Dynamique des filières agro-pastorales dans la vallée de l’ONILAHY

Dynamique des filières agro-pastorales dans la vallée de l’ONILAHY : Cas de la Commune Rurale de Tanambao-Haut, District de Betioky-sud, Région du Sud-Ouest malagasy

PAR : MONJA Randriamampiheritra

CV (Curriculum Vitae)

Source : https://www.chatpfe.com/dynamique-des-filieres-agro-pastorales-dans-la-vallee-de-lonilahy/

Facteurs naturels

Pour le cas de Madagascar, plus de 75% de la population active habitent dans le monde rural dont environ de 45% dépendent des filières agro-pastorales et les 30% pratiquent la pêche et la chasse. « Environ 33,2% de la population malgache vit en milieu urbain contre 76,8% en milieu rural » (Kasy Émile, 2017, 8). Cela veut dire que la majorité des peuples malgaches dépendent totalement des conditions naturelles en raison de l’insuffisance de moyen pour le possibilisme. En fait, ce dernier est un phénomène basé sur l’amélioration de milieu naturel comme le milieu aménagé. Il demande des moyens comme les financements, les matériels et surtout des techniques et d’analyse. Dans ce sous-titre, nous nous intéressons aux difficultés involontaires rencontrées par les agriculteurs et les éleveurs dans cette commune comme la sécheresse, les maladies des animaux et surtout les catastrophes naturelles.

La sécheresse cyclique. La sécheresse est un phénomène naturel lié aux conditions climatiques. Elle diffère un peu de l’aridité car la zone dominée par la sécheresse peut recevoir des précipitations par an mais insuffisantes. Tandis que la zone aride est sèche toutes les saisons en ayant une tendance désertique. « Les régions semi-arides reçoivent tous les ans des précipitations mais celles-ci sont encore insuffisantes » (A. HUETZ DE LEMPS, 1970, 120). Dans la planète Terre, la sécheresse est très connue dans la zone intertropicale et surtout dans la zone tropicale. Comme nous savons très bien, suite à l’évolution du réchauffement climatique actuel, ce mauvais phénomène s’aggrave en menaçant les activités des gens du monde, en particulier les activités rurales. La majorité des zones qui sont les plus touchées par ce phénomène se trouvent souvent dans la zone tropicale Sud. Nous voyons que toutes les zones traversées par le tropique du capricorne sont presque désertiques, arides et sèches avec la température élevée.

Alors, ce phénomène est causé par les paramètres suivant :

 Insuffisance des précipitations toute l’année
 La présence de la température élevée qui renforce la forte évaporation
 La dominance de vent du Sud ou Tsiok’atsimo pour le cas de la partie Sud de Madagascar .

Ce phénomène est non seulement prolongé dans cette zone mais également, il est cyclique. Il y règne en général durant toutes les saisons et plus volumineux lors de la saison sèche à cause de la pénurie d’eau. Pourtant les activités agropastorales ont besoin fortement de l’humidité pour développer rapidement. Alors, la présence de ce phénomène inévitable est l’un des obstacles rencontrés par ces activités. «Le prolongement de la sécheresse et la hausse de la température provoquent de cassures au niveau du sol ou dans les différents champs de culture. Les plantes vont donc être victimes du stress thermal et elles finissent par mourir en d’excès et de persistance » (RAJAONARIVELO Joharimandimby Juvence, 2017, 62). Lors du travail sur le terrain que nous avons fait, les cultures dans la commune rurale de Tanambao-Haut se voient être menacées par la pénurie d’eau toute l’année, surtout durant la saison sèche. En fait, la sécheresse qui est répétitive dans cette zone entraîne des impacts graves non seulement à l’activité agricole mais aussi à l’élevage.

Au niveau de l’agriculture La sécheresse qui ne correspond pas au besoin de cette activité est ainsi l’un des facteurs qui empêchent son développement. Dans la zone tropicale, la plupart des régions sont attaquées par ce phénomène presque durant la saison sèche. Cette période est donc considérée comme saison blanche car elle est difficile à faire le semis. « La rigoureuse saison sèche des climats tropicaux typiques est non seulement une saison morte pour l’agriculture, malgré l’immense afflux des calories solaires, mais encore une saison néfaste ; dénudé par les récoltes » (Pierre GOUROU, 1982, 82) Suite à la sécheresse perpétuelle qui y domine depuis 30 ans, la plupart des champs cultivables dans cette commune sont devenus inaccessible à la culture. Ce phénomène joue le rôle non seulement de diminuer les produits obtenus chaque saison de récolte, mais aussi il entraîne la dégradation des terres cultivables.

À cause de sa présence que certaines cultures qui sont très dépendantes de l’existence de l’eau ou de l’humidité dans cette commune comme la culture du riz, de patate-douce, des céréales, … sont meurt, surtout lors de la saison sèche du mois de Mai jusqu’au mois de Novembre. Ce phénomène entraîne la modification de calendrier agricole pour les cultivateurs dans cette commune. Comme d’habitude, la période de semis dans cette zone commence dans l’ensemble à partir du mois d’Octobre et Novembre. Mais, suite à l’aggravation de ce mauvais phénomène, les cultivateurs doivent attendre impatiemment l’arrivée imprévue des précipitations (pluies).

Alors que, le plus souvent, cette dernière n’arrive hâtivement qu’à partir de la fin du mois de Décembre et plus tard au mois de Janvier et Février. Cela veut dire que la période de récolte est automatique tardive. Tandis que le trouble de fonctionnement de l’agriculture à cause de cette sécheresse laisse des problèmes pour le traitement des animaux. À vrai dire, ce phénomène met aussi la problématique sur l’activité pastorale.

Au niveau de l’élevage Tout le monde accepte que l’eau est un élément vital pour les êtres vivants. Sans elle, aucune vie normale. Tous les êtres vivants en ont besoin. « L’eau est très indispensable aussi bien pour les êtres humains que pour les animaux » (RAZANADRAINY Fabrice Berthin, 2011, 64). Par contre, dans la commune rurale de Tanambao-Haut, suite à l’insuffisance des précipitations toute l’année pour faire pousser les herbes (aliments des animaux domestiques), tous les bestiaux s’adaptent à l’insuffisance de l’eau.

Suite au prolongement de la sécheresse, appelé comme le prolongement de la saison sèche dans la zone que nous avons étudiée, les animaux dépendants des herbes souffrent de l’insuffisance des aliments car les espèces herbeuses sont devenues sèches, voire disparaissent. Cela veut dire que, durant plusieurs mois de l’année, plus précisément, durant la période de forehitsy10, les éleveurs vivent en difficulté puisque cette saison affame les bestiaux. « La saison sèche affame les bétails, les herbes devenant aussi comestible que du fil de fer » (Pierre GOUROU, 1982, 82). Alors, due à la domination de la sécheresse toute l’année dans la commune rurale de Tanambao-Haut, les besoins des animaux domestiques sont incomplets. « L’insuffisance d’eau est aussi un problème sérieux pour l’élevage » (MBOLA Sébastien, 2019, 49). Cela veut dire que les rendements obtenus par les pasteurs sont insatisfaisants à cause de la famine des animaux. Cette activité reste donc une activité de subsistante ou une activité d’autoconsommation.

Le manque d’encadrement

L’encadrement est une approche des paysans en donnant non seulement des formations suffisantes, mais aussi des matériels pour améliorer les rendements. Il est un système basé sur la transmission des connaissances et des compétences par rapport aux activités agropastorales pour pousser les paysans de laisser ses méthodes obsolètes (méthodes traditionnelles) en appliquant les techniques modernes afin d’avoir les rendements satisfaisants. Alors, en cas d’absence de ce système nécessaire (encadrement), les paysans pratiquent leurs activités d’une manière archaïque (non amélioré). Plus ils utilisent ces méthodes archaïques, plus les rendements ne cessent pas de s’abaisser. Les paysans dans la commune rurale de Tanambao-Haut vivent encore à l’application de ces méthodes qui ne correspondent pas à l’heure actuelle.

Ils n’ont pas bénéficié des aides gouvernementales concernant les activités paysannes, surtout sur la question de l’encadrement. Lors de notre travail sur le terrain, les enquêtés nous ont répondu qu’aucune autorité compétente à ces filières ne visite cette commune sauf lors de la période de propagande. D’après l’explication des paysans, les politiciens y passent durant le moment de la propagande en promettant aux paysans qu’ils vont résoudre tous les problèmes rencontrés par les activités de base dans cette commune, mais par contre, après le jour de la propagande, ils quittent le village avec aucune tranche laissée. « D’une part des agents de développement rural à qui sont confiés les taches délicates de l’éducation et de la sensibilisation des agriculteurs ne tiennent pas compte de la réalité vécue des paysans » (MBOLA Sébastien, 2019, 46).

Cette situation est devenue une habitude et c’est pour cette raison que les gens dans cette commune demandent de l’argent aux politiciens à chaque période de l’élection. Alors, du point de vue des activités agro-pastorales, les cultivateurs et les éleveurs de troupeaux dans la commune que nous avons réalisé nos études se sentent qu’ils n’ont pas de connaissance suffisante convenable à ces activités. Evidemment, ils souffrent de lacune technique pour améliorer les rendements. Cela veut dire que le manque de connaissance est l’un des facteurs principaux qui mettent en échec ces activités dans cette commune.

Par contre, ce facteur peut être résolu puisqu’il provient de volonté humaine. Suite à l’ignorance de l’Etat envers cette commune, le taux d’alphabétisation est faible et diminue sans cesse. La majorité des gens locaux pratiquent leurs activités avec sans analyse et calcul parfait. Alors, c’est à qui la faute ? C’est aux paysans locaux ? ou au manque de volonté politique ? La réponse est simple, c’est au manque de volonté humaine, le manque d’initiative pour les gens locaux d’une part, suivi par le manque de la volonté politique d’autre part. Cela empêche le développement de ces filières dans cette commune jusqu’à présent. Dans cette commune, il n’existe aucun perfectionnement technique, ni renforcement de connaissance, ni modernisation matérielle envers ces filières jusqu’à ce moment.

C’est pour cette raison que les résultats de rendements sont diminués chaque saison de récolte. En effet, les blocages des filières agropastorales soient d’origine naturelle, soient d’origine humaine car n’oublions pas que ces activités demandent toujours de l’intervention de l’homme. Tout cela entraîne l’échec de ces activités dans la zone que nous avons fait de l’étude. Tandis que cet échec provoque de nombreux impacts sur la vie paysanne dans cette commune et sur le domaine socio-économique et même culturel.

La malnutrition ou la famine permanente

La malnutrition est une situation où le besoin alimentaire d’un individu est insuffisant et anormal. Elle est en général causée par l’insuffisance de revenu ou le manque de pouvoir d’achat. Dans un foyer, normalement, les individus mangent trois fois par jour, suivi des aliments complémentaires en tant que l’être humain. Par contre, suite à la difficulté de la vie actuelle, la majorité de la population malgache, en particulier la population dans la partie Sud de l’île, vit dans l’insuffisance alimentaire. Puisque les rendements agricoles et élevages n’arrivent pas à nourrir les gens dans la commune rurale de Tanambao-Haut suite aux divers blocages rencontrés par les cultivateurs et les éleveurs, les habitants locaux souffrent de l’insuffisance alimentaire quasiment sans limite.

Les produits obtenus ne peuvent pas répondre aux besoins des peuples locaux. « Les ralentissements des plantations, associées avec les problèmes de maladies entraînent des rendements faibles, ce qui fait que les difficultés de crise alimentaire et la famine touchent épisodiquement plusieurs villages ou communes de la région Sud-Ouest de Madagascar » (RAJAONARIVELO Joharimandimby Juvence, 2017, 71). Suite à cela, les individus dans cette commune mangent mauvais. Ils n’ont pas de choix car ils n’ont pas d’autre source de revenu pour compléter leurs besoins en alimentation. Alors, la famine règne dans cette commune toutes les saisons. Nous avons discuté avec les jeunes et les parents dans cette commune lors de notre travail sur le terrain, ils ont dit lors de notre discussion que la majorité des individus dans cette commune mangent seulement une seule fois par jour parce qu’ils n’ont pas de l’argent pour acheter des aliments suffisants. Ils ont dit que lorsqu’ils se réveillent chaque matin, tous les individus dans un foyer sortent de la maison pour chercher quelques choses à manger.

Ils ne rentrent pas à la maison qu’à partir du soir (vers 18h) et chacun montre ce qu’il a trouvé. Cela veut dire que les individus dans cette commune ne mangent que chaque nuit (soir), surtout durant la saison sèche. Ils mangent non seulement mal, mais aussi, insuffisant (ou insatisfaisant). En tant que nous venons de cette zone, nous avons remarqué que chaque période où les mangues sont fructueuses, les individus locaux sont un peu avantagés car ils utilisent ce type de fruits comme aliment matin et midi.

Alors que la famine est un phénomène dangereux aux êtres humains. Elle peut être mortelle lors qu’elle arrive au stade extrême. « Les effets de la malnutrition sont multiples et peuvent entraîner la mort de la personne en question ». (YOUSSOUF Mahamoud, 73) Dans la commune où nous avons fait nos études, plus de trente (30) personnes par mois sont hospitalisées à cause du manque de nourriture. La source de cette situation est ceci : lors de notre travail sur le terrain, nous avons remarqué que les gens dans cette commune travaillent très dur (fort), par contre, ils mangent moins suffisant. Certains enquêtés nous ont répondu que plusieurs personnes sont mortes de faim car elles ne trouvent pas des aliments jusqu’à plus de 3 jours, et elles finissent par mourir.

Construction des barrages hydrauliques

Dans la commune rurale de Tanambao-Haut, il n’y a qu’un seul faux barrage hydraulique qui a été construit. Alors que l’absence de ce type d’infrastructure est l’une des causes qui empêchent les activités agropastorales. « L’absence de barrage hydroagricole, nécessaire à l’extension des rizières ou l’aménagement de nouveaux terrains influence la migration des agro-éleveurs vers les lieux stratégiques » (AVISOA, 2008, 45). C’est pourquoi nous disons qu’il est un faux barrage. Car, lors de notre travail sur le terrain, nous avons observé qu’un seul petit barrage hydraulique a été bâti auprès d’une petite rivière appelée Fotsy.

Ce dernier est une petite rivière sous forme de ruissellement. Son débit est moins important voire faible toute l’année, surtout lors de la saison sèche du mois de Mai jusqu’au mois de Novembre. Le barrage qui a été installé auprès de cette petite rivière reste archaïque (dépassé) jusqu’à ce moment-ci car il n’y a pas de renouvellement. Il est maintenant détruit et ne peut pas fonctionner comme il était à cause de sa vieillesse non améliorée. A vrai dire, il n’y a pas d’amélioration envers ce sujet. Même s’il est impossible de reconstruire le barrage de Fotsy malgré son débit très faible (moins importants), il y a d’autres rivières qui coulent un peu loin au Nord de cette commune. Ces rivières se jettent dans le fleuve Onilahy.

D’une part, la reconstruction du barrage auprès de la rivière Fotsy est parmi des remèdes nécessaires pour traiter les activités agropastorales dans cette commune. Si ce barrage est reconstruit à nouveau, la souffrance des paysans en insuffisance de l’eau pour arroser leurs cultures et pour répondre au besoin en eau des bétails est moins lourde car ce barrage peut alimenter quelques parties de la commune. En tous cas, la construction des barrages hydrauliques peut faire face à l’insuffisance des précipitations. « Pour répondre à l’augmentation de la température, au retard et à l’arrêt précoce des pluies, il faut construire des barrages permettant aux paysans d’accéder à l’eau d’irrigation » (RAZAFINDRATSARA Prisca Chaytorienne, 2015, 77). D’autre part, les paysans dans la commune rurale de Tanambao-Haut ont souhaité fortement depuis longtemps la construction de barrage hydraulique auprès des rivières « Agnataky et Sakamaré » 21 pour sauver leurs activités agricoles. En fait, ces deux rivières ont un débit important et elles sont permanentes. Cela veut dire que lorsque ces rivières sont bien exploitées en irriguant toutes les parties plaines de commune, les paysans ont de l’espoir envers leurs activités quotidiennes.

Ces rivières peuvent arroser quelques milliers d’hectares des terres cultivables en raison de leur volume important. Malheureusement, les paysans locaux ne peuvent pas faire de l’action à cause du manque de moyen et surtout des matériels pour les exploiter. Ils attendent et espèrent toujours la conscience de l’Etat de réaliser leurs rêves si longtemps. Mais tristement, le gouvernement n’y envoie pas ses yeux jusqu’à présent pour voir la réalité vécue par les paysans.

Le rapport de stage ou le pfe est un document d’analyse, de synthèse et d’évaluation de votre apprentissage, c’est pour cela rapport-gratuit.com propose le téléchargement des modèles complet de projet de fin d’étude, rapport de stage, mémoire, pfe, thèse, pour connaître la méthodologie à avoir et savoir comment construire les parties d’un projet de fin d’étude.

Table des matières

INTRODUCTION
PREMIÈRE PARTIE : ÉTAT DE L’ART ET LA PRÉSENTATION GÉNÉRALE DE LA ZONE D’ÉTUDE
Chapitre I : Le concept de l’état de l’art
I.1. Les éléments de l’état de l’art
I.1.1. Justification du choix du thème et de la zone d’étude
I.1.2. Problématique
I.1.3. Objectifs
I.1.4. Hypothèse de la recherche
I.2. Méthodologie
I.2.1. L’accompagnement de notre directeur de recherche
I.2.2. Le travail de la documentation
I.2.3. Le travail sur le terrain
I.2.4. Le traitement de données
I.2.5. La phase de la rédaction
I.2.6. Calendrier du travail de recherche
I.2.7. Le jour de la soutenance
Chapitre II : Présentation générale de la zone d’étude
II.1. Situation géographique du milieu
II.1.1. Localisation
II.1.2. Sol et formation végétale
II.1.3. Climat et hydrologie
II.2. Le milieu humain
II.2.1. Bref historique du peuplement
II.2.2. La population
II.2.3. Les activités pratiquées
DEUXIÈME PARTIE : LES PROBLEMES DES FILIERES AGRO-PASTORALES ET LEURS IMPACTS SUR LA VIE PAYSANNE DANS LA COMMUNE RURALE DE TANAMBAO-HAUT
Chapitre III : Les facteurs bloquants du développement des filières agro-pastorales
III.1. Facteurs naturels
III.1.1. La sécheresse cyclique
III.1.2. Les maladies
III.1.3. Les calamités naturelles
III.2. Facteurs humains
III.2.1. Manque des infrastructures
III.2.2. La réduction du champ cultivable et de la zone de pâturage
III.2.3. Le manque d’encadrement
Chapitre IV : Les impacts liés aux problèmes des filières agro-pastorales sur le milieu
IV.1. Les impacts humains
IV.1.1. La malnutrition ou la famine permanente
IV.1.2. L’insécurité
IV.1.3. La sécheresse financière
IV.2. Les impacts socioculturels
IV.2.1. Les antagonismes familiaux et sociaux
IV.2.2. Exode rural
IV.2.3. L’ignorance des cultures traditionnelles et de l’éducation
TROISIÈME PARTIE : PERSPECTIVES D’AVENIR ET DES SUGGESTIONS FACE AUX BLOCAGES DES FILIERES AGRO-PASTORALES
Chapitre V : Les aides gouvernementales
V.1. Les infrastructures
V.1.1. Construction des barrages hydrauliques
V.1.2. Évacuation des canaux d’irrigations
V.1.3. Création des projets durables
V.2. Les techniques
V.2.1. L’emploi des techniques modernes
V.2.2. La technique d’encadrement
V.2.3. Désenclavement
Chapitre VI : Sensibilisation des paysans
VI.1. L’ouverture aux autres systèmes
VI.1.1. L’adaptation aux autres activités
VI.1.2. Priorisation des centres médicaux favorables aux activités agro-pastorales
VI.1.3. L’éducation
VI.2. La solidarité interne
VI.2.1. Création et consolidation de solidarité interne
VI.2.2. La gestion ensemble des espaces cultivables et des pâturages
VI.2.3. L’entraide
CONCLUSION
RÉFÉRENCES BIBLIOGRAPHIQUES
LISTE DES ILLUSTRATION
Liste des tableaux
Liste des figures
Liste des photos

Télécharger le rapport complet

Télécharger aussi :

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *