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Dans l’espace UEMOA
L’enseignement supérieur a fait l’objet d’une harmonisation et donc d’un changement en profondeur dans les systèmes d’enseignement des huit pays membres de l’UEMOA. Ces systèmes fonctionnaient dans un cadre organisationnel propre à chaque Etat et dans une pénurie de ressources. De tels constats font qu’ils sont devenus incapables d’accomplir leur mission de formation des ressources humaines nécessaires pour pouvoir s’inscrire adéquatement dans la nouvelle société du savoir. Ne pouvant pas répondre adéquatement aux besoins en pour impulser un développement global de la société, ces systèmes d’enseignement propres aux différents pays, ont fait l’objet de plusieurs réformes appuyées par des partenaires comme la Banque Africaine de Développement (BAD). En effet, la BAD et l’UEMOA ont convenu d’un processus ayant permis de mesurer l’ampleur du problème validant ainsi un diagnostic émanant des divers acteurs de l’enseignement supérieur dans les différents pays membres de l’organisation. Ce processus a conduit à la formulation d’un vaste programme de réformes institutionnelles et académiques. En effet, l’urgence d’une réorganisation régionale de l’enseignement supérieur en Afrique subsaharienne et plus particulièrement dans la zone UEMOA a été pendant longtemps constatée par les acteurs de l’enseignement supérieur eux-mêmes qui ont produit de nombreux rapports circonstanciés. Cette détérioration du système d’enseignement constaté surtout dans la zone francophone s’est accélérée à partir de 1986, suite à l’application des premiers plans d’ajustement structurel (PAS) mis en avant par le Fond Monétaire International (FMI) et la Banque Mondiale (BM). En 1994, la dévaluation du franc CFA est venue aggraver une situation déjà précaire [14]. Ainsi pour contrecarrer cette dégradation du système d’enseignement, l’option retenue par l’UEMOA et ses différents partenaires favorisa une approche régionale visant l’intégration de l’enseignement supérieur et une méthodologie participative et incitative. Cette harmonisation a été proposée à travers un projet de réforme ayant pour but de favoriser le développement de l’enseignement supérieur en augmentant sa performance, sa pertinence et sa qualité. Pour améliorer l’efficacité externe du système, ce projet devra chercher à mieux rattacher les institutions d’enseignement supérieur, les personnels enseignants et techniques, les étudiants, les programmes d’études et de recherches ainsi que les structures, organes et associations du secteur économique, les producteurs, les employeurs et leurs partenaires publics et privés [14].
Au Sénégal :
Au Sénégal, le système d’enseignement supérieur a subi plusieurs mouvements et modifications aux origines diverses. Il s’agit d’abord de la dépendance du système d’enseignement au système français, l’explosion scolaire après les premières heures de l’indépendance, la politique volontariste de la scolarisation et l’effort financier de l’Etat pour le secteur de l’éducation de manière globale. Il y a aussi de nombreuses réformes institutionnelles qui ont été proposées de manière successive afin que tous les élèves issus du cycle primaire puissent avoir accès à l’enseignement secondaire, puis à l’enseignement supérieur. L’enseignement technique et professionnel s’est vu aussi renforcé [15].
Cette dernière réforme fait passer la conception humboldienne de l’Université de Dakar à sa création vers une conception plus pratique, plus moderne, proche de l’environnement économique et social, celle de l’Université fonctionnelle par la mise en place de structures aboutissant à une professionnalisation. Ainsi l’Université fut plus au service de la société et elle est chargée de former l’homme social c’est-à-dire le futur producteur. Elle devient alors « l’usine du savoir » ; une entreprise économique et financière qui doit obtenir le meilleur rendement possible, aussi bien dans le choix des programmes et des diplômes délivrés que dans celui des enseignants. Cette évolution rapidement esquissée des changements intervenus dans le système éducatif français, s’est imposée aux territoires français d’Outre – Mer puis au Sénégal. En effet, le Sénégal a fait sienne la législation française en matière d’enseignement supérieur (accords de coopération de 1961) jusqu’à la mise en place du premier statut juridique de l’Université en 1967. Il faudra attendre la crise universitaire de 1968 pour que se différencient juridiquement les deux systèmes éducatifs tout en gardant les deux conceptions dont ils sont issus [15].
Organisation des diplômes de l’enseignement supérieur
Cas des Etats Unis
Aux USA, l’organisation de l’année académique varie légèrement selon les établissements. Cependant, la norme est que celle-ci commence au début du mois de Septembre et se termine au mois de Mai. Elle peut être divisée en deux semestres de quatorze ou quinze semaines. Dans certains Etats américains, elle est subdivisée en trimestres qui durent environ dix semaines. En outre, les universités proposent très souvent des sessions d’été de six à huit semaines. Il n’existe pas de lois fédérales organisant les titres des diplômes délivrés que ce soit au niveau du premier cycle ou du second cycle américain. Bien que, chaque état réglemente le niveau des diplômes délivrés sur son territoire, chaque institution dispose d’une autonomie lui permettant de déterminer ses propres critères selon les standards établis par l’Etat ou par certaines agences dites d’accréditation [16].
Le baccalauréat constitue diplôme le plus délivré et la plupart des offres d’emplois qualifiés requiert son obtention. Il consiste en un cycle de 4 ans d’études à temps complet soit en Arts ou lettres (BA) soit en sciences (BS). Il existe quelques universités délivrant des baccalauréats spécialisés sur des domaines spécifiques comme l’éducation, les affaires sociales, l’infirmerie,). Si le cursus est conçu pour quatre années à temps plein, le temps moyen nécessaire pour l’obtention du BA est bien supérieur (6 ans).
Pour le premier cycle, il s’agit de diplômes délivrés au bout de 2 à 4 années d’études supérieures par les universités qualifiées de communautaires mais aussi par un petit nombre d’institutions proposant des formations plus longues de quatre ans. C’est le cas des diplômes dit « Degré associé ». Entre 1997 et 2007, une hausse importante de ce type de diplômes a était observée aux USA, les apprenants qui suivent ce cursus représentent actuellement 47% des étudiants du premier cycle et 40% des diplômés de ce niveau (soit 1.5 million de diplômés) [16]. Ces diplômes sont délivrés après l’obtention d’un certain nombre d’unités de valeur ou crédits réparties normalement sur quatre années de travail à plein temps. Ces diplômés doivent aussi remplir d’autres critères concernant les catégories de cours suivis. Chaque cours équivaut à un nombre précis de crédit ou des unités.
Parmi les nombreux enseignements proposés, on retrouve principalement des matières dites fondamentales avec la possibilité de les approfondir à partir de la troisième année d’étude. La plupart des étudiants choisissent une seule matière principale, mais certaines universités donnent la possibilité d’en avoir deux, sur des sujets voisins ou non [16]. Il existe aussi des matières complémentaires (ou cours mineurs) portant sur des thématiques telles que les « affaires européennes ou américaines » que l’étudiant souhaiterait approfondir, en plus de la matière principale. Certaines matières à option (ou cours électifs) sont aussi proposées dans des universités américaines. Ces enseignements peuvent être choisis dans différentes unités de formation et de recherche (département). Ils offrent la possibilité d’explorer d’autres sujets ou disciplines et de réunir le nombre de crédits nécessaires à l’obtention du diplôme.
Le second cycle correspond aux études dites « graduées ». Ce niveau regroupe les masters ainsi qu’une série de diplômes gradués propres à des professions spécifiques (diplôme de droit, de médecine, de business). La grande majorité des étudiants poursuivant ces études graduées le font en vue de l’obtention d’un diplôme de Master. La durée des études de Master est de deux ans, mais elle peut s’étaler de un à trois ans selon la spécialité choisie et l’université américaine concernée. Il en existe deux types de master:
‐ des masters de recherche correspondant à des cours à forte composante recherche auxquels s’ajoute généralement la rédaction et la soutenance d’un mémoire de recherche dans la spécialité et parfois la réalisation de projets. Cette formation fait partie du cursus à suivre en vue de l’obtention d’un doctorat de troisième cycle (ou de PhD). Toutefois ce diplôme sera délivré aux étudiants décidant d’arrêter leurs études avant la soutenance d’une thèse.
‐des masters professionnels au cours desquels la formation reçue plus appliquée au plan professionnel. Elle est accompagnée de la réalisation de plusieurs projets et de la rédaction de rapports. Les plus communs sont les masters en Arts et en Science et Techniques mais il existe une large gamme de dénominations correspondant à des domaines divers allant des affaires publiques à l’ingénierie en passant par les affaires environnementales et le droit [16].
Le Doctorat de troisième cycle ou de PhD concernant la plupart des élèves doctorants américains passe par trois phases différentes au cours de leurs études. La première étape, qui s’échelonne sur l’une ou même les trois années d’étude, permettant à l’étudiant de réaliser un travail personnel dans un domaine d’étude bien précis. Cette phase est précédée d’un examen « préliminaire » détaillé ou d’une série d’examens où l’accent est mis sur l’étendue des connaissances, plutôt que sur leur approfondissement. Souvent, l’étudiant doit passer par la suite à un examen écrit et oral dans son domaine de spécialisation, où l’accent est cette fois-ci mis sur l’approfondissement des connaissances. Certains parcours de doctorat requièrent que l’étudiant satisfasse des attentes en matière de pédagogie (prendre des cours d’enseignement pour des classes du supérieur et dispenser des enseignements de sciences appliquées à de nouveaux bacheliers.
Ces travaux de recherche lui permettront par la suite de rédiger une thèse composée dans sa première partie d’une revue de littérature détaillée et dans sa deuxième partie d’une description de la méthodologie et d’une partie conséquente d’analyse scientifique, sociale, historique, philosophique ou littéraire. Il est d’usage que le candidat défende ensuite ce travail au cours d’une soutenance, qui peut être parfois publique, face à un jury d’évaluation composé d’experts dans le domaine concerné. Par la suite une période supplémentaire est habituellement nécessaire pour permettre au diplômé de renforcer davantage ses connaissances dans sa spécialité, il s’agit surtout d’une période de stage encore appelée « post doctorale ». Dans la plupart des cas, ce travail correspond à la conduite d’un projet de recherche dans une autre structure.
Aux USA, l’entrée en programme de doctorat s’effectue normalement après le baccalauréat. Cela signifie que les deux années considérées comme Master de Recherche, sont généralement intégrées dans le parcours menant au doctorat. De fait, les étudiants poursuivant un doctorat n’obtiennent pas le diplôme de Master sauf s’ils décident d’abandonner leur thèse avant sa soutenance. Il est aussi possible d’accéder à un programme de doctorat après avoir complété un programme de Master en bonne et due forme. Après le baccalauréat, la durée des études est généralement de 5 ans mais il est courant d’obtenir son doctorat après une période plus longue [17].
Cas de l’espace Union Européenne
En France, le système d’enseignement supérieur est structuré autour d’une architecture européenne commune dénommée Système LMD (Licence-Master-Doctorat). Il a été adopté en 1999 dans le cadre du Processus de Bologne. Quarante-huit (48) pays ont adopté cette initiative, en vue d’harmoniser les diplômes, mais aussi de favoriser une lisibilité et une attractivité de l’espace européen de l’enseignement supérieur par la mobilité des étudiants, entre autres.
Ce système LMD s’organise en 3 cycles et prend pour référence les années ou semestres d’études validés depuis l’entrée dans l’enseignement supérieur et leur correspondance en ECTS (European Credit Transfert System). Il correspond aux niveaux de :
– la Licence qui dure six semestres et permet l’obtention de 180 ECTS
– du Master ayant une durée de quatre semestres à l’issu du quel l’étudiant obtient 120 ECTS ;
– le Doctorat d’une durée minimale de 6 semestres et qui équivaut à 180 ECTS.
Le système d’enseignement supérieur français se compose de nombreux établissements de qualité sur tout le territoire et offre une grande diversité de formations[18] .
Cas de l’espace UEMOA
Le diagnostic de l’enseignement supérieur a fait l’objet, au cours des dernières années, de nombreuses rencontres régionales et internationales dans la zone UEMOA. Les comptes rendus de ces rencontres convergent dans leurs conclusions vers certaines initiatives nationales d’examen des systèmes d’enseignement supérieur menées par les autorités des pays concernés. Ces conclusions ont permis d’approfondir certains aspects car ayant servi de fondements aux options d’appui adoptées par l’organisation sous régionale en vue d’une harmonisation des formations diplômantes et d’une rentabilité accrue de ces différentes formations par rapport aux besoins de populations locales et des indicateurs et objectifs de développement. En effet, l’adoption de ces directives organisationnelles a reposé sur la prise en compte de différentes caractéristiques telles que le niveau de développement socio-économique des huit pays de l’UEMOA qui appartiennent à la catégorie des économies à bas revenu selon la définition de la Banque Mondiale [19]. Le système éducatif devant être analysé aussi bien socialement qu’économiquement comme une composante de l’ensemble du système socio-économique national, il est important selon l’UEMOA d’en définir des priorités nationales de développement face à des contraintes fortes et multiples liées surtout à la pauvreté. L’enseignement supérieur est ainsi considéré comme étant une stratégie intégrée de lutte contre la pauvreté au sein de l’organisation. Un Cadre stratégique de lutte contre la pauvreté (CSLP) a été ainsi adopté par les différents pays membres de l’UEMOA. Dans ce document, sont définies certaines priorités en matières d’éducation, notamment celles relatives à l’enseignement supérieur. De ces priorités découlent les choix d’investissement des États et la part budgétaire accordée aux différents ordres d’enseignement. Le CSLP influence de plus les financements extérieurs effectués par des partenaires techniques et financiers pour l’appui leur mise en œuvre.
Toutefois l’importance accordée à l’enseignement supérieur varie en fonction de l’état de l’enseignement primaire et secondaire dans les différents pays. Les pays dont les systèmes primaires et secondaires sont les plus avancés, sont en meilleure position pour se fixer des objectifs d’amélioration de l’enseignement supérieur [19;20]. Dans l’espace UEMOA, le système LMD antérieurement décrit pour l’UE a été adopté par certains pays [21].
Au Sénégal, l’organisation de l’enseignement supérieur est assurée par le Ministère de l’Enseignement Supérieur et de la Recherche. Au sein de ce ministère, la Direction Générale de l’Enseignement Supérieur est chargée de la mise en œuvre de la politique nationale en matière d’Enseignement Supérieur. A ce titre, et sous l’autorité du Ministre, elle joue un rôle de coordination, d’harmonisation et de mutualisation des ressources humaines et matérielles.
Elle a pour mission :
d’appuyer l’élaboration des projets et des plans stratégiques nationaux et d’en assurer le suivi ;
de proposer au Ministre, après étude des dossiers, l’accréditation des établissements privés d’enseignement supérieur ;
de proposer et de mettre à jour la base de données de l’enseignement supérieur ;
de suivre et d’évaluer l’exécution des contrats de performance entre les universités et le ministère et assurer la reddition des comptes ;
d’élaborer des projets de loi et des décrets servant de référentiel aux universités ;
de veiller à la mise œuvre, après approbation du ministre, des recommandations de l’Autorité Nationale d’Assurance Qualité (ANAQ-SUP) [22].
En termes de formations, les diplômes et programmes en cours au Sénégal, comme dans les anciennes colonies de l’Afrique Occidentale française (AOF), étaient largement tributaires d’une ancienne réforme française de 1967, à savoir celle de FOUCHET qui a institué la licence en trois ans, la maîtrise en quatre ans, le Diplôme d’Etudes Approfondies (DEA) et le Doctorat de troisième cycle suivi d’un Doctorat d’Etat. Ce dernier diplôme est indispensable en Lettres et en Sciences pour accéder au grade de professeur. De plus, cette architecture comporte différents autres diplômes comme les diplômes d’Etudes Supérieures (DES) et les Diplômes d’Etudes Supérieur spécialisées (DESS). Ainsi l’adoption du système LMD a permis une simplification de l’architecture des repères et des diplômes en ramenant ceux-ci à trois : Licence, Master et Doctorat, avec comme conséquence majeure la suppression de la thèse de Doctorat d’Etat, un facteur bloquant dans la carrière des enseignants du Supérieur en Sciences et en Lettres, par le temps que cette thèse prend pour sa réalisation. La thèse d’exercice a été cependant maintenue en Médecine, en Pharmacie et en Odontologie.
Ce réaménagement de l’architecture fut une parfaite opportunité pour redéfinir le contenu des programmes et les méthodes d’enseignement, en vue de les conformer aux besoins, demandes et réalités de la société, et en intégrant l’utilisation des Technologies de l’information et de la Communication (TIC) dans le domaine de l’enseignement supérieur [22].
REFORMES DE L’ENSEIGNEMENT SUPERIEUR AU SENEGAL
Réforme LMD
Définition et origine
Le système LMD (Licence, Master et Doctorat) est le produit d’une réforme de l’enseignement supérieur ayant pour objet la création d’un espace européen de l’enseignement supérieur soutenue par l’Union Européenne [23]. Ainsi elle désigne un ensemble de mesures modifiant le système d’enseignement supérieur pour l’adapter aux standards internationaux.
Elle met en place principalement une architecture basée sur trois grades: licence, master et doctorat ; une organisation des enseignements en semestres et unités d’enseignement (UE) ; l’obtention de crédits et la délivrance d’une annexe descriptive aux diplômes.
Ce système a été initié en Europe depuis 1999 suivi de son adoption dans les autres points du monde notamment en Afrique en particulier le Sénégal en 2011 supprimant ainsi la Réforme française de 1967 ou réforme Fouchet [24].
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Table des matières
Introduction
PREMIERE PARTIE : GENERALITES SUR L’ENSEIGNEMENT SUPERIEUR
I. GENERALITES SUR L’ENSEIGNEMENT SUPERIEUR
I.1. Définition
I.2. Historique de l’enseignement supérieur
I.2.1. A travers le monde
I.2.2. Dans l’espace UEMOA
I.2.3. Au Sénégal :
II. Organisation des diplômes de l’enseignement supérieur
II.1. – Cas des Etats Unis
II.2 – Cas de l’espace Union Européenne
II.3 – Cas de l’espace UEMOA
III – REFORMES DE L’ENSEIGNEMENT SUPERIEUR AU SENEGAL
III.1 Réforme LMD
III.1.1. Définition et origine
III.1.2. Objectifs
III.1.3. Mise en œuvre
III.2. Réforme de 2013
III.2.1. Définition et origine
III.2.2. Objectifs
III.2.3. Mise en œuvre
DEUXIEME PARTIE : ECOLE DOCTORALE « SCIENCES DE LE VIE DE LA SANTE ET DE L’ENVIRONNEMENT »
I – DESCRIPTION DE L’ED-SEV
I-1- Création et Missions :
I-2- Place de l’ED-SEV à l’UCAD
I-3- Partenaires nationaux, sous régionaux et internationaux de l’ED-SEV
I-3-1 – Partenaires au niveau national
I-3-2- Partenaires au niveau sous-régional, régional et international
I-4- Organisation administrative de l’ED-SEV
I-4-1 – Direction administrative de l’ED-SEV
I-4-2 – Le Conseil Scientifique et Pédagogique de l’ED-SEV
I-4-3- Le Comité de pilotage de l’ED-SEV
I-5- Mentions et formations doctorales de l’ED-SEV
II – MENTION « BIOLOGIE NUTRITION ET PATHOLOGIES HUMAINES » DE L’ED-SEV
II – 1 Organisation administrative
II-2- Différentes formations doctorales
II -3 Conditions d’admission
II-4 Bilan des activités d’inscription et de soutenance
III. DISCUSSION
IV. CONCLUSION
REFERENCES
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