Effet du tourteau de soja sur les performances zootechniques de la volaille

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Dรฉmographie : structure et รฉvolution

La population de la rรฉgion de Dakar est estimรฉe en 2007 ร  2 428 155 habitants dont 50,1% de sexe masculin contre 49,9% de sexe fรฉminin (figure nหš2). Elle reprรฉsente prรจs du quart (21,4%) de la population totale du pays, estimรฉe ร  11 360 985 habitants. Ce qui fait de la rรฉgion de Dakar la plus peuplรฉe du pays. Sa macrocรฉphalie est certainement due au fait quโ€™elle est de loin la rรฉgion la mieux dotรฉe en infrastructures รฉconomiques, sociales et culturelles, faisant dโ€™elle une terre privilรฉgiรฉe pour lโ€™exode rural et, du fait de sa situation gรฉographique, une rรฉgion de transit pour lโ€™รฉmigration internationale.
La structure par รขges montre que la population de la rรฉgion de Dakar demeure trรจs jeune en 2007, avec 45,1% ayant moins de 20 ans. Si lโ€™on considรจre lโ€™ensemble de la population jeune, c’est-ร -dire celle de moins de 35 ans, cette proportion se situe ร  72,6%. Cโ€™est donc dire que les jeunes reprรฉsentent plus des deux tiers de la population de la rรฉgion de Dakar.

Gรฉnรฉralitรฉ sur lโ€™aviculture au Senegal

Lโ€™aviculture moderne constitue une activitรฉ porteuse de croissance. En effet, pratiquรฉe depuis fort longtemps au Sรฉnรฉgal, selon le mode traditionnel avec lโ€™รฉlevage de sujets locaux ou depuis prรจs dโ€™un demi-siรจcle par lโ€™introduction de races de volailles exotiques, lโ€™aviculture constitue aujourdโ€™hui un secteur qui occupe beaucoup de monde surtout en milieu urbain et pรฉriurbain. La relance de la filiรจre aprรจs les mesures de suspension des importations de poulets de certains pays, commence ร  porter ses fruits, les productions de viande blanche ont rรฉpondu ร  la demande des consommateurs. Lโ€™รฉlevage des volailles en production intensive est surtout concentrรฉ dans la rรฉgion de Dakar (plus de 80%, ANSD 2010), un peu dans la rรฉgion de Thiรจs (environ 15%) et dans la rรฉgion de Saint-Louis (3%).

Evolution de la filiรจre avicole

Effectifs de la filiรจre avicole

Les effectifs de la filiรจre avicole se sont รฉtablis ร  60 millions de tรชtes en 2015 contre 55 millions un an auparavant, soit une hausse de 9,9%, en liaison avec la progression de 16,1% de la volaille industrielle. Par ailleurs, la volaille traditionnelle a vu ses effectifs augmenter de 2,8% seulement en 2015. Il convient de noter que lโ€™รฉvolution de la volaille industrielle enregistrรฉe entre 2014 et 2015 est en deรงร  de celle notรฉe entre 2013 et 2014 (20%). Toutefois, la filiรจre continue de bรฉnรฉficier des retombรฉes positives de la suspension des importations de produits et matรฉriels avicoles. En effet, depuis lโ€™instauration de cette mesure de restrictions sur les importations de volaille en 2006, la volaille industrielle a connu une croissance plus rapide que celle de la volaille traditionnelle. Le poids de la volaille traditionnelle dans la filiรจre avicole est ainsi passรฉ de 74,6% en 2006 ร  43,6% en 2015. Quant ร  la volaille industrielle, ses effectifs sont passรฉs de 18 millions de tรชtes ร  34 millions, entre 2010 et 2015, soit une hausse annuelle moyenne de 14,1% (figure nหš4).

Consommation de produits avicoles

La consommation de viande de volaille per capita est principalement dรฉpendante de la production de volaille surtout industrielle (commerciale), variant dโ€™annรฉe en annรฉe; avec une tendance ร  la hausse soutenue depuis la suspension intervenue en 2005. Mais cette consommation per capita est inรฉgalement rรฉpartie dans le temps et dans lโ€™espace.
En effet, les citadins ont tendance ร  consommer plus de poulets que les ruraux, qui consomment moins de 35% de la viande de volaille issue du milieu rural (TRAORE, 2001), soit en moyenne 1 kg/personne/an, pour une population rurale estimรฉe ร  un peu plus de 7 millions de personnes (figure nหš6). En milieu urbain oรน vivent plus de 5 millions de personnes, qui consomment la totalitรฉ de la production de volaille commerciale et prรจs de 50% de la production avicole rurale, on peut estimer la consommation moyenne ร  5 ร  6 kg/personne/an, car, selon les rapports de la direction de lโ€™รฉlevage, la production de volaille commerciale est consommรฉe par les citadins.
Cependant, les ล“ufs destinรฉs ร  la consommation humaine sont principalement issus du secteur industriel. Les ล“ufs produits par lโ€™aviculture commerciale sont totalement consommรฉs dans le territoire national car, officiellement, il nโ€™y a pas dโ€™exportation dโ€™ล“ufs en coquille. Les dโ€™ล“ufs produits en milieu rural sont principalement destinรฉs ร  la reproduction; les quantitรฉs consommรฉes sont pratiquement nulles. La consommation moyenne dโ€™ล“ufs au niveau national est de 40 ล“ufs/personne/an, ce qui revient ร  environ 3600 calories par an, reprรฉsentant une dizaine de calories de consommation quotidienne (figure nหš6). Mais, cette moyenne nationale est trรจs inรฉgalement rรฉpartie, passant des villageois qui ne consomment presque pas dโ€™ล“ufs ร  certains habitants des villes qui peuvent consommer plus dโ€™une centaine dโ€™ล“ufs dans lโ€™annรฉe et par personne.

Forces et faiblesses actuelles du secteur avicole

La filiรจre avicole sรฉnรฉgalaise, notamment le systรจme dit commercial, est un secteur รฉconomique dynamique, dont le taux de croissance est lโ€™un des meilleurs du secteur primaire au niveau national, avec une progression de 11% en 2008 selon le rapport de performance du secteur de lโ€™รฉlevage en 2009. De 2008 ร  2011, les effectifs nationaux de poulets ont augmentรฉ de 24,3% (FAOSTAT, 2013). Entre 2011 et 2012, la production nationale de viande de volailles commerciales a augmentรฉ de 4,6% tandis que celle des ล“ufs de consommation a accru de 10,8%. Cette production occupe un nombre important dโ€™acteurs dont les interventions ร  divers maillons de la filiรจre sont complรฉmentaires et interdรฉpendants.
Un bon encadrement technique
La filiรจre avicole (commerciale) bรฉnรฉficie donc dโ€™un encadrement scientifique et technique favorable pour son dรฉveloppement. Les aviculteurs (propriรฉtaires des fermes), sont souvent formรฉs lors des sรฉances de formation organisรฉes. Par les pouvoirs publics et le secteur privรฉ.
Un secteur peu structurรฉ
Le problรจme qui se pose ร  lโ€™aviculture de faรงon gรฉnรฉrale est le manque dโ€™organisation des acteurs. Plusieurs regroupements ont รฉtรฉs formรฉs en vue de mieux structurรฉ le secteur avicole depuis 1964 (CNA devenu CIMEL) jusquโ€™en 2004 (Union Nationale des Acteurs de la Filiรจre Avicole (UNAFA)). Mais ces tentatives de regroupements semblent impuissantes face aux diffรฉrents problรจmes de ce secteur.
Une compรฉtitivitรฉ menacรฉe
Depuis la mesure de suspension des produits avicoles, ce sont les couvoirs nationaux qui assurent la demande totale en poussins dโ€™un jour. Mais, cette production est encore ร  75% dรฉpendante des ล“ufs ร  couver (OAC) importรฉs; ce qui signifie quโ€™il reste des efforts ร  faire pour que la filiรจre soit plus indรฉpendante.
De mรชme la spรฉculation poulets de chair a connu un vรฉritable essor suite ร  la suspension des importations de viandes et des cuisses; rรฉvรฉlant ainsi la difficultรฉ de cette spรฉculation ร  supporter la concurrence.

Systรจme dโ€™รฉlevage intensif de poulets commerciaux (Secteur 2)

Ce systรจme est encore appelรฉ systรจme de production commercial ร  grande รฉchelle (plus de 80% des effectifs avicoles รฉlevรฉs). Le secteur 2 est caractรฉrisรฉ par des รฉlevages dont le niveau de biosรฉcuritรฉ est moyen, parfois รฉlevรฉ. La volaille ou les produits dรฉrivรฉs sont gรฉnรฉralement vendus par lโ€™intermรฉdiaire dโ€™abattoirs ou de marchรฉs de volailles vivantes indรฉpendantes des fermes de production. Les volailles doivent รชtre รฉlevรฉes uniquement dans des bรขtiments fermรฉs avec une prรฉvention rigoureuse de tout contact avec dโ€™autres volailles ou oiseaux sauvages. Lโ€™effectif des cheptels du secteur 2 se situe entre 2.000 et 10.000 volailles. Les producteurs de ce groupe se rencontrent surtout dans la zone des Niayes de Dakar et de Thiรจs.

Systรจme dโ€™รฉlevage semi-intensif (Secteur 3)

Il correspond au systรจme commercial ร  petite รฉchelle, incluant notamment les canards ayant un niveau de biosรฉcuritรฉ de faible ร  minime et dans lequel la volaille ou les produits dรฉrivรฉs sont en gรฉnรฉral vendus sur les marchรฉs de volailles vivantes. Il sโ€™agit par exemple dโ€™รฉlevages de poules pondeuses en cage dans les poulaillers ouverts. Il peut sโ€™agir aussi de fermes avec des poulets ayant accรจs au plein air ou รฉlevรฉs avec des palmipรจdes. Les effectifs du secteur 3 sโ€™estiment entre 100 et 500. Les producteurs de ce groupe se rencontrent essentiellement dans les habitations en centre et en banlieues des grandes villes et autour de quelques autres agglomรฉrations et communes rurales.

Systรจme dโ€™รฉlevage avicole villageois (Secteur 4)

Ce secteur correspond ร  lโ€™รฉlevage traditionnel et de basse-cour avec un minimum ou sans mesures de biosรฉcuritรฉ et les oiseaux ou produits sont consommรฉs localement. De ce fait, il se trouve dissรฉminรฉ sur tout le territoire national. Les effectifs du secteur 4 sโ€™estiment entre 50 et 100 sujets. Les femmes et les enfants en sont les principaux รฉleveurs et bรฉnรฉficiaires de son dรฉveloppement. En effet, des enquรชtes menรฉes par TRAORE (2001); DIOUCK, TRAORE (2007) et TAOUSSET (2011), rรฉvรจlent que plus de la moitiรฉ des aviculteurs ruraux sont des femmes aidรฉes par les enfants.

Principaux systรจmes de productions avicoles

Aviculture traditionnelle ou rurale

Lโ€™aviculture traditionnelle (ou familiale) a reprรฉsentรฉ en 2008 environ 62% des effectifs de volailles avec prรจs de 21,9 millions de tรชtes, en baisse de 1,1% par rapport ร  2007 (DIREL, 2008). Elle correspond au secteur 4 selon la classification de la FAO avec un niveau de biosรฉcuritรฉ minimal et des oiseaux ou produits sont gรฉnรฉralement auto-consommรฉs localement.

Principales races exploitรฉes et leurs caractรฉristiques

Lโ€™espรจce la plus exploitรฉe est la poule domestique, appelรฉ Gallus gallus domesticus dont lโ€™ancรชtre est G. ferrugineus. Il sโ€™agit dโ€™un oiseau de petite taille, trรจs rustique et ร  la chair bien apprรฉciรฉe. Son poids moyen adulte, ร  6 mois, est dโ€™environ 1kg (kilogramme) chez la femelle et 1,5kg chez le mรขle adulte (GUEYE et BESSEIW, 1995).

Conduite de lโ€™รฉlevage

La conduite de lโ€™รฉlevage en aviculture familiale est une pratique assez rudimentaire. En effet, la volaille villageoise ne fait lโ€™objet que de peu dโ€™attention et les animaux vivent en divagation pour la plupart. Dans la basse- cour, des volailles de plusieurs รขges et de plusieurs espรจces cohabitent entre elles ou avec dโ€™autres espรจces sauvages et domestiques. Les oiseaux passent le jour ร  la recherche de lโ€™aliment et les adultes se chargent dโ€™รฉlever les jeunes. Ils vivent dโ€™insectes, de sous-produits agricoles, et de dรฉchets de cuisine.
Parfois, les poussins reรงoivent, dans les 2 ou 3 premiers mois, 10 ร  20g de mil par jour en plus des termites (ADAMAD, 1990). Certains paysans distribuent, parfois le matin comme le soir, quelques poignรฉes de cรฉrรฉales ร  la basse-cour. Aprรจs la divagation, les volailles passent la nuit dans des poulaillers ou perchรฉs sur des branches dโ€™arbres ombragรฉs ou encore dans un coin des maisons, partageant trรจs souvent la mรชme piรจce avec les habitants de la maison. Lโ€™eau consommรฉe par les volailles est de qualitรฉ mรฉdiocre ร  mauvaise. Les effectifs par concession sont trรจs variables et vont de 5 ร  10 poulets. Ils peuvent atteindre en moyenne 25 ร  60 animaux (DANHO et al., 2000).

Aspects sanitaires

Sur le plan sanitaire, les oiseaux ne reรงoivent pratiquement pas de soins. Dans ce contexte, les pertes sont trรจs importantes, notamment chez les jeunes. Cโ€™est particuliรจrement le cas des pintadeaux pour lesquels les mortalitรฉs peuvent atteindre 90% des jeunes (BEBAY, 2006). Les aviculteurs sont ainsi confrontรฉs aux mortalitรฉs รฉlevรฉes, principalement dues ร  la maladie de Newcastle (COUACY-HYMANN, 1991; Nโ€™GUETTA et al., 1993; BOYE, 1990) et actuellement ร  l’Influenza Aviaire Hautement Pathogรจne (IAHP) dans de nombreux pays depuis son apparition, en Asie ร  la fin de 2003 (GUEYE, 2009). DANHO et al. (2000) ont aussi montrรฉ que les mortalitรฉs sont plus รฉlevรฉes en saison sรจche (40 ร  60%) quโ€™en saison de pluies (10 ร  15%). Les pertes peuvent aussi รชtre dues au vol, ร  la pression des prรฉdateurs, par accident ou encore par รฉgarement.

Aviculture semi industrielle ou moderne

Lโ€™aviculture moderne a connu un bon dรฉveloppement au cours de ces derniรจres annรฉes, avec un effectif de 13,6 millions de tรชtes en 2008 contre 12,8 millions de tรชtes en 2007, soit une hausse de 6,6% (ANSD, 2008).

Les Principales races exploitรฉes et leurs caractรฉristiques

Ce type dโ€™aviculture se caractรฉrise par lโ€™รฉlevage des volailles de souches exotiques. Les souches รฉlevรฉes les plus connues au Sรฉnรฉgal sont :
Poules pondeuses : Lohmann Blanche et Rouge, Hy-Line Blanche et Rouge, Harco, Isa Brown, Gold Line, Shaver et Star Cross;
Poulet de chair : Cobb 500, Hubbar, Ross 208, Vedette.
Lโ€™aviculture moderne enregistre de bonnes performances comparables, chez certains รฉleveurs, ร  celles obtenues dans les pays dรฉveloppรฉs ร  climat tempรฉrรฉ avec un poids moyen de 1,5 ร  2 kg en 45 jours dโ€™รฉlevage pour les poulets de chair et une ponte annuelle qui varie entre 260 et 280 ล“ufs par poule et par annรฉe de ponte (RIDAF, 2006).

Conduite de lโ€™รฉlevage

Les poussins sont รฉlevรฉs dans des bรขtiments รฉquipรฉs, nourris avec des aliments complets et sont soumis ร  un programme de prophylaxie en fonction des pathologies dominantes de la rรฉgion.

Aspects sanitaires

Actuellement, il y a une maรฎtrise satisfaisante des pathologies dominantes au niveau de lโ€™aviculture moderne. En effet, il existe plusieurs cabinets vรฉtรฉrinaires privรฉs installรฉs dans les zones ร  haute production avicole pour permettre aux รฉleveurs de pouvoir sโ€™approvisionner en vaccins et de bรฉnรฉficier dโ€™un appui/conseil.
Lโ€™intensification qui accompagne la production nโ€™รฉvolue pas sans problรจmes. En effet, la proximitรฉ des รฉlevages, la concentration des animaux dans un endroit unique et lโ€™utilisation de races exotiques plus productrices mais moins rรฉsistantes et donc plus sensibles ont favorisรฉ le dรฉveloppement de nombreuses maladies. Cet environnement dรฉfavorable influence nรฉgativement la rentabilitรฉ des รฉlevages et la qualitรฉ des produits.
Les pathologies dominantes chez les poulets de chair sont la maladie de Gumboro, les colibacilloses, les salmonelloses, la maladie de Newcastle et les coccidioses. Chez les poulettes et les pondeuses, il sโ€™agit de la maladie de Marek, la maladie de Gumboro, les colibacilloses, la maladie de Newcastle et les maladies respiratoires chroniques.
De plus, il a รฉtรฉ diagnostiquรฉ, depuis quelques annรฉes, lโ€™encรฉphalomyรฉlite aviaire et la bronchite infectieuse (PRODEC, 1996).
La maladie de Newcastle a pu รชtre plus ou moins maรฎtrisรฉe grรขce aux mesures vigoureuses telles que la vaccination et lโ€™utilisation de souches rรฉsistantes en aviculture semi-industrielle.

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Table des matiรจres

INTRODUCTION
PREMIERE PARTIE : Synthรจse bibliographique
CHAPITRE I : GENERALITE SUR Lโ€™AVICULTURE DANS LA REGION DE DAKAR ET AU SENEGAL
I.1. Donnรฉes gรฉographiques
I.1.1. Situation gรฉographique
I.1.2. Climat
I.1.3. Organisation administrative
I.1.4. Dรฉmographie : structure et รฉvolution
I.2. Gรฉnรฉralitรฉ sur lโ€™aviculture au Senegal
I.2.1. Evolution de la filiรจre avicole
I.2.1.1. Effectifs de la filiรจre avicole
I.2.1.2. ล’ufs de consommation
I.2.1.3. Consommation de produits avicoles
I.2.1.4. Forces et faiblesses actuelles du secteur avicole
I.3. Principaux systรจmes de production avicoles dans la rรฉgion de Dakar
I.3.1. Typologie des รฉlevages avicoles selon la FAO
I.3.1.1. Systรจme dโ€™รฉlevage industriel intรฉgrรฉ (Secteur 1)
I.3.1.2. Systรจme dโ€™รฉlevage intensif de poulets commerciaux (Secteur 2)
I.3.1.3. Systรจme dโ€™รฉlevage semi-intensif (Secteur 3)
I.3.1.4. Systรจme dโ€™รฉlevage avicole villageois (Secteur 4)
I.3.2. Principaux systรจmes de productions avicoles
I.3.2.1. Aviculture traditionnelle ou rurale
I.3.2.1.1. Principales races exploitรฉes et leurs caractรฉristiques
I.3.2.1.2. Conduite de lโ€™รฉlevage
I.3.2.1.3. Aspects sanitaires
I.3.2.2. Aviculture semi industrielle ou moderne
I.3.2.2.1. Les Principales races exploitรฉes et leurs caractรฉristiques
I.3.2.2.2. Conduite de lโ€™รฉlevage
I.3.2.2.3. Aspects sanitaires
I.4 Les Acteurs de la filiรจre avicole
I.4.1. Les acteurs de la fourniture dโ€™intrant
I.4.1.1. Les fournisseurs de matiรจres premiรจres
I.4.1.2. Les provendiers
I.4.1.3. Les accouveurs
I.4.1.4. Les vendeurs de matรฉriels
I.4.2. Les acteurs de la production
I.4.2.1. Les producteurs
I.4.2.2. Les abatteurs
I.4.2.3. Les transformateurs
I.4.3. Les acteurs de la commercialisation
I.4.3.1. Les banabanas
I.4.3.2. Les dรฉtaillants
I.4.4. Les acteurs de lโ€™appui-conseil du service et de lโ€™encadrement
I.4.4.1. Centre National dโ€™Aviculture
I.4.4.2. Les vรฉtรฉrinaires et les techniciens
I.4.4.3. Les organisations professionnelles
CHAPITRE II : ALIMENTATION ET UTILISATION DES GRAINES ET TOURTEAUX DE SOJA EN ALIMENTATION DES POULETS DE CHAIR
II.1. Alimentation de la volaille
II.1.1. Rappels dโ€™anatomo-physiologie de lโ€™appareil digestif chez la volaille
II.1.2. Besoins et apports alimentaires recommandรฉs pour des poulets de chair
II.1.2.1. Besoins en รฉnergie
II.1.2.2. Besoins en eau du poulet
II.1.2.3. Besoins en protรฉines et acides aminรฉs essentiels
II.1.2.4. Besoins en minรฉraux et vitamines
II.2. Utilisation de la graine et du tourteau de soja dans lโ€™alimentation de la volaille
II.2.1. Utilisation de la graine de soja
II.2.1.1. Production de la graine de soja
II.2.1.1.1. Caractรฉristique botanique du soja
II.2.1.1.2. Production de la graine de soja
II.2.1.2. Utilisation de la graine de soja brute
II.2.2.1. Utilisation du tourteau de soja
II.2.2.1.1. Dรฉfinition
II.2.2.1.2. Production du tourteau de soja
II.2.2.1.3. Classification de quelques produits de soja (sources):
II.2.2.2. Utilisation du tourteau de soja en alimentation animale (volaille)
II.2.2.2.1. Sources de protรฉines dans lโ€™alimentation de la volaille
II.2.2.1.2. Effet du tourteau de soja sur les performances zootechniques de la volaille
DEUXIEME PARTIE: partie expรฉrimentale
CHAPITRE I : MATERIEL ET METHODES
I.1. MATERIEL :
I.1.1. Site et pรฉriode dโ€™รฉtude
I.1.2. Cheptel expรฉrimental
I.1.3. Prรฉparation du Bรขtiment et du matรฉriel dโ€™รฉlevage
I.1.4. Aliment
I.1.5. Eau
I.2. METHODE
I.2.1. Arrivรฉe des poussins
I.2.1.1. Rรฉception et installation (mise en lot) des poussins
I.2.1.2. Transfert et mise en lot des poussins
I.2.2. Collecte des donnรฉes zootechniques
I.2.2.1. Programme dโ€™alimentation et dโ€™abreuvement
I.2.2.2. Mesure de la tempรฉrature
I.2.2.3 Poids vif ร  lโ€™รขge type
I.2.2.4. Caractรฉristiques de la carcasse:
I.2.2.5. Evaluation de la qualitรฉ de la litiรจre
I.2.2.6. Mortalitรฉ
I.2.2.7. Evaluation des lesions podales
I.2.2.8. Calcul des performances zootechniques
I.2.2.8.1. Poids vifs moyens
I.2.2.8.2. Consommation alimentaire individuelle (CAI)
I.2.2.8.3. Gain moyen quotidien (GMQ)
I.2.2.8.4. Indice de consommation
I.2.2.8.5. Taux de mortalitรฉ (TM)
I.2.2.8.6. Rendement Carcasse
I.2.2.9. Traitement et analyse statistiques des donnรฉes
CHAPITRE II : Rร‰SULTATS, DISCUSSION ET RECOMMANDATION
II.1. RESULTATS ET DISCUSSION
II.1.1. Paramรจtres dโ€™ambiance :
II.1.2. Effets comparรฉs de lโ€™incorporation de tourteaux de soja (argentin et amรฉricain) dans la ration alimentaire sur lโ€™รฉtat sanitaire et les performances de croissance des volailles
II.1.2.1. Effet comparรฉ sur lโ€™รฉtat sanitaire et la mortalitรฉ des poulets de chair
II.1.2.2. Effets comparรฉs de tourteaux de soja (argentin et amรฉricain) sur le poids vif
II.1.2.3. Effets comparรฉs de soja (argentin et amรฉricain) sur le Gain Moyen Quotidien (GMQ)
II.1.2.4. Effets comparรฉs de tourteaux de soja (argentin et amรฉricain) sur la consommation individuelle dโ€™eau
II.1.2.5. Effets comparรฉs de tourteaux de soja (argentin et amรฉricain) sur la consommation alimentaire individuelle
II.1.2.6. Effets comparรฉs de tourteaux de soja (argentin et amรฉricain) sur lโ€™Indice de Consommation alimentaire (IC)
II.1.2.7. Effets comparรฉs de tourteaux de soja (argentin et amรฉricain) dans la ration alimentaire sur les caractรฉristiques de la carcasse
II. 2. RECOMMANDATION
II. 2.1. A lโ€™endroit de lโ€™Etat
II. 2.2. A lโ€™endroit des รฉleveurs
II. 3.3. A lโ€™endroit des รฉleveurs des fabricants dโ€™aliments
CONCLUSION
BIBLIOGRAPHIE

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