Dynamique des unités morphologiques

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Les unités morphologiques :

Les unités morphologiques sont constituées essentiellement de la plage, des vasières à mangrove, des cordons sableux, des dunes et des tannes.

La Plage

Elle correspond à une « accumulation sur le bord de la mer, de matériaux plus grossiers que les constituants principaux de la vase » (M. Derruau, 1988). La plage comporte plusieurs éléments morphologiques. Pour mieux appréhender ces parties, BAUCHAM la divise en trois séquences telles que la zone infratidale, la zone intertidale, et la zone supratidale.
-les estrans
Relié à la plage sous-marine par une pente très faible l’estran représente le secteur où a lieu le déferlement de la vague au cours des marées. Il est un écotone, l’espace compris entre la haute plage et sous-marine.
Dans la Commune de Diembéring, l’estran est l’influence de la marée qui le couvre lors des marées hautes et découvre lors des marées de basses. Les sédiments relativement moyens qui le composent, subissent l’action des eaux marines et l’expose à l’érosion par l’alternance thermique exercée par la rotation de la descente et de la montée de marée au courant de la journée. Le déferlement exerce son action sur toute la longueur de l’estran. « Ils sont toujours balayés au cours des marées » G. FAYE(1993).
Ainsi, l’estran est une zone d’accumulation de sédiments (sable, grossiers, galets), mais abrite parfois des populations végétales et animales.
-les falaises
Elles constituent la rupture de la dune et sont provoquées par l’érosion marine suite aux actions conjuguées de déferlements des houles et des vagues. Ainsi grâce à ces derniers les sédiments prélevés sont transportés sur le rivage, participant au déficit sédimentaire et surtout au façonnement de la falaise tout au long du littoral.

les cordons sableux

Issus de la période de la grande dérive littorale, les cordons littoraux se forment le long de la cote. Leur édification se poursuit avec l’engraissement du système par apport de sable de l’estran. C’est une accumulation résultant de la sédimentation marine. La houle dans le processus de propagation de son énergie vers le rivage, façonne et agence les matériaux mis à la disposition.
Dans la Commune de Diembéring, les cordons se caractérisent par un profil transversal et une forme concave, à une pente relativement faible. Leur présence est surtout plus importante sur les axes Diembéring – Nikine et Cap-Skirring- Kabrousse. Ces cordons sont recouverts d’une végétation très variée. Certains ont un taux de couverture faible et d’autres sont suffisamment couverts par des espèces rampantes et des arbustes. Cette végétation joue un rôle très important dans la dynamique des cordons, car elle permet de capter ou de fixer les sédiments éoliens constituant une réserve de sable pour la plage.
Photos n°2et n°3 : A gauche Cordon littoral de Diembéring occupé par une Bande de filao et à droite cordon littoral de Nikine occupé par une végétation sèche

Les dunes

Issues de l’action des vents, les dunes forment une importante accumulation de sable dans la Commune de Diembéring. De par leur processus de formation et de mis place, nous avons différentes types de dunes dans ladite Commune.
-les dunes bordières : elles forment des accumulations de sables marin dues aux actions des vents et qui recouvrent une grande partie du littoral de la Commune de Diembéring. Ces dunes accompagnent les plages sableuses et se présentent sous forme de cordons plus ou moins parallèles au littoral qui est soumis à la domination des vents du large qui balayent des sables d’autant plus abondants que la marge côtière de ladite Commune offre un estran étendu ( 23,5m à Diembéring au 12°28’05’’N / 16°47’20’’W, 40m à Cap-Skirring au 12°23’02’’ N /16°44’45’’W ; 45m à Kabrousse au 12°20’54’’N/16°43’27’’W et 16m à Nikine au 12°32’34’’N/16°47’25’’W).
Ainsi, de l’embouchure du fleuve Casamance, plus précisément de Nikine jusqu’à Kabrousse, les dunes littoraux accompagnent les plages sableuses de la Commune de Diembéring. Elles sont recouvertes par une diversité d’espèces végétales.
Ces dernières ont également une fonction économique : elles servent de pâture pour le bétail. Elle a aussi une fonction protectrice avec une végétation fixatrice de particules de sables dominée essentiellement par le Chrysobalanusicaco (bawaap en Diola). En effet, tout en mettant à l’abri de l’inondation (par les eaux marines) les terres qui sont en arrière d’elles, les dunes bordières freinent les coulés de sables éoliens et embruns qui menacent ces terres dépressionnaires d’ensevelissement et de salinisation.

Les littoraux estuariens

Définit par Paskoff, (1985) comme une côte à faible relief, l’embouchure d’un cours d’eau, qui s’élargit vers l’aval et dans laquelle pénètre nettement la marée. Ce sont des zones côtières très basses. Elles apparaissent comme des lieux de rencontre entre les actions océaniques et les matières organiques dissoutes provenant du domaine terrestre. Autrement dit, elles appartiennent à la zone de contact entre la section aval d’un cours d’eau et les eaux marines.
Quant à l’estuaire Casamance, elle est en rias, sorte de vallées d’eau continentale ennoyée par la mer. Avec l’ennoyage d’origine nouakchottienne, il est constitué de deux rivières (l’Elinkine et le Cachiouane) et interconnecté par un réseau de chenaux de marée, les Bolongs (le Diembéring, le Ourong etc.). Cet estuaire connait une dynamique et des mécanismes sédimentaires particuliers. L’apport des sédiments d’origine fluviomarine favorise le colmatage de l’estuaire, les accumulations de vasières latérales et de la construction de bancs sableux médians.
Mais aujourd’hui, nous assistons à une dynamique de fonctionnement inverse de l’estuaire de la Casamance. Cette nouvelle dynamique de fonctionnement hydrologique est d’une manière générale attribuée au déficit pluviométrique observé depuis la fin des années 1960. Par conséquent, l’écoulement d’eau douce pendant la saison des pluies devient de plus en plus rare. La quantité d’eau qui pénètre dans l’estuaire est plus importante que celle qui en sort et la salinité augmente d’aval en amont.

Les vasières à mangrove

Caractérisées par leur acidification, leur salinité et des dépôts complexes et essentiellement constitués d’éléments fins (vase sableux) avec des dépôts d’organismes et de calcaire siliceux, les vasières à mangrove sont des écosystèmes estuariens et bordent les chéneaux de marée. Les vasières à mangrove sont alimentées par les mouvements de la marée qui amènent la vase et facilitent la dissimulation des espaces.
Ce sont des zones de rencontre et de mélange des eaux douces continentales et pluviales et des eaux marines salées, des zones assez riches sur le plan de la biodiversité. Ainsi, leurs fonctionnements sont tributaires à plusieurs relations : relation entre le continent d’une part et entre le système physique socio-économique d’autre part.
La mangrove constitue l’espèce végétale qui évolue dans ces vasières d’où l’appellation de vasières à mangrove. Elle est soumise à l’action de la marée et principalement, constituée d’espèces halophiles dont les plus fréquentes sont Rhizophora et Avicennia accompagnées d’une multitude d’espèces herbacées.
Selon Cornier. S, (2000), « la mangrove ne se limite pas aux palétuviers, elle se forme plutôt un écotone complexe, à l’interface de la terre ». Les palétuviers sont des arbres adaptés à la salinité et au caractère mouvant que la vase donne au substrat. Elle est la plus importante formation végétale dans la Commune de Diembéring. Nous y retrouvons la composition floristique suivante :
-les Rhizophoras racemosa qui sont reconnues par leurs racines en arceaux et nous les retrouvons sur les berges des « Bolongs » ;
– les Rhizophoras mangle que nous retrouvons au niveau des sols fibreux et spongieux et se caractérisant par la multiplicité de leurs radicelles ;
-et enfin les Avicennias nitida qui occupent l’essentiel de la mangrove et se caractérisent par des racines à pneumatiques.
A l’intérieur, les formations d’Avicennia disparaissent brusquement, pour faire place à une zone nue, sur salée, autrement dit le Tanne, dont la partie centrale se couvre d’une prairie rase de Cypéracées, parmi lesquelles Hyleocharis caribea (Vieillefon, 1977).
La mangrove est source de plusieurs ressources naturelles (bois de chauffe et de construction, produits de cueillette etc.) et représente pour de nombreuses espèces halieutiques un site de reproduction. Elle joue également un rôle important dans le processus de lutte contre l’érosion côtière. Cependant, suite à la péjoration climatique qu’a connue la planète terre durant ces trois dernières décennies, les vasières à mangrove de la Commune de Diembéring, connaissent de nombreuses contraintes. Ces dernières s’expliquent par le déficit pluviométrique, l’acidification, la salinisation, les modifications hydrodynamiques, écologiques et l’érosion côtière.La salinité joue un rôle important dans la dynamique de la végétation des vasières. Elle affecte les espèces animales et végétales ainsi que les activités socio-économiques des populations de la Commune de Diembéring.

Les sols du domaine fluviomarin

Les sols hydromorphes

Ce sont des sols hydromorphes de type tourbeux qui se développent sur des vases argileuses très pyriteuses et de type pseudo gley à taches et concrétions sur le Continental Terminal et colluvions qui apparaissent presque sur toute cette bande de terre allant de Diembéring à Kabrousse. Ces sols sont souvent utilisés pour la riziculture ; d’une part en riz pluvial dans la partie haute des vallées et d’autre part en riz inondé dans les parties moyennes et basses Pélissier, P (1966).
Dans la Commune de Diembéring, les sols hydromorphes se trouvent au niveau des villages insulaires plus précisément au Nord et au Nord-ouest de Kabrousse mais, également à l’Est de Nikine.

Les sols halomorphes

Les sols halomorphes ou sols salés occupent les vasières. Ces derniers présentent des efflorescences salines blanches en surface. Ce sont des sols potentiellement sulfatés acides caractérisés par la présence de soufre essentiellement sous forme de pyrite (Sadio, 1989).
Nous les rencontrons qu’au Nord-est de Kabrousse. Ils sont constitués de tannes sableux et fréquents en bordure de la terrasse supérieure. Ils ont une teneur en eau qui est de moitié inférieure à celle des sols de tannes argileux, mais leur teneur en argile augmente régulièrement avec la profondeur. Ce sont de sols peu utilisés.

Les sols minéraux

Ils sont des sables qui marquent leur présence sur les cordons littoraux et les dunes. Ce sont des sols bruts, peu évolués mais, fortement marqués par l’éolisation. Nous y constatons la présence de vases nues et argileuses.
Ce sont des sols peu évolués dont la pédogenèse est marquée par une faible altération de la roche mère et par la prédominance de l’érosion éolienne, Barretto (1962). Ils sont surtout sur le long du littoral Sud de Nikine, à l’estuaire de la Casamance et au Cap-Roxo à Kabrousse.

Les sols de plateaux

Provenant des sols argileux et de la décomposition des grés, les sols ferralitiques et les sols ferrugineux offrent sur une grande distance, une remarquable homogénéité du fait de l’unité de la roche mère et des faibles variations climatiques.

Les sols ferrugineux

Autrefois appelés sols beiges, les sols ferrugineux sont des sols lessivés, privés de leur couverture végétale et se dégradent rapidement. Ce sont des sols que nous retrouvons très rarement dans l’ensemble de la Commune de Diembéring, excepté leur présence remarquable sur les terrasses supérieures, qui limitent le plateau et sur les pentes des vallées à l’échelle régionale. Selon (Chauvel et al 1967), ce sont des sols qui se caractérisent par :
-leur morphologie, c’est-à-dire les limites entre les horizons est tranchée et distincte,
-leur profondeur avec des profils atteignant 2 à 2,5m,
-leur fertilité qui est conditionnée essentiellement par la teneur en matière organique,
-leur aridité où la pH est faiblement acide
-leur texture qui est sableuse en surface
-leur instabilité et leur sensibilité à l’érosion.

Les sols ferralitiques

Etant des sols fortement colorés, mais peu différenciés avec des horizons d’altérations épais, les sols ferralitiques se caractérisent par l’absence de concrétionnement et de cuirassement. Leurs profils présentent des horizons peu marqués, différemment des uns des autres. L’horizon A, humifère, est mince en raison de la rapidité de la décomposition de l’humus dérivé de la matière organique provenant de la forêt.
Au-dessous, l’horizon B, se développe au contraire sur plusieurs mètres. De texture très argileuse, il est riche en produit de néoformation. Cette argile, jaune ou rouge, localement bariolée, qui peuvent s’indurer en concrétion, passe progressivement à un horizon C qui est une phase de transition avec la roche mère plus ou moins épaisse. Ce sont des sols forestiers qui peuvent se dégrader lors de la mise en place des cultures, si les méthodes culturales ne sont pas adaptées au milieu.
Ils présentent une faiblesse en éléments fertilisants, azote, et potasse. Dans la Commune de Diembéring, nous les localisons dans le secteur de Kabrousse et de Boucotte.

Les sols peu évolués

Ils se présentent comme étant les sols alluviaux, à texture argilo-sableuse, se trouvent dans les plaines alluviales de la Casamance et de ses affluents (Bolongs). Ils sont développés sur les terrasses sableuses (2m), fluviatiles ou bas glacis et influencés par la fluctuation de la nappe fluviale (Charreau et al, 1965).
Ce sont des sols qui sont généralement assez bien humifères et leur mise en culture provoque une combustion rapide de la matière organique. Ils passent fréquemment vers la mangrove proche des sols holomorphes. Ils sont de couleur grise, beige claire et sont utilisés pour la riziculture (Maignien, 1965).
Abritant certaines espèces végétales comme les palmiers à huile raccordés parfois à des tannes sableux par un liseré d’Avicennia, ces sols ont une surface qui est presque nue avec une couleur grise-beige. Ils sont bien représentés à, Kabrousse Monssor, Kabrousse Kadiaye, Kabrousse Nialou, Carabane etc.

Les ressources hydriques

Au Sénégal, nous avons un réseau hydrographique qui est tributaire d’une part, de la configuration géologique et géomorphologique et d’autre part, du régime et de la distribution de la pluviométrie dans la sous-région. Les ressources hydriques sont mal réparties dans l’ensemble du pays.

Les eaux de surface

Appartenant au littoral casamançais, qui se situe au Sud du pays entre la Gambie au Nord et La Guinée Bissau au Sud, la Commune de Diembéring est largement ouverte sur l’océan atlantique sur une distance d’environ de 30 km allant de Nikine au Nord-ouest jusqu’ à Kabrousse au Sud-ouest. La côte presque rectiligne, se caractérise par un littoral entrecoupé par des séquences sableuses ou cardons dunaires relativement fixés sur sa partie Nord (entre Diembéring et Nikine). Au Nord, nous avons le fleuve Casamance, long de 350km et avec une orientation Est-ouest, il constitue l’axe principal du réseau hydrographique. La Casamance dont le lit mineur atteint prés de 10 km de large, pénètre largement à l’intérieur des plateaux par plusieurs de ses affluents le Sougrougrou, le Bignona Diouloulou et le Baila sur la rive droite et Guidel, Nyassia, Kamobeul sur la rive gauche.
Le Fleuve Casamance alimente pendant la période de crue un bon nombre de cours d’eau et de marigots autrement dit « Bolong » dans la Commune de Diembéring. Ces « Bolong » dont la profondeur varie d’une saison à une autre mais dépasse rarement 5m, permettent la circulation des biens et des personnes entre différentes localités de la Commune et le développement de certaines activités génératrices de revenus telles que la pêche, la cueillette et le tourisme de pirogue. Parmi ces « Bolong » nous avons celui de Kachouane, d’Ourong, de Kabrousse, de Windaye, etc. Ces chéneaux ou « Bolongs » insinuent leurs ramifications à l’intérieur des vasières et entourent de multiples ilots.
Nous notons aussi la présence de mares servant d’abreuvoirs au bétail en saison sèche. Nous en trouvons partout à travers les principaux parcours pastoraux de Kaafawe, de Sitindène à Diembéring. Grâce à ce réseau hydrographique riche et très diversifié toutes les terres de la Commune de Diembéring sont irriguées et surtout favorables à l’implantation de la végétation.

Les eaux souterraines :

Dans la Commune, la nappe du Continental Terminal constitue le réservoir en eau des villages et occupe une place importante après celle du Maestrichtien.
Cependant, des nappes phréatiques salées impropres à la consommation humaine, sont localisées sous les plateaux, dans les sables argileux rouges et les sables marins fluviatiles du Quaternaire. Nous notons également la présence de puits d’une faible profondeur 0,5 à 5m alors que les forages en 15 et 20m (Viellefon 1977).

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Table des matières

Objectifs
L’objectif principal
Objectifs spécifiques
Hypothèses
Définition des concepts
Méthodologie
La documentation
Le travail de terrain
Le traitement de l’information :
Première partie: Présentation du milieu
Chapitre I : Le milieu physique
I.1. . Evolution paléogéographique au Quaternaire Récent
I-2. Relief et unités morphologiques
I-2-1 Relief
I-2-2 Les unités morphologiques :
1-2-2-1 La Plage
1-2-2-2. les cordons sableux
1-2-2-3 Les dunes
1-2-2-4 Les littoraux estuariens
1-2-2-5 Les vasières à mangrove
1-2-2-6 Les tannes
II. Les Sols
II-1 .Les sols du domaine fluviomarin
II-1.1 Les sols hydromorphes
II-1-2 Les sols halomorphes
II-2-3 Les sols minéraux
II-2 -4 Les sols de plateaux
II-2-4-1 Les sols ferrugineux
II-2-4-2 Les sols ferralitiques
II-2-4-3 Les sols peu évolués
III. Les ressources hydriques
III-1. Les eaux de surface
III-2 Les eaux souterraines :
IV. La végétation
IV-1. La mangrove
IV-2. La végétation de la zone littorale
IV-3. La végétation continentale
VI. Le Climat
VI-1. Les facteurs généraux du climat :
VI-1-1. Les centres d’action
VI-2. Les éléments du climat
VI-2-1. Les vents
VI-2-2. Les Températures
VI-2-3. L’humidité relative
VI-2-4. Evaporation
VI-2-5. L’Insolation
Chapitre II. Le cadre humain
II-1. Historique du peuplement
II-2. La population
II-3. Les localités
II-2. Les activités économiques
II-2-1. L’agriculture
II-2-2. L’élevage
II-2-3. La pêche
II-2-4. Le tourisme
Deuxième partie : Dynamique des unités morphologiques
Chapitre I : Les facteurs de la dynamique
I-1 – Les facteurs naturels
I-1-1. Le déficit pluviométrique
I-1-2 La sécheresse
I-1-3 Les courants
I-1-4. La houle
I-1-5. Les vagues
I-1-6. La dérive littorale
I-1-7. Les marées
I-1-8. La montée des eaux marines
I-2- Les facteurs anthropiques
2-2-1. Le défrichement
2-2-2. Les systèmes de culture
2-2-3. Le tourisme
Chapitre II : La dynamique des unités morphologiques
III.1 Situation en 1986
III.2 Situation en 1999
III.3 Situation en 2014
III.4 Evolution des Unités morphologiques entre 1986 et 2014
Chapitre III : Impacts de la dynamique des unités morphologiques
1- Impacts écologiques
1-1 – Impact sur la mangrove
1-2- Impact sur les tannes
1-3- Impacts sur la végétation
1-4- Sur le littoral
2- Impacts socio-économiques
2-2- Impacts sur l’élevage
2-3- Impacts sur la pêche
2-4- Le tourisme
Troisième partie: Les stratégies de lutte contre la dynamique
Chapitre I : Stratégies de luttes traditionnelles
1. La construction de digues anti-sel traditionnelles
2. Le paillage
3. La fumure organique:
Chapitre II : Les stratégies de lutte modernes
1. La construction de digues améliorées anti-sel
2. Le reboisement
3.1 Le PADERCA
4. L’arboriculture
Chapitre III : Impacts des stratégies de lutte
I- Les impacts environnementaux
II Les impacts socio-économiques
Conclusion générale
Bibliographie

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