomie des testicules
I- 1- 1- 1- Position
I- 1- 1- 2- Structure interne
I- 1- 1- 2- 1 Les lobules spermatiques
I- 1- 1- 2- 1 -1 Les tubes séminifères
I – 1 -1- 2 – 1 – 1 – 1 Cellules de la lignée germinale
I – 1 -1- 2 – 1 – 1 – 2 Cellules de sertoli
I- 1- 1- 2- 2 La glande interstitielle
I- 1- 1- 2- 3 les voies spermatiques intra-testiculaires
I- 1- 1- 3- Vascularisation et innervation des testicules
I – 1 -1- 3 -1 Vascularisation des testicules
I – 1 -1- 3 -2 Innervation des testicules
I – 1 – 2 Voies spermatiques extra-testiculaires
I – 1 – 3 Les glandes annexes
I – 1- 3 – 1 Les Vésicules séminales
I – 1- 3 – 2 LaProstate
I – 1- 3 – 3 Les Glandes de Cowper ou glandes bulbo-urètrales
I – 2 LA FONCTION GERMINALE DES TESTICULES.
I – 2 – 1 Etape de l’activité testiculaire
I – 2 – 2 La spermatogenèse
I – 2 – 2 – 1 Cycle de l’epithelium séminifere
I – 2 – 2 – 2 Les phases dela spermatogenèse
I – 2 – 2 – 3 Etude cytologique de la spermiogenèse
I – 2 – 2- 4 Durée dela spermatogenèse
I – 3 LA FONCTION ENDOCRINE DES TESTICULES
I – 3 – 1 Nature des hormones testiculaires
I – 3 – 2 Biosynthèse des Androgènes
I – 3 – 3 Rôles des androgènes testiculaires
I – 3 – 3 -I.- Effets des androgènes sur les caractèressexuels primaires
I – 3- 3 -2 Effets des androgènes sur les caractères sexuels secondaires
I – 3- 3 -3 Effet des androgènes sur les caractères sexuels tertiaires
I – 3- 3 -4 Action métabolique des androgènes
I – 4 CONTROLE DE LA FONCTION TESTICULAIRE
I – 4 – 1 Rôle des gonadostimulines hypophysaires
I – 4 – 1 – 1 La FSH(follicle stimulating hormone)
I – 4 – 1 – 2 La LH(luteinising hormone) ou ICH ( Interstitial Cells Stimulating Hormone )
I – 4 – 1 – 3 L’hormonede croissance
I – 4 – 1 – 4 Laprolactine
I – 4 – 2 Rôle des neurohormones hypothalamiques
I – 5 FACTEURS INFLUENCANT LAFONCTION TESTICULAIRE
I- 5- 1 La température
I- 5- 2 L’alimentation
I- 5- 3 L’irradiation des testicules
I- 5- 4 Les facteurs pathologiques
I- 5- 4- 1 Pathologies de l’hypophyse
I- 5- 4- 2 Pathologiesdes gonades
CHAPITRE II : TRAITEMENT DE L’IMPUISSANCE ET DE LA STERILITE MASCULINE
II – 1 TRAITEMENT MODERNE
II-1-1-En médecinehumaine
II-1-2-En médecine vétérinaire
II – 2 TRAITEMENT TRADITIONNEL
II-2-1-En médecinehumaine
II-2-2-En médecine vétérinaire
II – 3 CARACTERISTIQUES DE Secunrinega virosa
II-3-1 Habitat
II-3-2 Systématiquehorizontale
II-3-3 Description de Securinega virosa
II – 3 – 3 – 1 Morphoogie
II-3-3-2 La tige
II-3-3-3 Les feuilles
II-3-3-4 Les fleurs
II-3-3-5 Les fruits
II-3-4 Etude chimique de Securinega virosa
II-3-5 Différentes utilisations de Securinega virosa
DEUXIEME PARTIE : ETUDE EXPERIMENTALE 
CHAPITRE I :MATERIEL ET METHODE
I-1- MATERIEL
I-1-1 Le matérielvégétal
I-1-2 L’androgène de référence
I-1-3 Les animaux
I-1-4 Matériel dedissection
I-1-5 Matériel de mesure et de pesée
I-1-6 Matériel deprélèvement
I-1-7 Matériel delaboratoire
I-2- METHODE
I-2-1 Objectif de l’étude
I-2-2 Allotement des ratons
I-2-3 Evaluation de la croissance des testicules
I-2-4 Evaluation de lafonction germinale
l-2-4-1 Prélèvement des testicules
l-2-4-2 Traitement des prélèvements
l-2-4-3 Etude de l’architecture générale des organes génitaux
l-2-4-4 Etude quantitative de la spermatogenèse
CHAPITRE II : RESULTATS ET DISCUSSION
II-1-RESULTATS
II-1-1 Effet du traitement sur l’évolution pondérale des animaux
II-1-2 Effet des traitements sur le poids des testicules
II-1-3 Effet des traitements sur la spermatogenèse
II-2-DISCUSSION
II-2-1-croissance pondérale
II-2-2 Croissance des testicules
II-2-2- 1 Données macroscopique
II-2-2- 2 Données microscopiques
CONCLUSION
REFERENCES BIBIOGRAPHIQUES

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