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Le Climat :
Le Technopôle a un climat favorable. Il constitue un milieu assez original, caractérisé par des dunes et des dépressions souvent inondées par l’affleurement de la nappe phréatique. Inscrite dans la moitié sud de la zone sahélienne, la Niaye de Pikine est caractérisée par l’alternance de deux saisons annuelles : -une saison humide ou pluvieuse, elle est courte et dure généralement trois mois (juillet, août et septembre) ; -une saison sèche qui dure neuf mois (octobre à juin). Les précipitations sont dictées par la présence de la mousson en provenance du sud issue de l’anticyclone de Sainte-Hélène durant l’hivernage. Elles sont peu abondantes et dépassent rarement 500 mm par an (TOURE, 2004).
Le climat est de type subcanarien. La température, généralement douce en raison des influences maritimes, est de l’ordre de 24°C en moyenne. Elle est influencée par les alizés maritimes qui sont présentes durant toute l’année. Les contrastes thermiques et les températures sont atténués par ces alizés. Proche de l’océan, la Niaye de Pikine a une humidité relativement élevée (67 à 75%) au cours de l’année. Les masses d’air déterminent la direction des vents (TOURE, 2004).
Hydrologie :
La morphologie des Niayes laisse entrevoir l’existence d’anciennes vallées fluviatiles exoréiques perpendiculaires à la côte. Mais cette zone ne présente pas actuellement de véritables écoulements fluviaux. Néanmoins, de nombreux lacs y sont présents mais bon nombre d’entre eux ont perdu aujourd’hui leur envergure et leur importance (TOURE, 2004). L’alimentation en eau de la zone est essentiellement liée, d’une part, à la pluie de l’hivernage (la principale source), et d’autre part, à l’eau de la nappe phréatique des sables quaternaires qui caractérisent ce milieu ; celle-ci à son tour dépend exclusivement de la pluie. Actuellement, les écoulements de surface deviennent de plus en plus rares en raison de la dégradation persistante des conditions climatiques (TOURE, 2004). Certains lacs sont salés d’autres sont douces. En effet, la nappe phréatique (profonde de 30 à 65 mètres) permet une interaction au contact eau salée-eau douce dénommée « biseau salé ». Il traduit l’équilibre entre les eaux souterraines douces se déversant vers l’océan et les eaux océaniques salées s’écoulant vers le continent (DIOUF, 2005).
Végétation :
Les Niayes sont caractérisées par la présence quasi permanente de la nappe phréatique et des sols très humifères. Elaeis guineensis Jacq., espèce typiquement guinéenne est dominante; elle marque la zone de contact entre le bras du système dunaire et la dépression. On note aussi la présence d’autres espèces comme le Cocos nucifera L., la Nympheae lotus L., le Typha australis Schumach. (espèces aquaphiles) et un importante tapis herbacé (voire figure 3) conditionnée par la topographie du milieu (TOURE, 2004 ; NDAO, 2012).
Faune :
Le Technopôle a une faune diversifiée. La microfaune qui comprend les organismes du sol (par exemple : protozoaires, nématodes, vers de terre, insectes) servent de nourriture à de nombreux oiseaux qui peuplent la couverture végétale. Parmi les mammifères on note la présence de reptiles de l’ordre des squamates : Varanus niloticus (le varan d’eau), Varanus panoptes (le varan des sables), Agama agama (l’agame commun) et quelques reptiles ophidiens (serpents). Les oiseaux sont les plus nombreux et les plus visibles (TOURE, 2004 ; NDAO, 2012). Certains auteurs signalent la présence de nombreuses espèces d’oiseaux qui ne constituent pas de grande population : Platalea leucorodia (Spatules blanche), Platalea alba (la Spatule africaine) et Himantopus himantopus (l’échasse blanche) (DIALLO, 2013), Larus audouinii (Goéland d’audouin) (DIOP, 2013). Cette dernière a une importance internationale sur le plan de la conservation. Parmi les oiseaux piscivores fréquemment observés sur les lacs, on peut citer : Phalacrocorax carbo lucidus (le grand cormoran), Phalacrocorax africanus (le cormoran africain), Anhinga rufa (Anhinga roux ou Anhinga d’afrique), Pelicanus rufescenss (pélican gris ou pélican roussâtre), Egretta garzetta (Aigrette garzette), Ardea cinerea (Héron cendré) (voir annexe 2). Les poissons ne sont représentés que par la carpe (communication personnelle).
L’ESPECE ETUDIEE :
Description :
Le Grand Cormoran, Phalacrocorax carbo lucidus est un oiseau d’eau (figure 4).
Ses pattes, noires et puissantes, sont entièrement palmées. Les adultes et les immatures sont noirs ; lorsqu’ils ont perché leurs ailes sont souvent étalées (figure 4). Les adultes ont le bas des joues, la gorge et le jabot blancs. Chez les adultes, à la hauteur des cuisses, on observe une tache blanche en période de reproduction (voir annexe 4). Les immatures ont le dessous du ventre en partie blanc (voir annexe 4). Le bec est fort, assez long et crochu à l’extrémité. Le mâle est légèrement plus volumineux que la femelle. Ils pèsent environ 1,6-2 Kg. L’envergure est comprise entre 130 à 160 cm. La longueur du corps, de la pointe du bec à l’extrémité de la queue, est comprise entre 80-100 cm et celle du bec est comprise entre 60-70 mm. Ils acquièrent leur maturité sexuelle à l’âge de 4 à 5 ans (GIRARD, 2003).
Le Phalacrocorax carbo lucidus ne présente pas de dimorphisme. Les deux sexes développent cinq caractères sexuellement similaires et clairement observables avant la reproduction. Ces caractères sont : les filoplumes blanches sur la tête et la nuque, les taches blanches sur l’extérieur des cuisses, le plumage plus sombre sur les joues, la gorge et le jabot (qui sont normalement blancs), assombrissement de la couleur de peau gulaire, de jaune à diverses nuances d’olive, et le changement de couleur de taches cutanées suborbitaux triangulaires du jaune à divers teintes de rouge. Ce développement du plumage saisonnier semble être un caractère sexuellement important, surtout chez les mâles. En effet, les mâles ayant le plumage plus sombre sur les joues, la gorge et le jabot ont plus de poussins (3 à 4 poussins) par rapport aux autres mâles dont ce plumage est un peu moins sombre (0 à 2 poussins). C’est le seul qui est en relation directe entre le nombre de poussins et le sexe au moment de la formation des couples (CHILDRESS & BENNUN, 2002).
Taxonomie :
« La notion d’espèce est depuis longtemps un sujet de controverses, et il n’existe à l’heure actuelle aucune définition entièrement satisfaisante » (LEVEQUE & MOUNOLOU, 2008). De ce fait, la classification de l’espèce Phalacrocorax carbo lucidus reste en instance. En effet, certains auteurs la considèrent comme sous-espèce du Grand Cormoran Phalacrocorax carbo (BROWN et al, 1982 ; SNOW & PERRINS, 1998 ; CLEMENTS, 2000). Par contre, d’autres l’élèvent au rang d’espèce et le nomme le Cormoran à poitrine blanche Phalacrocorax lucidus (HAZEVOET, 1995 ; ISENMANN et al. 2010).
En l’absence d’études biochimiques qui permettraient d’élucider le statut spécifique de lucidus, la position conservatoire adoptée est de lucidus au sein de l’espèce carbo.
Zone de répartition et Habitats :
L’aire de répartition du grand cormoran, Phalacrocorax carbo est très large (figure 5). Sa répartition est presque mondiale (tous les continents): Europe, Asie, Océanie, Afrique et Amérique du Nord (POWLESLAND & REESE, 1999).
Il existe sept sous-espèces (de Phalacrocorax carbo) qui ont chacune une localisation géographique bien définie. Ainsi, l’espèce Phalacrocorax carbo lucidus se répartit sur les littorales de l’Afrique de l’ouest, en Afrique centrale et de l’Est et sur les littorales de l’Afrique australe. C’est une espèce de l’Afrique sub-saharienne (Afrique de l’ouest, Afrique centrale et Est et sud africain (VAN ROOMEN et al. 2011)).
Elle vit généralement sur les côtes (le long de toute la côte de l’Afrique australe). Elle se rencontre aussi, à l’intérieur des terres près des lacs, systèmes fluviaux, au bord des grands cours d’eau et les zones humides artificielles (DU TOIT et al. 2003).
Au Sénégal, elle se répartie sur plusieurs sites. En Casamance, elle se rencontre au niveau de la pointe de Kalissayes et les mangroves (BAILLON, 1986), sur la petite côte de Mbour à Djifère (BAILLON & GRETH, 1986), à l’îlot aux oiseaux (une petite île dans l’estuaire du fleuve Sénégal), aux îles de la Madeleine (Dakar) (VEEN et al. 2012) (voir annexe 3).
Taille de la population:
La taille de la population ouest-africaine est estimée à 35.000 individus (Wetlands International 2006 ; wpe.wetlands.org consulté).
La population du grand cormoran, Phalacrocorax carbo lucidus, du banc d’Arguin (Mauritanie) est passée de 3000 individus en 1971 à 25362 individus en 1997(VELDKAMP, 2000).
Au Sénégal, la population a augmenté considérablement. En effet, les dénombrements de 2002, 2003 et 2004 donnent respectivement les chiffres suivants 798, 2747 et 3683 d’individus (DIAGANA & DODMAN, 2006).
Menaces et Statut :
La population de grand cormoran Phalacrocorax carbo lucidus est menacée par plusieurs facteurs : la prédation, la perturbation animale et les activités humaines. En effet, elle est la proie de certaines espèces prédatrices comme par exemples: Larus vetula, dominicanus (les Mouettes), Mesomelas canis (chacals à dos noir), Arctocephalus pusillus (otaries à fourrure du Cap). Les sites de reproduction non protégés ou à accès facile sont souvent perturbés par les mammifères domestiques (comme par exemple : les chiens, les chats) et les activités humaines (exemple : les visites touristiques, la pêche). Suite à ces perturbations, les oiseaux quittent leurs nids pendant de longues périodes, exposant ainsi leurs œufs et leurs oisillons aux prédateurs. Ils sont souvent aussi victimes du choléra aviaire (Pasteurella multocida), des lignes de pêche abandonnés dans les lacs ainsi que les braconnages (exemple : la chasse, le ramassage d’œufs, les massacres délibérés des humains). L’utilisation des structures artificielles (exemple : les épaves de pirogues, les antennes téléphoniques) comme des sites de reproduction porte souvent préjudice aux grands cormorans. Cependant la destruction et/ou l’enlèvement de ces structures, les activités de construction de ports et les déboisements des arbres de nidification pourraient engendrer une chute de la population reproductrice (DU TOIT et al 2003).
Malgré ces menaces, les populations de grand cormoran (Phalacrocorax carbo lucidus) ne figurent pas sur la liste rouge des espèces menacées de l’UICN et ne constituent qu’une préoccupation mineure (VEEN et al. 2012 ; AEWA, 2008 ; www.iucnredlist.org).
ETHOLOGIE DU GRAND CORMORAN :
Reproduction :
Phalacrocorax carbo lucidus, généralement solitaire, est un oiseau sociable et grégaire en période de reproduction et sur les zones de nourrissage. Généralement silencieux, il émet des vocalisations gutturales lors de la saison de nidification (www.futura-sciences.com/magazines/nature/infos/dico/d/zoologie-grand-cormoran-10061/). En plumage nuptiale l’adulte a une tache blanche à la cuisse. Ils nichent en colonies (de quelques dizaines à plusieurs milliers d’individus) sur les falaises, sur les arbres, sur les côtes comme à l’intérieur des terres. Les sites de reproduction sont localisés sur des arbres d’espèces différentes (se développant sur un îlot ou en bordure d’un vaste plan d’eau) ou par les corniches des falaises paisibles. Parfois, ils utilisent les supports métalliques comme les antennes téléphoniques (DU TOIT et al 2003 ; QNINBA et al. 2006 ; http://www.hbw.com) comme lieu de nidification. Chez ce palmipède, la construction du nid est réalisée par le couple sur les corniches des falaises ; ou bien le nid est construit à des hauteurs variables dans les arbres souvent dépourvus de feuillage à cause des fientes acides. Celles-ci contribuent à la défoliation des végétaux qui meurent rapidement au sol. Le nid est grand et fait de bois, d’algues et d’autres objets de nature diverse (http://www.hbw.com).
La femelle pond 3 ou 4 œufs en moyenne avec une seule couvée par an. Elle les couve pendant environ un mois en alternance avec le mâle. Les poussins sont nidicoles et restent au nid pendant 7 semaines avant l’envol. Après l’envol, ils restent dépendant des parents pendant environ 50 jours (http://www.hbw.com). Les deux adultes nourrissent la couvée avec du liquide régurgité pendant les premiers jours. Ensuite, ils leur apportent de la nourriture plus solide au nid. Les oisillons la prennent directement dans leur gorge. Ils sont emplumés au bout de 50 jours. Ils atteignent leur maturité sexuelle entre trois et quatre ans (http://www.oiseaux-birds.com/fiche-grand-cormoran.html).
Le Cormoran à poitrine blanche Phalacrocorax carbo lucidus se reproduit dans le centre, à l’Ouest, à l’Est et au Sud de l’Afrique. Les populations de l’Afrique de l’Ouest se reproduisent sur les îles du Cap-Vert et le long de la côte atlantique de la Mauritanie à la Guinée (VEEN et al, 2002 ; REYNAUD, 1994).
La période de reproduction ne connait pas de consensus entre certains auteurs. Selon DEKEYSER & DERIVOT, 1968 et MOREL & MOREL, 1990, elle débute en octobre dans les sites comme le Banc d’Arguin, à l’Aftout mauritanien, au delta du Sénégal, aux iles Bissagos, au PNOD (Parc National des Oiseaux de Djoudj) et PNIM (Parc National des Iles de la Madeleine). Cependant, CHILDRESS & BENNUN, 2001 mentionnent qu’elle se déroule principalement en Avril- Juin dans toute l’Afrique sub-saharienne, quel que soit le climat local ou les différences de tendance photopériode. Le stimulant serait le début des grandes pluies.
Les oiseaux qui se reproduisent tôt dans la saison, ont un succès de reproduction le plus élevé. En effet, ces derniers seront généralement les oiseaux les plus âgés, les plus expérimentés (et donc les plus efficaces) qui occupent les sites de nidification privilégiés (CHILDRESS & BENNUN, 2003).
Comportement et régime alimentaire :
Le mode de vie d’un oiseau est souvent adapté à la morphologie de ses membres. Les formes de bec et les pattes et l’aptitude à effectuer tel ou tel mouvement, nous permettent de déduire aisément le régime alimentaire. Grâce à leurs adaptations morphologiques et physiologiques très développées, de nombreux oiseaux marins sont des plongeurs performants (KUNTZ, 2004). Dans ce contexte, le palmipède Phalacrocorax carbo lucidus, avec la forme des pattes (voir paragraphe d’inscription ci-dessus), est un exemple fascinant.
Ils sont des prédateurs de poissons, de crustacés, d’amphibiens et des insectes dans les eaux marines, saumâtres et douces (VELDKAMP, 2000; VEEN et al, 2012 ; http://www.hbw.com). Ils sont quasi-généralement piscivores, opportunistes et généralistes. L’espèce de poissons la plus accessible (généralement la plus abondante dans les milieux où ils se nourrissent), se retrouve majoritairement dans leur régime alimentaire (BAHIZIRE & LIBOIS, 2010 ; VEEN et al, 2012).
Les cormorans sont des plongeurs benthiques (ils prospectent sur le fond). L’immersion se fait à partir de la surface de l’eau, et non pas après un piqué aérien, comme chez les fous bassan. Les pieds palmés leur permettent de se propulser sous l’eau. Ils les battent simultanément d’avant en arrière et replient les ailes (qui ne servent pas à la locomotion) le long du corps. Pour donner plus d’impulsion au mouvement, ils plient et déplient le cou en même temps qu’ils battent les pieds. La localisation des proies est faite visuellement. Ils sont capables de capturer leurs proies dans des conditions d’éclairement minimales, et de manière très efficace. Lorsque de petits poissons sont capturés, ils peuvent être ingérés au cours de la plongée. Mais, pour de gros poissons, le cormoran remontera à la surface avant de l’ingérer. En effet, cette grosse prise nécessitera d’être manipulée un certain temps avant d’être avalée. La profondeur de plongée chez le cormoran varie entre quelques mètres et plus de 100 mètres et la durée entre quelques secondes et plus de 5 min (COOK, 2008). Les cormorans pêchent seuls, mais on peut parfois observer des pêches collectives regroupant plusieurs centaines d’individus, qui plongent de manière synchronisée (COOK, 2008 ; VELDKAMP, 2000).
Le régime alimentaire de phalacrocorax carbo lucidus (grand cormoran) ne peut pas être prédéfini. En effet, l’étude qui a porté sur les trois sites suivants : île Zira (Banc d’Arguin en Mauritanie), îlot aux oiseaux (une petite île dans l’estuaire du fleuve Sénégal) et les îles de la Madeleine (Dakar) (VEEN et al. 2012) montre une dominance des espèces Arius spec (38%), Brachydeuterus auritus (26%) et Cynoglossus spec (12%). Certaines familles sont dominantes dans leur régime alimentaire. Il s’agit de : des Haemulidae (62 %) et des Batrachoididae (20%) sur l’île de la Madeleine ; des Sparidés (30%), des Mugilidae (23%), Cichlidae (17%) et des Batrachoididae (19%) sur l’île Zira ; et des Ariidae (73%) et des Cynoglossidés (24%) sur l’îlot aux Oiseaux. En ce qui concerne l’étude faite au niveau du lac de Malawi le régime alimentaire de Phalacrocorax carbo lucidus est constitué essentiellement de Cichlidae : principalement d’Haplochromis (90,11%) et secondairement de Tilapia sensu lato (6,59%). Cinq sur six groupes de poissons présents au littoral du lac Kivu sont des proies du grand cormoran (BAHIZIRE & LIBOIS, 2010).
La composition du régime alimentaire varie en fonction de la diversité, de la taille des proies et les localités qu’ils fréquentent. Elle varie également en fonction des stades de développement (adulte ou oisillon) (VELDKAMP, 2000).
Le grand Cormoran consomme environ 400 grammes de poissons par jour. La taille de leur proie varie : 0,22 à 25 cm. La majorité mesure moins de 100 mm (de longueur totale) (VEEN et al. 2012 ; BAHIZIRE & LIBOIS, 2010).
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Table des matières
INTRODUCTION
CHIPITRE I : SYNTHESE BIBLIOGRAPHIQUE
I-1-SITE D’ETUDE
I-1-1 Technopôle
I-1-1-1-Présentation et localisation géographique
I-1-1-2-Climat
I-1-1-3-Hydrologie
I-1-1-4-Végétation
I-1-1-5-Faune
I-2-L’ESPECE ETUDIEE
I-2-1-Description
I-2-2-Taxonomie
I-2-3-Zone de répartition et Habitats
I-2-4-Taille
I-2-5-Menaces et Statut
I-3-ETHOLOGIE DU GRAND CORMORAN
I-3-1-Reproduction
I-3-2-Comportement et Régime alimentaire
I-3-3-Migration
CHAPITRE II : Matériels et Méthodes
II-1-MATERIELS
II-2-METHODES
II-2-1-Dénombrement
II-2-2-Etude des comportements
II-2-3-Exploitation des données et analyse statistique
CHAPITRE III : Résultats et Discussion
III-1-RESULTATS
III-1-1- Effectif de Phalacrocorax carbo lucidus (grand cormoran) au Technopôle
III-1-2-Distribution spatiale de l’espèce au Technopôle
III-1-3-Etude comportementale du grand cormoran
III-2-DISCUSSION
CONCLUSION, RECOMMANDATION ET PERSPECTIVE
REFERENCES BIBLIOGRAPHIQUES
REFERENCES WEBOGRAPHIQUES
ANNEXES
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