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Dรฉmographie : structure et รฉvolution
La population de la rรฉgion de Dakar est estimรฉe en 2007 ร 2 428 155 habitants dont 50,1% de sexe masculin contre 49,9% de sexe fรฉminin (figure nห2). Elle reprรฉsente prรจs du quart (21,4%) de la population totale du pays, estimรฉe ร 11 360 985 habitants. Ce qui fait de la rรฉgion de Dakar la plus peuplรฉe du pays. Sa macrocรฉphalie est certainement due au fait quโelle est de loin la rรฉgion la mieux dotรฉe en infrastructures รฉconomiques, sociales et culturelles, faisant dโelle une terre privilรฉgiรฉe pour lโexode rural et, du fait de sa situation gรฉographique, une rรฉgion de transit pour lโรฉmigration internationale.
La structure par รขges montre que la population de la rรฉgion de Dakar demeure trรจs jeune en 2007, avec 45,1% ayant moins de 20 ans. Si lโon considรจre lโensemble de la population jeune, c’est-ร -dire celle de moins de 35 ans, cette proportion se situe ร 72,6%. Cโest donc dire que les jeunes reprรฉsentent plus des deux tiers de la population de la rรฉgion de Dakar.
Gรฉnรฉralitรฉ sur lโaviculture au Senegal
Lโaviculture moderne constitue une activitรฉ porteuse de croissance. En effet, pratiquรฉe depuis fort longtemps au Sรฉnรฉgal, selon le mode traditionnel avec lโรฉlevage de sujets locaux ou depuis prรจs dโun demi-siรจcle par lโintroduction de races de volailles exotiques, lโaviculture constitue aujourdโhui un secteur qui occupe beaucoup de monde surtout en milieu urbain et pรฉriurbain. La relance de la filiรจre aprรจs les mesures de suspension des importations de poulets de certains pays, commence ร porter ses fruits, les productions de viande blanche ont rรฉpondu ร la demande des consommateurs. Lโรฉlevage des volailles en production intensive est surtout concentrรฉ dans la rรฉgion de Dakar (plus de 80%, ANSD 2010), un peu dans la rรฉgion de Thiรจs (environ 15%) et dans la rรฉgion de Saint-Louis (3%).
Evolution de la filiรจre avicole
Effectifs de la filiรจre avicole
Les effectifs de la filiรจre avicole se sont รฉtablis ร 60 millions de tรชtes en 2015 contre 55 millions un an auparavant, soit une hausse de 9,9%, en liaison avec la progression de 16,1% de la volaille industrielle. Par ailleurs, la volaille traditionnelle a vu ses effectifs augmenter de 2,8% seulement en 2015. Il convient de noter que lโรฉvolution de la volaille industrielle enregistrรฉe entre 2014 et 2015 est en deรงร de celle notรฉe entre 2013 et 2014 (20%). Toutefois, la filiรจre continue de bรฉnรฉficier des retombรฉes positives de la suspension des importations de produits et matรฉriels avicoles. En effet, depuis lโinstauration de cette mesure de restrictions sur les importations de volaille en 2006, la volaille industrielle a connu une croissance plus rapide que celle de la volaille traditionnelle. Le poids de la volaille traditionnelle dans la filiรจre avicole est ainsi passรฉ de 74,6% en 2006 ร 43,6% en 2015. Quant ร la volaille industrielle, ses effectifs sont passรฉs de 18 millions de tรชtes ร 34 millions, entre 2010 et 2015, soit une hausse annuelle moyenne de 14,1% (figure nห4).
Consommation de produits avicoles
La consommation de viande de volaille per capita est principalement dรฉpendante de la production de volaille surtout industrielle (commerciale), variant dโannรฉe en annรฉe; avec une tendance ร la hausse soutenue depuis la suspension intervenue en 2005. Mais cette consommation per capita est inรฉgalement rรฉpartie dans le temps et dans lโespace.
En effet, les citadins ont tendance ร consommer plus de poulets que les ruraux, qui consomment moins de 35% de la viande de volaille issue du milieu rural (TRAORE, 2001), soit en moyenne 1 kg/personne/an, pour une population rurale estimรฉe ร un peu plus de 7 millions de personnes (figure nห6). En milieu urbain oรน vivent plus de 5 millions de personnes, qui consomment la totalitรฉ de la production de volaille commerciale et prรจs de 50% de la production avicole rurale, on peut estimer la consommation moyenne ร 5 ร 6 kg/personne/an, car, selon les rapports de la direction de lโรฉlevage, la production de volaille commerciale est consommรฉe par les citadins.
Cependant, les ลufs destinรฉs ร la consommation humaine sont principalement issus du secteur industriel. Les ลufs produits par lโaviculture commerciale sont totalement consommรฉs dans le territoire national car, officiellement, il nโy a pas dโexportation dโลufs en coquille. Les dโลufs produits en milieu rural sont principalement destinรฉs ร la reproduction; les quantitรฉs consommรฉes sont pratiquement nulles. La consommation moyenne dโลufs au niveau national est de 40 ลufs/personne/an, ce qui revient ร environ 3600 calories par an, reprรฉsentant une dizaine de calories de consommation quotidienne (figure nห6). Mais, cette moyenne nationale est trรจs inรฉgalement rรฉpartie, passant des villageois qui ne consomment presque pas dโลufs ร certains habitants des villes qui peuvent consommer plus dโune centaine dโลufs dans lโannรฉe et par personne.
Forces et faiblesses actuelles du secteur avicole
La filiรจre avicole sรฉnรฉgalaise, notamment le systรจme dit commercial, est un secteur รฉconomique dynamique, dont le taux de croissance est lโun des meilleurs du secteur primaire au niveau national, avec une progression de 11% en 2008 selon le rapport de performance du secteur de lโรฉlevage en 2009. De 2008 ร 2011, les effectifs nationaux de poulets ont augmentรฉ de 24,3% (FAOSTAT, 2013). Entre 2011 et 2012, la production nationale de viande de volailles commerciales a augmentรฉ de 4,6% tandis que celle des ลufs de consommation a accru de 10,8%. Cette production occupe un nombre important dโacteurs dont les interventions ร divers maillons de la filiรจre sont complรฉmentaires et interdรฉpendants.
Un bon encadrement technique
La filiรจre avicole (commerciale) bรฉnรฉficie donc dโun encadrement scientifique et technique favorable pour son dรฉveloppement. Les aviculteurs (propriรฉtaires des fermes), sont souvent formรฉs lors des sรฉances de formation organisรฉes. Par les pouvoirs publics et le secteur privรฉ.
Un secteur peu structurรฉ
Le problรจme qui se pose ร lโaviculture de faรงon gรฉnรฉrale est le manque dโorganisation des acteurs. Plusieurs regroupements ont รฉtรฉs formรฉs en vue de mieux structurรฉ le secteur avicole depuis 1964 (CNA devenu CIMEL) jusquโen 2004 (Union Nationale des Acteurs de la Filiรจre Avicole (UNAFA)). Mais ces tentatives de regroupements semblent impuissantes face aux diffรฉrents problรจmes de ce secteur.
Une compรฉtitivitรฉ menacรฉe
Depuis la mesure de suspension des produits avicoles, ce sont les couvoirs nationaux qui assurent la demande totale en poussins dโun jour. Mais, cette production est encore ร 75% dรฉpendante des ลufs ร couver (OAC) importรฉs; ce qui signifie quโil reste des efforts ร faire pour que la filiรจre soit plus indรฉpendante.
De mรชme la spรฉculation poulets de chair a connu un vรฉritable essor suite ร la suspension des importations de viandes et des cuisses; rรฉvรฉlant ainsi la difficultรฉ de cette spรฉculation ร supporter la concurrence.
Systรจme dโรฉlevage intensif de poulets commerciaux (Secteur 2)
Ce systรจme est encore appelรฉ systรจme de production commercial ร grande รฉchelle (plus de 80% des effectifs avicoles รฉlevรฉs). Le secteur 2 est caractรฉrisรฉ par des รฉlevages dont le niveau de biosรฉcuritรฉ est moyen, parfois รฉlevรฉ. La volaille ou les produits dรฉrivรฉs sont gรฉnรฉralement vendus par lโintermรฉdiaire dโabattoirs ou de marchรฉs de volailles vivantes indรฉpendantes des fermes de production. Les volailles doivent รชtre รฉlevรฉes uniquement dans des bรขtiments fermรฉs avec une prรฉvention rigoureuse de tout contact avec dโautres volailles ou oiseaux sauvages. Lโeffectif des cheptels du secteur 2 se situe entre 2.000 et 10.000 volailles. Les producteurs de ce groupe se rencontrent surtout dans la zone des Niayes de Dakar et de Thiรจs.
Systรจme dโรฉlevage semi-intensif (Secteur 3)
Il correspond au systรจme commercial ร petite รฉchelle, incluant notamment les canards ayant un niveau de biosรฉcuritรฉ de faible ร minime et dans lequel la volaille ou les produits dรฉrivรฉs sont en gรฉnรฉral vendus sur les marchรฉs de volailles vivantes. Il sโagit par exemple dโรฉlevages de poules pondeuses en cage dans les poulaillers ouverts. Il peut sโagir aussi de fermes avec des poulets ayant accรจs au plein air ou รฉlevรฉs avec des palmipรจdes. Les effectifs du secteur 3 sโestiment entre 100 et 500. Les producteurs de ce groupe se rencontrent essentiellement dans les habitations en centre et en banlieues des grandes villes et autour de quelques autres agglomรฉrations et communes rurales.
Systรจme dโรฉlevage avicole villageois (Secteur 4)
Ce secteur correspond ร lโรฉlevage traditionnel et de basse-cour avec un minimum ou sans mesures de biosรฉcuritรฉ et les oiseaux ou produits sont consommรฉs localement. De ce fait, il se trouve dissรฉminรฉ sur tout le territoire national. Les effectifs du secteur 4 sโestiment entre 50 et 100 sujets. Les femmes et les enfants en sont les principaux รฉleveurs et bรฉnรฉficiaires de son dรฉveloppement. En effet, des enquรชtes menรฉes par TRAORE (2001); DIOUCK, TRAORE (2007) et TAOUSSET (2011), rรฉvรจlent que plus de la moitiรฉ des aviculteurs ruraux sont des femmes aidรฉes par les enfants.
Principaux systรจmes de productions avicoles
Aviculture traditionnelle ou rurale
Lโaviculture traditionnelle (ou familiale) a reprรฉsentรฉ en 2008 environ 62% des effectifs de volailles avec prรจs de 21,9 millions de tรชtes, en baisse de 1,1% par rapport ร 2007 (DIREL, 2008). Elle correspond au secteur 4 selon la classification de la FAO avec un niveau de biosรฉcuritรฉ minimal et des oiseaux ou produits sont gรฉnรฉralement auto-consommรฉs localement.
Principales races exploitรฉes et leurs caractรฉristiques
Lโespรจce la plus exploitรฉe est la poule domestique, appelรฉ Gallus gallus domesticus dont lโancรชtre est G. ferrugineus. Il sโagit dโun oiseau de petite taille, trรจs rustique et ร la chair bien apprรฉciรฉe. Son poids moyen adulte, ร 6 mois, est dโenviron 1kg (kilogramme) chez la femelle et 1,5kg chez le mรขle adulte (GUEYE et BESSEIW, 1995).
Conduite de lโรฉlevage
La conduite de lโรฉlevage en aviculture familiale est une pratique assez rudimentaire. En effet, la volaille villageoise ne fait lโobjet que de peu dโattention et les animaux vivent en divagation pour la plupart. Dans la basse- cour, des volailles de plusieurs รขges et de plusieurs espรจces cohabitent entre elles ou avec dโautres espรจces sauvages et domestiques. Les oiseaux passent le jour ร la recherche de lโaliment et les adultes se chargent dโรฉlever les jeunes. Ils vivent dโinsectes, de sous-produits agricoles, et de dรฉchets de cuisine.
Parfois, les poussins reรงoivent, dans les 2 ou 3 premiers mois, 10 ร 20g de mil par jour en plus des termites (ADAMAD, 1990). Certains paysans distribuent, parfois le matin comme le soir, quelques poignรฉes de cรฉrรฉales ร la basse-cour. Aprรจs la divagation, les volailles passent la nuit dans des poulaillers ou perchรฉs sur des branches dโarbres ombragรฉs ou encore dans un coin des maisons, partageant trรจs souvent la mรชme piรจce avec les habitants de la maison. Lโeau consommรฉe par les volailles est de qualitรฉ mรฉdiocre ร mauvaise. Les effectifs par concession sont trรจs variables et vont de 5 ร 10 poulets. Ils peuvent atteindre en moyenne 25 ร 60 animaux (DANHO et al., 2000).
Aspects sanitaires
Sur le plan sanitaire, les oiseaux ne reรงoivent pratiquement pas de soins. Dans ce contexte, les pertes sont trรจs importantes, notamment chez les jeunes. Cโest particuliรจrement le cas des pintadeaux pour lesquels les mortalitรฉs peuvent atteindre 90% des jeunes (BEBAY, 2006). Les aviculteurs sont ainsi confrontรฉs aux mortalitรฉs รฉlevรฉes, principalement dues ร la maladie de Newcastle (COUACY-HYMANN, 1991; NโGUETTA et al., 1993; BOYE, 1990) et actuellement ร l’Influenza Aviaire Hautement Pathogรจne (IAHP) dans de nombreux pays depuis son apparition, en Asie ร la fin de 2003 (GUEYE, 2009). DANHO et al. (2000) ont aussi montrรฉ que les mortalitรฉs sont plus รฉlevรฉes en saison sรจche (40 ร 60%) quโen saison de pluies (10 ร 15%). Les pertes peuvent aussi รชtre dues au vol, ร la pression des prรฉdateurs, par accident ou encore par รฉgarement.
Aviculture semi industrielle ou moderne
Lโaviculture moderne a connu un bon dรฉveloppement au cours de ces derniรจres annรฉes, avec un effectif de 13,6 millions de tรชtes en 2008 contre 12,8 millions de tรชtes en 2007, soit une hausse de 6,6% (ANSD, 2008).
Les Principales races exploitรฉes et leurs caractรฉristiques
Ce type dโaviculture se caractรฉrise par lโรฉlevage des volailles de souches exotiques. Les souches รฉlevรฉes les plus connues au Sรฉnรฉgal sont :
Poules pondeuses : Lohmann Blanche et Rouge, Hy-Line Blanche et Rouge, Harco, Isa Brown, Gold Line, Shaver et Star Cross;
Poulet de chair : Cobb 500, Hubbar, Ross 208, Vedette.
Lโaviculture moderne enregistre de bonnes performances comparables, chez certains รฉleveurs, ร celles obtenues dans les pays dรฉveloppรฉs ร climat tempรฉrรฉ avec un poids moyen de 1,5 ร 2 kg en 45 jours dโรฉlevage pour les poulets de chair et une ponte annuelle qui varie entre 260 et 280 ลufs par poule et par annรฉe de ponte (RIDAF, 2006).
Conduite de lโรฉlevage
Les poussins sont รฉlevรฉs dans des bรขtiments รฉquipรฉs, nourris avec des aliments complets et sont soumis ร un programme de prophylaxie en fonction des pathologies dominantes de la rรฉgion.
Aspects sanitaires
Actuellement, il y a une maรฎtrise satisfaisante des pathologies dominantes au niveau de lโaviculture moderne. En effet, il existe plusieurs cabinets vรฉtรฉrinaires privรฉs installรฉs dans les zones ร haute production avicole pour permettre aux รฉleveurs de pouvoir sโapprovisionner en vaccins et de bรฉnรฉficier dโun appui/conseil.
Lโintensification qui accompagne la production nโรฉvolue pas sans problรจmes. En effet, la proximitรฉ des รฉlevages, la concentration des animaux dans un endroit unique et lโutilisation de races exotiques plus productrices mais moins rรฉsistantes et donc plus sensibles ont favorisรฉ le dรฉveloppement de nombreuses maladies. Cet environnement dรฉfavorable influence nรฉgativement la rentabilitรฉ des รฉlevages et la qualitรฉ des produits.
Les pathologies dominantes chez les poulets de chair sont la maladie de Gumboro, les colibacilloses, les salmonelloses, la maladie de Newcastle et les coccidioses. Chez les poulettes et les pondeuses, il sโagit de la maladie de Marek, la maladie de Gumboro, les colibacilloses, la maladie de Newcastle et les maladies respiratoires chroniques.
De plus, il a รฉtรฉ diagnostiquรฉ, depuis quelques annรฉes, lโencรฉphalomyรฉlite aviaire et la bronchite infectieuse (PRODEC, 1996).
La maladie de Newcastle a pu รชtre plus ou moins maรฎtrisรฉe grรขce aux mesures vigoureuses telles que la vaccination et lโutilisation de souches rรฉsistantes en aviculture semi-industrielle.
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Table des matiรจres
INTRODUCTION
PREMIERE PARTIE : Synthรจse bibliographique
CHAPITRE I : GENERALITE SUR LโAVICULTURE DANS LA REGION DE DAKAR ET AU SENEGAL
I.1. Donnรฉes gรฉographiques
I.1.1. Situation gรฉographique
I.1.2. Climat
I.1.3. Organisation administrative
I.1.4. Dรฉmographie : structure et รฉvolution
I.2. Gรฉnรฉralitรฉ sur lโaviculture au Senegal
I.2.1. Evolution de la filiรจre avicole
I.2.1.1. Effectifs de la filiรจre avicole
I.2.1.2. ลufs de consommation
I.2.1.3. Consommation de produits avicoles
I.2.1.4. Forces et faiblesses actuelles du secteur avicole
I.3. Principaux systรจmes de production avicoles dans la rรฉgion de Dakar
I.3.1. Typologie des รฉlevages avicoles selon la FAO
I.3.1.1. Systรจme dโรฉlevage industriel intรฉgrรฉ (Secteur 1)
I.3.1.2. Systรจme dโรฉlevage intensif de poulets commerciaux (Secteur 2)
I.3.1.3. Systรจme dโรฉlevage semi-intensif (Secteur 3)
I.3.1.4. Systรจme dโรฉlevage avicole villageois (Secteur 4)
I.3.2. Principaux systรจmes de productions avicoles
I.3.2.1. Aviculture traditionnelle ou rurale
I.3.2.1.1. Principales races exploitรฉes et leurs caractรฉristiques
I.3.2.1.2. Conduite de lโรฉlevage
I.3.2.1.3. Aspects sanitaires
I.3.2.2. Aviculture semi industrielle ou moderne
I.3.2.2.1. Les Principales races exploitรฉes et leurs caractรฉristiques
I.3.2.2.2. Conduite de lโรฉlevage
I.3.2.2.3. Aspects sanitaires
I.4 Les Acteurs de la filiรจre avicole
I.4.1. Les acteurs de la fourniture dโintrant
I.4.1.1. Les fournisseurs de matiรจres premiรจres
I.4.1.2. Les provendiers
I.4.1.3. Les accouveurs
I.4.1.4. Les vendeurs de matรฉriels
I.4.2. Les acteurs de la production
I.4.2.1. Les producteurs
I.4.2.2. Les abatteurs
I.4.2.3. Les transformateurs
I.4.3. Les acteurs de la commercialisation
I.4.3.1. Les banabanas
I.4.3.2. Les dรฉtaillants
I.4.4. Les acteurs de lโappui-conseil du service et de lโencadrement
I.4.4.1. Centre National dโAviculture
I.4.4.2. Les vรฉtรฉrinaires et les techniciens
I.4.4.3. Les organisations professionnelles
CHAPITRE II : ALIMENTATION ET UTILISATION DES GRAINES ET TOURTEAUX DE SOJA EN ALIMENTATION DES POULETS DE CHAIR
II.1. Alimentation de la volaille
II.1.1. Rappels dโanatomo-physiologie de lโappareil digestif chez la volaille
II.1.2. Besoins et apports alimentaires recommandรฉs pour des poulets de chair
II.1.2.1. Besoins en รฉnergie
II.1.2.2. Besoins en eau du poulet
II.1.2.3. Besoins en protรฉines et acides aminรฉs essentiels
II.1.2.4. Besoins en minรฉraux et vitamines
II.2. Utilisation de la graine et du tourteau de soja dans lโalimentation de la volaille
II.2.1. Utilisation de la graine de soja
II.2.1.1. Production de la graine de soja
II.2.1.1.1. Caractรฉristique botanique du soja
II.2.1.1.2. Production de la graine de soja
II.2.1.2. Utilisation de la graine de soja brute
II.2.2.1. Utilisation du tourteau de soja
II.2.2.1.1. Dรฉfinition
II.2.2.1.2. Production du tourteau de soja
II.2.2.1.3. Classification de quelques produits de soja (sources):
II.2.2.2. Utilisation du tourteau de soja en alimentation animale (volaille)
II.2.2.2.1. Sources de protรฉines dans lโalimentation de la volaille
II.2.2.1.2. Effet du tourteau de soja sur les performances zootechniques de la volaille
DEUXIEME PARTIE: partie expรฉrimentale
CHAPITRE I : MATERIEL ET METHODES
I.1. MATERIEL :
I.1.1. Site et pรฉriode dโรฉtude
I.1.2. Cheptel expรฉrimental
I.1.3. Prรฉparation du Bรขtiment et du matรฉriel dโรฉlevage
I.1.4. Aliment
I.1.5. Eau
I.2. METHODE
I.2.1. Arrivรฉe des poussins
I.2.1.1. Rรฉception et installation (mise en lot) des poussins
I.2.1.2. Transfert et mise en lot des poussins
I.2.2. Collecte des donnรฉes zootechniques
I.2.2.1. Programme dโalimentation et dโabreuvement
I.2.2.2. Mesure de la tempรฉrature
I.2.2.3 Poids vif ร lโรขge type
I.2.2.4. Caractรฉristiques de la carcasse:
I.2.2.5. Evaluation de la qualitรฉ de la litiรจre
I.2.2.6. Mortalitรฉ
I.2.2.7. Evaluation des lesions podales
I.2.2.8. Calcul des performances zootechniques
I.2.2.8.1. Poids vifs moyens
I.2.2.8.2. Consommation alimentaire individuelle (CAI)
I.2.2.8.3. Gain moyen quotidien (GMQ)
I.2.2.8.4. Indice de consommation
I.2.2.8.5. Taux de mortalitรฉ (TM)
I.2.2.8.6. Rendement Carcasse
I.2.2.9. Traitement et analyse statistiques des donnรฉes
CHAPITRE II : RรSULTATS, DISCUSSION ET RECOMMANDATION
II.1. RESULTATS ET DISCUSSION
II.1.1. Paramรจtres dโambiance :
II.1.2. Effets comparรฉs de lโincorporation de tourteaux de soja (argentin et amรฉricain) dans la ration alimentaire sur lโรฉtat sanitaire et les performances de croissance des volailles
II.1.2.1. Effet comparรฉ sur lโรฉtat sanitaire et la mortalitรฉ des poulets de chair
II.1.2.2. Effets comparรฉs de tourteaux de soja (argentin et amรฉricain) sur le poids vif
II.1.2.3. Effets comparรฉs de soja (argentin et amรฉricain) sur le Gain Moyen Quotidien (GMQ)
II.1.2.4. Effets comparรฉs de tourteaux de soja (argentin et amรฉricain) sur la consommation individuelle dโeau
II.1.2.5. Effets comparรฉs de tourteaux de soja (argentin et amรฉricain) sur la consommation alimentaire individuelle
II.1.2.6. Effets comparรฉs de tourteaux de soja (argentin et amรฉricain) sur lโIndice de Consommation alimentaire (IC)
II.1.2.7. Effets comparรฉs de tourteaux de soja (argentin et amรฉricain) dans la ration alimentaire sur les caractรฉristiques de la carcasse
II. 2. RECOMMANDATION
II. 2.1. A lโendroit de lโEtat
II. 2.2. A lโendroit des รฉleveurs
II. 3.3. A lโendroit des รฉleveurs des fabricants dโaliments
CONCLUSION
BIBLIOGRAPHIE
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