Effet des paramètres d’ambiance sur les performances de la vache laitiere

SYSTEME EXTENSIF : TYPE PASTORAL

Pratiqué dans le Ferlo et dans la zone du fleuve Sénégal dites zone sylvopastorale au Nord du pays, il s’agit d’un élevage qui utilise des parcours très vastes.
L’alimentation du cheptel repose essentiellement sur l’exploitation des ressources agricoles naturelles qui subissent de grandes variations saisonnières.
Le bétail ne dispose d’un pâturage de qualité que pendant deux à trois mois de l’année qui correspondent à la saison des pluies. La principale race bovine exploitée est le zébu Gobra.
Ce système concerne 32% du cheptel bovin national (Ba Diao, 2005).

SYSTEME SEMI-INTENSIF : TYPE AGRO-PASTORAL

Ce système est rencontré au centre du pays (Bassin arachidier), où l’on trouve près de 25% du cheptel bovin et au Sud du pays (Kolda, Ziguinchor, Tambacounda) avec à peu près 45% du cheptel bovin national (Broutin et Diokhane, 2000).
Le système de production semi-intensif consiste en une amélioration du système traditionnel,notamment par la conduite d’élevage qui tend vers la stabulation des animaux et l’organisation de la production. Il se caractérise aussi par unapport en intrants (complémentation, médicaments, etc.) et une amélioration du potentiel génétique des races locales par insémination artificielle.

SYSTEME INTENSIF : TYPE MODERNE

Rencontré essentiellement dans la zone des Niayes de Dakar à Thiès, il repose principalement sur l’exploitation des vaches exotiques (Montbéliarde, Jersiaise, Holstein, Girolando, etc.) en stabulation permanente et l’utilisation des techniques modernes de production de lait.
L’objectif majeur de ce système est de satisfaire la forte demande en lait et produits laitiers des agglomérations urbaines (Gassama, 1996).
Cependant, l’incidence de ce mode de production est restée minime ces dernières années, car en 2005 les effectifs des troupeaux constituaient moins de 1% du cheptel bovin national (Ba Diao, 2005). Système dit moderne, il comprend actuellement les grandes fermes laitières de NIACOULRAB, de WAYEMBAM et de PAST-AGRI.
A côté de ces grandes fermes, dans la zone périurbaine de Dakar, la majorité des fermes intensives sont de petites unités de production, d’une à dix vaches laitières (Ba Diao et al.,2006).

OFFRE DU LAIT AU SENEGAL

PRODUCTION LAITIERE LOCALE

La production laitière locale au Sénégal augmente au fil des années. Le tableau I, selon la FAO (2009), récapitule l’estimation de la production laitière du Sénégal de 2005 à 2007, ainsi que la projection de la production jusqu’en 2012.

CONTRAINTES DE LA PRODUCTION LAITIERE AU SENEGAL

Contraintes climatiques

En matière d’élevage, le climat constitue une contrainte déterminante car il conditionne, d’une part, les ressources alimentaires, et d’autre part, le bien être du bétail (Houssa, 2006).
Le Sénégal est un pays tropical, les températures moyennes durant toute l’année dépassent la plupart du temps 25°C. Or, les températures tropicales élevées constituent une contrainte importante pour la production laitière intensive, axéepour la plupart, sur l’exploitation des races importées (Pagot, 1985).

Contraintes alimentaires

Les contraintes d’alimentation et d’abreuvement du cheptel constituent le problème majeur de développement de la production laitière au Sénégal (Diop, 1997).
L’élevage extensif, dominant au Sénégal, se trouve confronté à des problèmes de disponibilité en aliments et en eau durant une longue période de soudure correspondant à la saison sèche. Ceci a pour conséquence directe la chute de la production.
En élevage intensif, ce problème alimentaire résulte de la hausse des prix des aliments du bétail (DIREL, 2004).

Contraintes sanitaires

Dans les systèmes d’élevage intensif et semi-intensif, les problèmes sanitaires les plus fréquents sont des maladies de productions (cétose, acidose, etc.), des maladies infectieuses et contagieuses telles que la dermatose nodulaire, la fièvre aphteuse ainsi que des maladies localisées telles que le piétin et les mammites.
Les mammites qui sont plus fréquemment rencontrées chez les races hautes productrices de lait constituent un handicap majeur pour le développement de la filière laitière au Sénégal (Nakure, 2008).
Cependant, l’élevage traditionnel continue de payer un lourd tribut à un certain nombre de pathologies comme les maladies telluriques (botulisme, charbons, tétanos), la fièvre aphteuse et le parasitisme interne.

Contraintes génétiques

Les races locales ont un faible potentiel génétique laitier, toutefois, certains programmes comme la GOANA, le PAPEL, ont pour objectif l’amélioration de la productivité en lait des races locales.

IMPORTATION DE LAIT AU SENEGAL

Le Sénégal est devenu un grand importateur de produits laitiers depuis la fin des années 70. Les importations laitières constituent le double de la production nationale (en équivalent en lait liquide : EqL).
Le graphe ci-dessous (figure 2), met en évidence une hausse régulière des importations de produits laitiers dès la fin des années 70.

DEMANDE DU LAIT ET DES PRODUITS LAITIERS AU SENEGAL

CONSOMMATION LOCALE DU LAIT ET DES PRODUITS LAITIERS

La consommation en lait et produits laitiers est estimée à 14 litres/habitant/an (ANSD, 2008). Avec un taux de croissance de 2,5%, la population du Sénégal était d’environ 11 841 123 habitants en 2008 (Sarr, 2011). La population urbaine étant de 41,5 % et la rurale de 58,5 % (Dieye, 2006), le même auteur rapporte que l’approvisionnement des villes en lait reste une priorité dans un contexte de forte croissance démographique et d’urbanisation accélérée.
La demande laitière globale au Sénégal correspond à la demande locale uniquement, car les exportations en lait sont inexistantes.

MARCHE POTENTIEL DU LAIT AU SENEGAL

Le marché potentiel correspond à la différence entre la demande globale et l’offre globale. L’offre globale est évaluée à partir de la production globale et les importations. L’absence des données récentes sur la demande réelle en lait, ne nous permet pas de calculer exactement le marché potentiel. Néanmoins, nous pouvons l’estimer grâce aux projections de la FAO. Le tableau II représente l’estimation du marché potentiel du lait au Sénégal.

GESTION D’UN ELEVAGE DE VACHES LAITIERES

La vache laitière est un animal de grande valeur, sa possession comporte un certain nombre de risques comme la perte de l’animal. Une productivité faible due à une mauvaise gestion se traduit aussi par des nombreuses pertes (Bonnier etal.,2004).
Pour éviter tous ces désagréments, la gestion d’élevage laitier doit se focaliser sur 5 points autour de l’animal représentés par la figure 3 que sont l’environnement, l’alimentation, la santé, la reproduction et la production. En plus de cela, il faut une bonne gestion financière de l’élevage pour bien évaluer sa rentabilité.

Cycle sexuel chez la vache laitière

L’activité sexuelle de la vache est de type cyclique. Le cycle œstral est la suite des évènements qui se déroulent entre deux manifestations de chaleurs. Il se traduit par un ensemble de modifications de nature cellulaire, comportementale et hormonale qui se produisent à un intervalle régulier (21 jours en moyenne) et dans un même ordre.

Composante cellulaire

Elle traduit l’ensemble des phénomènes cellulaires cycliques qui se produisent au niveau de l’ovaire, avec un événement exceptionnel qui est l’ovulation.
Les événements cellulaires du cycle sexuel se subdivisent en deux phases que sont la phase folliculaire (caractérisée par la croissance et la maturation folliculaire suivie de l’ovulation) et la phase lutéale (caractérisée par la formation, le développement et le fonctionnement du corps jaune).

Composante comportementale

L’œstrus ou période des chaleurs est une phase importante à prendre en considération en pratique,car c’est la phase visible du cycle sexuel de la vache et se caractérise par l’acceptation du chevauchement. Par ailleurs, des signes secondaires sont parfois observés. Il s’agit de la tuméfaction vulvaire, du beuglement, de l’agitation, de l’écoulement d’une glaire translucide.
Diop (1997) a noté une durée de chaleurs chez la race N’dama de 10,1 ± 1,81 heures alors qu’elle est de 18 à 24 heures en moyenne chez les vaches européennes (Mayer et Denis, 1999).

Composante hormonale

Les composantes cellulaire et comportementale du cycle sexuel sont commandées par une dynamique hormonale intense impliquant plusieurs hormones qui agissent en synergie.
Les hormones hypothalamiques (essentiellement la Gonadolibérine) contrôlent lasynthèse et la libération des hormones hypophysaires que sont la FolliculoStimulating Hormone (FSH.) et la Luteinizing Hormone (LH).
Ces hormones hypophysaires assurent à leur tour la maturation des gamètes, l’ovulation et la sécrétion des hormones gonadiques (la progestérone et l’œstrogène) responsables des modifications organiques (cycle sexuel et gestation). La progestérone et l’œstrogène sont les principales hormones ovariennes assurant la régulation du cycle œstral mais également l’inhibine et les prostaglandines en particulier la PGF2αd’origine utérine.
Outre le contrôle exercé par les gonades sur le complexe hypothalamohypophysaire, il existe des facteurs externes qui affectent la sécrétion de la GnRH via un circuit neuro-hypothalamique. Ce sont l’alimentation, lesphéromones, le stress et l’environnement (température et odeur).
La figure 4 illustre l’évolution des différentes hormones dans un cycle sexuel.

GESTION DE L’ALIMENTATION DANS UN ELEVAGE LAITIER

L’alimentation est un facteur majeur de réussite ou d’échec en production et en reproduction de la vache laitière (Brisson, 2003). Pour que la vache se reproduise et produise du lait normalement, les apports alimentaires doivent être en adéquation avec les besoins en divers constituants nutritifs qui sont essentiellement liés à l’état physiologique de l’animal.

BESOINS NUTRITIFS CHEZ LA VACHE

Il existe de façon générale, deux types de besoins chez les animaux : les besoins d’entretien et les besoins de production (croissance, gestation, production de lait). L’état d’entretien et celui de production des vaches nécessitent non seulement des protéines et de l’énergie, mais également des minéraux et des vitamines (Ba Diao et al.,2006).
Le tableau VIII résume les différents besoins par poids et selon l’état physiologique de l’animal.

CONDUITE DE L’ALIMENTATION DES VACHES LAITERES

Il existe deux périodes clés dans le cycle de production annuelle des vaches laitières : le tarissement et le début de lactation.
Ces périodes correspondent aux moments précis où l’on doit prendre des décisions importantes relatives à l’alimentation, à la mise à la reproduction et àla gestion sanitaire des vaches.

Pendant le tarissement

Le tarissement est une période de 2 mois en général, au cours de laquelle la traite est arrêtée chez l’animal pour préparer le vêlage suivant.
L’objectif à se fixer durant cette période est de permettre aux vaches d’atteindre un bon état corporel au vêlage pour qu’elles puissent exprimer correctement leur potentiel. Les réserves corporelles sont indispensables pour faire face aux déficits énergétiques importants en début de lactation (Araba, 2006).
La préparation des vaches à consommer ainsi qu’à bien digérer le fourrage et les concentrés, se fait par une distribution progressive de ces aliments au moins 3 semaines avant le vêlage pour que la flore ruminale puisse s’y adapter et que latransition ait lieu sans perturbation digestive (Araba, 2006).

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Table des matières
LISTE DES ABREVEATIONS
LISTE DES FIGURES 
LISTE DES TABLEAUX
INTRODUCTION
PREMIERE PARTIE : SYNTHESE BIBLIOGRAPHIQUE 
CHAPITRE I : ELEVAGE DE BOVINS LAITIERS AU SENEGAL
I.1 CHEPTEL BOVIN AU SENEGAL
I.2 RACES BOVINES EXPLOITEES AU SENEGAL
I.2.1 RACES LOCALES
I.2.1.1 Zébu Gobra
I.2.1.2 Zébu Maure
I.2.1.3 Taurin N’Dama
I.2.1.4 Djakoré
I.2.2 RACES EXOTIQUES
I.2.2.1 Holstein
I.2.2.2 Normande
I.2.2.3 Jersiaise
I.2.2.4 Montbéliarde
I.2.3 PRODUITS DE CROISEMENT
I.3 TYPOLOGIE DES SYSTEMES DE PRODUCTION
I.3.1 SYSTEME EXTENSIF : TYPE PASTORAL
I.3.2 SYSTEME SEMI-INTENSIF : TYPE AGRO-PASTORAL
I.3.3 SYSTEME INTENSIF : TYPE MODERNE
I.4 OFFRE DU LAIT AU SENEGAL
I.4.1 PRODUCTION LAITIERE LOCALE
I.4.2 CONTRAINTES DE LA PRODUCTION LAITIERE AU SENEGAL
I.4.2.1 Contraintes climatiques
I.4.2.2 Contraintes alimentaires
I.4.2.3 Contraintes sanitaires
I.4.2.4 Contraintes génétiques
I.4.3 IMPORTATION DE LAIT AU SENEGAL
I.5 DEMANDE DU LAIT ET DES PRODUITS LAITIERS AU SENEGAL
I.5.1 CONSOMMATION LOCALE DU LAIT ET DES PRODUITS LAITIERS
I.5.2 MARCHE POTENTIEL DU LAIT AU SENEGAL
CHAPITRE II : GESTION D’UN ELEVAGE DE VACHES LAITIERES
II.1 GESTION DE LA REPRODUCTION DANS UN ELEVAGE LAITIER
II.1.1 RAPPELS SUR LA REPRODUCTION CHEZ LA VACHE
II.1.1.1 Cycle sexuel chez la vache laitière
II.1.1.1.1 Composante cellulaire
II.1.1.1.2 Composante comportementale
II.1.1.1.3 Composante hormonale
II.1.2 MAITRISE DE LA REPRODUCTION CHEZ LA VACHE
II.1.2.1 Synchronisation des chaleurs
II.1.2.2 Détection des chaleurs
II.1.3 AMELIORATION GENETIQUE CHEZ LA VACHE
II.1.4 EVALUATION DES PERFORMANCES DE REPRODUCTION DANS UN TROUPEAU LAITIER
II.1.4.1 Suivi de la reproduction
II.1.4.2 Bilan de reproduction
II.1.4.2.1 Paramètres de fécondité
II.1.4.2.1.1 Age au premier vêlage
II.1.4.2.1.2 Intervalle vêlage- insémination première (IV-I1)
II.1.4.2.1.3 Intervalle vêlage-insémination fécondante (IV-If)
II.1.4.2.1.4 Intervalle entre les vêlages (IVV)
II.1.4.2.2 Paramètre de fertilité
II.1.4.2.2.1 Indice coïtal (IC) ou index de fertilité
II.1.4.2.2.2 Taux de réussite en première insémination (TRI1)
II.1.4.2.2.3 Pourcentage de vaches nécessitant trois inséminations ou plus (%3IA)
II.2 GESTION DE L’ALIMENTATION DANS UN ELEVAGE LAITIER
II.2.1 BESOINS NUTRITIFS CHEZ LA VACHE
II.2.2 CONDUITE DE L’ALIMENTATION DES VACHES LAITERES
II.2.2.1 Pendant le tarissement
II.2.2.2 Période de début de lactation
II.2.3 ALIMENTATION DES VEAUX
II.2.4 ALIMENTS UTILISES EN PRODUCTION LAITIERE
II.3 GESTION DU LOGEMENT DANS UN ELEVAGE LAITIER
II.3.1 CONCEPTION D’UN BATIMENT EN ELEVAGE LAITIER
II.3.2 EFFET DES PARAMETRES D’AMBIANCE SUR LES PERFORMANCES DE LA VACHE LAITIERE
II.3.3 MAITRISE DES PARAMETRES D’AMBIANCE
II.3.4 CONSEQUENCES D’UN MAUVAIS LOGEMENT
II.4 GESTION DE LA SANTE DANS UN ELEVAGE LAITIER
II.4.1 Paramètres de santé
II.4.1.1 Taux de réformes pour infécondité
II.4.1.2 Taux d’avortement
II.4.2 Paramètre de sante en zone périurbaine de Dakar
II.5 GESTION DE LA PRODUCTION LAITIERE DANS UN ELEVAGE LAITIER
II.5.1 LACTATION D’UNE VACHE LAITIERE
II.5.2 COURBE DE LACTATION D’UNE VACHE
II.6 GESTION FINANCIERE D’UN ELEVAGE LAITIER
II.6.1 COUT DE PRODUCTION DU LAIT
II.6.2 RENTABILITE DES FERMES LAITIERES
DEUXIEME PARTIE : EVALUATION TECHNIQUE ET ECONOMIQUE DELA FERME MODERNE DE DOUGAR
CHAPITRE I : MATERIEL ET METHODES
I.1 SITE ET PERIODE DE TRAVAIL
I.1.1 PRESENTATION DE DIAMNADIO
I.1.2 PRESENTATION DE LA FERME MODERNE DE DOUGAR
I.1.2.1 Bâtiments de la ferme moderne de Dougar
I.1.2.2 Personnel de la ferme moderne de Dougar
I.2 MATERIEL
I.2.1 MATERIEL ANIMAL
I.2.2 AUTRE MATERIEL
I.3 METHODES
I.3.1 COLLECTE DE DONNEES
I.3.2 ANALYSE DES DONNEES
I.3.2.1 Données sur la reproduction des animaux
I.3.2.2 Données sur la santé des animaux
I.3.2.3 Données sur l’économie de la ferme
I.3.2.4 Autres données
I.3.3 ANALYSE STATISTIQUE
CHAPITRE II : RESULTATS
II.1 PRESENTATION DU TROUPEAU DE LA FERME MODERNE DE DOUGAR
II.2 RESULTATS SUR LA REPRODUCTION
II.2.1 PARAMETRES DE FECONDITE
II.2.1.1 Age au premier vêlage
II.2.1.2 Intervalle vêlage – insémination première (IV-I1)
II.2.1.3 Intervalle vêlage – insémination fécondante (IV-If)
II.2.2 PARAMETRES DE FERTILITE
II.3 RESULTAT SUR L’ALIMENTATION
II.3.1 ALIMENTS UTILISES DANS L’ALIMENTATION DE VACHES LAITIERES
II.3.2 ALIMENTATION DE VEAUX
II.4 RESULTATS SUR LA SANTE DES ANIMAUX
II.5 RESULTATS SUR LE LOGEMENT DES ANIMAUX
II.5.1 LOGEMENT DE VACHES MONTBELIARDE
II.5.2 LOGEMENT DES VACHES METISSES ET DES VEAUX
II.6 RESULTATS SUR LA PRODUCTION LAITIERE
II.7 RESULTAT ECONOMIQUES
II.7.1 RECETTES DE LA FERME
II.7.2 DEPENSES DE LA FERME
CHAPITRE III : DISCUSSION DES RESULTATS ET RECOMMANDATIONS
III.1 DISCUSSION DES RESULTATS
III.1.1 REPRODUCTION DES ANIMAUX
III.1.1.1 Age au premier vêlage
III.1.1.2 Intervalle vêlage-insémination première (IV-I1)
III.1.1.3 Intervalle vêlage-insémination fécondante (IV-If)
III.1.1.4 PARAMETRES DE FERTILITE
III.2 ALIMENTATION DES ANIMAUX
III.3 LOGEMENT DES ANIMAUX
III.3.1 Logement de vaches Montbéliardes
III.3.1.1 Logement de vaches métisses et de veaux
III.3.2 SANTE DES ANIMAUX
III.3.3 PRODUCTION LAITIERE
III.3.4 ECONOMIE DE LA FERME
III.3.4.1 Recettes de la ferme
III.3.4.2 Dépenses de la ferme
III.4 RECOMMANDATIONS
III.4.1 AUX AUTORITES ETATIQUES
III.4.2 AU PROPRIETAIRE DE LA FERME MODERNE DE DOUGAR
III.4.3 AU TECHNICIEN D’ÉLEVAGE (GESTIONNAIRE DE LAFERME)
III.4.4 AUX BOUVIERS
III.4.5 AUX GARDIENS
III.4.6 AUX INVESTISSEURS PRIVES
III.4.7 AUX CHERCHEURS
CONCLUSION GENERALE 

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