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comment mesurer le développement d’un pays ?
Donc, pour mesurer le développement, La PNUD élabore des indices pour connaitre le niveau du développement d’un pays:
L’IDH
C’est un instrument élaboré par le PNUD qui regroupe 3 indicateurs principalement
Indicateur de longévité
Indicateur d’instruction
Indicateur de condition de vie
Mais actuellement, on tient compte de quatre variables : le revenu, l’espérance de vie, l’alphabétisation des adultes et le nombre moyen d’étude en séparant les trois niveaux primaire, secondaire et supérieur (PNUD, 2010).
Selon la classification du PNUD (dans ses Rapports sur le développement humain en 1990), il classe chaque année les pays selon la valeur de leur IDH en 3 groupes :
– Les pays à faible développement humain : l’IDH est inférieur à 0.5 ;
– Les pays à développement moyen : l’IDH est compris entre 0.5 et 0.799 ;
– Les pays à développement élevé : l’IDH est supérieur à 0.8.
Plus l’IDH est élevé, plus le niveau du développement est très important et inversement.
Le PIB
La Banque Mondiale opère chaque année une classification des pays selon le niveau de Produit Intérieur brut ou de Produit National Brut par habitant. La banque Mondiale intègre un indicateur monétaire.
En 2009, la Banque Mondiale publie des tranches de revenu où les pays peuvent se classer économiquement en termes de développement sur la base du revenu :
– Pays à faible revenu : revenu national brut par habitant est inférieur ou égal à 975 Dollars ($)
– Pays à revenu moyen bas : RNB par habitant est compris entre 865 et 978 Dollars ($)
– Pays à revenu moyen haut: RNB par habitant est compris entre 3866 et 11905 Dollars ($).
– Pays à revenu élevé : RNB par habitant est supérieur ou égal à 11906 Dollars.
La Banque Mondiale considère que les pays en développement sont réunis dans les trois premiers groupes alors que les pays développés figurent dans le groupe des pays à revenu élevé.
EDUCATION, CROISSANCE ECONOMIQUE ET DEVELOPPEMENT
Dans ce prochain chapitre, nous allons voir la relation entre l’éducation, la croissance et le développement.
LIEN ENTRE EDUCATION ET CROISSANCE ECONOMIQUE
Trois courants de pensée vont aborder la question de la relation entre éducation et croissance/développement:
l’école néoclassique,
la nouvelle économie classique et
l’approche en termes de développement humain.
LA PENSEE ECONOMIQUE CLASSIQUE
La théorie néoclassique pense comme, l’accumulation des facteurs de production qui est l’ensemble de capital et travail, c’est la principale source de création des richesses et de la croissance économique. Comme Adam Smith (1723-1790) dans son ouvrage intitulé : La Richesse des Nations, publié en 1776, que l’augmentation de la productivité des individus et de la nation est causée par l’augmentation des investissements dans la formation et l’éducation.
Pour les classiques, l’éducation est très importante car elle a une double fonction :
comme un instrument pour rendre meilleur des capacités productives des individus,
comme un moyen d’amélioration morale (DELAMOTTE, 1998).
Pour l’auteur classique comme Jean Jacques Paul (1999), il avance qu’on a besoin de donner des enseignements élémentaires aux travailleurs qu’ont besoin seulement de leurs forces physiques pour finir leurs tâches. Leurs buts sont de fournir les salariés aux règles Selon l’ordre et la discipline dans le lieu de travail. Ces règles sont comme la ponctualité, la régularité, le respect de l’autorité et la sobriété…
Adam Smith pense que si un individu est éduqué, il devra avoir un poste convenable à sa formation que l’on obtient à l’éducation avec un salaire élevé. Autrement dit, plus un individu investit dans l’éducation, cela lui permet d’obtenir de profit dans le travail.
Pour Adam Smith (1776, pp175) : « Quand on a établi une machine coûteuse, on espère que la quantité supplémentaire de travail qu’elle accomplira avant d’être usée remplacera le capital employé à l’établir, avec les profits ordinaires tout au moins. Un homme éduqué au prix de beaucoup de travail et de temps en vue de l’une de ces professions qui exigent une habileté supérieure peut être comparé à l’une de ces machines coûteuses. On doit espérer que la fonction à laquelle il se prépare lui rendra, outre les salaires du simple travail, de quoi l’indemniser de tous les frais de son éducation, avec au moins les profits ordinaires d’un capital de même valeur. Il faut aussi que cette indemnité se trouve réalisée dans un temps raisonnable, en ayant égard à la durée très incertaine de la vie des hommes, tout comme on a égard à la durée plus certaine de la machine. C’est sur ce principe qu’est fondée la différence entre les salaires du travail qui demande une grande habileté et ceux du travail ordinaire ». Smith explique que la distinction entre les hommes vient de leurs qualifications et de leurs capacités prises par l’éducation. Cette différence est marquée par la différence en terme revenus donner.
Du point de vue développement, Mill (1848), l’éducation est un instrument pour permettre à un individu de mieux réfléchir avant de prendre des décisions. L’instruction rend le travailleur plus honnête dans son travail journalier. La production de richesses matérielles est alors acquise par le niveau d’instruction d’un travailleur.
On va voir l’explication de la théorie du capital humain sur la relation entre l’éducation et la croissance
LA THEORIE DU CAPITAL HUMAIN
À partir des travaux de R.M. Solow sur le rôle du progrès technique dans la croissance, par Mincer (1958), T.W.Schultz (1963) et G.S. Becker (1964), cette théorie a été développée.
Les principales caractéristiques de ces modèles sont : l’exogénéité du progrès technique et l’impact des investissements en capital humain’ sur la productivité de la main- d’œuvre.
Dans ce modèle, les rendements privés de l’éducation sont calculés à partir des revenus supplémentaires dérivés d’une année de maintien dans le système d’éducation, le coût privé étant consume par le manque à gagner constitué par ce que les individus auraient pu gagner s’ils avaient travaillé au lieu d’étudier une année de plus. Le rendement social’ est, par construction, inférieur au rendement privé puisqu’il est calculé en prenant en compte les dépenses publiques d’éducation. Ces modèles sont utilisés pour mesurer 1’impact de l’investissement éducatif’ sur la croissance (ex-post), ce qui permet de justifier l’importance accordée à, l’éducation, et pour orienter (ex-ante) les choix d’investissement dans le domaine de l’éducation, ce qui débouche sur une série de recommandations en matière de politique d’éducation et de financement public de l’éducation.
Qu’est que c’est le capital humain ?
Pour bien éclairer notre travail, on va définir d’abord la notion du « capital humain »
Le capital humain :
– c’est l’ensemble des capacités apprises par les individus et qui augmentent leur efficacité productive.
– Pour L’OCDE (1998) il s’agit: «connaissances, qualifications, compétences et autres
qualités possédées par un individu et intéressant l’activité économique ».
Le rôle de capital humain dans la croissance est très important. A partir de cette définition de l’OCDE, les capacités d’un individu sont traitées par le niveau d’éducation et de l’utilisation dans le domaine de travail.
Le capital humain est un bien non matériel dont la productivité, l’innovation peut être soutenue. Selon le modèle de R.M. Solow, est augmenté pour inclure aux côtés du capital physique, le capital humain qui, intègre l’éducation, l’aptitude et l’expérience et Selon Becker (1994), la théorie du capital humain vient de la théorie du capital physique. Ce dernier fait partie de l’équipement dans lequel une entreprise investit afin de produire de biens et de services.
Pour investir, on a besoin de moyen et c’est la formation de l’éducation en fait partie. L’éducation est un outil pour augmenter les capacités productif d’un travailleur, en élargissant ses connaissances, aptitudes et compétence car une firme suppose comme un étudiant. Elle a un stock de capital humain. Elle a un objectif d’augmenter leur stock de capital physique. Cet étudiant, tout comme cette firme, veut aussi accroitre leur réserve de capital humain en investissant dans la formation et l’éducation.
Selon MINCER (1958), le salaire d’un travailleur informé ou formé ne diffère que celle d’un individu que n’en a pas.
Donc au total, L’investissement en éducation est une des facteurs à une croissance économique soutenue et durable. Le taux de croissance de l’éducation affecte le taux de croissance d’une économie.
LES THEORIES DE LA CROISSANCE ENDOGENE
Au début du 20é siècle, cette théorie a été marquée par de l’approche néo-classique de la croissance. Les nouvelles théories de la croissance ou croissance endogène remettent en question l’idée d’un progrès technique exogène, et se développer sur la base critique du modèle de Solow.
La théorie de la croissance endogène explique que la croissance est auto-entretenue grâce aux rendements marginaux croissant ou grâce à une externalité positive née de la diffusion des connaissances (Marielle Monteil, 2001).
Cette théorie explique également qu’il existe 3 facteurs qui influent sur le taux de croissance d’une économie : l’accumulation du capital humain, du modèle du savoir et recherche, et du modèle néo-schumpétérien.
LE MODELE DE LUCAS: LA THEORIE D’ACCUMULATION DU CAPITAL HUMAIN
L’accumulation du capital humain est mise en valeur par Lucas (né en 1937, prix Nobel en 1995) peut être volontaire ou accumulation des connaissances et involontaire ou Learning by doing. Selon Lucas (1988), le niveau de la production dépend nécessairement du niveau de l’éducation, et que le taux d’accroissement de cette production suivra le taux d’accroissement du stock du capital humain.
Pour lui, l’accumulation du capital humain a un effet positif sur la croissance économique d’un pays. L’amélioration de niveau d’éducation et de formation chaque individu augmente le stock de capital humain de la nation et ça contribue à améliorer la productivité de l’économie nationale.
Dans son modèle, la quantité de temps non utilisée dans la production mesure l’éducation. Le temps de chaque travailleur divise en deux donc l’un pour la formation et le reste pour l’activité économique afin d’arriver à la croissance.
Dans cette approche, on suppose la réserve du capital humain comme un instrument de la production à savoir le travail et le capital. Donc il existe une relation entre le niveau de la production et les réserves de capital humain, la croissance de la production dépend de la croissance de la réserve du capital humain.
LE MODELE DE RÖMER
P. Römer a étudié la recherche développement. Il pense que le capital physique, la technologie, le capital humain et le capital public, ce sont les conditions favorables de la croissance endogène. La technologie vient de l’innovation que fait par le chercheur qui engendre le rythme de la croissance.et plus le chercheur à l’idée, plus il aura de nouvelles idées. Autrement dit, la conséquence principale de l’accumulation des connaissances, c’est la croissance. Dans ce cas l’investissement en éducation est la clé. C’est ce que Römer appelle le phénomène d’externalité.
La croissance économique résulte donc de ces activités comme l’innovation engagée par des agents qui veulent en tirer profit.
LA THEORIE NEO-SCHUMPETERIENNE DE LA CROISSANCE ENDOGENE: LE MODELE AGHION ET HOWITT
D’après ces deux auteurs : Aghion et Howitt (1992), une amélioration de la qualité des biens en utilisant l’innovation industrielle engendre la croissance. Ces biens produits sont rendus par les progrès technologique.
L’éducation est l’une des clés principales du développement économique et de l’amélioration du bien être humain. Elle est considérée comme l’une des sources de la création d’avantage de compétition liée étroitement à la croissance économique. C’est un moyen pour plusieurs pays qui leur permet d’attirer plus d’emplois et de réaliser plus d’investissements.
L’éducation exerce une relation positive sur la croissance économique tout en adoptant un niveau de formation important et par suite une main d’œuvre qualifiée.
L’efficacité de la croissance vient des nouveaux biens, des nouvelles méthodes de production…
Dans l’analyse de la théorie néo schumpétérienne sur la croissance endogène, il y a la technologique, la recherche et développement et les politiques d’importation et des techniques étrangères qui sont très important dans la croissance économique. Cette théorie explique que dans les pays développés, l’utilisation de ces activités accélère leurs croissances (HOWITT, 2004).
Les pays ou les investissements en recherche et développement prennent une place importante et mieux plus implorants présenteront des taux de croissance élevés.
Selon Benhabib et Spiegel (1994), le capital humain ou le niveau de l’éducation de la main d’œuvre affecte la croissance économique. Pour ce faire, ils proposent un modèle alternatif associé à la théorie de croissance endogène. Dans ce modèle, le capital humain contribue à la croissance économique suivant deux mécanismes .premièrement, le niveau du capital humain influence de manière implicite l’innovation technologique produite localement comme pour Romer (1990). Deuxièmement, le stock du capital humain affecte la vitesse d’adaptation technologique étrangère.
AGHION et COHEN (2003) a aussi prolongé cette théorie qui considère que: « L’organisation du système éducatif affecte le potentiel de croissance différemment selon le niveau de développement économique ». Le niveau de croissance d’un pays est conditionné par le niveau de développement de l’éducation. L’impact concret de l’éducation sur la croissance se situe souvent au sein des pays développés. Le stock d’éducation facilite les capacités d’innovation. L’innovation a donc un rôle crucial dans la croissance économique.
D’après, Rasera (1999) affirme que l’éducation améliore la cohésion sociale et la communication ainsi que l’efficacité dans la recherche et, par conséquent, affecte positivement la croissance économique. Cet auteur prévoit que l’éducation a des effets externes sur la productivité tels que le progrès technique et l’innovation qu’ils permettent des bénéfices non marchands privés et sociaux.
Pour les pays en voie de développement, le rattrapage du progrès technique (AGHION et COHEN, 2003) et d’avoir le niveau de développement des pays développés est le but. Il s’agit de se focaliser d’avantage sur les activités d’innovation et d’imitation.
L’EDUCATION DEVIENT UN PASSEPORT PERMETTANT AUX FEMMES D’INVESTIR LE MARCHE DU TRAVAIL.
« Lorsqu’’une société accepte l’emploi formel des femmes, celles qui possèdent plus d’instruction se trouvent en meilleure position pour obtenir un emploi rémunéré. Au Mexique, alors que 39 % des femmes qui ont été scolarisées dans le primaire sont employées, cette proportion passe à 48 % pour celles qui ont fait des études secondaires ». (Banque mondial en 2010)
L’EDUCATION EST UN INSTRUMENT DE REGULATION DES TAUX DE FECONDITE ET DE LA CROISSANCE DEMOGRAPHIQUE.
Psacharopoulos et Woodhall (1988), p315-316) affirmaient comme ceci : « On ne doit pas attendre de l’éducation une réduction de la fécondité dans toutes les circonstances. Dans les sociétés les plus pauvres et les plus illettrées, en particulier, une légère expansion de l’éducation peut en fait induire une fécondité plus élevée. Il semblerait qu’à long terme, l’éducation finisse par réduire la fécondité. L’élévation du niveau d’éducation des femmes a plus de chances de réduire la fécondité que l’élévation de celui des hommes. La réduction de la fécondité due à l’éducation est plus probable en zone urbaine qu’en zone rurale ».on trouve que dans les pays pauvres, le taux de fécondité et notamment dans les zones rurales accroit de plus en plus. Une augmentation qui est engendrée par un faible taux d’alphabétisation et aussi par la mauvaise qualité de formation dans l’éducation.
L’éducation a déjà été l’un des facteurs déterminants de la transition démographique ou de la baisse des taux de fécondités et de mortalité. Le déclin d’environ 70 % des fécondités intervenues dans les années 1960 et 1970 peut s’expliquer par les progrès de la scolarisation. L’Afrique subsaharienne pourrait suivre le même chemin. Dans cette région, les femmes sans
Instruction donnent en moyenne naissance à 6,7 enfants, contre 5,8 chez les femmes ayant suivi un enseignement primaire et 3,9 chez celles qui ont suivi des études secondaires. Si toutes les femmes avaient fait des études secondaires, ce nombre chuterait de 37 %, passant de 31 à 19 millions.
DÉVELOPPEMENT URBAIN
La concentration des populations instruites dans les zones urbaines favorise l’innovation et le développement économique locaux.
L’éducation aide à surmonter les difficultés de la vie en ville
CONCLUSION DE LA PREMIERE PARTIE
Pour conclure cette première partie, on constate que le mot « développement » est une étape complexe venant d’une combinaison de beaucoup facteurs surtout la croissance durable, comme la modification des structures socio- économiques, les progrès technologiques et techniques d’un pays, la modernisation socio- politique et l’amélioration globale du niveau de vie de la citoyenne (Adelman, 2001). Comme « éducation » est une activité sociale pour transmettre une connaissance structurée. Son objectif est de l’intégration de l’individu au sein d’une société où il demeure. La prise de décision est facilitée par l’éducation et l’efficacité du travail humain est augmentée. L’éducation débute dès l’enfance et jusqu’à la mort. Elle favorise la croissance, c’est un outil pour faire face aux chocs économiques, pour s’adapter au changement climatique, pour faire baisser le taux de fécondité, pour préserver la santé (surtout des enfants) et pour arriver le développement rural.
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Table des matières
INTRODUCTION GENERALE
PARTIE I : UNE APPROCHE THEORIQUE SUR LE DEVELOPPEMENT ET EDUCATION
CHAPITRE I : CONCEPTS DU DEVELOPPEMENT ET L’EDUCATION
I.1- NOTION D’EDUCATION
I.1.1- DEFINITION
I.1.2- DEFINITION RETENUE PAR L’AUTEUR : DURKHEIM
I .1.3-QUI SONT LES RESPONSABLES DE L’EDUCATION ?
a) Les rôles des parents
b) Les rôles de la société
I.1.4- LES TYPES FORMES D’EDUCATION EXISTANTE
I.2- DEVELOPPEMENT
I.2.1- Généralités sur le développement
I.2.2- Développement durable /soutenable
I.2.3 – Développement rural
I.2.4- comment mesurer le développement d’un pays ?
A. L’IDH
B. Le PIB
CHAPITRE II- EDUCATION, CROISSANCE ECONOMIQUE ET DEVELOPPEMENT
II.1- LIEN ENTRE EDUCATION ET CROISSANCE ECONOMIQUE
II. 2- LA PENSEE ECONOMIQUE CLASSIQUE
II.4- LES THEORIES DE LA CROISSANCE ENDOGENE
II.4.1- LE MODELE DE LUCAS: LA THEORIE D’ACCUMULATION DU CAPITAL HUMAIN
II.4.2- LE MODELE DE RÖMER
II.4.3- LA THEORIE NEO-SCHUMPETERIENNE DE LA CROISSANCE ENDOGENE: LE MODELE AGHION ET HOWITT
CHAPITRE III : LE ROLE ET LA CONTRIBUTION DE L’EDUCATION AU DEVELOPPEMENT
III.1- GAIN DE SANTE
III.2- L’EDUCATION DEVIENT UN PASSEPORT PERMETTANT AUX FEMMES D’INVESTIR LE MARCHE DU TRAVAIL.
III.4- DÉVELOPPEMENT URBAIN
CONCLUSION DE LA PREMIERE PARTIE
PARTIE II : ANALYSE CAS DE MADAGASCAR
CHAPITRE IV : CONTEXTE DE MADAGASCAR
IV- APERÇU GLOBAL DU DEVELOPPEMENT DE MADAGASCAR
IV.1- Situation géographique et démographique
IV.2 – Contexte socioéconomique et politique
IV.2.1- L’état du développement humain de Madagascar
IV.2.2- L’état de la croissance économique de Madagascar
IV.2.3- Développement rural
IV.2.4- L ’agriculture
IV.3- LA STRUCTURATION DU SYSTEME EDUCATIF MALAGASY
IV.3.1- L’enseignement Primaire
IV.3.2- L’enseignement secondaire
IV.3.3- L’enseignement supérieur
CHAPITRE V : LES APPORTS DE L’EDUCATION AU DEVELOPPEMENT DU PAYS
V.1- LE NIVEAU D’INSTRUCTION DE POPULATION ACTIVE ET PRODUCTIVITE A MADAGASCAR
V.2- LE NIVEAU D’INSTRUCTION DE POPULATION ACTIVE ET LE REVENU
CONCLUSION
BIBLIOGRAPHIE
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