ECOLOGIE SPATIALE et DYNAMIQUE DES FORETS

La dรฉforestation, une problรฉmatique mondiale

ย  ย  ย  ย  ย  ย  ย  Les forรชts tropicales sont considรฉrรฉes comme le premier rรฉservoir mondial de diversitรฉ biologique terrestre, aussi bien en ce qui concerne les espรจces que les รฉcosystรจmes. Elles constituent un habitat important pour les animaux migrateurs et supportent jusqu’ร  50% de toutes les espรจces prรฉsentes sur Terre, ainsi que de nombreuses cultures indigรจnes diverses et uniques (Butler, 2009). Les forรชts tropicales jouent un rรดle primordial dans la rรฉgulation du climat mondial tout en maintenant des prรฉcipitations rรฉguliรจres, et luttant contre les inondations, les sรฉcheresses, et l’รฉrosion. Elles emmagasinent de vastes quantitรฉs de carbone, tout en produisant une quantitรฉ significative de l’oxygรจne terrestre (Ciesla 1997 ; Lescuyer et Locatelli, 1999) ; leur importance pour l’รฉcosystรจme mondial et la vie des hommes est donc fondamentale. Toutefois le recul constant des forรชts primaires dans la plupart des pays tropicaux est trรจs prรฉoccupant. Les vastes bandes de forรชt qui ont tapissรฉs les terres du globe ont รฉtรฉ rรฉduites ร  quelques fragments dispersรฉs; aujourd’hui, plus des deux tiers des forรชts tropicales ร  travers le monde n’existent que comme des restes fragmentรฉs. Il y a quelques milliers d’annรฉes seulement, les forรชts tropicales ont couvert jusqu’ร  12% des terres de la Terre, soit ร  peu prรจs 15,5 millions de kilomรจtres carrรฉs, mais aujourd’hui moins de 5% des terres sont occupรฉes par ces forรชts (ร  peu prรจs 625 millions d’hectares) (Butler, 2009). Entre 1990 et 2005, le monde a perdu 3% de son espace forestier total, ce qui reprรฉsente une perte moyenne de 0,2 % par an (FAO, 2009). La dรฉforestation peut รชtre definie comme ยซย la conversion de la forรชt pour une utilisation diffรฉrente du terrain ou la rรฉduction ร  long terme de la canopรฉe arboricole en dessous du seuil minimum de 10% ยป (FAO, 2000). La dรฉforestation nโ€™arrive pas subitement, mais rรฉsulte dโ€™un processus qui passe par des รฉtapes successives de dรฉgradation, et qui finalement va dรฉboucher par une dรฉforestation nette et visible ร  partir de lโ€™imagerie satellitaire (Kamungandu, 2009). La dรฉgradation des forรชts se dรฉfinit comme les changements au sein des catรฉgories forestiรจres (exemple dโ€™une forรชt dense ร  une forรชt claire), qui affectent nรฉgativement le peuplement ou le site en abaissant, en particulier, la capacitรฉ de production (FAO, 2000). Elle se rรฉfรจre ร  la rรฉduction de la capacitรฉ dโ€™une forรชt de produire des biens et desย  services (OIBT, 2002). La capacitรฉ comprend le maintien de la structure et des fonctions รฉcosystรจmiques (OIBT, 2005). Une forรชt dรฉgradรฉe ne fournit donc quโ€™une quantitรฉ limitรฉe de biens et des services et prรฉsente une diversitรฉ biologique modifiรฉe, avec notamment un appauvrissement de la diversitรฉ originelle. Les principales causes de dรฉforestation et de dรฉgradation des forรชts tropicales sont multiples (tableau 1), et le plus souvent dโ€™origine anthropique. La dรฉforestation et la dรฉgradation des forรชts ont modifiรฉ un grand nombre de paysages forestiers tropicaux, a tel point quโ€™au bas mot, sous les tropiques, on ne trouve plus que 42% du couvert forestier restant (ou 18% du couvert forestier originel) sur de vastes superficies contiguรซs (Simula, 2009). Au moins 830 millions dโ€™hectares de forets tropicales sont limitรฉes ร  des blocs fragmentรฉs, dont peut-รชtre 500 millions sont soient des forรชts tropicales primaires ou secondaires dรฉgradรฉes et peuvent รชtre considรฉrรฉes comme faisant partie des paysages forestiers modifiรฉs (OIBT, 2005). La fragmentation des habitats a รฉtรฉ reconnue comme une menace importante pour les รฉcosystรจmes forestiers tropicaux. Elle constitue un aspect de la dรฉgradation des forรชts car elle dรฉrive en grande partie des mรชmes facteurs (Simula, 2009). La fragmentation se dรฉfinit comme la subdivision dโ€™un habitat ou dโ€™un type dโ€™occupation des sols par des perturbations naturelles (ex., feux, chablis) ou par des activitรฉs humaines (ex. routes, agriculture) (PNUE/CDB/SBSTTA, 2001). La perturbation a รฉtรฉ dรฉfinie comme une fluctuation environnementale et un รฉvรฉnement destructeur qui affecte la santรฉ, la structure des forรชts, et/ou modifie les ressources ou lโ€™environnement physique ร  nโ€™importe quelle รฉchelle spatiale ou temporelle (Simula, 2009). Les perturbations sont le moteur de la dynamique du paysage et agissent ร  toutes les รฉchelles spatiales et temporelles (Bamba, 2010). De ce fait, il est important de les caractรฉriser (tableau 2). La dรฉgradation est gรฉnรฉralement causรฉe par des perturbations dont lโ€™ampleur, la sรฉvรฉritรฉ, la qualitรฉ, lโ€™origine et la frรฉquence sont variables (FAO 2006; Schoene et al. 2007). La fragmentation et la dรฉgradation des habitats causรฉes notamment par le dรฉboisement des forรชts constituent la principale menace sur la biodiversitรฉ. Ainsi, des traitรฉs et des conventions internationales relatives ร  la conservation de la biodiversitรฉ et ร  la protection de lโ€™environnement ont รฉtรฉ รฉtablies, telles que la Convention de Ramsar sur les zones humides dโ€™importance internationale (1971), la Convention sur le commerce international des espรจces de faune et de flore sauvages menacรฉes dโ€™extinction (CITES en 1973), la Convention de Bonn sur la conservation des espรจces migratoires (1979), la Convention sur la Diversitรฉ Biologique (en 1992), la Convention-Cadre des Nations unies sur les Changements Climatiques (en 1992). Dans le cadre de lโ€™application de ces conventions, la majoritรฉ des pays a pensรฉ que la sรฉcuritรฉ de jouissance des forรชts et la garantie de lโ€™accรจs aux ressources forestiรจres constituent des conditions prรฉalables de la gestion durable des forรชts. Ainsi, la superficie des forรชts possรฉdรฉes et gรฉrรฉes par les communautรฉs a doublรฉ entre 1985 et 2000 dans le monde, atteignant 22% dans les pays en dรฉveloppement (FAO, 2009). Subsรฉquemment, il est constatรฉ un recul de la dรฉforestation mondiale : un peu moins de 13 millions dโ€™hectares de forรชts ont รฉtรฉ convertis ร  dโ€™autres utilisations ou dรฉtruits par des facteurs naturels chaque annรฉe entre 2000 et 2010, contre prรจs de 16 millions dโ€™hectares par an pendant les annรฉes 90 La dรฉforestation mondiale, notamment la conversion des forรชts tropicales ร  lโ€™agriculture, a reculรฉ au cours des 10 derniรจres annรฉes, mais elle se poursuit ร  un rythme alarmant dans de nombreux pays, dโ€™aprรจs les rรฉsultats de lโ€™ร‰valuation des ressources forestiรจres mondiales 2010 (FAO, 2010).

Notion dโ€™indices de structure spatiale de paysage

ย  ย  ย  ย  ย  ย  ย La nรฉcessitรฉ dโ€™utiliser plusieurs indices pour caractรฉriser la structure spatiale dโ€™un paysage semble logique et beaucoup dโ€™indices sont ร  la disposition des รฉcologues pour cet objectif (Bogaert et Mahamane, 2005). Ces mesures sont souvent un indicateur de lโ€™impact humain sur la morphologie du paysage (Krummel et al., 1987 ; Burel et Baudry, 2003). Puisque aucune mesure ne peut rรฉsumer ร  elle seule toute la complexitรฉ de lโ€™arrangement spatial des taches, un ensemble de mesures doit gรฉnรฉralement รชtre effectuรฉ (Dale et al., 1994 ; Bogaert et Mahamane, 2005) ; cette idรฉe est ร  la base de lโ€™existence dโ€™une abondance dโ€™indices. La structure du paysage peut รชtre mesurรฉe soit en utilisant les statistiques et sโ€™exprimer en termes dโ€™unitรฉs de paysage (taille, forme, abondance, dispersion des taches) soit รชtre traduite par le rapport spatial entre les taches dโ€™un paysage et la matrice de ce mรชme paysage (Ripple et al., 1991 ; Farina, 2000 ; Bogaert et Mahamane, 2005). Dโ€™autres subdivisions sรฉparent les mesures de configuration (mesurant la gรฉomรฉtrie des taches et leur rรฉpartition spatiale) des mesures de la composition de paysage (proportion, richesse, รฉquitabilitรฉ, dominance) (McGarigal et Marks, 1995 ; Gustafson, 1998; Botequilha Leitรฃo et Ahern, 2002 ; Bogaert et Mahamane, 2005). Les mesures de composition et de configuration sont des outils qui caractรฉrisent les propriรฉtรฉs gรฉomรฉtriques et spatiales dโ€™une tache, ou dโ€™une mosaรฏque de taches (Fortin, 1999). Il est รฉgalement important dโ€™รฉtablir la diffรฉrence de ces mesures avec les statistiques spatiales (Botequilha Leitรฃo et Ahern, 2002). Les statistiques spatiales sont des outils qui estiment la structure spatiale sans considรฉrer des zones homogรจnes (taches) (Bogaert et Mahamane, 2005). Les mesures de configuration et de composition doivent รฉgalement รชtre distinguรฉes des ยซ mesures de changement ยป qui elles dรฉcrivent, lโ€™information qui concerne les changements au cours du temps dโ€™une mosaรฏque paysagรจre (Botequilha Leitรฃo et Ahern, 2002; Bogaert et Mahamane, 2005).

Quantification de la fragmentation

ย  ย  ย  ย  ย  ย  ย  ย  ย Le phรฉnomรจne de la fragmentation peut รชtre caractรฉrisรฉ par des indices qui peuvent รชtre regroupรฉs en deux catรฉgories : les indices de composition et les indices de la configuration. Les indices de composition dรฉcrivent les caractรฉristiques de base de la fragmentation. Les deux indices fondamentaux pour quantifier la fragmentation sont le nombre de taches et lโ€™aire des taches (Turner et al., 1989 ; McGarigal et al., 2002). Une diversitรฉ dโ€™indices a รฉtรฉ formulรฉe ร  partir de ces deux paramรจtres, ร  titre dโ€™exemple : lโ€™indice de la plus grande tache (LPI) (With et King, 1999), de lโ€™indice de la densitรฉ des taches (PD) (Saura et Martinez-Millan, 2001), etc. Les indices de configuration mesurent le degrรฉ de connectivitรฉ (Tischendorf et Fahring, 2000) ou, rรฉciproquement, d’isolement (Moilanen et Hanski, 2001) entre et parmi les taches sur un paysage. Ils sont ainsi liรฉs ร  lโ€™hรฉtรฉrogรฉnรฉitรฉ du paysage et au degrรฉ dโ€™artificialisation de la parcelle รฉtudiรฉe et donnent une mesure de la complexitรฉ des taches. La complexitรฉ est รฉquivalente au degrรฉ de dรฉtail qu’un systรจme montre ร  des รฉchelles de plus en plus petites, au degrรฉ de rรฉgularitรฉ qui se manifeste dans un systรจme et ร  la diversitรฉ dรฉployรฉe par les diffรฉrents niveaux d’un systรจme structurรฉ d’une faรงon hiรฉrarchique (Ducrot, 2005). Parmi la large gamme dโ€™indices de configuration, on peut citer lโ€™indice de forme (SI) (Schumaker, 1996), lโ€™indice de proximitรฉ (PX) (Gustafson et Parker, 1992 ; Hargis et al., 1998), la dimension fractale (D) (Hargis et al., 1998), lโ€™indice de connectivitรฉ (Si) (Vos et al., 2001 ;Moilanen et Hanski, 2001), etc. Par ailleurs, il est ร  noter que diffรฉrents degrรฉs ou types de fragmentation auront des effets distincts, conduisant ร  la surabondance dโ€™indice et suscitant de nombreuses discussions sur la quantification de la fragmentation au fil des ans (Bogaert, 2003). En effet, la fragmentation produit plusieurs changements quantifiables au niveau du paysage: rรฉduction de lโ€™habitat, augmentation de la lisiรจre, rรฉduction de la zone intรฉrieure, isolation des taches, augmentation du nombre de taches (Davidson, 1998). La plupart de ces changements peuvent รชtre รฉvaluรฉes sรฉparรฉment. Cependant, il n’existe pas de mesure unique qui capture tous ses aspects (Baskent et la Jordanie 1995), mรชme si une seule mesure est souvent utilisรฉe ร  tort comme une mesure globale (Davidson, 1998). Face ร  cette situation, deux approches peuvent รชtre utilisรฉes (Bogaert, 2003). La premiรจre consiste ร  sรฉlectionner lโ€™aspect de fragmentation le plus concernรฉ par la recherche, par exemple, lโ€™aire des taches (Robinson et al., 1992). Toutefois, il convient de noter que l’interprรฉtation dโ€™une mesure mono facteur a รฉtรฉ dรฉcrit comme ยซdรฉlicatยป (Davidson, 1998) ; la longueur du pรฉrimรจtre, lโ€™aire des taches, lโ€™aire de lโ€™intรฉrieure, lโ€™isolation et d’autres indicateurs de la fragmentation interagissent et peuvent changer de faรงon contradictoire. La seconde approche pour la quantification de la fragmentation est d’utiliser plusieurs mesures, parce quโ€™aucun indice ne peut saisir toute la complexitรฉ de la configuration spatiale des taches (Dale et al., 1994). L’utilisation de multiples mesures requiert ยซย un รฉquilibrageย ยป entre les mesures, souvent dans des unitรฉs diffรฉrentes. Une solution possible consiste ร  combiner plusieurs mesures comme un vecteur dans un hyperespace (Sharpe et al. 1982, Bogaert et al., 2000).

Analyse et traitement numรฉrique dโ€™image

ย  ย  ย  ย  ย  ย  La plupart des donnรฉes de tรฉlรฉdรฉtection รฉtant enregistrรฉes en format numรฉrique, presque toutes les interprรฉtations et analyses d’images requiรจrent une partie de traitement numรฉrique (Campbell, 2006 ; Lillesand et al., 2008). Ce traitement numรฉrique des images peut recourir ร  divers procรฉdรฉs dont le prรฉtraitement, le rehaussement de l’image, la transformation de l’image, la classification et lโ€™analyse de l’image. Les opรฉrations de prรฉtraitement ou restauration ou rectification d’image, servent ร  corriger les dรฉformations gรฉomรฉtriques et radiomรฉtriques des plates-formes et des capteurs spรฉcifiques (Bonn et Rochon, 1992). Les corrections radiomรฉtriques sont nรฉcessaires ร  cause des variations dans l’illumination et dans la gรฉomรฉtrie de visรฉe d’une scรจne, des conditions atmosphรฉriques, du bruit et de la rรฉponse du capteur (Yuan et Elvidge, 1996). Toutes les images de tรฉlรฉdรฉtection sont sujettes ร  des dรฉformations gรฉomรฉtriques (Stow et Chen, 2002) qui peuvent รชtre causรฉes par le mouvement du systรจme de balayage et de la plate-forme, l’orientation et la vitesse de celle-ci, l’altitude, le relief, la courbure et la rotation de la Terre, etc. Les corrections gรฉomรฉtriques ont pour but dโ€™attรฉnuer ces distorsions afin de rapprocher le plus possible lโ€™image de la rรฉalitรฉ. Ici รฉgalement, une modรฉlisation du mouvement de la plate-forme, du capteur et la relation gรฉomรฉtrique entre la plate-forme et la Terre, peut corriger ce type de dรฉformation (Kardoulas et al., 1996). Il est souvent nรฉcessaire dโ€™effectuer en plus, des correspondances gรฉomรฉtriques de lโ€™image avec un systรจme de coordonnรฉes au sol (Jensen, 1996). La diffusion du rayonnement peut diminuer une partie de l’รฉnergie illuminant la Terre (Liou, 2002). De plus, l’atmosphรจre attรฉnuera aussi le signal se propageant de la cible au capteur. Plusieurs mรฉthodes de corrections atmosphรฉriques peuvent รชtre utilisรฉes, allant de modรจles trรจs dรฉtaillรฉs des conditions atmosphรฉriques au moment de l’acquisition des donnรฉes (Caselles et al., 1997 ; Jacob, 1999), jusqu’ร  un simple calcul basรฉ sur les donnรฉes de l’image. La correction est appliquรฉe en soustrayant la valeur minimale observรฉe, de tous les pixels dans chaque bande (Helder et al., 1997 ; Jensen, 2007). Puisque la diffusion dรฉpend de la longueur d’onde, la valeur minimale variera d’une bande ร  l’autre. Cette mรฉthode est fondรฉe sur la supposition que la rรฉflexion de ces รฉlรฉments est trรจs petite, voire nulle si l’atmosphรจre est claire (Barima, 2009). En outre, le rehaussement des images facilite l’interprรฉtation visuelle et la comprรฉhension des images car il peut sโ€™avรฉrer que malgrรฉ les corrections dรฉcrites cidessus, lโ€™image ne soit pas excellente pour lโ€™interprรฉtation visuelle (Schowengerdt, 2007). En effet, la variation dans la rรฉponse spectrale des diffรฉrents types de cibles tels que la forรชt, la savane, lโ€™eau, etc. rend presque impossible lโ€™application dโ€™une correction radiomรฉtrique globale qui permettra maximiser le contraste et les niveaux dโ€™intensitรฉ de chacune des cibles (Barima, 2009). Il est donc nรฉcessaire de rรฉaliser un rehaussement des contrastes c’est-ร -dire un ajustement des tons en fonction de lโ€™utilisation et de lโ€™รฉtat de chacune des images (Schowengerdt, 2007). Plusieurs mรฉthodes de rehaussement existent et sont basรฉes sur le concept des histogrammes dont le rehaussement linรฉaire et les filtres spatiaux des images (Jensen, 1996 ; Lillesand et al., 2008).

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Table des matiรจres

1. INTRODUCTION GENERALE
1.1. Contexte de lโ€™รฉtude
1.1.1. La dรฉforestation, une problรฉmatique mondiale
1.1.2. Madagascar, un pays hotspot
1.1.3. La dรฉgradation de la forรชt de tapia
1.2. Problรฉmatique et objectifs
1.2.1. Problรฉmatique
1.2.2. Objectifs
1.2.3. Hypothรจses
1.3. Structure de la thรจse
2. ETAT DES CONNAISSANCES
2.1. Milieu dโ€™รฉtude : Arivonimamo II
2.1.1. Cadre physique
2.1.1.1. Situation gรฉographique
2.1.1.1. Climat
2.1.1.2. Relief
2.1.1.3. Hydrologie
2.1.1.4. Pรฉdologie
2.1.1.5. Flore et vรฉgรฉtation
2.1.1.6. Faune
2.1.2. Cadre รฉconomique et socioculturel
2.1.2.1. Dรฉmographie de la zone
2.1.2.2. Activitรฉs socio-รฉconomiques
2.2. La forรชt de tapia, รฉcosystรจme endรฉmique de Madagascar
2.2.1. Introduction
2.2.2. Localisation des forรชts de tapia
2.2.3. Ecologie de la forรชt de tapia
2.2.4. Multifonctionnalitรฉ de la forรชt de tapia
2.2.5. Facteurs de transformation et de dรฉgradation
2.2.6. Gestion communautaire de la forรชt de tapia
2.2.7. Conclusion
2.3. Le ver ร  soie, Borocera cajani
2.3.1. Biologie
2.3.2. Plantes nourriciรจres
2.3.3. Intรฉrรชts
2.4. Lโ€™รฉcologie du paysage
2.4.1. Dรฉfinition et concepts
2.4.2. Elรฉments du paysage
2.4.3. Echelle spatiale
2.4.4. Configuration de paysage
2.4.5. Notion dโ€™indices de structure spatiale de paysage
2.4.6. Analyse de la dynamique paysagรจre
2.4.7. Fragmentation forestiรจre
2.4.8. Quantification de la fragmentation
2.5. La tรฉlรฉdรฉtection, outil dโ€™analyse du paysage
2.5.1. Dรฉfinition
2.5.2. Signature spectrale
2.5.3. Rรฉsolution
2.5.4. Analyse et traitement numรฉrique dโ€™image
2.5.6. Classification des images
3. METHODOLOGIE GENERALE
3.1. Discussion mรฉthodologique
3.2. Approche mรฉthodologique
3.2.1. Choix de la zone dโ€™รฉtude
3.2.2. Rรฉcolte des donnรฉes
3.2.2.1. Investigation bibliographique
3.2.2.2. Etude cartographique
3.2.2.3. Inventaire forestier
3.2.4. Traitement de donnรฉes.
3.2.4.1. Analyse sylvicole
3.2.4.2. Ecologie du paysage
3.3. Contraintes et limites
4. IDENTIFICATION DES INDICATEURS DE DEGRADATION DE LA FORET DE TAPIA (Uapaca bojeri) PAR UNE ANALYSE SYLVICOLE
4.1. Introduction
4.2. Matรฉriels et mรฉthode
4.2.1. Milieu dโ€™รฉtude
4.2.2. Rรฉcolte des donnรฉes
4.2.4. Traitement des donnรฉes
4.3. Rรฉsultats
4.3.1. Strate arborรฉe
4.3.2. Sous-bois
4.4. Discussion
4.5. Conclusion
5. ANALYSE DES FACTEURS ANTHROPIQUES DE DEGRADATION DE LA FORET DE TAPIA (Uapaca bojeri) Dโ€™ARIVONIMAMO (MADAGASCAR)
5.1. Introduction
5.2. Matรฉriels et mรฉthodes
5.2.1. Milieu dโ€™รฉtude
5.2.2. Mรฉthodologie
5.3. Rรฉsultats
5.3.1. Frรฉquence des types de dรฉgradation
5.3.2. Etude de la structure spatiale
5.3.3. Etude de la synergie
5.4. Discussion
5.5. Conclusion
6. DESINTEGRATION STRUCTURELLE LA FORรŠT DE TAPIA (Uapaca bojeri) Dโ€™ARIVONIMAMO (MADAGASCAR) ENTRE 2005 et 2009
6.1. Introduction
6.2. Matรฉriels et mรฉthodes
6.2.1. Milieu dโ€™รฉtude
6.2.2. Etude cartographique
6.2.3. Analyse de la dynamique du paysage
6.3. Rรฉsultats
6.3.1. Sรฉparation des trois espรจces arborescentes
6.3.2. Classifications
6.3.3. Analyse de la dynamique du paysage
6.4. Discussion
6.5. Conclusion
7. MODELISATION DE LA DYNAMIQUE DU PAYSAGE FORESTIER DANS LA ZONE Dโ€™ARIVONIMAMO II, MADAGASCAR
7.1. Introduction
7.2. Matรฉriels et mรฉthodes
7.2.1. Traitement des images satellitaires
7.2.3. Processus de transformation spatiale
7.2.4. Modรฉlisation de la dynamique du paysage
7.3. Rรฉsultat
7.3.1. Composition du paysage
7.3.2. Dynamique du paysage
7.3.3. Modรฉlisation de la dynamique du paysage
7.4. Discussion
7.5. Conclusion
8. DISCUSSION GENERALE et RECOMMANDATIONS
8.1. Discussion gรฉnรฉrale
8.1.1. Vรฉrification des hypothรจses
8.1.2. Indicateurs de dรฉgradation des forรชts
8.1.3. Tรฉlรฉdรฉtection : non-sรฉparation des espรจces
8.1.4. Processus de transformation spatiale
8.1.5. Dรฉgradation de la forรชt de tapia et les vers ร  soie Borocera cajani
8.1.6. Impact du transfert de gestion de la forรชt
8.2. Recommandations
8.2.1. Sur le plan รฉcologique
8.2.2. Sur le plan socio-รฉconomique
8.2.3. Sur le plan juridico-institutionnel
9. CONCLUSION GENERALE
10. REFERENCES BIBLIOGRAPHIQUES
11. ANNEXES

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