DYNAMISATION DE LA CREATION D’EMPLOIS

La structure des emplois

              Au sein de la population active malgache, 6 177 000 personnes exercent un emploi. Le taux de salarisation, qui mesure le degré de formalisation des relations de travail, est à Madagascar de 15%. En ville ce taux atteint 45%, et à peine 10% à la campagne. Donc, même dans les zones urbaines moins d’un emploi sur deux est un emploi salarié. Ce constat montre l’insuffisance des théories économiques du marché du travail, qui font du salariat la forme quasi exclusive de l’emploi. Ce taux varie en fonction du type de secteur et de main-d’œuvre. Il est bien sûr plus élevé sur le marché « primaire » du travail, dans le secteur formel (privé et public), et pour le type de main-d’œuvre qui y est employé : hommes, chefs de ménage, maind’œuvre dans la force de l’âge entre 35 et 50 ans, main-d’œuvre qualifiée. La répartition des emplois par branche est un bon indicateur synthétique de la structure du marché du travail. On distingue 5 branches : le secteur primaire (agriculture, élevage), l’industrie (industries manufacturières, extractives et BTP), le commerce (y compris réparation), les services publics, et enfin les autres services(2000- 2001). C’est évidemment le secteur primaire qui occupe la première place dans cet ensemble, marquant la prédominance rurale de Madagascar. 81,5% des actifs occupés y sont employés. Les services viennent en seconde position avec 13% des emplois (4,7% dans le commerce, 2,6% dans l’administration et 5,7% dans les autres services). Au contraire, il convient de noter la place excessivement restreinte du secteur industriel, qui a un rôle dans la stratégie de dynamisation de l’offre productive, puisque seulement 5,5% des actifs occupés y travaillent(Tableau IV).Le secteur primaire est alors la source de revenu du pays malgache. On va voir la potentialité de ce secteur.

Le revenu et le sous emploi des ménages

                   La typologie des ménages permet aussi de discriminer le revenu total des ménages. Le montant de revenu dans les ménages publics est près de trois fois plus important que celui des ménages chômeurs/ inactifs et les revenus des ménages « formels »(Tableau VIII). Pour l’ensemble de la population active occupée, la durée hebdomadaire du travail dans l’emploi principal est de 33 heures. Il convient de distinguer les activités agricoles, où l’on travaille en moyenne 30 heures, des activités non agricoles dans lesquelles la main-d’œuvre est mobilisée 42 heures par semaine. Dans l’ensemble des 7 grandes villes de Madagascar, le revenu d’activité mensuel moyen est évalué à 302 000 Fmg au cours du deuxième trimestre de l’année 2000. Les villes peuvent classées selon l’ordre décroissant du niveau de revenu : Antsiranana (428 000 Fmg), Toamasina (421 000Fmg), Mahajanga (351 000Fmg), Antananarivo (286 000 Fmg), Toliara (274 000 Fmg) et enfin Antsirabe (270 000 Fmg). Les employés du secteur public sont en général relativement mieux rémunérés que ceux du secteur privé formel sauf à Antsiranana et à Mahajanga. Cette suprématie du secteur public en termes de revenu peut s’expliquer en partie par l’importance des cadres dans la main-d’œuvre et l’ancienneté des employés. On estime à 813 800 le nombre d’actifs occupés. Le taux de salarisation au niveau des 7GCU est de 52,6% ; le plus fort niveau se voit à Toamasina : 62%. On observe une inégalité assez entre les actifs occupés dans les grandes villes de Madagascar. L’indice de concentration de Gini est de 0.52. Par ailleurs, si plus de 43% de la main-d’œuvre touchent en dessous de 160 000Fmg qui est le salaire minimum en vigueur, prés de 7% gagnent plus de cinq fois que ce SMIG. L’inégalité est la plus forte à Toamasina et la moins accentuée dans la capitale. Et selon le secteur institutionnel, la distribution des revenus est plus inégalitaire dans le secteur privé que dans le secteur public. Le sous-emploi apparaît comme le principal problème que rencontre le marché du travail urbain à Madagascar. Plus de 14% des actifs occupés sont touchés par le sous-emploi lié à la durée du travail en travaillant moins de 35 heures contre leur gré. De plus, 44% de la main-d’œuvre sont victimes d’autres formes de sous emploi. La majorité de la main-d’œuvre se concentre dans des emplois à faible volume horaire. 13% des actifs occupés travaillent moins de 15 heures par semaine. Plus généralement, si l’on retient comme indicateur de sous-emploi visible, le fait de travailler moins de 35 heures par semaine en moyenne, le taux de sous-emploi visible touche 54% de la main-d’œuvre. Ce trait est sans doute l’indicateur le plus évident du sous-emploi massif du facteur travail à Madagascar, marquant le profond désajustement entre offre et demande de travail, la première s’expliquant principalement par le régime démographique, et la seconde par le taux de croissance de l’économie. Encore convient-il de préciser que le sous-emploi visible ne constitue qu’une modalité à travers laquelle se manifeste le sous-emploi. Ainsi, l’existence d’horaires de travail excessivement élevés peut elle aussi être synonyme de sous-emploi, lorsque cette charge horaire est rendue nécessaire par une productivité du travail anormalement faible. On qualifie cette forme de sous-emploi de sous-emploi invisible. En tout état de cause, 19,2% de la main-d’œuvre travaille plus de 48 heures par semaine et 5,6% plus de 60 heures (2000). On peut aborder le problème du sous-emploi invisible à travers l’analyse des revenus tirés de l’activité, qui est un élément central du diagnostic que l’on peut porter sur le marché du travail et sur les conditions d’activité de la main-d’œuvre. On peut dire que presque toutes les carences économiques proviennent à ce sous-emploi existant sur le marché du travail à Madagascar. Et cela est fortifié par la situation du chômage simultanément.

Le principe de la demande effective chez Keynes

                 Comment chaque entrepreneur – décide-t-il du montant de sa production et du niveau de son emploi? Dans un état donné de la technique,  des ressources et des coûts, l’emploi d’un certain volume de travail par un entrepreneur lui impose deux sortes de  dépenses: en premier lieu, les sommes qu’il alloue aux facteurs de production (autres que les entrepreneurs)  en échange de leurs services,  sommes que nous appellerons le coût de facteur de l’emploi en question; et en second lieu, les sommes qu’il paye aux autres entrepreneurs pour les choses qu’il est obligé de leur acheter jointes au sacrifice qu’il fait en utilisant utilisant son équipement au lieu de le laisser  inactif, ensemble que nous appellerons appellerons le coût le coût d’usage de de l’emploi en question en question . . Notons que l’emploi l’emploi dépend de la décision décision d’investir.  Celle-ci relève de  l’entrepreneur. Il importe donc de comprendre dans quel contexte se déroulent les anticipations des entrepreneurs.  Dans la société capitaliste dans laquelle Keynes produit sa Théorie Générale de l’Emploi, de l’intérêt et de la Monnaie, l’entrepreneur l’entrepreneur ne gagne ni salaire,  ni intérêt, ni rente, ni impôt, mais un profit qui prend sa source dans une marge bénéficiaire. Le profit, revenu de l’entrepreneur,  est une différence entre un coût initial et des recettes ultérieures.  Quand il est connu et perçu, il est trop tard pour regretter les coûts. C’est donc le profit attendu qui compte.  Et pour éviter les références circulaires,  Keynes rapporte ce profit à l’emploi correspondant.  L’entrepreneur risque un volume de travail travail pour percevoir percevoir un profit estimé possible, qu’aucun qu’aucun calcul individuel ne saurait saurait déterminer. Ce profit attendu est estimé par la différence entre la valeur de la production résultant de de l’emploi et la somme de son coût de facteur de facteur et de son coût d’usage. En risquant son propre revenu,  l’entrepreneur crée de l’emploi et génère un revenu global.  Celui-ci est égal au coût de facteur et au profit de l’entrepreneur. Le coût d’usage n’est pas un nouveau ‘est pas un nouveau revenu mais l’amortissement de dépenses antérieures. Il s’ensuit ‘que, dans un état donné de la , technique, des ressources et du coût de facteur facteur par unité d’emploi, le volume de l’emploi, aussi bien dans les entreprises et industries individuelles que dans l’ensemble de l’industrie,  est gouverné par le montant du produit que les entrepreneurs espèrent espèrent tirer du volume de production production qui lui correspond. Plaçons-nous, Plaçons-nous, , au niveau global de la nation.  Pour Keynes, l’emploi ne se fixe pas sur un marché du travail.  L’emploi résulte de la décision de produire des entrepreneurs (offre globale)  en fonction de l’idée qu’ils se font de la demande globale.  L’emploi global est fonction de la production globale permise par les capacités de production disponibles et choisie choisie par les décisions d’investir L’emploi global est défini par l’égalité par l’égalité de offre globale et de la demande globale.
• Offre globale: globale: Soit Z le prix de l’offre globale du volume de production qui correspond à l’emploi de N personnes.
• Demande globale: Soit D le produit que les entrepreneurs espèrent espèrent tirer de l’ensemble de N personnes.
Ceci étant, si pour un certain volume de l’emploi N le produit attendu est supérieur au prix de l’offre  globale, c’est-à-dire si D est supérieur à Z, il y aura un mobile qui incitera les entrepreneurs à accroître l’emploi et, s’il le faut, à élever les coûts en se disputant disputant les uns aux autres les facteurs de production, jusqu’à ce que l’emploi ait atteint le  volume qui rétablit rétablit l’égalité entre Z et D. Ainsi le volume de l’emploi est déterminé par le point d’intersection de la courbe de la demande globale globale et de la courbe de l’offre globale;  car c’est à ce point que la prévision de profit de profit des entrepreneurs des entrepreneurs est maxi est maximum. La demande effective est une est une résultante des opinions des entrepreneurs sur le point sur le point où la demande demande globale globale est égale à l’offre l’offre globale. globale. Tant que le plein emploi n’est pas atteint, atteint, à chaque niveau d’investissement décidé par les entrepreneurs correspond correspond un niveau de l’emploi.  L’offre globale et la demande globale globale peuvent s’équilibrer à n’importe quel niveau de l’emploi. Il n’y a pas de marché du travail. Le plein emploi marque une limite supérieure où, selon Keynes, la théorie la théorie classique classique retrouve retrouve sa validité(*). sa validité(*). En toute circonstance circonstance particulière, ne l’oublions l’oublions pas, les entrepreneurs entrepreneurs ont à décider sur quelle échelle ils feront travailler un équipement donné; et lorsque nous disons que l’attente d’un accroissement de la demande, c’est-à-dire une hausse de la courbe de la demande demande globale,  amène un accroissement de la production globale, nous voulons réellement dire que les entreprises qui possèdent l’équipement en capital sont incitées incitées à lui associer lui associer un volume global d’emploi de la ma de la main d’œuvre d’un d’œuvre d’un montant supérieur supérieur . Cette problématique permet à Keynes de n’utiliser ‘utiliser que deux unités de mesure: la monnaie et l’emploi. L’emploi pendant une heure d’une main-d’œuvre ordinaire servira d’étalon. Il suffira de multiplier par le taux de salaire des travailleurs plus qualifiés pour aboutir au salaire nominal ou unité de salaire.

Les Mesures Générales d’une Politique de L’Emploi

1. Les Considérations générales : Les problèmes de l’emploi découlant des fluctuations de l’activité économique, des modifications de structure structure et plus particulièrement d’un niveau insuffisant d’activité économique devraient devraient être réglés par des mesures générales générales de politique politique économique des mesures sélectives sélectives se rapportant rapportant directement à l’emploi des travail travailleurs pris individuellement, ou de certaines ou de certaines catégories de de travailleurs. Le choix de mesures appropriées et l’établissement de leur calendrier d’exécution d’exécution devraient se fonder sur une étude attentive des causes du chômage, en vue d’en distinguer les différents types.
2. Les Mesures générales à long terme : La politique économique générale générale devrait devrait tendre à favoriser favoriser une économie et expansion permanente présentant un degré raisonnable de stabilité et constituant le cadre le plus propice le plus propice au succès des mesures au succès des mesures  sélectives de la politique de l’emploi.
3. Les Mesures générales à court terme : Des mesures mesures à court terme devraient devraient être élaborées élaborées et appliquées appliquées pour empêcher l’apparition l’apparition d’un chômage d’un chômage ou d’une situation situation de sous-emploi de sous-emploi généralisés, généralisés, liés à un niveau un niveau insuffisant insuffisant de l’activité l’activité économique, ainsi que pour contrebalancer la pression inflationniste inflationniste liée à un déséquilibre déséquilibre du marché de l’emploi. Lorsque Lorsque ces phénomènes phénomènes se produisent produisent ou menacent de se produire, produire, des moyens devraient devraient être mis en oeuvre pour accroître accroître ou, le cas échéant, échéant, pour réduire réduire les dépenses dépenses privées privées de consommation ou d’investissement, ou les dépenses dépenses publiques publiques courantes courantes ou d’investissement,  ou l’une et l’autre catégories de dépenses. Etant donné qu’il importe de pouvoir prendre prendre au moment voulu des mesures contre la récession, récession, l’inflation l’inflation ou d’autres d’autres déséquilibres,  les gouvernements devraient, , conformément au droit constitutionnel  national, être nantis de pouvoirs leur permettant de mettre ces mesures ces mesures en en application ou de les ou de les modifier modifier à bref délai(*).
4. Les Mesures sélectives : Des mesures devraient être élaborées et appliquées pour étaler les fluctuations saisonnières de l’emploi. Une action  appropriée devrait notamment être engagée pour répartir plus régulièrement, sur l’ensemble de l’année la demande des produits et services que fournissent les travailleurs ayant des emplois saisonniers,  ou pour créer en leur faveur des emplois complémentaires. Des mesures devraient être élaborées et appliquées pour empêcher l’apparition et l’extension du chômage ou du sous-emploi résultant des modifications structure, et pour encourager et faciliter l’adaptation l’adaptation de la production et de l’emploi à ce genre de de modifications. La modifications de structure vise les changements de longue durée et de grande portée qui revêtent revêtent la forme de variations variations dans la demande, de l’apparition l’apparition de nouvelles nouvelles ressources nationales ou étrangères (y compris l’offre de biens provenant provenant de pays où les coûts de production sont moins élevés),  ou de nouvelles techniques de production,  ou de modifications du volume de la main-d’œuvre. Le double objectif des mesures d’adaptation aux modifications  de structure devrait être: de tirer le plus grand avantage du progrès économique et technique;  de mettre les groupes de personnes et les individus atteints dans leur emploi à l’abri des pertes financières et des autres inconvénients provoqué par les modifications de structure.  A cette fin, et pour parer aux pertes de production qu’entraînent les délais mis à pourvoir les emplois  vacants, On devrait devrait instituer et financer de manière adéquate des programmes propres à aider les travailleurs à trouver de nouveaux emplois et à s’y adapter.  Ces programmes devraient consister notamment à organiser un service de l’emploi efficace. Des efforts devraient être entrepris pour répondre aux besoins propres à certains groupes de personnes qui doivent faire face à des difficultés particulières du fait des modifications de structure ou pour toutes autres raisons:  travailleurs âgés, invalides et autres travailleurs pour lesquels il peut être spécialement difficile difficile de changer de lieu de résidence ou de métier. Une attention particulière devrait être accordée aux besoins en matière d’emploi et de revenus des régions attardées et des zones où des modifications de structure affectent un nombre important de travailleurs,  afin d’assurer une répartition mieux équilibrée de l’activité économique dans le pays et, par là, une utilisation productive de toutes les ressources.  Lorsque se produisent des modifications de structure d’une ampleur exceptionnelle, il pourrait être nécessaire que les mesures telles que celles qui sont exposées ci-dessus soient accompagnées de dispositions destinées à prévenir de fortes et soudaines dislocations et à étaler sur une certaine durée les répercussions des changements intervenus(*). Dans ces cas, les gouvernements devraient devraient sans délai examiner, en consultation consultation avec les intéressés, les meilleures méthodes, de caractère temporaire et exceptionnel, destinées à faciliter l’adaptation des industries intéressées, et devraient prendre des mesures en conséquence. Il conviendrait d’instituer des organismes appropriés pour encourager et faciliter l’adaptation de la production et de l’emploi aux modifications de structure, structure, en définissant clairement les responsabilités de ces organes dans les divers domaines visés ci-dessus. La politique de l’emploi devrait tenir compte du fait que le progrès technique et l’élévation de la productivité entraînent habituellement des possibilités accrues de loisirs et de développement des activités éducatives.  Des efforts devraient devraient être entrepris pour tirer parti de ces possibilités par des méthodes appropriées aux circonstances et aux usages nationaux ainsi qu’aux conditions prévalant dans chaque industrie; ces méthodes peuvent porter sur la réduction de la durée du travail sans diminution du salaire; salaire; l’octroi de congés payés plus étendus;  l’élévation de l’âge d’admission au travail allant de pair avec une instruction et une formation plus poussées.

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Table des matières

Résumé analytique
Introduction
PARTIE A : SITUATION DU MARCHE DE TRAVAIL
CHAPITRE I : L’ENQUETE -EMPLOI A MADAGASCAR : UN DISPOSITIF UNIQUE EN AFRIQUE
CHAPITRE II : Structure de l’offre d’emploi à Madagascar
Section 1 : La Définition des segments d’entreprises
Section 2 : La Structure d’emploi
Sous section I : La Situation générale de la population permettant de refléter l’emploi
Sous section II : Les principales Les principales caractéristiques du marché du travail
L’activité
La structure des emplois
1) Les emplois agricoles
2) Les emplois industriels
3) Les emplois du commerce
4) Les emplois de l’administration
5) Les emplois des services
6) Pour l’emplo non agricole et non administration
c) La dynamique des emplois
Sous section III : L’Approche Approche à Haute Intensité à Haute Intensité de Main-d’œuvre (HI de Main-d’œuvre (HIMO): Une Opportunité pour Madagascar
Sous section IV : L’Offre d’emploi en fonction des enquêtes ménages
CHAPITRE II : DEMANDE D’EMPLOI à Madagascar
Section Section 1 : La situation situation en générale en générale à Madagascar
Section 2 : Le revenu et le sous emploi des ménages
Section 3 : Le chômage
Conclusion
PARTIE B: THEORIE SUR L’EMPLOI
Introduction
Section 1 : Résumé sur la théorie Keynésienne de la Monnaie
Section 2 : L’Analyse de l’importance de la monnaie dans une activité économique
Section 3 :  Résumé de la théorie Keynésienne du taux d’intérêt
Section 4 : L’Analyse de l’importance du taux d’intérêt de la théorie Keynésienne dans le pays en développement
Section 5 : Le principe de la demande effective chez Keynes
PARTIE C: SUGGESTIONS SUR LA POLITIQUE D’EMPLOI
CHAPITRE I. POLITIQUE D’EMPLOI AU POINT DE VUE GENERALE
Section 1 : Les objectifs de la Politique de L’Emploi
Section 2 : Les points capital de la Politique de L’Emploi
Section 3 : Les mesures Générales d’une Politique de L’Emploi
1. La Considérations générales
2. Les Mesures générales à long terme
3. Les Mesures générales à court terme
4. Les Mesures sélectives
Section 4 : Les Problèmes de L’Emploi liés au Sous développement Economique
1. La Politique des investissements et des revenus
2. La Promotion de l’emploi industriel
3. La Promotion de l’emploi rural
4. La Croissance démographique
Section 5 : Les Actions des Employeurs, des Travail des Travailleurs et de Leurs Organisations
Section 6 : L’Action Internationale Visant à Faciliter la Réalisation des Objectifs de la Politique de L’Emploi
CHAPITRE .II POLITIQUE DE L’EMPLOI EN TANT QU’ELEMENT CENTRAL CENTRAL DU DEVELOPPEMENT DURABLE A MADAGASCAR 
Section 1 : Les objectifs de la politique de l’emploi
Section 2 : Le processus de formulation de la politique d’emploi
Section 3 : Les composantes et le contenu de la politique d’emploi
1. L’environnement macroéconomique
2. L’environnement des affaires
3. Dépenses publique productives
4. Institutions d’appui au marché
5. Réglementation du marché du travail
6. Développement d’avantages comparatifs et accès au marché
7. Les politiques à l’égard des groupes spéciaux
Section 4 : Le Rôle des employeurs
Section 5 : La Politique de la main d’œuvre potentielle
CONCLUSION GENERALE
ANNEXES
LISTE DES TABLEAUX
LISTE DES ABREVIATIONS
BIBLIOGRAPHIE

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